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Trois scenario:
1. Ap/Cp > Aa/Ca
2. Ap/Cp = Aa/Ca
3. Ap/Cp < Aa/Ca.
1.2.3. Les théories de la justice et de l'équité
• Ap/Cp > Aa/Ca : situation d’iniquité (sur équité). Si l’individu juge que
son ratio est plus avantageux que celui des autres, on dit qu’il est « sur
payé». Cela peut faire naître des sentiments d’inquiétude et d’insécurité
chez l’individu.
• Ap/Cp = Aa/Ca : situation d’équité. L’individu estime que le traitement
qui lui est réservé est comparativement équitable par rapport à celui qui
est réservé aux autres. Les rétributions qu’il obtient sont jugées justes par
rapport aux contributions qu’il apporte.
1.2.3. Les théories de la justice et de l'équité
W. MIN
REGLES
STRICTES
PASSIVITE
FUITE DE
RESPONSABILITE
3.2. THEORIE Y
Quatre hypothèses :
1. La dépense physique est aussi naturelle que le
jeu ou le repos pour l’homme;
2. L’individu moyen apprend dans les conditions
voulues non seulement à accepter mais à
rechercher les responsabilités;
3.2. THEORIE Y
3. Le fait d’éviter les responsabilités, le manque d’ambition,
l’importance conférée à la sécurité ne sont pas innés à l’homme,
mais plutôt une conséquence de son expérience,
sinon l’homme préfère toujours exercer son imagination et créer;
4. Le contrôle externe et la menace de sanction ne sont pas les
seuls moyens pour obtenir un effort dirigé vers des objectifs.
L’homme peut se diriger.
3.2. THEORIE Y
La théorie Y induit un cercle vertueux dans lequel :
§ L’organisation est construite autour de principes de confiance, de délégation et
d’autocontrôle
§ Les employés utilisent cette liberté supplémentaire pour mieux s’impliquer
dans le travail.
§ Ils prennent alors des initiatives, acceptent les responsabilités et vont même
jusqu’à les rechercher.
§ Ceci conforte les dirigeants dans leurs convictions, ce qui les incite à maintenir
la confiance, la délégation et l’autocontrôle.
3.2. THEORIE Y: cercle vicieux
AUTOCON
TRÔLE
-
DELEG
ATION LIBERTE
CONFI IMPLICA
ANCE TION
RECHERCHE
DE
RESPONSABI
INITIA
LITE TIVE
ACCEPTATION DE
RESPONSABILITE
3.2. THEORIE Y
A la lumière des théories X et Y, une problématique générale est à
traiter dont voici les données:
§ Le potentiel du citoyen moyen est imparfaitement utilisé.
§ « L’homme est un animal de désir ». Dès que l’un de ses
besoins est satisfait, un autre apparaît à sa place. Le processus
est sans fin.
3.2. THEORIE Y
§ Les entrepreneurs et dirigeants de tout ordre et en tout lieu ont
surtout veillé à satisfaire les besoins physiologiques et de
sécurité. Il leur faut s’intéresser davantage aux autres pour
obtenir une amélioration des performances du personnel.
A cette fin, il convient de se libérer de l’emprise de la théorie X.
3.2. THEORIE Y
En effet, la théorie X constitue une trop bonne excuse pour les
dirigeants en cas d’échec ; C’est que les hiérarchiques :
• se référant à leurs connaissances techniques pour exercer
leur autorité, négliger le travail en équipe et les relations de
travail
3.2. THEORIE Y
• codifient droits et obligations de chacun en règlements qui
prennent valeur de lois internes
• sont supposés seuls aptes à réfléchir, décider, contrôler ( car
ils détiennent le savoir), tandis que les exécutants réputés
mus par les seuls besoins primaires sont présumés
incapables d’autonomie, n’ayant qu’un rôle mécanique.
3.2. THEORIE Y
Pour éviter cette dégradation des organisations, ce gaspillage du potentiel
humain, il reviendrait à l’entreprise d’opter pleinement pour la théorie Y.
Trois avantages:
• Le travail ne sera pas considéré comme une punition ou un supplice;
3.2. THEORIE Y
• Se sentant responsable de son travail, l’individu s’autocontrôlera.
Contrôle extérieur et sanctions ne seront plus de mise;
• Responsabilisé naturellement dans un contexte favorable, l’individu
verra ses besoins
actualisés et valorisés.
4. LIMITES DES THEORIES
• Des théories ont été développées par d’autres auteurs tels que: Henri
FAYOL, Henri MINTZBERG, Frédéric TAYLOR, Maw WEBER,
Peter DRUCKER…
• Les aspirations des personnes varient avec l’expérience, l’âge,
l’environnement, les responsabilités et les revenus.
• Ex.: La création d’une mutuelle de santé peut être considérée comme
un besoin de sécurité chez Maslow. Pour les salariés, c’est une
marque de considération, donc besoin d’épanouissement et chez
Herzberg facteur de motivation.
4. LIMITES DES THEORIES
• Le besoin et la motivation se combinent dans l’envie de réussir à
atteindre un résultat.
• L’entreprise subit l’influence de l’environnement extérieur, ce qui agit
sur le comportement et la motivation des salariés.
4. LIMITES DES THEORIES
La motivation, c’est aussi donner un « sens » à ce qu’on l’on
fait:
§ Un sens comme direction vers un objectif,
§ Un sens comme une signification de ce qui réalise,
§ Un sens comme perception: la vue, le toucher, le goût, ce
qui est attendu.
7. GERER LES EQUIPES
Un DRH doit:
- impliquer les salariés dans la recherche de meilleurs avantages les touchant;
- récompenser la meilleure idée à propos de moyens d’économie à réaliser
dans le service;
- gérer les conflits de manière impartiale, objective et impersonnelle.
8. GERER LES COMPETENCES