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Audit Operationnel CCA 2013
Audit Operationnel CCA 2013
OPERATIONNELS
SAWADOGO Timothée
PROGRAMME DE LA FORMATION
DEFINITION
Missions d’assurance
Missions de conseil
Attributions
Typologie d’audit
Audit de régularité
Audit de management
Audit stratégique
1. Normes de qualification
2. Normes de fonctionnement
Déontologie
· Intégrité
· Objectivité
· Confidentialité
· Compétence
SAWADOGO Timothée Auditeur
20 Controleur de Gestion
Code de déontologie
Principes fondamentaux
· Intégrité :
– L’intégrité des auditeurs internes est à la base de la
confiance et de la crédibilité accordées à leur
jugement.
· Objectivité :
– Les auditeurs internes montrent le plus haut degré
d’objectivité professionnelle en collectant, évaluant et
communiquant les informations relatives à l’activité ou
au processus examiné. Les auditeurs internes évaluent
de manière équitable tous les éléments pertinents et
ne se laissent pas influencer dans leur jugement par
leurs propresSAWADOGO
intérêtsTimothée
ou par autrui.
Auditeur
21 Controleur de Gestion
Code de déontologie
Principes fondamentaux
· Confidentialité :
– Les auditeurs internes respectent la valeur et la
propriété des informations qu’ils reçoivent ; ils ne
divulguent ces informations qu’avec les autorisations
requises, à moins qu’une obligation légale ou
professionnelle ne les oblige à le faire.
· Compétence :
– Les auditeurs internes utilisent et appliquent les
connaissances, les savoir-faire et expériences requis
pour la réalisation de leurs travaux.
SAWADOGO Timothée Auditeur
22 Controleur de Gestion
Code de déontologie
Règles de conduite
1. Intégrité : Les auditeurs internes :
– 1.1. Doivent accomplir leur mission avec honnêteté,
diligence et responsabilité.
– 1.2. Doivent respecter la loi et faire les révélations
requises par les lois et les règles de la profession.
Moyens
de l’audit interne
La charte d’audit
le manuel d’audit interne
La cartographie des risques
le plan d’audit
le manuel de procédures
Audits Opérationnels
CRITERES
– GESTION RATIONNELLE DES MOYENS
– CONFORME AUX POLITIQUES ET PROCEDURES
DE LA DIRECTION
– PROTECTION DE L ’INTEGRITE DES BIENS ET DES
RESSOURCES
– PROTECTION CONTRE LES ERREURS.
Audits Opérationnels
Prise en compte de
l’environnement de contrôle
ATTITUDE DE LA DIRECTION
QUALITE DE LA GESTION
SEPARATION DES FONCTIONS
COMPOSANTES
QUALITE DES HOMMES
QUALITE DES SYSTEMES DE GESTION
QUALITE DE LA GESTION DES HOMMES
APPRECIATION
PARTIE AMONT DES PROCEDURES
RESULTATS DE GESTION
COMPTES RENDUS DES COMITES DE
DIRECTION
SAWADOGO Timothée Auditeur
39 Controleur de Gestion
SEPARATION DES FONCTIONS
Idées de base
Tout individu peut commettre des erreurs ou être
soumis à des tentations d ’indélicatesse
Le contrôle réciproque des tâches permet de
déceler ces erreurs et dissuade les fraudeurs
potentiels
Le contrôle réciproque des tâches ne peut exister
sans une séparation adéquate des fonctions.
Contrôles hiérarchiques
certains contrôles budgétaires
Audits Opérationnels
Analyse-diagnostic détaillé
Le style de management
Modalités de la communication interne
(formelle/informelle, moyens consacrés et nature)
Qualité de la communication interne
Modalités d’intéressement du personnel
Turn-over du personnel.
La formation du personnel
La rémunération
L’esprit d’équipe
Qualité du dialogue staff-encadrement
Rôle et qualité de l’encadrement.
Objectif :
Objectif :
Objectif :
L’analyse d’un système d’information a pour objet de
faire la synthèse des caractéristiques de ce système et
d’évaluer sa contribution (et son défaut de contribution) à
la performance de l’entreprise.
Objectif :
Identifier les caractéristiques fonctionnelles et
techniques
S’assurer qu’elle correspond aux besoins des
utilisateurs et contribue au bon fonctionnement de
l’entreprise
Audits Opérationnels
Facteurs de risque
Elle
Elleconsiste
consisteààne
neconstater
constaterréellement
réellementlala
charge
chargeque
quelorsqu’une
lorsqu’unebouteille
bouteilleest
estvendue
vendue
– Les stocks constituant un actif, leur valeur doit refléter une réalité
économique
2 conséquences
Méthode
Méthodedu
duCMP
CMP
Méthode
Méthodedu
duFIFO
FIFO
Modalities devaluation
Les composantes (attention aux spécificités sectorielles)
Prix d’achat HT
- RRR Obtenus
+ Commissions et courtages sur achats
+ Frais de transport
+ Frais de transit
+ Assurances transport
+ Impôts indirects
+ Frais de manutention
+ Frais financiers (sous certaines conditions)
Les éléments exclusifs du coût d’acquisition :
– Composants :
Coût d’acquisition des matières consommées
Pertes et gaspillage
Existence
– Sens de l’assertion
soldes : les stocks figurant au bilan existent-ils réellement?
– Risque inhérent :
erreurs dans l’enregistrement des mouvements de stocks, non
comptabilisation des rebuts
– Exemples de contrôle du client
inventaires physiques
– Test de contrôle :
contrôle des procédures et de la prise d’inventaire
– Exemple de procédure de détail résiduelle :
contrôles des opérations diverses comptabilisées à la clôture
Exhaustivité
– Sens de l’assertion
soldes : toutes les références en stocks figurent-elles au bilan?
flux : comptabilisation de l’ensemble des consommations?
– Risque inhérent :
sous ou sur évaluation des stocks
– Exemples de contrôle du client
inventaires physiques
– Test de contrôle :
contrôle des inventaires
– Exemple de procédure de détail résiduelle :
revue des opérations diverses affectant les stocks à la clôture
Evaluation
– Sens de l’assertion
soldes : correct évaluation du coût d’acquisition ou du coût de production?
– Risque inhérent :
sous évaluation
– Exemple de contrôle du client : N/A
– Test de contrôle : N/A
– Exemple de procédure de détail résiduelle :
vérifications par sondage
en cas d’évaluation en standard, corroboration de la correction opérée avec
les comptes d’écart
quantification de l’incidence de la sous-absorption de frais fixes éventuelle
Droits et obligations
– Sens de l’assertion
soldes : propriété des sommes apparaissant au bilan
– Risque inhérent :
erreur, en particulier en cas d’inventaire physique
– Exemple de contrôle du client :
N/A
– test de contrôle :
N/A
– exemple de procédure de détail résiduelle :
vérification lors de la visite d’usine
Rattachement
– Sens de l’assertion
flux : réalité des consommations
– Risque inhérent :
erreur dans l’enregistrement des mouvements de stock
– Exemple de contrôle du client :
inventaires physiques
– Test de contrôle :
contrôle des rapprochements
– Exemple de procédure de détail résiduelle :
vérification de la variation des stocks de marchandises ou de
composants avec le compte de résultat
Mesure
– Sens de l’assertion
Flux : opérations enregistrées pour le bon montant, et sur la bonne
période ?
– Risque inhérent :
cut-off
– Exemple de contrôle du client :
inventaires physiques si effectués en fin d’année
– Test de contrôle :
contrôle des inventaires
– Exemple de procédure de détail résiduelle :
tests par sondage
Présentation et information en annexe
– Sens de l’assertion
classement comptable et information donnée sous le bon référentiel
– Risque inhérent :
N/A
– Exemple de contrôle du client : N/A
– Test de contrôle : N/A
– Exemple de procédure de détail résiduelle :
revue des principales zones de risque en fonction des caractéristiques
de l’entreprise
Les classiques de l'audit des stocks
Vérification du cut-off
Les classiques de l'audit des stocks (suite)
OBSERVER
Intervention de l’auditeur
1. AVANT LA PRISE D’INVENTAIRE
* Recommandation au client
* Planning et programmation
* Demande de confirmation des stocks détenus par des tiers
* Les feuilles de travail du réviseur
Inventaire physique (suite)
INTERVENTION DE L’AUDITEUR :
6.2.1. Questionnaire de contrôle de l’inventaire physique
2. PENDANT LA PRISE D’INVENTAIRE
* Compléter le cut-off.