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SEANCE INFORMATIVE SUR LA REDEVABILITE

Field Team WRC CEZ Kako/Rubare

Orateur: Ir. Trésor SENDIHI/ Chef départ. MEAL


Mission et Vision de World Relief: Rappel

Mission de WRC

Renforcer les capacités des églises locales enfin que


ces dernières puissent servir les plus vulnérables

Vision de WRC

•Voir les plus vulnérables transformés


socialement économiquement et spirituellement
Q) Quelqu`un peut-il nous dire si l’on en
est a combien SVP??
Qu’est-ce que c’est pour nous la
redevabilité?
La redevabilité est le moyen par lequel le pouvoir est exercé de manière
responsable. Il s’agit d’un processus qui implique de prendre en compte les
opinions des différentes parties prenantes et de leur être redevables.

• La redevabilité est une partie de


nos valeurs fondamentales. Nous
assumons la responsabilité d'utiliser
nos ressources efficacement,
atteindre des résultats mesurables
et rendre des comptes à nos
bailleurs, partenaires, bénéficiaires.
• Nous devions améliorer la
compréhension et l'application de la
redevabilité dans l'ensemble de nos
programmes.
CADRE SUR LA QUALITÉ DES
PROGRAMMES
• La redevabilité fait parti du cadre de la qualité de
l'organisation, et dans les normes de fonctionnement de
la direction.
• Chez WRC, nous pensons que la vraie redevabilité vers
les communautés ou consiste à leur donner la possibilité
d'influencer les décisions qui les affectent.
• Et il s'agit de donner aux communautés le pouvoir de
nous rendre compte d'une manière qui influencent les
politiques de l'organisation, des priorités et des actions
aux niveaux local, national et mondial.
NORME HAP SUR LA Redevabilite

1. Établir et respecter ses


engagements
2. Compétences du
personnel
3. Partager l’information
4. Participation
5. Gestion des plaintes
6. Apprentissage et
améliorations continus
1

1. Etablir et respecter ses engagements

L’organisation énonce
les engagements envers
lesquels elle sera
redevable, ainsi que son
plan d’action pour les
respecter
2. Compétences du personnel

L’organisation s’assure
que son personnel
possède les
compétences
nécessaires pour
remplir ses
engagements
3 Partager l’information:

L’organisation
s’assure que les
personnes qu’elle
vise à aider et les
autres parties
prenantes ont
accès à des
informations
claires, opportunes
et pertinentes sur
l’organisation et
ses activités.
Comment nous allons partager les informations?

• Nos principes
• Nous nous engageons à donner des informations
opportunes, pertinentes et claires tant sur notre
organisation que sur le travail que nous faisons avec les
communautés et les organisations partenaires.

• Nous devons nous assurer que nous partageons ces


informations dans des langages, des formats et en
utilisant des modes de diffusion faciles à comprendre
pour les communautés avec lesquelles nous travaillons.
Informations concernant WRC
• Quelle est notre vision et quelle est notre mission?
• Quelles sont nos valeurs?
• Pourquoi sommes-nous là?
• D’où provient notre argent?
• Code de conduite du personnel – comportements à attendre de nos
employés
• Politique en matière de protection de l’enfance
• Comment soumettre une plainte ou faire part de préoccupations concernant
nos activités:
• Pourquoi cherchons-nous à établir une procédure de gestion des plaintes ?
• De quoi les gens peuvent-ils se plaindre?
• Qui peut se plaindre?
• Comment, où et auprès de qui ?
• Délais de réponse.
• Politique de non représailles et de confidentialité.
Informations concernant le projet proposé
• Intitulé du projet.
• Lieux ciblés et manière dont ils ont été sélectionnés.
• Calendrier (dates de début et de fin de l’activité/du projet).
• Noms des organisations partenaires.
• Objectifs et activités du projet.
Financement:
• Qui finance ce projet?
• Quelle contribution le projet apportera-t-il à la communauté?
• Quelle contribution la communauté sera-t-elle d’accord d’apporter ? (en
espèces ou en nature).
• Qui seront les bénéficiaires du projet et comment nous proposons-nous de
les sélectionner.
• Combien de personnes le projet a-t-il la capacité d’aider?
• Que vont recevoir les gens et quand (les éléments livrables du projet)?
• Informations concernant des changements importants au projet original.
• Rapports de progrès – quels ont été les progrès du mois, quels sont les
plans pour le mois prochain?
• Bilan des évaluations
Comment communiquer des informations
sur les budgets d’un projet
Quelle est l’étendue des informations financières que vous
devriez fournir ?

• Nous voulons aider les gens à comprendre ce que nous avons


dépensé en leur nom. C’est pour cela que les informations que vous
communiquez par rapport aux activités que vous menez dans leur
village ou dans leur région devraient avoir un sens pour les
personnes concernées au niveau local.
De quelle manière devriez-vous présenter ces
informations ?
• Vous pouvez résumer les dépenses par activité, par zone
géographique, ou par ligne budgétaire – ou vous pouvez associer
ces différentes catégories. Présentez les chiffres en utilisant la
monnaie locale.
• Faites apparaître la somme qui avait été prévue dans le budget
pour chaque activité, zone ou ligne budgétaire, ainsi que ce qui a
été réellement dépensé. En vertu des critères de bonne pratique,
• l’intégralité des coûts d’un projet devrait être disponible au public.
Mais faites preuve de discernement. Il n’est peut-être pas judicieux
par exemple, de divulguer des informations sensibles en matière de
salaire.
• Vous pouvez présenter les dépenses à l’aide d’une feuille de calcul,
ou les inclure dans un rapport narratif. Limitez-vous à des
informations claires et concises. Il est important que la manière
don’t vous présentez vos informations permette aux enfants et aux
autres membres de la communauté de les comprendre sans
difficulté.
Pourquoi devrions-nous donner des
informations sur les budgets?
1. Cela renforce le sentiment d’appropriation du projet : si les
communautés savent ce que coûtent les choses, elles seront plus
susceptibles de s’impliquer dans les activités, et même de
contribuer à la protection des biens du projet. Nous devrions
encourager les questions et les suggestions concernant les
finances du projet dans la mesure où il s’agit d’une forme de
participation.

2. Cela remet en cause les notions de dépendance, dans la mesure


où cela nous permet de dire : « Voilà ce que nous apportons, quelle
va être votre contribution à vous en tant que communauté ? »
3. Cela améliore la qualité de notre travail: en étant transparents,
nous renforçons l’implication des communautés et celle de nos
partenaires.
4. Cela renforce notre crédibilité et par là, la confiance que nous
porte la communauté.
5. Cela contribue à promouvoir les droits des citoyens et une culture de la
transparence: si nous sommes capables de communiquer régulièrement
des informations sur nos budgets et nos dépenses, cela aura pour effet
d’encourager les citoyens à exercer leurs droits de demander aux
institutions publiques, notamment au gouvernement local et national, aux
églises et aux écoles, de faire la même chose.

6. Cela contribue à promouvoir la rentabilité: publier ou donner des


informations sur les finances d’un projet devrait nous aider à être plus
soucieux de rentabilité.

7. Cela contribue à prévenir la fraude: si nous savons que nous


communiquons des informations sur nos budgets, cela nous obligera à
prêter davantage d’attention à nos processus financiers.
8. Il s’agit d’une occasion pour apprendre: discuter des finances d’un projet
nous aidera à apprendre des communautés.

9. Cela renforce notre compétitivité, dans la mesure où les donateurs


cherchent de plus en plus à encourager la transparence financière.

10. Cela nous aide à atteindre des normes de qualité internationales, telles
que définies par, HAP (Humanitarian Accountability Partnership).
Oui, mais si… la communauté décide de remettre en cause ceque nous
dépensons ou faisons ?
Si nous donnons aux membres de la communauté des informations sur les
budgets, ils vont les passer à la loupe et poser encore plus de questions. Ils
risquent même de nous dire : « donnez-nous tout l’argent au lieu de le
dépenser en frais de gestion. »

Que pouvez-vous faire à ce propos?


• Il se peut que nos employés du programme et ceux des
organisations partenaires aient à répondre à des questions difficiles
concernant les budgets et les dépenses. Les responsables
financiers et d’autres employés spécialisés (personnes chargées
des achats, par exemple) doivent collaborer avec les employés du
programme et ceux des partenaires pour être capables de répondre
à des questions difficiles ou faire face à une remise en cause.

• Expliquez que nos procédures d’achat sont destinées à tirer le


meilleur parti des ressources disponibles. Signalez l’ensemble du
travail en amont nécessaire pour mettre en oeuvre le projet.

• Demandez au personnel financier de participer à des réunions


communautaires lors des étapes de planification pour expliquer tout
ce qu’implique la préparation du budget pour les activités du projet.
Cela leur donnera l’occasion de sortir de leurs bureaux et de
s’impliquer davantage dans les activités et avec les bénéficiaires du
projet.
Informations sur la manière dont les gens
peuvent s’impliquer ou participer au projet

• Dates et lieux des principales activités, notamment des réunions.


• Accord en vigueur avec la communauté sur son implication dans le
projet.

• Comment nous proposons-nous d’effectuer un suivi et d’évaluer ce


que nous avons

• accompli ensemble ?

• Où et à qui s’adresser pour les questions d’ordre général ?


Les choses auxquelles vous devez penser:
• Comment pouvez-vous vous assurer que les
informations sont disponibles et accessibles à tous les
membres de la communauté?
• Comment allez-vous donner ces informations?
Verbalement, lors de réunions et/ou sous une forme
écrite ?
• Comment allez-vous afficher/diffuser ces informations?
Les cartes, les graphiques, les diagrammes à
camembert (pour les finances du projet)?; les photos
sont d’excellents moyens à utiliser pour présenter des
informations à des gens qui ne savent peut-être pas lire.
• Comment allez-vous mettre les informations à jour et à
quel intervalle ?
• Comment allez-vous adapter l’information aux enfants? Il existe
de nombreux exemples de moyens amusants et novateurs pour
faire participer les enfants et les impliquer dans la préparation et
la présentation des informations destinées à d’autres membres
de leur propre communauté. À travers cette implication, les
enfants peuvent également acquérir des compétences utiles.
Prenez contact avec l’équipe chargée de la redevabilité envers
les enfants pour en apprendre davantage.

• Comment pouvez-vous aider les enfants à comprendre pourquoi


il est important que nous partagions les informations avec eux ?
Comment pouvez-vous rendre le concept de redevabilité
pertinent et stimulant pour les enfants et leurs communautés ?

• Comment pouvez-vous encourager les enfants à poser des


questions sur les informations que nous leur donnons, ou à nous
faire part de leurs commentaires en retour sur notre action ?
• N’oubliez-pas! Les bénéficiaires ou les
communautés avec lesquelles nous
travaillons ont droit à ces informations!
Nous devons rien avoir à cacher !
4 Participation

L’organisation
écoute les
Personnes
qu’elle vise à
aider et prend en
compte leurs
opinions et
analyses dans
les décisions
liées aux
programmes.
5. Gestion des plaintes
L’organisation
permet aux
personnes qu’elle
vise à aider et aux
autres parties
prenantes de
présenter des
plaintes et d’obtenir
une réponse grâce
à un processus
efficace, accessible
et sûre.
C’est quoi une plainte?
• Une plainte est une expression de mécontentement. C’est
une doléance précise émanant de quiconque estime que
l’organisation a failli à son obligation d’honorer un
engagement déclaré ou de quiconque a été lésé par un
programme de l`organisation ou par son personnel. Une
plainte porte avant tout sur des préoccupations concernant
la qualité de service, des actions ou une inaction de
l`organisation, son personnel ou ses représentants, y
compris le personnel de ses partenaires, les bénévoles,
sous-raitants/consultants, membres de comités
communautaires ou toute personne intervenant directement
dans l’exécution de nos activités.
• Pour que nous puissions répondre à une plainte, elle doit
porter sur une action dont WRC est responsable ou qui
s’inscrit tout au moins dans notre sphère d’influence.
Catégorie des plaintes

Catégorie 1 Demande d`information

Catégorie 2 Demande d`assistance

Mécontentements mineurs par rapport aux activités (Articles manquant dans un kit, Manque
Catégorie 3 de suivi…)

Mécontentements Majeurs par rapport aux activités (Article de mauvaise qualité, problème
concernant la sélection des bénéficiaires, sécurité: Mise en danger des enfants ou des
Catégorie 4 Adultes; par exemple un site de construction jugé dangereux, etc.

Manque au code de Conduite et/ou a la politique en matière de protection de `enfance de


l`Organisation (Allégation de comportement inapproprié ou de mauvaise conduite de la part
d`un employé, d`un représentant ou d`un partenaire de l`organisation. Il peut s`agir
notamment de fraude, de vol ou de corruption (Détournement de biens, demande de
paiement par exemple) ou d`agression verbale, physique ou sexuelle ou alors d`exploitation
Catégorie 5 sexuelle envers un ou des bénéficiaires, etc.)

Allégation d`agression ou d`exploitation sexuelle envers un enfant ou un bénéficiaire de la


part d`une personne qui n`est pas un employé ou un représentant de l`organisation; C`est-
à-dire de la part d`un membre de la communauté, d`un employé d`une autre ONG ou d`une
Catégorie 6 autre agence de l`ONU.
Feedback

• Le feedback est l’expression d’un avis positif ou négatif


sur nos programmes et le comportement de notre
personnel ou de nos représentants, diffusé pour
information ou à des fins d’action mais pas dans
l’intention de déposer une plainte officielle. Suivant la
nature ou la gravité du feedback, toutefois, l’organisation
elle-même pourra décider d’y donner la même suite que
si le feedback était en fait une plainte.
Types des plaintes

• Plaintes sensibles ou non sensibles : Une plainte


non sensible concerne la mise en oeuvre d’activités ou
des décisions de programme prises par Save the
Children ou ses partenaires qui peuvent être gérées
moyennant une bonne connaissance du programme et
un peu de bon sens.
Une plainte sensible porte sur des questions
ayant trait à :
• La corruption, le détournement des fonds ou de l’équipement du projet:
toute violation de la Politique de sauvegarde des enfants ou toute
violation grave du Code de conduite, comme toute forme d’exploitation,
d’abus ou de harcèlement (qu’il soit sexuel, physique ou verbal) des
bénéficiaires par le personnel

• Une discrimination des bénéficiaires sur la base de la race, du sexe, des


croyances, de la religion, de l’orientation sexuelle, de l’âge, etc.

• D’autres plaintes jugées sérieuses par le personnel du programme/chargé


de la gestion des plaintes de l`organisation, comme la violation du
règlement et code de bonne conduite du personnelle, des inquiétudes
liées à la façon dont l’organisation exécute ses travaux.
La plupart des plaintes sensibles devront être traitées en
fonction des politiques existantes pertinentes et de leurs
mécanismes de signalement, comme la Politique en
matière de fraude et de malhonnêteté et la Politique de
sauvegarde des enfants, de façon à ce que la
confidentialité puisse être préservée et une accélération de
la procédure mise en place.
6. Apprentissage et améliorations continus

L’organisation
tire des
Enseignement
de son
expérience afin
d’améliorer sa
performance
ACTIONS IMMEDIATS A PRENDRE…
• Assurer la qualité dans la mise en œuvre des projets, à travers le
renforcement des capacités.
• La redevabilité mitige plusieurs risques parce que elle augmente
l’acceptation et la confiance de la communauté dont nous sommes
redevable.
• Une bonne stratégie de redevabilité peut changer beaucoup l’impact de nos
interventions sur terrain
• Le respect formel du code de bonne conduite de l`organisation que tout un
chacun signe avant de s`engager pour l`organisation
• L’organisation (MEAL) doit s`assurer que les personnes qu’elle/il vise à
aider et les autres parties prenantes ont accès à des informations claires,
opportunes et pertinentes sur l’organisation et ses activités.
• Mettre en place un mécanisme de gestion de plaintes et feedback qui
n`exclu aucune catégorie de personne dans la communauté.
• Le accountability doit rester notre lot quotidien dans l`utilisation ou
affectation des ressources de l`organisation (Eviter des pièces justificatives
préfabriqués, Gonflement des factures, imitation des signatures sur des
pièces justificatives...)
• L’organisation énonce les engagements envers lesquels elle sera
redevable, ainsi que son plan d’action pour les respecter (Eviter des
promesses fallacieuses au sein de la Communauté)
Groupe de discussion(FGD)
DEFINITION
Le FGD n`est rien d`autre que la conversation très
détaillé, crée pour obtenir d’information sur une
thematique bien défini d’interet, dans un ambience
permisive et pas directive. La discussion doit être dans
un ambiance tranquille et comfortable et satisfaissant
pour les participants puisqu’ils puissent exposer ses
idées et commentaires en commun. Les membres des
groupes s’influecent mutuellement, parce que ils se
répondent aux idées et commentaires qu’emergent dans
la discussion.
Taille du FGD

Il est composé de 10-12


participants au maximum qui
ont été sélectionnés car ils ont
certaines caractéristiques en
commun en lien avec le sujet de
la discussion.

Citons comme exemple un groupe de réfugiés ou de déplacés. Le


groupe est là pour discuter et présenter différents points de vue et
opinions.
Les données collectées par le groupe sont toujours des données
qualitatives.
POURQUOI SEULEMENT 10-12 PERSONNES?

Dans un groupe plus grand:


• Le temps de parole des participants serait réduit et les
personnes dominantes parleraient plus que les autres
• Le facilitateur aurait plus un rôle de contrôle
• Certains participants pourraient se frustrer s’ils ne
peuvent pas parler
• Les participants commenceraient à discuter les uns avec
les autres
• Le groupe pourrait dévier sur un autre sujet
ÉTAPES POUR LA GESTIONS DES FGD
QUELLE DEVRAIT ÊTRE LA COMPOSITION DU
GROUPE?

• Il vaut mieux séparer les femmes et les hommes car souvent


les femmes ne parlent pas si les hommes sont présents
• Il vaut mieux que les participants aient plus ou moins le
même âge car sinon les plus âgés risquent de monopoliser la
parole
• I lest important d’avoir une langue commune
• Il vaut mieux ne pas avoir de leaders ou de personnes à
autorité dans un groupe de gens ordinaires ; faire les
entretiens séparément
• Groupe homogéne en dépendant des objectives a suivre.
• Éviter que certains participants participent plus que les
autres.
• Chercher des participants avec le même niveau socio-
économique
Que dite-vous de cette photo?
RECOMANDATIONS/Conclusions

• Il y a un facilitateur qui est présent seulement pour faciliter.


• Il y a un ou parfois deux preneurs de notes.
• Le groupe devrait être dans un endroit calme où personne ne
peut les entendre et où ils ne seront pas dérangés.
• Les participants devraient être assis en cercle et de manière
confortable.
• Les règles de bases devraient être expliquées après
l’introduction: tout le monde a le droit de parler, personne n’a la
bonne réponse, ne pas s’interrompre.
• La terminologie utilisé doit être compréhensible et adéquat au
contexte des participants.
• Utiliser des questions ouverts pour éviter limiter la capacité des
réponse.
• Si un question ne pas claire, il faudra la reformuler en évitant
donner des indications ou exemples.
• Si vous utilisez un magnétophone demandez la permission de
le faire.
• La session devrait durer environ 1h – 1h30.
• Le facilitateur s’assure que tout le monde à l’occasion de
parler et que la discussion ne dévie pas sur un autre sujet.
• Le preneur de notes prend les notes et surveille le
magnétophone s’il y en a un.
• A la fin de la session, le facilitateur peut donner un bref
résumé de ce qui a été dit au cas où quelqu’un a quelque
chose à ajouter.
• Des rafraichissements peuvent être servis après la session
QUELQUES ERREURS CLASSIQUES LORS
DES GROUPES DE DISCUSSION
• Il y a trop de participants
• Seulement quelques personnes parlent
• Personne ne prend de notes
• Les gens commencent à discuter d’autre chose
• Les gens commencent à parler entre eux ou à s’égarer
s’ils s’ennuient
• Le facilitateur prend part à la conversation, donne son
opinion et commence à vouloir enseigner quelque chose
au groupe
• Les questions sont des questions fermées qui ne
demandent qu’une seule réponse
• Il y a peu de débat, les gens donnent seulement de
l’information
SI LE GROUPE NE VEUT PAS PARTICIPER:

• Inviter directement a chaque participants a participer


• Établir un tour de table pour répondre a chaque
question.
• Appliquer des pause de 5 secondes et demander de
donner plus d’information.
• Réviser les questions de la guide de discussion pour le
faire plus intéressants.
FERMER LE GROUPE DE DISCUSSION:
• Remercier aux participants pour l’assistance et la
participation.
• Donner un espace pour que les participants puissent
poser des questions.
• Donner les éléments que nous avons promis (biscuit,
boisons, cadeaux, etc.).
MERCI D`AVANCE POUR UTILISER LE POUVOIR QUE VOUS
DISPOSEZ EN TOUTE RESPONSABILITE

Ir. Trésor SENDIHI


Chef du département MEAL/WRC

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