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Daoud Anas
Daoud Souhayl
Saidi Salah-eddine
2022/2024
INSTITUT DES TECHNICIENS
SPECIALISES BEN KHLIL-KHNEFRA
DEFINITION DES
THEORIES DE
MOTIVATION
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Iheb Bougmiza La motivation et la mobilisation 3
des RH
Objectifs
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Introduction
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Qu’est ce que la
motivation ?
La motivation n’est pas un trait de personnalité
La motivation n’est pas une donnée.
Elle résulte des interactions entre l’individu et la
situation à laquelle il est confronté
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Les théories de la motivation
Les théories classiques Les approches
contemporaines
La théorie de MASLOW
• La théorie des attentes
La théorie des deux
facteurs d’HERZBERG de VROOM
La théorie de McGregor
• La théorie de l’équité
Approche Taylorienne
Théorie de Mayo
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La théorie de Maslow (1908-1970)
Réalisation
de soi
D’estime
Désir d’avoir une vie bien
Sociaux Désir de réussite et de remplie et d’exploiter son propre
Désir reconnaissance potentiel
Sécurité d’affiliation et
Physiologiques Désir de sécurité
d’approbation
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Quelques règles pour Maslow..
Hiérarchie des besoins
Le comportement d’un individu est guidé par ses besoins
Pour motiver quelqu’un, il faut d’abord comprendre à quel
niveau de la hiérarchie cette personne se situe, puis
s’attacher à satisfaire les besoins correspondants à ce
niveau, ou ceux du niveau immédiatement supérieur
(passage de travail CDD en CDI)
Chaque personne est concentrée sur un type de besoin
que le gestionnaire doit apprendre à reconnaître.
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Théorie bifactorielle de Herzberg
1. Facteurs d'hygiène (liés à l'environnement de travail)
— procurent de l'insatisfaction si non comblés donc limitent la motivation.
Comblés, ils sont neutres
— ont plus d’importance pour les plus bas échelons
ex.: salaire, avantages sociaux, sécurité d’emploi, etc.
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Quelques règles de la théorie
bifactorielle de Herzberg
La satisfaction et l’insatisfaction professionnelle
seraient respectivement liées à des facteurs
intrinsèques (facteurs moteurs) et extrinsèques
(facteur d’hygiène).
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Théorie X et Y de McGregor
(1906-1964) (1)
2 visions distinctes de la nature humaine +++
Nature humaine négative (Théorie X) :
— Les besoins physiologiques et de sécurité dominent
— l’homme n’aime pas travailler, n’est pas ambitieux et
rejette les responsabilités.
— Selon cette vision, les dirigeants, sous entendent que l’homme doit être dirigé,
contrôlé. (direction autoritaire)
Nature humaine positive (Théorie Y) :
— l’individu est d’abord sensible aux besoins d’appartenance et d’estime.
— l’homme est motivé par son travail qui est source de satisfaction.
— Il accepte les responsabilités et sait faire preuve de créativité, d’initiative.
(management basé sur la confiance)
.
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Théorie X et Y de McGregor (2)
THEORIE X THEORIE Y
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Limites des théories X et Y
Un même gestionnaire peut avoir des comportements
X ou Y selon les situations.
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MAYO (1880-1949)
Un bon moral a pour effet d’augmenter la productivité
Le moral dépend aussi de la manière dont le leadership est exercé
L’individu aspire à être reconnu
Les plaintes sont le symptôme de difficultés plus profondes
L’expérimentation « Hawthorne »
— En améliorant les conditions de travail (éclairage, rythmes,...), la
productivité augmente
— On observe également des gains de productivité lorsque les conditions
de travail sont élaborées avec les employés eux-mêmes en petites
équipes
Les conclusions de MAYO étaient que les conditions matérielles jouaient un
rôle secondaire par rapport aux motivations suscitées par la liberté
psychologique, la considération et le sentiment d’appartenance à un groupe.
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Les approches contemporaines
• La théorie de l’équité
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La théorie de l’équité (Stacey
Adams)
Elle soutient que les individus évaluent subjectivement
ce qu’ils retirent de leur travail (rétribution) par rapport
à ce qu’ils y investissent (contribution)
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Théorie des attentes (1)
La motivation est un processus dans lequel le travailleur fait un choix entre des
alternatives d’activités volontaires. l’individu agit dans l’attente d’un intérêt donné
Il n’y a pas de motivation en soi, il n’y a que des motivations qui s’incarnent
dans des projets : il y a autant de motivations que de situations de travail
A B C
Effort Performance Rétributions Objectifs
individue individuelle de individuels
l l’entreprise
Motivation M=A x B x C
A: Attente: lien Effort-performance
B B: Instrumentalité: Performance-rétribution
C C : Valence: Intérêt
Iheb Bougmiza La motivation et la mobilisation 19
des RH
Théorie des attentes (2)
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Pour motiver ses employés (1)
Tenir compte des differences individuelles
Habiliter les employés et leur adapter l’emploi
Formation continue
Témoignages d’appréciation
Fixer et miser sur les objectifs
— Il faut s’assurer que les employés se concentrent sur
des objectifs spécifiques, réalisables et ambitieux et
puissent mesurer leur degré d’accomplissement
— Il serait souhaitable de les faire participer à la
définition des objectifs
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Pour motiver ses employés (2)
Individualiser les rétributions (salaire, avancement,
autonomie…)
Rétributions immédiates
Subordonner les rétributions aux performances (liées
aux performances pour contrôler l’équité du système)
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Pour motiver ses employés (3)
Pour les salaires faibles, l’équation motivationnelle ne passe
pas par une augmentation des salaires qui ne peut être
spectaculaire.
On constate que les entreprises performantes où les
rémunérations sont faibles sont celles qui offrent aux
employés une plus grande autonomie.
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Se motiver et motiver ses salariés
Les messages contraignants
— « Dépêchez-vous » de faire votre travail au point de vous agiter
— « Faites plaisir aux clients » et ne vous préoccupez-vous de vos objectifs
— « Faites des efforts » même si la méthode est mauvaise
— « Soyez « fort » en toute circonstance et ne montrez pas vos sentiments
— « Soyez « meilleur » quitte à devenir perfectionniste
— « Soyez conforme » et respectez les ordres sans discuter
D’après les études d’analyse transactionnelle : travaux de Taîbi KAHLER et Meyer, IFRAH, « La motivation et ses nouveaux outils » de J
D CHIFFRE et J TEBOUL,, Editions ESF
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Conclusion
Les théories classiques qui expliquent la motivation au travail
sont plus appropriées lorsqu’on cherche à agir sur un grand
nombre de travailleurs.
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