Vous êtes sur la page 1sur 1

− Perte de ressources humaines : La fuite des cerveaux peut priver le Maroc de

ses professionnels qualifiés, ce qui peut avoir un impact négatif sur le


développement économique et social du pays. Ces individus peuvent apporter des
compétences et des connaissances qui sont cruciales pour la croissance nationale.
En année plus de 8.000 cadres administratifs et techniques, 1.200 hommes d’affaires, 600
ingénieurs et 630 médecins ont quitté le Maroc. (Article le 360)

− Transfert de connaissances : En encourageant la rétention des talents, le Maroc


peut bénéficier du transfert de connaissances entre les générations et les secteurs.
Les professionnels locaux peuvent partager leur expertise avec les nouvelles
générations, favorisant ainsi la pérennité des connaissances et des compétences.

− Développement de la recherche et de l'innovation : Les personnes hautement


qualifiées sont souvent impliquées dans des activités de recherche et d'innovation.
La rétention de ces cerveaux pourrait stimuler la créativité et le développement
de la recherche scientifique et technologique au Maroc, et le Maroc a besoin de ces
individus c’est parce qu'il est en cours de progression dans ces domaines et ça
contribue ainsi à la croissance économique.

− Renforcement de l'écosystème professionnel : Retenir les cerveaux au Maroc


peut contribuer à renforcer l'écosystème professionnel en favorisant la
collaboration entre les tous les secteurs quel que soit public ou privé, ainsi qu'en
encourageant la création d'entreprises innovantes.

LE MAROC EST POUR UN RETOUR DES CERVEAUX :


− Brain drain inversé : Le Brain drain est un terme anglais qui signifie la fuite des
cerveaux, le brain drain inversé par l’application des offres attractives pour faire
appler de retour les individus marocains et ca permet de garantir le retour des
cerveaux marocain et aussi le maroc peut bénéficier de expériences et des
connaissances de ses personnes à l’étranger.

La France à augmenter les frais d’éducation pour les non européens, de 170 euros à 2 770
euros en licence, et 3 770 euros en master et doctorat, selon l'arrêté du ministère de
l'Enseignement supérieur.
En plus, le Maroc a annoncé de lancer un grand plan d’aide à la création de petites
entreprises, encourageant les projets portés par les jeunes et avec des crédits à bas taux
favorisant les zones rurales. Destiné à créer des emplois en encourageant l’esprit
d’entreprise, ce plan porté par l’Etat et par les banques prévoit de plafonner à 1,75 % le
taux d’intérêt des crédits pour les bénéficiaires en zone rurale et à 2 % en zone urbaine,
soit « le plus bas taux jamais appliqué au Maroc », selon un communiqué conjoint du
ministère de l’économie et la banque centrale Bank Al-Maghrib. La création annuelle de
27 000 emplois, en accompagnant chaque année 13 500 nouvelles entreprises. Il s’appuie
sur un fonds spécial doté de 8 milliards de dirhams (750 millions d’euros) sur trois ans,
dont six milliards cofinancés par l’Etat et le secteur bancaire et deux milliards provenant
du fonds souverain Hassan II. (LE MONDE)

Vous aimerez peut-être aussi