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Le prétraitement des eaux usées
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I. LE DÉGRILLAGE/ TAMISAGE
1. DESCRIPTIF
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I. LE DÉGRILLAGE/ TAMISAGE
1. DESCRIPTIF
Dégrilleur à vis
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I. LE DÉGRILLAGE/ TAMISAGE
1. DESCRIPTIF
Step-screen
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II. DESSABLEUR/TAMISSEUR
2. DESCRIPTIF
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I. LE DÉGRILLAGE/ TAMISAGE
2. DIMENSIONNEMENT
Dégrillage
La vitesse de passage à travers la grille doit ê tre suffisante pour obtenir l’application des
matiè res sur la grille, sans pour autant provoquer une perte de charge trop importante.
Vitesse adoptées:
Moyenne: 0,60 m/s
Maximale: 1,20 m/s à 1,40 m/s
Tamisage
Normes à dé finir à partir des donné es du constructeur.
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I. LE DÉGRILLAGE/ TAMISAGE
3. RENDEMENT ET EXPLOITATION
• Rendement
Selon l'espacement des barreaux ou la maille l'efficacité sera plus ou moins importante, cela
va se traduire par une production de dé chets variable.
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I. LE DÉGRILLAGE/ TAMISAGE
3. Rendement et exploitation
• Exploitation
Statique ou aéré
• Statique
L’eau brute circule à 0,30 m/s entraînant le dé pô t du sable tout en
limitant celui des matiè res organiques.
• Aéré
La vitesse de l’eau suffisamment faible pour permettre au sable de se
dé poser, maintien des matiè res organiques en suspension par une
agitation provoquée par injection d’air.
•Dessableurs couloirs ou canaux de
dessablage
Ils sont constitué s de chenaux profilé s où l'eau
perd de sa vitesse. Dans certains cas on
maintient la vitesse constante grâ ce à un
déversoir à variation linéaire de débit.
• Dessableurs circulaires "escargot "
Il est possible d'obtenir un rendement de 80 % sur les particules lourdes d'une taille
supérieure à 0,2 mm.
Production de sable
Réseau séparatif : 0,1 à 0,3 l/m3 eau traitée ou 5 à 15 l/an par eH.
L'humidité des sables varie de 15 à 35 % avec une teneur en matière organique de 15 à 25 % pour
des sables lavés.
Exploitation Evacués directement dans
un bac de refus
Dessablage en canaux
Petites stations
Extraction manuelle
Sables chargés en M.O. (10 à 15 %)
Extraction par air-lift
Moyennes stations
Décantation: Surverse
Boue de curage
Séparation sable/eau Aire d’égoutage Ou
boues primaires
Hydraucyclone
Le dégraissage a pour fonction d'assurer l'élimination des matières grasses et des
huiles (en faible quantité) difficilement biodégradables qui flottent à la surface
des ouvrages, perturbent la décantation des boues et limitent les performances de
transfert de l'oxygène dans les bassins d'aération.
Dégraisseur statique: Il s'agit d'un bassin gé né ralement pourvu de chicanes ou d'une cloison
siphoïde qui retient les graisses et autres corps flottants qui remontent à la surface de l'eau;
Evacuation par camion de vidange ou par benne avec les Fosse de stockage.
refus de dégrillage
Traitement spécifique
Les évacuations de graisses sont à assurer très
régulièrement pour limiter un temps de séjour
prolongé dans l'ouvrage lui-même ou dans la
fosse de stockage.
Ce bassin sert à la ré gulation du dé bit et des autres caracté ristiques des eaux
usé es (charge polluante, pH, tempé rature, ...), afin d'éviter les à -coups sur les
ouvrages de traitement et d'é taler la charge dans le temps, mê me en dehors
des pé riodes de rejet.
• Bassin mixte
Placé généralement en dérivation, ce bassin permet de stocker provisoirement les eaux en période de pointe
• Bassin d'orage.
Placé généralement en dérivation, ce bassin permet de stocker provisoirement les eaux en période de pointe
hydraulique et de les restituer en période creuse. Cette configuration est notamment utilisée dans le cas de
réseau d'assainissement urbain unitaire où il s'agit de traiter dans la station d'épuration le premier flot
d'orage réputé chargé en pollution
Il est essentiel d'assurer une parfaite homogénéisation des eaux, d'empêcher tout dépô t, de
maintenir des conditions aérobies.
Un bassin tampon doit être systématiquement aéré et brassé. Ces fonctions sont réalisées
simultanément par :
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La décantation primaire assure la séparation des particules solides de densité supérieure
à celle de l'eau selon les lois de STOKES, NEWTON et ALLERS (gravité, inertie des particules, viscosité des
fluides) dans un ouvrage spécialisé appelé décanteur primaire.
Objectif:
Elimination d ’une partie de la pollution particulaire (DCO,DBO5)
Réduire la charge sur l ’étage biologique
Protection du réacteur biologique (filasses, sables…)
Protéger un réacteur culture fixée contre le colmatage
Décantation: procédé de séparation solide (MES) / liquide (effluent) basé sur la pesanteur.
Les dé canteurs primaires les plus communé ment employé s sont des appareils circulaires ou
rectangulaires à flot horizontal.
L'utilisation d'ouvrages circulaires a plusieurs avantages, ce qui explique leur gé né ralisation :
Les ponts racleurs sont gé né ralement à entraînement pé riphé rique. Les mé canismes de
raclage à entraînement central ne sont gé né ralement adopté s que pour des ouvrages de
grand diamètre.
• Les décanteurs statiques rectangulaires raclés dans lesquels l'alimentation est faite à une extrémité et
l'évacuation des eaux traitées à l'autre extrémité. La reprise des boues décantées dans le fond de l'ouvrage est
assurée par un raclage de fond vers une fosse de concentration où elle seront extraites;
Arrivée eau
Sortie eau
Coagulation
La coagulation est le phé nomè ne de dé stabilisation des particules en suspension
colloïdale stable, afin de permettre leur agré gation lorsque le contact a lieu.
Floculation
Une fois dé stabilisé es, les particules ont tendance à s’agglomé rer. C’est la floculation.
Cette é tape a pour but d’augmenter la probabilité de contact entre les particules.
Floculation Les floculants organiques les plus employés sont des polymères synthétiques de haut poids
moléculaire.
Utilisation de réactifs sur la filière eau - Mise en œuvre du réactif
Coagulant Réacteur - 2 mn < ts < 5 mn
- Fort gradient de vitesse
Taux de conditionnement:
• 15 à 80 mg/len FeCl3 pur
Coagulant + floculant • 40 à 200 mg/len FeCl3 commercial
• 0,25 à 1 mgl/l en polymère anionique
DECANTATION DYNAMIQUE
Le décanteur primaire qui assure la séparation des deux phases solide-liquide de façon continue ne doit pas
être considéré comme une simple cuve.
o C’est un ensemble plus ou moins complexe selon le type d'appareil, dont l'efficacité est conditionnée par
son hydraulique qui doit faire l'objet d'une étude particulièrement soignée.
o L’étude hydraulique du système ne se limite pas à la seule phase liquide, mais porte sur l'écoulement, la
concentration et l'extraction des boues produites.
La charge hydraulique superficielle caractérisant le volume d’eau traitable par unité de surface et
de temps (m3/m2/h) ;
Le flux massique caractérisant la quantité de MES décantable par unité de surface et de temps
(kg/m2/h).
• MES : 40 à 90% ;
• DBO5 : 25 à 65 %;
• DCO : 20 à 60 %;
• NTK : 5 à 10 %.
DBO DCO: 25 à 35 %;
5,
o Coû t des réactifs
o Production de boues supplémentaires en excès
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Différentes phases de traitement
Différentes phases de traitement
Ecoulement entre Protection des Action sur : Action sur : Action sur :
Particulaires Particulaires P
les ouvrages appareillages (décantables)
colloïdales Colloïdales N
électromécaniques
Dissous Germes
et de la station
d’épuration
Types des procédés de traitement
• Effluent biodégradable
• Effluent non biodégradable
• +/- Concentré • Fortes variations de charge
• Faibles variations de charge
• Avant Biofiltres
Aérobie
Créneau d’utilisation
• Effluent inf 3000 mg/DCO
Industries
Anaérobie
• Effluents concentrés (5 à 30 g/l)
• IAA
• Traitement des boues
Traitement biologique aérobie /
anaérobie
Disques Milieu
Boues activées Lagunage Lits bactériens
biologiques granulaire
Composition bactérienne
Les bactéries sont des organismes vivants, qui ont besoin de trouver
dans leur environnement tous les éléments qui constituent leur
structure cellulaire, c'est-à-dire : C, H, O, N, P...
1. Les bactéries sont des organismes asexués, la reproduction se fait par division
cellulaire.
2. Une cellule (appelée cellule mère) va donner naissance à deux cellules identiques
appelées cellules filles, qui à leur tour deviennent mères, etc…
Les bacté ries ont besoin : eau , source d’énergie, source de carbone, azote et
sels miné raux :
2) source de carbone
• CO2 : autotrophes (nitrification) & microphytes
• Carbone organique : hétérotrophes ( assimilation du carbone
organique - dénitrification)
Types de cultures biologiques
BOUES ACTIVÉES
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LES BOUES ACTIVÉES
DEFINITION
• Le traitement aérobie des eaux usées consiste dans une première phase à
favoriser le développement des bactéries qui se rassemblent en flocs ou en
flocons.
• Par réactions bio-chimiques et physiques la pollution sera transformée en
nouvelles bactéries + CO2 + H2O +résiduel.
Définition !!!
Procédés biologique aérobie de type “cultures libres”, où l’on provoque le
développement d’une culture bactérienne dispersée et en suspension sous
forme de flocs au sein du liquide à traiter, contenue dans une cuve : réacteur
biologique. L’ensemble des flocs biologiques constituent la “boue activée”.
LES BOUES ACTIVÉES
DEFINITION ET PRINCIPE DU TRAITEMENT
LES BOUES ACTIVÉES
PRINCIPE DE LA BOUE ACTIVÉE
1. La boue activée est constituée par le floc, lui même étant constitué de bactéries
agglomérées, emprisonnées dans une matrice organique.
2. Dans les conditions d'une eau usée, les bactéries sont sous-alimentées et pour
mieux résister vont sécréter des polymères exocellulaires composés d'un
mélange de polyosides (polysaccharides) principalement.
• La boue activée est organisée comme une chaîne alimentaire, les bactéries étant à la
place des producteurs et se multipliant de manière proportionnelle à la charge
organique.
• Les bactéries minéralisent la matière organique alors que les autres organismes
favorisent leur élimination, participant ainsi au maintient d'une biomasse bactérienne
constante et à la clarification du liquide interstitiel.
DEFINITION DE BASE
Charge massique: Cm
Rapport entre la quantité de substrat apporté par jour (nourriture entrante) et la quantité
de biomasse présente dans le système
R= 100 *(0,5*(1+EXP(-Cm)))^0,5
Exemple:
Cm = 0,1 ⇒ R = 98 %
Cm = 0,25 ⇒ R = 94 %
Cm = 0,5 ⇒ R = 90 %
Cm = 0,75 ⇒ R = 86 %
Cm = 1 ⇒ R = 83 %
LES BOUES ACTIVÉES
Charge volumique
Charge volumique: Cv
- rapport entre la quantité de substrat apporté par jour et le volume du
bassin d’aération
Age de boues: A
- rapport entre la masse de boues présente et la masse de boues
extraites quotidiennement
Croissance dispersée
LES BOUES ACTIVÉES
DYNAMIQUE DES POPULATIONS BACTERIENNES
Croissance filamenteuse
LES BOUES ACTIVÉES
DYNAMIQUE DES POPULATIONS BACTERIENNES
Croissance floculée
LES BOUES ACTIVÉES
principaux de procédés/configuration des réacteurs
L’avantage du mélange intégral est sa résistance, dans certaines limites, aux surcharges de
pollution et aux éventuels chocs toxiques de courte durée.
LES BOUES ACTIVÉES
principaux de procédés/configuration des réacteurs
2. Flux piston
L’influent et les boues recirculé es sont admis en tê te de bassin, qui est amé nagé de façon à constituer un
canal de grande longueur.
Les concentrations en substrat et les besoins en oxygè ne de la liqueur de boue activé e varient tout au
long de son parcours. C’est pourquoi la puissance d’oxygé nation installé e est normalement dégressive
d’amont en aval (tapered aeration). Ce type de bassin s’adapte surtout aux grandes installations.
Avantage: Le fait que la tête du réacteur fonctionne à forte charge limite la croissance de la plupart
des bactéries filamenteuses et améliore la décantabilité de la boue, à condition de maintenir une
concentration en oxygène dissous suffisante.
LES BOUES ACTIVÉES
principaux de procédés/configuration des réacteurs
Avantage: La charge massique et les besoins en oxygène sont ainsi beaucoup mieux répartis que
dans un bassin à flux piston.
LES BOUES ACTIVÉES
principaux de procédés/configuration des réacteurs
Chenal
Ce ré acteur a é té conçu à l’origine en chenal de forme oblong avec cloison centrale, équipé
d’aé rateurs à axe horizontal disposé s ponctuellement (chenal d’oxydation).
Chenal Oblong
LES BOUES ACTIVÉES
principaux de procédés/configuration des réacteurs
LES BOUES ACTIVÉES
principaux de procédés/configuration des réacteurs
Les réacteurs biologiques séquentiels ( RBS ) sont plus connus sous le nom anglo-saxon de « sequencing
batch reactors » ( SBR ).
Le procédé correspond à un réacteur unique de type mélange intégral dans lequel se réalisent
successivement l’aération puis la clarification d’où le nom de réacteur « séquentiel ». La décantation des
boues s’opère lorsque l’aération est arrêtée et un dispositif de vidange est utilisé pour soutirer le surnageant.
Les différentes étapes du traitement se réalisent lors d’intervalles de temps prédéfinis et programmables,
l’ensembledes étapes constituant un cycle.
Les systèmes d'aération, équipant un bassin à boues activées, ont un double but :
1. Pour recirculer ?
• Maintenir une concentration relativement constante dans le bassin
d’aération
• Eviter un départ de boue
• Eviter un temps de séjour trop long dans le clarificateur (sinon
anaérobiose)
2. Facteurs influençant
• Indice de Mohlman ou Indice de boues
• concentration en MES dans le bassin d’aération.
• Temps de séjour clarificateur : facteurs interdépendants
• Débit traversié ou débit d’entrée
LES BOUES ACTIVÉES
Recirculation des boues
3. Combien recirculer ?
• La recirculation se calcule en fonction du débit d’entrée :
avec :
QRBT [m3/h] : débit à recirculer
TB [%] : taux de recirculation des boues
QEB [m3/h] : débit d’eau brute ou débit traversier
LES BOUES ACTIVÉES
Recirculation des boues
4. Evaluation de Sr
Sr = (1000 / IM ) x K
Avec :
K = facteur d’épaississement = f (temps de séjour des boues)
Si Ts = 90 minutes K = 1,3
LES BOUES ACTIVÉES
Temps de séjour des boues dans le clarificateur
LES BOUES ACTIVÉES
Paramètres pour évaluer la qualité mécaniques des boues
Principe
L’indice de boue (appelé aussi indice de Kalbskopf) représente l’aptitude des flocs à
décanter librement dans un milieu dilué.
Définition
C’est le volume occupé dans l’éprouvette de 1000ml par 1 g de boue diluée après une
décantation de 30 minutes.
Validité
Ce calcul est valide si le volume de boues décantée après 30 minutes est compris en
100 et 250 ml/l, dans le cas contraire il faut augmenter le taux ou facteur de dilution.
Principe
L’indice de Mohlman caractérise le phénomène d’épaississement des boues dans le
fond d’un clarificateur ou d’un épaississeur.
Définition
C’est le volume occupé dans l’éprouvette de 1000ml par 1 g de boue sans dilution
après une décantation de 30 minutes.
Validité
Ce calcul est valide si le volume de boues décantée après 30 minutes est inférieur à
900 ml/l, dans le cas contraire il faut identifier les causes.
Inconvénients du procédé
Coût d'investissement plus important,
Consommation énergétique plus importante,
Nécessité d’un personnel qualifié et d'une surveillance régulière,
Sensibilité relative aux surcharges hydrauliques et en pollution sauf si
présence d’une régulation par capteurs(02, Eh, Q).
TRAITEMENT BIOLOGIQUE PAR CULTURES LIBRES
LAGUNAGE
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LE LAGUNAGE NATUREL
DEFINITION
Cinétique et Performance
• Pour les collectivités de 250 à 2000 EH (équivalent habitant) maximum
• Seulement applicable aux eaux résiduaires domestiques uniquement et
faiblement concentrées (DB05 < 300mg O2/l).
• Une nature de sol peu perméable
• Espaces suffisants pour l’aménagement
• Exploitations lourdes à prévoir (lors du curage par exemple)
LE LAGUNAGE NATUREL
Dimensionnement et Construction
Dimensionnement
Il est recommandé une surface de bassin de 12m² par EH.
La profondeur d’environ un mètre est nécessaire afin d’é viter la pousse des
végétaux comme les macrophytes, permette une oxygénation suffisante et éviter
l’eutrophie des eaux et limiter la stratification thermique.
LE LAGUNAGE NATUREL
Dimensionnement et Construction
La construction
• Les digues doivent être assez larges pour permettre la circulation d’engins lourds (4m).
• Un fossé de drainage des eaux de ruissellement tout autour du bassin est nécessaire.
•On effectue un prétraitement afin de piéger les matières les plus grossières par un dégrilleur et les flottants
par une cloison (immersion de 30cm) placée à l’arrivée des eaux résiduaires.
• On équipe chaque bassin de façon à ce qu’il puisse être curé
• Chaque bassin devra posséder une canalisation de trop-plein.
•L’entrée et la sortie de la station devront être équipées de dispositifs adaptés pour la mesure de débits pour
le calcul de rendement et le contrô le de l’étanchéité.
•La géométrie des bassins doit être régulière afin de ne pas favoriser la présence de zones mortes à cause de
formes anguleuses.
•On orientera les derniers bassins de préférence dans le sens du vent afin d’accumuler les lentilles dans une
zone du bassin pour faciliter leur extraction.
Des études préalables du sol devront être effectuées dont :
• Un sondage du sol et de la proximité avec la nappe
• Des mesures de perméabilité
LE LAGUNAGE NATUREL
Dimensionnement et Construction
Entretien
• Exploitation simple
Inconvénients du lagunage