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1.2 Comment un individu devient-il acteur dans une organisation ?

- Individu : personnalité, émotion, perception, attitude, compétences, identité


numérique.
- Communication interpersonnelle.
- Interactions individu / groupe : caractéristiques des groupes, identité et statut dans
les groupes,
référence et appartenance aux groupes.
- Interactions individu / organisation : cultures, normes, codes, rituels, réseaux sociaux
d’entreprise,
fiche de poste, profils de compétences, hiérarchie.
- Phénomènes relationnels : relations formelles et informelles, argumentation et
influence, relation
d’autorité, leadership, motivations/incitations.
- Aptitude à gérer les conflits.

Personnalité : Il s'agit de l'ensemble des caractéristiques spécifiques d'un individu. On


identifie huit traits de personnalité qui sont des manières habituelles de se comporter
et de réagir :

• l'introversion caractérise une personne repliée sur elle-même ;


• l'extraversion, une personne tournée vers l'autre ;
• la logique qualifie une personne rationnelle et méthodique
• l'affectif, une personne qui réagit en fonction de ses émotions ;
• la stabilité définit une personne d'humeur égale, au comportement constant ;
• l'instabilité, une personne qui peut avoir une humeur changeante selon les
circonstances ;
• l'autonomie distingue une personne qui décide de ses agissements de manière
indépendante ;
• la soumission dépeint une personne soumise, plutôt dépendante et obéissante.

Emotion : c’est une réaction rapide, temporaire et involontaire, liée à un événement


particulier.

Perception : est le processus par lequel l'individu interprète et donne une signification
aux sensations ressenties par l'intermédiaire de ses cinq sens (la vue, l'ouïe, l'odorat, le
goût, le toucher). Le processus de perception est composé de 4 étapes :

• l'attention : concentration sur l'information sensorielle ;


• l'interprétation : où l'information est comparée avec les connaissances ;
• la compréhension : déduction du comportement à adopter ;
• la mémorisation : phase de stockage et d'enregistrement de l'information.

Attitude : est un état d'esprit, c'est la prédisposition à réagir à une situation donnée.

Compétence : capacité d'une organisation à mobiliser ses ressources en vue d'atteindre


un objectif ou de réaliser une activité.
Identité numérique : l’ensemble des traces sur Internet permettant de cerner un
individu.

Culture : ensemble des valeurs et des normes partagées par les membres d'un groupe
social, conduisant à des comportements homogènes. Cette notion de culture se retrouve
au niveau des organisations. On parle alors de culture d'entreprise ou de culture
d'organisation.

Normes : règles à respecter par l'individu pour maintenir son intégration dans le groupe
(par exemple : la politesse, respect du règlement intérieur dans une entreprise, etc.).

Rituels : façons habituelles de se comporter, qui respectent les normes sociales. Il


existe les rituels de salutation, de présentation, de remerciement et de séparation
(raccompagner un client à la porte après avoir signé un contrat est une marque de
respect et de considération…).

Codes : signes dont la signification est partagée par un groupe (par exemple : le code
vestimentaire masculin des cadres en entreprise est le costume-cravate).

Réseau social d'entreprise : est un système de communication interne accessible aux


collaborateurs d'une entreprise et éventuellement aux partenaires de cette entreprise
(fournisseurs, clients, distributeurs…). C'est une plateforme dont l’objectif est de
favoriser la communication entre les acteurs de l'organisation et pour les besoins de
l'organisation. Il facilite le travail collaboratif.

Motivation : force qui pousse à agir, énergie qui déclenche et maintient un


comportement.
1.3 Comment concilier gestion efficace des ressources humaines et coût du travail
?

- Activité de travail : conditions de travail, compétences et qualification.


- Évaluation et rétribution de l’activité humaine dans les organisations : tableaux de
bord, indicateurs
d’activité et de productivité, rémunération et coût du travail.
- Nouveaux liens de travail (contractualisation, auto -entrepreneuriat).

Conditions de travail : déterminent le cadre dans lequel le salarié exerce son activité
professionnelle. Elles comptent trois composantes.

• Les composantes physiques et environnementales : l'ensemble des conditions de


travail liées aux tâches à réaliser et à l'environnement de travail dans lequel elles
s'effectuent (un travail répétitif, une posture pénible, l'exposition à la chaleur,
au bruit…).
• Les composantes organisationnelles : l'ensemble des conditions de travail liées à
l'organisation du travail (le planning, le rythme de travail, les pauses…).
• Les composantes psychologiques et sociales : l'ensemble des conditions de travail
liées aux relations sociales dans le travail qui génèrent des émotions et ont une
influence sur l'état psychologique de l'individu (contraintes de délai, degré de
responsabilité dans le travail, perspectives d'évolution…).

Qualification : ensemble des capacités professionnelles d'un salarié. Elle est


sanctionnée par un niveau de formation et justifiée par son expérience professionnelle.
De ce fait, la qualification désigne donc l'ensemble des diplômes (titres ou
certifications) qui sont requis pour l'accès à un emploi ou à un statut dans une
entreprise.

Tableau de bord : permet de visualiser, d'un coup d'œil, une série d'indicateurs, afin de
mesurer l'impact des actions entreprises et de dégager les évolutions prévisibles. Un
tableau de bord est un outil de pilotage et d'aide à la décision à destination des
responsables, mettant en évidence des écarts entre une situation prévue et une
situation réelle. De cet écart naît la mise en place de solutions par les responsables. Un
tableau de bord peut être social, commercial, financier et permet la mesure des
différentes performances de l'organisation.

Indicateurs d'activité : représentant un outil de pilotage et de décision. Ils sont


recensés dans le bilan social de l'organisation.

Bilan social : est un état des lieux de la situation du personnel dans une organisation. Il
apporte une vue d'ensemble des caractéristiques du personnel et de leurs conditions de
travail. Il permet ensuite de repérer les problèmes et dysfonctionnements pour y
remédier et d'anticiper une politique de gestion des ressources humaines.
Rémunération : c’est l’argent qui est versé au salarié en contrepartie du travail qu’il
fournit. La rémunération comprend le salaire et les avantages en nature.

Coût du travail : correspond à ce que coûte le salarié à l’employeur. Il correspond au


salaire brut auquel on ajoute les cotisations patronales.

Contractualisation : le salarié et l'entreprise pour laquelle il travaille concluent un


contrat de travail qui va définir les droits et les obligations des deux parties.

L'auto-entreprenariat : l'auto-entrepreneur choisit d'exercer une activité individuelle


non salariée. Il peut s'agir d'une activité commerciale, artisanale ou libérale.

Conflits et consensus :
Les relations de travail peuvent parfois être source de conflits. Ceux-ci doivent être
résolus au plus vite, car ils peuvent nuire à la cohésion du groupe. Le responsable peut
alors avoir recours à la médiation, à l'arbitrage, et, en cas d'échec de ces deux mesures
ou en cas d'urgence, à l'autorité hiérarchique qui tranchera définitivement. Il existe
une autre mesure : le consensus ou compromis a les vertus de la décision collective
puisqu'il permet la résolution du conflit par le consentement de toutes les parties
concernées.

2.1 En quoi les technologies transforment-elles l’information en ressource ?

- Donnée, information et connaissance.


- Données à caractère personnel.
- Mégadonnées (big data), données ouvertes (open data).
- Rôles, accessibilité et valeur de l’information.
- Système d’information (SI).

Donnée : est une description élémentaire d'une réalité. Elle n'a pas de signification en
soi.

Information : est un ensemble de données qui prennent un sens particulier pour un


utilisateur en fonction du contexte.

Connaissance : est le résultat de l'appropriation et de l'interprétation des informations.


Données à caractère personnel : les données personnelles sont toutes les informations
qui identifient l'individu : nom, prénom(s), date de naissance, adresse, numéro de
sécurité sociale, adresse mail…

Big data : fait référence à des ensembles de données d’une taille et d’une complexité
telles
qu’ils défient les capacités des systèmes de gestion de données traditionnels.

Open data : informations que les organismes publics recueillent, produisent ou achètent
et qui sont mises à disposition gratuitement en vue de les réutiliser à d’autres fins.

Système d'information : est un ensemble organisé de données et de ressources


matérielles, logicielles et humaines qui sont en interaction afin de traiter l'information
et de la diffuser en fonction des objectifs de l'organisation. Il permet d'optimiser, en
particulier par son informatisation, la gestion de l'information, ce qui améliore les
performances de l'organisation.
2.2 Comment le partage de l’information contribue- t-il à l’émergence d’une «
intelligence collective » ?

- Applications et usages du numérique dans les organisations : e-communication, partage


de
l’information, collaboration, communautés en ligne et réseaux sociaux.
- Intelligence artificielle et automatisation de tâches organisationnelles.

L'e-communication : représente l'échange d'informations utilisant un réseau


informatique comme support.

Collaboration : consiste, pour les membres de l'organisation, à travailler ensemble en


échangeant et en partageant des informations dans le but de donner forme à un projet
commun.

Un réseau social peut être défini comme une communauté d'individus reliés entre
eux par origine, centres d'intérêt, besoins, points de vue, etc., qui échangent des
informations dans un lieu virtuel. On parle alors de communauté en ligne.

Intelligence artificielle : consiste à mettre en œuvre certaines techniques visant à


permettre aux
machines d'imiter une forme d'intelligence réelle.
2.3 Le numérique crée-t-il de l’agilité ou de la rigidité organisationnelle ?

- Processus : nature et représentation.


- Système de gestion intégrée (progiciels de gestion intégrée, solutions de e-commerce,
systèmes de gestion industrielle, sites de marché, etc.).
- Applications métier.
- Travail à distance, mobilité.
- Informatique en nuage (cloud computing).

3.1 Peut-on mesurer la contribution de chaque acteur à la création de valeur ?

- Valeur ajoutée : création et répartition.


- Valeur financière et actionnariale, valeur boursière.
- Valeur partenariale.
- Valeur perçue : image de marque, notoriété, satisfaction, qualité, indicateurs des
médias sociaux,
avis communautaires, recommandations, réputation.
- Indicateurs quantitatifs et qualitatifs.
- Prix, coût, marge, charges.

Valeur ajoutée : richesse créée par l’entreprise lorsqu’elle transforme les matières
premières en produits finis. Elle se calcule comme suit :
Valeur de la production HT (ou chiffre d’affaires HT) - Consommations intermédiaires
HT.

RÉPARTITION

Valeur financière : chaque année, l'entreprise doit produire et diffuser des documents
comptables (le compte de résultat et le bilan). La tenue d'une comptabilité est
obligatoire et s'appuie sur des pièces justificatives (factures, relevés bancaires,
bulletin de paie, etc.).
La comptabilité permet de mesurer la valeur financière de l'entreprise, le calcul de
l'impôt et la prise de décision des dirigeants.

Valeur actionnariale : création de valeur pour les actionnaires, ce sont les dividendes
versés aux actionnaires.

Valeur boursière : pour une société, c’est la valeur de marché de ses capitaux propres.
Elle se calcule
par :
Nombre d’actions composant le capital de la société x cours de la Bourse
Valeur partenariale : est la résultante de la coopération des parties prenantes. C’est une
création de richesse par coopération et prise en compte des intérêts de toutes les
parties prenantes.

Valeur perçue : concept utilisé en marketing, est la valeur que revêt un produit dans
l’esprit d’un consommateur. Elle est obtenue en confrontant les bénéfices attendus de
ce produit avec les coûts consentis pour l'obtenir.
Notoriété de la marque : elle varie beaucoup en fonction de l'image de celle-ci et de sa
réputation. Il s'agit de la capacité des individus à citer la marque soit de manière
spontanée soit assistée.

Image de marque : correspond à la façon dont celle-ci est perçue par les
consommateurs.

Satisfaction : est l'action d'assouvir un besoin. Elle correspond à l'opinion d'un individu
qui résulte de la comparaison entre ses attentes et son expérience de consommation.
Elle peut donc porter sur le produit lui-même ou sur les services associés (accueil,
service après-vente, délai de livraison, par exemple). La satisfaction du client permet
d'assurer une fidélisation importante, elle se mesure généralement grâce à une enquête
de satisfaction.

Qualité : est l'ensemble les caractéristiques lui permettant de satisfaire les besoins
exprimés ou implicites des consommateurs.

Indicateurs qualitatifs : reposent sur des appréciations et ne sont pas quantifiables.

lndicateurs quantitatifs : s'appuient sur des données chiffrées et mesurables.

Prix : est la valeur d'un bien ou d'un service, exprimée le plus souvent en unité
monétaire.

Coût : est un ensemble de charges.

Charges : correspond à une consommation de ressources par l'organisation pour réaliser


son activité (achats de matières premières, fournitures, assurance, salaires, loyer,
transports…). Par conséquent, les charges représentent un ensemble d'opérations qui
appauvrissent l'entreprise.

Marge : est la différence entre le montant des ventes et les coûts nécessaires à la
production. C'est un indicateur fondamental de la gestion d'une entreprise et de sa
santé financière.

3.2 La création de valeur conduit-elle toujours à une performance globale ?

- Performance des processus : efficacité et efficience.


- Performance commerciale : fidélité, chiffre d’affaires, part de marché.
- Performance financière : rentabilité, profitabilité, dividendes, autofinancement.
- Performance sociale : bilan social.
- Performance environnementale.
- Tableaux de bord.

Efficacité : capacité à obtenir un résultat conforme à l'objectif.

Efficience : capacité à obtenir le résultat conforme à l'objectif avec un minimum de


moyens.
4.1 Quelle prise en compte du temps dans la gestion de l’organisation ?

- Horizon et période.
- Actualité et pérennité de l’information, veille informationnelle.
- Prospective en matière d’activités : enquête, budget, seuil de rentabilité.
- Lien entre temps et valeur financière.
- Outils de planification, de gestion du temps et de simulation, calendrier prévisionnel.

4.2 L’amélioration de la performance est-elle sans risque ?

- Facteurs externes : évolution de la demande, cycle de vie obsolescence, rupture


technologique,
dépendance énergétique et technologique, approvisionnement, empreinte
environnementale.
- Facteurs internes de risque (liés aux décisions de l’organisation).

Facteurs externes de risques : proviennent des changements dans l'environnement de


l'organisation, qui peuvent exercer une influence négative sur les objectifs et les
stratégies de l'entreprise. Ces risques s'imposent alors à l'organisation, qui ne peut que
les subir.

L'évolution de la demande : Il est très difficile d'anticiper précisément le volume futur


des ventes, car leur évolution est le fruit de plusieurs paramètres.

Cycle de vie du produit comporte quatre phases : le lancement, la croissance, la maturité


et le déclin. Chaque phase a une durée plus ou moins longue selon la nature du produit.
Obsolescence : un produit devient obsolète lorsqu'il est technologiquement dépassé ou
démodé, même s'il est en parfait état de fonctionnement.

Rupture technologique : elle consiste à introduire une innovation technologique radicale


sur un produit, totalement différente des technologies utilisées auparavant par
l'organisation ou par le marché, et qui, en cas de réussite, finit par remplacer une
technologie dominante sur un marché.

Dépendance énergétique et technologique : elle représente l'incapacité pour l'entreprise


à subvenir à ses besoins en énergie. C'est un risque pour l'entreprise qui doit tenter de
se défaire de cette dépendance. Ainsi, si elle a un fort besoin en électricité, qui la rend
dépendante de ses fournisseurs, elle peut développer ses propres sources d'électricité
avec des panneaux solaires, des éoliennes… Elle peut alors devenir totalement ou en
partie autonome.

L'approvisionnement
Les risques liés à l'approvisionnement sont nombreux. Les organisations veulent réduire
leurs stocks, qui représentent un coût important, mais veulent aussi éviter une rupture
de stocks qui mécontenterait les clients ou ralentirait la production, entraînerait une
perte de chiffre d'affaires, voire créerait du chômage technique.
L'approvisionnement peut être perturbé pour plusieurs raisons : un simple retard de
livraison, une grève des salariés ou la mise en liquidation d'un fournisseur ; des
intempéries qui perturbent le cours normal des livraisons. Il existe aussi des risques
d'augmentation du coût d'achat des matières premières et des risques liés au choix du
fournisseur, quant à la qualité des produits vendus.
Pour toutes ces raisons, l'organisation doit prévoir un stock minimum qui, sans
immobiliser trop d'argent, va éviter les ruptures de stocks, très mauvaises pour l'image.
Le stock minimum et le stock de sécurité seront définis en tenant compte des délais de
livraison, y compris les risques de retard.

L'empreinte environnementale : Elle représente un risque non négligeable pour


l'organisation, car le consommateur et la société dans son ensemble sont de plus en plus
sensibles à la protection de la planète. L'entreprise doit donc évaluer l'impact
environnemental de ses produits depuis l'extraction des matières premières nécessaires
à sa fabrication jusqu'à sa destruction en fin de vie. Ne pas prendre en compte ce point
consisterait à risquer de ternir l'image de l'entreprise et risquer des sanctions de la
société. Les entreprises peuvent faire appel à des organismes pour mesurer leur
empreinte environnementale en mesurant leur émission de gaz à effet de serre, leur
consommation énergétique, leur production de déchets.

Facteurs internes : sont dus à des décisions de l'organisation. Elle peut mettre en place
des modalités de gestion pour tenter de les maîtriser et ainsi en limiter les
conséquences sur son fonctionnement.

Les risques liés aux pratiques de management


La gestion des ressources humaines expose l'organisation à plusieurs types de risques.
L'embauche d'un salarié est coûteuse. Il faudra s'assurer de ne pas salarier et former
un employé qui abandonnerait son poste prématurément. Le risque d'un turnover élevé
peut être, au-delà du coût, une image dégradée. L'organisation doit s'assurer que le
salarié aura une performance suffisante pour que son embauche soit rentable. Le
management doit aussi veiller au niveau de stress des collaborateurs, aux risques de
conflits sociaux, aux accidents sur les postes de travail…

Les risques financiers et de trésorerie


Un risque financier est un risque de perdre de l'argent suite à une opération financière
(par exemple, la prise de participation dans une autre entreprise) ou à une opération
économique ayant une incidence financière (un emprunt dans le but d'investir dans un
nouveau projet). Ces opérations, dont la réussite n'est pas certaine, peuvent mettre en
péril la pérennité de l'organisation.
Le respect des délais de paiement est la base d'une bonne relation client-fournisseur.
Seulement, les retards de paiement sont fréquents. Le risque est alors de ne pas
recevoir le montant facturé, soit par négligence du client, soit du fait de réelles
difficultés financières. Dans ce cas, l'organisation peut subir des revers de trésorerie
et se trouver dans l'incapacité de régler ses propres fournisseurs.

Les risques environnementaux


Toute activité productive a des conséquences pour l'environnement. Si l'organisation est
reconnue responsable de dommages causés, elle peut être condamnée à les réparer, mais
elle peut également voir son image se détériorer.

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