Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
i9~3.i9()4
L'année ~C~M~
Anncc8
BtBUOTHËQUE
DE t'iHLOSOPHïE CONTEMPORAINE
""T~~
L'ANNÉE
SQCIOLOGIQ~Ë
< Ptf~ËËDlIlEGTION
SOU8 LA DtKMCTtON
f i sousLA
~~LS DURKWEtM
(~ t! t'PltIJY~"J::E
Pfuft~«'M '<)<t,<<ecio)etrio t )'Un)tMtit<t do Hof~oM!
Cht~A dt/cooM t te FacM)t<) dm iettMKJe Ptria.
r
~'f:
*'t:t;LACOt,tAMKATtOXt))!m<.
A. MË~t.t.ET, 't'r'x'~ar à t'&Mtodet MttttM.6t))tf«!
RtOWAHO. <')Mr)f<' de couM 4 rt)t)tWM)« <)<)BontMa*!
eoUQLë, prof.K..)). <h p)ti)<ophie MMote t )'t'n<YOtett< deTootcM~!
WUaEftT MAU88, mt~ttt de runft'MOMt t )'6M)t dm HtatMËtudat;
HUVELtN et t. t.tw. profcM)Mt< il ). f~nH., do dt«)t de Lyon!
t-AftE, ")mf)t<dB<)ur< t !'t.'n)m'Mit~d))9onte*!)<!
AUBtN. h~jx'fttur .)'Ae«dAm)< A<ifi))M!
H. BOUHOtN. FAUCOKMET, HALBWACW9. HERTZ.
WOUtTtCO. PAttODt.
F.StMXNO. CACHER,"tr.;xf<dat'Ut))MM)M.
G. SOUHG'M. amh)ti~Mu)~tpht.
PARIS
FEUX
ALCAN. ËDtTEUR
ANCtËKNË DBnAtMtB CEHME)) ttitLUÈRE ETC"
M8. BuULEVAttb SA)NT-UHBM*)x, 108
~os'
JL'ANNËE
SGCIOLOGIQUE
<c<~<;
VtH
r~
h.a
<K).iXALCAN.h:DtTKt;H
L'ANNEH SOCIOLOG1QUE
t')')H.t)!t!sf)).tt.t))t<m:r)()\t))! 1(
E.DURKHEtM
SOCIOLOGIQUE
N 1 I)Iltl~CTI()N
1~«'F,
1 t'~H),)KKSOt'K).A)n){t':CT)0'<
!> lbv.
1t l~,
h EMtLEDURKHEtM
))''
)'rnt')'tM-ur :t )'U')h'ot-<i(<' de
""ciot'~ie Mot-dpttUt.
c'~U)- a ta Facutui de!' ietn'f.t du t'at'it.
~,j.,<~t%~e
A\ttCLA'X.).tt'OMMtO'it'KM!).
A.MEtHËT,dt)-<f[<turi.r~«tedM)tM).t.)f:tMdM;
HtCHAHO. d~tr~ ))f c.)ttf< it )'L't<)M"itt <te ttont~M,
COUQLÈ. )~<tf'ttf <JpjthH"to;tht<' tociatt* a t'UMbe~i~ de TontoMM.
WUBEHf pt MAUS8. n't')rt-< .)'' <mr.wm:<-< a )')im)e des OttttM-~ttdM. B
HU<E).tN E. LÉVY,))rur.r< t )t t'«-u«.' d.)roit ).tM)
LAt')Ë,<')M<tfcnt.)'t)t)it<-r.t(J'tt-KNrdetm:
AUBtM,')<rt<'t)f <)t''td''<H«'a A<tf<Ua<:
M. BOUROtH, FAUCOMMET.HAt.BWACHS, HERTZ. MOUHTtCO. fAXOOt.
F. S)M~MD. VACHER, <<n'):M.t~tr.titmi~.
o. aounot). t~).iti~t--)M).'t.)iM))))<
PA!U8 j
t-HX ALCAN, ËDtTEUtt
H~5 j
)t"t'idn'ittr~tt~.
L'ANNEESOCIOLOGIQUE
i903"t90<
PREMIÈRE PARTIE
MÉMOIRES
ORIGINAUX
1
ESS.USURU~EFORMED't~DUSTMIE
L'iNDUSTRtE
DE LABOUCHERIE
A PARtS
AUDtX-HEUVtËME
StÈCLE
ParMUBËRT
BOURGIN
1
POSITIONDE LA OUftSTtOM
~<M
). Cf.MedfM)Schomeras, MOM~tMt'Ae,MM<)!M/t)'/«)/
d<M&!cA<')'
undfM~'AM'jyoM~f,
À'oKf/Mof. mox~fop~McA und~a<h(tc/<
AMf~tM,
Stungmrt,MO:, A.Rothe,
in-S'; ~<M
<<M<<eA< ~eB~
f<<f«;/<«~e<t'<f~. iM?.
itt-f.
Hresterait
Etd'aineuM encore lalimitation
à jaotMor de
auterritetre
la Fmnce.
)(. )K'UKO)! – L'tXCUMME M LA BOOCOBMBA PABM 3
H
LESSOURCES
administrantaux)x"siècle.Jusqu'audécretdu 27février18S8.
l'industriede la boucherieà Parisfut soumiseau régimede
la réglementation oudela limitationadministrative.Lerégime
de la réglementationtut instaurepar l'arrêté du 8 veudé.
miairean Xi. qui imposaitauxbouchersde Parisl'autorisa-
tion du préfet do police,et un cautionnementde 1000à
aooo{rancs'.Le décretdu 0 février Witut plusrestrictif i!
prescrivitia limitationdu nombredes bouchersà 300Ce
décrettut abrogépar l'ordonnance du 9 octobre1822,d'après
laquellele nombredes étauxde boucheriedevaitêtre main-
tenu supérieurou au moinségala 370'.Trois ans plus tard,
l'ordonnancedu 12 janviert82Sdécidaque le nombredes
boucherspourraitêtre augmentéd'au plus 100par an mais
l'ordonnancedu 18octobre1839ramenace nombreà 400',
et ce régimelimitatitdura jusqu'au27février1858'. Cepen-
dant, desmesuressecondairesoudes dispositionsaccessoires
deces mesuresgénéralesprécisaientles détails et l'apptica.
tion de la limitationou de la réglementationil en sera tait
état plus loin. Pour s'en tenir aux mesuresgénérales,le
nombre de bouchersdéterminéou prévu par elles devait
varierainsi qu'il suit
de 1802à 18)1 nombrelimité,maisindéterminéi
de 18)1à 1822:300;
de 1822à i82S 370au moins
de 1825à 1829:de 370à 770;i
de 1829à 18S8 400.
Sil'on rapprochedecesnombresadministratifsles nombres
réels, on constatequ'il n'y a entreeux aucuneconcordance.
En 1812,il y a à Paris 424bouchers',et en 18~2,avant t'or-
t. LouisChartctBiKt,Ducommerce delaboucherie eldela charcuterie
dePariset descommerces <M
qui </<'pM<K<, telsquela /'en<<' des««/ la
<<<<MieM
triperie, <fM wf le < /<
rapport projet <'e~aHHa~to)) dela tûM.
cherie, Il.
par BtM~t<ela N<«)'<Ac, Paris,«m. in.S<, p. tt!.
M.,fM<< p.4n J. BarbeMt. Le<r<!t«)<en~'f<Mce, Monographies pro-
/~<MKeMM. t.Paris, MM,inS',li.ït2.9t3.
3.M..i&M.. p.3t3.
4.M.,ibid.;BiMt, DucentM~rce~t la boucherie,p. MS:<tq.;Chambre
deeoMW-et de~aWit, A
deft~M~t-t'et'af~ <~M«<ttt<
Statistique derea.
?t<a< /<t!<e
par la Chambre fieMNtm<')'<-<
pour lesannées 1M7.«M, Paris,
Wt, vo). in-M.,t. p.
partie, t7.
6. C~am6)~ d, commerce de faf«..S<a<i<«ox~ de ftoatMM~ à Pat'h.
résultant <'M~e ~)<ep<t'- <aChambre deeofHtxefcepeM)' fa)t<t<<
tMt.
Paris,t«!t.)n.fo)..
p. i3.
6.Tableau dMmarchands toMc~«w a< ville<?Paris,Paris,IBM,
ta-M.p. S9.
C t.'AtfNËE SOCMt.OGtQUË.
<9M-tMl
donnaccedu 9 octobre,il y en a 370 ce nombretombeà
3SSen 18~; de 1826à t829, it nes'étèvequ'à 8t4' aprés
t829, il passede49(!en 1831&499en 183it,&SOO en 1838,à
SOten 1849 et il demeuretel jusqu'en18S8
La statistiquedosbouchersde Paris, mêmede 1802à 1888,
ne peut donc pas être établied'après lesactesadministratifs
elle doit être reconstituéed'après les faits, tels qu'ils nous
apparaissentdansdes documentsdisparateset souventincer-
tains.
<.At)n<!eiS3i,
austtgeduSyndicat delaboucherie, ti, rueduHouie.à
Paris;années<8M t ))tM,«39,iStO.i8t3&1850, <SM&))! iMt,IM~.
a la Bibtioth6<tue
nationale,V.~.030et suivants.
ï. Ala Bib)iot))u<jue
nationale.
V.M.Mtet suivants, années)Se!,<863.
i8M,J8M,iS6t,1872, iS7B,MMetsuivante:.
3. Malheureusement,cessériesprésentent, du faitque denombreux
tomes sontintreuvabtos,deslacunes importantes qu'onconstatera plus
loin.
Bbet,DueammM'ce dela boucherie,citéplushaut,p.5.
6.BorreMtdeSerres,Notice tM<'!<cemNWM AoMc~ne <~Paris,
Paris,iMt,in-8'.
<.EmMtThomM. Le!M)vM<tMf~<iax.<; dela n<M«et<M o~)«oi)'A-
dela rilledeParis,Paris,<873,in-8'.
T.Armand MusMn,consommations dePaWt. 2'édit.,PMi!, in.8*.
4M!t,
8.MMS)', DesAa«M f<MftfcA~. e<dllcommerce dese~h decotMom.
malion a ~oK<<«!t
<fa Paris,Paris,tSM.vot. in.8*.t. tt.
t. Barboret,
te travaileaft-ooee,1.1,
cite plushaut,p.6.
10.Maxime duCamp, Paris,sesorganes,sesfotte<)OMe<Mfiedansla
seconde mo«M du Hr-~e<t,Parts,M69.tM5,6 vot. in~ t.U.
tt.Hct'MtX.–t.'tXDCSTMECtfLABuUCMKMËAf'AMS 9
Ht
VAKtATtOKSDU NOMBREDES COUCU&RS
ET UU NOMBREDES tNOtVtDUSOCCUt'~St)AKS LA BOUCUERIE
A. – ZM faits.
t. Bizet,
Ducommerce dela 4M<W)'t,p. 3ft.
1.
X.BorrellideSerres,
Notice
Mfle commercedela 4eM<'A<)'f~
de ParM,
p.H.
3.Arohh'c: FI<.St9.
nationalos, 7 p.in-fot.,
p.0.
10 L'ASIE SOCtOMMMQUB.
IMUMt
<.fOrtUlon,
ancient<ouehcrj,Coup<<'<)-</
«<ffanptfHcoMt~x-fce dete«.
fAcfM &~ofM, <afMM ~a<ff<& «tf <Mmoyens (fyw<Me)'l'ordre,
<<aM«)<f<'a~)fot~<MM)MW)< cht P«rtt«d'yfaire~xxMMo'pt'M'dola
0)aM<h,~Mtl.tn-M.,9p., Archives f" UM.
nationales,
S.Premierregtbtredett
procès-verbauxdesa<MCM dnConseil d'adnttn~
tmtMa det'tnMrtew et de la police~ntrate,Archivesnationales,APn'
<e9,tëtneeduSi ventôseanX,p.3tt.
9.Borrelli
doSerMii,~««cf,p.1t.
4.n oefautpu confondre cesapprovbfoomurj au détailaveclesappro.
visionneum<«gros(voirplus totn.p. ig.88:q'j.),j.mtr));s()aetB
MM
t~servoM leterme
expressément d'o~jpMttM'eMtteutw.
Il. BOUMtN. L'MDUSTMN DN LA BOCCHEME A t'AHM it
~At~:t<M-tt~
détaillants~t~~
des i~~tt~~
balleset~t ~t.A- -t~
marchésparait ~i~
moins~.t-- ~.t~~t
sûr c'est un
nombrearrondi, dont la constitutionn'est pasexpliquée,et
donttes composantsne sont pas indiques admettons-letou-
tefois,fautede mieux. Entin,te nombrefournipour tescol-
porteursest tout à faitincertainet improbable;ii est incertain
parcequ'il ne se trouve que dans un texte, oOil n'est pré-
senté que commeun on-dit et il est improbableparcequ'ii
forme,par additionaveclesdeuxautresnombresprécédem-
mentadmis,un total (880+ 300+ 000ou700==1480ou1 880)
très supérieurau nombreexceptionnel, et lui-mêmehypothé-
tique, fournipour l'ensembledesboucherset desmarchands
de viandeen 1801 on n'en sauraitfaireétat, pourétablirle
total du personnelde l'industriedela boucherieen 180S,que
commed'un élémenttrès indéterminé.
t! était nécessairede préciserla positionde ces premiers
nombresau débutde la recherchestatistique oncontinuera
cette rechercheen poursuivantl'analyseainsicommencée.
Nousauronsd'ailleursà adjoindreaux catégoriesque nous
venonsde reconnattre,à partir du momentou nousrencon-
treronsdes donnéesqui les concernent,deuxautres catégo-
ries, cette des bouchers en gros, et celle des individus,
nombretotal, employésdans la boucherie.
i. CA«M)4fe
de«MMMMfce <~e7'a<'M.M~Mf, iMO, p.iS.
9./tnnM<tt<'e~
la toMtAet'te
deJ'af-h,)862.
3.MM.,1066. «M,<M9.
4.Maxime duCMnp. ParM,sesefyaMM, ~0/~KctieM elMrie~<t<M
la
.«'<o<t<~
motWduXM* t.
«Me, U.p. t)8.
5. CAatntre
decommerce <<e/'aW<,
&H~M«f. i87: p.67.
6.ArmandMuMon, LesMt~eMmoNoM de~'<t)-M.
p.m.
7. Annuairedela boucherie
de/'a)-«,)8?6.
8. ~<<M municipaldM~a)'n)H<«<M~M~<te Paris,p~g,MT6,1farte.
n*MM.
ttdtninmtMth'e,
t'ibtiotMqao
9. Voirplusfoin,p.13.
<4
4 t.'ASK~B MCMMO!OCE. )e03.)Mt
t. BuMt,
DuMMttMt<'M<<<
<otetttAeWe,
p.ttS.
<6 t.'ASXÉK MOUBtt
M<:)OK)G«)UE.
« Il y a 104marchésdans t'anuéoet 72 bouchersde Parisqui
approvisionnentchaque marché', w Ces 78 bouchersrepré.
soutent la catégorie,mentionnéeplus haut. des bouchers
établisdansleshalles et marchésa cette catégorieestcelle
des bouchersque nous appellerons bouchers de détailde
Parisvendantdansles marchés,Il fauten distinguer la caté-
gorie, égaiomeutmentionnéeplus haut, des marchandsau
détailqui no sont pas bouchersparisiensétablis. Or, nous
retrouvonscette secondecatégorieà peu prés à la mêmedate.
Nouslisons,en ettet, dans une lettre du préfet de policeau
ministrede l'intérieur, en date du 2 octobre!838 que de
1824a 1826le nombredes étaux do boucherieaccordésaux
forainsdans tesmarchésa été porté de 34 à 80' n. !)onc.en
1824,i1 y avait dans tes marchés M bouchers parisienset
24 bouchersforains ce dernier nombres'élèveà 80 de 1824
à t82S.L'ordonnancedu2S mars 1830réserva72 placesaux
bouchersde Paris et 24 places aux bouchers forains pour
approvisionner le marchédes Prouvaires;maisen dehorsdu
marchédesProuvaires~iiyavaitd'autres marchés,notamment
le marchéSaint-Germain,ouvert en 1817,et tes marchésdes
Carmeset des Blancs-Manteaux, ouvertsen 18t9*: quel était
le nombredes bouchersqui approvisionnaientces marchés?
D'aprèsl'article23Sde t'ordonnancede 1830,la concurrence
entrebouchersde Paris et boucliersforainss'yaccomplissait
selondesproportionsétabliespar tes réglements:maisquelles
étaient,en fait, ces proportions Nous ne te savonspas avant
1839,et jusqu'en1839,nous devonsconsidérer chacundes
nombres72,24,et 72 + 24 == UC,comme un nombre mini-
mum maisen 1839,après l'ouverturedesnouveauxmarchés
Popincourt< )83i),desPatriarches(1832)et de la Madeleine
<.Mt'<
2. ~fMHttacAdu c<t)nM)f)-<'<'<<<<<tteMc/tfft'f, )8t0. p. SO: 18i3, p. S: )Stt,
p. M: t8tS, p. M: )<t6. p. M )Bt7, p. 2<i; CAaMt~f </f e<)mM)trcc<ff~<f'M,
M«fh<h)t«! ti!4'r-MM. t. t. 9' partie, p. 18.
!f. ~M~M('<<'~ft/<!<'t'< <M''la pt'0f/t« ~'Ottf< la M<MOO))Oa/)M de la t't«t)<<<!
de boucherie, t. p. Z')-~8; Borfctfi de Sot-ret, .o/<('f, p. 55: MM!!)', Des
A«~ el t))e)'t-/«~. du Ct))MMf)-Ct! des objets de MMOMMta/tMtto)K<fM
<'<<)J"<!)-h.t. )t. p. 4S3.tXt.
t. Annuaire de la AoM<tfft<, 1862.1803. iMS. iM8. t!69.
&. Du CM)p. /'«'-M. t. Il. p. 113.
6. ~(t)H<M)t'ed<<<t boucherie, tM2.
7. Chambre de <-<))!!M!ee<~ Pat'M, ~M~M~/c,iST!. p. 2)2; – voir j))a<
hMt, p. t:
8. /!a/)~ot~ M)' /'a~Mt'MoHM<MfM<de Paris, voir plus haut. p. 6'
i;u~H:HEt)t.–Annecso(:t(M..t)MH).tMVt. ï
18 L'AXXÉE <903.)9et
SOCtOLOGtQCE.
« marchandedans tes marchés,M: pouvons-nousadmettre
que la diCërenceentre 4t7 et 200, soit IS7, représentele
Membredes bouchersnon parisiensou nonétablis vendant
dans les marches? Rapproche do Ht, qui représente ce
nombrepour t8S9,et de 4M,qui le représentepour188), le
nombre187 pour 1873paratt bien faible. et on a peine a
l'admettre; mais si ion remarque que, de 18Mà 1873.le
nombredescréationsde marchéscouverts,où s'établissentà
demeureles bouchersde Paris, est de 11,contre seulement
3 créationsdo marchésdécouverts,où fréquententtes bou-
chers forains,et qu'aucontraire,de 1873à 188t, ces nombres
sont respectivement de 4 et de 7 (dont pluaieursmarchés
découvertstrèsimportants) le nombre1S7parait p!ausib)o.
Peut ou calculerles nombrescorrespondantspour les années
18CO,180t.1862,1864, 1867.1868,1870,pour lesquellesnous
avonstes nombresdes bouchersdeParisétablisdansles mar-
chés? Enadmettantque le rapport entreces nombreset ceux
que nouscherchonssoit resté constantde 1860à 1873,nous
aurions respectivementles nombres78.103, 100, 103, )37,
ISt et 160pour1860.186t. 1862,186t.1867,1868et 1870.La
diminutionde121à 75do 18S7à 1861nedoit pas surprendre
par suitedel'annexionde 1889,un grand nombrede bouchera
forainssontdevenusbouchersparisiens.
Lesee)xotom<)<iMtt
i. ttnMon, liet'ttttt,p. )tt.
2.<h!Mt'/w)'<'appMt~t<M)n<'B)fH<
de~<-M, 19M,p.203.
3.Bizet,
DMcommercedela toMcAf) te, p. 476.
Il. tMfHCHf. – t.'MDt'STtUE PR t.A BOCO)E)m!A PARtS fO
i. Surlaboucherieengros,voirplusMa.p.? i~).
llusson.LesMttMMMMMtMt! </f~<t<'&,
p. <M )MboNehen! en er'M
fifixant)-M<it)en)ent
le tt)t!t!er
doboucher engros,et tuant(mxabattoirs le
nombre de4!M Mtab))Mementscitéparlen~meHusson, r''n-
)).H),Mrttft
ionMerane erreurouun double emploi.
N.Annuaire <tn<M/t~Mfdela ville(le/*ar~,annéestSXS t tMO)tt'tor-
Utiun desbouclierset deschareatfeM parabattoiret pargenret)ecufn'
tncrce.
t. Sur cette (UtMrencfation,
voir ptas !oin, p. 90~<).
? ).X~ <M3.)90t
~OCtOLOOM~B.
g~s~! ~i ë~ x~ ~T: ~p ~i
Ss Ss~ ~S Ss~ p i~Si S~' S~~ uw
s; s~ s gj~
) < t S 7 M U
)M''
~)<i
!!MO
1818
88i
M)
)Mt
t!t'M>ï'i'0 3W
tM!) 35:
t~t :? M M? M M ?'
)~5 <tM>3M M >t~ M tM >aM
tM<MO K 80 iM
!<MO
~M<7M
))t:!) tM 5tt
)'M M) > 7~ > STN > 24 > 9). T> &9?
t')) 4M
)M! M)i
tm tm
_j_
t LctMn~fetde tctte cotoMooli out été obt<*t)t)<par tnttthtion dos tt0t)tbh''t ~nv~~mM~nt~ d«
~tmtttM: 3 4. Muf pouftn M)t~t ))!<?. tM), tXM, tH!. )<?<, )'?, tM< )Nfr t'-sqafttM
«mt H)«t)Mitt«fe<)t donnée («t les MtlKM.
Les tmothre* <)<'cette colonne 7 ant été obtenus par )'«)<)i)ioMdes nomttrM <'Mn'<)xtad)M)t)des
<"t<mM 4 <t (! pour les toxfM ttït )<m ils sont iM)m&ij<(<'OMt)t
ttentK'f par )tt <«uttM pour
)..tm)h~ tXM. t<!7aet i<)!t t tOM.
)<« tMntbïv~ de cette colonne 6 ont ~té ~btetMMpar t'tddtMo)) dc< MOH))~Ms
correspondants des
rotum~t 3 e~ ?, ou S et C.
t. t/t tMmbt'Mde Mtte colonne iu mt M4 eMeaut par )'<uMM<m<in lie 'thn-t certt'tM))<h)<(< des
f~OOM )t ft 9.
23 L'AKX~ MCtOLOG~UK.
)903.<M~
â dr aa
é $'S
S m .ct, w
-3
,p/ 8 ~~rr~~ ~·~`
m y
f 8 9d
OMt ?0
M35 49i)
i8M 4M
<M7 <u9
t<tM Mo
~) M ji~ 7s
JM9
SOU lu SM 73 JM CM
1810
1 MO M M9 73 iM (iS2
~M! Mt) 79 MH 73 iM fiât M 7M
<M9 suo M M9 73 <M «?
MM Mo 79 SM 73 CM
t~ MO M M4 77 Mt OCt
846 Mt) et SM 77 «) eut M M4
<M7 6M M &M 77 <6i wi 7t ?? 2tM'
1M< MU to B)<) ~H -t6) oui
849 M) M M) Mt Mi (!6<
MM M) M Mi <M Mt M9
MM Ml M bit i2< i6) <M~
MM Mt M St) ~t <6t 6M
M<3
8 M) M SU ~) )6) 662
tM~ M) 40 M) <Si <C) 0<i!
M!t! M) M Stt m 06) CM
MM Mt Mt tel tu) 6M
MM M) M M) ~i lui CM
ISM ofiffltè.
XMtt.
iM9
MM )j3S 137 <269 75 S)t tMt 4H)i'
Mei t)3) lis t30!t 103 :75 HM
MM ))i! iou 967
<M3
MM )M) n~ 1453 iM 275 )M6
iM6
MM 13M M2 <6M iM t)9 i7M
MM UM ?3 t7'M <&t 4M tM7
l889
1870 tHt 2M i8t! )60 ~S !00!
M7t SM <57 4)9
MM t3M MM tSM <&7 <t7 1779 <i«8'
M7! :<M i7M <57 <i7 tt!M tM ~Ottt
1 ttt! 1 --1-
5. Ct' <Mm)tr<.t M ehtenuj'M t âdditim) au total 7M(chefsd'MttMpriM; du aombfetotal det((((~
mttrhn dmnt par la .!<<t«tM~f< de «M-XM.
t. Ce total, mojtetttM).a été eMetM)jur )')M)<titi<m
du nombretotal des Mifriof*dmnf lier la
.S'/a<t)~tmde tttM.soit !M!. <M) nombret)M tMttthef) de dfhi) <p)<rofi't<'mm<t h ville de
Potit tn tMw.plus te neotbn.'desbotMht-n ou gros rB 18 ('hntitfe tnn~ <)«<)X''e).
Ce nombre M obtmn jmr )'m)d)tio«du nonthn*total deseotricM donné part'A'tt~tt~e
de KM, soit t!M, mtott) desbe~hmt tpptttMttinM't la ville<)<! t'<~<m mi. p)m to nombre
dt<))eM<htM en gtM <) t<!9.
a.
Il. BOUBGtK. t.'tNDUSTtUBDR LA BOt'CMKatEA PAM< 33
»
S~ ~J E~ S g § ~i~
1p!
9 < f ? < « X) t)
)M~ iCM*
)~.
)H'i )M!)
)~! iTM'
m78 inu'
< )tt7'J t6H
)!i)it) tMi
~x) <6m :t9t <M7 t!3 ?t7 S!3SO
tsM t0t!: ïUt <<)M M7 7U) S~3
t)i!f~ )<iM t9M 7)7i 237!' !M S~M
)Mt tM9 ?6 <9)M' Mt 757 MUS M9 !t!i
<)! n)8 ~t SeC9 t77 M) 8t79 Mt ~770
)S!!fi )797 NS SOM t89 774 i!:7t Mi !!8!iS
tM7 )?? K55 Zm !it)
11 M ~7~ Ï77 i!9M
)MS i9~ ~7 2)86 MO ?7 !!?tS :8t !t0~9
tMM t9t4 Mo St<M M~ 7~ SEM ~7 Ï9M
!K!M tW7 M) 8i38 M* 7M Set~ ?8 ÏM3
)S~1 <M) Mt ZiM 49) 7M 2S93 M iitttU
)S'J!i )89t M< 2<:«! 489 7M X<a.'i "63 :!8S8
).s'a t9tt M9 2i!i9 506 7!i?) ge<i5 Mt ïmM
i~t ))i7! Ktt :!<<? ttB 7Ht SM) SM i!tM!3
iSi'j )tt69 2M 2eM !.)0 7~ ~<Mt xn i!9)S
)MO tt)70 ?: :<M MU 7M !<MS M Ï9ia ~?5'
~7 t)t83 539 2H6 S~ti 75!' !tiM 30S! Ï9tt
)M8 mt N9 2093 S70 m9 SM3 Si)ti ~95!'
)?' )9M Mt 2<!i0 ?7 Mt 27~7 Si)7 30tt
tfuu 1973 M3 S~t. ei <it:t M!i ~?0 i!))3 3~t
<Me et 60 st 3t
Kt!) 0) M
i)KM
(Ma
MM M 00 M
«65
)XM
ttfM ft 7< m
tXM 78 81 7t
t869
18iO 0 St 88 M
1871
IttM 3 77 M M
'M3 77 81 7t M
iM4 79
1876 5
1876 M
82
1877 tt3
M
18i8 )t)
ift79 82
M
tOM )!t
t8M 86 ))t M
<"? 88 M ?
«? 89 9ï M 90
<M4 M Ut 93 M
iMS 9~ US 9i ?
<M6 96 99 98 98
t!'X7 tôt ~M )M tOZ
i8)t8 t03 tOt <()i lOt
KM i03 t03 <<? <?
<MO iOt )0t MO 99
i89t tOO <00 98 97
INM iOi 101 iOO 99
iMS iM <03 )()) iOt
«!9t MO iOO ? 99
1895 MO 99 M it)0
i8M MO <OK iOO )M )M
'M7 i0< i00 MO M)
i8M 99 99 i0) lot
<899 <M MS toi tOi
<MO )M iM M7 M7
1.Lestermctde cotopamteon,
obtenu):
deta f~'onquia cteditf.Mnt
respectivement
ëgaot &
)M!+'MO+t<M
3 = 1870pourla colonn(,
3g dutableau
j 1;
OM+t))M-t.!M3
––– = ,“M8,pouri)tcolonne&;
ÎMi+iMt-t-ÏM!
––-–,–-–– =263! ponrta<'o)onne8;
S;
StM+~tS+t!)!= :92t mtonnuM;
––––– pourt<t
<90M,seulnombre donnupour)ttcv!o))no
tt.
sa L'A-Htt~ 60CMLOOtQUK.<903-t9M
tion très rapide; 2' (te tS70 a t872 une diminution brusque
3° de t872 à 1888une augmentation rapide, mais non sans
irr~gutarite; 4° enfin, à partir de 1888,un arrêt, une sorte de
plateau Irrégulier, ne comportant pas de très grands écarts
entre le point maximum d'abaissement et le point maximum
de relèvement. Quelles sont les causes de ce mouvement, et
des quatre moments qu'on y distingue?
B. – /<fcA<'<'t'Af
(/M C<«MM.
XOMtt! .\OMMe"MtTtttUSSt!ttK!<T!it)KMt'C)tMM
–––––––––––––––––––––––––––––––––––––'––––––––––
)\"<~
.k.,<ttt,)! ))<,udt'.t.Mnd..tt )toM))Mt<t)mroY..io..Mttt
l,
ttK'ob'. knUe~'t'Mit.
<.u)joMti<[u<
t J t
r.
!ttitt<)tt~!)
xl.alre !!<~tt!tth~f)
,llit. ~,ul"l
'!tt)htttk)h)
a¡..I\I !t"t'it'!ni[i
r.lnits
t~U Mtttti MO 0~ Mt ].M
)860 tOH7i ttS: f.t~ Oit i.33
i! ~:tïM )M2 LtO <779 ).H
)!!? HX~ ))i?0 ). 2UM ~.tt!
1. 1. 1I01III'r. dr Cl'U(' rolunur ",ut UI+!Iodr la .~Inliarimr d~· t~1 H.Ij, m'
.~<tttft~'k'tM~.tk'r/i')Mt<t<d<'tMi,<h'</f<'n<«o<<<f)(WMfM<'<t<det')M la
''tahtt~Mtft'Mt!*Ct)KttMt''Sdt' ~ftt* <t UMt'JKV~ttW~
).
). U'tpttsRoUtc,~at ~<hc/«)'~<')tft'tc.
p. 39.la proportionp. 100des
~!th)i<sM)fnt!!
dobouchofie au notobre(uta)des <;t.tb)iitsomfn~
enAt)):-
est
ffMf{n'!pMM <h';{.KpourJpft
G ewerbcbstricbeet 2,09pourte<Uanpt-
betriebeen t)! it ~,Met S,!&nispccUvcmcnt en t8M.
32 L'AXX~K t9M-t90t
SOOfuntitQL'K.
ta affaire & une industrie spéciale dont des causes speciates
peuvent expliquer le devetoppement.
~~XO~hKvoranR
xoyuaa ~MM
Yuraae SOM.
W rene
''M h)t)th<tt xm .m«t)frttde<
t-ifte!. des des des < "–
d'enreNis· G ekB
httien. <hMti.M.
K~hM. thmt~is. t<~i.t,.
'~m~J' MMO~ fj~<. de
M!tOt<U.t.
Y d
f ~J__A 7 <
V. – XoMMHKS
TAMt.HAt' KXPMtM.~T t). YA,Mt'tt )0))e0HAM)-
CUMMttiX
T.~TS,M: MUL'CttKttS
KTt)'tXt))\-H)t-S
.U't'AKTKXAXTA ).'<St't'<T)')H
Ut!
).AHUt'CHKMt)!
A )'AH)S
t_ ?Ó
~M f.!it t:9t
mn ;).M
)"~ <i.3t 7.t -M
)~6 S.ft ti.M );.)!f
)!~t ii.5 )..)') );.i)7 7.)
t)!t6 4.H :i.M )i.~)j 6.K. ~3
') t.76 S.tt 6.~)
t!!jt' 4~7 t.6)
I.GI ;M
:r.(ü
)8'!U'
18f10' U.MT
Il,6; :t2,;
fi.2li
tM7' 'S s.")i «.M
tttf!' *? S.7)) 9.61 )<).? M~
t~G *.7t )i.)f
IIIi6
)8X) 7,ji:
'.M 8 ,lit!
x.H) )o.:jS
1U.3"J
i88U
~M i,nG
'i6 x.1
K.SX IO,:I~
)U.Mi )~.tC
i$.lU
'S'') '.K: X.) tu.M )t.6i!
t<M K~tt M.M )).) ~))
4i.IU
f'M't 'ti S.)t! )O.M )).()
_L_
H.t"tt'tm)m'«k-c<!ttt')i~tt'-M))t<))n~<t.)))rt<)'-d«mt<t)'n'mt-ntd.-)!t!i<
J.t.<'«tMt)hr<'<d<'c<'tt<')i)!ttt.<mt<!t)<u)Mdt))ftjt)<'d~)«MM))n'm<'t)t~)M)
:t. ~.<t.om!.r<-<d<-~Uc ti~H, wont <-a)nt)<.tdtj~. )<-d<'<)nm).n'm<'tttde- ))!6ti.
t.)~M<<nAft<<)<'c<'tt<-)ipK-M)tctt'-t)Mt(t'!))!f<-<ktM'mttt)'fetM<')tt<f<-t))t!t.
AHMfMttSEfetTt
i\vf.l:a -–––––––––<mt~mM<n.!
AX'0'.t:~ .m) <<*<*«<<*–––––––
t 7 8 M <0 H !8
) 2J 3 5 'ijf
f mouvement de hausse.puisarrêtsuividehausse:deuxième,
troisième, cinquième,huitièmearroudtssemeuts; mou-
vement de hausse, puis mouvementde baisse sixième,
neuvième,dixième; ou mouvementde hausse, puis arrêt
suivi de baisse onzième 3° mouvement de hausse,
puis arrêt premier, septième;ou mouvementde hausse.
puis mouvementde baisse suivi d'arrêt quatrième, dou-
zième.
Cesobservationsnousmettentsur la voie d'une recherche
plus précise. Nousavonscalculé, pour les années qui cOn-
cident avec un dénombrement, ou qui en sont les plus voi-
sines, les rapportsà la populationdesnombresdesbouchers
dans chaque arrondissement et nousavons calculé le rap-
port des nombresainsi obtenusau nombreprécédemment
obtenu pour le rapport du nombre total des bouchersà la
populationtotalede Paris, ce nombreétant égalé à tOO.Les
résultatsdecescalculssont présentésau tableau VI!.
fAt)AKHt'!fM)!iS)i!tt)!XT' 1
quatrièmeprésentent,au contraire,que!qt<esvariationsrela-
tivementconsidérables.
D'arrondissement à arrondissement,dansunemêmeannée,
et annéepar année,nousconstatonsdes variationsbeaucoup
pius grandes. Par rapportau nombrequi représentele rap-
port total à la populationtotale, égalé a iOO,les rapports
particuliers,dans les dinérentsarrondissements,vontde (!4
a t60en ~823, de C9à 144en 1833.de 03à 1SOen 1839,de 6S
à tS3en 184f!,de 62 à 1Men ~47, de 69à 1Meh i8M. de Mi
.) )S8 en t8S7. L'inégalitéde la diltéreneeentre le nombre
maximumet le nombreminimum,annéepar année, de 1823
a 18S7,onre l'apparenced'un phénomèneintéressant; mais
ce phénomènepeut êtreétudiéde plus près.
Si nous groupons autour de la moyenne,pour les sept
expériencesconsidérées,les douzearrondissementsde Paris,
le groupementapparattdillérent d'une expérienceà l'autre.
LegraphiqueH met cetteconstatationen évidence.H en res-
sort qu'en 1823la diversitéétait grandeentre lesarrondisse-
ments,quant aux nombresrelatifsdes bouchers;que de d833
a !8S3s'opéra un mouvementde resserrementautour de la
moyenne enfin, qu'en ~8Ms'était accompliun mouvement
inversode dinérenciation,mais que ce mouvementavait
itboutià un groupementsensiblementdiuérent de celui de
!M3. En ~823,deux arrondissementstiennent la tête, très
loinau-dessusdela moyenne,et sont suivis,à intervalle,d'un
troisième; puis, après un autre intervalle, vient le reste
des arrondissements,en une massecontinue. En 1833,les
arrondissementsqui tenaientla tête se rapprocbentde la
moyenne,tandis qu'unepartie de ceuxqui étaientvoisinsde
la moyennevienten quelquesorte au-devantd'eux l'autre
partierecule et se rapprochedes arrondissementsqui étaient
en queue.Cegroupementapparatt disloquéen 1839 il s'est
forméun groupeimportantautourde la moyenne,et, de part
et d'autre, deux petitsgroupesextrêmes maisles limitesde
la lignede groupementgénéraine se sontpas écartéesdavan-
tage. En 1846,en 184T,ouconstatela constitutionde petits
groupes,do plus en plushomogènes.En 18~3,les groupesse
sont rejoints, à l'exceptiond'un seul arroudissement,et la
tendance&l'homogénéité semblealors maxima;maiselleest
rompueen 1887,et tandisqu'un groupe, le plus important,
reste autour de la moyenne,deux groupesextrêmesse sont
reconstitués,à la limitede part et d'autre.
L'XKHSUCfOMnfO~.XXtS.tMM
)<*
n).m),pour chaque ttrrondMMtuont, ftpport du nombredes boucht'tf
.))itpupu)aUo«.
6
if
a s~~r:~x~ï'ss~~?'ë~s y~
ô
i
E ~Eëi~S~3S5~S~~j?~,?,j:e~sS
1
S
~K~S~S~JEEgSë~
1 s
=. :?
S~SëE~=~3~gXg3~$~SS~S~Së 3
s
?
w S t ~Si:3~3ES~gS3~f"S=SëSSS~s 's
E
C
c s ?
:~5ssëp~ëess~ssËS~ss~ëSg3~
ë
a 3SSS!r:;5xt-:f;X'~EM~S35S;=
ë
o -5
S =i:SSR:<S~SN'S~SE!St:5i=~r:SsS
s s
s S ~Sgs:s3gëS;t:fS!~K~S~S
s a~-––––––––––––––––
5 =
s ~~=~SSSS~3$SS~3
E 2 SS~ëgSg~=25~2S2~E2~ë~g
L
.,i
4
G
SSSS~2~E~:3
« x~
'.§Si=S.=S~r:.=R!xSS!.SS~gX~SKS
.5
s
M! ~~S~S~HE~aSE~Së~SESS~S~gS~f'
S
u
m
L ~SSSS~~SSSS~~SSSS~
Il
"4
m J~S~SSSSSSSS'.XSËg
M
m
t:
-*j~3B~S9S'SS3g~i.e~g~gj=~sggg
3
C~~â.4:~
) 525§sr:i'r:Sf=S':ë3ës~s
t-1-t-t.t~ll-1·t-1-1-l.ypl-cCCCLC~s'.xG
) i-.r e
..t
) SSS~S3S3S'SSSSSS'33~3:~
_i.J.~=.l:;i'ti:t.Qtp;,·q;prtr::i:r'S.f.W:7
H
) 3!!SsSi'!S3~3SS%3Sës.=S'=3!.=ssSS"
âm r
;;7
`'c~3~o~ô~â~d~x~w~x x
-~i
M. M).'M)X.–).'t}!t)L'TMt!DEt.AM')U'.)))!n<HAPAtUS 47
e
K
M S
~SS~~K~S~SK~S~~S
I
jt S~Si-~psss~SK~B~Sx
e~t~t~c't~
ë
f
e ~SS~~S$$SS~!?KS~K
S '––~–~–––––––––––– '6
v
=. < KgsSSSr:ss~~E~~?)~N!iS~
s f pt~)~<t~<sx~~e~x~?'w-
c
ce ~Hs~s~
r
F )<2$ë-Ë?!!i S'<~S!~ss=N%S
c9ct~t-t-;e'te«''t-<e't!K'~?=K's <- i
i
S
== Së~KSS~~SS~SSS~XS S
n
Si -*<MM<t~t-'c;s$'3~xr*
f i6
?!!?o~~toe~<o~~t* s
~Xt9)~t-<C<C«C='X)~CM'e~ t~ >
c
n
3
ë
x ~$g~§S~8~
i?
s _––––––––––– .=
< :s B g
sssq~s~ss~ x
= t~.st~<eot~'c)-~c"c<smt~'ee'<e'e'«
.î!
F
? s L" j.
=: ~~s~s~~SaS~xn~ c
&'
f s~§s~~s=sssss!~ssss r: i
? t" s
~~t~~t~t~t~t~ot~~et~t~~M3C?:aetS<
§ V
~SK~~KSK=S~~S~
'= t_
j-
S a
< X~s~Ë!iS&X9S~SSSg~SS!2
'aoe~tpMt~~30co'A~M'
S
s S~S~S~8~s=2~
3! §s
S~3.S3S~?.S'i2!~SX22~ Ji-
et~e!<a<ne'*<c'*Mt<et~<!e'<~t-x9't'.S! 's
MXittt 'C
~~M-tte<et'ce:='.<o)<Mg':Mc=;
-M«')!t<)t)W
(
~o. -sH
t-'AXXth: SOCIOLOGIOUE. <8nS.t')M
<c)onhpMM-d'i le );r.))))ti~)tt'')).
<))) j))oy<'j~ur
i. J~wfMac~
du cemMWtde la teKcAeftf.
1839,p.M.
sa L'.tX'ff!t!MCtaMO)Qt'E.)OM.t90t
). ~fota))«c/(
~Mcommercede la toMe/w<e.
)OM.
H. BOUH'.tt. – t.'tSOPKTKX!
t)R LA MUCHmH!t fAms 53
– tOOOO habitnuts'
~3,5t!, – )3,~ pour (notons, en pas'
1. &)o<«?/<'/e.~<t~t<«'e f; <<;coMMtMMXtfxMt
<<f Mstf~c
~<'toM<<e<-t<,l. p. ~t0.«<)- <a p)'o<<Me<«)x
~H.~tM. :Mt,!i:M. ~M.~3.
!!4 L'AXX~K )9P;)-<!)Ot
~OCMt.OGtCt'K.
~nt.))~n.)!<tA–––t–.
deux villes différentes, t-tle système de distribution locale de
l'industrie de la boucherie, qui existait avant cette
juxtapo-
sition dans le Paris central, et qui avait été bouleversé
par
elle dans l'ensemble du Paris nouveau, reparut en s'étendant
sur la ville entière.
Il f.<utdépasser maintenant l'année i896, et atteindre l'an.
née tWO.Un t900, une transformation semble s'être
produite:
i1)omog6néité paraît s'être étendue de nouveau sur Paris, à
l'exception de deux arrondissements du centre, le premier
et le neuvième. La situation relative du centre n'est
pas soli-
dement ébraniée, mais dans la périphérie ia distribution
tocaio des bouchers est devenue assez homogène il semble
ici que, sans supprimer complètement l'action des causes
de différenciation locale, une cause plus forte de
développe-
ment générât s'est fait sentir qui a partiellement réduit ces
causes dans l'ensemble d'un phénomène
plus vaste. Nous
essaierons de dégager cette double action par
l'interprétation
des faits.
L'étude de la distribution des bouchers dans les divers
arrondissements do Paris, de 1823 à t8B7. nous a montré
l'existence et l'importance des facteurs locaux dans le déve-
loppement de l'industrie de la boucherie la même étude, de
i8(Wà 1900, nous a montré, en outre, comment ces facteurs
sont intervenus, en une action propre. à coté des autres fac-
teurs déjà déterminés. Peut-on aller plus loiu, et se rendre
compte de quelle manière cette intervention a modifié ies
phénomènes résultant des autres facteurs ? C'est difïtciie, vu
la complexité de ces phénomènes, et l'incertitude de ceux
qui,
mal connus encore, ont pu exercer aussi leur action. Nous
noterons seulement trois séries de corrélations. 1-' De d8()0a
i886, le développement de la boucherie est en hausse, d'abord
rapide, puis irréguiière, puis continue or. durant ces mêmes
périodes, nous constatons, dans ia distribution locale des bou-
chers, la prédominance de la tendance à l'homogénéité. 3' De
~88Cà t896, la boucherie est eu baisse ou ne monte
pas, le
rapport du nombre des bouchers à la population est à peu
prèsconstant, avec tendnnce à ta baisse or, durant ces mêmes
périodes, nous constatons, dans la distribution locale des
bouchers, la prédominance de ta tendance il la différenciation.
3" En i900, la boucherie est en hausse absolue, sinon relati.
vement a ta population or nous constatons à ce moment,
dans la distribution des bouchers, la
prédominance de la
APAftiS H9
M!).AMUUCMBME
t). BOCHGt! L')K))UMMB
¡
~M 'C'
t
~tH~~fIi'
~.se~j.~Y ~8Fs"i~S âs J
'r.
N !ii~~i~.T.4~si!S~~
'B!?;.thS~'s*tfS-
5 ~s'=-sëf4~54=!g4 f
~1~J-9S~.3. -5S~:
S
~H~
s
~9~E~§~~5-~i~f~=~~t~
,q! j i!.f! 5 11 1 ë
~f
C 7 `fi j~ G .?
i~I~is~=!i~
~H ~ii!~=h ï
s
~Lj~~T:n!.
s
0
n.
m ~Js~"
K
la `L ~.s â
x ~i~
0 iC
ë .¡"
.ij.i
-=
=
53 S 1. $ R 1.
Ë ~j~j
K s
ë
a
S g
S e: )'.
1~ 1. 1. 1. ~<r.9!:r*(- 1.
-=- t. J. Iw t. 1. t
C I!
1':
U S_)_ .a_
-ï
-a ~X~'S~= 3::
S
S
.1
ri ~~§S~~
i~ ~3 § ~ë~
.~ti
s ç 2 -'¡¡ éâ ôô o-i i~ i= .,r
a ëao a cl
â_ r. n 1>1 r- aô sri l~
~j~. g~ §g ë~
s: =
'5"j~ sssëësg~ëë ~o ss5ë=
c:a~<:>o-
«>Jt.~a~Q')e':iCO=<I;o
Ss~S~S~SSS~r'
:cs~s~oo<cSSS!<ex!<.x!<
'––'––-<–––«–
MnrMtX. – t.'tSDCSTKtE
CKLA BOCCttRMtt!
A t'AMX05
_`
.i~t Ii
h~i
~ir~ t"~
i~B
s r.£_
!~t-!i!
1 Ë
SS~ëSSS'SS'E~S~ ÏB ~=~
~2~~$~ .`.~
~~S3~ S~
~'S~
''= t. e') c Ti o
2~ mr 3- 'XI C'~3 t? T r i =" Xt
ti
~~2~3S~s~s~
s~= ='
s
3,
~ig!sg?~ T~r i~. 4V i ?1
s
x
~as~~a~§~~ 22a?.S'~
f~'Yi'FiTiYiYi"'
--1
R.t't)<t:)t)~.–tm.'csocio).,i9M.t90t.. · s
Ot) ).i~ti!:octO).ou)Qr)!.)M!.)wt
teplicalive 3,
lolice <<<ca<iee
.'Volice gi-aphiqueFi.
dei ~-e~At~«< t7. – Cu xfMphi'tUt-rcjt~t.'ntc te: (tun
gmpliiilut-les (1011'
n~eade! cotonne*3, &,6, et da tabteauX, <avuif te )!)< <*c, ta s~ri<'
des txxnbref!relatifs reprOMntMtlus quantit< de viande de houcherh'
sortant des abattoirs,par rapport Mnembretnt'yen des<tttnues<89!, tN9:i
et «M <!gaMà 100: la ligneC-n, la sériedes notnbrc!irelatifs ruprv~'u.
tant tes quantités Mates de viande de boueheriv cntruc & t'nris ta
Il. BOtMtK.– t.'tNXCSTME
ORLA BOUOtBME
A PAMS <;ï
IV
v
VANtA'noKS UK LA GtuNOKUH CES ÈTABUSSEMENTS
~= ~ttBHt!
d"
~u~
““
.tt.mpt.).'<
XmttbfM Nombnt .'<dm)~< \ombr<'< XomhM. Xott.)~< .T*
<ko)u< rc)ttif< t).Mh). r<-)t)if< «)~))«. r<-h)tf< ')")t.
t ri ? <
r`.r.wusatzuurrs <:MtfOt!<MT
);r.tt)).)Mt!)t)!XTt(
CflMPPIIS.\IiT
g~_ 3~ M*HiMMK.nH.
j,j .i,
t- â~ ~â
Va tt-
t-
~s~ 'a;~ ~4'
)
_t_ j t 7 _s
)8~ st ti,t9 4M ')3.X) M 0 ;,Ut tUO
~U
«M 3~8 26,K Sût Tt.t):) K 'M tt:M tOU
)tt96
Bon.-het'fctt 1 MS ~J~n~ 7t.<)0 ).09
(tedMtuU. à ~t.itt 7S.i'; )U9 ~ttM i(M
Buuc)Mhe)t 1 M tt.eti it7 M.N )1 t).M
fnf<ruii. a~.M 'ro.'t'r e.M <? ioo
1 S<it) ~.MiStM n~S 20 jt 1
Buucherx-ft
(fu<k't)tU'
~<Mj{fO)t.~ !I &'i.~t! K.ac t.OS ~t!')) )t)0
TAM).tiAUX))t.–MAt')'ORT))('x"MMHt!))MM-Y)<t)!KSt!T)!)tt'MY~
AC KOMMH)! )?!( ËTAHUSSKMESTS A MK)! t'AH
AOBUSOtSSEM)!!(T. B!t «47
Mft'OKT
*XM'<t))!!Ht. fOitBttt! tfoMMt! du nM.bM.tM
drs ,tee ouvriers
tttKTS < .'M.~n~<
uarrierq et e~JtMS au
~ttblin<'m<!tt<. f)<-n)j'!<n'<. n<mtn'<iet r"'tt<f'.
Httb~Mfment)'.
M )0) i!.8!:
2 ï~ !)S ~M
3 36 tttt 3.ÏS ~A
t :t ji.s~
fi <M ~i<) M
M <M :.5U M
3i ? i~7
8 M tôt ï.tt M
,3 ï' t ? 3.211 ~.t
<" tï a.ua «M
« :'8 «) :.M jW
30 83 ~n 97
''<<. M) <tM ~M /?
Xt\. – )<K)'AM)T~X
ÏAMt.HAr t)'S HTABUMKMKNTS,
E!!tM7,
l'AR U'At'KKS
U'Ah11N.8
)'AttAHNUrUISShaIBYT,
AKMKMSSHNEXT. ).)!KMMKK
LR~UNIftlli
MM
URS
m'VtUKK<
Ul'VHIKH3
KTR>1P401Ii8
itTHMt'MY~S
t'T.ttmst.MKXT.tCOM)'t<KXAXT
·
AHMOfKtS'iE u)<mth<T. S.tOumwn.
KTA)').)S!Hitt:XTSCO)))H)!'itfT
0;y. t.!:=
¡m;¡ 1.
ra:.ë.c. 'E
¢ !K.r..
t S~ ~D'~
R c Of t i =~· FAl'
v,-_H t t~-ÏI _Ç
.,¡J,:
t Rp
_i_i~
) Ot ~t H.)!) /<;H ) ).ti M !))!.<)
M ~0[ 3.U ;.M t )ju M ~.M
'Nt ~.tit t) t)t.()!< ? !tt.!)'r
M tM )) t7.:t &) M.~
)t!t ~.t:' <) 7 t3.M6 M jjti.dt
M M tM ~.?'' ~? S !M M ))).<)!
T :)t t"t :).()(, ~9 4 )).77 M.M
K tT tM :t.t:, ;.(.< t~ tr, M.tt
U 8:t ait1 :t.t4 /.w 4 t.Sj! OS.))!
«) M )? 3.11 M/ & 7.0t M M.M)
6t lis S.~ M iU ~3 M777
42 Ï.M M M.? 7).):t
13 4) 'it ).tU M ~t M.M )7 H.t'i
H t.M jw W.tT H& M.M
'S M M ).M M ~:i i.'i.M M :it.t
M <? Z.it M )'S6 N Mtt
17
î tS M i,u M :<.i !i(i.~ M.M
M? ~4 'M .M M M.M M M.:M
'.Si .M :t)j ),!).<)!) 3o.))j
at ? M t.!8 M H 6:t.0t! ~t m,'M
Caris t)M go't? ~.38 'i-t7 Mt ?).?
Y
t'HËKOUËNKSDE S~CtAUSATtON
A. – C<MM(t<Kf<OM (<'<M(<M.s~'f'M
<H(<<pP)!</aMf(' (OMM'M.
Des industries, d'abord annexées à la boucherie, se consti-
tuent sous forme d'industries indépendantes1. C'estlecas pour
<.Tableau
desMMt-c/tao~
AeMcAeM,
t813.<8tt,«t!t. tftte,<Sts.
~~axacA</«M)MMt<)'<'<
<~ <u«cAen< p. i~c.
tfO)!.
3. Articles 96 et suivants,
suivants. 115
de ut
la suivanti:.
suivants, 286
M6 et
et suivants.
Almanach du commerce </<la 6oMe/~tW. WS. p. M.
– L'MDUBTBtK
0. MM'nOtS. M H ttUUC)))!))))!
A)'AM< 87
pour établissementde fondoiret avecgarantiede rendement
ù chacun suivant la qualité des bestiaux ubattus et des
dégraissespour ceux qui n'abattrontpas » cotte organisa-
tion serait placée « sous lu surveillanced'uue commission
administrativecomposéede cinq membres,présidée par le
syndic do la boucherie,de trois commissairesnommés par
Alessieursles marchandsbouchersqui donnerontleur suit à
l'opération,et de celui qui prendraitta gérance» Qu'eûtpu
faire cette espècede sociétécoopérative?Nousn'avons pas
d'indicequ'elleait reçu un commencement d'exécution.
Depuis 1844,le phénomènede spécialisations'est con-
tinué aujourd'hui l'industrie de ia toute du suif est com-
ptëtementséparéede la boucherie,et formeune industrie
indépendante. !i on est de même de toutes tes industries
de transformationet d'utilisationdes produits accessoires
de ta boucherie,dont les emploisindustrielsse sont multi-
pliés au cours du xtx"siècle*.Aujourd'huiplusieurs indus-
tries sont localementannexéesa la boucheriefabatage)aux
abattoirs de la Villette, mais ettes sont parfaitement diffé-
renciéesquant a lu techniqueet à t'entreprise ce sont l'in-
dustriede la triperie, l'industriede la compressiondes cail-
lettes, l'industriede la dénaturationdu sang3.
B. (ft'H<fM.<n'M.
S~Mt'aftOH
Desindustries,d'abordréuniesdansla boucherie,se sépa-
rent pour formerdes industriesspéciales.Ici, c'est le procès
mêmedu travail qui se décomposepourdonner naissanceà
ces industries c'est la sériedes travaux qui constituentle
métierde boucherqui se briseen industriesspécialisées
Noussuivronsdans cetteétude l'ordre mêmede la série
initialedes travauxde la boucherie.
t* ~'<tppntt't'&«MHtCMt~.
L'approvisionnementest, au
t. PMpM«ioM /M/eau eoMtt))<')'t'f
dela ~OMt'AertC, </f/'o))f/<t~f
S;<<*<M<
f'x.'oMtmxM. tMt,tn-fo)..
</c.,t'ar))), ) p.
Annuaire
~/a/M~MC delu <"?'deParis,)M4,p.405.407listedes
produitsacceMoires dela boucherie dansl'industrie.
utilisés
9.Annuairestatistiquedelavillede~nrh.i8M.p. Mt-MS.
t. Cephénomène rentrodanslatModesphénomènes det't'oaMttOMt.
/f<<Mt)~ C'estle proc~entierdela production
(Btcher). qniMdticotnpoM.
&partirdupointinittat. est. l a
qui pour buuc)xirie. en
)'<tppK'vieionnemMt
vhndesurpied.
88 t.'AKS&E!MM:tOt.<MM~CE.
i90!t90t
<. \'ui)')<i
(at)f<tut.
î. Ma~y,~M/«tMM t/ m<!t-f/«'.<.
t. )t. p.iMO.
:). MM.,<<.«/t. )), p. )<? les bouchon!0 la (-hevittf,
« indeMendM).
tttcntdt!la vente<n).t~tai).)a'itsopt'-rentdan.<)<.<
hoatiqu' qu'itssont
('-MM <)<-
)MMM'h'r et de tenirbiengamtes,se th'rcntau cotOtnerte <)fla
viandeen t{ros
Il. MtHm.tX. – )/)Xt)U!iTn)E DK LA M'HCMKMtK
A t'AKts 93
t. ~'Kf/f«'<e
~t'iMt-f ftMt'la pt'Of/Mf/tOMe<<Hc«t<MmtMft<t<'t)
t/f litt'fHMf/C
</e~oMc/tM-t. t, j). 27!
2. C'cst'&ttire )meottxnfrcedetan't'cnteau <~)mn.
8. ~MOtfe<M)' lestHCOMt't'HtM~'/f <ft<:OfMt<fMc<f<tM
f/M<)ta«MiM .t'Mf'
t'atM,p. <!i,)7.
4. Sur le nûtot'tt'tfstueriesrt'tath'oncntau nombre')vs))ua~;))vM fai-
).<mt t'abatagt:,Yuirptushaut,p. OU.
96 L'AXXtiK
MOOLCCtQH.)9M.tCOt
C. – COM~'fXft'OM
(f<M</)M~
(M~C«t~.
). Ct.B)n-))eMt.
te <t'at«~.t. )t. 3W.
~oMMoife <<<
statistique laville<<tParis,1883,p. 409 «. MMehandt
tvoMnMtlesHatteecenUttcs.e
<)'tUoy)M):
3. Mas!.y.
CMAaK~et mafcA~,t. H, p. S!M.S34.
)t.BOUnmX.–L't!:DU!!TRtf!M)<).AMOUC)))!tU)!At'Ams 101
travail,Lapetite M'M<
<. Office<<M p M4.
2. MMsy,DMA<t«M et marchés,t. Il, p. SM.
<02 L'AXXK'! i903.MOt
suCMMGtQL'E.
U. dit (t'ncatL
D<'<'oM)pcs<<tOtt
Danschacunedes forme:et des spécialitésd'industrie que
nous avonsdistinguées,nousaurionsmaintenantà étudier le
phénomènede la décomposition du travail, qui a lieu chaque
foisqu'un iudividuparticulierest affectespécialementà une
tAcheparticulièreet différenciée;nous l'étudterons seule-
ment dans la boucheriede détail, qui est la (ormela plus
complexe,à partir de ia boucherieprimitive.
La boucherie primitive nous offre la réunion de deux
séries de taches confonduesdans l'établissementet dans la
personnedu boucher, lu série industrielleet la série con).
merciale. La décompositiondu travail est commencéedès
qu'un personne!spécialest affectéà chacunede ces séries
or nous constatonscette spécialisationde personnel dès les
premièresannéesdu x)x"siècle.L'ordonnancede police du
25 mars 1830en fait état quand elle distingueles étatierset
les garçons bouchers c'est-adire les individusaffectésau
service de l'étal et au commercede détail, et les individus
affectésau servicedo l'abattoir mais cette spécialisation
n'est pas rigoureuse,et, à côté des étaliers et des garçons
bouchers, il y a les « doublesmains », qui font à )a fois le
servicede l'étal et le servicede l'abattoir*.Enfin,dès ce mo-
ment même, le commercede détail de la boucherie com-
porte une divisiondu travailentre le personnelpréposéau
débit do la viande(étatier,second,troisième)et le personnel
préposéà la recette(caissière)
Par suite du phénomènede dissociationindustrielle qui
sépare l'unede l'autre l'industriede l'abatageet la boucherie
en gros, d'une part, et la boucheriede détail, d'autre part, le
travail industriel dans cettedernière se trouve réduit, et la
décompositiongénéraledu travailpeut s'y trouver changée.
Maisd'abord la réductiondu travailindustrieln'est pas uni-
formedans toutela boucheriede détail.Aujourd'huimêmeil
subsisteà Paris quelquesétablissementsde « boucheriedite
« régulièreparce que, soudéeà un échaudoir,elle réalisela
boucherieprimitive' w.Réalisationincomplèteet partielle
t. Ordonnancelu policedu ? mars1830,(tfti'-)us
it, <4!t
ettu:VMts.
Bizel,Ducommerce dela totfc/ttWe,
p. t9<s<)().
3..Ye/f ~t'f'~fH/t~ par M. Biom – cf. CA«MtAt< f/f MMMfn'f ~'<«'M,
.S~M~MC <860, p. 14.
t. 0/)f<w</« /far<tt<, La pcMc «tf/fM/Wf.t. l, p. ~t.
H. ttOURtMX. ).')'<OUATn!i! UH LA Mt)t'CMM(K A PAHtS i03
E. JMOCM~H ~'«t~M~M.
t. Office
</«<t'afa«. L 1.p.SO.
LapetiteiMt<<M<f(f,
2./M< p. ~9.Sï4,&?;Pion,LecfMtMio'M dela boucherie
ri forM.
p. )?.
3.LatojUMn Olida,la maisonFfU):Putin(ruede Rennee),
lamaison
Damoy.
i04 L'ASIE tWS-tMt
SOC~O~OG~O~');.
Vt
VARIATIONS
DELAt'OSCTtON
M LABOUCttKKtK
1.Cf.te eatt)of!"e
dola nxu~'n0)i<t<t.t'tn-is,[)9<)t], in- 69 p., p.
Boucherie, Kxn'au prcxa)' j'. !< Cuisine(catt.
hmof,vea, tttotttot). et
)u){M c~)<)cata)u){ae
sp)!ei)t)); d'' ta tMaisot)
t''c)i![l'utin.
BoNrj{ain,Aet.ty~M<w ~CMt/t~f/ /'<'ce~/f'fM r!tt')!i,
<'<'Mom<'jfMf,
)NM.in.8.p. tM.)9U.
t08 t.'AXXKH'iOOULOUt~UH.tffit-tWt
1. 0/<'e<<M ta p<<!<<
/t'aM<7. t. t. p. 199.
<)«<«<<)'«',
S.Schcmerus,~<M p. 6),62.
A'Mn~Mtftf,
)). MCftCtX. L'tSUU!:T)ttK
t)R LA MuUCMHMtB
A PAMS ~0~
varier quant au nombredes Individuset quant &étendue
desterritoiresauxquelss'étendcettefonction.Nousavonscal-
culé, pouriosbouchersde détailétablisdans Pariset pourles
annéesdedénombrementou prochesd'un dénombrement,le
nombred'hxbitants pour lesquelsoncompteunetabiissetnent
de boueiterie les résultatsdo cescalculssont présentésau
tableau XVt. M ressort de ce tabieau que le nombredos
't'AHt.KAL'
XV).– NoMttKt!
tt'MABtTAXTS
Ut!t'AKt!!
f'UCK
t'S~TAHLtSiiËXMT
Ut:BOruHHHtK
OB))(!TA)).
t. Voirp.36<Kjj.t.,
M.73.
3.Cescalculs
nefournissent
pasla constatation
d'ut)ph<-not))'-ne
noa-
veau;malsib mettenten évidence
uneformenouvelle du rapportdu
nombredesboechfrs
à la population.
t08 L'ASKÉE i90it-)9<H
MCMLOtU~UK.
i. Voirp. ;M!{').
2. La superficie
de Pahsétant.depuist'annexionde 1859,de TXM
hec-
tares.
3. Voir p. 43sqq.et tableauVttt.
)). BMiMMS. L')<iMSTMtS CB LA BOUCHBMKA fAtU- )09
MRA)tHO'<f))S)iK)tt!ST,A)'AtU!KStXM
~M-.M~M~TS
AeaO.'IU1556aBNTÜ ~M~.MKM. SO.URE
HO.HHR
1
1\
––––––––––~–j.
t :).tt n
g i.t 7.<9
3 i.T) <3 X.4t
4 N.33 )t t.)
H Ï.8'. t!i 730
<i it.tiO <? 7.ti
7 O.Ot n
X ~,83 tS 3J!)
M t.T) 'H ').:?
)() i!i!t a) 5.73
Ytt
CONCUMtOfS
1 Voirp. oo-M).
SurecHeditiUnetiût).
d'. t'.tnM~sociologique,
tM~.tSM,p. SX.
itt) L'ASIE
soCtOLOCfQPE.t903.t90t
théoriques; l'étude des faits pourrait conduire à des conclu-
sions positives.
5° Quant ù la forme mémo de l'industrie, qui constitue le
sujet spécial du présent essai, quantité de questions restent
posées. D'abord celle do la formation de l'industrie. Xuus
avons pris et considéré l'industrie de la boucherie au début
du X)x"siècle, comme toute formée et donnitivement détachée
de l'économie domestique. Il y aurait lieu de reprendre cette
question, et de se demander si, pour toutes les parties du
procès industrie! dont se composait la boucherie au commen-
cement du siècle, cette séparation existait réellement dans
tous les cas. U y aurait lieu de se poser aussi h) même ques-
tion pour les industries préparatoires, dout il sera question
plus loin, au ?'. ~J
C"Nous avons étudia les phénomènes de spécialisation à
l'intérieur de l'industrie de la boucherie mais comment la
boucherie elle-même s'est-elle spécialisée parmi les indus-
tries do l'alimentation, comment s'est-elle spécialisée quant
au procès industriel et quant aux produits en se séparant de
la triperie, par exemple, ou de la charcuterie, ce sont lu des
questions à examiner. Enfin nous avons laissé complètement
de côté la boucherie hippophagique, que nous avons pu con-
sidérer comme entièrement différenciée des l'origine, mais
dont le développement intéresse le développement de notre
industrie.
7" Nous avons étudie les phénomènes de spécialisation par
lesquels se sont séparées de la boucherie 1° l'industrie de
l'approvisionnement, et 2' l'industrie de l'ahatage. Il y aurait
lieu d'étudier le développement de ces deux industries diiïé-
roneiées, qui sont eu rapport constant avec l'industrie de ta
boucherie. La première étude comporterait l'étude des mar-
ches d'approvisionnement, la seconde l'étude des abattoirs, et
de plus l'étude de la boucherie en gros dans son développe-
ment propre et dans ses rapports avec la boucherie do détail.
8" tci se poserait la question de la vente on gros de la viande
aux Halles, dont le développement presque ininterrompu
permet de présumer l'importance économique.
0" Nous ne nous sommes pas préoccupés de la technique
industrielte et commerciale dans la boucherie l'observation
y révèle des variations intéressantes qui pourraient conduire
à d'intéressantes conclusions.
10° Enfin nous avons laissé de côté, et nous avons pu laisser
t). tMUMtN. L'tXnfSTME M LA OnOCHaXtHA t'ARtS ))?
HUBERT
BoURGtK.
Il
Il
I~Irr,rlrir
Il'11rl~ t'rku illturululi.
ti- r l'urdnl.
Q lU .11 1Kuil1J.
~Olll"
~r'
.J~oC
c.II't"I!1 !S'-
t..Vot-</«'ft)
!'t-)tM.etc.,p. i)*
)!0 L'ASIE MCMt.outQfE.MM.tMt
1
If' "=' fi.<
11urunRuil l'mùnl« ,'l i I"UUIII.
t1'tugerigaji
S.j. Tjatucrun
}
.1' rouille a .1 \lIa,i liuial..1
TjuhlUljuka
)1"1II1"t., .c
'1,1.
i. Op.cil., p.it7.tt!
K. BURKttKtM.– OHCAStSATMXMATMtMOKtAM
AOSTMAt.tBN'O! <3t
111
1~1.v. -1 _n_1.
frèresn'a pas une moindreextensionet le groupeformépar
lesfrèresdesfemmesquej'appellemèreest trèsétendu.Puis-
qu'il font partiede la classeB, leurs enfantssonten B.. Ue
sorteque je ne pourrai me marier dans la classeB. que si
rien ne s'opposeà ce que j'épouseune ntte (ou un fils)des
frèresde ma mèrehfo wn~x.Maistous leshommesque ma
mère appelleses frères ont Nécessairement le mêmetotem
qu'elle;et, puisquele totemse transmet,par hypothèse,ainsi
que ta phratrie,eu lignepaternelle,les enfantsdes frèresde
ma mèreont, eux aussi, le totemmaternel.Ainsila classe
H. comprendun grand nombre d'individusqui portent ce
totemet nousarrivons,par conséquent,à la conclusionsui-
vante je ne puis me marier régulièrementen 13,que si rien
ne m'interditd'épouserune femme(ou un homme)dont le
totemest identiquea cetuide mamère.
Sousle régimede la filiationmasculine,i) sembleque ces
mariagesdoiventapparaltre commeparfaitementlégitimes.
Eneffet,le totemde ma mère n'est pas alorsle mien,puisque
je reçoismontotemde mon père or le totemne faitobstacle
au mariageque quand il est communaux époux.Maisil en
va toutautrementsi, commenousle pensons,ce systèmede
filiationa étéprécédéd'un autre, qui a peut-êtreduré pendant
dessiècleset où,tafiliationse faisantpar les femmes,t'entant
était de ta phratrieet du totem de sa mère.Tant que cette
organisationétaiten vigueur,le totemde mamèreétaitaussi
le mien et, par conséquent,en vertudu principequi vient
d'être rappelé,je ne pouvaisépouserune femmede ce même
totemsanscommettreun inceste. Si donc,pendant si long-
temps,le totemmaternela marquétous ceuxqui le portaient
d'un sceau particulierqui les rendait matrimonialement
tabous par rapport à moi, si la violationde ce tabou a,
pendantune longuesuite de générations,soulevédans les
consciencesce mouvementde dégoût et d'horreur dont les
unionsincestueusessont l'objet, un conçoitsans peineque
ces sentimentstraditionnels, ces répugnances invétérées
n'aient pas pu s'évanouir par enchantement,du jour au
lendemain,par celaseul qu'un nouveaumodede filiationfut
adopté.Lefait que i'état civilet religieuxdesenfantsn'était
plus établi d'après le mêmeprincipene pouvaitsuffirepour
transformermiraculeusementuue mentalitéaussi fortement
constituée.Les préjugés, consolidéspar un si tong usage,
survécurentauxcausesqui les avaientengendrés,et letotem
K. COMtiHBtU. OMASMATfON MATtUMOXtALE
AMTHAUBNiO; iïS
<~f/iut<)-~ee< p. St.
1. VoirCanow,Dis~<'(c<t')<M<o'aK"o<(OH
K. MHKttKtM. – <)K'.AK)!'ATMK MATMMOXtALR AUSTKAt.tEKSE t3f
différents de fttttw
tttiffAfontCfta ceux tttt! M~rtnftoMttiùttt
qui appartenaient <ttt~tt~~ttt..<
aux deux autres classes
de ta phratrie considérée Or c'est bien ce que l'on a directe.
ment observé chez tes Mara. Les deux couples de lit phratrie
Urku sont Murungun et d'une part, Mumbati -<<'t <!<*
l'autre; et nous savons que les totems des Muruoguu sont
tout à fait difîérents de ceux que t'eu observe chez tes Mumbali.
La distinction n'est pas moins nette dans l'autre phratrie.
Chez tes Aouta, l'organisation est identiquement ta même. tt
est vrai que nos auteurs ne nous disent pas s'ils l'ont observée
également dans les autres tribus. Mais de ce qu'ils ne la
signalent pas, il fautse garder de croire qu'ettene s'y retrouve
pas. Leur silence vient peut-être bieu de ce que, «'ayant pas
l'habitude de ranger ensemble, comme nousafons fait, en un
môme couple, les deux classes issues l'une de l'autre, et de
rechercher les caractères distinctifs du groupe ainsi formé,
Ils n'ont pas aperçu que, partout, il s'oppose au groupe simi-
laire de la même phratrie par ta nature des totems qu'il com-
prend. Dans le cas des Maraet des Anula, au contraire, le fait
sautait aux yeux parce que les deux classes de chaque couple
portent une seuleet même étiquette; leur individualité appa-
rait ainsi d'elle-mêmeet sollicite l'attention de l'observateur.
Nous ne pouvons nous empêcher de croire que si les autres
tribus étaient observéesdanstentéme esprit, on trouveraitdes
arrangements analogues à ceux des Mara et des Anula. Et ce
qui donne de t'autoritéHeetteopinion.c'est que.d'unfait inci-
demment rapporté par MM.Spencer et Hitten, il résuite clai-
rement que cette même répartition des totems existe chez les
Warramunga. Ou nous dit, en effet, que le totem du serpent
noir appartient en propre aux deux classes Thapanunga et
Thapungarti; qu'il ne se retrouve pas dans tes autres classes
de la même phratrie, les Tjunguri et les Tjapeltjeri Or les
Thapanunga et les Thapungarti sont deux classes qui alter-
nent l'une avec l'autre; la seconde descend de ta première et
réciproquement; elles forment, par conséquent, un couple
identique à cetuidesMurungun etdesMumbatt. Les Tjunguri
et les Tjapeitjeri sont l'autre couple de la phratrie. Voiià donc
un totem des Warramunga qui est distinctif d'un couple de
classes. tt est bien peu vraisemblable qu'il soit une excep-
tion.
4° Les documents que nous devons à Howitt et à Mathews,
<. A'<H'WM
Tribes,)). )):
E. DUKKttEtM. OMA!!MATtf)*<MATMMUXtALBAtMTBAUBXfE <39
t.JiHXUitchtt-NatHCMinju)). thC))UttKtt''<J"t'nt{ano<'it)jah.
Tstt))Xtc))itt)t.?<~b<tji))uh. ~h TMratee~ah-Ntu-Kteeittjtth.
:itt Chunainjah'XMatnja)). :)). (!hunttiujah-!<)t)ainjah.
1.
t. C))am<n'afnj<th-Neutaran)jah. !), Tutt);ur<!eiNJtt)t-!<MU)!areeinjth.
mariagesentrecesdifïérentesclassespeutêtre figuréecomme
il suit
y~- .1"
J'~h
X
t. ~t,.
«'/)<)
MAfst'f~M/ar~ ditM.MttUtcw!
apouse,
appoialecl <&nf..
p.t9!).
t.'AXX)5s '903-)90t
MCtOMG~UK.
t Murun~uot––––––~ Purdtitx
'.Mm'Nt))!un ~< t'urda)3
«
Mumbuti Kuftt)
t(
Mun~tttip Kuiat~s
tt est facile de construite chaque phratrie telle qu'elle
devraitêtre, si ellese transmettaiten ligneutérine.Letableau
ci-dessusen fournitles moyens.Orsi l'on opèrecette muta-
tion, l'organisationdevient
-t
t'))))AM)t!t fMMTMfitt
a
x
Marun)!']f)< !'a)-da)<(
a
fardai 5 Mur)in);an~~9
MumMiax Kuiattx
Kuia)!ta Mttmbati~(s
tV
E)Ut.EULKKttËtM.
DEUXIÈME PARTIE
ANALYSES
PHEMtËKESECT!0~<
SOCIOLOGIE GÉNÉRALE
CËNËRALE8
COKCEt'Tf'NS
).– MË'rUODOLOGfK.
DELASOC)Ot.<'M)H
)'A<t BOM~,
MM.HONHTICQ, FACCO'!X)!T
pas au dehors pour ainsi dire teties Mot les foutes. La ntôtne
distinction se trouvait déjAau fond de )f)
peusée de A!.«. de
ta Gt'Msserit.qui a lu tttte cummuuicatioo osst'i!
icn~ne sur
« les sci~oct's intermédiaires entre h)
psychotf~ieet Ju socio-
logie ». L'autour, etnpioyMntune tert))ino)"{fif'un peu itt-bi-
tr:)ire. réserve le non) de société aux sociétés
r~jonentées,
ou tnptue M'utempnt à l'État; les autres coitectivités sont &
ses yeux des hybrides eutre )a sociétéet l'individu Il etttmH.te
un cet-titiun"t))hre de ces hybrides.
qu'Hchtsscàdeux puiuts
de vue ()i)I<.rettts «0 poiut de vu''
quttutitittif. suivitut le
M0))t))rede ceux fjui les coutpost'ot, et Mu
puiot d)ivue ()U)t)i-
t.'tif. i) y ftm'ait bieu des réserves M (aireucette eumt)6t-a-
tiutt.oû tuu vuit côte à côte des ~mupetocnts tonp.x-oit-es.
aec'demds. reettoneut inurtti'uiset!. cuuxue les (uu)es. les
jurys, le put))ic d'uu ituteur uu d'uoc pièce de th~tre, et des
soeiet'88t!t)))es.)-eei)emet)tot-t!!misees.coottue tescitsU's. la
ftmtiffe. tessyudx'nts et les société Ouitucieres. Ce
<)uiestaIi
reteoir. c'ext i'ttfHrmationque t'etudo de ces « Jn'ttt-ides N
doit efre nvimt tout psychotique, tattdis
((ue t'etude de JH
société pnqn-eutent dite serait objective.
distiuctiot) est iutét-essimfe.Ji est évident qu'une foute,
un jury, uu puhtic de théâtre ne sont pas des sociétés de lu
tHôttte fftcoft qo'tttte cftstc, ou qu'un Eti)t. Ce
(lui st-ritit fe
plus iutén'ssnnt, d'itiiteors, ce ser.tit de chercht't- cotnoieut et
ditt)sqtf<.))es(:ottdtU<)ttsfes~roupett)et)ts!)U)urpi)es(-t!)cciden-
tels deviennent permiments et s'or~t)iso))t. '').us. :')
quoique
aspect du prohfètoe que Jon s'fdtftche, il nous seothfo que fa
t))6H)odeo))jective ne doit pas perdre ses droits. f) a des
y
signes extcrienrs de f'octivjte sociftfe dans ces ~-«upetttcuts,
bien qu'cfte ne se traduise pas et) institutions, eu textes de
fois t) y Il les actes d'une fon)e. les verdicts des
JHt-ys.plus
sûrs pour nousrévéier t'ûtnc
cottectivedeces~roupetnents
que les Hoatyses d'un psychoto~uequi parie tn ce Ms impres-
sions personneites. Conxnetttd'aitjeurs conunttrait on ce
qui
se passe dans t'atoc d'un peuple ou d'une fouie si ot) t)o con-
suttait pas tes manifestations extérieures de it'ur )))cntaiit6?
Seutentent, conone ces manifestations sont tnoinsMootbrou-
ses, 'noins systématiques que celles de la viepoiitiqne. ou de
ia vie fautitiaie. ou est tenté de croire ta
socioioKie des
« hybrides sociaux » pius tacite
quo celle (tes sociétés or{{a-
uist'es. L'absence (te reose~uetnents positifs iitusionne te
socio)o!;uc,qui construit ia psycho)o;;ic des foules, ou t'a)ue
H.nn'KMHM. – .\nnw'iui.. )'M:t.t~(H. ))
iOS L'ASSËK SOCtOLOÛfQCH. i9<M.)')')t
))). t')t)L080PtUËSOCtALH.
Ttt~OtUHS
tit~ËMALHS
U)Vt:RSHS
Pitt MM.ArtttX,
BOt-Ot.f!, t)E)tn,Luit:,t'AKOU).
F'At-COXXET.
V. ))KSum'Ut'ESHT)-r)tQU)UtH
MYCUOLttt.tt-; COt.U-;CTtYH
M thMt)!:)))
t'!t.'MM.Ut:ttTi')'*)mU)
V). <:)\')t.MAT)f)N
):K(.t~X~RAL
)-:TTY)')-<)))-:C)\')t.tSATt<'K
A. f'/r~MfMM~M~K<n</
t'ttrM.Ht'tMtT
L. FROBENHJS. – Vilkerkande in ChM&kterbitdem
des Lebens, Treibens und Denkens der Wilden und
der roiferon Menaohheit. Hanovre, Janeche, )903, 4)6-
4(i4 pp., in-8".
H. – 7'< '/<'f<f<7<.M/)OK.
l'ar .\))).)i)'~MrM U~~it.t:
.i ..t.I-
fusion des intérêts. L'esprit associatiooniste s'accommode
aisément de ce principe Ru fait, Hume et A. Smith, dans
leursouvragessur la morale, lui accordent grandoattention.
n ne devait cependantpas jouer un grand rôle dansta doctrine
des benthamistes il ne s'accorde finatementni avecleurs ten-
dances morales ni avec leurs ambitions scientifiques. Ils tra-
vaillent instinctivement a une sorte de réhabilitation de
t'egoisme leur doctrine est une doctrine de gens qui répu-
gnent au sacrifice, qui entendent peser exactement ce que
coûte et ce que rapporte tel ou tel moded'action morale
raisonneuse, calculatrice, prosaïque Ajoutons que là on
l'on explique les démarches des individus par ta fusion sen-
timentate des intérêts, il semble que l'explication ue puisse
pas être bien précise. La sympathie n'est-ette pas ce qui prête
le moins a ia mesure? Le désir de trouver des quantités
stables, qui puissent servir de base à des comparaisons objec-
tives, poussait les benthannstes à restreindre la placedu prin-
cipe en question.
U ne leur restait donc que deux manières de concevoir
scientifiquement l'organisation d'une société d'égoïstes,
t'identincation de t'tnteret ~encrât avec t'interet privé, Ou
bien on admettra que les égoïsmes, chacun suivant sa voie,
s'équilibrent heureusement, aboutissent spontanément à une
harmonie totale, soit hntnôdiate. soit progressive c'est la
thèse de « l'identité naturelle des intérêts Ou bien on
admet des discordances possibles. Lorsque tous les égoïsmes
se donnentlibre champ, l'harmonie généralene se réalise pas
toujours d'ette-metne. Pour la réaliser il est souvent neces.
saire de modifier, en pesant sur leurs mobiles d'action par
des fois, la conduite des hommes; grâcecet artifice, ils se
trouvent amenés, en dépit de leurs tendances dissoeiatives, à
coopérer au bien public. Raisonner ainsi, c'est faire entrer en
jeu le principe de « l'identification artificielle des intérêts
C'est tantôt le premier, tantôt te secondde ces principes
que les henthamistes invoquent, soit qu'ils veuillent expli-
quer, soit qu'ils veuillent réformer les institutions.
Mais au fur et à mesure que leur système se développe, la
duatite de ces principes apparatt plus manifeste.
Lorsqu'il reconstruit le droit constitutionnel ou f</b<'<m~
le droit pénal, le radicalisme philosophiqueuse surtout du
principe do l'identification artinciettc des intérêts; il fait
appet Ht'intervention des lois. Lorsqu'il fortiittit.-les rapports
S))) t.'AX.\M: .):)Ot.Uti))~')i t!M3.)Mi
SOCtOLOGtE HRLtGtEUSE
)'t'))M.Hmt:ttrt'TM.n'')s
). t')ttH)S()pn)t:KHLKJfEUSE.
CO!«~E)'T)"X.'<
C~~XALKS
).'<uu-.)n)t~))t)))t!s<tut)t~d'urM.S)")h)'.ntj)<tt,t'it(')M)t~<vH.'
a' ~<titi"t). h- )iv)-<')'- M. t'ri<'<)t))at)n t.'tf'- tt'aA" t'fM<M<'M ~'o
Utfnxr<-it;:ctt <)< Xft'v':n-uudSe<')cn)'')j'))! h-. )tr)!x.v.L<)wet)f'')')u.
Ku~UttL \Vi''s)m<t<;M. «ct-~tumm. tt)))),i!0~-3"?)p.. itt4'. Ce )h r<-lit bujxit i''«ti
st'uh'tttt'n'. et ttoU). r''pat-uM!) l'oubli imutot~air).' oft ttous t'avions tttiaiiu.
)). Ft-i'itHaMH a p)a~ )tou<c t':t)M)ys<-ps\'fhf)"x")U'' <)t-~fMiti-.0 Kft-iv<' &
)ft )))!-<))')U't'i"t)-it:ttiun))syt')tu)u!<")'="
t)t')<!tent)<')t)us puissant')c'ht vi<i.<ufiii)t't.'«K<nc'ra)''(d'; fit vi''t'fti!: "'us''
Mn))aft"'u)i<*t.
\'f.VSf!S.–S~T~))tisHE).t'itKt'X MX
n.–8YSThMt-:S)<)-;httjt):UXX
A. /<<<0!!i!des MftW<~)/«')<n"t.
LKTUTËM~HH
XUTH
<.Scu)'jf))''M),~a.run!))'e))t''t''t''rm)Mt')"i'n"M'iup))':fhM)-ii))')r.h'
pttrttrtM()'-f<'i.ns~ettt~u~['!trti"ns<)c~uhM<t.rtM!if's(t.))).j).~)4).
AXA).ïsM.–sTAMti<HEUti))!(.'X ~7
_1
tain nombre de mythes Warramuu~' et Kaitish. La myttto.
logie tout entière est formée sur le principe du totémisme, et
on y voit les phénomènes naturels répartis suivanttes formes
de la pensée que celui-ci suppose.
Le chapitre le plus fécond consacré à la mythologieest celui
qui a trait (chap. xn, p. 4'tt et suiv.~ aux êtres personuets.
Conduits par le seus si sûr qu'ils ont des faits, nos auteurs
arrivent, croyons-nous, a la vérité sur la question si contro-
versée des « grands dieux chez les Australiens. 11existe.
selon eux. dans les tribus qu'ils ont observées, des esprits
personnels, puissants, qui ne sont pas malfaisants, et qui,
~o~- ~MtMM)Mf~. président aux diverses opérations de l'ini-
tiation. t'M'anyirika chez les Arunta et les Unmatjera.Atnatu.
chez les Kaitish, avec Tumana (qui n'est autre que le <'K~
ro«w M)sont de ce genre. Les soi-disant « grands dieux
n'ont rien à faire avec ta moralité. Même celui de ces êtres
personnels qui semble le plus avoir une action en quelque
sorte morale, sur la tribu, Atnatu (voy. p. 49), n. ), p. 499 et
suiv., p. !S3 et suiv., p. !<44et suiv.), Atoatu, disons-nous, qui
est dit se plaire à voirles cérémonies d'initiation, et punir les
Kaitish quand ils ne font pas sonner « les diables o, n'a rien
a faire avec les préceptes moraux, absolument impératifs,
que les vieillards dictent aux jeunes gens lors de t initiation.
MM. Spencer et (iitteu t''tendeut avec beaucoup de prudence
ces observations aux autres sociétés australiennes.
B. – Religions M<!MOM<~M.
C. WtSSOWA. – Gesammelte
Abha,ndtuD<ton zur ro-
mischen Religions und Staatsgeschichte Menscheu.
C.-H. Beck, i<'04.Y!-3~) pp. in-8".
V.XAPLHTAL
–AttestMBeQtUohes.–Ffeibut'K~cinvcix!,
Weith, )903. vm, m<)p. in-8
C. T!<~tOtMMtttCM'JtN~MtM.
H). SYSTEMESKHHHtEUXUHSt!ROU)'HSSKCONnAtKEK
~ueitttt aeerete).sectes,ftuuittes.etc.)
s
LKSSKCTKS
Parmi les sous-groupes religieux, uu des plus importants
est celui qui mérite le nom de secte. Sans chercher 0 déter-
miner avec exactitude les contours de cette notion, nous vou-
drions indiquer tout au moins quelques-uns des problèmes
qu'elle fioufove.
La secte est un phénomène d'une extrême génératité. Pour
certaines religions le mode normal d'existence est d'être divi-
sées en sectes. Les grandes retirions universalistes, détachées
detout milieu nutionaldétini,devenues supérieures ou plutôt
extét'icurosa )aviejuridique propre des sociétéspotitiqncment
constituées, se segmentent naturellement en sectes. Le boud-
dhisme pur n'a peut-ûtre jamais existe. Lesdix-hnit sectesque
compte ta tradition classique de cette religion pretendentcua.
cuoe à la plus haute antiquité. En tout cas. ta plupart sont
très prochesde la fondation du bouddhisme, et toutes durent
certainement se partager, d'une façon mai définie, les moines
et ies ndett's. Le protestantisme, lui aussi, na se présente, his-
toriquement, que sous ia forme de sectes et de multiples
egiises. en)is''sdont l'existence hiérarchique devient chaque
ses
jour plus precitirc. Le catholicisme lui-même malgré
prétentions, et les multiples églises orthodoxes (orientent.
catholiques d'aiiieurs) ne sont, au fond, sociologiquement,
do pures
que des sectes d'une môme religion. Elles ne sont
religions qu'aux yeux de leurs Mètos. Elles n'ont pour les
di<M)'encierdes sectes que !e mérite d'avoir triompi'c (tes
autres auprès do leurs adeptes. Eiies se traitent, d'iniieurs,
mutuetietneut de sectes et d'hérésies, et chacune prétend
être ia religion, sans se rendre compte de ce qu'une pareille
– De même )'is!am connaît
prétention enveloppe de relatif.
la repartition des musulmans en Chiites et Sunnites, et nous
dont
negii{;eons de signaler ses nombreuses proliférations
deux. récentes et bien connues, le mahdisme et le bâbisme,
sont tincoreactuellement florissantes.
Des religions nationales ont aussi connu le phénomène de
la secte, et d'une façon très aiguë. Le connit entre sectateurs
de Lao-tseuptdisciptesdeKong-fu-tseun'cstpas complètement
2M ).'AXX)ŒsoctOt.ttUtQUK. t!)03 )90t
il
porcines catholiques; des difJérencesmorales caractérisent,
l'intérieur de chacune d'elles lu mentalité religieuse des
diverses familles, des diverses classes sociales. Maiste phéno-
ménedc réfraction perpétuelteest beaucoup plusgraveeneore.
La vie religieuse est une continuelle gestation. A chaque
instant dans une religion donnée, comme dans uue société
donnée, se produisent des courants sociaux détenninéa.
ou d'une
qui marquent ta chute ou la naissance d'une idée
sociale
pratique. Ce sont des individus que leur position
rend particulièrement aptes a subir ou a créer ce mouvement,
ou
qui s'aggrègeut et forment un groupement momentané
définitif. Ainsi de nus jours !e ritueiiismeagi te l'anglicanisme,
l'Église épiscopaie d'Angleterre l'école d'exposé critique
des indi-
agite le catholicisme romain. Que ces fluctuations
vidus et des idées arrivent à former des associations, juridi-
se constituent des
quement et reiiKieusementétabiics. qu'elles
est
dogmes et des cuites, voilà une secte ou uue Egiise qui
née.
La religion, comme tous les phénomènes sociaux, est dans
un constant devenir le nombre de ses segmentations et de
ses procréations, manquées et viables, est normatement indé-
fini. La secte est le produit naturel du fonctionnement des
phénomènes religieux.
Nousavons tenu à marquer t'intf'rétque, pour nous, ces pro-
blèmes soulèvent. Jusqu'ici, nous avons piutot défendu ta
méthode monographique qui consiste à classer genéaiogique.
ment ou logiquement les diverses formes des diverses insti-
tutionssociaies.reiigieuseset autres. Lesqueiques travaux que
nous avons publiés n'avaient mêmepas d'autre principe. Mais
si nous ne nous repentons nullement d'avoir commeocé un
travail nécessaire, nous ne voudrions pas laisser supposer que
nous n'approuvons que cette méthode et n'étudions que ces
des mythes
problèmes. Nous savons fort bien que les formes
ou des rites que nous étudions n'existent qu'il des moments
df.nnés dans le temps, qu'elles sont seulement des points d'ar-
rivée et des points de départ d'incessantes variations dont tes
sectes eu particulier sont un des agents des plus actifs.
M M.
fV.–CCLTKSSf'hO.U'X
SUTt-:
Les faits du t;e"re de ceux que M. Hepdiut!~ étudies dans
sou )iv)'<!surAttis présentent des caractères très particuliers
etitcom'ientde les rnMj{er sous ut)erub)'if{ttedistincte, it'abord
dans ces fragments de systèmes religieux. rites et mythes for-
ment ensembtf des touts et méritent d'être considères comme
tels. Ensuite ce no sont pM des retirions proprement dites,
car il n'est pasvraisembiabie. pur exonpie. que le culte d'At-
tis. même :')))eà ce)))!(te Cybete.i))t '')))tisf h) région phry-
de ou de
gienue.Ceue sout pas non plus des rf'H~ions f:uniHc,
devenir têts,
groupes secrets, oude sectes, quoiqu'its puisseut.
une h)istransp)autes. Cesont des systèmes decroyancos et de
rites, qui ont leur unit' tnais qui se rapportent Hunedivittite
le nom de
speciato. Nous leur donuons, pour cette raisou,
« cultes spéciaux ».
qu'à demi incline &croire que le monde qu'it décrit n'est pas
un monde improbable. que, dans le mystérieux bon vieux
temps, toutes choses étaient possibles ('~n~M ~4 <!).<
Y~o'~T~Y) M(p. 260). Nous avons déjà ooté. dans !<MK~ .to<'<o-
~fçxc. à quel point tes contes se confondentavec les récits
d'expériences personnelles. Les histoires de karkantxari, do
vryhotakas et de revenants. qui sont. en somme, des contes,
sont eu générât dénuées comme des récits d'expériences per-
sonnelles ou procites. Mais,dans son chapitre do mythologie.
qui commence par les phrases que nous citions, notre auteur
nous montre que des êtres comme le ~e~M;,la A< vivent
surtout dans des contes ou des mythes. Sans qu'il paraisse eu
avoir clairement conscience, M. A., est amené à expliquer
nombre de faits de folklore par lit résistance et )a transmissi-
bitité des oontex et des chansons. H suppose, par exempte,
qu'un charme contre te mal de dents, qui s'adresse il la cor-
neille, procède d'une chanson de lit corneille semblable aux
chansons de i'hirondette par lesquelles on fêtait te retour du
printemps (p. 20). Les contes et Ics chansons forment des
rudiments de systèmes qui supportent et embaument les
croyances mourantes..
Nous ne nous dissimulons pas que l'apparente originalité
du folklore macédonien vient des croisements qui s'y sont pro-
duits. On y trouve des souvenirs antiques, de date et de pro-
venance diverses, des néréides qui font fonction de nymphes
et de fées, les trois t'arques qui président aux naissances, et
même, dans les X'o'.y.ttx~éniedes éléments) (p. ~49),un reste
de philosophie antique, qui vient sans doute de lit magie. Le
folklore des Grecs macédoniens ressemble fort, comme il
est naturet, à eetui de la Grèce propre et nous retrouvons
plus d'une fois le souvenir des .SM)<<! o/' Afo~'x ~wce de
A!.Renne)) Hod. tt présente des analogies plus nombreuses
peut-ôtre avec le folklore des Slaves. M. A.. les signale sim-
plement, mais sans multiplier les références.Mêmes supers-
titions relatives à la sainteté du pain (p. «?), au caractère
omineux du prêtre (p. t04). au vendredi ~p.MO) les pratiques
funéraires sont presque identiques; citez les Macédoniens
comme chez tes Slaves on trouve des fraternités légales, fon-
dées sur t'amitié (p. tSC); les M<Mslaves se m&tentaux
néréides (p. 238); le génie de la petite vérole et autres dé-
mons slaves figurent parmi les mauvais génies de la Macé-
doine. Le plus bel exemple que nous ayions de la propagation
3)t <S03-)t)Ot
).'AS'«!KSOCtOLOOtQUK.
Vt.-LAMAUtM
\)t(.–U-:KtTUHL
A – M<<'K</<'ie<'
n'~«*tn', <M/<'<ej!.
Fx. BOHN. – Der Sabbat im Alton Testament und in
attjttdisohen reUgtôsen Aberglanben. Guterstob, Ber-
tetsmanu, t9t)3,97 p. itt.3".
– ).H HtTUH.
AKALY~HM. H~
jj. – f.'f~'<ttt(~t('s
f'(«)~<< < )'~<<!
<H((K«t'<.
tstt. m\'t. Notes sur les jeûnes chez tes Juifis. ~rxf
</M~w/M:M!rM,!903,it, p. )(H-~7t.
Le rite du jeùoe avecses particutarités, dont quelques-unes
sont caractéristiques du dfui), «'est pas une institution rab-
binique mais remonte aux temps hibtiques. t)aus le rituel
nguraient essentietiemeut des prières. Si nous comprenons
bieu fauteur, ces prières sont )u cn.!<(!~<f«(~'td'exhortations
et d'élévations individuenos. L'auteur para!t voir t'origine du
rite dans uue croyance primitive à la vertu Mto~tM des
macérations.
H. H.
M. W~S<:)t.–EmDanttOpferamAstdepios..))-<y'<
tu<MfHjtt'A<t/<M4. p. ? s<)').
(<t'f:A.
V0\ t-'tUTXH. Zum griechischea OpfNïltual. /a/t<<'t<e/<
<U(M,p. Xt-s'jfj.
<4)'c/«!«<<~Mc/<e)t/<t.<<t'<«~.
V. EnMOXt.–L'agape danslegUseprimitive. Paris; )<t"ud et C''
tma, 'it )). in-)0.
~M ).'A?f?!~KSW:tf)).<'n)Q)'K.t9))ï-)90t
W. t)t-:t n)t;U.H)(. Taufe und Abendmaht bel Paulus.
<f~'</ty <fx'/ ~<~t<<)t'<«~«' A'/f'Kf'/<<<«t.(!OHi(!K' ~'((!t-
'tfnh')'ck('tttu)'t'h).)')U:<,Sf)j).iu-!t'
(: ))))-:T)')tt':t) Die ncetortanisohe TauBiturgloit)s))cut.<che
)i))c)"-et/)tHtdt)"t't'Vt'tWt't'H)<)ti<t''r))'h')t))M)'t''c)m~ti'')!cnFt)th)e
hi<torischkt-i)i!.ctn.'trufscht.UiM!M:n:J. tHcker. t9U3,XXX)-t03p.
it)-
C. – ~M M«X.f.
CASt'AHt Die Religion in den Assyrtsoh. babylo-
ntschen Busspsfttmen. fHt'itra; xur Mnierunn chrisHi-
(;ho-T))''ui~ie.ft.t).f!ntti)-s)t))).Bfrte)stttann.)~.9~p.
in-8'.
~)!))~t'cst)tnitt'('ttt)pt't)tro)))p('m')e)nctnoire()'}~tC!)!!pari
est uue ~tttdedescriptive(te t't's[extpi!:)ssyrt))).tby)o))i'tS()ui
sont Ct))t))«s()ej)Uii!)t)))~tf')U()sst)t)s)t'))Utt)tte/M<:MM«'.<<<
/~)~f'M<'<)sd<)h'('t)t)t'u)'u'))nsig))ifiMtitucef)u'i)sr!)p))citent
le ton (tes psaumes )))'br''ux 0)))es)t)ete))))Hr:))t&)e!)v<'c)e!i
texh' (iits ))i!~itjt)<)et a ftun druit. Hn c<M, icsdcux surics
de textes, ineantittionsctpt'itit'cs.ontà pMUprù~tot~tttMohJMt:
il s'omit de St)ustr:)irBut)Meertaioe porsonoe a des n):)uxdut)t
pttcsoufït'ca ta suite d'it)()'.)('ti')t)S!)ux)u)sut.th)ics.Mais tes
pt'ucédcs et ies rcpt'csHutatiuosdHIÈt'ent.sensiblement. La
relation ({ue ces textes supposent cotre tus hoonnes et les
dieux ditlërc ~atenteot.
AiMf.MSS. – aBP)~SBKTATtOK!i XKUCtEU~ 333
)X. Rm'RHSHSTATtOKS)U;HU)):r.s):S
A. – /tf/M't~fattM'~ !'f<<~t'<'t<.«'~
J't'trc~f(</<'
~AeMOH~HH
!t«/«/<'b.
H. – /<fp<vwH<«<tOM)!
(/M)'<(' «p~'t/wt'y.t.
C.–Mj/tf.<.
D. <*OK<('
Z,t~<'K~<')f, épopées.
F. BOAS. – Thé FoUt tore of the Esktmo. 7'~eJo«<M«<
f'/
.tMtt't~faH
~o<-c. t904, XVI!, p. ~-t3.
des
P. TOLDO.– Aus alten Novellen und Legenden. ~et'<i!e/<n'/Ï
ren'ttM/'MrVo/~MH~,<904.p. 47.61(Din'usionde d:vcr!!thèmes).
MEMHAt!.-Aus der WerkBt&tto der saereMohaffendonVoUts.
<903, VHt,
phantasie. Zfthc/)t-<)/<~M<<'n'e(c/t)'«'AeVoM~MM~<
t. 2.
A.LEC!<ME.– ComtesLaotiens et Contes Cambodgiens. Paris.
Leroux,1903.(Cott.des conteset chants. pop.),V!t,277,p. in-t6.
(i.A.DORSEY.– Wiehita Tales. TheyoMfMa< of M'cncat)Folklore,
i903,XVt,p. <60-t80(suite).
J. )t. BELL.–TheFIresidestoriesofthe OMppwyans. y/te ~oMr-
na<o/M<'WM!tFoWM-< XVI,~03, p. fHOt.
F. A.GOLDER. –TalesfromKodiak îoland. Me~otOMa/o/Mt-
Folklore,1903,XV),p. i6-32.
!-«-<!M
E. OmxMM. A)M&!Mcio)., 1MH9M. M
3M L'A~H 8UC)()LO(!t<jUK. M03.t901
A. H. L.HROWN.
–twttia; aStudy in the origin ofarthurian
rontMOO (J&tW.)Hostou,)C03, in.8".
H. – ~o</mM.
J. W.t-'EWKHS.–PreoolumManWeBttadtanAmoletB. ~MtM'~ot
1903,V, p. 6~ et suiv.
~H<Afo~'j<o~M<.
t). KAtUn'X. Weitere Afrikantsohe Hôfnermf~hen. /H<M-Ma
i''03. XV). p. tgt-tSX.
/t'Ma<M~<-cA<('«t-A'</tMo~apAt<
K. H. GtRUOU. – ïntorno a duo Singolari Oggetti OeremoniaU
tittoi daU' Amerioa AuBtrale..t''c/)t')))o ~ft' r~'tfM/M/~M
e lot~nf~t'H. <M3.XXXIII,p. 438-440.
).)'n)!utU)-)~)!)t,U,KS);U)thH))Kf))T):TL.\MOHALK
)'.trMM.t'~UOMtET)'M')~X)!T
nous dit pas. Un peu d'obscurité plane sur toute cotte ques-
tion.
tt en est de même pour ce qui regarde la manière dont
le totem se transmet d'une f~enemtiona l'autre. Le principe,
nous disent les observateurs, c'est que la transmission se (ait
en ligne paternette. Mais, ajouteut-ils, « les indigènes,
interroges sur ce point, affirment que, parfois. les enfants
héritent du totem de leur mère M (p. tli0); et on nous en
donne quelques exemptes « Il n'y a uucun doute, concluent
les auteurs, qu'il y avait à ce sujet une grande contusion dans
l'esprit des j{ens de Mabuia)!: environ deux ans avant notre
visite, il y eut entre les hommes un Krand concitiabute. à la
suite duquel quelques enfants furent autorises à prendre le
totem de teur mère <p. t6U).
Cette indécision vient cllrorc connrmer l'impression que
nous titissaient déjà tes faits que nous avons rapportes en
premier lieu. tt est évident que nous sommes ici en présence
d'une organisation totemique en voie do décadence. Lesgrou-
pements totémiques ont manifestement perdu beaucoup de
leur consistance première. Les conditions qu'il faut remplir
pour en faire partie ne sont plus fixées avec in même rigueur
qu'autrefois; c'est ce qui fait. sans doute, qu'on peut parler
de ctans différents, et qui pourtant, ont un même totem.
C'est aussi, sans doute, ce qui explique la confusion où sont
les idées des indigènes eux-mêmes sur la façon dont le totem
se transmet des parents aux enfants. On nous parte, pourtant,
des croyanceset des pratiques totemiques comme ayant ~ardé
une certaine précision On aurait encore l'idée qu'il y a un
rapport de parente mystique eutre tes membres du ctan et
les animaux de l'espèce totemique; une certaine ressem-
blance morale entre les uns et les autres est, en eitet, postulée
en pritu'ipe. en même temps qu'une certaine ressemblance
physique est t'echet'chee, p)us ou moins heureusement, au
moyen de procèdes artificiels. D'un autre cote, on nous
assure que les interdictions alimentaires sont toujours obser-
vées avec rigueur. Atais, commenous lisons quelques lignes
plus loin (p. )87; que « les tabous relatifs au totem sont
aujourd'hui observes d'une manière imparfaite nous nous
demandons si les faits de stricte observance dont il était
question plus haut ne se rapportent pas à une époque plus
ou moius lointaine.
Si ebranté pourtant que paraisse le système totémique, il
AXAt.ys)" – ::MTj::u)~ jt;n)t't<~t')!< M!,
Ht. –-L'()t<UAX~AT)0?t
t'OLmouK
fAKMM.U.BofMit.S, M LttfX!
F~~HefXKT
t)Ht)tHt)M.
A. – pO~~Uf en ~H~-at.
<'O~HM<jtOfMK
};. – ~'M'OtM.~CM/M
<0/HK<f~OM ~f~tf<«'.
A.–«/<!?<«<
KMUYT(Am.-C.).– Beobachtuagen an Leben und Tod,
Ehe und Ffunitie inZeutratoetebes. Zeitschritt f<irSociat-
wisseosehaft, )~03,H. i). p. 707-7)4.
H s'agit de deux groupes de petites tr:bus qui occupent le
centre de t'!(e de Cctebes. Deux traits sont à relever dans la
description qu'ou nous en donne. D'une part. la famille y est
strictement utérine. Non seulement l'enfant suit la mère,
mais le pèreesnenu de s'établir dans la fami!)efie sa femme,
t) cultive les champs de ses beaux-parents en échange de
AK*WM. – f.'oXOAKtSATtUX pOt~)!Tt'~t! 409
rendus par quetqu'uu qui )cur était utti par te sang, et puis-
que c'est )a participation a ce culte qui fondait ia parenté, la
parente adoptive ne pouvait être qu'une parente inférieure.
MaiH.aKome.lu religion donestiquenc tenait pas unemoindre
place et pourtant i'adopti<m produisait tous les eucta de la
paront6naturoite etetaitadraucitiedes conditions auxquelles
oHeétxit soutniso au Japon. Les causes de cette situation dui-
vent donc être cherchées aiiteurs. Hiie viem.croyons-uons. de
ce qu'au Japon i'autot'itf du chef domestique n était pas aussi
grandu qu'a Rome, mais était encore ettoiteutent iinutee purr
les droits intpersuNnetsde )a fatniiJH.0)')a faH~iierésiste natu.
reUement à cette intrusion d'eicmeuts étrangers qu'implique
l'adoption surtout elle s'oppose ce qu'un de ses membres
puisse modifierarbitrairument ia composition du groupe. t)
ne faudrait pas trop assinutcr te chef de i'~< ou du A'oet te
~<fT/Mt<<<M romain. Cepeudaat. il est certain qu'H y u entre
eux des ressemblances qui peuvent peut-être servir aectaircir
un peu )a ){<'ne''eet )a nitturcde la ;Mtf<'<'<
/«~M/fM.
M.t).
B. – <-<<<!cnn./f~oH</<<
M)H)'t<f~<' <a/<'M<tMf.
PHXOT~JusKpjt). – Évotution du
mariage et oonaa-n~at-
ntte. l'aris-Lyou, A. Storck et C' HM~,p. ?, in.8".
Nous ne dirons rien de ta premiëre partie <)Gce travni). où
fauteur entreprend de retracer. en que)qups
pit~'s, )'6vo)u-
)i"n du n):)ri:)~e.L~ hypothëses de HMchhofeu.do
Morgan,
de Ciraud-Teuton. sur ht promiscuitë
primitive, ))' (nat-iit~e
coHectif.etc., y sont acceptt'es comme des vct'itcs d'MvidcMce.
tht t)e p(it)ts'emp6chct- de rpgn-ttor que, dans les (i)cu)t6sdo
tnfdft'inc, on soit aussi peu MUcottratit dci't'tat présent do
)a science et qu'ons'attarde otcorc a des conception!), ont.
qui
sans doute, joue un rôie de première
importance dans i'hia~
toirc, maisqni sont aujourd'hui
insoutenabieson.cntoutcas,
sin}:uiierementebrantées.
La seconde partie de cet opuscute est consacrée a t't'xamen
des inuueuces nocives qui ont cte si souvent attribuces aux
mariages entre consanguins. At. Lacassa~ne avait traite te
sujet dans i'articie r~M~/x~f' du ~«'~(~</tf««'< .«-~MCM
M'Wr~M. M. i'enot a été ehiu-jwpar son tnaitre de mettre la
question <tjour. li a réuni un certain nombre de documents
nouveaux. Sa conctnsion est ))ue ia
consanituinit)'; n'est pas
mauvaise par eHe-tneme ses etïets dépendent de ia va)eur
des sujets qui s'unissent. Ktie n'empire
pas les caractères;
e)ie les nxo et )es renforce.
H. t).
tout cas, au cours des temps. sous l'influence des Idées chré-
tiennes et de causes économiques, le droit germanique et le
droit romain aitérent eu divergeant. La divergence était
tneme tcitc au montent de )a réception du droit romain qu'une
concitiatiot) entre ces deux sortes de conceptions était to~i-
quement hnpossihte. On ia tenta pourtant, tes juristes s'effor-
cèrent de ramener les usages nermaniques aux concepts
romains. Mais une telle concordance étant itnpossihie no pou-
vait être réalisée qu'en apparence, d'une manière verhaie, a
moins qu'on ne cherchât a t'obtenir en aitérant gravement tes
idées fondamentides du droit attemand. Aussi, d'une manière
~énérate, l'auteur ne croit pas que l'influencedu droit romain
aitete ou très importante ou très heureuse surtedroitdomes-
tique et conjurai. Les propres qui s'y réalisèrent peu à peu
lui semblent avoir surtout le résultat d'un devetoppetnent
spoxtam' (!race au particuiarismt' ioca). ie droit cchappa u
l'action niveleusetiti droit romain. C'est ta, dans le droit par-
ticulier des dinerents pays. des ditïereotes vittes. que se cou-
servèrent et se développèrent les conceptionsjuridiques pro-
pres a t'Attema~ue. (~'est ainsi que le pouvoir paternet se
tempera, s'adoucit, devint titi simple devoir de tutette avec
les droits fondes sur ce devoir. Cette transformation eut pour
efïet de diminuer ia distance qui séparait le mari de ta femme
et de relever ta considération et l'autorité de ta mère dans ta
famitte.
Seulement ce droit tocat. précisément parce qu'il était le
produit d'une évolution spontanée, instinctive, n'avait rien
do systématique, ni de scientifique. Le droit romain, fui, avait
ce caractère: i) présentait une heiie ordonnance logique, mais
il ne pouvait s'appliquer, sans artifices ou sans violences, a
la réalité juridique de t'AHemagne moderne. De ta une véri-
table antinomie; d'un côté une théorie, mais qui no pouvait
rejoindre lit pratique et, de l'autre, une pratique refractaire
aux théories qui s'étaient constituées en dehors d'ette. Cette
situation dura jusqu'à ce qu'une théorie nouvelle prit nais-
sance, suscitée par le droit moderne tui-mème et non par un
d('oitarct)aîftue;cefutta théorie dudroitnature). EtiodéKaRea
les principes qui orientaient t'évotution juridique vers des
voies nouvelles, en tira les conséquences logiques. Elle
afnrmat'égatité et l'autonomie naturelles des hommes; elle
déciara que les droits ne sont fondés rationnellement que
quand ils sont corollaires de devoirs réciproques. On conçoit
ANAt.y!!)M. ),'mM!ANtSATtOSDOtttMTtttUf! 487
V. – LMOHOtTt)HPROt'ntHTË
PMMM.Fmt.W'<t:T.E)t.L)!Vt)!TU.H()tM)!!
Vt m UROtTHESOXf.tGATtOXS.
))KU)Tm~TttACTUEL,
mtOtt'tXtMMËHOAL
t'drMM.H)'n:M~t:rf').t.t:vt
A. – /.e <<<'C<<
des nKf~tfOH. f< <C<<<'u<~
fOK<)'H<Mf<.
Meste à voir pourquoi les antres devoirs lie sont pas consi-
dérés comme des obligations. On peut retnarquer que cex
devoirs dépendent de la quatité de cha<p)epersonne au sein
du {{''oupefamitiut ou sociat fpere. fits, tuteur, etc.; citoyen,
magistrat, etc.), et que leur accomptissementest nécessaire it
h) vie du groupe. Au contraire t'obiination na répond qu'a
l'intérêt d'individus isotés. <iui qui s'obtint) est dans une
situation personneUe anonnate. il est <<f~et eu quetquc sorte
<M.f<'rtip. C~-C~).Le )notoM<~<<w a le seos tectmiqae d'<v-
)'<MfM<'M/. t)'oa t'expressioa''fn('M<MMf~<<t. qu'i) faut prendre
dans son sens propre. C'est de )a tnenx' façou (ju'oa parte
d'une ~-f~Mf/f quaud un fonds est soustrait aux conditions
communes et aormatesde taproprieh'. et p;revedH certaines
citarnes (p. Ht-WL
Ce n'est pas tout. Non seulement t'obtis"tion est en soi
quetque chose d'auormat; mais encore sua apparition est
dans l'histoire un fait nouveau et extraordinaire car ces
rapports quasi-internationaux entre f/t'MtMd'où sortent les
obligations ont a t'ori~inc quelque chose d'exceptiunnt't. Ceta
se revête en matière deiictuette comme en matière contrac-
tuelle, ce que M P. véritie par une rapide étude des délits et
des contrats les plus anciens (p. 79<~). t.e8 contrats iaterna-
tionaux sont fonnatistes. Mais it se devetoppe aussi des
contrats internes «H~'f~t~fCMi qui échappent au forma-
lisme.
Les uns et tes autres Unissent par devenir accessibles aux
metnes personnes, tursque se retacheat et s'etïaceut les tiens
geutilices anciens.
Hn rcsnme, i'o))ti{;ation est un asservissement; et t'obtiga-
tion natt de rapports intet~entiiices.uune époque o~ t'<tat
existe a peine. Ces deux idées an''iennes doivent survivre
aux tnitieux qui les ont produites; elles expliquent pourquoi
il n'y a que certains devoirs juridiques de conduite qui
constituent des obligations. Unvertu de cette tradition. i'Ktat
ne peut asservir une personne a une autre tes juriscnnsuttes
ils
classiques en '-net ue disent pas que la toi obii~e'oM'
disent qu'eite tient 'ffMfO(p. 98.M).p. )2t et suiv.j L'asservis-
sèment, donc l'obligation, ue peut résulter que d'uu acte
privé (contrat ou detit). Tous tes faits générateurs d'obliga-
tions. et mêmet'enrichissement sans cause, sont ramenés par
)!)jurisprudence a un contrat ou à un délit. Par ta s'expli-
quent encore différents traits caractéristiques du système des
HO t.AXXh:KS<)(:fftLO(.t~UK.<aO:H!)M
sur la personne (p. 4<6S); sur les répits et les lettres de grâce
i p. 6~-73).
etc.
Mais pourquoi M. G. a t-it étudié séparément, dan)! une
partie spéciute (p. 7S-t('<~ja fnillite dans les fuires? Cetto-ct
ne diffère point, ni pur ses principes, ni par ses formes essen-
tielles, de lu faillite des autres places commerçantes; bien
plus, c'est dans les foires que la faillite a fait sa première
apparition et c'est là qu'il faiiait l'étudier en premier
lieu, pour examiner ensuite son influence sur la formation
ultérieure du droit le principe d égalité paratt bien s'être
imp)ant6 dans notre législation comme un priviie~e spécial
aux foires de Champagne.
On regrettera aussi (jue l'auteur n'ait pas recherche dans
<(ue!iemesure l'idée d'uue société entre les co-creanciers a pu
contriituor à ta construction doctrinale de ta faiiiite. Les
textes à uutre disposition permettaient peut-être de le faire.
P. M.
B. – ~f COM~'ftt.
T. W. BEA8LEY–Le cautionnement dans l'ancien droit
grec. /~<('~fo~f<M~f<«f<t~<')!S<;«')tt.'M /t/jff., fasc.
~43.Paris, Bouitton, !U~. 77 p. in-
)<'<.n.utsi'Mp~c''dujU/aM~cMn<<'t/.McW/e.th)t)t)mt'!()M.tt.~).i!').'t()),
<)'-ttt!md<-ur
m' pt~-tKt)')
j'a;.tjuc ).tn't'i)''
M.~tohti):t'~) t't'r~td'un otuthjt)-
t)''n)"t)t<)t'dit)Hi)t!(s'j'Y'JMf)9tU.n«u'<,t;'m))))'])t'j)~)Utt')''t!<t'.t'nv(!)'tU
d'une<nvcnti()t)a))!Hu)!U''au t'fcf/~Mm')'n~Mf(tfttr<'ttta)ttx.tM<9<t(t«t)
M. Il. x'u )))tsutULti~
ccHt:fomte do CMtiuMtetMent.
tip<:<:i<t)o
H. Ot'nttMKtM. AnmieMcio).,t')e3-t90t. ï9
MO L'A'<KKSt)(:)')).tX!)~H'K.M-tMt
Ju\'ous<tunn(')d~r!n's''nt.))')ur)'('<'t'v()ir~<('f;K'<'<')<!n
retnu)' mte chose (tf)inie. H)'ai)t.St')<jnP:tut(/~jy.)x.
!). fr. ) une vt'nte. Je vous donne "<) de l'argent, pour
que vous me (totmiex(t</ t'csc)i)\'eStichus. t) y ft ià. seto;)
<;f)sus/u.i,fr.)'m) contrat iomxn))~.
t!t)U))))fntcotnpn'ndt'u cette contrMdictiott? Mvidemmeut
Pau)(;u))c)utici i) unf vente parce que t'iulaire qui) euvisage
lie se compreud gm-re sans uu itccord preutabie de votontes
outre les parties, et que la vente consensuelle existe de s')H
temps. Mais):<veote cunsensuette existe aussi des te temps de
Ce)sus. Pourquoi celui-ci traite-t-if t'auaire qu'il rapporte
t-())ntm'ut)eo))tt'atinnom)ne'/(p.)M-)5t;.
Hieu des repouses on) cte douuees. Aucune n'est bonne
(p. )~)-)(i0), et notamment celtes qu'on veut fonder sur je
prétendu suus technique du mot f/'<n'. Loin de signifier,
eunone on )':)dn)ct<;()Ut)nuneu)('nt," transférer impropriété
quiritaire )'«'siKt'itieseuienK'nttdonner. remettre",et
s'upposesytnctriquentt'ttt a f<f'< iJonncr. c'est exercerune
certaine activité matt'rieiic pour tnettt't'une chose en ta puis-
sitt)ced'autrui;ee)a ne comprend pas ieresnHat juridique do
cette activité ttransfert de propriété par exonpfe) )p. )6U-H!ti).
Les textes sur lesquels ou fonde ordiuait'cment Je preteudu
set)s technique de ~«n' ne sont rien moins que probants.
– t.K))Kt))T
AXAMES. UKS KTt:.
utM.XiATtUM, 4!H
Hn reatite. si Celsusa donne une solution un peu surpre-
nante,ceta tient acequ'ita en estvue ta forme ancienne de
<(~<f'~f'(/<M~Mt~)sereaHsantparuuctnancipation.Daus
t'especoqn'it examine. la partie qui donne de fardent veut
qt)efautre)nin)an(;ipe(t</MAK<:))'tu~<)t'esctnveStichu8.
M. S. tire de Itides dcvetoppementsintéressants suries carac-
tères de la vente reette (p )8t)!)U). H admet aussi qu'il a
existe, entre le ~f~M/'et ta vente consensuette, une forme
intermédiaire, consistant ttans unesorte de vente t'fW/M.Mt)
e(!et. dans te ~c~<«x/. avant quela tnancipation fut faite, les
parties (tevaient natureUetnent s'entendre dans des pourpar-
tHt's pn'a)!th)e!)eut'itf!curd définitif se marquait paria pro.
nouciatiun de certaines purotes, demande et r(''p<)t)se:'<Re<!
iitaest notnihi emptn?–Kst! Ce diato~ue n'avait pMH,à
i origine, de force obti~atoire propre, et lit vente n'existait
que par lit tnancipation. Mais peu a peu ta tnancipation passa
i't t'arriere.ptan et)e tomba, et les furtnes verbales, seutes
subsistantes, donnèrent plus tard naissance à la ventecoo-
sensuette. Au temps de Cetsus. t'evofution en ce sens n'était
pas complètemeut acttevee. L'aflaireque Cotstis étudiait avait
été conclue sans aucune forme, spécialement sans aucune
forme vorbate.Hietjd'etonnantat'eque le }uriseonsu)ten'ait
pas voulu voir daus cette afTaireune vente fp. t~t-H'H).Cette
id''e d'une vente aeeomp:tn"ee de tonnes verbates speciates
(distinctes de celles de la donbte stipulation dans laquelle
t'opinion courante voit te précèdent historique de la vente
t'onsensuette) preseutede t'interet. Malheureusementette reste
fauteur iui-m'hne en fait l'aveu, une pure hypothèse.
P. H.
it. -ftft'MfttM)f'«'/f~.
\U.–hH)))tt))')')'):X.\t. 1.
t'arMAt. Dn)):Ht)it)-tt''tMt)):).M
)..)MWf.'<ufm<«fyt</)/('.[.t.)'.i)M,t.V.p.<U«.
t04 t.'A.<HH<m:)").<M)~.t'M4K~
).~).(!t'')t')ttdU)tit<'t't)''int';r)))'t!tti~t)[Mrunt'rr')))r'tr:t')u''U"<)
'j')t)ui!t<h'<i~J.t~i~ni[h''C.tj('tt'![t'*<t.\Hi!U)t<:<h'-t)U'U)ftt):<.</)~;
t:K'<M}t7,ï! )<9tm 0~!<&X<ttV tT/ 0'<')'<U'<ï'~<<~T'~Y'~VM' ).tUt''Ut'
t'itjtpm'ct'i! trois dt))'niMrsn)<'tsi't(JLM'«M'~<th'!tduit:<iract'Mi'atuUt'
j)n)'tuituneo)'t!ti))n<)f~)'Md''t';f<t<)H).'i))ri.<<ian!!fiunv5.7')<.<)f.~t)!At)it'\
*M<i!'j':<)~t')')-~6v'v<s~m)))!<)r)t'a'7o'i'ti)fttU<.tr.~iuir!<i')U!;)-
'jtt'un tjui pout~ttit)<<mcm'tn:d'un n)''<nbn'<)';eon Y~'i; produit un
t)u))tt)tt!tit:turt<)it)cdett!))toin!
A\A).)'S){S. LK )()t0tt )'MXt). H)
B. Z~<n*spotM«&<~p~tH~f.
C. La pt'Of<MMfC
pénale.
(!. CLOTX. – L'ordalie dans ta Grèce primitive. Étude
de droit et de mythologie. Paris, Fontemoing, i904, t36 p.
iu-8"
C'est plutôt une étude de mythologie qu'une étude de droit.
Partant do cette idée quel'ordalie, dont on ne trouve que des
vestiges dans ht Grèce historique, a dû être très répandue
dans lessociétés grecques dont les mythes et le folklore nous
conservent les traits, M. Glotz a relevé dans les mythes et les
légendes tout ce qui lui a paru être une ordatio. Ha été ainsi
amené à les interpréter et à les rapprocher d'une manière
originale dont les savants compétents ne contesteront pas
l'ingéniosité. Peut-être lui reprocherM-ton seulement de voir
partout des ordalies et d'assimiler des cas dinéreuts sur des
analogies accidentettes.
Les types d'ordalies reconstitués sont tes suivants
t" <<<«<<M ~Mt' <«Mer. La tuer est ta principale route qui
mené au pays des morts; le bateau est le symbole de la mort.
Abandonner un homme sur les flots ou l'y précipiter, c'est le
mettre en présence de la mort et par suite permettre aux
dieux de le sauver par une intervention qui lui confère un
caractère sacré. t)e ta les ordalies suivantes l'exposition sur
mer dans le cofire, A~v~, notamment des Houveau-nés, des
filles-mèreset do leur enfant (Danaé, Néteuset Pétée, Deuca-
lion i, dont l'abandon dans une nacelle, la précipitation dans
les Hots d'un coupable enfermé dans un sac (et. le c«<<'t«
romain) ne sont que des variantes; .le xrrMM~ le
saut dans la mer, auquel l'auteur croit pouvoir rattacher to
suicide des jeunes filles menacéesde violences (Britomartis;
suicide par vengeance?;, te saut de Leucade – t'immersion
dans la mer d'un patient, enveloppedans un filet ouattaché à
une corde, que la mer rendait vivant s'il était innocent ou
mort s'il était coupable (Minoset Skytta; Phronimè la Cré-
toise) pour l'auteur cette ordalie serait un xitTMWM~dans
lequel un subterfuge augmenterait les chances du patient, et
on devrait y voir d'autre part ta forme primitive de t'éprouve
par l'eau froide telle que l'a connue le moyen âge. – Enfin,
d'une façon plus générale, ta meraiderait à la justification de
l'innocent et à la confusion du coupable des voyages heu-
reux étaient considérés comme une présomption d'innocence,
ANAt.Yi)t!'(. – LE DKOtT t')!xAL 48)
V)H.–LHt)K<UT)~T):)t?)AT)<j~.U.
t'arM.H.thttKMttt
ft/«~f'f/MW'y~')!/t«'<tMf(~.<f'/ f'()t<.<tW'n'f'.<
«)fMV~<<
~ff<.<t<r/()M<w)tncMfft~j
<LAM<)R.U<tT):COXJtr<U.):t')'))<)Mf:.STK"
LA XOHAUTt~ ))AXS t.KS XHLATtUXS <:t\'tU-;S
P!U'M\).th)HiH)!t)t,t)A)j<\vt(;)t'i,t'tf(:<)'«Kr
)).-OKt.A(:mM)'<n).t)f.tKHS~H!<)':HAt.
rarM.MtOtAM'
ASSl'I:I.
l'I.:Jt'tlltt:~IJrl\I~It's, \I.¡;.K xf)i)H)t)iXn)H~<n;L
rf:K~')'K'H\t:'<\U.HS '<')«KM)'t)!)U:\t\'<H:t.
dc<~mt-nh' dt".tj'ot))t<'n)t<.
)V.-CtHM)NAHT~COLLK'ft\'E E
)'MMM.RMtHM'<'t)'nt)faË)M
dit dans toute lit Hussie. Le suicide fut aturs couçu cuttune un
moyeu <ielui ecttapper. On se tu.' pour setibcrer de ses per-
sécutions. Comme ou le voit, ce chaugemeut dans tathMtrie
ne htisait()u<'t)'!tdui)'p,sous une fortne t~rptocntdHterente,
lo ntûtne st'ntitxcttt de lassitude et de smnhrc désespoir.
L'épidt'tuif fut d une te))c viotence (ju'on t'stime a :!U.OUO le
t)o<n))t'edes victimes; il y eu eut parfois t.UUUou 2.0tJOd'un
seul coup. Toutet"is Cette (ievre nu resta pas tougtftnps u uu
tel de~'C (te paroxysme. Des le x\'nf siecte, it n'y fut ptus
d'outudafes f')t masse pendant le X)x'. ot) ))e cutopto ~uet'e
qu'utx' vin~taint' (le cas. t.a cause dt'ter)u)t]!)))tc(te l'acte est
toujours )a metne des bruits atarmants de pMt'sccutions.de
MOtn'effcschattes, de nouvMttiximpôts, fc rcccttsctnettt~Ot'-
rat.ftc. La doctrinf n'a pas davantage varie; c'est toujours
):) croyance que h' suicide est U)ti))stru)n''nt de purificatiou.
le inoyeu de sauver ta foi des embûchesde t'autechrist.
)'D.
\)-'())t.\)):S))tVK)tS)-:S))Kh.\<:)t)M<~A).)'r~
i;
)-)) ):h't)))K')tAU')');
t'.u')i.)t«:mMt'
'M';m'<i)-G))t))~h')an!-)'t.-)<)vs-)'!tnth~p')t')j{i<;<'ri))titten.'
)!)')9.
(. X)V.))' «2.
ASM-ï~t. – ).AHMM)SA).ttA
KT t.K )'A<:TEt'H~:<)K')!!)<)<;<!
M5
\'<l.AC)UM)'<LtT)tKT).KFAt:TKi'Ht~u~<~UQt!): E
)'!<)')).t)!H.~t'
Il
'(:'r!t)!)in'.i~t)'K.n'a))U'))r.')~))'htt~)t')t'tt')"st'r<))''r('h('
))U'')ivn!<)t)M.t''h')'i!m''H~Y!txt~ri~ur~vat<")~md!t.t!!i'ud''<<)''
'H' ''<:Uuhuih-'m
et tKSi.'i)".ni <')))in
Ni.f..nt surhl S)U'')Mit!)t'- Mf k-
\-u)t'US''<
<h'SKM))')!! XX~asiM!
MC t.'AK'Oi)!SOCtOLOOtQL'K.
)9C3-)Mt
VO.-L'ËSfASCHHT f.ACtOMtXAUTH
t'arM.K)':)'
H.))L'MH)!)t.–Ann«!suc!')),t''u:)-t')))t. ;);;
Cf~U~tHMKSHC't'tuN
SOCIOLOGIE I-:t:ONOM!QU!
t.–~TU)')':S'j)~K~)<A).t':S
)'.n'MM.n.uunu.i.'i)'tt'S)i))\sn
A.–ï'n«<<s(/'f~<<
H. – .s'c)'<'n<'<'«'oNnm~K''
< ~wfy««' .<fMf«!/<<
;<r'~<~)<M.
BOURGUtN;MAUH)t:K). – Les systèmes socialistes et révo
!ntion économique, i'aris, Co)h). )!)m, x-t!) p. in-8".
Cette œuvre est certainemettt t'enort de synthèse le ptus
A!<A).Y<K'–Ht't])'K'.<.)<SKttA).H-. !')M
(~.–~<t';v<.
'Hihtio-
SOH)':)~(!–Introduction
&l'écoaomtemoderne.
HK'qn'id'études sociatistes. \n)' t':H'is,Ji)cqucs(H)t)~,
:i[).in-)8.
Cctautput'est (h''ja connu des sj))'(;i:distt;)n'tout))om'dt's
travaux f)n'"))))f)urt'ait.!)j)pc)('t'd't'{t'}{t''scsut;i!t)istt'.Hpstt<)U-
jours ()ifticit''()t't't''smm')'un de ses ouvra~t's. omis ce t'est
d'autitnt ptusqun tes sujets a))tH'dt''s)'!);')ui sont p)us };c)M-
ntux Ct'tt('~<<<'w/«''f'n/(<n'<fw«'nt''cst (th'iseut.'))
trois [)!u-th'siutitu)t'(:'s. ta ))t'ttm'')'t'<f<««ttt«'«)'« ~)'
~<~)MSM"u<tt':Sw'f<<('fff'~t<u<<m~i'<<M<M'<ta
truisien)('s's't)<f''A'rf''('/<;ut.t~tn('ttt)t'(()i!<t'!))t'Yt'('.s.))!))')M
penste, toutes tes()bserv<ttio)ts)t()))'t)th[uesttuiM'~}i:r<t)')tt.d!)us
le texte, ditnsk's notes. et)niU)~t)''nt\')'Mi)ne))tde)u.«''re))it('<n-
venMbtcimx'~uvresde science, cLnue fois cntcvo'SHnssi toute-*
les digressions,remarques incidentes.(j[uieneHestt)Oues sont
sunvf'xtitSSMCurienscs,mais dispfrsentet fatiguent facheuse-
)nentl'idt:ention.)''desseittonieset)sst:i<;ntifi()ue(te<;<'tuu\'rajj;
n<;t)ons!tp))!(r.))tn!)s net. Xous noterons surent, sons ou a
travrs )e d''vetoppen)''nt. ft. pi'nt'U'nt )'h)s on tnumsdiructe*
nient teitecn telle part de t'expose:)'ideR, (jue nonsetendriuns
menu.' votontiers.det'instnnsam'condpt'inadaptiniondes
doctrines econumiqnes ou soci:)!istesMt'tueUesn )'inte)!iget)ce
de t't't'ouomie!)!i)ire et de ia nécessite<juis'itn puse(le donner
àccttc étude toute so)) importance; mtMO'itiqne des institu-
tionsqui tendentàh) so<'ta)i.s!)tioneconutni')u<:et une oppo-
sition {:nte entre le point de vue «démocratique" et )e point
de vue « veritithiement socialiste ~n):)isceetsort de )itscifnce
positive ctdot'econotniH proprement dite<: une t'eciterctte
assezcm'iGusedesrehtticns entre <'ertidns cndres juridi')ues,
<:er),!unseuutr:)ts, pat'exempte.et )es phenotm'neséconomiques
qui y correspondent. L'érudition détenteur est,en certains
points, remat'fputbie<p:)rexemptesi) conuuissance()e ii) )itte-
rature soci:))iste,pitssee t't présent' ''t.i'iufortnittion positive.
que n'veienUes défaits de son expose, nppar:t)t très variée et
étendueabeaucoup de sujets, mais du tnente coup ettosc
maniteste ineipue et enquetttue sorte spo'adique, et ne prend
AS~Y"): ){'ft'UKS(.K\Ktt.U.K': !;?
pas(('xtt''rteut'en)('nttoatot)tnoi))s))'appa)'en<'ed'nn<'inves-
tiKatiot)SY'ttt''ntatit)u<'<'om)))ete.pr<atab)''at)xt'om'tttsio))s
qui eHsont tirées ))a))t te (tétai), te tcctt'urshtdiettxn'tnar-
<~K'raet pourra, je crois. r'*te))h'te(s aperçus i))s''))ieux. tettcs
sui!K~tiot)si))teress!nde'<set))ees ici et ta :<))ai<i ces profits
serontfra~toentttires et entre eux Mans tien (ecood.–Nous
n'avons pasa)to))so)'('))p('ri<'idnea)'actt''re ou de ):t))or)eede
t'etouvraneaupointdevuedetadot'trinesueiaiiste.Atitrede a-
)'cn<'t'i~tt('tt)C)tt,voicicf<)t)('(titucet t') rdt'<tH[cu)'ini-t)t~U))'
u:H)ssot)!tViHtt-pt'o))os:i)()istin~ttt'deux ~eores d't'tmtt"!so-
ciidistes dont )e()''uxi('ttH'<'s)h'suivant: "Uftt')')t)i)H't')i)
oBturcdes reformes (lui peu vt'n t. )'st)tt'')'d'u))cc')it!)bo)'!)tio)t
<h'spartis populaires avec tt'spHt'tis bourgeois.t.oj))'esc'))t ou-
vrageest coHsa<Tt'ù ce deuxième ~etu'Hd'uh)dMs.H)'fot')t)t'rd:)us
[.t.socit'tcbum'Kcuisc,c\'st aff!rtn<'rta proprit'tupriv<c: tout ce
)iv)'esupt)')s<()oncf)))p)ap)'opt'i<tt'privt'pcstn))(aiti))(iisf't)te.
Cesera un dci! principaux tit''t'sdeK!"irt'de t'n)ud))ot)d'avoir
dctertninc avec beaucoup plus de pr''cisio))()))'on))H t'avait
(('nte {usftueta te dotnaiu<!de la proprifte et cetui du tnitieu
cconomiouc; je ue crois pas cependantqu'il ait cpuisc ta ques-
tion:jetarept'e)tdsctj''ntunt)'ecotnn)ent)asocii)!is!ttiondu
mitieu peut donner naissance a unt*grande (juantite de refor-
mesqut ne btessunt pasta pt'opt'iet)' ~p. tU.tt F. S.
H)t)';t)STAt)T – Naturreohttiche und realistische Be
')<r)jj).)-Ht.
traohtungsweise in den StaatswisMttMhaften. Ak.tdt'tttisHhe
.\ntrtH'!t'('S.;h)))unet-xJ<ihrh..t'J~<.)).J-'J.i.
\\t:HKt<.MAX – Rosoher und Knies und die togisehenPro
blêmeder historischen Nstionatokonomio. I. (/fAf<'f'< A'M'f.<
''< <f~~M~M<<(~' /M)«M<f ittftt'Mt'~f/«<t<'<t'M''). Scht))o))et'S
Ja.))rh.,h'"3,4,)).m.
Wh:)}E)t (MAX). Die « Objektivitat soztjttwissensohaftiicher
und soolalpolitisoher Erkenninisa .ft'ttt;f(<' (/f t'u«<f<«'i.-
.«Mc<« wM<t''<'f~ .<('<;<<</<'))«/<«<<w/f</c). Arettiv)))<'Social-
tt. Suciat~ttitik' (t)t{~.v. W. Somt)!tft,\et)Cr<tt.
wiss'*n'-c)<att
t'j!in'),tUUt.x)<t.p.M-SS.
)Ut.A'< HAttA~oWSKY (Ht<:«t):f.. Der Zueammenbruch der
kapitalistisohen Wirtschaftaordnuag i)nLictuetter ttaUou.du
kuuumischet)Theut)'' Afchiv.f. SuciittwiM.M. S~ct~po)..t9')t,
x)x.2, p. 27~tU7.(Sor la conceptiont-aastrophi')Me <)ct'histuire'.
t.C''ttnn'vu'!t's)t))))'t)'<uv<'))''suit'c.tt)nHt'tt<e)H'<'t')im)"'t'<!)M.<t"
t'Archiv furS<)!'id)e Stoti.Hk.)und~'et tUri~'ja~ju'i' pur
<je<eti'~<-))U<tt:
)().i))n''))))rann.
M" ).X'<Kt:)f)).t":t~')t t'~H.t!)~
)t. SYS't').:M).:s
t;C()\0)UQU)-:S
t'AK.\tM.))B~t!)U)fKTt'St)))AN)'
l'
CetivrequifaitpitrtiedctacttttectionTbeCitiïen'stibraryoù
se contpteatdf'ja ptusieursouvra~es économiquesintéressants
(par exempte. Joncs. ~'f«)nM)tft'< MM, Huhson, ~<'H<tnHt«'<~r<'
~)<f<f)<)) est, conttu)' les ouvrées de c('He bibtiotheque, Ut)
out't'itiïe de vu)~!t)-is:))i«)),mnis de vuië'.msfttion crudité et
htto)'))))' (.dles œuvres de cette sorte sont souvent profitables
aux sjo'ciittistes eux-mêmes. Lepn'sentHn-e comjx-end deux x
parUt's d'uu caractère difTercut. La pn'miere n'potd vraiment
au titre elle nous (tonne une vue ({cnerate de t'cvuhttion de
la vie économique des sociétés depuis tes premiers groupe-
ments itumains jusqu'à lit ch'itisatiot) actueHe. La ciassinca-
tion des types de société eeonotnique ou des systèmes écono-
miques y est moins nette que chez Bttcher ou Sci)mo))er elle
est m'anmoins intéressante. La seconde partie t'oatient une
série d'exposés dettinesa mettre au courant des questions éco-
nomiques qui importent le plus a t'heure actuelle ce but et le
choix qui y repond sont évidemment beaucoup moins scienti-
fiques que le dessein de la première partie ou y trouvera
cependant quelques utiles résumés défaits.
t-S.
)H.-)t)~.t))t:~tt)':hAt'HOt)UCT)()N
))arMM.Gt:on<.t:s))(K'i~.)x.)).))otK<i)'fcLb'S)t)t~t'
A. – Cf<t/M<'«f<f«t.<
t)MS M.\tiM f<< L'ors-anipaticH du travail &
BruxtiHes au XV' ai6cle. H)-uxf)t<'s,i!. i.imx't'tin, U)04.
.\))-MU))i))-8".
Lu i)f)t(!)))u))(~ra))hiodo~t. I)es~!i))'exc()))stittt''m)c nmssu
ett<)''))H'. jM'ot(~tf tn)p et)tt)p!t<:te,de )'et)suij{t)e)))ettts
<'n)pt'uu-
Us il tjt's ).)))tn')!!i i)H';<iites.Aprcx )«) chitpilt-e c<)))s.fcr<i
aux
o)'i~:it)t'sd)'st)n:tit'rstjn'ux<'))«is.()Ut,n<it)gtt')'[)))pusitionde
):)!{!t'cr)n!\ittitt;(',u'!tmvent.()fHcit')tt')))U))U'tC()n)ptt'r
<}<)'<!))):!(!))!))'une HtncnU',t'.)ut<')))etUttit')ithiu)'Mn'!)it'cur-
porxth'c L)'s!))))))-('utisc)t<'o))sUt)tCt)).ie)))-f)))it!)'u(;hc)ou:
ttis )fs)''tt<('))tsfjui )es<'()))t'et't)Gtth)'o)t)'f't)t
j):)spom' Mruxettcs
de t'i))-;)t'f<'rrshien spccifiqut's. Au-dessus, ius con) pilous.
très voisins. tt'cspriLet de vie. <h'so)!)n)'cs, au moment de lu
)un('t't))))m)fp:)h'i(:i:<t,))e tardent pasus'ft) différencier: ils
ne peu\'<'))t))));n)eplus voter avec ceux-ci sur les questions
'Cftit'rc .)<))-)
()t)t!to''o«)ph'n'n<)u
if )!<?«'nmjtfrcuvoir.int~K'Mt-im~i
<)')tU))'c<
.<<:<i<tt.<
(.<y.<)t'M)u!i f~rox'f!d<t)ftt)tf)<)(t<-tion.
M.-ofio)))i<)U'<. t~par-
))[iut),).
t;<A).Y.<)!–- )~<:)MH.<t'f!t.A )')U')'t'<:1)<)\ 5M
)i))ertep<'rst'V(')'a))t<('tc'estd))pro~r's)nc))tt'dt')atiht')-te
que sort je propres de )arici)esst'put))i(pte.
Aux siecies postérieur!)au.).))esA!!trf'xn'p)nprt)t)te
que des comparaisons qui sotdi~nentjusteutentt'evoiution
des corporation'.a t'<'j)0(p)econ.sidet'ee.tit'n est, en sonuno,
dts métiers comme des contmttnes. A peine nées, les com-
munes ont enase débattre non sentetnent contre iamauviuse
administratiot) de )enrsc))t'(s.n)ais encore et surtout contre
)(!SHtn))i(:tO)))''t)tS()(')'Ht!)tf)nit<'S('t)i.[)()))f.J)('Ut'~)))(')G'!t'Q)''
pot'atiotfs. itt't'tVfcsa )'HxisL(iuc'':< tt'i~'o's des (')t<e)tt)'s(jui
mppfXent sitj~utit't'~tttetttccOcsdesconunttnt's. ue t.trdcnt ))!ts
t'tsc voir <h'j)i!sst'M!ipiu')'<r('m)M de la production nationatc.
To)ttf'fois.itsf')'!)it (aux de o'oit'c quêta vie (h'sntMtio's,
pas )))usf)tt''c<'Ucde!!communes. t)'a(''t~'qu'm)c )ot)s't''n!;i-
tatiot) et (ju'mtf perpëtuette dëception. Onsaora );<'a M. Xcs
Mit)'czd'avoit'ct))()i('')'!tt'tis:n)daftstavi(')))))))i<)m'<c)t.vn),
oftiiaintroduit <h'si()t'cset (tes habitudescorpot'ath't's.H est
.'t))ot('r<jucc'<MtattXt"sit'c)c,at))no)))e))t(tMt'p!tt)')uis')(}-
)n('nt)<')')usco)))p)<'td'ta(;t)t')mt'at)o)t.()u'i)))pat'ai'.s).'ut.)es
tiocit'tt'sdf i-t'cours toutm'is it-nidt'fncot ruconnups){!i~;)c<!
Mtatutsp)-voy:)i''t)t)'i)ssistatK')'('))(.'a'-()t'))):t)a(tit',()c\'icH-
h'sst'.()'a('f)d<')tts,('t)')''tft)dai<'t)ta)affH))!)t',ptusuu))touts
fa)'jit''tncot.!i(')un<p)'ue contribuait ou n()t)Mux~<')'s''t)te)its.
L'o'rftU'du systooc futquccha<p)c )))~tJM)'))oss)'d!)it sa propre
caisse d~'st.'t'uurs:iu ou )''s accidents étaient t).'s)))us uum-
<')<(tans
ij)'et)x.)aso('ictL'p)''ri(')itar.'))idt')))<'t)):t<'rt't)))'d<'('~t
um't'xtt'usio))dt')a)nut))a)itt.ftu'o'tt's.sayad'ait)<'))rs<iu
cr~aot)aco))(t'<'ri''d<'S!)i)tt-K)oi.
Tc)s sont, rapidctncatt'sfjuiiiscs. les jt;ran(is traits de la
tnouo~raphic de M. i)es ~tarcx. On ne lui f'L'prochL'rapas,
connue pour te) au)r<'travai)d'ccuno))tit'n)cdifva)c.de repo-
ser sur un nombre insuffisant de (toctuneuts. La const'rvatioti
dt'stext('s)ttmtici))aux('tc()rj)0)'atirssi))o))d)t'<'t)xetsiit)tt'.
n's'at<tsa)tt'ux<')t'))t't'))tt'ttait<r<c)-ire)tn)ivn'.a[n)ue)on
rejtrocftt'rapt'ttt-etrt'dMtretroptoutTu.f'td'fcartt't'tropdcH-
b''t't')t)t')))))'s rapports avec les j.it'a)tdcs))ypot)t('!i<s:t))t(''rieu-
)'t;n)<'ntt')nis)'ssurt'<L'v<)tutiu))despb''n<)mL't))'s<'cou()tniqucs.
Au fooins ce livre peut être cousideru cotutne noe contribu-
tion de premier ordre, dont la synthèse, eacore)'')oj~uee,
punrratirertemeitteurparti. (i.H.
H.)hK);«t:)".–))ttr~.M.rh').,t!)":t-)'M't.
ttC. ).'A'<'iHKS«C)"t.<n!t~H'K.<9M.<W
)).– r<'w.t.tf~<f«.<.
t)OLLK.\XSfKt'u'AH));.
– De l'aceaparement. Paris,
Lart)se.nM~.428p.in-K'.
M. ))o)teans étudie t'aceaparentent dans tn specutatiott et
dans ta production. U décrit i'acea parementde specu):)tion
duos tes btes et farines ~etudespéciale des marches a (er)neet
d<'s('")m's~dmtsh's))H''Umx!hi!:tur)quedtt syndicat Secrf
t!))t).()!U)stes c!tt''s.i''s cotons, les iitmps.tp sucre, le p<!tro)e:
i) décrit )'uc('!))).))'p)npttt()ept'oducttot) dans les coaHtionsct
syndif'atsdt'production, Ptp!)rtic)))if')'tnent()!)))s)cs trusts;
it cotx'tut pin' des \'m's Ht'nft'idcs sur h' n'~iu)M~'coootniqm*
!)et()f')ftsut')<'shyp')t))t'st'sdt')))oditi(;Htiot)st)u'ttsen)bh'
utttoriset'. H y a ttnus ce Hvn' tles p:n'ties fort intéressantes, et
dest'tudest)ed''t!)i)mst)'uctivt'setnt))cs.L<'s('!)racte)'esdin6
rents ()<* t'ancicnr(''t;i"'eet dit re~hne moderue de )\('ono)))ie.
cttee qui (;o)))'(')H<')'!H't;it purenu't)t. sont nettement, exposes;
iY'tttdedcs n)!<n'h<'sa terme 'p. <!7sfj<j.)présente be:mconp
(t'it)teret )inth)en';ede ta spccuhttio)). t)ni re~uhn'ise ou fausse
tetn!trct)csetonh!det{red'or~!)nisMtion')et')t)dustrie,esthien
décrite 'p. :~)3s()q.Ce ti\'rcp:)r:t)t procéder d'un esprit ingé-
nk'ux et )!d)oriet)x,<'t,))v<'cf'ei:).ii mérite de sérieuses
réserves qui intéressent ht met))')de tnemedti trnv:)i)scienti-
tique.Ootre (jne):) «''dation de )'ou\'r:~e dénote une ne~i-
};e))ce<)ui!)pp:tr!))tdans ta typosrit pitié,et nottuntnent dans
)'e))o))t'dcs ref''ren''es. outreque la hib)io}:r:tpi)ieest confuse
et disparate, Tjueianteuritunt'prediieetionfaeiteuse pourl'
ien sf)ur<'es Uteoriques tandis tju'ii ne):)i~e tes faits et tes
chittres.itonptoie. trop souvent, <)uoh)u'i)decta)'e)e con-
traire. une n)e)))ode purement ideotogique. Dans sn )on~u''
introduction, ii procède .'<des définitions preidabtes d'après
les dictionnaires et les auteurs tp.!)s')<).ci) exprime
des propositions d'ordre gênera) 'p qui auraiont hesom
d'être démontrées par tes faits, et ces preuves de faits font
défaut ta même où elles seraient le pins nécessaires fnotam-
nx'nt pour ce)t''attirn)i)ti"u. p. ~tsqq., quêtes formes
modernes de t'acca parementsont le produit de t'economie
capitatiste). Detet)cs expositions «;« )o<t nesont pas dénature
a introduire t'ordreet la lumière dans les phenotnum's cotn
p)iqu6s de i'econontie.
H. H
~KAL))!).:S. – MtititMHS )))! LA PtMtWC-nuS 547
G. – Co~c<v(/t~M.
\VHTX).HKU.Xt:)t (F.).– Die Proise derKonsumTMeime umd
derDotaHlisten.t'rt.'i!<t('t~t''i':h''n<)''L't)t'-r~tn)t~turt''r.tnkt')trt
a. M. 'J.M /r </< c<M~<vf<<f''t'.< <-<<< '/<'f"H'th.) Arch. )'.
Suitiat\Yi-iiu.Sui:i:t))'()t.,)'xtx,)'.i~-Ht.
':n):~)):)< )!E)'XKt-Kx~. – Dor zifFermàssigo Stand der doutschen
OenoMenschaftsbewegung in 1901 .< t'o'~e-
~f~M~~F~<Mt~
Staittswis.t903,3,)).38t-MU.
nE)SS:C).Einetheoret)8choV~ardigungdesiaNdwirtschaft
lichen Genossonschaftswesens in Deutschiand (/')«-H/~)''<-)M-
(~n //)A<A/t«'f<to'<prrn(t''w~)'<' .U~Mtf'oe). Sct)tno)terss
Jahf'h.. <9C4,2. )'. 285-3"t 'Ëm'tc sur t'ouvra~e df (:. LorettMni.
Mf(<)'))n'.
(t'/M)' tt<'</«<f~'tM<'H"<
f.~ <'f<f)/)<'t'<0)«'
SSO t.'AX'<ÈH!iU(:)<)t.(M~t't: )')M.tMt
n. –.</<(~<'('</w~'t!M~
W)t)X)n<Y'S.. Muntoipat pubMo works ~~«"'tM~~w/~t'M ~ft;'
/<MffM)t'<~</<<<<).X.'w-Y~rk.~)itt'tt)i)tan.t't't.~4)j).jn-)!))<'u)'-
!!i~))«)ttf")<t<ctmi')!ct<(.'f)tH')))i'ju<(h)Yra~'ut)h';<um')'<t'()-
ttumistt'
CAttWtX (M.u'Ht ),f;u\.u)t' Munioipat trado ~;t'/f'.</<-<"
m~x'n-
/Wf'('.).ut)!tt<)'ur!'y.)M"t.ittM"t)!tty!-t'sta)t''<'t!<tt'
tt)cnt.<. )~t cuttdttitms et )t;.<timitM de ('cx)))uitatiun mMtticij'ak.
t''m'ur!tt~t')~nt<')ti\un<'['t"tt-tt-tiut)).
SUAW ;))msuj~ Thé common sonso of municipal trading
)."n~"t!.t:~u'.m)'h',tt)~t.it))!U<)V)')~Ct~'prn))aK!t))de
<tit))!n't)n~!tt'ti-a)t'))'ei'i'u)t)Ut))cipatis)t)c.St'at)tede)M
t')t<t'at)cn)tchi)Yt't''i!u".t<)t)t'«'X))()'.<
Y)':ttM.U'T Xotu'KT. Les rôgtcs munioipates en Angleterre
Courtrai. \'ftnmt)t. )9<):).io-S~ Tftntattcicux et ;)<;))oriHi"
H. – ~i't'C)'
StKMECK~(J~;t)t. Der Frondieustats Arbettssystem. Seine
Hutst('))t)t~U)ntM'h<('An<))r(')h)f)){it)Miit<'ht)t''r.it«;)).<).~e".
8taat!.w)!!<.)-:t'):;tt!Z)H~<))''t't.t3
')ft')''f' MM)m<M.' </t' <n<-
M/t Tii)ji!)~t). t.fmpp, )UM(Mum<t!t'a)'hk'so~xcc <'t JMt.'ti's-antt'
V.AH:rtt.)'tUX.M<'SSA<); E
)'~)-M.t'StM!A'it!
\'t. CLASSHSt:CUX('MtQCt:S(HKt'.Urr)Tf'):~
)'AttMM.)t.))<)rM)\t!T)'8~
1. Cf..)t<H'v.mrw/«;/t'/t«'.U'imnM',)'.tM.
t'ur')))' !.tK' '-n~)t'esurt'in'ht.str)!'
')'-)8i0-)8t')'4)indi'ntM
(t.H.p.~tU).nm.n'ay:naj!U)t!U.<t.'int~Kr:t)"m';nt))t)t)tife.)troi!!
Vt))a))tM<t-u)(-tt)f-~ts"t)t''i)t~.<:<')!~ndattttf'<t)n'ti"n<ut))pMtt'a.<)<'t<t
i.~di.<ti~nt')!rt)rr.t)''<h't)tt''t'an'«))!i''t)W)ttm)-~Yoh))))'<!<)<'do <?!
<jui<hmn"h'ror.u!tM~')!!rt-t)'!('M')n't")"'urtt)t)sh'<M)<:trtfU)m)t''<))]i
n'ttf'tttj):t'in()H''<)tf)[)rH'ht)s)f'tt'<)'n'ftti''rs<f<)<)«'s.[t't)')t)tnt
')t'stah)t'tU)[ <t'cn.<m)))''
)')tn)isat)t Ptttit'-rc.
)' dutttt)'')'pour ht)-'r!tt)f't'
– <A<SM< )!(:')X')Mt<JUtiS <hKfAMTt'ft"X) StU
AN.U.SH!
nte~, avec un bonheur reet de choix entre les faits etentre tes
documents, qui surcertaincs matières sont nombreuxet com-
ta reutite le plus
plexes.et avec un souci constant d'atteindre
s~renteatettep)nseon)p))'ten)entpossU)n'.
)<ecadre est reste.dans cette partiedei'ojuvrecunxne dans
lu pr~ccdeate.un ça.tred'ttistoire politique: la Hcvotntion,
le Consulat et t'Htnpirc, ta ttestauratiun. le re~ne du Louis
sont
t'hitijtpe, ta st'cotd~' it<'))uh)iqut'.te sct'oud !)))))ire. te)s
tes titre-.<)cssix th'n'so) tcsqut'tssu divise (t'idxx'd t'ouvrée.
Nous avons dt'ja dit Mutt-f('art que c'-tt'' ))n'dontin:ntcedu
cadre potitiquc nous paraissait t)'')noi!tK-'t'dunf habitude
traditio)tu'')tt',d'aittf)trsco)mnodt-.p!utôt. ~~(h~cc~~
ça n)!)th'rc surtout d'histoire
cej)tion)))t-U)t)di')U('tnnntfon<t(''c,
<'cot)otniqm';tuais on r(;<'o))na)tra,j<r"is.qm'paria façon
dont M. Levassent-cttto'dt'eth'divi'.ioxt't y n'partit sa
tuati<'r')''si)K'ouvMuieutsu)tsout réduits.
Ku<'tt''),da)tS(;))aqm'ttvrt'. c'est par sujets, parproupcs de
questions connexes,et. non selou une suite Hin'uuotoKique
indistim-te. qm' t'expose est ordomn' et t'ou peut a son !i;e
suivre a travers tonU'onvra~e un uronpe d'études (juei'on
veut isote)'. M Levasseurdit avec raison que "cette ttistoire
contient en <juei()')tisorte pit)!.ieu)'st)istoiresdistinctes: his-
luire de la te~istation econunnquc ) moins eeUt' dc)'an''iMtt-
ture.iustoirf de iindusU-ie.itistoire (tu salaire, histoire de
t'instruction populaire, itistoire de la politique douanière,
histoire de ta condition physique et morate des personnes
adonnées at'industrie. itistoire des idées sociatessurt'orna-
nisationduU-avaii<f'H))e)))einstoircdcsassi!j:nats~"p.x~.
(;est pour t'indiquer, du reste.quet'auteur. s'il n'apas vouiu
ôterdn titre ce mot.de <<<M<!M f't<rrt'rM par tequct son ojuvre
aeteconuno. y najcutedans cette nouvette édition tpour ta
seconde partie comme pour taprennere) h' motn«/«.r«'.
Ii
hi~nifiantpar ta que son œuvreest nne /fM<(~c<f'o)MM'«/'<a
)a<)u<'He il uo tnauqnc~uere <)uoccquiconcertM) a!;ricutturc.
farte terme tneme de ctasses ouvrières, il entend nonpasseu-
tementtes ouvriers proprement dits. mais tous t-eaxqui tra-
vaittent.quiMO«'T~ausensteptns~))era)dun)o[.Et
ainsi c'est un tableau très divers et cotuptexcde presque toute.
)avieecono)niqneH-ançaiseattxdiversesepoquesdu\)x~sie('te
que nous présente cet ouvr:!t{e.
On reconnaitra aussi, je crois, que les idées doctrinates de
l'auteur n'ont pas trouble son tra\)i! d'obsorvatio)) et u'hnor-
Mtt ).'A~tS<('C))'U)(i~UK.<'H90t
\'n.-)NST)'r)")')OXStJ):).AH):)'X')'t)'H''<
)'itr)))t.H.tt"'h~'iKTt'S)))tt'<)~
A.–«~f'f'Mf.<.
COHN 'Lut'WML GewerttschaftticheOrgfmisa.ttons-UHd
I.ohnkftmp~totitik der deutschen Meta-ttarbeiter
;< /<«~'<«'<'f't'; ~<
<'<~( <«</<'
t/or~'n«.«(<t0ttit</t<f('<(/<'
Ot<t'm'<'x'W~'<~Wf/ ''M .t~f'MM'/f'. RM'tttS-U.St!)!))S-
Stndi('t). t! x~x. Hcrtit). Hbt'rin! )!'0i,
wissMns<;t)!)ft)ic))e
«7 p. iu-8".
\-m.L':)U:'<TS)tHf.)U:t'At<T'Ttt)N
t'arM. )).Uo).tun.'<KTt'S)))t~'i)'
.–<H~n'N/'«'ff~<«<.
i.AXDHY(A"ot.HtK!.– L'intérêt du c&pttatfBibtiothëqne
intcrnationate d'cconmuiepotitinue). Paris.Uiardet Mt'ièn'.
)UU4.7p.in-S".
Ce travaHpt't)ccttM(tnne n~'Utodencttcttx'nt opposéea cette
que nous prft't)tust)))s ici. tuais i) l'appliqueavec tateut, avec
virtuosité )n<tne.<'taum't)j''ttre!!itnpm-t!)nt et tt-t'scuractt'
ristifjm-. C'est avec ):) t))curi'' df t'inter~t <)uo t'ccote autri
t'hiftox'. (tnns ic H' ouvrage (tMA!.Hùhnt.Bawf)'k, a mou-
tn' )<' tnicux. pfut-~tre. sf). pritx'ipfs, ses procédés et ses
)t-ud:n)('t's.)!t)mturt't tftYMtfurdt's rustutntsuuxquets <!))<'
apunbo)ttir.Hf))rt'n!)nt)atiK'<))'ie'))')M.Bu))tn-I:t:twerk)'i)
htiHSt'e.M.Litnttryydunnt'une fonuesi('))Ut'<)')ip!tr!ttt supé-
rieure accHcs de ses ()(;Yitt)<;icrs;ts.t)n<i!Uvren)6)'itHd'être
prise <un)tt)et)<tt\))''s))r)''q))e)t)t)e discussion utethodot't
~it{ue peut s'ouvrir a\<'c (umtt'tncutet avecportée. Voutautd':
<;e<'o)upterendu fain'surtout un') discussion'te cette sorte.
nousidio))Kd'!d)"rd<)u))))erum':)nidy.sera))idedo)'uuvri~<'
()uisnftiseseu)(')ttt'nt!tn'ndr<'i:t discussion int<'))t!;ih)e.
Landry co))))nf'n'-ep:trdt''unir)''('!)pit:)). puis t'interet.
L'operatio)x'apH:))isti<)Ufconsiste t'xitctonenta retarder une
jouissance afin de huendrt'jdus grande, il ajourner ta con-
sommation d'nn<-ertitiu bien !tnn<)'<'n)i)iss('ra<:(;t'ottro):)
\'a)<'uron)''prix.)''i)uti)ap))cter<)pita))et)ieuamtueton
rem)n('e.oubien<tui<)u'ona''([uierte))suite?L'auteuradopte
)e pronier sens. Il pr'-t'ise t'extension exacte il donucr il ):)
uotion de capitat t)ue)s sont It's biens <)uipeuvent être dits
capita)) et discute les opinions divet'cnte!! dos auteurs. L'in-
ANALyStt<. )!L)!MH!<T'. tHi ).~ ttHt'AhTtnof !;73
t.C"(-in'ff~p)i')tMtttp.t!!<fai)h'(tMt<ftif~)<'tf'mtitfMHt')<'ii)')')tt<t)')i).
)).'t)t~)'rn))ti))j<nt)tin.'()inv')~u~')M'ut))'h'<nti)tt:(')<(t''))t<')M<'t'«/)/)«t'f
MUnun'rtaiM~sci<'n<'e.&)!)i!t;ienc'')<MrU<'M)i)''f('<hj)~)'<;)~).t))tM)riM<-n
'jUt'.stion.
StO L'A<<)SH!i"C)<().t)<i~t;)!.<90mOOt
H'e«)-iciens?Au!))y8)mtt:)co))du)tedet')ton)o<'<'o))o)ni<;us.dMtM
des conditions plus ou (nuius <-on)ptexfis,une ttteorie
peut
être <-onvaineued'avoirma) entendut1nt<'retde t'ttofnoecono
micus. ou t!t- n'avoir pas det; juste, ou pas prévu dans
tous t''s dctaits et dans toutes)es('t)))se<)Ut')tt-).-s. <)uc)ct.tit Cft
intf)-<ithx'ucutMndu,ou iomt()H lie ))i)s.tvoir prévu tnt)tt- tHs
));'j)t))h~)'sou <'uu)bit<!)ist)))sde couditiotts.ou biMude o'itvoit-
p.)!! déduit totttfs ics <;oust'(tucttC(M u tt<-pf():)u'iccsdiverses
)<y))uthfses.Ainsi M. Litnd)'yaut'.tsur)!t-fi)))uH.nvm'k)a sup6.
t-ioritMd'-nui)-()t'(-ou\')'<'t quM.!))<;)))<'(t.tUM
tH<-i)sou bcsoius et
)'('ssuu)ccsn'steut n')idiveu)Muttt's )u6t))t's.h;
(.titdm-!)))iti))i.
ser <'ut)'i))nt-un dcs~juitibrede ):)f'()ust)u))t)!))iou.f))tf<-<' des6-
qui)ihn'.t')tVM)-)ud't)U('!)))p)it;:)tiou(tt'sj)nstu):)tsiHh)ti!!)Mf
)'U)tcU'))t)'('steu)ui-)u~tue<'tj)!))-)ui!«'u)unf()itt)inutit)))
de la sonuttc totatt) (tus juuissnn';t's ()<'i individut.-ttosidm-ù
.d'oùs<'tit't't.)<'iic)U('t)t)!K:<))tctusi()U))UHt')h)t))()t't-<)))u)ui(iU8
ttecoust'utir~ patùcMdMsoj'.niihf'o saus uuc emupt'usatioM).
(ht t'ucttx'. M. j,!)ndt'y aura lu supt-t-iorittjtin
)))o)tt)-(-t'')uu)es
)':)i>t'us<)))et )tt)ux)t'(-o))<)Htit;us
))n;tpm-))t'u[ in'oit-(!<'douau-
df)-ttuiutt'j-t'-t,uttt'))u))t'K'eouttU)icust't)))))-ut)h'u)-d't'))dott-
))eru)t.'<t)u(j)a)-i)))(')<'s()uct)))(;uurat)~s,t'U)t))))'asn'd))<:tib)es
auttt'c)t)t'.c('st!i.di)'tit)u'('H('S!<))))t(h's:))))))!ttions(t~-
tinctes de riatcrÈt bien<'ntctt()m't dans dt's)n))()t!)''SMadis-
tio~m't'. et non ))as utte sente Ht tuënm i))))))icatim)de cet
Jutt'reL.
A ()t)t'))csconditions unt! théorie sHt'a.t elle (touf;)a Utt'oria
dcunitin'? Acondition qu'fiie ait jx-Mvutoutt'.s les hypo-
ti~sci:. ))))'<-))<;ait tire toutes les déductions. <)n'c)it}n'ait fait
:t))))(-ta!tUt'u)B'int('r)))-Mtatim)i)ri)it)-ai)-Mot)i)))))a)faitedc8
postu)atsfo))()an)f))taux. –Mais.acticoxtjttc. ta UtuortesMtii!.
fuisaotc cxisto'a-t-ene jamais? t'arex(it)))))e. notre :)«teur,
torstju i) a)taiysM)es t-!)isot)S()u'onptjut avoir dp demande)'ou
dcc<msct)ti)'ua iuterôt, raisonne (.itttitcf-sse de t't'tnptoi
int~rai par t'iudividuconsidcrc de totttsonn'vcm) ~i) tttontre
que. danKtoi''tnpioi ou tetieeotnbittaisottden) ptois. te dernier
besoin satisfititou la sotnme des dermers husoins satisfaits
t'stptusm)n)oiu!!{{rande()uedanstp)aut)ef)))p)oi,<:titen
tire te))o ou tetie consMqucxco).Mais pourquoi oe
fait-i) pas
t'ttyjwthese dittereute que t'iodividu, tous ses j«'soius satis-
faits. a ux excedeotdf reveuu iuempfoyti'? Unconsidère le eas
ou tes i)t's"j))!< croissent plus <)uotes ressources, celui où les
ressourceso'oissent ptus (fue.tHiibesoins, celui <j)'tressources
H.))'M<fM):)i).–t))!n~)fh)).,ti'e~-t')Ut. :)7
57S L'A'<XKK''u(:t").tQL'H.)M3-<Mt
).)'r')tMt!.iti<)n.jni-)))')'t'.t!t~'t))'utt'.raif''K"'t't.un!!hitst)cscot)nt)'.
*'i.tt,)!it!<.–~t.XMHS)-.)m),AHÉP.t)tT)T<OX
?' Kst CGa dire que cette uuuveitu t))Corietu lu vcrit.e peu
instructif') uousapparaitrait, sur ce pomt, comme ta théorie
définitive? Une tois que nous aurions (ait nux itutt'es tttcuries
du pn'scut ouvrée toutes iescriti'tuesdu utetueurdreqti'cHes
noussu~creraieut. et apporte les cutnptmneuts ou correctiona
(}Ue nuus i)urio))s ju~cs nécessaires, nous tiendrions uous
punr tteaucoup ptns avances, et serions-nous plus près d une
titt'mit' vrahnentsatistaisante''– Revenons sur les critiques
dont nous venons de donner quelques exemples. A quoi
tendeut-ettes*' Soit a tnontrm' que fauteur critique ne sest
t. Oo diM ))('))(-f'hu
t)U<''-ette raisonde 'h'ontndefMt)int~r~L n'ntn!
')!mst')f[))ic.iti<tn
>u))'.idi.ufM))rMVUu jtat'M.Landry(rui-en&,p.tt!<-HC);
ot)e«! un intt:r-t))!U'eo ~u'i) e.itpu~ihied'en otAcoirun, c'<'st.-a-(tim
t intMt'&t
t'ar<)' ~u<: M<ns
fX)!'tu. ceUet'it~")!,si un).tpft:«ditin.ii.di~pMtitU-
<!nL 'tomuh's)M!t OuutoM
KUtt'tiS. ff~ )fn'nti't'<M
fiti~ot~:iu))t)Km soutotnent
)))«')!\p)~tt!un.m!ti!tuu t'undUtMJusttMc~tiun do t'inttir~tet cotitoutM
.'ottduirititau< M~our~mM ci.dc~sftt-– Oudirtt-t-on<)u<: t'utoi-sionjtro-
vitiuf.auf~nd, dMttdcfinittun d 'tMMu'iinitmtoucut Mai:;cmn!
<iu<'it~it!i)?
-.t'riH~~)ttt'!it)u'un<'j[)t;UUundf)<t'ittci))'
AtiALt~E*. tO.XMKXH
t)KLAB«)'UtT)ft')'< Sb)
'~UGUMh''Kh'sait.)) <t()))<nfait')).Ut<).t)i'M)ih'.t'nt)).).!t))')r\<)))
voit.h'sin'tni.))«)"tirix'«!'< jM)'Mt))'<)t)t)tit))<tn)'if!')U)'('usu')<')'ntih'
')U''j):«<)c< «t'<«<rft<rm t)U'U!-)- <~tttt)')nt)'!f't
u ()).X~T).
– (!('qui ".d<v/~<< f/MW'/MC/x'K
–
arbitraire <tat«'m)s'tu )'oit!t<)''VtM 't'un'' M'i''))''«n"-
tni<)H<'<)U)S!' <*t
j<r<))M)~<t''<'ot)naHr!' –<<< ')''vut)ir
<t'<p)i')tt''rhtr~.))<t);.
tutt!!).sans j)h)sft'<tr({t)«)''nt! Mftt<mf<'<t
<t~<'t:tn'r h!st'<'tt)t'st'<'<m. t't:n<
tiot)).):t)it'it'))t'<}))"ttitit't)"ttjttstt'tn''tttfair'')'t)hj<'tth'<t'<'<'hfr''h'<eUa
m<t)i''r<'<)<Mtnifi.
MO ).'ASSXK!i))t;tt)t.(Mi)QfK.<9K)-<Wt
mesure, additionnés, retranchés, comparas au moyen des dif-
férents critères que les systèmes de moraie utilitaire se ttout
i ngéniés à étabiir <c<* serait ta du moins ta base ta pins objec
t ive. si ce n'est peut ~tre pus celle que parait prendre i'autcur).
Mais nous voici revenus à postuler une certaine morate; peu
importe qu'eite soit utilitaire et construite sur une certaine
conception de i intérêt, au iieo de répondre it nne certaine
idée de justice on de bien absotu nous soaxnes en dehors
d'une théorie purement explicative. notre theoriu est nor
ntativo, et tombesous io reproche même que nous avoua vu
M. Landry adresser a dautres. Ht nous pourrions encore
apporter d'autres textes qui confirmeraientcette observation.
– Ht eneflet i) n'en
peut être autrement dans t'economie ideo
togique. Ou bien elle voudra rester purement explicative et
alors, des que les faits ue repondront plus a ta théorie qu'citt!
a 6tab)i sur des postutats plus ou moins arbitraires et des
données ptus ou moins empiriques, elle n'aura qu'une chose
a faire, abandonner cette théorie et recourir u ia méthode
expérimentale véritable, c'est-à-dire se nier ei)e même;ou
bien ello deciarera, si les faits ne se piient pas aux résultats
de ses déductions, que sa théorie exprime tes choses teties
qu cites t/o))'<'n/être. teiiesqu'eiies seraient si t'homme enten
duit son intérêt comme il est <w.wM<M~<'qa'it t'entende <ic
postniatde t'action intéressée étant admis):et aiors e))e cesse
(t'etreexpticative puur devenirMmwf<<<r< nnedisciptin" dont
l'objet est non pas ce que ies hommes /w~. mais ce qu'ils
devraient faire, n'est, plus science pure, tout au contraire oiio
est .f<'«'M(-c
«;<<~t«~ elle est <u't
M<~<w/~M< <<t~<~t«', Mf);~t«~')'<tc)icnousapparait, dans
ses traits essentiels, alternatifs ou môme simnttancs, la
méthode suivie dans le présent ouvrage et dans les travaux
t.Au')!!itt')'t.t-i)j'!)!ti'm')))''tmt)t<)<')n)))n'raux'Mi))it)<)t)!.dt)notn)
.tUtt'uru))<'Mm''t<-r<' tinatist~- tn~ pron')~ 'u' t'~s <)'-)))[<fUft'M!t
<Mtman<tt-nt)'unt'«utn'()if.))!trt'\t'n))th'.hK)t-fin)ti~)th')'u))(!ntUut)
<-MpitMfi!.ti!)Ut: (j). !)Loù rtM<<'«~tt)M<)f' rtndivittu. int(')'j<n.'h'-t; d'mx'certitino
f!n;(H).<t)'<))?tf)et)t<cMti'')tro')n)<'s))tuMrn«u!!t)ttcraYfvice<)o
n)M)))0te. cf..tHn<'c Ant'<o< Y), p. )7.).7t) ou, <mtrn t'tftxptM. vit' con<-
tth'Mt ~). t-:i).)<-st-ns )Mu))-t):<do production jtour )<'<m)t « '-ojtitt) «s)
M-at)'')'Mf)&fai!!o<)t)M<'c<'t't<tinst))<t)t'))s<h-)m))hM')it))))<()))t))mtt't)n)))nti!)''t
't))u)tti!i!icnta unn )'u) tu)")t)r)M)io<-it:(<)) s'tutit de <)<!()))" n<m par )<'fosuttat.
tomis )))!)'lu fom'titM) et si h's <'<tpit<tM)[ son) ft)))'t«y<isdeh~<) ))Mist)t)«& t)t
socMtt' c'Mt un fait &Mtmtftir posterit'un't))'')~ n ht ')e)in:tiott (<'t si )'t;tud<
A un o'rttun txotnt'nt, <'f<)it<(<-vtm's'' ))t!tt'<'r au point uR vuu do cwhdneit
)in-i) M)<H!i la dctittitiut) ''t)~)))'t)«:t)'' pt't't <))' 'i~jit nn JMR!'t))''n~ftoatt!')".
.~A).t:((t<. – tthti'MNTfi )<K ). K<5MnT)T)"'< !it7
tauxdet'intCrettomberait-itarien.oumemesenh'menthais-
sorait-it de t<eauconp,Hn'y aurait dépense ut) prodigalité CM
biensdurabtcstju'onse refuserait). L'nnatyMdcstendancesqni
dans notre d6vetopp''met)t<;conomiqupfavorisent tcspbeno
mènes de substitution substitution de ccrtttins moyens df
production!')certains autres, notamment des instruments
de production durables au trayait direct et immédiat, de ta
machine il t'ouvrierjconduit aussi reconaattre de cécité ut)
accroissement de ta demande for waitin~ Quant a t'ai
tente ({n'imptiqueic prufcs tneniHde ta production, il est vrui
que nous ohset'voos de fortes tendant'es tt raccottt't'ir <'epro-
cessus et par suite Ii ditniuuer )cs avancesttecessaires, toais
):)()ua)ttitt''de ta production tendant par cont)'t'as'!t''cro!tr<'
contrehahtncc sûrement cette innueuce.Knr''sutnt'<ionf. ta
quantité totato de t'waitin~x.dentimdeti pournrriver Ii satis
faire)est)esoins))U)t)ai))saunete))<)ance)î)i))'q))('cas'c<;rohre;
et d'autre ))!t)'t un taux par trop bas de )i))t)'ret aurait pour
effet de provoquer cet accroissement au deia de toutes
limites. Quant aux avauces (tetuundet's en attented'un revenu
futur, quant aux emprunts de consotnntatiHU,cette anticipa
tion sur iaconsonunation des revenus individuetss'expiiqne
par les tn~mes raisons <juote retardonent de ta consommation
qu'imptiqnet'otTre de capital, avec cette sente différence
qu'elles s'exercent en sens co'traite ils sunt donc a consi-
dérer seutement comme une ofire «~«</)'c, et n'ont qu à otre
rett'aucttesdet'onre.
Comment, maintenant, s'explique t'offre do M'«~<Hjy Apres
(juetques considérations sur les conditions t't les fortnes do
ce ptténomène. M. CasM'tdegaKeles causes n'!{iss!)ntt'offre de
«waitingM ht capacttt'(t'épargner (ftctnent justement
aperçu par Mitt, dont le développement en sonnne dépend
lui-même du devetoppentent de ta productivité socinte), le
désir de « wailiug (fa prévoyancequi se développeavec ta
civilisation et ta culture, la considération des besoins futurs,
et de besoins futurs de plus eu plus tointains, s't'tabtii-sant il
côté de celle des besoins actuels et arrivant à prendre, par
rapport même il celle-ci, une importance croissante a tnesuro
qu'on s'eteve dans les classes sociales et l'échelle des reve-
nue Mais comment agit sur ce facteur une variation du taux
de t'interet? L'innuenco est comptexe et il faut distinguer
selou les catégories de capitalistes pour les );ros, elle est
moindre'; pour tes capitalistes moyens qui veuteut obtenir do
0
&90 )'?«"')
).'t.'<<)!K'M:t')t.))!.)OUt!.
X. – S(;~«r<'
L\CT)0.'<)H:)/<:TAt'smtLAV))':):CO?<"Mt~U):
)'.tr MM.
n.)!"rht.)\))' S) Hn~'
A.– /'n~t'<'<'<
ASHLEY~\V.-J. – The ta-riff problem, secoud édition.
(/.<r~M'<t< /'fr<). Londres, Kin~. It'U4.vut.~GUp.in.Xi.
Le nouveau système de potitiquecomutet'ciate.prcsente de
rotet)t)ssiU)tef:)ç())t!'t'Aun'eterre,i)yadettxat)s.pa)-uu
ttonxm'poiitiqnt'onntt,a suscite une aboudauce de pubtica-
tiunssnria matiët-t'. dunt t~'aucuup. œuvres de circonstuttee.
(te )':mi, dHpuK'tnique. n'ont pas i) ett'Hmuntiouncesici, mais
dont qm'hjUMmx's. travaux st'rh'ux d'itommea compétents
t't (te sav-mts, cuu'-titne'it co'tiuncnx'nt un apport uou ttf~i-
~cabtc ta science fœnmnique. Uc ces travaux, dont nous
indiquons phts loi u)) certuin ttOtnbrG,nous n'ctudieruus pas
s))ecia)cn'ft)t ceux qui suivent l'économie classique et les
thèses ).)'ditit)))nuHt's:tt"usn())('nmsseute)nt'nt')u'i)s out
eu ubsudunner
pt)ttre:n'ctt')'<' tt't's m't d'avoir du, d'' ptus p)us.
les t-aistmm'mentsapt-iuri'tues t't n'courir. pour ta défense de
tcursposit.iuxM, a tous h's:)rK"u"'nts positifs, a toutes les
ta t))<!o-
mettves de faitqu'itpouvait'ot découvrir, et (ju'ainsi
t'ie orthodoxe, txatgn' lu poi<)squ'ette porte de Fideotogie
favorite imxeconfnnistesd'uue ou deux {:euerations antecé-
deutes.<'t d'' l'optimisme sans .'ritiquedontses adeptes se sont
)ont;tt't)))'scontextes, a pris daus ses Hftiroatious uu ton plus
réserve 1eta (ait ta part de ta discussion et de l'expérience.
Mais, parati tes travaux qui inclineut vers le nouveau pro-
de M.W.-J.Ashtey,
g:rau)tm'.?iousretiendrons surtouUciivre
chef-d'œuvre du j;enre. Ce
qui nous apparaît coutue un petit
n'est pus eu vain que M. Ashtey a cousacrc d'abord sou acti-
vité decouoanste à des recherches crudités ou il a apporté
).t:f.()!trM(;)))p)~)'t'uet''rt'iiur(ouU)Mf;etif'te<)))<)()u!.it)uasde)it
~iite'iei.ucunutnistMi..
<)M-f.n-itti"M
-tSALYSKS. AHT«H< NH t/KTAT SUK LA VfH t!(:(M()M«tUt: !i97
)t -f~).ftWt.fm'M<)'.
s
SPHC)A).K8
X. – ):<:OSO)))HS
)'arMM.(:.)!<'nmM,)).Uorn<.)f('t~S!<tnxt'.
MORPHOLOGIE SOCtÀLE
) LA V)K SOCtALË)-:TSABAS):m;(J'jRA)'H)Q~t:
)'<u'M.A.Yu:Ht!)t
tU-LAX):t'ARTtTtOXt)HLAt'0)'Ut.TtOK
r<U'MM.))(!K,t:.DmKMHtt';tM.))tt.)tWACM.<
Sttjft~tt'ait~()Mt)!i<:e)iw:
Kar) Xficht')'. ~t'c (!<'«M<<f'f t'« (jt'~f«fr<«'/ «tt~ t'(')'«t~fn/t<'<<. –
~ro«fM .S<<!<<–
t-'titidt'ich RatM), /~)t' y<'<t'«/</<t'«'/«'Af<yf<<<')'
'it'ot'j{vut) Mayt-,~t't'/<<'<JM''rMoy
</t' ~«j<MM</<< D)'. Waetttif, ~t'f
'<'«'h<t"/7/<e/«' 7)f</fM/MH</ f/t' <<<«M</<f. – Si))t)))et, /<' H<i)~<
M</<c)«t~f/«t(<f)'<t'<6t'M.–Tt)eo~urPetert)ta)))),<<t)t)'~<' <M<'«-
<t<M~ (/< (t~M~Mf~f. Ut-. Sch~fm-, ~« /<o~7w/fe «;)./ M)7)'M-
;4t'/t<' ~f<~<'«<<M)y (~ (tt'MM~Mtt'.
)\Lt)AtnrA'ftOK
vanHestieux,par)'iu\'asiou)ontbardeau\'tsiec)e,p))ispar
)esemi~t'atiuusva!esi('t)t)esattxt'.
Notons la cooservation. dans des viiiages ('cartes. de types
très primitif ()acha)t)bre<;ot)uuune et ht cuisine se cou
foudeut, le foyer ctaot au milieu de la pièce; pas de chemi-
nées la persistance de maisons do type très simple dans une
grande partie du pays'on recomiatt le type primitif daos te
aoyau"dp)!)constructio)), bâti en bois tandis que le reste est
<'u maçonnerie;: le développement des étages superposes, au
fm'eta mesure ()ne te uombredes pièces augmente ha tnaixon
tessiuoise primitive était fort diftereute de celle de ta Suiss'*
occidentate; peut-être [aut-U chercher ta raison de cette di)T<'
reuce dans les couditious spéciales lie ta vie sociale: tes com-
muuesetaieutetsuutencoretres peu peuplées.
BtUOtAT.
UtVKHS
).–.SO(:H)).0<!U:t:S')'H):')')Qt'):1.
t'.))'M.))rnt:)tT
H. RH!CH.–DerMimu8.A'<M~n<T«)-<'M/!o«'e/M))~('.<c/t;<A/.
~'<fv )<-)-.<)«-/<,
t. i. Mertin, Weidmattu, t903. p. xn-Mu,
)U-8".
E.-Ii. CHAMBERS.– The mediœvat Stage. Oxford, Cla-
rendou Press. )K03.2 voh xut-Hf-MU p., in-8".
Voici deux très importantes contributions it t'histoire du
théâtre et à l'explication de ses origines. La grande préoccu
pntion des deux auteurs paratt avoir été de montrer que les
diverses formes du drameet de la comédie modernes, !e drame
et la comédie de Shakespeare en particulier, se rattachent
par une tradition ininterrompue, précieusement conservée au
moyen âge, au mime autique. Du mime dérivent e~aiement le
Karageux turc et te théâtre indien. Lemot ?<«)<'est un terme
fort tache par lequel on désigne toutes les manifestations dra-
matiques qui n'ont pas été classées dans les genres tragédie
et comédie. Le mime u'est pas. à proprement parler, un genre
dramatique, mais une pépinière de genres possibles. Vers et
prose, chants lyriques. drames complexes, parudes et simples
jongleries y voisinent. Cependant la diversité de ces formes
laisse parattre des traits communs. C'est d'abord le caractère
mimétique,) l'imitation burlesque de la vie banate et basse, la
grivoiserie et certains types. Fatstatï est un frère cadet de
Karagetiz, dont les ancêtres étaient mis en scène dans les
mimesdeSophron.
Mais la continuité des formes mimiques est peut-être moins
AXAf.Y.KS.–M(:)OLm:)){)i'.T)t)iT)'~)-: Mt
)' -)'K(:H~OHH;)KE
)'ar.\)M.))tU):tn)!T~)Ar.
de tous tes stytes, elle est ptus qu'uu document, elle est déjà
une théorie fcf. p. t!)t CorM. Hotmes sait situer au dessous
des poteries méditerranéennes préhistoriques ta poterie des
indiens. La thcorie du modeta~e, la persistance dans la déco-
ration des motifs empruntes au primitif moule de vannerie,
tout cela est bien ctucide. Demême lit questiuu des rapports
entre types de poterie et types de civilisation (et. carte, p).iV;.j,
Lesctassemeutsdu M. Hohttessetnbient justes et intéressants,
son interprétation des motifsdécoratifs semble toujours pru-
dente. Outrouvera ci')et ta des conctusions ~'ueraies sur l'art
primitif, elles sout toujours basées sur des faits vraiment
importants~ p. i~.))4'.
~Ni.M.
M. ~Ni.
))). LE J.AXCACR
rwrM.A.Mctt.t.ËT
1.~
~'M)')H':)(t-:t'Ah't'tK
~)'
NtÉMOïRES ORÏCHNAUX
Dt:t;X)HAH-:)'AH')'))':b:
ANALYSES
t'RËMt~tU-; S!<:T)t~ Sociologie ~n~ate.
1. M&THOMMCtK. CUXCKt'TtOXS<it;Xti«A).B'!
))KLASOCtOLOOOi
!'trNM.))<.<~)!Hu~.ut.hmMXt)'
ttt: Hoe~Mf.– Nouveau programme de sociologie )M `
))E)touxB,PttfoT,ba MousfEMs.– La méthode sooiaie. iM
WottMt.–AaattM de l'tMtitut tatemationat de sociologie <57
M*xïoM. – Htatoire et seeMogM. iM
V.m.~t. – SaH'appMMMtitAdei conoetti di eaaaa e di etfette nette
MtOMeatodehe.«*
Be«t).– Le problème des id<e<daaa !a syntM~e historique &prc-
poad'onvMgMMoenta. Mt
tt"tB. – Meet pointa in Moietogy. <9t
XnT)ct:t.<<?
)t. CtVtStONi!
BTUROAKtSATtUX)KT~)UBU)tt!s
06 LASOCtOLOOiE
)'tt' M.M.M<cM
t)<TMMCTt<)M.)M
Scm'nT! – VtBtiMrtande. <M
Ot6 TAM.t! OKS UATtÈKRS
~r<).).D'eVeMM)MBde.
arsTnM. – Ziete, Rtehtpunhteund Methodender medMaen V~ker.
konde.
Ke).t.M.–Qtterie<inEthne9Mphy
UL T:)tt))UH.(i);Xt:hALBS
S')KtA).K.
)'tn).0!!UP))))! MYKMSHs
P<trMM.AtM<.)i"r<;u!.t\t'.o).<tr.))t!~t.).*n')'.tMM
BtCMjtMt'.–NotoM<t<me)ttatrMdeMO'olo3te · 'T
WoM«s.– Phttotop'tie des tcieece! eooiatet. t H '7''
AsTL'KtM. – !t materttUxno stohco e la eoctotogh generate n'i
tM
OtiL~xtMAX.–I.teoMUfrenoetooiateeUMdevetrBMoiaux
S)!ttn).–L'evo)uz:e)tenmanatt)dtvtdua)eeMeiate 'M
«'
8tttM):t..–ThoMoio)o3y<)tCon)!iet
L<)m*.–VerMta6iu)ttizittMc:ate.
LottOKosn. – ïvant~gideMt degenerMiene. ts:i
NoftCM.
tV. ).')'<U)\')mKTt. SOC~Tf:
)'trM)).)~'MN.nu!Hn);t.t.
""<
Pn-tSTH.– Combat pour rindivMu
tU'~i.sKt.– Ea<i sur Kvchtion p<ycho'og:que du {u~ement
'<
Bt"«:E.-Pfi'!etpe«!eptyeho!~i6<ndividueM~etBooiate
)'i
))n tt:Mt6es':o.– Dur61ede l'individu dant le d<termtn:em9 eooiat
No-rtCtM
V. t)E<CHUft'H-'
PSYCHOi.OC)): C<H.).fC'n\'K
KTt.TH<)).un)t-;
t'!trMH.n<'ttTT.r")~nmttt:t'<
Kt'< ïnaoenca of thé lorm of tociat ehaage npon thé émette
natUteotapeopte
Ross). – Sociotogi*e peicetogiacoHettiva.
RoMt.–I.eftNggesteNrettafeate.
T)tnut!! – Der Maaget an SeneratisationMermoegen bet den
Negem
~m~
K'<'!t\U.
~f.. CtVN.fStTtf'~ '!T TY)'~ !? C!V)UM'n'~
\.–('tt'n<t')f<tti/f')~t~.
t'trt).Hc"ntT
F(<nM):.<.)t!<.–VtBt)ter)tundetnChaMMerMtdentdetï.ebeM. 2M
'<OT.CK. –
ft. – T~M f~' f-M/t.M~OK.
r'tr))M.)hm~r)rr)'
SO!!
BocKsuwstn. Ein!e:'tNng:a die OescMchte der 8hven
– ShtMen Ma ')em Vmtherteben SOS
W)'<o;).Ef).
Lt!)!tT.–DaftgeoraiMheVe'!t .SOS
307
M's n)!t*MM~.t~M E~tai <or t'~votuttonde ta sooteM indteMe
· 2"
CeMaoet !adia. TaMeamet rappert
R
N.T.M.
TAMt.tiUHSMATtKXt! (itT
\')).)))SPH)H:t)HS))()f:T!t)\t~
)'<trMit.H.)t..Ht'tA'x!\
)~f.6tt. – La formation du radioat~me phHotopMque. Mï
M*Mt).–Mndividnatit)nea))<rohi<te. ?6
A).H\Kt.–CMdoroet.guidedetaRevotationtran;aite. Mt
NottOis ?)!
)) sY.T).M):)tH).)HHx
– /t~/f~t«M<~r.<x~tt't~)~f'M~A.
LeToMUBnte.Nete. ~h
Mt:'<M..–t.<)6EnMi9nM. ~8
–
t.ottttr. Queiquet id6e: aur formo primitive <tecertaines reti-
gieae egyp~eanes. ~to
LuMET.–Hontstorattcett. NM
~'t!<)m .t\). C~.).t:x.– Thé Northent Tribes o! Central Auttratia ~M
i'')T:t.–Snperïtit)ott.MtjioandM9dtcine.M
CLKOtMr. – EthnOjtraphioat No'ea on thé Western Austratian Abo.
rt~ine:
))A!.). – Reports ot thé CambridsfeAnthropotosicat Expédition
toTorrettStfait!).ac
(;)t*L)t)i<i.–Note9oathoBug!M.Mt
C)Mi)Mt.–NotMontheNativMotKiwai!3tand.M)
ATf'~nx.–ThenativototNewCatedMia.6)
«titttt:.– Zwei Jabre unter den Kannibaten der Satomo tn$etn M)
T)~).):x.i. Ethtto~raphhohe Efifebnisse aus Metanexien. ~a
–
W<!tt!n.). Bettrag zur Ethnologie der Chingpaw :fC<
<).<. (.txj.-Gegeven~everLand en Volk van Surittam. ;MM
Lmnn.–UnbagnerMM. ~(i:)
XûT)':)!H
– /f<<'j~ ~f//M~M/f
).).\<.)toTM.–Gréât Bénin. ~o)t
H*n)nsc! – Protegomena to thé study ot grack religion. :!70
'~n'fK. – Crieohisehe Mythotogieund RetiatomgoMhichte. R76
WtssnwA.– Sesamtnette Abhandtttngen znr rcemischen RetigieM-
tt))dStaatttge<ohichte. 3~
tiMt t-AXt.KDBSMATtÈM'.
.MKYtM'.–MytbetcsiederOermaMn ~M
)tt!M~!<K.–NerdiMheMythctogie. ~!)t
LA<itt)<uK.–EtHde<surte<re)tgtoat<entittqHM. ÏM
X~utTAL.–AItteettunentUehet. !!M
Btt(!!i!.M.–Die)&di<eheApeka)yptitt. ~M
jAMt'HL. Die WiederhereteUung!<raet< unter den Aehameniden. 288
NoftKKs. SO''
C. – Sf/~f'uM «~«'cf.w/f~M.
n)ttt)hm'–BMddhi'ttndia. 2M
)~).t.-ï,'EvM9itaettE~M. ïfe
.'<()Ttt:)ii! ÏM
Ht. SYSTMMti
XHm-jKt.X UËStittm.l'tXSKC(~t)A)KE~
Les Suotea, Note, 293
M*T!ttM.–Le<Ongine<dMcutteBt6Y«t<tt!oneair«. ï9B
MAtMus. La th~ophihntropie et te culte dôettdaire ÏW
An'~AXMKtn.– Le*MAe*moMteaehe! te< heteredojtet latine ;)!!
SHmttTT.–DieCnMM. M~
NoTtCMS. MO
n.t't.TËS~t.OA'X x
}<OTK. ?<
H)!ft"'< – AtMt.Mine Mythen und sein Kutt Mt
XoTtM" Mt
V. CXUYAXCKS )()T)Nt'ut'CmK~
MT)'KAT<UL'K-:
\')!).TK. Sittaa und Cebrauche der Suaheti ï04
C<!)<H!"i.– CrtemitiMhe Relijion im Votktteben des heutt~en
Oriente 906
AM"T.–Mactdo)uanPelMMe. 3)U
8<im.t.oT.–Le Folklore de France ïtt
S~M~ 3Ki
\'L ).AHA'.)K
Ytttxtftfft'ï.– Weeheetwirknngenbehn Uraprung vcn ZanberbrïM-
ehea 3t)f
1IlAny.Tr, Fromlpelltopra,er, 31U
UMT)H):M.–EineMithfatlitu)'!tte. 3M
Ccxo.sT–Un livre nouveau sur la liturgie prenne. 321
Utt~MKï.–AItetundMMtvonderWCMohetrMte :M:!
SO);t!).t)«'.–DieWitnsehetrute. 3M
HtSTEtf.– DieMédian im Nenen Teatament und im Tatmud :'N
K~M~ :'2t
\))).-t.m<)TCH).
A. – /.<' <;t(<Kf/)<f'' <V<<t<'f<~
<'<~.t /<<
Hfotx. – Der Sabbat im Alten Testament und in attjudiMhea feM-
gMMnAbergtanben. :<?
TABtJ!UKSMATt&attS OW
),M«. – ï.eMMMt)ui!ettespeete<htiM 3H
NoTtOts 3M
M.– (.'<v<')MoKfMcom~Me~et f<<Mmanwh.
~WMM~–OMM9. ïM
Gn<t!s~)-)'(vox). – BatqutUtaUveunddatquantitative Etementim
MtM. MO
tM.t.f:vY. Note*sur têt jeOnes chat <M JuM< MO
StfMtt OmT~so. – Thé votée ot thé ttoM o! (tett!ny. N9
~OT)Ct: 33<
t!.–/(t/<ar<fM.t'
UA'<"). Die Religion in den aBByriechbobytontschen
BuMptat-
meo.
NOTKES. M!
)x. nHH'.n:')~s
nE)'t<f:sK'<TA~t"xi<
A. – Hf/~JK'M~tftOMt<wH.«'«.tM<y'<'<t'M
ff (/t*/)/«'MOMtCttM
nO<M)~h.
~KLEtx (vox). – Bine Quelle der indisoben Seelenwanderungs.
wrotettung. Mï
Mot't:M<)..
–todoneBiaehet'ZaMeogtaube. 336
LAttft:. Neber den saoramentalen Charakter. ?4
H)!)t!– SOade und EfMMntfnach MMiteher und babj!eoiMher
AMohauunjf.- !iM
KKW)T).~n. – Zweitet an der astronemiMhtn und geometritehen
Grundlagodea 6J-8yttem<
!<K(.<!).).tx
tvux). – Bat Pterd im anMiten Ahertma !KM
~nTt':)! MO
C.–<'i<M.</)M
)h'<r<tt~.t..–t)ndi<t!)MytheI09y. Mt
H.H. MEtEK. Mythologieder Gormanea Mt
n~m~ts):. – Nordlsohe Mythoto~e. 34f
t.uxtt!).. Zur rellglonsgeaohiohtliohenVeKtNndMMde< N. Tes-
taaMnte. 3tS
f~ 3t"
Il. t~H</M. COH/e'(~O~fM.
)te~. The FotMore ot the EsMme 349
–
Wft.M~fs. Der Untergmg der NiehetMngentn alterSage u. Dieh.
tun~ M9
TmtsM.–TheGMttPMMon. 9M
:<aT)CM ?3
H. –f«)jrwM.
C<Mt<. Thé evelotien et theototfy in the areek SB!!
KtitMMtTBtK.–MtnandrM .t. philetephth. 3S7
NoitHM 3M
MU TABLHU)!St)AT)ÈK)i!.
X. t)ft))JTSHTt.))i(: ))KKUt.T)-:
K*Kv. éttkMtieche KMtttttttten M)
NoTtctii. !)M
.<t. LES SUCtM-~ KH!.t'.U!'Jj):s.
t.HCKMt))(ALH
KTLHCK
(m<j.\X)A\T)uX
h'AMen..– Sooiologioalhypothèse*oonoernin~ the position of wo-
)nen in ancient religioa :tu:t
thn;)!.–Kiro~nje)c'tieMeD9uttehhndt.!V. 301
)hs'i~–Th«pMt!mdO)'ijitto!c'~hï'mn)aonMticMm. M)
–
tiMOT(<'<!). !s there retigiom liberty in China !)M)
t'Eu.x'T.–Cotnpte-renda du précèdent ouvrage. :m't
UxauT('!R). SectarhaMm and reU;tieu3perteeutioM in Chiaa.. ?"
CxtVAfXKS. Les Saintes Instructions de t'Empereur Hong-Wea 369
NoTtCM. 3711
0
t n).-).RU\~tf:.Ut').\)'t)).)T)L't')-:
t')H'M!H.),UW,M.)t<u~,tt.t)r<tK~f!<t.Fu..)Sm
A. – ~<<'0)';f<M)'M<t'on
hnfilirluet'rt f;A)t')'f;
IIOl1til.I;. La d6mooraUedevant la soienoe XM
MAHtn.– le hMi ofjanicho dolle Stato et deth demeeraiua te'
B.–~)'K)M~)t't:M<f<<))Y/«MM«/mn~)f)/tMf/H<
LuT.–ridétasanvaM~M' M!
ttYFFUt.. Die M'tweizerhc'ten Land~gemeindea. 40t
««CM.– Foaadations eï modem Earepe.
NoTtces <ox
TAMt.HMsMATtiiH)! O&t
tV.-).'0)tU.~K~AT)t)\t)0!)MSTt'JH
i'arM.t)t!MKHnu
– t« ~'ftM'~f.
K)H<tT.– Beet)aohtun3enan Lebenund Tod. Eheund FMtUietaZ<e-
trateetebet.
Tsn!u~ – Die L<hMvon der jopaaisoheo Adoption 4"f
–
H.fotfmt'ft. Let Tettamentt cetttumtere au XV* steete. tiï
))'K!wxpt!Jr).u\j.Latao)iUecettique. ~4
~mwH. 4"
Y. ).t:t"t")T))H)'H~)'K)HH'
)'ar!HM)"v"'<\)r,Kt.)jtt~)'i.ttotH. m
ti*t.~XTe.–L~OMdizionegiurtJioadeU9COMsacro MX
Lt'car.–StudiMttaproprietatundiïriaDettnedtoeve. ~~3
Wf-nxni!. – Diea~ran'ecMUcheaVerhsettnistedes mittehiteriiohen
SorMem. ~t
\'t. ).):)))<f')T)H-0"Uti~T)U~<XH~rtCUXTRAnTUf!)..
m(onœ.<mH)K.tA).
)'.<r~)!).!)tT~u!'t:r)'t.
– f~u<~~Mt&y~t<~)f<f/ ~f<t< caM<rac<«ft.
~6
)')!noMt.–ï.eebMt9MtO))iron)Me
&!<.)!<–VertBtagenthtttnng und Btpethe)<naeh fraeoMsohemReeht t4t
(!r<t.).ox. EMathiatorique :Mr la tegishtioa trau~ahe des totUite*
6tbMtjMeroatM avant <6?3.
Sc~M~~u~.f.– AttroemMcheeSehatdreehtandSohuhtdverfahMn ~M
)«)Bt.M.–Cempterenduduprto)identeHVMge. <~
ScHt.oMBM~.–Nexnm. t~
KrB!.)!o.– Compte Mndu du pr~côdent eavra~e t'5
)t. – te con~<
BtAt!t.)!Y.Le eauttentement dta* t'ancien droit grec *t"
ScnLOMtt.mx. – Zar Geshehte de<rmmtMhen Kaats t5f(
?2 TAMt.M))Ki.MAT)&MM
Cm~.–DerWttchM in QMdtt.ChadtthMtdnqh. m
Hf\)«TK)\ AechtunjBuai Sohm~ettungiktattttt im potnttehen
ObhsaticnMreohtedMMittetottert. 4M
t'tt.txo. – 1 ContMtti agrari in ltalh nett atto medte eve. 456
SuTtct: 4M
C. /.f <<<v«<
t'<~MtMtct'<'ta<.
Ht'\f!.)x.–L'hhtoiredud)'eitMn)mereia) 4M
~AXf~~r).– !<<noeiene det terte aeth dottrini e oeth giurispru.
dMMingtete. tM
YU.-t.KMtUTt'~A).
)'!)fMM.))tm.nt.M
tt FtKoxttT.
A ~(' </t'0<7 <<««<
/)t'KM< /<<<~f~'<'<'fK<<
sociétés.
K''m~;m!K. Onter<MhMt)j)9n aher daB primitive Stratfecht. 46U
U.sTKMt.–AMhtMaguadVjrbanettnjtmgt'teoMteheaNeoM. tM
GLOT!. La <ol:dahtë de la lamille dans le droit orimineten &rAce 40!'
U~KL)\. La notion de l' a Injuria )' daa<)etre* ancien droit
romain t7ï
LKo'!MUt)'.–D''rScht)tzderBt<reimatte)t Rom. t7:!
[<AKt:sT)!.Les anciennes coatumet albanaises 4~
Vus KwtMtiow~K).– Die CoattitKtieeriminatia Theresiana tf!'
T.t~Mtun.–RagieneeevitnppedeUagimUiOapuaitiva. 47<i
6
X. /.« <'ft/jofH«A<<<<<f'nH<<
L')M)'<t..–6e!eMshted9)'!tra[reehtUohenZurechnnn9ttehre. t77
K'K)!).n. – De GrenzM der Znrechnungttaehijkeit und die tri-
ntiMtAnthropotojie. 4M
C. –<.<t/uct</M)'<'~Ma/<
Ut.oT/.– L erdttio dM< la Oréee primitive tfO
Nom:): 4M
\'tH.-t.))Hu)Tt.\TKM.\A'ft(~A).
)'ar~.K.th')n.Mrm.
UMBMo.s–Thesilenttrade. Hi3
<.–H))~)H).!TKL').t~.t).KKTt)t)M!!i<T)UUH
).A)tuKA).)TK
))A' ).t:s)tK).AT)0\S
<:tYH.KS
t'at'MM.~ttmHKtw.thtt'wACtt~At.ostKr.
)t. )H'.).A(:mM)Mt.()ti)HH\(i6.'<fiKA).
)'!()'H.«":MhO.
U«M:)U.<'M:z.–BnMyoMbre~cnM)toeteot«. 4M
– La p*~oht.to)t!eorimineUe
Kew.K<)!)tY. 49t
NoTtCt!)).tm
))). SHLûtt.M t'AY"
LAt:)t)M)?'AUTH
f'arMM.H~M*LM<tT)()m<M.
Yvt:K'()i!i.–&atuttMtenrranee~lMtai90) 4tï
tu") uHQjtKus.– Atrededor de detito y de la pena
)t)tHt t')6
)\<:)ttM).~At.)lt't.).K'.T)YK
Ptf MM.HM)tnM tt U'~u!))')
J«:ue<.–Con<)'itBtionat'AtadedM{eMe<d<g<ntMUvet Ot
8T';H"nftft!ïtemitMecoUecti<danBteRaBkotru«e. M9
V. FOKMMtHYf.tt::)"! t)KLA(;KtM~t.tTfiKTt.M).')MM<)KAUTft
)'.tf<).))!) ~'n.
A't"t.t!t.A. – Detitto e delinqaenti potitict MC
ni~Ct'iti)t.–~<!at)Mde3 deCa~Uh !t0)
HusT.– DerSetbtttnot'd teden Stae~ten. Mï
FtMHt.K. – Die PfOBtitutiett.ibre6e<chichtauadihre BauehuBgen
MtaVet'bt'aehen. SM
LttJMNT.–Ï.MpervartioMt.exueUet. M.)
t<c'm.t:s. !i0<
Vt.-).AC)()Mt.'<A).nHKTLKtA'.TK)1<tC<)M'M)(j))H
['arM.HM!tM..
V~!<K~.–Ïteetfu<M<6oaomtquesdetacr!n!ittiMM MS
Vtt. t.KKt-'A'<KE
KTLA(;)UMt'<A).tTt
)'!trM.K)<:M<m).
C. – Mtf~.
SoM'–ïntroduetienai'eeeMmiem<)aerne.
530
NnucM. KM
)).-S)STK))H-.t;C'<OMtUt:K'<
Kn. – StadtM in thé évolution ot induttria) société. SM
PHotT. – La Belgique agricole, Industrielle et cemnoreiate MO
XoTt':M. !,X
U). -)<t'nMKSM<.A)')«W)-crM'X
A.–f'u~o;-<t<fo<).
Oot.xa.–DerMMparement. 5~
SoucHox. – Les earteU: de t agrtcuMure en Attemagne MT
NûTtCKX. î.i~
C. – (.'ee~-a/xM.
NoTtCKS. '.ta
)). – ~MH)t')pa<MM~.
NOTKM s:.
!<OT)«s. sijo
V.-VA).Ent.t'R)X.MO'<~A)K
Ex.ittt.MKCMT. -Die
geogMpMsoheVerteitMngderGetMMepretBeia
dMVeMtnt9ten8taatenMni862MtiMO. 5s<
Mt)Mt.A!<h.– Die Lehre von der fur Getreide
PreitMtdang S53
Vot EtKS6K)!UTM. – AUjemetne MQMtmnde und Cetdge~Mohta det
MittetattennndderneuerenZeit 55;
Nonct! sM
t).-TKCHXU).U(i)K
)'~))!t.)).M.T.T)t.<
Hamm. AboriginalPottery of thé Eastern Cnited Statea 6!Mt
N«T«: 63''
m.-t.HUXMMK
f'MM.A. Mttu~T
BB<:n..–EB<)aidea<)nMt!qa9. MO
thxT. Der ikavisoheDiatett im KeenigreteheSerbien 64)
MotueTT)!. Ceber die alto petititthe SM9Mp)Je ~)-. a'eEtsMaatt-
«hen~eeMter Eutop~ 649
J~DKXt)!S NOMS trAUTEtJHS
/t~N't'LK~H.U:X S<)\-)-).'<))UET X'A~ALYSKS
).C'*t'X)')<:ATm.\S)ttttt.RA)')U~UR!<
Brttnl.
Bn'mt. Ua0
0~ Cut'ti~fS.-J.), 3ue,33<
Bft-itt. tW
MX ttadt. MM
Hiin~H)0)t)t.
ftfown. :tM t'MK'Htud. j~t
Brune)!. :tH n.drit<<. HM.NM
Bru~t. ))'t!!))".('tS(~'ttt)tt)t). ;HX
Brust'~L :tM thox'oort. 3H
Hrutait' :HM )'ar.t)).<)ty. i~
tMchut-. :.H )):(n't. <M)t
Bu<-)))t'r. )'))?.<(< 3'Xi.W
MudM' t'H)\vin. KM 0
t):ni. 989
Bunt:
Bttt.hcr. '.M ))!ni!i-.<~n, Mt
U'-is.~mttt), Mt
))ur«ii..
ttuntt~i~h't. )).-h-trH, 3~
iM
t)t'ft!<dif!.<, <!ij!
Cannât. H~ U('<MUM. KM
t'!rh.n.;h(.). 3~
Caf<"in!t('t~.
(:M)))urd. MM ))i~i''h<K.), OM
(~ird. :M Uie't-iMh. 2M
3'7 «H'thn-h. MX
Ct[)t)brh)Hf.
f!<um'rt<n. ~)!f ))Hxt-). S')&
!M' )'i\t. XM
f:m«.'jtt.
MM ttut.htitxfvtm). M9
t:<tt)t'<tt-,
t)"!h't). &te
CuxUxiim.
Mt!) ))o<tt~a'w!i)(i<vott). MÏ
Casdftr<tt)di.
))"rn''r. B3)
CMspMri.
Cus.). MT ))or.v. aOt.itM
Chttfutittn! ;< ))t:tf))igf.t'o. <94,t9!i
~M t))0!)t'< HM
Chatn~'rs,
)? nuh.!t. 34t
Chambet~it.,
MU )))t))n-t). M!
(;h)H)tbo-
37t t'upMt. Nt9
Champion,
3tS ))ur:u)(). i!M.3ï9
Ofttj'tMn,
))u.<MU<t. 3t3,9M
ChKpuh.
ChtiVNnnc!<, :t:<ttii' 4:ii!
!'M ):h~)i))f{.
ChrktJ.U.). t~H'tturpnt)), t'Bt
OMhtM.S.). !"7
HtKnotmn, ~.StNt
Otn.'t. 3)8
)-:)M'M<j)L MO
Ch'muw, ):)M)t-~<nU. MO
Ctement. A''S
Chstcift. :m
Ch-nt-i. 4~
H'tjf'wurth. M5
Cohu(E.). Mi
!'67 HttM<
C'!))t<tL). 3M
)':t)t<t.t).
(;<)))(<an). S'
Htwot-Utv. 3t<
CoUignun, MX
):)). 5M
Ca~on. M"
t':m)''r)i. S66
CotxntOttX, C)!!
H))j;e)br(-cht. 6Bt
CMk. :'?
KttK'ithufttt. !'?
Cat-rhhw. Mt.SM ttit
3!it En);c')'"<mn.
Cosquin, ):rntoni. 30&,39t
Courant. *H
Cfptnet~Barn. MU fubf-r. M!)
t:nck. m) F<tt)t-eRm(()e), 3M
Croce, MM FttfjenM), SNi
Crook und Kno~. 3ii4 ftMMH. 3M
Cmnout, Mt fttMnd, M5
)MU)!X)))M NOMStt'AUTeUK~ 069
t~t'ttir. 6M Xaboritbt-ttnnet, SM
)''<t'~b<!t). xtt t~ddtot). ~0.38:
~WMH, ~(!0,3!)!i ""?". M7
~errufo, t~ 363,639
Fcwkt'!), 3~ )))i)<ivy(H.), S):)
t'iotifh. o:t!' tttt)..vy(J.). 9t8
)''h'-t'<'r. SM O'mtihott.
ft't'ft, s~ ))Mt)))~ty, 305
)<')<'tch<!t', ati! "y. ~9
t''hM))'noy. H" Me
F)U![. Mï Humson, !nu,M3
t'f'ut'her, 3t9 ))a)t)!t()d, ~o
Putnnitt-e. 5~ )t!tttttt!tt)n, ?3
Foy. ti3') ))tm';t<. i)ot
F''tmkc', MM HausttofMr, (m
Frimx. :):)j. thtUsoUer, ;jj~
~t'ccr. 3~ ttitUt'MUe, o~}
)'')'h'ttt)ttnn, ~jtIt Hayfotd. 3~
)''t'it'dtich, .ms th'aUn'r. 3j!j)
t'')itxu(v')o), M) )te))t).
t''<i)benitls, )t)!) ttciiis, s;~
ncttnuttu)', 33j}
(:!t))n!ty(voa), t~ ))M)bt-, !iSt
(!ut.mtM. th't'M. (i)~
'!un)ip)'. ;)ïj )fcnry(.), ~M
'!ttfuf!t)u(G.), .tM "M'y(V.), M8
~anit-. j}:{s th'nt~o. 3~3
Gt'haut'), Si)) 30)
tt'-p'tittfj,
'J'iMt! ~M ))''thth'), 6)i!
tiiKiiot', :)():) tt'-moannfE.). t3t
<Ji))''n, s;:i .))<;trH)!jnm()'.), Mt,3t4
<'irjin), :tM tt' M9
(j)~Mtt)tj)p(von). ?0 t)«'viy. ??
OMcr, ~oti ))CtTtUt{. M7
C'i<!). (itj! OuU!)-, 3~
ttt" tGMSU Ht'ynmnn. s~
UuMt'td'Ahieth, ~M t'iH. 6tt
(juht. j)iS «'ut. 3~0
Uotdot-, 3!i:) ))')MV'iH(vM)c).8th)netx; 363
<!o)dit)<'in, ti~t ))«'r<uaun-Kraycr. 32&.399
<!rah)ttt). UM noth'tt
<it'a!rie(dota), t<it,~t:' Hothtt.tnt), 292
(!tt'<-f(de;, )M )tt))..tt.<(J.n). ~j
(!t~)))trd. 3oj ))'t)!))Cit)W.)t.). (i3)<
)ttCi!St!tMtt, 370 ))"Ui:~t)t))tt, i~
'!t-i'!)?t'n, ~s:t )'"ru.
(jmn)t)))trd, !,t~ ttorovitz. ss;,
Utuot(.~), ~2,M9,3Tt Mt-'))i<-t<u. iti)i,M7
(.ruppc, ~e Hf~ny, :j;nj
'3ue)pn. M)1 Uuhort. s~
tjutt)..n. ttt ))u))ert.Vm))erou)i. SM
U0)np)ow!oz, t)i!i "u". 6W
Gunker, ));)) ttuoziker, ti~T
tiuntht!), j HuttetoMn, 3~
t'"VN)in. tM~H
HM~ ;t5t
ttttbcrtaodt, MX Jacoby.
OM U)OBXDBS MUMXO'AUTEUHS
KY'X.tttt'<t)i)t:tttH)tH(:))t)t).)!<H6MtS).HY
FEUX ALCAN, EDtTEUR
t08,UOULHVAM~KAtKT-<iK)tMA)K,PAKiS.(i*
BIBLIOTHÈQUE
t'K
PHILOSOPHIE
CONTEMPORAiNË
(Kxtx'Mtt. <iu <~tt<*tt<tt<u<~)
SCIENCE SOCIALE
MOtJCt.E,prnrf!t<'t))'<)n )'hi)o''oph)esoci)t)e& )'Ut)ivfr<ité<)eTnu)n))xe.
Les sciences sociales en Allemagne. /<: .)/<</«M<t'<t ot-<M~M.
2"<tit..t vu).'))-)«. !:)t'i0
Les idées ëaatttaires.)\'<').iu-x 3 )')-.?
CO)fTH(\t))J!).–Laso!:iot09ie.t\'stt<tMu))!trt' HtuunuE. t vu).
)"-X. ~ft-.M)
COS)'H(At)<)tp)h'–Les Principes d'une sociologie objective. 1 vot.
it)-S. ;s ft..
L'exp~rtence des peuples et les prëvieione qu'elle autorise. ( v«t.
«m. un..
UtJ)tKt)K)\).c)))n'!<<' de t'oors a )<tSuthuxnc. – De la division du tra-
Ta)tMeiat.)it..)vf)t.in-8. 'yjr.KU
-LeBr~gtesdetamëthode6eciotog)que.:i'<)i).,)vu).)n-)8. fr. M
– Le suicide. <(< xfM'ff~uf/t't/'t'.) \'u). iu-8. l ))'. 30
L'année sociologique. t)"i( n))th''cs jWK". )<'s cit)') pt'ct)))cx'
ch')('Ht)''<t)h.,h'!tS))!H'')))('t'))tit')))ecU)t<JUL'~)c. i~fr.SO
HtOtTHAt. ,H. <) Les problèmes sociaux et le socialisme, < vt)).
it)-))i. )- M
KK)')~s (\.). )tt'<)f)":«'t!t':) tn s')t'bu)))tt'. – La philosophie sociale
au XVUt siècle et la Révolution. t Yot. i~-s. 7 tt. !i0
FttAXCK(.t.). 'te t'tustimt. Philosophie du droit cinï. i vu).
it)-8 s t'r.
Philosophie du droit pènal. :<iit., )vo). iu.ts. a fr. 50
C.\)tU)''AL<<')~-i))et' :t ta t:u)U' (t'Mj'pe)f) )tt'or<'sst')tt'ftt!)' ft )'th)i-
\<'t-).' .)!<. – La superstition socialiste. vu). )« 8. 3 t'r.
-LaCriminoto!)ie.<t)t.tvt)t.j))-8. ~r~<)
(inK)':)''(t).'t.r"h-s"'))ri))t.'))i'K'r<)tt'))')))vct)e()ft)ruxf)tt'~–L''B
totssMio!ogique!.3t'')it..tv')).h)-)S. 3 )<)))
– Le Transformisme social. /f!f«' of)' ~f'(;f/t'<<<*</<- )' (/M
MCt~ \<. a t'.tU.. )Vut. )tt S. '7 )'(-. :,u
La sociologie économiqu' t v"). it) x 3 tr. ?:'
fJ~Y.U; (\t L'art au point de vue sociologique. 2 edit..) vot.
i" s. ), :;((
~A~t'.T()' <t.' )t)~:ih)t. Les origines du eociatisme contem-
porain.:t" <)!).. ) yo). in-tS. )< :i0
LAt'tt'; ()'.).t))!t)H'(';)''c')~)ct('n<))'('))iv<;)"-i)<t<')t<)f')<<ux.–La jus-
tice par FËtat. /<« ~e(/<'«tW'<<fH<<f< 1 vot.in-tK. 2 ))-. !iU
LA\Kt.HYH(H. 'h'), .)< )<))otttta)tt <h' t'fxstihtt. Laproprietë et ses
tormespritniUv8)!t"ti)..n')\))t(ttte.)vo).itt-n. lut)'.
__FMit ALCAN, M!tear. 108. boulnardMnt.aernxtn. Paf)<.6'.
LAYHt.~VH (H.<)''). Le gouvernement dxne la démocratie. 3' cdit.,
~v"in-H. tSfr.
LE )fOX<(<')stavt.'). Psychologie daeociahome. 4" udi)., fct'utt'tue,
t\t.i)( M. ~n\M
t.OMttHOStt(<:t'<f(tf'.-L'homme criminel. ''dit.. iivut ix-~Mt'ct'tn'
)'aM))';<d')tt)att'tsd'i4.))!«))ch''s. XOfr.
LU~X~USU'-t )')-;)t«)';)tu. La femmo criminelle et la prostituée.
)V"f.)tt-ii,HH't'C)~:UK-)tt"ih"r-.h.'][~ <5ff.
LCA)tH(uS'<et ).AS(;)H. Le crime politique et les révolutions.
2v..).h<-8. t!;n-.
MA)ttt). pt-f~fs~eor :( ) t'niYo'-it'' <)f i'at'is. – De la solidarité
)no)ale.!)'M.HL.t\-t)t.iti-t{. Str.
MAtS.-Be)a)u)!tieep6natettu).in )S. ~f)-i0
KOttOAU (MitX). – Paradoxes sociologiques. 3" ftit.. t vot.
h)-t8 i! ft-. !i0
– Ï.eB mensonges conventionnels de notre ctvHieat)on.6''t'dit.,
<v')).«t8. ti fr.
KO\tt:')\V J.) Les luttes entre sociétés humaines. Z' fdiL,
i tut.itt-8. &ft-.
– ïtea gaspillages des eocieteB modernes. t vul. in-8. fr.
)tH~<\)tt)~t! protessem-au ConM'rvatoifedes Arts et Mftit'r.<. Le –
régimesocialiste. 4" cttit.tYut.iu-tS. 2)'r.M
M)C)tA)tt',.t.'ch-ut' t'< tetn-es. – Le MetaUame et la acience Mcia!e.
'e~it..<vut.in-tS. 2 ri'. 60
SA~XY HSCAXT)'<(f-). t))''t<)'.re tte CAca~-ntie royatc de Mtutrid. –
L'individu et la réforme sociale. i vol. )t)-8. '? t)'. 50
SPEXCHX(t)t't'bet't). Principeade sociologie. 4 vol, io-8. 36 fr. M
–Ee<aMp<)t)tiqM8.4'<'ttiL,tvu).itt-8. ~rr.M
–E<Mie<urteprogréa.~edit.,iVt't.i))-8. '!ft'i')
-I.'M)dtvid!tContTei'Etat.6<-t)it.,ivot.i't8. 2t't-. -liO
STEtX. ttt'otessfut' de ))h)tf)<t)))h)eil t'Utfiwr'iite de M'')')tf. – La
question sociale an point de vue philosophique. i wt.itt-«. iO fr.
STUAXT3111.L(J.). – L'uttiitarieme; tmd. ).E MoNS)BH.2" cdit..
)vu).it)-t8. afr.50
TAtt~'H(G.). de t'tnstimt, ))t't)fe!.st'HrauCoifctte de Ft-ance. Les
transformations dn droit. 4' cdit., i vot. ix-tX. 2 fr. M
– Lee lois de l'imitation. /~<<~f sociologique. 4" edit.. i vot.
t.t-8. T'SO
– La logique sociale. ''dit.. t vo). !'t-8. rr. 50
Les lois sociales. ~oMM~e d'une M~'t'o~)' X*'edit., < vo).
ttb~ Sfr.SU
L'opposition universelle. /M<!t'<~M))<</t~or)'e des eoM<Mo'M.t vol.
it)V. 7f'SO
La crimUtaliM comparée. /~cAo/o;/t<*AwM~t~«c. S'edi' ) 1 vol.
i). 2~SO
Z<Ef!LRX,j'fotc'isexr ù t'tJniv'-sité de Stm-'hourf;. La question
sociale Mt nne question morale; trad. de l'allemand par M. t'A' *«TB.
8''td)t.,ivot.h)-t8. Zfr.M
CONTRE
ENVOIfBAXCO OUTtMBBBS
MANDAT fO!TK
Feth MCM. éditeur,<0!. MeNfd Sa)<)h6enM)t).
Mt.
HISTOIRE
ETSYSTÈMES
PHILOSOPHIQUES
A))AH(Ch). n't'k'nr d<-i'A''<n)<-nut' < Kancy. – La pbtlolophie en France
</M
(/)<'cmw<'M0tt«' .Y/A"ftct'/fj. t8')l.) 1 vol. in-tt. 7 fr. M
ALAt'X.)'r"h'!)!fttrh'mornin' ri ht t-'n<-t))t<. d~ )ct)r<'sd'A)f:fr. – PbUotcpMe
deV. Cousin. v") in )0. ï fr. so
AL)J)-:)t))«'")));.)tt!n-)«-<)<- ~titoso~jm'. – La philosophie d'ErMtt Renan,
''dit.. )?).). t vu). i)t.)(i 2 ff. SO
HAnX);).L<'Tf).j)r..f<tf!<'nrd'hi~h.ir.. <)<')a p))!toi=n).))ie a )UniveMitt; de
!<<~tt(..– La philosophie (te Taine <). ) 1 vol. m-X. 7 fr. M
))('L"nt())'X(H de )t))xttt!)t ËtudeBd'hittetfe de la philosophie. X'Mtt.
DU), 1 vol. i)t.!(. 7 fr. sa
H)tU'<SC))W)Ct! J- prnft'sieur <m tycfc Condorcet.docteur ~tettres. –
Spinoza. )ifi)t. t vo). iu~i. 3 fr. so
<:UtJ.)X-'111.). Résuméde la philosophie de Herbert Spencer, avec pr6.
farc de ))'!HMM&'t:x';H)(, tradut-)i<'nd'' II. t~:\'A)<tf.\ï.t' <'<)it..tWt. t vol.
M f~
DEWAUi.)'docteur < tettrct. – CoediHaoet la ptyeheteoie angjatte «on.
tonpOMme. tft! t tôt. in.f s fr.
n':)t)tt 'L). proh'sscur Anttivo'tiitti de notoc –HiBtcireotttiqaedeta
payoho.cgiede t'aMoctaifue. depubBebbet jusqu'AnM jours, XM. t vol.
7 fr. M
MJ!<T.))t'ttf<"H<-)tta)T))ivFr!!it<- d'f:dituhour)f. La ph~~ot~)pMede~'M~.
teife ea Allemagne, trad. tic t'on~))) par Ludovic C~ttHAt.)!t7S. i vo).
i" 7 fr. 50
POUtH.ËH (Atf). de t'tMtitut. – La morale, l'art et la reUaiM
d'aeréa
6ny.tu. t' Mit, ~0).) tu(. jn.tt. 3 fr. 7S
– ï.e mouvement<dea!i8~ et la réaction contre la eetencepeotttve. S' ëdit
)?)!.) 1 vol. in-tt. 7 fr. M
– Le mouvementpositiviste et la conception sociologique du monde. tM6
? edit. i vu). iu-K 7 fr 50
NietMeheet l'immoraliame.t9M. i v"). in-)! s fr.
FRANCK(Ad. de t'tn~titut. – La philosophie myttione en Franoe au
XVUt*sleole. tiitiU.i vu), in.)' 2 (h M
ttALt':VY)Ë))e,. doctpure!!lettres. – La formation du
radicatianteptutoto.
pM~e eu Angleterra. (. '.«~«o~Me<<fHfM</t«M). <M)).) voL in.S 7 fr. 50
Il. t<')X)Mf«t)<<<<~c/f.H<'M~/t~tw (t7«9-))t)S).tant. i vo). itt.s 7 fr. !,a
t)t. /.« /0<-<w~<M </«)-«~«'<t<t~M)<))/oft~K<i9M.) 1 vol. ia.8 7 fr. SO
JAKËTO'aut). de DMtttut. La philosophie de Lamennais i89C.< vot
ill-16 Il rr, 60
Sfr. DO
Victor Conlinet sou (BNvre.i!' Cdtt., )''S3.< vo). itt~t. 7 fr. 60
JAt<ËT()'.).-Œ)tVMaphUqMphiqueedeï.eU)ah!.a'edit..<M0.2vo).tn~.SOfr.
L~OX(Xavier),directeur de la «fMe (le </<-Mto~
m~<!p/t~Mf La
pMMtOphde fichte et Me rapporte avecia ceMtiente centempeMine.
tt'U~.) vu).in-S ((-'«M<W)~pat- ~MH/x~))) fr.
t.~VY.BHLU).(L.).profe<neu)'a la Sorbonno. – La philosophie de JaeoM
<!(9t.t vot. io~ E fr.
– La phiietephied'AMgnate Comte. iMM.i vci.in-8. 7 fr. M
)MV(M
fHAKeoœKTaK MMiHAT
OUTtMBMM-t'OMtt
M"' <LM)t.
MMem,
108,tm~d StttX.Otrmtttt.
p<n&
~'t.~9<!<i~ de '<' do B.M.rtM.
le- édit" 190 t, vol. la.8
fi Ir.
~'X~ prufeasour à l'Université dit N4iley. La philosophie
de Nio:uohe. Il' édit., 19J~, 1 vol.
lia-16 1 fr. no
Aphorismes et fr~m~K choisis de Niet)!Mhe. Mit.' <')M. ') vo't.
lia-tu
« 2 rr. 50
~J- Lidéalisme
terre au AVIlI- sioole. 1.~8~,1 tnrt vol.
in·8 7 t'r. 50
La phit.MpU. doHobbM. ))t-):t.) ~t. i,)ti
Ii "––
2. édit., t8u3. 1 vol. in·lU.
il th. lin
!<AV)L).H.-ï,9tpUtoM)thiMa~tt!vM. tMn.tvo). jn-s.. !,fr
OLU).Ut.:)<u (f),. t..of~<e. A ru.tiveMitë .te Kie).
Le Bouddha M vie,
rit'?' '=" ~Mr.n~,
~~t~?~ "––
de 1·ruttcc. ~· édit.. 1:IJ3, 1 vml.
io.8, i fr. na
"t~S' trad. "t'
t vul. i.'S;.rb.nM.
itt-8 iU fr,
'?' ph.lDto¡¡h.e
runnei pter·
l ftcvlilu(; fr. 1,0
-~M.de-Jotto.dit.. )'JUJ. ) ~“)'?; :M
"i.~ 't.
iu-1=
fr. aU
t.. philosophie sociale dans le thtatM
d'Ibsen. twi). ) v..). iu. t..
La pM.Mphh r.~e eoattt.tpora.ne. mo;. ) ,“). i,K
La p3yoholojie des r.m.MteM russes au XÏX. rr.
t~.te~ tn.s. ?f, so
'~a'n' de ï~ f'Mt. t:tMrai.-e. de
f.~ "qM. M.UO, t w). u~ (C«Mru< /t~
(·ttiae /“<.
10 fr.
''t~ Josoph da Maiatra et sa philosophie. )iM;i.') ~.J.
lu-lU,
tr.
rI'. :iU
li6
'X professeur à 1'1-*Culedes
Ideologues, 1891. \'ul. jll' lu fr.
pM'~ophiqM. t.t an.tfM [xtroM ()t('M. t8'.U. )~.
~ï~e'.
~o'
CIUlIllIC1\lllIéu, il rr,
Jr:
les Seorttati. t l'.Inm·rlrltiln.rupl«ye.·, Li philosophie de Char-
1 vul. ill-IJ., fI'. ill
"h:
~Cu!')~.)e I.-n.nce' La
phU. de ~hop~.ha.Mr.),t. ).j,j. ) ~). j~
L~ ~h
'~<CNfora)).e. rd.t.. tf'M.) ,8 fr.
"'tMM~ MaUmporain. ~.k-
11roi1.1 ~ii..e.t~. :i. <tit.
r,~l. iu·8. Fr. aU
c'c <~< f.< t~'tn'it
de i !u's'"«. t.ar )). L.Xtiu.t:
edit., !:m:).) ~). ,“.); fr.
-Augu.t<C!)tuteeH.ph1osoph:.p.ttt.v9 Tedit.. )~i v')' i. -)G fr.
-I.~tMttMdMiaAMgast.CM.te~ ,f. (,-u.. ,,ub)it-9
et pr~d~.).d.,cii.,a
).,u. t.. L.v~Un. “.<“. .j i,;J' ,J~
rIlUS1.18 (1'1,
l'rl/lcueur Il!;r''g>> de P!.¡¡d"'Jlhic, .Í"ch~ur c 'ellres.-
~T~ .P"~ .c~r fr.
c<.tt)..mn"n't!)t)))'~t)W)'AK)'.
-?..