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Circuits électriques

Ch.4 : Circuits électriques


en régime impulsionnel

A. ACHOUR Circuits électriques 1


Equation différentielle et ordre d’un circuit électrique (CE)
• Un CE, d’ordre 𝑛, est régi, dans le domaine temporel, par l’équation différentielle (ED) :
𝑎 𝒔 𝒏
⋯ 𝑎 𝒔 𝑎 𝒔 𝑏 𝒆 𝒌
⋯ 0 et 𝑠
𝑏 𝒆 𝑏 𝒆 où 𝑎 𝑑 𝑠 𝑡 ⁄𝑑𝑡 : forme canonique
L’ordre 𝑛 du circuit correspond à la dérivée nième de 𝑠 𝑡 .

𝒅𝟐 𝒊 𝒕
Exemple : le circuit passif 𝐿𝐶𝑅, ci-dessous, est régi par l’ED : 𝐿𝐶 𝟐
𝒅𝒕
𝑅𝐶 𝑖 𝑡 𝐶 .
L C
1 2

i(t)
e(t) R s(t) On s’intéresse ici à la réponse 𝒊 𝒕 qu’on suppose
contenir l’information utile cherchée.
On peut aussi nous intéresser à la réponse 𝒔 𝒕 .
0
C’est un CE de 2è ordre (𝐿𝐶 𝑑 𝑖 𝑡 ⁄𝑑𝑡 ), défini par les 2 conditions initiales (CI) 𝑠 0 et 𝑖 0 .
Ces CI indiquent les énergies 𝐿 𝑖 0 et 𝐶 𝑠 0 emmagasinées dans 𝐿 et dans 𝐶 à
l’instant initial ( 0 si 𝑒 𝑡 présente un front
A. ACHOUR
(discontinue)).
Circuits électriques 2
Equation différentielle – linéarité et invariance
• Un circuit électrique sera linéaire s’il obéit à la propriété de superposition :
Si 𝑒 𝑡 → 𝑠 𝑡 et si 𝑒 𝑡 → 𝑠 𝑡 alors 𝑎𝑒 𝑡 𝑏𝑒 𝑡 → 𝑎𝑠 𝑡 𝑏𝑠 𝑡 ∀𝑡.
Autre définition : un CE sera linéaire si les coefficients (𝑎 , … , 𝑎 , 𝑏 , … et 𝑏 ) de l’ED qui le
régit, sont constants et indépendants de la variable temps (𝑡).
𝑎 𝒔𝒏 ⋯ 𝑎 𝒔 𝑎 𝒔 𝑏 𝒆𝒌 ⋯ 𝑏 𝒆 𝑏 𝒆
Ex. : le circuit passif 𝐿𝐶𝑅 est linéaire car 𝑅, 𝐿 et 𝐶 sont constantes et indépendantes de 𝑡.
Contre ex. : si 𝑅 représente une thermistance (CTN ou CTP), le circuit n’est plus linéaire et
ne sera pas traité dans ce cours (la théorie abordée ici ne pourra pas être appliquée).
Par la suite, on ne considèrera et on ne traitera que des CE linéaires.
• Un CE est dit permanent (ou invariant dans le temps) si à une entrée décalée dans le
temps d’une valeur 𝜃, correspond la même sortie décalée dans le temps de la même
quantité 𝜃 : ∀𝑡 et ∀𝜃 si 𝑒 𝑡 → 𝑠 𝑡 alors 𝑒 𝑡 𝜃 → 𝑠 𝑡 𝜃
Rigoureusement, aucun circuit n’obéit parfaitement aux relations précédentes. Mais en pratique, on peut
considérer que beaucoup de circuits s’en approchent, dans une plage raisonnable d’amplitude de l’entrée
et de la sortie, et pour des valeurs raisonnables de 𝜽.
A. ACHOUR Circuits électriques 3
Résolution de l’équation différentielle – Transformation de Laplace
• Méthode classique de résolution d’1 ED : la réponse (ou tension de sortie) 𝑠 𝑡 d’un CEL à
une excitation (ou tension d’entrée) 𝑒 𝑡 est la somme algébrique :
 d’une intégrale ou solution générale de l’équation sans second membre,
 et d’une solution particulière de l’équation différentielle, appelée “régime forcé”.
Cette méthode d’intégration ne sera pas envisagée ici car elle est "lourde".
• Méthode de Laplace : pour intégrer l’ED (slide 2), on suit les 3 étapes suivantes :
 On applique la transformation de Laplace à l’ED qui est valable dans le domaine
temporel. On notera 𝐸 𝑝 et 𝑆 𝑝 les transformées de Laplace (ce.annexe.3) associés aux
signaux 𝑒 𝑡 et 𝑠 𝑡 et on appliquera la propriété de dérivation (ce.annexe.2-§ 4.2).
La transformation nous place dans le domaine fréquentiel pour lequel la variable est 𝑝 :
𝑝 𝑎 𝑗𝜔 𝑎 𝑗 2𝜋𝑓 en régime impulsionnel. Elle se réduit à 𝑗𝜔 en régime harmonique ou sinusoïdal.
 On cherche à mettre l’expression de 𝑆 𝑝 , image de Laplace de 𝑠 𝑡 , sous la forme d’une
somme de termes normalisés (ce.annexe.3 : table des transformées de Laplace).
 On applique la transformée de Laplace inverse pour revenir au domaine temporel et
pour déduire l’expression de la réponse Circuits
A. ACHOUR 𝑠 𝑡 .électriques 4
Réponse indicielle d’un CE de 1erordre, Transmittance isomorphe
• La réponse 𝐼ndicielle 𝐼 𝑡 𝑠 𝑡 est la tension de sortie d’un CE lorsqu’on applique à son
entrée un échelon 𝑒 𝑡 𝐸 𝑤 𝑡 . E R
C
• Cherchons la réponse 𝐼 𝑡 d’un circuit 𝑅𝐶. e(t) s(t)

0
L’équation différentielle qui régit le circuit passif 𝑅𝐶 est : 𝑅𝐶 𝑑𝑠 𝑡 ⁄𝑑𝑡 𝑠 𝑡 𝑒 𝑡 .
L’ED est bien homogène car 𝑠 𝑉⁄𝑠 𝑉 𝑉.
 Appliquons la transformation de Laplace à l’ED : 𝑆 𝑝 𝑅𝐶 𝑝𝑆 𝑝 𝑠 0 𝐸 𝑝
Si la condition initiale (CI) est nulle (par ex. 𝐶 déchargé à 𝑡 0 ), alors :
𝑆 𝑝 1 𝜏𝑝 𝐸 𝑝 avec 𝜏 𝑅𝐶 (en sec : homogénéité) : constante de temps du circuit 𝑅𝐶
D’où la transmittance isomorphe 𝐻 𝑝 du CE qui est définie par le rapport :
𝐻 𝑝 𝑆 𝑝 ⁄𝐸 𝑝 1⁄ 1 𝜏𝑝
Rq. : on verra qu’en régime harmonique, 𝑝 𝑗𝜔 et le transfert 𝐻 𝑗𝜔 1⁄ 1 𝑗𝜏𝜔 .
On conclue que 𝐻 𝑗𝜔 𝐻 𝑝 | que si la CI est nulle. Sinon, on tiendra compte de 𝑠 0
La fonction de transfert 𝐻 𝑗𝜔 n’est qu’un cas particulier de la transmittance 𝐻 𝑝 .
A. ACHOUR Circuits électriques 5
Réponse indicielle d’un circuit de 1er ordre
 Détermination de l’image de Laplace 𝑆 𝑝 : L’entrée 𝑒 𝑡 est, par hypothèse, un échelon,
d’où 𝐸 𝑝 𝐸 ⁄𝑝 (ce.annexe.3).
Par ailleurs, 𝑆 𝑝 𝐸 𝑝 𝐻 𝑝 . D’où 𝑆 𝑝 ⁄
. La fraction en 𝑝
existe dans la table de ce.annexe.3 : elle correspond au terme avec 𝑎 0 et 𝑏

1⁄𝜏. La détermination de 𝑠 𝑡 est immédiate : 𝑠 𝑡 d’après la table.


Autre méthode : on décompose 𝑆 𝑝 en éléments simples :
On pose 𝑆 𝑝 avec 𝑎 𝑝 𝑆 𝑝 ⌋ 𝐸 et 𝑏 1 𝜏𝑝 𝑆 𝑝 ⌋
𝜏𝐸. D’où 𝑆 𝑝 𝐸 ⁄
.
 Déduction de l’expression de la réponse indicielle : on applique la transformée de Laplace
inverse à 𝑆 𝑝 pour déduire la réponse indicielle 𝑠 𝑡 𝐼 𝑡 . On trouve :
𝑠 𝑡 𝐸 1 𝑒 ⁄ 𝑤 𝑡
 On doit ajouter la fonction 𝑤 𝑡 car la sortie 𝐼 𝑡 reproduit la causalité de 𝑒 𝑡 .
 Les 2 méthodes précédentes aboutissent à la même expression de 𝑠 𝑡 .
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Allure de la réponse indicielle d’un circuit /
95%
100%
90%
Réponse indicielle
normalisée
𝐼 𝑡 d’un circuit 𝑅𝐶/𝐿𝑅
63% 𝐸

10%
𝑡

0
V(OUT) 𝜏 𝑡 %Time3𝜏 : limite du régime transitoire
et début du régime permanent à 5%
𝑡 2,2𝜏
Avant de tracer la courbe de 𝑰 𝒕 , on trace la tangente à l’origine (elle coupe la valeur finale à 𝒕 𝝉 d’après son expression)
et on situe la valeur initiale 𝑰 𝟎 𝒍𝒊𝒎 𝒑𝑺 𝒑 𝟎 𝑽 et la valeur finale 𝑰 ∞ 𝒍𝒊𝒎 𝒑𝑺 𝒑 𝑬 sur le repère. 𝑰 𝟎 et 𝑰 ∞
𝒑→ 𝒑→𝟎
sont obtenues en appliquant les théorèmes de la valeur initiale et de la valeur finale (ce.annexe.2).
A. ACHOUR Circuits électriques 7
Paramètres de
• Paramètres d’une réponse indicielle :
 Temps de monté (Rise time) : 𝑡 𝑡 𝑡 2,2𝜏 avec 𝐼 𝑡 ⁄𝐸 10% et 𝐼 𝑡 ⁄𝐸
90% (slide 7).
Rq. : la réponse indicielle de certains circuits est décroissante (𝐶𝑅, 𝑅𝐿, …). On définit,
dans ce cas, le temps de descente (Fall time) : 𝑡 𝑡 𝑡 2,2𝜏 avec 𝐼 𝑡 ⁄𝐸 90% et
𝐼 𝑡 ⁄𝐸 10%.
 Temps de réponse à 5% (𝑡 % ) : instant tel que 𝐼 𝑡 % ⁄𝐸 95% (cas d’une réponse
croissante), 5% (cas d’une réponse décroissante et ayant une valeur finale nulle).
On peut aussi nous intéresser au temps de réponse à 1% pour lequel l’écart entre
𝐼 𝑡 % et la valeur finale 𝐼 ∞ n’est que de 1% (plus de précision).
Le temps de montée ou de descente chiffrent la rapidité de la réponse indicielle 𝐼 𝑡 à
atteindre la valeur finale : 𝐼 𝑡 est d’autant plus rapide que 𝑡 ou 𝑡 est faible càd que 𝜏
est faible.
Rq. : on ne peut pas autant réduire 𝜏 à cause des limitations technologiques des
composants passifs (𝜏 𝑅𝐶 pour 1 circuit 𝑅𝐶 ou 𝐶𝑅, 𝜏 𝐿⁄𝑅 pour 1 circuit 𝐿𝑅 ou 𝑅𝐿).
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Régime transitoire ‐ Régime permanent
• La réponse indicielle 𝐼 𝑡 n’est pas aussi rapide que 𝑒 𝑡 (slide 7) : la lenteur de 𝐼 𝑡 est
due aux composants réactifs 𝐶 ou 𝐿 du circuit.
• 𝐼 𝑡 ne peut atteindre la valeur 𝐸 de 𝑒 𝑡 que vers l’infini (d’après l’expression de 𝐼 𝑡 ) :
c’est une limite. Cependant, on peut supposer, en 1ère approximation, que 𝐼 𝑡 𝐸
( 𝐼 ∞ ) à partir de l’instant 𝑡 % .
Cette approximation est valide car l’écart 𝐸 𝐼 𝑡 % 5% de 𝐸 négligeable devant 𝐸.
• Le temps de réponse à 5% 𝑡 % est donc une limite entre 2 régimes :
 Régime permanent (𝑡 𝑡 % ) : intervalle de temps durant lequel 𝐼 𝑡 est presque
égale à 𝐸 (slide 7). Durant ce régime, les composants réactifs sont supposés inactifs
(𝑖 𝑡 𝐶 𝑑𝑢 𝑡 ⁄𝑑𝑡 0 𝐴 et 𝑣 𝑡 𝐿 𝑑𝑖 𝑡 ⁄𝑑𝑡 0 𝑉) et toutes les dérivées de
l’équation différentielle qui régit le CE sont "nulles".
 Régime transitoire (𝑡 𝑡 % ) : intervalle de temps pendant lequel 𝐼 𝑡 évolue suivant
l’expression de la solution de l’ED.

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Réponse indicielle d’un circuit de 2ème ordre
R L
1 2

1k 0,2 H
Boite à décades C

e(t)

s(t)
GBF
33 nF

• Transmittance isomorphe : 𝐻 𝑝 ⁄ ⁄
(suppose que les CI sont nulles :
𝑠 0 0 𝑉 et 𝑖 0 0 𝐴) où 𝜎 est le coefficient d’amortissement et 𝜔 est la pulsation
propre du circuit.
• Selon la valeur de 𝜎 (ou selon 𝑅) , ∃ 3 régimes de fonctionnement du CE :
 Régime peu amorti lorsque 0 𝜎 1,
 Régime critique lorsque 𝜎 1,
 Régime très amorti lorsque 𝜎 1.

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Réponse indicielle d’un en régime très amorti ( )
100%

I 𝑡

Fig. 4.5
0

𝑡
V(OUT)
Time

L’allure de la réponse indicielle est identique à celle d’un circuit de 1er ordre. 𝑰 𝒕 est caractérisée par :
o un temps de montée 𝒕𝒎 ,
o un temps de réponse à 𝟓% 𝒕𝒓 𝟓% (limite du régime transitoire).
Exercice : Déterminer 𝒕𝒎 et 𝒕𝒓 𝟓% dans le cas d’un CE, de 2ème ordre, placé en régime très amorti.
A. ACHOUR Circuits électriques 11
Allure de la réponse indicielle d’un en régime peu amorti
Régime transitoire Régime établi ou permanent (à 𝟓% près)

Premier dépassement
𝑰 𝒕 1 𝑒 cos 𝜔 1 𝜎 𝑡 Ψ 𝑤 𝑡
𝐼 𝑡
𝜳 𝐴𝑟𝑐𝑡𝑔 𝜎⁄ 1 𝜎

∆𝑉
1,05
100%
0,95
90%

Pseudo-période
10% Fig. 4.4

0
𝑡 V(OUT)𝑡 𝑡 5% Time
𝑡

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Paramètres de la réponse indicielle d’un en régime peu amorti
 Expression de la réponse 𝐼 𝑡 (ex. 3 – série 1 des TD) : on part de la transmittance
isomorphe 𝐻 𝑝 pour laquelle les CI sont supposées nulles : 𝐻 𝑝 ⁄ ⁄
.
On cherche ensuite la réponse impulsionnelle ℎ 𝑡 du circuit qui n’est autre que la 𝑇𝐿 de
𝐻 𝑝 :ℎ 𝑡 𝑒 sin 𝜔 1 𝜎 𝑡 𝑤 𝑡 ; les pôles de 𝐻 𝑝 sont complexes et
conjugués en régime peu amorti (0 𝜎 1).
Rq. : le circuit en question est stable car lim ℎ 𝑡 0.

On déduit la réponse indicielle 𝐼 𝑡 à partir de ℎ 𝑡 : 𝐼 𝑡 ℎ 𝑡 𝑑𝑡 (ch.2 – slide 4).
On trouve : 𝑰 𝒕 1 𝑒 cos 𝜔 1 𝜎 𝑡 Ψ 𝑤 𝑡 avec 𝜳 𝐴𝑟𝑐𝑡𝑔 𝜎⁄ 1 𝜎 .

 Paramètres de 𝐼 𝑡 : la courbe donnant 𝐼 𝑡 (slide 12) est caractérisée par :


o la pseudo-période 𝑇 : 𝑇 2𝜋⁄𝜔 1 𝜎 : période des oscillations amorties.
o le temps 𝑡 : 𝑡 𝜋⁄𝜔 1 𝜎 : 1er instant où 𝐼 𝑡 est maximale (1er dépassement).
o le premier dépassement (ou overshoot) 𝐷 % (/ à 𝐼 ∞ ) : 𝐷 % 100 𝑒𝑥𝑝
o le temps de réponse à 5% 𝑡 % : 𝑡 % 𝐿𝑛 100⁄5 : correspond à l’instant où la
A. ACHOUR de 𝐼 𝑡 entre dans le couloir 95%,
courbe Circuits105%
électriques sans le quitter après (slide 12). 13
Réponse d’un circuit à une tension rectangulaire
Rapport cyclique
𝑻𝟏 ⁄𝑻 𝟐𝟓% 𝒆 𝒕 RC 𝒔 𝒕
𝑅 50Ω
𝐶 1µ𝐹
10V

𝒔 𝒕 𝝉 𝑅𝐶 𝟎, 𝟎𝟓 𝒎𝒔

5V

0V

-5V
𝒖𝑹 𝒕
Fig. 4.8

𝑻𝟏 𝑡𝑟 % 𝟑𝑹𝑪 (1) 𝑻 𝑻 𝟑𝑹𝑪 (2)


-10V
0s 0.4ms 0.8ms 1.2ms 1.6ms 2.0ms 2.4ms 2.8ms 3.2ms 3.6ms 4.0ms
V(OUT) V(IN)- V(OUT)

On ne peut appliquer un front (descendant ou ascendant) Time en entrée qu’en régime permanent de l’événement qui le précède.
D’où les conditions sur 𝑻𝟏 (1) et sur la période 𝑻 (2).
Ceci nous amène à choisir des valeurs pour 𝑹 et pour 𝑪 cohérentes avec celles de 𝑻𝟏 et de 𝑻.
A. ACHOUR Exercice : justifier, par calcul, les allures des tensions 𝒔 𝒕 (aux bornes de 𝑪) et 𝒖𝑹 𝒕 (aux bornes de 𝑹).
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