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LES EFFETS DE

LA CRISE
I- Les conséquences sur
l’organisation
1- Déstabilisation, sidération, tétanisation
I- Les conséquences sur l’organisation
2- La tentation du déni
I- Les conséquences sur l’organisation
3- L’obligation d’une réaction rapide
I- Les conséquences sur l’organisation
4- Le dévoilement des pratiques internes
I- Les conséquences sur l’organisation

5- La « dévalorisation » du management
I- Les conséquences sur l’organisation
6- La remise en cause de la mission de
l’entreprise dans la société
II- Les conséquences sur
l’image de l’entreprise

1- L’image institutionnelle, un capital


précieux

2- Les marques de produits,


un capital affectif
LE DEROULEMENT
DES CRISES
I- La phase préliminaire

- C’est celle où les premiers signaux d’alerte


peuvent apparaître

- Une information anodine, par le simple effet de


répétition peut se transformer en crise

- Tout suppose une remise en cause permanente


et la capacité de questionner toutes les
activités de l’entreprise
I- La phase préliminaire
II- La phase aiguë
II- La phase aiguë
- L’événement survient et la crise éclate
- La montée en intensité est souvent très rapide
dans certains cas comme :
* d’un accident technologique
* d’un rappel de produit
* de la sortie d’un rapport ou d’un livre
accusateur
- Elle peut être régulière dans l’accroissement de
l’intensité selon la teneur des informations
progressivement diffusées
III- La phase chronique
III- La phase chronique
- La crise a atteint son apogée et
progressivement sa représentation médiatique
se réduit
- Un impératif de renouvellement médiatique
s’impose
- Un événement d’intensité supérieure a pour
effet immédiat de réduire toute crise de rang
inférieur
- L’actualité définit la durée de cette phase 

Plus l’actualité est chargée, moins l’importance


médiatique de la crise est grande
IV- La phase de cicatrisation
IV- La phase de cicatrisation
- La crise a disparu et les médias font plus écho
- Cette étape est souvent négligée par les
entreprises
- Une crise ne disparaît jamais pour 3 raisons :
* soit en raison d’effets matériels qui restent
perceptibles
* soit en raison des dates anniversaires et
des bilans qui les accompagnent
* soit en raison d’événements comparables
ultérieures

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