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Note de synthèse ; affaire Marvel.

YQ youtubeuse dépose une plainte contre Marvel fitness autre youtubeur, auprès du parquet
de Liège, le 25 janvier et le 18 mars 2019, qui va céder l’affaire au parquet de Versailles dû à
la localisation du domicile de l’accusé, le 13 avril 2019. Les partis civils CL, DX, ER, CH,
FZ, AF P ABD (OP AB) vont rejoindre la plainte pour les faits d’
- Injures publiques
- Menaces
- Cyberharcèlement
- Diffamation à caractère discriminatoire
- Incitation à la haine

Tous ces faits ont été commis via les réseaux sociaux.
Le 25 mai 2019, l’avocate représentante de la plaignante, son compagnon et d’AB AC dépose
plainte pour les mêmes chefs d’infraction subis.

Le tribunal correctionnel de Versailles, a décidé le 21 septembre 2020 de condamner Marvel


Fitness pour des faits de harcèlement au moyen d’un service de communication au public en
ligne ou d’un support numérique ou électronique ainsi que de violence sur un avocat en
incapacité.
Des faits commis entre janvier 2019 et juin 2020.

La partie en cause a été condamner à payer une somme de 1 euro pour préjudice moral et une
somme de 1000 euro en dédommagement aux partis civils ; BAD-AE, CL, DX, ER, CH, FZ
et la somme de 2000 euro aux partis civils ; YQ et OP AB.

L’avocat de la défense interjette appel sur les dispositions pénales et civiles, le 22 septembre
2020.

La cour d’appel, le 18 novembre 2020 exauce la demande du défendeur en le libérant sous


contrôle judiciaire avec interdiction d’exercer toute activité sur les réseaux, le 15 décembre
2020 la 8ème chambre de la cour d’appel de Versailles ordonnait un renvoi de l’examen des
questions au 26 janvier 2021et sur l’examen au fond le 2 juin 2021.
Arrêt du 16 décembre acceptait de recevoir la demande de modification du contrôle judiciaire
formulé par le défendeur afin d’exercer une activité strictement professionnelle sur les
réseaux sociaux.
La défense demande un renvoi de l’affaire suite à la nécessité d’auditionner un témoin, la
défense a ensuite communiquer 150 pièces qui n’ont pu être étudiées par les parties.

La cour a rejeté la demande de renvoi.


La défense a aussi demandé le retrait de l’avocate pour motif de conflit d’intérêts, de rupture
d’égalité des armes, d’un risque de manquement au secret et d’un manquement de
déontologie.
La cour relève que les griefs sont totalement inopérants.

La cour rejettera aussi la volonté de saisir la cour de cassation sur la question d’un avocat
défendant les préjudices des clients ainsi que les siens. Ainsi sera rejeté la demande de
réclusion de l’avocate.
La cour d’appel statuera finalement que le défendeur est coupable de faits graves malgré qu’il
ait reçu des menaces mais étant donné qu’il n’a aucun antécédents judiciaires le prononcé de
2ans d’emprisonnement dont 22 mois de sursis est incompatible avec la personnalité du
défendeur et au regard de la durée de détention déjà effectué il ne sera pas incarcéré de
nouveau, cependant il est condamné en matière civile à verser la somme de 2000 euros à
chacune des parties.
la cour statue de nouveau en condamnant le défendeur a 2 ans d’emprisonnement dont 22
mois de sursis probatoire avec interdiction d’entre en contact avec les victimes et l’obligation
de réparer le préjudice causé et sur l’action civile le défendeur est condamné à verser la
somme de 2000 euros a chacune des victimes.
La cour rejette toutes demandes supplémentaire.

Dissertation ;

Est-il possible d’associer usage numériques et protection de la personne sans encombre ou


est-il nécessaire de repenser l’usage numérique ?

I. Association des deux droits


a. Règles juridique de la protection de la personne
b. Une association périlleuse pour l’un des deux droits
II. Modification nécessaire
a. Équilibre nécessaire pour associer les deux droits
b. La numérisation et la protection de soi

- Début de la naissance numérique


- RGPD  CNIL ; âge minimum
- Art 84 et suivant ; disposition pour donner le contrôle de nos réseaux à nos proches / a
un tiers
- Droit de demande de suppression de données sur nous
- Droit à l’oubli numérique
- Identité numérique
- Deepfake
- Loi 2016 ; reconnaissance d’un statut spécifique pour les comptes de prsn mortes

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