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PCSI A 2017/2018
5. des exemples :
Une
équa)on:
2.
Une
solu)on:
1
a) en électricité : circuit RLC avec R = 0 : ω0 = √
ẍ(t) + !02 x(t) = !02 xe x(t) = A cos(!0 t + ') + xe LC
⇢
!
0
pulsa'on
propre
A
amplitude
(à
déterminer
b) en mécanique : r
avec
les
C.I)
2⇡
'
phase
k
!0 = = 2⇡f0 — ressort élastique : ω0 =
T0 xe Posi'on
d’équilibre
m
— pendule
r simple dans le cas des petits angles :
3.
Une
courbe:
4.
Un
sens
physique:
g
ω0 =
( ϕ/2π)Τ0 T0
Un
oscillateur
harmonique
est
un
`
système
qui…
oscille
autour
d’une
— pendule
r pesant dans le cas des petit angles :
A posi'on
d’équilibre.
mg`
ω0 =
xe
Il
modélise
toute
pe'te
fluctua'on
J r
d’un
système
mécanique
autour
d’une
J
posi'on
d’équilibre
stable
— pendule de torsion : ω0 =
0
C
c) mais aussi :
0 2 4 6 8 10 12 14
t (s) — en statique des fluides
— en magnétisme
I.2 Une équation linéaire d’ordre 1 avec second membre constant, c’est :
1
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I.3 Une équation linéaire d’ordre 2 avec second membre constant, c’est :
d2 x dx
2
(t) + 2⇠! 0 (t) + !02 x(t) = !02 xe
dt dt
r2 + 2⇠!0 r + !02 = 0
1 solu%on
1
⇠ < 1(Q > ) par%culière
⇠ > 1(Q < )
2 2
⇠!0 t
x(t) = Ae cos(⌦t + ')
p
+ xe x(t) = A1 er1 t + A2 er2 t + xe
⌦ = !0 1 ⇠2
vers
une
valeur
finie.
Stable:
x(t)
converge
A+c/β
A+c/β
x(t)
x(t)
c/β
0 c/β
I.4 Une équation linéaire d’ordre 1 ou 2 avec second membre sinusoı̈dal, c’est :
Exemple:
d2 x dx Solu%on
homogène
(t) + 2⇠! 0 (t) + !02 x(t) = e0 cos(!t)
dt 2 dt SOLUTION
(régime
transitoire,
durée
finie)
tel
que
x
Si
!
m
max
2
! x(t) + 2⇠!0 j!x(t) + !02 x(t) = e(t) -‐>
RESONANCE
⇢
e0 xm = |xm |
xm =
! 2 + 2⇠!0 j! + !02 ' = arg(xm )
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II Signaux
II.1 Ondes progressives
Soit y(x, t) la grandeur décrivant l’onde :
' $
— y = p et y = ~v pression et vitesse (onde sonore)
— y = E~ et y = B
~ champ électrique et magnétique (onde
lumineuse)
x
y(x, t) = f (x − ct) = g t − propagation dans les x croissants
c
x
y 0 x, t) = f (x + ct) = g t + propagation dans les x décroissants
c
où f et g sont des fonctions continues.
T0
Dates
de
prise
T1
des
photos
xi+1 xi
=c T2
Ti+1 Ti T3
T4
X0
Posi5ons
X1
De
l’observateur
Xi+1 Xi
=c X2
ti+1 ti X3
X4
t
t0
t1
t2
t3
t4
t=0 x=0
t = T/4 (quadrature) x = λ/4 (quadrature)
t = T/2 (opposition) x = λ/2 (opposition)
t = 3T/4 (quadrature) x = 3λ/4 (quadrature)
λ T
0 0
5 10 15 5 10 15
x (m) t (s)
5 10 15
x (m)
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0 2 4 6 8 10 12 14
t (s)
II.5 Interférences
Somme de deux signaux sinusoı̈daux de même pulsation mais déphasés :
ϕ2 + ϕ1 ϕ2 − ϕ1
y(t) = A cos(ωt + ϕ1 ) + A cos(ωt + ϕ2 ) = 2A cos ωt + cos
2 2
~1 (t)
S
~2 (t)
S Cas
quelconque
~1 (t) + S
S ~2 (t) '2 '1
0 '2 '1
0 5 10 15 20
t (s)
Interférences
construc1ves
(ondes
en
phase)
0
'2 '1 = 0 [2⇡]
r2 r1 = p (p 2 Z)
0 5 10 15 20
t (s)
Interférences
destruc1ves
(opposi1on
de
phase)
'2 '1 0
'2 '1 = ⇡ [2⇡]
✓ ◆
1
r2 r1 = p +
2
0 2 4 6 8 10 12 14
t (s)
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II.6 Diffraction
a ✓
sin ✓ ⇡
a
II.8 Définitions
Stigmatisme rigoureux : Pour tout point, l’image d’un point par le système optique est un point (ex :
miroir plan).
Stigmatisme approché : Dans les conditions de Gauss, l’image d’un point est un point (ex : miroirs sphé-
riques, lentilles minces).
Aplanétisme approché : Dans les conditions de Gauss, l’image d’un objet perpendiculaire à l’axe optique
est perpendiculaire à l’axe.
Conditions de Gauss : Les rayons sont peu inclinés par rapport à l’axe optique et passent au voisinage du
centre du système optique.
On ne peut obtenir une image réelle d’un objet réel qu’avec une lentille convergente et que si AA0 > 4f 0 .
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III Electrocinétique
Objectifs : Le cours d’électrocinétique se concentre sur l’étude des circuits linéaires, qui seront décrits
par des systèmes d’équations linéaires. Ces lois ne sont valables que dans le cadre de l’ARQS (temps de
propagation des signaux faible devant les temps caractéristiques du problème.
Générateur de Thé-
Dipôle Résistance Condensateur Bobine
venin
i
u
Symbole
Rth
Eth
Relation u = f (i) du di
u = Ri i=C u=L u = −Eth + Rth i
(conv. récep.) dt dt
1
Impédance complexe ZR = R ZC = jCω ZL = jLω
R en paral-
R en série
lèle
1 1 1
R = R1 + R2 = +
R R1 R2
mailles noeuds
U2 U3
i1 i6 i7
i3 i5
U1
i2 i4 i8
UE = U1 + U2 i1 = i3 + i6 0 = i5 + i6 + i7
U1 = U3 + US i8 = i4 + i5 0 = i2 + i3 + i4
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e Z2 u Z1 Z2
1
Z2 Z2
u= e i2 = 1 1 i
Z1 + Z2 Z1 + Z2
PASSE-‐BAS
Spectre
en
amplitude
PASSE-‐BANDE
PASSE-‐HAUT
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IV Mécanique
La mécanique est l’étude du mouvement. Le programme de Sup se concentre sur les problèmes à un degré de
liberté décrits par des équations différentielles linéaires. L’objectif d’un problème est généralement de déterminer
l’équation de la trajectoire et de la tracer.
A ne jamais oublier de sa vie :
u~˙r = θ̇(t)u~θ
u~˙θ = −θ̇(t)u~r
Translation Rotation
m J
~ −−→
p~(t) = m~v (t) L(t) = OM (t) ∧ m~v (t)
(point matériel)
Lz (t) = J θ̇(t)
(solide en rotation)
Ec = 12 m~v 2 Ec = 21 Jω 2
Ne pas confondre moment cinétique, pour un point matériel et un solide, moment d’inertie, moment
d’une force et moment d’un couple !
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→
−
Force vecteur F , fait ”translater”
−
→ −−→ ~
Moment vecteur M = OM ∧ F , fait ”tourner”
Puissance scalaire P = F~ · ~v (M ) = M
~ · ω~uz
−−→
Travail élémentaire scalaire δW = Pdt = F~ .dOM
Energie potentielle scalaire dEp = −δW
(forces conserva-
tives)
Un couple de forces dont la résultante est nulle mais la résultante des moments est non nulle est appelé
couple (Exemples : couple de torsion, couple de frottements pour liaison pivot non parfaite...)
Force électrique ~
qE oui qV
Force magnétique ~
q(~v ∧ B) ne travaille pas 0
Force de Pression ~
−P dS ça dépend hors-programme
Force de Laplace id~` ∧ B
~ oui hors-programme
a) TEM : si toutes les forces sont conservatives, on calcule toutes les énergie potentielles, on en déduit
l’énergie mécanique et on utilise le TEM : dE
dt = 0, exemple pendule simple
m
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b) TMC : s’il y a un mouvement de rotation, on calcule tous les moments des forces (droite d’action, bras
de levier, sens de rotation avec tire-bouchon...) et on utilise le TMC en le projetant. On fera attention à
ne pas mélanger la formule de L~ valable pour un point et celle valable pour un solide.
c) PFD : Cela marche toujours mais fait apparaı̂tre parfois des forces inconnues (réactions, tension du fil...)
qui peuvent être génantes.
2. Si on veut déterminer une position d’équilibre, on calcule toutes les énergies potentielles, on dérive par rap-
port au degré de liberté, et on recherche le point qui annule la dérivée (stabilité : on dérive deux fois).
3. Si on veut déterminer une valeur de x, r, θ... particulière, on utilise la forme intégrée des théorèmes (pas de
dérivée) :
4. Si on a uniquement des forces centrales et conservatives (gravitation ou loi de Coulomb), on peut utiliser la
loi des aires et les lois de Képler.
Système
Référen.el
~ !
TMC
dL = M TEM
Em = cste
dt X
PFD
F~ = m~a dEm
Force
centrale?
=) =0
• Projeter
sur
une
base
dt
!
~ = cste • Intégrer
deux
fois
=)L
=)Mouvement
plan
Lois
de
Képler
˙ = cste
=) Loi
des
aires
r2 (t)✓(t)
Retenons que tous les théorèmes de mécanique sont strictement équivalents et qu’il y a souvent plusieurs
façons de résoudre un problème.
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V Thermodynamique
L’objectif d’un problème de thermodynamique est généralement la détermination du rendement d’une ma-
chine thermique et l’étude des moyens pour l’améliorer.
Utilisation :
a. L’énergie interne/l’enthalpie : Pour un GP ou une phase condensée, on calcule généralement ∆U (ou
∆h) à l’aide de ∆T , ou on le lit sur un diagramme P − h.
b. Le travail : pour les forces de pression : δW = −Pext dV . Si l’évolution est mécaniquement réversible
P = Pext . En présence d’une résistance ou d’un générateur : δW = uidt.
c. La chaleur : elle peut se faire par conduction (phases condensées), convection (fluides) ou rayonnement
(tout milieu). il n’y a pas de formule. C’est souvent ce qu’on extrait du premier principe.
Q
2. L’entropie échangée : en contact avec un thermostat à T0 : Se = T0 . On calcule Q par le premier principe.
En contact avec deux thermostats : Se = Q Q2
T1 + T2 .
1
3. L’entropie créée : il n’y a pas de formule. Elle est soit strictement positive (transfo irréversible), soit nulle
(transfo réversible).
Les transformations adiabatiques (Se = 0) et réversibles (Sc = 0) sont isentropiques (∆S = 0).
Rendement
|énergie utile|
ρ=
|énergie coûtante|
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VI Induction
Allure de lignes de champs (1 spire à gauche, 21 spires à droite) :
15
4
10
2 5
0 0
2 5
10
4
15
4 2 0 2 4 10 5 0 5 10