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Remerciements

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r- J e dédie ce livre A m o n ami Olivier Lemanc, décédé aii


début de l'année 2005, incubarsur de nombreuses idées
développées ci-après, fidPle cornpaonon de recherches e t
F:
d'enseignements auprès d'enrreprises et d insrÏcutionr spécialjsies
en audit interne.
t!
Je remercie tous les professi~nntlsde l'audit qui m'ont
accompagné et encouragé depuis plus de vingr ans dans ma
4 quêre de transférer un savoir-faire opérationnel auprks de
1i plusieurs milliers d'auditeurs inrernes renconrris en France,
au Maroc et à h*iadagascar.
d m
Le pictqromrr. qui hgurc ci-cmhe
&ik une eqdico6on Sa obpl .si bliu
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k ; ~ prwoqwtd
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que
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h 1- d.
méme p r
wklit6
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une
Une mention spéciale à Christine Diard et Serge Evraert de
sur Io m o r t que
d'alerter le 1-r
npréicnb p u r 1 wcnir de I k6i. 0-rr d e c r i e dei m
I'IAE de Bordeaux, à Jacques Vera de I'IAE d'Aix-en-Provence,
prti~uliérpmeni doni le dcmnine nowdler ei de lei hire diter CM- à Geneviève Ca~isseet David Autissizr de I'université Paris 12,
de I'édihn t ~ h o i ~ ueieuniveni- r m 4aibrd'hui nm&.
taire, k h v e m e n l masril du Nous rappelons donc que bute à Mohamzd Barnia et Saleni Fassit ds l'IL4 Maroc, à Widad,
phoioccpillo e repdvchm, prfidle w toiole,
le ~ c d de
e Io propriéié in~ellec- de Io présente publicofon est Abdenbi Louitri et Moharned Dorich de I'ISCAF (Maroc), h
tuelle du i" iuillet 1992 inierdii Victor Harisson de I'INSCAE (hi;idagascar), sans oublier
en eRt u p r t i h w i t la &O!-
pie à vroge roliectif mns outori- Louis Vaurs de I'IFXCI.
miion dcs ayantr droit. Or, cette protique droit de copie (CFC, 20, rue des
{est génémliik dons les éiohlii~emenh Grands-Augustins, 75006 Paris) hlzrci e n h i 1 nid famille pour son soutien sans faille.

G Dunod, Paris, 2007


ISBS 978-2-10-050590-6

Le Code de :1 propriéié cntellectuelle n'ouioriront, uux iermes de I'afiicle


L '22-5. 2" e . '3 01, d'uni part, que ler a copies ou reproduciions strictement
reteruées ii I ' u s q e prive du -3piate et non destinées à une utilirotion collective r
et d'autre parT que les ono!yres et les courtes cilaiions dons un bui d'exemple ei
d 8 m a3tration. r .="te représeqiation ou reproduciron intégrale ou partielle loile
1 0 - i le conser;'ement de I'o~ieurou de ses ciyonts droii ou oyontr couse es1
.
iIIic te (art i. 2 2 4 )
Cele repfeseni?'ion ou reproduction, por quelque procédé que ce soit. consiitue-
i a ~ .donc Une -.?rirrefaçon sznct~qnnée por les orticles L. 335-2 et suivonis du
i o 3 e de 10 pr6a~ieiéiniellectuelle
Préface

DU MEME AUTEUR :
- Gui& de reFaridit, édition, 2002, Édirions d'Organisation.
-Mandat, re~ponJ.abiliréset outils de Ikdministratfur, 1998,
Mémencos EO. L es enseignants universitaires q u e nous sonunes, ihargts
de former les futures générarions d'aiidireurs, son:
reconnaissants et fiers de préfdcer l'ouvrage de Pierre
Schick, inlassable {t instructeur en permis de conduire u n e
mission d'audit.
Nous lui sommes reconnaissants car son travail constitue
uri apport indiscutable à l'enseignemenr de l'audit en France.
Plus encore que les professionneIs expérimentés, les étudiants
(1 apprentis auditeurs », ont besoin d'un cadre formel et rigoureux

permettant de guider leurs premiers pis de j uniors ' P. ((

Noris sommes fiers aussi car, aprks de nombreuses années


d'une collaboration amicale et chaicurelise avec nos instirutions
respectives, son mémenro illiisrrc la p.irfaite synthèse entre le
monde universitaire des chercheurs e t 1~ monde professionnel
drs prariciens. Toiire théorie ria de I..IITLL~ que lorsqu'elie est
corifrcinrct à la dure réalirt de sa mise c n ceuvre.
D'LInr maniPie plu.j génér:de, toucçs [CS personnes intéressées
par la déni,ir~hed'aiidir (profcssioririels. eriseignants, étudiants,
stagiaires de In forni;iricin con{inue, Frot^essionneIs d'autres
disciplii~es...) troliveron[ daris ce mériicnro Ics repères métho-
dologiqites h l,i conrliiite d ' u n e niissio ti d'i~udIt.D'une parr u n
cadre gt'.iii~-,ild'interveiirioii rliii periiitr de posirionner les
grandes étiit~esd'une mission, d'niirre Parr de iiomhreux uiitils
pKiriclucfist'~~ciiic1iicsii i l - ~ n c u i iicl c CC'S r't,~p<s qui 3idf11t i 1113t e -
rialiser Ies constars er r e c o m i ~ i ~ ~ n d ; i t iLe o ~métier
~s. d'audirrisr
LIE~IESTOD'AUDIT INTERSE

est aj.ant tout une démarche de généralistes du management


et non de spécialistes de l'une ou l'autre de ses dimensions, la
qualiré du travail de l'auditeur repose fondamentalement sur
Table des matières
le respecr scrupuleux d'une méthode éprouvée d'approche des
problèmes. Le rravail réalisé par l'auteur répond parfaitement
à cette exigence.
Les nonlbreuses réferences aux normes professionneIles
pour la pratique de I'audir interne attestent que la mérhodologie
proposée est en conformiré avec ces normes. À ce tirre les
services d'audir interne souhaitant se faire certifier par rapport Remerciements v
à ce cadre de référence pourront fort utilement s'inspirer de ce
mémento dans leur démarche de mise en conformitt. Préface VII
Il s'agir vraiment d'un nouveau livre utiie et opérarionnel Avant-propos : Pourquoi lire ce mémento ? XII
qu'il convient de saluer.

Serge Evraert Jacques Vera --


.

L U de Bordeaw: IAE dxix-en-Provence L'audit interne dans l'entreprise


Directegr de I'LAE et Dirccttur du master Audit
du master Contrôle a!t Gestion
et Audit Interne
internc des Organisations CHAPITRE +
1 L'activité d'audit

1 Rapptl siir I'évolurion de l'audit inrrrrie


2 Urie profcssiori normée
3 Le conccpr de risqrie en audit intertiz
4 Le conrr6le iiirernc

CHAPITRE +
2 L'organisation de l'audit
1 Les besciitis de I'eritrçprise er le plari d'audit
2 Le tiitr,ichcnier~rdt t'audit iriterrie
.3 La ch.irrr de t'3ildit inter112
-I Korgariisario~ides r-rioyeris
5 La gesriciii des ;~~~dirriit.s
t Ln co~iiriiiiiiicnrio~~
de I'aiidic i~ireriie
- L.1 qualiri iic 1':iiirlic iiircrric.
-

VIII
1 . 1 p h l ~ n ' D'AUDIT
~~j INTEWE TABLE DES MATI~RES

C W I T R E3 + Les fonctions voisines 2 Le compte retidu final au site


de l'audit 3 Le rapport d'audir et sa validation
4 Les recommandations et leur suivi
1 Audit exterrie
5 L'état des actions de progrts
2 Inspection
6 Le suivi des résultats attendus
3 Organisateurs er consulranrslexper cs
4 Ex-directeurs conseillers sur le tard
5 Conrrôledegestion
+
ANNEXE Les techniques d'audit 145

6 Qualitt Révision rnéthodologique : quit


Énoncé
Corrigé

Mener une mission d'audit interne ÉTUDE DE CAS Introduction aux faiblesses
d'organisation e t de contrôle interne 165
+
4 La phase d'étude
CHAPITRE Cas pratique - Société OPCI - Pnoncé 1 67
Société OPCI - Corrigé - Rapport d'audit interne 179
Préalable
1 Le droit d'accès ou l'ordre de mission
2 La décomposition en objets auditablrs
3 L'Claboration du référentiel d'audic : TaRiR
4 L'analyse et le discerriement des risques
5 Le rapport d'orieritation

5+
C~PITR E La phase de vérification
Préalable
1 Le programme de vérifications
L La feuille de couverture
3 LAk u i l l e de révélation et d'analyse de problème

6 + La phase de conclusion
CHAPITIIE
Pt-Calahle
1 L'uç~~ituredurapport
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E s T LINTERWE
~ ~ ~ ~ I D'AUDIT ~

Les résufrats de I'enquére sur la pratique de l'audit interne en


France en 2005 réalisée I'IFACI corroborent ces évolutions.
1
Je nie devais de les publier. Le plus naturel est maintenanr
d'en prendre connaissance puis de mener une mission d'audir.
Bonne lecture !

Pierre Schick

L audit interne
dans l'entreprise

XIV
- .

D'AUDIT
L'AD~V~T~

llaudit interne apporte sa concriburion à l'ensemble des


activités, fonctions ou processus de l'entreprise. Il intervient
DE L'AUDIT INTERNE historiquement dans cous les domaines financiers : comptabilité
générale, cùmprabilicé ariaiytiqiie ec inforniarions de gestion ;
Le temps est révolu où 1s diclenchement d'un audit interne trésorerie, crCditlcomptabilité/recou~~cement clietits ; aide aux
était reçu par les audités comme un signe de suspicion à leur acquisitions et cessions, etc. Celui-ci intervient de nos jours dans
égard ! Aujourd'hui, Ie regard de I'audit interne, regard parti- tous les domaines de l'organisation. Toute enricé, activité,
culier mais professionnel, est apprécié comme un exameri fonccion et tout processus sont concernés par les inves~igarions
salutaire, l'équivalent de Ia maintenance prévenrive sur les 1 de l'audit interne.
outils industriels ou de l'assistance dans le djagnosric d'une I Laudir inrerne décèle les problhmes et formule des recom-
défaillance repérée. Profession créatrice de valeur ajourée, mandations aux directions et aux audités qui leur apportent une
l'audit est un partenaire de la direction générale er du niannge- i soIution. Son rôle n'est pas de dér-ionccr ou d'accuser, mais
ment notamment vis-Bvis de Ia maîtrise des opirarions dc
I'organisarion.
1 i
d'arbitrer I( Ies règles du jeu i ) du groupe et surtout de faire
pratiquer les 3R » : Rechercher, Reconnaître et Remédier a u y
((

Issue du contrôle comptable et financier, la fonccion audit faiblesses de l'organisatioil. Il l'aide à anriciper les problèmes et
interne recouvre de nos jours une conceprion beaucoup plus se place dans une démarche vertueuse d'amélioration conri nue.
-'
large er plus riche, répondant aux exigences croissantes de la
gestion de plus en plus complexe des entreprises.

Définition de l'audit interne


Évolution par natures et par destinations
L'audit intzrne esr une activité indépendante et objectir4e qui
I iluiiiie h iinc organisacion une assurancc siir le degré dr niairrise
I DOMAINES, SUJETSb- de ses oper;iriuns, lui apporte ses conseil': pour Ics arnél~orrr.ec
Compta Finance Admin. Industriel
Chiifres revus exacts coritribiic à créer dr la valeiir ajoutée.
pa Pfocedures respectées
Cornmerclal
Informatique Il aide cette org,inis~tioi-i3 a t t e i n d r e s < j objectifs en é v a l u ~ n t ,
Informations fiables Social
Procédures suiiisantes Juridique par iinr approche systéniariqiie ct niérhodique, ses processus
Actifs proiégès Flscal d e management des risqiies, de conrrEils. e t de sotivernenient
O de Communication
.W Organisation efficace
d'Environnement d'enrrepriss, et en f i s a n t des proposiri~inspour rcriforcer lcur
€conornie de moyens
~ Célerile, lluidi!@
... efficacité.
k Systeme d'infos pertinent (Version f r . ~ n ~ a i sde
e la déhnirion irit~rri~irionale, a p p r o u v i c le
' Responsabilités claires
Recherche de la cornpétitivilé 2 I rilrirs ?11(3ü par l e cuiistril d':idministr.ir~onde I'II'ACL).
7
Adaptabilité, flexibilité
O audit des opérations L.1 i l i h i i i c i c i r i ric corripoi-te p ~ les
s n-ior~~rocédiircs,règle<.. . ni
de: comp!es I 'organisation

1 Audit comptable el Inanrer 7 l u d i t opérali6nnel 7 Audit


forrctionnel ? Audil orga*~i~aiionnri 7 Audtt thématique ?
cclnridlci,,veriher.. .
I 1. I I ILi I L ri'c.rt p;ts ic q t i t ; ' . i i i d i r
Audit stratégique '! Audi Ae managenieni 7 n-i.ii<cr C~LI'IIil~:l'rll~ir
e t nniiliorr.
. - ---- -
.\If>lENTQ D'.qUDIT INTERNE L'.\LT-.~T~
D'AUDIT

Il
consu coinrile outil proposé aux sociétés soumises à Ia Loi ressources et des compirsnces adéquares et s'appuyant sur
[jc SCcuriré Fin~nïii.re(LSF). der proctdurcs, des sysdmes d'informarion, des outils et der
pratiques appropriées ;
1 Définition du co?iri*o'k interne issue der h v a u confiés La d z f i i o n en intpnze d'infonnn tioris p r r t i ~ l n t e s: la
m ,
par IX9ifF diffusion en interne d'informations pertinentes, fiables, dont
l la connaissance permet à chacun d'exercer ses rrsponsabilirés :
Le contrûlc inrrrne esr un dispositif de la société, défini et mis Lin systhne visant Ii recouer et analyser h pnncipnru
en auvre saus 51 rssponsabilité. II comprend un ensemble de n<ques u n sysrème visant a recenser er andyscr lei principaux
moyens, de cornporrcmeots, de procédures et d'actions adaprb risquer identifiables en repard der objectifs de la suçiiré et a
aux caracrérisriques propres de chaque iociéré qui consribue s'assurer de l'existence de ~rocédureçde gzscioti ds ces risques ;
à la maîtrise de ses activités, à l'efficacité de ses opérations ec à
l'urilisation efficienre de ses ressources, et doit lui permettre de Des urtivitS de contrûle :des activités de contrôle propor-
tionnées a i i s enjeux propres à chaque processus ec conçues
prendre en compte de manière appropriée les risques significatifs,
qu'ils soient opérationnels, financiers ou de conformiré. pour riduirr les risquer surceptiblcs d'affecter la rialisation
dcs objectifs de la sociicé :
Le dispositif vise plus particuliiremenr à assurer :
Une surveillance pmrralimtte :une surveillance permanente
- la conformiré aux lois ec règlements ; du disposiriide contriile inrerne ainsi qu'un examen régulier
1 - l'applicarion des insrructions e t des orientariotis fixées par la de son Foticcionnernenc. &ne surveillance, qui peut urilement
1 direction générale ou le directoire ;
- le bon foncrionnemenr des processus internes de la soci&ré,
s'appuyer srlr la funcrion d'audit interne de la sociéré
lursqiclle erisrt. peur cunduire à l'adaptarioii du disPosirif
notamment ceux concourant à la sauvegarde de ses acrifj ; de concrôle interne.
- la fiabilité des informations financières.

Cadre de référence de I'AMF: les cinq composalata


du contr6h iilterne
Les grandes «rien tacions en matière de contrfiie interne sonc
dCrrrn~itiPesen fonction des objectifs de la société. Le conrrble
inreriir est d'nuratic pius perrinenr qu'il est fondé sur des réglo
de coiiduitc ec d'inrégrité portées par les organes de gouver-
Ilance et communiqués a touc les collaborateurs. L'ercmplarjté
esr uri principe fondateur, vecreui- essentir1 de la diffusion des
valeurs au srin de la s o c j é r i
Uns orgu>zisntioiiadoptée . tiiir orgiiiisarioii cornpoi,raiir
uiie définition c l ~ i i edes r e i p o n r ~ b i l i t é s .disposanr des
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'NON
AUDITEXTERNE
O n appelle u audit externe M I'audit comptable et Fiancier,
que la mission soit de certifier les Pçats finanuers ou de dohner
des conseh dans ce domaine. Pour i'acrivité de co&t dans les
.aumes domaines, on ne dit pas rr audir:excerne mais K con$eil
' cn organisation r ou u consdting a.

Remarque:
Les dmea personnes Font du conseil ou du Cosmnismiat aux
Comptes 5 leur mission est dors di te s conaacni& ii ou
Mgale m.

,
Mm& Dt la direction gédrak. Du &riseil d'dminist
p u r b responsables de t&m (&cilemeq$
I'cn~Ise. de t ' d e gEnéralc3,
powls rierg qui
*ent dck cOmpte
dfiior.
MWons Li& auxprtocqations Li& a la ~ t d k & o
de,hdirection g.niir&.: ,thcamp- :mise
I d&~kncbtmeatsur m annach
&cision. Tous la t y p Audir de dgukicé
d'atidix etmus kg alrjitr. tiniquernempdarra It
domaine comptable.
Çandwions . Gmtauticrw Cornsafarions s g d n w :
1 i~~pr~fandirr dk examen da cimk~
qu'existe UB pwntid CI& et des dnranrs
de dyshnc~~vsintrnmtç, sup4rieurs un ,seuil
pour idenrifier i& c a m de si&iii-Ficatioapstrr
er difini r ltb amions d raser des coset$ de
- aju'il y a Ilw de mcirer. c.~tencrt t i ~ifqrncr
(rAawGc).
Oblipian de résutmts Obligtirln de moyen&
Mhl@iTD B',4UDIT INTERNE

C o m p ~ o avec
n l'inspdon
1

Audit b t e m e Injpmion
L

Wpiaritkl CuntrB1e.k & Cunrr6k le q m 3 des


H h w i t d réglcs e t itur pe-* @es s m les intepdter
wacttre su%m.. . ni les semetm en came.
Méthode Remncc nua;-eairsts pour S'en t t n t auxhitp
et objaecifs &b~rer des szcbiriman- et idenritic l a actions
dations dwr lt but est n-ires pour les
d'éviter h xhppaxition separet a m&ettreen
du p h l ' è ordre.
&aldon Co&idèrc que fe biaqcrsni~e
ks ".pansa-
mposable -le chef- biiitêq et &t -tia$-
esmujours respombleet lrment s;iriion%Zlis-
donc aitique 1 ssystèmes mpombl&.
ex non les hommes : &value le comportement
idue le fonccicinncmuit da hommes, @ois leua
da +M. mpipetcntts et quaith.
Semicd Privil&eleco~ised ~civiltgicIc anuble
Poiicc et donc fa coopttation et donc I'indtptndmce
avec les audi&, des contrôlem,
Séidonl Rdpand aux prhcaipa- Invcsti~Ûz)nsapp~bnd;eg
Stfectivitt tions du mamgmeat t t mabis trts d m w t i k
sciucicusc de rerrfbrcer sa i!vencuelluncnt sous sa
duise, sur mandat de propre inidsrive,
la direction &dde.

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q 9 n wap ~ ~ ni4~ri3um
8 Bunms pratiquer :rnyw du c9ntrio*hintçnu,
wsSOBtrCa
LRS u homes pratiques n &rivent ce qu'en gPniral lcs audités
Jd.entifler les impacts correspondants

Rechebher les cons8qumws Incluites paf un critére-de contrdle


m satlsf&it:-etrique quai-ihtaive
i doivent WC, les moyens et mérhdes pour hiter un empeche-
ment (colunne 23;.
C e s ressuuraa sont r e p u p h classiquunenr en 3 grandes
h i h a :If%mm h l , d n e s (l'agent qui exprime Unbesoin,
Exemple :St& R d ~ p t l a ndes & k~sponsablequi valide le besoin), Ies rrnroumer d e b u
1
B RWHmhwme pr%sta?ic#r ov une madmdke non die au non [sur quel supprt est saisi ec valide le besoin), lu rurjuurres
mfmrnb aux.km@ & & w m d e pelit IndLkm une fraude ou
diwmtzt&~i~llrr (noat d$rgnnisaùon, guide des procédures,
ITmWfsan&?km !/ha/ a h 1q u ' siirmW
~ stipport8 par l'entreprise
1 inforinarions indispasables (quarité, prix unitaireI budget)
I Censemble de ressourccs souhaitees dom i'aswranc~que
% ~ a k s evalider
r la rgce~~i~unis
nr $&rssnnsnwi habni~8e?a&
1
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I'acrivid est rndtrLCc [rhlisatlon du vrrbe d'acrion errcapea
des~itt~adecontr8le~etquelesiisqucsscrstsoiiscc~nuô!c.
la Wt15-S.? et ia Im@ -p. -
b P+î&mer
fou-w
~ m t p u@l M I des fifrg,@sqvac I&
et me oomptabilild kucçe (w88sllmatlon &s dames
1 Uneressourcc mai adapde deuienr: la cause de la non I.Calisation
d'un verbe d'ados, In non rCalipation d'un verbe ancrion
constitue un f'aitlconsmc et g€nke.des c~nsdqwçcs.Exemple :
*paye.
une personne non habilitde [ w s k ] .j;ilidd un besoin non
Ifr @Bmas n rencontrer, et qu'sntraïnetaJmt.ie 7
q ~ e - t - o de conforme aux k o i n s de i'eotrrrprise (faid in$tiisanr un s u m G r
' financier (consCquence).

I
t e TaAiR comporte des critères de résultats , Le ~nseignemenrde c m e colanne sc fPic par la prise de
connaissance de réf&rmtielexistant sur un domaine (nore
I
de polirique innrne ou ouvrage emrnc tcaitpnr du domaind
e t en dpondanrà 4 quesrions ghériqurr Qui ? Peur-on faire !
Cnmrnent fnit-ask ? Est-ce bien fait ?

11
us #Gr qw ecdwlas de Ewaciiiuk /ES Ad-
G mr de hoor a m i l s mnL ils ne sont pas ~bligaroir~s.
idle ilnalit8 de =* EwivjiB image- . h p t h ih ~ntraiqznienrauxcrirkres des points de mnrrtlle. Lcur{s) défi-
P e n r r d s ~era a8ul.li go ~~k~ Di~riibles ciciidefs) [rion adoptées, non adapdcs. non disponible$. non
aiiamie. Wa iei ~ ' P A G ?-:
weci I $lape dii
pmca9stis audk Sul*
Pehanles g performuires) .wpliqus(nt) Ics d&faillnnccs dcs points de
-
est sws confrbie
meilris8 a+
S ~ontriilr.Elles scronr souvenr la source des reconimandatioris.
Llstw les modalitGs de fonctionnament
Rechemher les bannes pratiques (4l~mentocmstitutlfsdu dlsposltil
de Cl)qul assurent a priori que tGs riiz,?c sont muverts
+La rrli4illeutes resswm (humaInas, m a t 8 f i e l ~immat8rbfles)
, RÉFEREMTIEL D'AUDiT
organisées au mleux
+b n e s pratiques d l c t d ~par les sachants (expens) TABLEAU DES RISQUE
, +Bonnes pratiques o h ~ ~ par e benchmark
s
, +Bonnes praliques raïwnt des m e s de u b n sgns rn

* Ges bonnes pratiques(ressources) daivent gtre :


- -
A d o p t l e (existantes) Adaptbw Diponlbles -Performantes 1 kTABLEAU DES -UES organise 19 pham dféiudeet conduit B
I'élabomtlon du RAWûRT D'ORIENTAT1')N.

mm*: *de RBeeptlon desacbats


Risqua de ~ ~ l l u s i oetnIra& muverts si:
rrr&ttrht.s:iial,ut.i.a
. H amode a me prise de eomaimce du domatm a au&r défini par
i'ordra de misçiwi, une prtw de conscience de $es Mrkreh risques et
oppwtunit& bm6Iioration, par w e d h m p d i o n du sujat dela misdon
% OéI€gaiicrn de poumirs Itwmepratiqua Adopte, r 8 m u r ç exMante)
~ i n abjets auditables. II produit en prnière @ a le Mdrsntlel U'wdt
% h Y & 8 t h rew@c&ritk prindw de séparation ~B ffdnbths {Adap&?) I II pemet 2 I'audteur de menerune analysa &a risques en s'appuyantsur

-
% P m d d w e de suû&&&Eon en sn #abserice du &Moud (oisponlble)
% Cas u b d ~ & R k ¶ d ' W p le chef en m f- * (P@rhrrnaqte)
-y--* .-
des Btemsnta d'appr$cipiiorr Identiiids par l'au@ lors de la phase &&ikide
d8tallMs de vdfMüwi,
purs &orienter ks~hvaux

On a mahrenant c e d la partie difficile d'une mission


d'audit: interne : on a sd&mrninéles a objets nuditables n et
cons~im4le dfirenrid d'audit.
Ceci permettra à l'auditeur ù'obsen.er, consrater les pfitiques
ou caractdristiq~es &dies et l e comparer au r a r e d e l (carat-
r&istiques souhaides).
Quand on eftkctuera une autre missi~nsimilaire, on
mmplCcera se rdf4rentiel par l'expéritnce aquise au GOW de
la prerniièrc.mission(on a pu ariblier des points). Cexpt rietice
montre qu'on mtIinre encore sigiiificacivemene A la misikme,
mais rnarginalernstir audclà. Cela devient de plus en plus ais4
et rapide !
On sait #sormais qui dler voir sur le terrain ec cc qu'on y
vouloir regarder.
par l'&jecnvid hlad-.: d & a w abject& risquix*
LE RAPPORT D'ORIENTATION bpprla p ~ q wd, p e & M u e d ( r n b l ) iÛ&ddl&

A III fin de la phase d'&rudede la mission et juste amnt que ne


d h r e fii de vérification de i'audir, un document.
ph- tes rn&-cl& du ragporl d'orientation
synri+iqur présente dans m rstpporr d'orienration a Rd'Q *,
On c p r i i m m c h a q m p h m du R 8 0 par:
les abjmifi poursuivis et mnts de risques que la auditeurs
+ont examiner. Il dUImitt ahsi p r k k h e n t le champ de %r # GASSURER DE * Y&~WR QUEs qu~nclon s'mgaga B donner
B point est sws carntrde :8 fournir une whkn &Hi#
une ~ E Wqu'un
l'intervmùon. 11est A noter que ia dimion de l'audit pourra (asrWm,@ m h e ou ça ne marche m)
à ce mde proposer dc ne pa3 continuer La mission, si.en fin sr * APPR~CIER r quand an s'mgap 9. Brnettre une wahBtfh
d'&de prtlminake,'i'rnjcu ne e>avtrnir i&. am &tude, bu REVC;riR II quandon s:nga$a A Mfn l'étude mals
n'BniWred'pirim qlrs s'ily a Iku
II est Ic pius souvent enwyt! au(%) coatimanditaireds),
inirial(aux) de la mission pour avis puis p & ~ d aux audi& W = EVAUEH o quand on s'engage Ii fqumir ungr fnfonhatwn quantfiatiw
-
maEs a priodsans émetire #opinion, w ~i
ANALYSER i r quandm
pour informarion. 11esr donc formulé daos leur langage. s'enwge h k e r4iude msiapas â obtenir des r+ukts
1esr une fbrmularion er une prkisian de i'ordrt de mission
(an pme d'ailleurs d'une demi-page 1 deux pages), et certains'
.VOIR S ihv A LIEU D'PPPROFONDlR quarld
&"Pangagaa rien 1
hésite iIt q u ' ~

I'apflmr a r c ç a d ~M.~ t - -.Pm

Élaboration du rapport d'orientation u RûW La phase dl$'tudeaboutit aux :


Pour 8ha pertinent: - L

ile- W0 reprend les rnr?üuSlbns;~e!anues du 7ablmu des mues : ;!h<PeW 13URtEh I A 4 l . J ' . Pj3fi38.A. ! ;12 3k YER.L~CAY+O::$
FM + pr-Hom du m m m e n t paur Tes audit& dt le demandeur po~rrLes audihrs
+ 1es! d k c d 'avec tes pflncipaux reqmsables audîés el le deman&ur M)NTRAT DE PRESTATiWS GAMME DE F A 8 R l W O N : tâches
Ea Pour Qtre percutant : RE SERVlCESpr&isant les @ efidctuor, inve3tigaîiam a mener,
axes&nuestiga4~nde la revue qusstiana k se p r , peints vdG
+ 1s Rd'O est lamuU en Dbjmifs P atteindlhpwr le c h n t et Mlgb et si m i b l f i ses llmifea ptatiqueis de horine m a n B reCtreK;her
en !aisam aMmUi~ndes travaux d'au& qu'ilimplique,
3 i l e s f b t : 19Spag& QBJECT~FSA &TEINDRE pDur -
:
ACTIONS 0 AUO1T plmifief, dprtk
enîrqxaWe :kavail de Phme d'audit
tes * cllems =, fornulés dans
jeur laqage

oh allcrnknous ? aornment y atlans-nolib?

Le rappan d'orizn~atio~
assure doncla pertiii~nri:des travaux :
i ~ ~ les principaux responshles audités
par la c ~ n c e r t a r avec
>
Phase W u d e - t Phase de vbdli~ations -
w le demandeur ; césc le contra7 que i'audit iiirerne passe
avec PWI ;
RAPPORT D'ORIENTATION

'
Li rnppn dlriricnietiufidifinit r formrlk lsaxa d ' ' i o n de la
misian et gtp bi&m iil tes q i m en~abjaer&A d u & par I'âudIr
pmr Ic diow&wlertes addi&.

Mission supewjsée par :

AXE,DE TRAVAIL ET D'îNVESTlGAnOMS DE L'AUDIT


hnitm w tixciuabs ?hntudw.
du cham.araiallt
" 4m ;
% e .p
3 ' 8
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-8 .E at$ l2
35s8 P.
2~12 3
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3,
2
3 %&4: 0
\
LESRECOMMANDATIONS
ET LEUR SUIVI

h desririaraira d~ amm mandations majeures idenafits dans


Ir rapport d'aadic (disignds .en séance de didation>l'doivenr
proposer en contreparrie un $actions avec un responsable
desrgrig et une date cible de mise en euvre.

Sgieri &s rtcomm&om


(< 3 mir après &@&an du rapport Audit)
Le chef de mission adrase, à f émission du rapport ddiînitif,
aux darinataires da rec~rrunmda~ons,un exemplaire du cahier
des recommandations f es concernant, sous forrne.de &fichier
informatique chiffré p o u raison de sCcuritd et par messagerie
p u r faciliter les échanges.
Dans un ddai inférieur A 3 mois h compter de la date dc
rhption du qporr, les mpmsabk chagds d'dabomr un plan
d'actions doivent rwndre d k e m e n r lif a direaion de 1'audir
diri de limiter la disassian aux seules ricrsonncs i n f o r m h
t

des fiits ddmilib.


Les réponses doivent d4criT~le plan d'açcions gui sera
développé pour mettre en place les solutiom qui rholvent l a
problémes. Elles sont fornlalisk eu camplirant le d i t r des
recommandations qui a dté adrebsé via &&er informatique er
daivent specifier les respansabilit& eir &tes de mise en place
(maximum 1 an sauf exceprian) et indure en annexe les
documen~snécessaires fnora, proddura.. .).
Certaines solutions peurcnr nécessirer l'in~rventiond'une
ou plusieurs aurra fonccioiis. 11 appartient dors aux destina-
taire~des reconïmandatioii~dëtablir une réponse coordonnée
c:fi liaison avec les responsalilrs des aurres Foiicrions concernées.
b * . . .. -" .>,,
1 (WMW~ ne u p ! w pu@ np IWS ! w enMi suonapuww3a ep weuiglg, sep j e d d ~
(WMW) el qrmd ii~m~uoddis~
Les techniques d'audit
a Ossature du rapport ?
Comment ça se tabrlque 7 Ou%&-ce que c'est ?
A quo~çasert T
Doeumnl6tabli en deux a a w .av2r.1 rspcha:ue auditewr mtles
i
p u b n &a d'we z&me$&Finie &ans siem01. ei non plue mue *Cesi I'mcha'm8rnenf des mges *Au ~ j ~ ~ r s ~ d&un Lon cls
'uw
le progrem de v&rifi~~:&n ~~q*'e+ie que I'aumt Irrteineveut déHvret $ynit&se inime a FBquw,
dans le pgppWt m c h m t la m i s b dant PobjBt:f. e t m*mt
* e n $ ~ a i f i e ~ l ~ $ r n ~ ~ d a eau4.)tstamesiwdesbesbins
mbm ses !&es ef dé definir le contenu
mvwe ~d6 &met i?B'lum met igg $1) ~ ~ D C FparJ W ~ ~ m r Son Mt est d9~rganiwr la bfjexïm
W < WPdeV':I!&lrig I& $rmk] et le discours & rwrpe8atidi dg m m f I'ra$ulwd'audlt
techel de dasiom avant avant de lvmdm.compte d@ ses rapreind ks.érioneâsde.e
w inareenWd&norrlw ,t&H&@ #~W+BT b tmvaH
oondusians aux -am u pmbiemes o fjgurAnt suries
-ifs ei las ron&b- qui f3R FRAP. les &se, el mjoub lm
Hies w p m ç a b b 8 aF&mimaew
~
et la di&$ %wwde mwipemMi$SQUs
i q d s ibm î ù o n t dans
k fappod

ûw.&ItcHma passer ensuite 7

Qu'est-ce que c'a& ?


k quo] çrr sert ?
La feuille d i Wlatlwi st danalm r ' Tours. =iiwdu ! r ~ : ~ i%nain
f be
de p W m e est le papler de traillttl r Isi wntbn F M F
termirc p
syfith8tlque par lequel I'audileui Nnn-owrrpa~defFtAP~
pdsente et doarmeritechaque nsqua
OJ d~sfmctimnement B signaler:
le M problemew qui la &urne ;
#esi une iaamuiation :elle ddit
être eynB8tique, autonome et
+ les

0
pmuwnt

Je6
)es.
-
rercutanta

.
ir
laits / csns?stsM qul le

les =>crsc qul l'expliquent


c a n s 8 r . ~ ~ * ~ -r%qui Ii pBse
S . W. -*
wie
- Les FRAP,ma p p r o w par te
chef de mission purs .$$FG
.-.-
. .- -:.-- z m m -
fur et a rnesu1-8d& s~ctbm
y
c8mivent
La FRAP seit A exploiter 10scons-
I
"~ ~ ~ B :s s ~ ~ ~ ~ " e ,
iw-cisrrnt en Bifat mieux &
avec I'auùlte, la
misdon seden par seMion valtdees m m de r m w une sotn'i
e: cBfBrena&es, adaptds au arnbihe sauHirev&
(;ab de rBWttuw) et p a r i'audit
trsuutute a l mm@tpn)
i,.d,~: U
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Lcs niatiéres pmi8ws mm FUES dam les winm par fes CFIZc&tzmnt
- et le suivi da cilests sont rdalists au sitgc.
magasiniers qni les rangent direacmtnr en sa& ~ u t r t & m n t Db kirx zdzeprion, Ls chiques sont remis P. la cornpmb1e qui
les mouvunanq sur l a ficha de a& &a@ Ire bonsi dr les &pm en b m q u t k jmrr rntme, &bite le mmpte h q u e
liv&n m i s parles fouuakou~~ o~ncgrndpuis &ce k Dompte du client. La compdle a
~ a b i sont a +mh f0wnisebrursau.ur%gpzbjm Cg&menr poui. f o d n .d*awimIc suivi dcs clicnu dauteux
3Eila y mar toutes)atém;ariquemens dqk$WCCJ~B. b w de pQ lirigiaux, t.&r&n SnaoEi~esr informce rdgdi&emm
.-= m-onda~rsac& & i'&aInGon .duriqye diq-

Bu,Eair & IW~ ~ s41. ia $.aûaa


w des sto&,
P b ~
mqpWqde5&qaicwhpmddekt 3 Iïnmntsl~phynquc
,$lJa& dtns i& aidaim js.wg de &&re (~mdce
4 m m p d e hbEi~L q p d e r n ~ b b ~ -ÙR*F~
~rr;al~Xku$&~vec &&). TbUte cliffhrasmm I 1 h BNP diaque L de mbia Wc n'6~iblRfils ds r a p p d é i n t
id$@iiq~t It 4t& ~ompdk[fowii Sin- bancaire pour h aurnsmmpIQS dcrd~traatpç.w pas
P q m w ~ X d&~&~hei e dwr;iwham- da &%&
ha& &a& cmreha, 1e ntiuwu soc$romprablc at
dlisés.
cwamdqu~iilawp~~&,&f &pour orrcejment*

Le savice du pcnonnil &t compoàt du di~eneurth perscdd,


tes dibihtsS&mt Icws u>mmuida au si- rodai parisim. de son adjoint. et d'me emphy&. EempbYk a pour &le,
Ç;: dmaim &&Ex les: factures mrr la base de rncommandes ct CIIIUCw ~ md'&ahtir
, Irs fi& dc wiq cr de ptdpcfnf:k9 iwrs
lr$ envaie A dienr, h cornm;in&s mnt àhrs rran-a w qui sonr ensuirc snvgistr& par ia coniptabiürd; Elk. a m d e
.ines. hs magsiriiers des ~lsbespré~arepitles r o m a n d e s b afonipw eswc paie, le.$encegiskre ppriil Ib venc en liquide
puis émblissenr'dcs bons de linaimn en 2 mmpl?im.t'un apib sigimrurc d'un rïr, pu Lc b&&awre Uc vapui\wc
w n r e d p r k clkm ér l t ~ m ~ t w p s t ~LCI
p p le ~ ~ma@-
. $~comprasat une ptariq~tecowanre dans la so0&@. &sept
sinbn iènqisrrer la wnie & $rack lm d6 I'&&!isemen i du ap&ent.anu deamdent dgrrlitranenr des svanen wr hou
ban de li,vr&on. de ddplafanrn r :ilp rCdigni un$dprnanidq qu% mErtenx 5
1 - >-

-
M h t f i f O PjiWITIN-6
-
asRUTIQUE
S--. OW=l

Risque de btusqw sottie de rrhmrie due:b des tommades 2. @c@oa <6s ? W & W P ~ ~
m
s 'Nz m b e 9mps wh*.
k t d = m r d c ~ f X m = -&Mhme&mw
Rem~*ng t
~ ~ ' t ~in-t b k et rand p d M e da r @ ~ #a
u
Ra,Z;ediFQctFm&~mEi~n~k&~d'*q
devrait ;
B&RI w bvdgf55 dtr z i & ~
m d c u r sr un bu* de
~ p ~ n n a n eang~ti&~w&I.e
t pcnir les mis u i h s .
*
m. b ~~#winc devica;$nt :
.?$gager &a -mande> & r é k p p d a n - e ~ t a u p h de pas & a c e r q w ,
fou- préi;tkcrimnatr pu k si& dam la a l d i ~ o n s * 5 hctli~ésanr &d p a y k que la max&dh. ~w
' i i d w@&i& pk le &kg& n'Cd pu codbrrnt h !a commande ( q - ~ t i nou
! qu&d).
Raçpe* I G > ~ w ' ~ u Ek ~C h~ g~ d, ~ r n a m d d
livraimm h-d;@dam le budget de &pprwisiannmrnr 6
d'Met L sty:sqdage. ou la:a:mp8e de,~w& - -
DMSdew cas, 1~hwisseus d3wa&r:UIL~SV~~G

Absence d ' W b l i i t pz,le m@ d'un ban de l e ? m n J


aprb r4i-n da concdih d i a baxiuc du hien,
qumtidl quaiid.
,Abaelistde rappdemmt mm lc.b~edeurmmmdr:,Ie bon

$ R-eçev~ir& rusinc arii ban de r&tpE;un établi parle mapinigr.


p & i ~ t'ntL&reaw12 mxttrc, In qusntitd: er la q
fird dn
$! rn;ifibp m i h n r t+cq~ondcr.
Chtnpmr:b iI1heqm dct ,bsade 1~1m;andr a m cew & 4
k m et du bgn de riteprion, puis mqpbiliw la b.
Cabencede pm&ure de condle des chhues &mispour
R4. Lc &ef mmpblcW t: +ier les factnresfour* entraine dcs risques impor-
mnts de d+enses ou paidents kjwtifi6svoire en dûtlhk,
v&6& de &&fllen2: d c d ?
1t $& k & d v
oaUrd&onr~d~qui ai'$&&@€.

Un test effectué sur 30 dBcai5serncnts de montana sign&cacif$


rd& dans le journal de banque du mois de mai, a mis en
évidence :
Pabsenm de justificatif pour cinq $,encre eux,
- Ic doubtc paiement d'une hcnirc.

2 ~. Q ~ t ~ é q o e n c ~
#:

n'ayant k c u n ljui mgc Je


9 IBquc da pakpgmdc fs&~res
,% -warwh.
f Risqw de dohle p3ic-r dQ f p c r m .

'II
6 3
b 2l-
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8.:
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$t&xflWKI DXUDIT-1
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cASFRA'~TQVE-~~

91 D e a d k & d p m ~ ~ # ~ 10. Arq~&tu d'inmob&ations


SUT h b de deplaceninit ne pP1 ~p~~ d*h-t&a~uit (prhision,a d a t i o n , appel
l'objn d'un wntrhle n d'un wivi pour v& d * ea *fion de]'immobilisation) degt p~ fiabkt
JusMcadan et leur rdaw-ent. bien fondé, le codt et la rendÜit6 d a h d ~ fifis m ~
E O ~ Zppa &tris& par h d i d o n &Me.
C;amta?&
!

te solde moyen des camptcs u nvanca var& * sur F& de Colmats :


dCpkement A la fin du gwis est mordberi t .il&$,
k sociért OPCI naetablitpas de privision bhv-menr à
Muamnt : 50 M'E. long terme.
Aucun investissement n'ar auraris4 par la direnian g u i d e .
Absence d'autorisarion du chefs de mice pour Ipi -ces Kaialyse des dossiers d'invatissemmn réalises sur l'année a
m& swhis de d+hment. rMlt :
Abswice dt ccmtr6le du solde des compr& n am& -3 . l'absence, dans tous Icr cas, &appel d'offres fomalisC a de
sur frais de ddplacemenc. recherche de modes de financemeau apprap& ;
4 Ic pPicmait dune immobilisarion non a w ~ hvtée
e 3 l'usine ;

W ~ k d w dd'avances
c rmpCl&txpar rappnavxfiaig le paiunenr d'me immob*as pour laquelle d s probltmer
qui ~ ~ les d d p h & ~- ~ & p sanr renantrh.
techniques

Causes t
Absencc de procedure en matitre ,#inves&ement*

Conskquwces :
Nan-Etetec~ionde varixiom mormf es des: invest'hscmen~par
rapport I'accivlre de l'wtreprise;
Risque d'acquiririon de matériel à un prix trop kicvC et de
qualit&ins&kni er dont le çolir de fimcémen r viendra encore
augmenter le c a k d'xquüition dc I'i mobilisation.
&ment d'immotiilisaUom nun encore livrées ou ne foncrion-
72 nmr pas carrecrement.

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