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KHARY
KHARY
d’Amadou Koumba
EXPOSE
LES EXPOSANTS :
MOLO THIAM
HAWA WONE
œuvre
1. PRESENTAION DE L’AUTEUR
2. Présentation de l’ouvre
Conclusion
INTRODUCTION
2. Présentation de l’ouvre
Birago DIOP a écrit des récits et des poésies. Entre d’autres il fait paraitre l’os de Mor LAM,
Khary GAYE, conte d’Awa, plume Rabotée, Bouki passionnaire pour ne citer que cela. En
effet, dans son œuvre l’auteur en question traite dans les nouveaux conte d’Amadadou Koumba
des questions à la vie en société notamment en explorant plusieurs thématiques dont :
l’égoïsme, le mensonge, la patience, le respect de la tradition, les mauvaises éducations, le
courage, la cupidité, la loyauté, l’hypocrisie, la mal traitante des orphelins, le pouvoir…
Bref, il faut aussi préciser que cette large de palette de choix sur lequel l’auteur oriente son
ouvre est inspiré par la richesse et la diversité offertes par le patrimoine culturel d’où il puise
pour servir ses lecteurs.
II. RESUME DU CONTE
Après la mort de Koumba mère de Khary, des lunes et jour différentes de ceux qu’elles avaient
vécu. Jusqu’à sa marâtre Penda, était jeune mais aussi la jalouse de Khary de l’affection que
samba son épouse avait en vers cette orpheline. Elle était mal traitée par sa marâtre Penda un
jour au crépuscule, samba n’était pas rentré de la chasse, Penda sortit de sa case et ordonna la
petite fille : « rend cette calebasse et va chercher de l’eau au puits « et Khary orpheline obéis et
cella chercher de l, eau au puits et c, est durant cette nuit qu’elle rencontra beaucoup un immense
python qui souleva la lourde calebasse et Khary lui dit : « qui veux-tu par la paie ? » et le python
lui répondit : « rentre chez toi, je te le dirais quand tu seras grande je reviendrai et t’appellerai ».
Le temps passé, le piton revint en se transformant en beau jeune homme et appela le nom Khary
en chantant, Khary s’en suffit au puit venait l’appel, elle s’avança jus au coin puis jusqu’au
beau jeune homme. Celui-ci lui dit : « je savais aider en portant ta lourde calebasse, je viens
chercher ma due. Veux-tu de moi pour Mari ? tu serais mon salaire je suis le prince du grand
fleuve ». C’est ainsi qu’il l’emporte tout là-bas au plus profond des eaux du grand fleuve. Elle
eut avec le prince un garçon et une fille. Le temps passé, Khary demanda la permission pour
rendre visite à son village natal. Le prince accorda en disant une fois arrivée au village ne dit
rien à personne, ni avec qui vous vivez ni avec qui vaincus ». Arrivée au village, sa fille
rencontra toute la vie vue qu’on touchera ». Enfin à son fils dans un souffle « plonge son fils et
reste toute sa vie au profond des grandes eaux. ».
Un jour… samba n’était pas rentre de la chasse. Khary s’était parée de bijoux de koumba la
défense Penda la partage sortit de sa case et ordonna à la petit Khary ; « prend cette calebasse
et me chercher de l’eau de fruits Khary l’orpheline se fut au puits. Elle tira essaya vraiment
plusieurs reprises de soulever la grande calebasse pleine d’eau.
Les contes africains sont un fait de civilisation, le reflet de valeurs sociales, un mode
d’expression de la pensée, un art et une littérature. Il s’agit ici du thème de mauvaise éducation
et de ses conséquences. elle finit par avoir des répercussions sur les enfants ; et portant sur les
parents : telle est la fille de Khary qui dévoila le grand secret du python .pourtant l’autre fils
disait si on lui demandait quelque chose il fallait répondre « kham ) je ne sais pas )car ;dit on ;
je ne sais pas n’avais jamais fait couper le cou a personne ; ni mené qui conque dans une geôle
prison ; p 98) a sa fille qui avait dévoilé le secret ; le prince du grand le fleuve transformera
en euphorbe plante vivace et toxique ) et pleura toujours et pour un rien du tout ; alors que
Khary ;sa mère deviendra une toute belle oiseau comme le pigeon ;au .beau plumage )
gracieuse et faible qui chantera sans cesse a la savoir garder un secret ; et même savoir tenir sa
langue . Ainsi ; tel père tels fils ; tel mère tels fille.
Conclusion
Le nouveaux conte d’amadou Koumba un ouvre qui a fini de faire ses preuves en
terme de contenue et d’exemple éducative car étant un vrai recyclage des
enseignements tirés de sa propre culture celle de la tradition orale. Le conte sur
lequel nous avons travaillé : Yaye Khary constitue un bel exemple d’éducation et
d’inculcation des valeurs cardinale notamment celles liées généralement à
l’abstinence se mêler moindre de ce qui te concerne et au mieux savoir garder les
secrets d’autrui.
Bref, cette étude du conte nous a donné l’opportunité de fouler den profondeur
l’essence et la quintessence que regorge les enseignements de s ce conte de Birago
Diop et notamment celui de Yaye Khary sur lequel nous avons travaillé.