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1
Analyse des circuits
électriques
Régimes transitoires
des circuits linéaires
1er et 2ème ordre
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I- Généralités.
1. Définitions.
❑ Un circuit électrique est dit linéaire lorsqu’il est formé par des éléments R, L
ou C de valeurs constantes (R= 100 Ω; L= 2 mH; C= 100 µF);
❑ Dans un circuit électrique linéaire, l’évolution de toute grandeur électrique
(intensité, tension, charge d’un condensateur . . . . ) est décrite par une
équation différentielle linéaire à coefficients constants de la forme:
𝒅𝒏 𝒙 𝒅𝒏−𝟏 𝒙 𝒅𝒙
𝒂𝒏 𝒏 + 𝒂𝒏−𝟏 𝒏−𝟏 +. . . . . +𝒂𝟏 + 𝒂𝟎 𝒙 = 𝒇(𝒕)ቇ
𝒅𝒕 𝒅𝒕 𝒅𝒕
Où l’ordre n de l’équation différentielle définit l’ordre du circuit.
Nous étudierons dans la suite du cours les circuits d’ordre 1 et d’ordre 2.
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I- Généralités.
1. Définitions (suite).
❑ Réponse libre ou régime libre d’un circuit linéaire est l’évolution des
grandeurs de celui-ci en l’absence de tout Générateur en entrée.
❑ Le régime du circuit est dit continu (ou stationnaire) lorsque toutes les
grandeurs électriques du circuit (intensités, tensions) sont constantes
en fonction du temps.
❑ Entre le moment où toutes les sources sont éteintes et celui où le
régime continu est établi, on a un régime transitoire.
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Analyse des circuits électriques linéaires
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Importance du régime transitoire dans
les circuits électriques linéaires
𝑑𝒖
𝑅𝐶. + 𝒖 = 𝑒(𝑡)
𝑑𝑡
𝑑 2 𝒖 𝑅 𝑑𝒖 1 𝐸
+ . + 𝒖 =
𝑑𝑡 2 𝐿 𝑑𝑡 𝐿𝐶 𝐿𝐶
On montre, en mathématiques, que la solution générale d’une telle équation se met toujours
sous la forme : u(t) = uG + uP
Régime libre Régime forcé imposé
(Transitoire) par la source 7
Propriétés fondamentales
d’un condensateur
Equation fondamentale
En régime quelconque.
La tension et la charge aux bornes d’un condensateur ne peuvent pas subir de
discontinuité: u(t0+) = u(t0-) & q(t0+) = q(t0-) , quel que soit t0. Le condensateur
s’oppose aux variations de la tension à ses bornes d’autant plus que sa capacité est
de valeur grande. 8
Propriétés fondamentales
d’une bobine
Equation fondamentale
e(t)
E0
𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑡 < 0: 𝑒(𝑡) = 0
ቊ
𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑡 ≥ 0: 𝑒(𝑡) = 𝐸0
t(s)
0
Une telle tension provoque dans un circuit l’apparition d’un régime transitoire puis
d’un régime permanent continu. Cette évolution du circuit porte le nom de réponse à
un échelon de tension ou réponse indicielle.
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Régime libre d’un circuit RC
❑ En régime continu (régime établi) Le condensateur est chargé sous la tension
E. Le condensateur se comporte comme un interrupteur ouvert U = E et I = 0
(E/R dans la résistance) Figure(1).
𝒅𝒖 𝑬 −( 𝒕 ቁ 𝑬 −( 𝒕 ቁ i(t)
𝒊 = −𝑪. = 𝑪. . 𝒆 𝝉 = . 𝒆 𝝉 i
𝒅𝒕 𝝉 𝑹 E/R u
Le condensateur assure la continuité de
la tension à ses bornes mais pas celle de
t(s)
l’intensité du courant.
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τ
Régime libre du circuit RC
−𝑡Τ𝜏
𝐸 −𝑡Τ𝜏
𝐸2 −2𝑡Τ𝜏
𝑤= 𝑃𝑑𝑡 = ඳ𝑢. 𝑖𝑑𝑡 = 𝐸. 𝑒 . .𝑒 𝑑𝑡 = . න𝑒 𝑑𝑡
𝑅 𝑅
∞
𝐸 2 𝑒 −2𝑡Τ𝜏 𝐸 2 . 𝜏 𝐶𝐸 2
𝑤= . = =
𝑅 − 2Τ𝜏 0
2𝑅 2
𝟏
𝒘(𝒋𝒐𝒖𝒍𝐞) = . 𝑪𝑬𝟐 : Energie emmagasinée dans le condensateur.
𝟐
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Charge d’un condensateur
1. Equation différentielle équivalente.
𝒒 𝒅𝒒 𝑑𝑞 1 𝑒
La loi des mailles s’écrit : −𝒆 + 𝑹 ⋅ 𝒊 + = 𝟎 & 𝒊= =⇒ + ⋅𝑞 =
𝑪 𝒅𝒕 𝑑𝑡 𝑅𝐶 𝑅
𝒅𝒒 𝟏 𝑬𝟎
Pour t ≥ 0, l’équation différentielle s’écrit : + ⋅𝒒=
𝒅𝒕 𝑹𝑪 𝑹
La solution équivalente correspond à une solution générale de l’équation homogène sans
second membre et une solution particulière. q = qG + qp
𝒕
−𝝉
𝒒 𝒕 =𝑨⋅𝒆 + 𝑪𝑬𝟎 𝒂𝒗𝒆𝒄 𝝉 = 𝑹𝑪: constante de charge en secondes.
Pour déterminer la valeur de la constante A, on exploite la valeur initiale.
𝑞 𝑡 = 0+ = 𝑞 𝑡 = 0− = 0 ⇒ 𝐴 + 𝐶𝐸0 = 0 ⇒ 𝐴 = −𝐶𝐸0
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Charge d’un condensateur
2. Allures des grandeurs électriques.
𝑞(𝑡) −𝑡Τ𝜏
𝑞(𝑡) = 𝐶𝐸0 ⋅ (1 − 𝑒 −𝑡Τ𝜏 ൯ 𝑢(𝑡) = = 𝐸0 ⋅ (1 − 𝑒 )ቇ
𝐶
𝒅𝒒(𝒕) 𝑬𝟎 −𝒕Τ𝝉
𝒊(𝒕) = = ⋅𝒆
𝒅𝒕 𝑹
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Charge et décharge d’un
condensateur
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Régime libre du circuit RL
La pente à l’origine vaut: i(t)
E/R
𝑑𝑖 −𝐸 −𝐸
= =
𝑑𝑡 𝑡=0
𝜏. 𝑅 𝐿
-E 18
Régime libre du circuit RL
∞
𝐸2 𝑒 −2𝑡Τ𝜏 𝐸2. 𝜏 1 𝐸2 𝟏
𝑤(𝑗𝑜𝑢𝑙𝑒𝑠) = . = = . 𝐿. 2 = . 𝑳. 𝑰𝟐𝑴𝑨𝑿
𝑅 −2 2𝑅 2 𝑅 𝟐
𝜏 0
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Réponse d’un circuit RL
à un échelon de tension
1. Equation différentielle équivalente.
𝒅𝒊 𝐑 𝒆
La loi des mailles s’écrit : −𝒆 + 𝑹 ⋅ 𝒊 + 𝑳 𝒅𝒊 = 𝟎 + ⋅𝒊=𝑳
𝒅𝒕 𝒅𝒕 𝑳
𝒅𝒊 𝐑 𝑬𝟎
Pour t ≥ 0, l’équation différentielle s’écrit : + ⋅ 𝒊 =
𝒅𝒕 𝑳 𝑳
La solution équivalente correspond à une solution générale de l’équation homogène sans
second membre et une solution particulière. i = iG + ip
−𝒕 𝑬𝟎 𝑳
𝒊(𝒕) = 𝑨 ⋅ 𝒆 𝝉 + 𝒂𝒗𝒆𝒄 𝝉 = 𝑹 : constante de charge en secondes.
𝑹
Pour déterminer la valeur de la constante A, on exploite la valeur initiale.
𝐸0 𝐸0
i 𝑡 = 0+ = i 𝑡 = 0− = 0 ⇒ 𝐴 + =0⇒𝐴=−
𝑅 𝑅 20
Réponse d’un circuit RL
à un échelon de tension
2. Allures des grandeurs électriques.
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Réponse d’un circuit RL
à un échelon de tension
1- Equation différentielle .
𝒅𝒊
𝒖 = 𝑹. 𝒊 + 𝑳 (1)
𝒅𝒕
𝑑𝑞
𝑖=−
𝑑𝑡 donne les relations suivantes:
𝑞
𝑢=
𝐶
𝑞 𝑑𝑞 𝑑2𝑞 𝒅𝟐 𝒒 𝑹 𝒅𝒒 𝟏
𝟏 devient alors = −𝑅 − 𝐿 2 et + + 𝒒 = 𝟎 (𝟐)
𝐶 𝑑𝑡 𝑑𝑡 𝒅𝒕𝟐 𝑳 𝒅𝒕 𝑳𝑪
𝒅𝟐 𝒖 𝑹 𝒅𝒖 𝟏
Avec 𝑞 = 𝐶. 𝑢 2 donne =⇒ + + 𝒖 =𝟎
𝒅𝒕𝟐 𝑳 𝒅𝒕 𝑳𝑪
𝒒 𝒅𝒒
En dérivant 1 et en utilisant 𝒖 = et 𝒊 = − , on obtient ∶
𝑪 𝒅𝒕
𝒅𝟐 𝒊 𝑹 𝒅𝒊 𝟏
+ + 𝒊 =𝟎
𝒅𝒕𝟐 𝑳 𝒅𝒕 𝑳𝑪 23
Régime libre du circuit RLC série
𝒅𝟐 𝒖 𝒅𝒖
𝟐
+ 𝟐𝒎𝒘𝟎 + 𝒘𝟐𝟎 . 𝒖 = 𝟎
𝒅𝒕 𝒅𝒕
𝑹
𝟐𝐦𝒘𝟎 =
𝑳 𝒎 ∶ 𝑐𝑜𝑒𝑓𝑓i𝑐𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑′𝑎𝑚𝑜𝑟𝑡𝑖𝑠𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡
𝟏
𝒘𝟐𝟎 = ൞ 𝒘𝟎 : 𝑝𝑢𝑙𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑐𝑖𝑟𝑐𝑢𝑖𝑡
𝑳𝑪 𝑸 ∶ 𝑓𝑎𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑞𝑢𝑎𝑙𝑖𝑡é 𝑜𝑢 𝑑𝑒 𝑠𝑢𝑟𝑡𝑒𝑛𝑠𝑖𝑜𝑛
𝟏
𝑸=
𝟐𝒎
𝑹 𝑹 𝑪 1 𝐿
𝒎= . 𝑳𝑪 = . et 𝑸= . dépendent directement des valeurs de R, L et C.
𝟐𝑳 𝟐 𝑳 𝑅 𝐶
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Régime libre du circuit RLC série
2- Régimes de fonctionnement du circuit.
𝛥 = 2𝑚𝑤0 2
− 4𝑤02 = 4𝑤02 . (𝑚2 − 1)
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Régime libre du circuit RLC série
2- Régimes de fonctionnement du circuit.
On pose : 𝜴 = 𝒘𝟎 . 𝟏 − 𝒎𝟐
Régime pseudo-
périodique 𝒖 𝒕 = 𝒆−𝒎𝒘𝟎 𝒕 . 𝑨. 𝐜𝐨𝐬𝜴𝒕 + 𝑩. 𝒔𝒊𝒏𝜴𝒕 = 𝑪. 𝒆−𝒎𝒘𝟎𝒕 . 𝐜𝐨𝐬(𝜴𝒕 + 𝝋)
Amplitude Um = 𝑪. 𝒆−𝒎𝒘𝟎𝒕 converge vers 0 quand t → ∞
m < 1 et Q >1/2 𝟐𝝅 𝟐𝝅 𝑻𝟎
La pseudopériode est définie par: 𝑻 = 𝜴 = =
𝒘𝟎 . 𝟏−𝒎𝟐 𝟏−𝒎𝟐
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Régime libre du circuit RLC série
3- Evolution de la tension u(t):
Régime apériodique Régime critique Régime pseudo-périodique
u(t) u(t)
E E u(t)
−𝒎𝒘𝟎 𝒕
𝑪. 𝒆
m >1
m=1
t t
Le temps de convergence vers −𝑪. 𝒆 −𝒎𝒘𝟎 𝒕
Le régime critique est le
le régime permanent dépend
régime le plus rapide qui
de la valeur du coefficient
tend vers le régime
d’amortissement m . Plus m
permanent.
est grand plus le temps de
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convergence est grand.
Régime libre du circuit RLC série
4- Etude énergétique du circuit:
En multipliant la relation (1) issue de la loi des mailles par i, on obtient :
𝑑𝑖
𝑢. 𝑖 = 𝑅. 𝑖 2 + 𝐿. .𝑖
𝑑𝑡
𝑑𝑞
Comme, 𝑖=− 𝑒𝑡 𝑞 = 𝐶. 𝑢, 𝑜𝑛 𝑎
𝑑𝑡
𝒅𝒖 𝟐
𝒅𝒊
−𝑪. 𝒖. = 𝑹. 𝒊 + 𝑳. . 𝒊
𝒅𝒕 𝒅𝒕
𝒅 𝟏 𝟏
( 𝑪. 𝒖 + . 𝑳. 𝒊𝟐 ) = −𝑹. 𝒊𝟐
𝟐
𝒅𝒕 𝟐 𝟐
L’énergie emmagasinée dans le condensateur et la bobine à un instant donné t,
𝟏 𝟏
W(t) = 𝑪. 𝒖 + . 𝑳. 𝒊𝟐 , diminue au cours du temps, elle est dissipée par effet Joule dans
𝟐
𝟐 𝟐
la résistance.
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Réponse indicielle d’un circuit RLC Série
(réponse à un échelon de tension)
on suppose le condensateur initialement déchargé :
q(t = 0−) = q(t = 0+) = q0 = 0.
On ferme l’interrupteur K à l’instant t = 0. la tension u(t) aux bornes du circuit (RLC) série
est un échelon de tension.
1. Equation différentielle:
𝑃𝑜𝑢𝑟 𝑡 ≥ 0 ∶ 𝑙𝑎 𝑙𝑜𝑖 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒 ∶
𝑑𝑖 1 𝒅𝒒
𝐸0 = 𝑅. 𝑖 + 𝐿 + . 𝑞 𝐿𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑎𝑛𝑡 𝒊 = 𝑐𝑜𝑛𝑣𝑒𝑛𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑟é𝑐𝑒𝑝𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑒𝑛𝑠𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟.
𝑑𝑡 𝐶 𝒅𝒕
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Réponse indicielle d’un circuit RLC Série
(réponse à un échelon de tension)
𝑑𝑖 1 𝑑𝑞 𝑑2 𝑞 1
𝐸0 = 𝑅. 𝑖 + 𝐿 𝑑𝑡 + 𝐶 . 𝑞 ➔ 𝐸= 𝑅. 𝑑𝑡 + 𝐿 𝑑𝑡 2 + 𝐶.𝑞
𝒅𝟐 𝒒 𝑹 𝒅𝒒 𝟏 𝑬𝟎
+ . + .𝒒 =
𝒅𝒕𝟐 𝑳 𝒅𝒕 𝑳𝑪 𝑳
𝑳
𝑹𝑪 = 𝟐 ⋅ RC est appelée valeur critique de la résistance.
𝑪
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Réponse indicielle d’un circuit RLC Série
(réponse à un échelon de tension)
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Réponse indicielle d’un circuit RLC Série
(réponse à un échelon de tension)
3. Détermination des constantes :
𝒒(𝒕) = 𝑪. 𝑬 + 𝑨. 𝒆−𝒎𝒘𝟎𝒕 . 𝐜𝐨𝐬(𝜴𝒕 + 𝝋)
𝑞 𝑡 = 0 = 𝟎 = 𝑪. 𝑬 + 𝑨. 𝐜𝐨𝐬𝝋 (𝑰)
𝑑𝑞 −𝑚𝑤0 𝑡
𝑖(𝑡) = = −𝐴𝑒 . (𝑚𝑤0 . cos 𝛺𝑡 + 𝜑 + 𝛺. sin 𝛺𝑡 + 𝜑 ൱
𝑑𝑡
𝑖(𝑡 = 0) = 0 ==> 𝒎𝒘𝟎 . 𝐜𝐨𝐬𝝋 + 𝜴. 𝐬𝐢𝐧𝝋 = 𝟎 (II)
𝒎𝒘𝟎 𝑪𝑬
D’après (II): 𝐭𝐚𝐧(𝝋) = − Et d’après (I): 𝑨=−
𝜴 𝐜𝐨𝐬𝝋
1 1
Comme 1 + tan2 𝑥 = 2
⇒ = ± 1 + tan2 𝑥
cos 𝑥 cos𝑥
𝒎𝒘𝟎 𝟐
𝑨 = 𝑪. 𝑬. 𝟏 +
𝜴𝟐 33
Réponse indicielle d’un circuit RLC Série
(réponse à un échelon de tension)
𝟐𝝅 𝟐𝝅
𝜴 = 𝒘 𝟎 . 𝟏 − 𝒎𝟐 ≃ 𝒘 𝟎 ; 𝑻= 𝜴
= 𝒘 = 𝑻𝟎 ; 𝑨 = 𝑪. 𝑬 𝑒𝑡 𝜑=0
𝟎
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Réponse indicielle d’un circuit RLC Série
(réponse à un échelon de tension)
4. Représentation
graphique.
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Réponse indicielle d’un circuit RLC Série
(réponse à un échelon de tension)
5. Représentation graphique.
Si on remplace la tension continue E par un générateur de tension carrée on obtient le schéma
suivant pour un régime pseudo-périodique:
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Réponse indicielle d’un circuit 2ème ordre
−𝝅⋅𝒎
𝟏−𝒎𝟐
Dépassement : 𝑫% = 𝟏𝟎𝟎 ⋅ 𝒆
𝟐𝝅
Pseudo-période TP : 𝑻𝑷 =
𝒘𝟎 ⋅ 𝟏 − 𝒎𝟐
𝝅
Temps de pic : 𝒕𝑷𝒊𝒄 =
𝒘𝟎 ⋅ 𝟏 − 𝒎𝟐
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