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19 D é c e m b r e 2005

Fédération des Centres de Gestion Agréés • Banque Populaire 3ème trimestre 2005
ETUDE RÉALISÉE AUPRÈS DES PETITES ENTREPRISES ADHÉRENTES DES CENTRES DE GESTION AGRÉÉS, MEMBRES DE LA FCGA

Une reprise en douceur Les TPE s’adaptent aux exigences


Après un fragile début d'année (+ 0,6 %* au accrues de leurs clients
1 e r trimestre, - 0,4 %* au second), La tendance observée depuis le début de l'année 2004 s'inverse.
les dépenses de consommation La proportion d'entrepreneurs optimistes quant à l'évolution de leur
des ménages en produits
manufacturés augmentent
sensiblement sur l'ensemble
1,1%
3ème trimestre 2005 / 3ème trimestre 2004
activité régresse de 3,5 % depuis le 1 er semestre 2005. Les intentions
d'embauche suivent naturellement le mouvement : 88,5 % des chefs
d'entreprise interrogés ne souhaitent pas faire évoluer leur effectif
du troisième trimestre : salarié, tandis que 10,1 % (contre 13,7 % en début d'année)
+ 2,4 %*. Après deux prévoient de recruter dans les six prochains mois. Concernant les
hausses successives
en juillet et août
1,4
1,4%%
oct. 2004 -sept. 2005 / oct. 2003 - sept 2004
attitudes de consommation, les dirigeants de TPE ont surtout noté
une hausse du niveau d’exigence de leur clientèle au cours de ces
trois dernières années. Pour répondre à ces nouvelles attentes, ils
(respectivement + 1,2 %*
et + 1,5 %*), les dépenses ont engagé des actions de communication et de fidélisation et
de consommation modifié leurs gammes de produits et services. ➝ P.3
s
re

i
terminent ce trimestre par af
fa

 15,6 % DE CHEFS D’ENTREPRISE OPTIMISTES


s d'
une légère baisse : - 0,6 %* en iffr
e
des ch
septembre. L'indice TPE repart lui aussi É v o l u t i o n
à la hausse (+ 1,1 %) après un timide début d'année (respectivement
+ 0,5 % et 0 % au premier et deuxième trimestre). ➝ P.2
 23,4% D’INTENTION D’INVESTISSEMENT
* Source : Insee  10,1% DE PROJET DE RECRUTEMENT

Pharmaciens et opticiens au top !


Après une hausse de 4,6 % sur l'année 2004, le secteur de la santé poursuit son envolée.
Il affiche une nouvelle progression (+ 4,6 %) sur le 3 ème trimestre 2005 et confirme ainsi sa place
de leader tous secteurs confondus. L'indice des prix à la consommation pour les médicaments
et produits pharmaceutiques publié par l'INSEE est en baisse de 0,4 % ce trimestre. Cette
diminution n'empêche pas les pharmaciens de se maintenir à la première place du secteur avec
une hausse de 4,7 %. Les opticiens-lunetiers réalisent également une belle progression de leur
taux d'accroissement (3,8 %). Les seuls professionnels du secteur à afficher une baisse
d'évolution au troisième trimestre sont les prothésistes dentaires. Depuis le début de l’année
2005, ils alternent bonnes et mauvaises performances. Ce trimestre, ils régressent de 2,6 %.


Taux d’accroissement du chiffre d’affaires
Le bâtiment,
3èmetrimestre 2005/ oct. 2004 à sept. 2005/
3ème trimestre 2004 oct. 2003 à sept. 2004 c'est du solide
Automobile - moto dont : Le secteur de la santé n'est pas le seul à
Carrosserie automobile 3,9% 3,7% enregistrer une hausse d'activité au 3ème trimestre
Auto, vente et réparation
-2,2% -4,1%
-1,4% -1,8% 2005. Plus de la moitié des secteurs étudiés sont
Café - Hôtellerie - Restauration dont : favorablement orientés. Premier au palmarès,
Hôtel - Restaurant 1,8% 1,7% le bâtiment se maintient à la hausse et affiche
Restauration
0,9% 0,8% 0,7% 0,2% une progression de 5 %. Huit professions sur les
Café -0,6% 1,1% neuf de ce secteur affichent des résultats en
Bâtiment dont : hausse : + 28,5 % pour le terrassement-travaux
Couverture 6,5%
Maçonnerie
5,0% -0,7%
5,5% -2,5%
2,4%
publics, + 11,9 % pour le carrelage-faïence, + 11,8 %
pour la plomberie-chauffage-sanitaire... Les
Electricité 6,8% 7,0% services renouent avec la croissance (+ 4,6 %).
Plomberie-Chauffage-Sanitaire 11,8% 9,3% Les transports profitent aussi de ce regain
Plâtrerie-Staff-Décoration 2,7% -0,6% d'activité : taxis et ambulances réalisent une
Menuiserie 3,2% 7,1% belle progression de 5,1 %. L'hôtellerie-café-
Carrelage, faïence 11,9% 7,6% restauration affiche une légère hausse de 0,9 %.
Peinture bâtiment 4,1% 3,7% Les seuls professionnels de ce secteur à enregistrer
Terrassements-Travaux publics 28,5% 26,9% un repli d’activité sont les cafetiers (- 0,6 %).
Beauté - Esthétique dont : La beauté esthétique et l'équipement de la maison
Parfumerie 0,2% 1,1%
Coiffure
0,3% 0,0%
0,6% 0,3%
enregistrent une évolution proche de zéro.
Sur les 12 derniers mois, seuls cinq secteurs sur
Esthétique 6,2% 4,5% les onze étudiés restent favorablement orientés.
Commerce de détail alimentaire dont : Les petites entreprises du bâtiment sont celles
Charcuterie 0,3% 0,6%
Boulangerie - Pâtisserie -0,1% 1,0% -0,5% 1,0%
qui profitent le plus de la conjoncture actuelle.
Les professionnels du meuble (+ 6,4 %),
Pâtisserie 3,5% 0,3% l'esthétique (+ 4,5 %), les tabacs, jeux, journaux
Alimentation générale -1,4% -2,4% (+ 4 %) tirent également leur épingle du jeu.
Fruits et Légumes -2,8% -2,1%
Boucherie - Charcuterie 0,1% -0,2%
Poissonnerie - Primeurs -3,0% -3,5%
Crémerie -0,1% 1,1%
Culture & loisirs dont : L'automobile
Librairie, papeterie, presse -6,7% -9,1%
Articles de sport, pêche et chasse
-0,5% -2,8%
-0,5% 0,7%
en perte de vitesse
Tabac, journaux, jeux 0,7% 4,0%
Sur l'ensemble du troisième trimestre 2005, seuls
Studio photographique -3,0% -4,7%
Equipement de la maison dont : quatre secteurs sont en repli. Avec une baisse
Electroménager - TV - HIFI -2,0% 1,1%
globale de 2,2 %, le secteur le plus fragilisé est
Magasins de bricolage -0,2% 4,6% 1,4% 2,9% l'automobile. L’activité vente et réparation chute
Fleuriste 0,9% -0,3% notamment de 4,1 %. Les secteurs culture et loisirs,
Vaisselle, verrerie, faïence, -5,3% -7,2% équipement de la maison et commerce de détail
Meuble -2,7% 6,4% alimentaire restent mal orientés. Ils limitent
Equipement de la personne dont : toutefois les dégâts avec respectivement - 0,5 %,
Mercerie - Lingerie - Laine -3,1% -2,1% - 0,2 % et - 0,1 %. L'activité la plus touchée est celle
Vêtements enfants 0,0% -1,0% -0,3% -2,9% des agences immobilières qui, après un excellent
Prêt-à-porter -0,3% -0,3% bilan 2004, affiche une baisse de 13 % ce trimestre.
Chaussures 1,8% 1,4% Viennent ensuite les librairies, papeteries, points de
Horlogerie - Bijouterie -1,4% -1,0% presse (- 6,7 %), les commerces de vaisselle, verrerie,
Santé dont : faïence (- 5,3 %), les studios photographiques (- 3 %)
Pharmacie 4,7% 4,2% et les magasins de fruits et légumes (- 2,8 %).
Optique, lunetterie
4,6% 3,8%
4,1% 2,6% Sur les douze derniers mois, six secteurs régressent.
Prothésiste dentaire -2,6% -0,3% L'automobile, avec un repli de 1,4 %, et les services,
Services dont : en recul de 1,3 %, sont les principaux touchés.
Laverie pressing -3,2% 2,7% Depuis le début de l'année, les poissonniers-
Entreprise de nettoyage
4,6% 3,3% -1,3% 0,8% primeurs, les studios photographiques et les
Agences immobilières -13,0% -5,8% magasins de vaisselle, verrerie, faïence ne
Transports dont : parviennent pas à inverser la tendance. Ils
Taxis - Ambulances 5,1% 1,0% subissent tous les trois une baisse, respectivement
Transport de marchandises 1,9% 0,9%
-0,1% -0,6% de - 3,5 %, - 4,7 % et - 7,2 %.

2
prochains mois, contre 84,3 % au premier semestre. 10,1 % d'entre eux
L’optimisme à la baisse souhaitent recruter (1,5 poste en moyenne). Parmi ces intentions
d'embauche, on compte 55,4 % de CDI, 23,2 % d'apprentis, 12,4 %
1er semestre 2004 1er semestre 2005 de CDD, 9,9 % de CNE, 4,7 % d'intérimaires et 4,3 % de saisonniers.
( en % )
2ème semestre 2004 2ème semestre 2005 1,3 % des chefs d'entreprises interrogés comptent, quant à eux,
80 licencier (1,25 employé en moyenne).
60,0 60,9 56,8 Les secteurs souhaitant le plus recruter sont les suivants : le bâtiment
60 53,9 (34,2 %), l'hôtellerie-bar-restauration (17,3 %) et le commerce de détail
alimentaire (15,1 %). 11 % des chefs d'entreprise interrogés recherchent
40
du personnel qualifié mais estiment ne pas le trouver sur le marché
24,1 21,4 21,6
19,1 15,6 20,5 du travail. En moyenne, ces entrepreneurs ont 1,2 poste à pourvoir.
20
14,315,0
6,6 6,0
1,5 2,7
0
Optimistes Indécis Pessimistes NSP
Les attitudes de consommation
Le moral des TPE

Pour les six prochains mois, 15,6 % des entrepreneurs interrogés Des clients de plus en plus exigeants
envisagent une hausse de leur activité (contre 19,1 % au premier La majorité des chefs d'entreprises interrogés (artisans, commerçants
semestre 2005). Les taux d'indécision et de pessimisme augmen- ou prestataires de services) n'ont observé aucune variation du nombre,
tent depuis le début de l'année 2005, avec respectivement 56,8 % de l'âge ou de la fidélité de leur clientèle au cours des trois dernières
et 21,6 %. Les professionnels du secteur de la santé sont, ce semestre années. Plus de la moitié d'entre eux ont, en revanche, noté une hausse
encore, les plus optimistes (24,2 %), devant ceux des transports du niveau d'exigence de leurs clients. D’autre part, 36 % des entrepre-
(23,9 %), et de la beauté esthétique (19,9 %).
neurs questionnés déclarent avoir enregistré une baisse de leur panier
moyen. Enfin, 37 % des artisans ont observé une hausse du nombre de
devis demandés et une augmentation de 24 % de leurs carnets de
commande (en nombre de semaines).

L'investissement en légère hausse Une concurrence multiforme


23,4 % des entrepreneurs interrogés prévoient des projets d'investissement
Sur les trois dernières années, les deux sources principales de concur-
dans les six prochains mois (contre 22,1 % au premier semestre). Le secteur
rence observées par les chefs d'entreprises du commerce et des services
café-hôtellerie-restauration est celui qui concentre le plus grand nombre
sont les grandes surfaces, (34 %) et les autres commerçants (33,2 %).
de projets (26,1 %). Les métiers de la santé et le secteur des transports
Viennent ensuite la VPC et Internet (19 %) et les magasins d'usine
arrivent juste derrière avec respectivement 25,8 % et 25,4 %.
(6,1 %). Les autres circuits de distribution totalisent 24,5 % des suffrages.
L'informatique est toujours le domaine d'investissement prioritaire
(49,8 %), suivi de l'aménagement-rénovation (41,8 %), et loin derrière,
la construction (10,4 %). Les autres postes se partagent 16,3 % des Des stratégies commerciales inégales
intentions d'investissement. Au cours des trois dernières années, 64,9 % des professionnels du
commerce et des services affirment ne pas avoir modifié leurs horaires
d'ouverture.
Les TPE plébiscitent le CNE Plus d’un tiers des commerçants et prestataires de service (31,6 %) ont
En septembre 2005, 56,5 % des entrepreneurs interrogés déclaraient renouvelé leurs gammes de produits et services, contre 21,3 % seulement
connaître le “contrat nouvelle embauche” (CNE). 73,4 % des profes- des artisans. Près d'un entrepreneur sur cinq a revu sa politique de prix ;
sionnels de la santé connaissaient ce dispositif, contre 42,3 % des plus d'un sur deux ne l'a pas fait.
professionnels des transports. Parmi les entrepreneurs informés, 47,8 % Près de deux entrepreneurs du commerce et des services sur cinq ont
estiment que le CNE favorisera le développement de l'emploi dans les TPE. engagé des actions de communication ou de fidélisation. Ils sont autant
à n'avoir initié aucune action de ce type. Chez les artisans, les propor-
tions sont respectivement de 22,6 % et 52,4 %.
Les intentions d'embauche en repli Enfin, près d'un tiers des entrepreneurs du commerce et des services
Le moral chancelant des dirigeants de TPE affecte évidemment les et un quart des artisans ont proposé de nouvelles prestations ou des
intentions de recrutement. 88,5 % des entrepreneurs interrogés déclarent prestations complémentaires à leurs clients.
ne pas avoir de projet d'embauche ou de licenciement dans les six

3
Gérard Mermet, sociologue, conseil d'entreprises et auteur de Francoscopie 2005 (Larousse)

L’Observatoire de la explique leur “infidélité”, qui est aussi la que c’est donc lui qui a raison. Après avoir
Petite Entreprise conséquence d’un éclectisme (on change de pris la mesure des changements, il faut s’y
(OPE) : L'enquête met fournisseur pour le plaisir de changer). Elle adapter, c'est-à-dire faire évoluer son offre
en lumière l'exigence est aussi liée à un opportunisme croissant : de produits et de services. Il faut aussi, bien
croissante des clients. le consommateur est sans cesse sollicité et il sûr, définir le “juste prix”. Contrairement à ce
Que pensez-vous de a par ailleurs le sentiment que son pouvoir que l’on dit aujourd'hui, celui-ci n’est pas
ce phénomène? d’achat diminue, ce qui l’incite fortement à systématiquement le plus bas possible pour le
faire des économies sur certains types d’achat client. C’est celui qui représente le meilleur
Gérard Mermet : Ce phénomène se développe lorsqu’il en a la possibilité. D’autant qu’il compromis entre la valeur de l’offre globale
depuis maintenant quelques années. Il est dispose aujourd'hui, avec Internet, d’outils telle qu’elle est perçue par l’acheteur (qualité,
le résultat d’une méfiance croissante des de comparaison des offres de plus en plus efficacité, diversité, disponibilité, rapidité,
consommateurs vis-à-vis de l’offre commer- performants et faciles à utiliser. garanties et services ajoutés, accueil, rela-
ciale (et même non commerciale, car l’attitude tion, etc.) et le coût global (prix affiché,
à l’égard de la politique ou du système de OPE : Que peuvent faire les TPE pour s’adapter suppléments éventuels, coût du déplacement,
santé par exemple est de plus en plus à ces changements ? coût du temps passé ou perdu…). Dans les
“consumériste”). Cette réaction a parfois été, comportements d’achat actuels, le tradition-
il faut le reconnaître, favorisée ou alimentée G.M. : La première condition est d’être réaliste nel rapport qualité/prix est remplacé par ce
par des pratiques commerciales discutables et objectif. On a parfaitement le droit de que j’appelle le rapport valeur/coût. La seule
de la part des industriels et des distributeurs regretter les mouvements actuels du monde stratégie possible d’un commerçant, d’un
en matière de nouveaux produits, de politique ou de la société en tant qu’individus, mais en entrepreneur ou d’un artisan n’est donc pas
de prix ou de communication. Les promesses tant que professionnel, on a le devoir de les celle du low cost ou du hard discount. Il y a
n’ont pas toujours été tenues et cela a engendré prendre en compte. Sinon, le risque est grand place pour des stratégies favorisant les
de la méfiance chez des consommateurs, qui de se laisser dépasser par les événements et “valeurs ajoutées”, pour lesquelles les
sont par ailleurs à la recherche de boucs- de “disparaître”. Il faut avoir le courage de se consommateurs sont prêts à payer plus, dans
émissaires pour expliquer leur mal-être et mettre en question, de se dire que c’est le la mesure où elles se traduisent pour eux par
évacuer leurs frustrations. C’est ce qui client qui a le pouvoir de dire oui ou non et des avantages perceptibles.

Méthodologie Partenariat

>
Tous les mois, près de 70 et des services. L’évolution
Centres de Gestion des activités est pondérée
La Fédération des Centres de Gestion Agréés (FCGA), créée en 1978, regroupe 114 Centres de Gestion
Agréés (CGA), répartis par le nombre
Agréés (CGA) répartis sur tout le territoire national. Au total, 400 000 petites entreprises sont
sur l’ensemble du d’entreprises recensées
adhérentes à l’un de ces Centres.
territoire national, par l’Insee dans chaque
Le Groupe Banque Populaire, fondé il y a plus d’un siècle par et pour des entrepreneurs, est la
transmettent les chiffres secteur considéré.
banque de référence de la petite entreprise, avec un artisan sur trois, un commerçant sur quatre
d’affaires, rendus Un questionnaire est aujourd’hui clients des Banques Populaires et 570 000 clients professionnels.
anonymes, de leurs parallèlement adressé La FCGA et le Groupe Banque Populaire s’associent pour publier chaque trimestre l’évolution des
adhérents à la chaque semestre à près chiffres d’affaires des principaux métiers de l’artisanat, du commerce et des services.
Fédération. Les indices de 2 000 petites Les chiffres publiés proviennent de l’exploitation, par la FCGA, de données communiquées
d’activité sont calculés entreprises volontairement par les adhérents des CGA répartis sur l’ensemble du territoire. L’Observatoire
chaque trimestre, à représentatives, de la Petite Entreprise FCGA-Banque Populaire est réalisé avec la participation de la Direction du
partir des chiffres permettant d’établir Commerce, de l’Artisanat, des Services et des Professions Libérales (DCASPL).
d’affaires d’un deux fois par an le
échantillon constant Baromètre du moral des
de 20 000 petites dirigeants et de leurs
Pour toute demande d'information sur les indicateurs,contactez à la FCGA : Valérie JOUBEAUX
entreprises de intentions d’investissement tél. : 01.42.67.80.62 - E-mail : vjoubeaux@fcga.fr
l’artisanat, du commerce et de recrutement.

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• Directeur de la publication : Philippe PAILLET • Directeur de rédaction : Christian LE SEAC'H • Rédaction : Valérie JOUBEAUX et Marie-Line VINCENT • Conception : OCREA communication • Infographie : VE design
• Impression : Vincent Imprimeries • Crédit photos : Photothèque FCGA / DR • Tirage 30 962 exemplaires • Périodicité trimestrielle • Cible : acteurs économiques, organisations professionnelles
et consulaires, collectivités territoriales, presse professionnelle, économique et financière, nationale et régionale • N° ISSN : 1632.1014

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