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UFR SCIENCES DE L’INGENIEUR
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DEPARTEMENT GENIE CIVIL
L’organisation : un système
II
rationnel
Organisation : Système humain
III et informel
L’organisation : un
système ouvert IV
Organisation un
V
système
décisionnel
L’organisation un VI
système de L’excellence
VII
CONCLUSION
I. INTRODUCTION
La recherche de meilleures performances pour l’entreprise a conduit les praticiens à théoriser les
résultats de leurs recherches ou de leurs observations. Les premiers théoriciens se sont intéressés
exclusivement à l’entreprise puis à l’organisation de la production. Progressivement, leur champ de
réflexion s’est élargi à l’ensemble des organisations.
L’organisation est définie comme étant un système social organisé pour atteindre un certain type
d’objectif. Elle suppose un but formel, une division des tâches et une attribution des rôles, un système de
communication, un mécanisme de prise de décisions, un ensemble de règles d’évaluation de l’activité.
Plusieurs grands courants de pensée se dessinent, chacun privilégiant une approche particulière de
l’organisation. De l’école classique à l’école de la gestion par les systèmes, chaque mouvement se
développe en réaction à celui qui le précède en l’intégrant plus ou moins partiellement. De ce fait, les
différents mouvements forment un tout.
II. L’organisation : un système rationnel
l’entreprise n’est qu’un lieu de
production
les stratégies de
développement reposent le travail est
sur des calculs 3 organisé
d’optimisation rationnellement
les acteurs de
2 4 l’organisation sont
des exécutants sans
logique d’action
le profit et la rentabilité propre, sans
sont les objectifs pouvoir, sans état
essentiels de l’entreprise d’âme
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II. L’organisation : un système rationnel
r
La rationalité structurelle de Weber
La rationalité productive de Taylor
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1
La rationalité productive de Taylor
Pour l’ingénieur français Henri Fayol (1841-1925) toute organisation doit remplir différentes opérations
qui peuvent se regrouper en six grandes fonctions : technique (fabrication), commerciale (achats et ventes),
financière (financement), de sécurité (protection des personnes et des biens), comptable (établissement des
comptes), administrative (direction de l’entreprise) et il analyse plus particulièrement cette dernière, qu’il
considère comme la plus importante. Administrer pour Fayol, c’est cinq activités : prévoir, organiser,
commander, coordonner, contrôler. Fayol montre que la seule logique technique productive n’est pas
suffisante pour gérer correctement (administrer dans son vocabulaire), aussi il cherche à rationaliser la
direction administrative de l’entreprise en proposant quatorze principes d’administration, dont la division
du travail, l’unité de commandement, l’unité de direction, le lien entre responsabilité et autorité, etc.
La rationalité structurelle de Weber
La bureaucratie est la forme d’organisation la plus rationnelle, car elle n’est basée que sur la raison (la
compétence) sans tenir compte des relations personnelles. Les individus n’obéissent pas à la personne mais à des
règlements impersonnels. En conséquence, pour Max Weber, les règles d’utilisation des moyens de production
doivent être fixées sur la base de la rationalité et non pas de la propriété de ses moyens de production. Il définit
ainsi une structure d’organisation rationnelle, divisée en fonction d’une hiérarchie d’emplois claire, avec des
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procédures de travail très formalisées, et un système de contrôle très centralisé.
III.Organisation : Système humain et informel
Ce mouvement va se développer principalement à la fin des années 30. Partant d'une critique
radicale du système Taylorien qui réduit l'homme au niveau de la machine, l'idée émerge que, bien
au contraire, c'est en privilégiant l'homme que la productivité du travail sera augmentée.
L'initiateur de ce mouvement est Elton MAYO (1880-1949) qui a travaillé essentiellement sur des
thèmes tels que les relations entre la productivité et le moral des employés, les rapports humains à
l'intérieur de groupes, et entre les groupes eux-mêmes.
La théorie des besoins et des motivations
A . M A S L O W ( 1 9 0 8 - 1 9 7 0 ) A P R O P O S É U N E F O RT C É L È B R E C L A S S I F I C AT I O N P Y R A M I D A L E
DES BESOINS
Douglas MAC GREGOR (1906-1964)14 : Théorie X contre théorie Y
Mac Gregor propose donc une théorie du management (Théorie Y) qui repose sur les postulats suivants :
Il n'existe qu'une aversion pour le travail ennuyeux : Donner un travail intéressant à quelqu'un et il en retrouve
immédiatement le goût.
_ Il faut limiter les sanctions et promouvoir les récompenses : L'homme recherche la satisfaction d'objectifs sociaux
égoïstes. Si l'exercice de responsabilités satisfait ces objectifs sociaux (reconnaissance, pouvoir, argent ...) il
recherchera les responsabilités et ne les rejettera pas.
_ Ainsi mis en confiance, de nombreux individus peuvent faire preuve de créativité et il est prouvé que l'on n’utilise
que très imparfaitement les capacités d'intelligence et d'imagination des salariés d'une entreprise.
Frederick HERZBERG (1923-2000)
Psychologue de formation, F. Herzberg réalisa entre les années 50 et 70 de nombreuses études, réalisées sur
le terrain, afin de déterminer avec précision quelles sont les motivations de l'homme et quelles conditions
faut-il réunir pour que l'homme s'épanouisse dans son travail.
Ses travaux l'ont conduit à une découverte importante en matière de psychologie du travail :
Les circonstances qui conduisent à la satisfaction du travail sont différentes de celles qui conduisent à une
insatisfaction.
IV. L’organisation : un système ouvert
L’entreprise est un système ouvert c’est-à-dire en relation permanente avec son environnement, traversé par
des flux (informations, biens capitaux.) sur lesquels il exerce une transformation pour créer d’autres
éléments.
En d’autres termes le système réagit automatiquement aux données (entrées) qui lui sont fournies par son
environnement et donne des résultats (sorties) en principe conformes à son but.
L’organisation est un système par ce que tout élément qui le constitue, qu’il soit humain ou non, a une
influence directe sur l’ensemble. Elle se prête donc à l’analyse systémique.
IV. L’ORGANISATION : UN SYSTÈME OUVERT
DÉFINITION
L’entreprise est un système ouvert c’est-à-dire en relation
permanente avec son environnement, traversé par des flux
(informations, biens capitaux..) sur lesquels il exerce une
transformation pour créer d’autres éléments.
LA THÉORIE SYSTÉMIQUE
BERTALANFFY
Taille
trouver le bon modèle de
Age
gestion, valable en toutes
Stratégie
circonstances
Environnement
LE COURANT
CULTURALISTE STEWARD
La structure
Poursuivant le raisonnement
de la théorie de la
contingence, cette théorie va
adopter une approche de
solutions discrètes fondée sur
des ajustements-types en
ensembles organisationnels
cohérents.
LA THÉORIE DU CONTRÔLE
EXTERNE PREFFER ET
SALANCIK
• L’organisation est alors un réseau de pouvoir, de négociation permanentes en relation avec l’échange de conduite
Herbert SIMON 12 (1916-2001)
02 L'élimination de l'incertitude
03 La recherche de la problématique
04 L’apprentissage
Théorie actionniste
Le problème des organisations, pour Barnard, est de constituer un système, c'est-à-dire de réaliser l'intégration de ses
membres, et de parvenir à la meilleure adaptation possible à l'environnement. Pour ce faire, il convient, en particulier,
de concilier, dans la mesure du possible, efficacité et efficience de l'action.
March et Simon, de leur côté, apparaissent encore plus nettement comme des élèves de Barnard : ils insistent sur le
fait que les acteurs, individus et organisations, contrairement à ce qu'affirment l'économie et la théorie rationaliste
classique de la décision, ne choisissent pas, dans une situation donnée, la solution optimale, mais seulement une
solution satisfaisante, c'est-à-dire qui soit telle que les dépenses nécessaires à la mise en œuvre des moyens qu'elle
recommande pour atteindre le but soient inférieures aux recettes que celui-ci permet d'obtenir.
VI. L’organisation un système de L’excellence
Ecole Néo-classique:
• A.P Sloan : la direction s'occupe des objectifs de politique générale et délègue des pouvoirs
afin de motiver, impliquer, responsabiliser les salariés.
• P.F Drucker : DPO ( direction par objectif ) dimension confiance des salarié, les objectifs sont
décentralisés et remplacent les « tâches à effectuer »
• O.Gélinier : DPPO ( direction participative par objectif ) organise une négociation des
objectifs et moyens entre dirigeants et salariés
• S.Shingo : Contrôle permanent qui évite le contrôle final.
• S.Shingo : Contrôle permanent qui évite le contrôle final.
• W.Ouchi : théorie Z : X ( production OST) + Y ( être humain) = Z ( globalisation suit MC
Gregor)
SHINGO pense que l'avenir va vers des systèmes productifs extrêmement flexibles,
capable de s'adapter aux changements de goût, à de nouvelles technologies etc ...
2 4
Recherchant toujours
l'augmentation des
Grandes sériestext here cadences
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VII. Conclusion
L'image actuelle que donne la théorie des organisations, après plus d'un siècle de
développement, est moins celle d'une discipline parvenue à une phase “ normale ”, qui bâtit ses
programmes sur la base d'un cadre théorique fortement institutionnalisé, que celle d'une
discipline en phase de “ révolution ” où s'affrontent une pluralité de cadres d'interprétation.
L'orthodoxie dominante qu'ont nourrie les cadres d'interprétation rationnel, organique et
économique, est désormais contestée par des courants critique, post-moderniste, institutionnel,
interactionniste, qui expriment d'autres points de vue.
Webographie :
https://creg.ac-versailles.fr/theories-des-organisations
https://blogadmissibles.imt-bs.eu/hubfs/Chapitre-0.pdf
https://fsjescours.com/file/resume-des-theorie-des-organisation-s1-pdf/
http://theses.univ-lyon2.fr/documents/getpart.php?id=lyon2.2003.faisant_jp&part=76019
www.deboecksuperieur.com
fr.wikipedia.org
www.eyrolles.com
http://www.ledicodumarketing.fr/definitions/theorie-de-la-contingence.html
unt.univ-cotedazur.fr
www.etudier.com
creg.ac-versailles.fr
https://controle2gestion.net/ecole-contingence/
www.ipeut.com