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Décider dans un axe allant de la

certitude à l’incertitude
(programmée-non programmée)
• Les décisions ne sont pas toutes
prises par le gestionnaire avec la
même assurance car le contexte
dans lequel il se trouve au
moment de les prendre varie
continuellement l’amenant de la
certitude (programmée)à
l’incertitude (non programmée)
• Quand , devant une situation problématique, le
gestionnaire dispose de toute l’information requise
et que la décision à prendre s’impose d’elle-même,
nous disons qu’il est dans un contexte de certitude.
• On dit alors de la décision qu’il prend <<qu’elle est
programmée>>. Ce qualificatif s’applique toutes les fois
qu’en fonction des normes, des politiques, , des procédures
ou des règlements en vigueur dans l’organisation, la
décision à prendre est clairement établie. Une décision de
ce genre est souvent dite routinière et ne présente qu’une
faible niveau de risque, voire aucun risque. (ex: mesures
disciplinaires..selon les politiques etablies)
• Le gestionnaire peut aussi avoir à prendre des
décisions dans un contexte d’incertitude, alors
qu’il ne possède aucune information et que
les pistes quant aux solutions sont
inexistantes. Ces décisions sont dites non
programmées et présentent un niveau de
risque élevé. En de telles circonstances, le
gestionnaire doit faire preuve de créativité et
développer la procédure à suivre afin de
prendre la décision appropriée.
• Pour prendre une décision dans un contexte
d’incertitude un individu peu se fier:
– à son intuition (hasard-risqué-son sens)
– A son jugement ( un peu risqué, car un
problème qui a priori ressemble à une
situation déjà vécue peut être la résultante
de faits nouveaux qui doivent être analysés
dans le contexte qui leur a donné naissance.
Donc nos expériences passées et notre vécu
serviront alors à orienter notre
comportement, non pas notre décision)
• La rationalité (cette approche repose sur le
respect d’un processus logique). Le décideur
ne se laisse guider ni par des liens émotifs
(emotional attachments) ni par ses
sentiments, ni par son intuition. Cette
approche le force à s’inspirer de faits réels et
pertinents, à les analyser, à évaluer plusieurs
options, et à choisir celle qui est la plus
judicieuse compte tenu des circonstances)
• (modèle rationnel de resolution de problème)

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