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DE DOCTORAT
D'ETAT EN PH'llOSOP,H'IE
TOME 1
ETUDE SPINOZ'ISTE
1990
AVERTISSEMENT
E T U DE SPI N 0 Z l STE
1990
A PATRICK KNECHT
3
ELEMENTS HISTORIQUES
soi-m~me" <2>.
C'est là que Spinoza expose son projet dans sa totalité décr-ire
5
à. notre étude.
"Après que l'expérience m'eut appris que tout ce qui arrive commu-
nèment. dans la vie ordinaire est vain et futile, et que je vis que
communiquer, et tel que 1 'gme, rejetant tout le reste, put @tre af-
fectée par lui seul~ bien plus, s'il n'y avait pas quelque chose
"Or. tous les buts que poursuit la foule, continue Spinoza, non
effet, jamais des disputes ne nattront à cause d'un objet qui n'est
s'il est possédé par un autre, aucune crainte, aucune haine et,
lieu, par contre, dans l'amour des choses périssables ..• Mais l'a-
mour d'une chose éternelle et infinie nourrit l'§me d'une Jale pu-
re, qui est exempte de toute tristesse; ce qui est éminemment dé-
de former une société, telle qu'elle doit être afin que le plus
Ce but vers lequel "toutes nos actions ainsi que toutes nos pen-
sées" doivent @t~e dirigées (li), nous savons q~e Spinoza, pour
"Nous avons toutes raisons de croire à son vif désir d'unir ses
De Witt qui lui avait fait attribuer une pension de 200 florins et
"Il Y a environ dix ans qu'il plut â Dieu par sa sainte et adorable
nous avons perdu, et cela sans que nous ayons aucun espoir de le
les objets qui l'avaient d'abord séduit: "comme les plus grands
choix d'une de ces trois choses, lorsque je fus prié par mes Amis
doute, Itamitié est vive qui unit les deux auteurs et grande leur
influence réciproque.
vailler ensemble.
HDes gens très illustres et distinguez par leur esprit et par leur
les bons fruits que les commencemen{t}g d'un bon gouvernement ont
produit ... ; cette augmentation ayant été faite par des personnes
toutes les affaires mentionnées dans ces chapitres ont passé par
tre (23) avec celles de Spinoza est évidente. Nous nous contente-
premier plan joué par Hudde dans la gestion des affaires adminis-
tratives de son paysI tout à 1& vérité donne à voir que la relation
entre ces trois hommes est fondée autant sur la réflexion que sur
B. J. DE WIrT
10
POLITIQUE retrouveront aisèment Itorigine "si nous ne nous rLjet-
les hommes que nous avons évoqués, De Witt est également, pour le
des écrit.s.
tantes.
pour la premtire fois, entre Pascal et Fermat (32), dans une corre
la recherche.
)..,!,
Le rapport de Jean De Witt sur le leul/rentes viagères apporte
simplws ou sur une t§te, soit sur plusieurs comme deux ou trois,
jut,qll 'à sa mort ". Or" quelle que soit la natur€' des empr\ints (Jb},
12
"la plupart exig.n~ qulon connaisse la prob3bilit~ qu'il y a què de
d'@tre "énormément 14~énJ ce qui fut le sort des Etats qui, telles
C'est donc pour résoudre une difficulté grave que Jean De Witt a
d'hui disparu (39). Car "ils étaient l'un et l'autre plus à pOltée
la le~tre adressée à un certain Van Der Meer (41), &n 1666, sur
dire l'~spérance de gain des deux joueurs sont égales. Cette égali-
"Supposons par exemple <je prends des montants petit~ et un cas que
13
avec une autre personne comme il suit: chacun d'eux déposera dix
que les conclusions en tirées ( ... J; que je suis d'avis que la mé-
thode employée est très exacte e~ que c'est sur une ba~e-
niz, passant en Hollande quelques années après, fit tout son possi-
rieux d~s idées, des méthodes nouvelles et. qui ntaura cerlainement.
cartes" (47). "Ce politique cèlèbre, qui périt ainsi que tout le
"!1onsieUl"1 écrit De Witt. à Hl'ygens. <. .. ' je vous prie de bie,n vou-
Et. au m@me : "M. le professeur Schooten m'a appris: que vos, mon-
nière qui lui est propre et fort ingénieuse. Il conçoit cea courbes
"Un cercle étant donné. écrit en effet De Mitt, qu'il soit petit
ou très grandI n;impor~e qui d'un peu versé d~ns lèS ( .. ) princi-
il n'en est pas de même pour les Problimes Solides »~'ai estimé
un Plan. ft
(55)
16
C'est pourquoi il imagine, comme l'explique Michel CHASLES, "une
Géométrie" (59).
une supériorit' flatteuse sur ses rivauy par la difficulté des pro-
blèmes qu'elle le mettait en état de résoudre. Il en rèsulta que
distribués.
Dans bien des cas, ces questions demeurent sans ré~Jnse. C'est sou-
L& génie rnath~matique de Jean De Witt a rarement été évoqué par les
corde pour reconna~tre que la méthod~ géométrique o·a pas été re-
purement superficielles.
gesse" (68).
s'il n~y a pas quelque chose qui soit un bien v.:itable et qui
former de son vivant, la société qui doit. être afin que 's plus
grand nombre cl' hommes accèd~n t au m@me bien. Quel q'J 1es autres qui,
tel De Witt~ tel Hudde, ont eux-m@mes constitué des pales autour
C. J. HUODE
après avoir servi ces sciences par des découvertes, servit aussi
pulJiic.
Leibnitz qui, passant par Amsterdam la visita, nous assure que ces
( ... ) Nous lisons enfin dans une lett.re de Leibnitz (72) t que Huddè
faire passer une courbe par tant de points qu'on vaudra, c'est-à-
dire d~en déterminer l"quation; sur quoi Hudde lui avait dit, sans
vie humaine. Leibnitz désirait fort que ce§ 'crits tombassent ent~e
geât à en faire part au public; mais ses souhaits n'ont pas été
remplis" (13).
ses recherches que le texte dont un cextrait a ét.é donné par nous
plus haut, et. ce qu'en dit Leibniz dans l'un de ses fragments iné-
di ts (74).
réflexions de Hudde sur les maxima et \nima (75). Car, si les deux
ép~tres de 1659, que Van Schoolen a publiées dans les PRINCIPIA ...
sont rappelées par certains des interprètes de la philosophie de
de l'Analyse.
ment confiant en ses idées, fort précipité et jaloux m@me des in-
de ~axirnum dans le second exemple n'en est pas un. ( ... ) le point D.
UM. Rolle n'eut pas avancé c~tte objection, sJil ebt fait attention
que la règle dont nous parlons donne non seulement les maxima et
minima, mais aussi les points d'inter~eation des branches des cour-
(78) •
Ainsi, la m~thode invenlée psr Rudde pour mener les tangentes à une
Cela est confirmé par Joseph Ehrenfried HOFMANN qui, ct~ns son ou-
et E.. xl;:::; y:z.. et s' y embourber (82' - en m@me temps que Scheeten et..
J. Wallis - passer enfin aux yeux de Leibni:z; pour l'un des .seuls
(83) •
de la géométrie projective.
ments étaient posés qui firent 1. transit ~n avec une époque pour
(c~lles) dont les buts ont été définis, sont l'idéal le plus haut.
fie peuvent probablement etre établies avec bonheur que sur une
vérifiées et épanouies.
tation est telle que Leibniz, avant son voyage en Hollande (88),
ner (90), Car~ comme on sait par MEINSMA, Huddè a étë occupé, à
D. LE "COLLEGE INVISIBLE"
secrétaire.
29
et 36 de sa correspondance (91).
res ne lui feraient pas djfaut", fut chang' en "Société Royale" par
une lettres, portant sur les sujets les pl~s divers (94).
m@me affecté en divers endroits, une sorte d'obscurité par des rai-
sons qu 1 i l d~voile dans une de ses lett~es, en sorte que son ouvrage
et s'n~ les lmé:!.~irna et. minima'; une de Van Heurael sur la rectifica-
L'examen m@me rapide des ouvrages de Van Schoolen montre qu'un sort
32
dans les PRINCIPIA MATHESEOS ... les deux lettres de Hudde sur les
des progrès realisés par les géom~tres sur le problème des sections
quoi peut servir leur description dans le plan il04l. Ainsi, l'elll
33
nue Schoot.en - ( ... 1 les résultat.s que le t.rés cÉlébre et très sub-
genre"~
à son achèvement lolal fii nous obtenons les Livres restants des
ou de 1656 (106), Ce que l'on sait, par contre, c'est que Van Schoo-
aussi sur les coniques, ce dont cette préface ne fait pas mention.
avec Spinoza lui-même, la t&che que Spinoza s'était assignée dès les
NOT E S
pa.ragraphe 49).
10. Ibid.
1982, p. 330)
20. Ibid.
et VI.
30. Cf. les "Petites Notes ..... di? Janv. 1671 à la mi-août
1672.
Royales de la Haye H
, par M.F. COMBES (Paris, Imprimerie
Nationale, MDCCCLXXIII).
et Fils, 1891 - 1896, tome II, pp. 288 et 289). Les deux
de 1654.
37. Ibid.
38. Ibid.
perdu.
40. Ibid.
de Hollande.
43. Le titre en hollandais est: "De Wardye van den lifrenten nar
précède l'appendice.
46. Ibid.
48. Ibid.
41
54. Lettre de Jean DE WITT à Frans. VAN SCHOOTEN, publiée dans les
55. Ibid.
59 . rb i d _ (p . 1 00 J •
69. Ibid.
p. 24 l, note 4).
les recherches de Hudde sur les rentes viagères fondées sur les
HOFHANN (voir plus bas ~ note 79> aux pages 89 et 106 - 108.
77. Ibid.
78. Ibid.
minimis. epistolae),
83. Ibid. <p. 881. Voir par exemple pour les brachystochr'oneh
pro b l è m'E' q u • are g (0 1 u en 1 696 J '" Si Tl BER NO!J 1 L LIn::· 1 è v E' ct' l ç ale u 1
45
des variat.ions.
(p. 277}.
(p. 280).
ll?nti Iles.
4G
Lettres 3 el 11.
Oxon i J. 1658).
calcul intégral.
1 05 • 1b i d (p . 301).
que les sciences ayant, de son point cld vue, "un seul but v@rs
Ceci implique d'une part, que soit ftreJeté comme inutile" (3)
DE L'ENTENDEMENT
mémoire.
le nombre 6A "Et comme ils voient qu'on rybtient le même nomb~e que,
d'une chose est inférée d'une autre chose t mais non de façon
adéquate" {13).
sortes de personnes :
la couleur" <21>;
celle-ci (22);
vraie" (23);
t@tes" •
pouvoir que donne la chDse elle-m@me est toujours plus g~ând que
proportionnalité".
par suite d'un .g~ trop tendre, ni par suite d'un âge trop
vie est aussi fatale et mortelle, en ce sens qu'il n'y a pas plus
Ainsi, le laps de temps total fil est de vingt ans} durant lequel
de droite.
une rente vi~g~re 'tablie sur la t8te d'un sujet d'un âge donné,
et ensu i te ce que vaut, en capi ta!, une rt' ,te pour deux ou troi s
t€!tes.
couples des deux ages dont les plus Jeunes sont marts; et enfin
CI celui celui des couples des deux €ges dont les plus ~gés sont
s'ouvriraient à l'interprétation.
(37).
l'aurait abandonnée.
Cett.e voie est. la natre : c'est celle que nous avons cherché à
a connues.
"Le COURT TRAITE sait déjà que l~~ choses ont des rapports
déf in i t nu Il ament par les not i ons communes .. ,.. (40). "Un passage
celui n6 "la chose est perçue par sa seu~ essence, ou bien par la
Mai serI t.ant que les "choses fi xes et éterne Il es" sont "comme des
l'essence d'une chose èst inférée d'une autre chose, mais non de
propriété" (45'.
Parmi ces travaux, celui de Jean De Witt sur le calcul des rentes
C'est dans cet ouvrage nous Remble-t-il, qu'ont été puisées par
De Witt et avec lui, sans doute, par Spinoza, des idées et comme
appropriés.
fictions et, d'au~re part, c'est une idée géométrique qui est
pOUVons pas mettre en doute les idées vraies sous prétexte qu'il
qui nous apprenné que Dieu n~est pas trompeur par une
quan t i t.é, sont. formées par l ' SSpt' i t "absol ument" {51}. "Les idées
droite donnée", Il peut aussi imaginer "un cene coupé par un plan
m@me du •. 5e?mi -cerc 1 e" (ou l ' i dés de 1a sphère) est une idée
simple et, comme telle, c~est une idée vraie. "Les pensées
géométrique du quatrième.
de la proportion .
G. CONCLUSION
est politique. Et ce n'est ras sans raison que Gilles DELEUZE l'a
. ... ...
... - .... '"""
.- -
t
.... ...
t
...
...
t -,..--.t
t
Figure 1
e
75
NOTES
8. Ibid.
10. Ibid.
12. Ibid.
27. Crt. Tr. Cchap. 21, deuxième partie; pp. 142 - 143 t parag.
2 et 3).
29 . Je anD E Wr TT f 0 p• ci t . \ P . 4).
p. 336 de ce volume.
41. Ibid.
49. Al gemeene rlani er van de Hl!" Desargues. tot de pra..:ti jck der
56. Ibid.
58. Ibid.
ri i r, u i t, 1 98 1, P • 1 29 ) •
A. LE n~\fELOPPEMENT DE LA MATHEMATIQUE
Les cartes du ciel ont été aussi nécessaires que les cartes du
monde. Et crest 19 as tronomie qui, dis 1609, avec Kepler r donne un
tourne pas autour d'un axe qui lui soit propre" <21.
métrie. Cet intérêt est également manifeste chez Spino~a qui, tra-
85
Schooten aussi; Van Schooten dont lèS PRINCIPIA .•. exposent SUr plu~
coniques s'impose.
aura pris une sphère pour objet ( .•. ) à quel point il est utile
la réflexion des rayons dans des ~iroirs, et que de plus, nous es-
sayons de fabriquer avec cettw Science des miroirs aux effets éton-
absolument les formes que j'ai dit.es. C'est. ainsi que l'Hyperbole
IVEllipse (qui est requise) pour réfléchir ceux qui viennent d'un
s~ul point (€t vont) vers un autre point. Certes, ellés (ces
verres qui font br~ler, ainsi que d'autres (verres) qui font
\
dévier de façon diverse les rayons et qui servent tant aux tubes
égard les progrès que peut ent~âtiner une description organique des
coniques dans l'art de projeter les cercles, car il est clair que
semblable projection ne peut avoir lieu que par le moyen des sec-
le trac~ au compas d'une ellipse est plus fréquent que celui des
ceux qui nbus paraissent pouvoir @tre mis en rapport d'une part, a~
vec certains des thèmes abordés par Spinoza et, d'aulre part, avec
directions.
Euclide prouve que deux lignes droites sont parallèles entre elles
la figure 1 de ce chapitre).
Ce qui s'écrit a =c
a =d
a + b = 180 degrés.
postulat: "Si une ligne droite qui coupe deux droites fait des
89
angles intérieurs du même côté tels que leur somme soit inférieure
- Par un point donné, une ligne droite et une seule peut @tre tracée
théorème bien connu suivant lequel la somme des angles d'un trian-
gle est égale à deu~ droits, ainsi que les propriétés des triangles
semblables.
On sait que, pour Leibniz, c'est faute d'avoir une "idée générale et
termes de grandeur" (8). Deux figures qu~ ont même grandeur sont
91
"égales", mais "deux figures qui ont la m@me forme sont SEMBLABLES"
faire", car elle doit @tre "conç~e comme une relation primordiale
lament va plus loin que Wallis, et plus loin que n'ira Dêsargues,
Il est, par contre, improbable que les travaux de Wallis (avec le-
euclidiennes.
des ELEMENTS d'Euclide. "Si une ligne droité demeure toujours dans
parallèles suil.
nOUE f au mime titre que les tentatives du même ordre, parce qu'elle
92
propos~e par Proclus pour différencier les postulats des axiomes (et
Cette distinction, cependant, n'a pas été perçue avec une cla~té
'bon' (ou du 'pas bon') qui sont reliées entre elles par la
D = P et Q
il faut et i' suffit que P soit vrai et Q soit vrai.
Cette règle, qui est celle de la Logique de Port Royal (et celle
lorsque P étant vrai, Q est faux. Comme c'est le cas pour une
douteuse (q' = faux), soit inconnue (q" = faux) r n'est pas bonne
flgure" (15. Si, quand on parle ainsi, écrit Spinoza, Iton enlend
figure t.el) e que C ou d'autres sembl abl es}, pourvu qUE' par la
dèfinition. Tout cela est confondu par Borelli ... " (16J.
aux essences des choses ou des affections des choses, tandis que
D = ou bien P, ou bien Q
D ~ P ou Q
ce qui implique, en matière de vérité
Spinoza la domine.
objets géométriques qui est celle de notre ~uteur aux tous débuts
géométrie.
droites sur leur plus grande longueur) c'est pour éviter d'avoir af-
faire' l'idée de 1 f infin!.
lei les - dans la réalité, soient rendues sur la toile par deux
ordinaires.
passer outre l'examen des cas particuliers, puisqu'il lui est dé-
gue les lignes droites et les lignes courbes r la ligne droite pou-
vant .tre derechef considérée comme une ligne courbe qui se refer-
C'est ainsi qu'au Livre VII des ELEMENTS, Euclide dkmonlre les pro-
Livre V. loin d'§tre nouvelle, cette question avait déjà donné lieu
avant les travaux d'Eudoxe, l'auteur des ELEMENTS ait voulu traiter
séparément des nombrES par respect pour la tradition. Celle-ci en
l'ordre dans lequel sont menées les deux études et n'explique pas
pourquoi le Livre sur les nombres suit le Livre sur les grandeurs.
des proporti':los.
blème des proportions dans les termes des Anciens et, en particu-
la Raison.
abstraite de Descartes.
~ropor onnel "de la relation m'me, que nous voyons d'un regard",
Que l'on nous perme~te ici, une remarque d'orpre général sur
1 thistoi~e de la proportion.
métriques.
du chaMp de l'aperception.
droites, etc.
106
erttre elles des figures inscrites dafts le plan dans des positions
toutes les fois qu'une autre sorte de preuve lui paratt. possible,
change rien aux propri~tés de cet objet, implique que l~on ait
figures.
sortes de conséquences.
considérable.
qui, loin d'être écarté comme source po.sible d'erreur t doit @tre
la Métaphysique.
111
1
/' /
Figure l
\\
\
/
/
112
NOTES
p. 283).
p. 300.
écoles.
définition.
définition.
et Q '" q' ou q
16. Ibid.
Spinoza, que D = P ou Q
115
D = si P alors Q
de Port Roya 1.
p~ de notre lexique).
23. Ce~te LOGIQUE compte au nombre de§ ouvrage~ catalogu's dans
29. SPINOZA. T. R. E., trad A. KOYRE (pp. 88-89, parag. 108. III).
nous savons avec certitude que Spinoza a reçu cet ouvrage par les
bons services de sOn ami Henry Oldenburg (2), Nous savons m8me
LOND. ) .
Le BROUILLON PROJECT de Desargues nous para ft par contre ne pas
avait rien de rare, car, soit dit entre nous, aussi bien avant.
coniques ayant été par ailleurs recherchés par Van Schooten comme
faibles pour que Spinoza ait possédé à titre personnel durant les
la preuve de ce qu'un ouvrage qui n~y est pas mentionné n'a pas
59, 60) et surtout en Opt i que <1 et t.re!3 36, 40j pour avoir
entrafne en la matière.
droite" <10>.
E' et 8; sont placés deux à deux sur trois droites Hh, Dd, Ee 1
ordinaire o.
Desargues démontre qUè les cetés des triangles DEH et deh se
Desargues monlre ensuite que le théorème est vrai aussi bien dans
le cas où les triangles DEH el deh sont dans un même plan, que
(ou "raisons tf
). Con9ue de façon à rendre possible une perception
position des éléments les uns par rapport aux autres qui sont
correspondant.s.
B. PERSPECTIVE ET PROPORTIONNALITE
Descartes (14), à Fermat (15) f à son "grand ami" (16) Pascal. Car
Dans l ' APERCU DES r1ETHODES H ISTOR IQUES EN GEOl'1ETR lE (18 J. CHASLES
pure Géométrie~.
singulière analogie.
1648, 1664.
l 1
infini, en géométrie Cet dans l'espace projectif>, a pour
proJections A
, La raison <croisee} des segments de droite
(BA/BC, / (DA/OC>
cercles semblables.
OA . OB = OA' . OB'
se vérifie
dans sOn BROUIllON PROJECT {22' ~Et quand en une drcicte AH. 11
128
relatifs des piaces d'entre ces poincls soienl entre eux comme
leurs gemeaux, pris de masme ordre, sont entre eux une telle
disposition de ces trois couple.s de poincls en une droicle, est
contradicteurs. C'est ainsi que pour Paul VER EECKE (25), "les
générale.
proportions.
les droites qui iront des sommets du premier triangle aux sommets
le m@me plan.
condtante" (281.
Soient donc Ml, M2, M3, .... les positions successivement adoptées
repos.
projection orthogonal~.
133
droites (29' - qui ont entre eux un rapport constant (et forment
l'infini
13~
figure t ces deux: droi tes se COl'pênt en un poi nt si t.ué su.r l'axe
texte l il n'a pas nommée non plus - qui est de oODner, par
Ceci est clairement expliqué par hl:..f'ris KLINE qui met en évide'noe
polaires r~ciproques.
fuure l
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137
Figure 3
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1
triençle ml {H,E,D}
triancle ~2 (h,~.c)
etc.
140
Figure. 9 Figure 10
----..------------r·--
pl P
1
1>2
ligure 11
l
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1
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1 /" "
1
/
S1 1
--------~--~.--~
~
r--r:;;-------
1 ; _. e2
NOTES
(p. 170>.
6. Ibid.
8. Nous relèverons dans cet inventaire, sous les numéros 46, 47,
triangles.
15. Pierre FERMAT, lettre à Mersenne du 1er avril 1640, citée par
pp. 87 et 88 de l'introduction),
27. Cf. Michel CHASLES, op. cit. (p. 84) dont nous reproduisons
29. René TATON, op. cil. (p. 211, la troisième proposition géomé-
trique) .
J.H second point, que nous traiterons d'abord en nous aidant des
A. DE CE QUI EST VU
suivi.
"fait bien voir ce qu'il faut que soit la chose" (6) mais ne fait
m@me pour lUli il n'en est pas de m@me pour le cartésien qu'est
fait, comme l'a expliqué Michel SERRES, poyr l'aveugle (et aussi
150
l'invariant. Car "elle pose sous les yeux des lignes obtenues par
rapports (16) " ... ayant prlS garde que pour (les! connattre
mes senSj mais que pour les retenir ou les comprendre }'?lusieurs
fait des lunett.es qui corrigent la vue et. augmentent son pouvoir;
mathdmatiques également.
surfaces; rapporteur, dans celui des angle~l qui, posé sur les
grandeurs en question, sert de norme et sert d~intermédiaire. La
de Desargues.
Spinoza, en philosophie.
étendue 5 i grande que nous ne concevi ons en même temps q' il peut
y en avoir une plus grande, nous dirons que l'étendue des choses
comme telle. Il n'en est plus de m@me quand {sn 1674} la pens4e
PRINCIPES.
~Ayant promis d'instruire son disciple dans la Philosophie de
dernier "ou m@me des id~es qui aient son approbation. S'il en
l'entendement.
entour. dtaULres corps qui agissent. sur eux et sur le.quels il~
moclé détermi né cl' exi stance et dt act.ion leur soi t. imposé à tous " l e
r!:!pos •• qui caractérise les çorps, est. expliquée dans une note à
la première de ces deux notes, l~une des idées qui, dès 10rs t
corps-ci) est A!NSI et non AUTREMENT f ceci est CECI et non CELA·'
avec une quasi certitude : dans les Notes au COURT TRAITE et clans
tous ensemble, car par "la variation infinie" (59) des rapports,
est une et" une seul e. Et 1 e rapport est "coust an t .. qui lie le
pas réellement" n'a été nulle part ~tudiée â fond ?ar Spinoza (63)
COURT TRAITE. Or, la question est éVDquée trois fois durant cette
semble-t-il, parce que ces thèmes ont ét~ soumis, durant cette
particulière.
ses attributs occupe une si grande place dans des textes somme
proposéS? no>.
soit dans la chose pensante et aucune Id~e ne peut @tre sans que
168
infinis, qui ont une âme aussi bien que l'étendue" (76).
change aussi dans la m~me mesure" (77). Ce que nous savions déjà
changement que l'Idée n'en éprouve un et VICE VERSA ... » (79J. Par
que ce corps périsse, elle doit aussi périr; car si ell€ est
privée du corps ( ... ) 7 elle doit aussi p~rir avec lui" (85); et
plus loin : "de sorte que ce qui 3st la seule cause de son
est anéanti, son idée doit aus~i, dans la même mesure, s'altérer
Le COURT TRAITE disait bien que l'ame, en tant qu'elle est "unie
aussi que "notre première naissance a eu lieu alors que nous nous
peu~ -on se demander ! Cett.e idee est ,i i sol ée". "Cons! dérée en
qu'une Idée d'une certaine chose, et elle ne peut avoir une Idée
wezent19khe;d der dingen, met het vezen zamen in God, msar niel
u;twerken in ons . .
, ) {94} • Remarque fort importante en
en Dieu "en Dieu les Idees ne naissent pas comme en nous d'un
ont une .me aussi bien que l'étendue" (97) à cet objet.,
@tre ( ... ) qui contient en lui les essences de toutes les choses
créées, i l est nécessaire ~ue de tout cela voe idèe soit produite
les essences des modes et, par suite, aussi enlre leurs essences
(110) .
attributs~ (112).
tard (113). .. ... Pour répondre à vot re obj ecU i)n , écr' i t- il, je
" ... Je voudrais avoir des exemples de C8S choses qui sont
(122) .
infini médiat. '1' .. (124) interroge GUEROULT 1 qui, pour remplir "la
Ainsi, " ... le mode infini médiat de la Pensée doit. Otre le tout
persévérer dans leur existence~ agissant les unes sur les autres
remplie" (126), Hais voilà que s'ouvre une nouvelle béance dans
le MODE INF1NI MEDIAT" (128). Car, "ce qui lui correspond dans
euclidienne; les 'parallèles' ont pour lui sans nul doute, cessé
'parallélisme',
philosophie de ltexpression.
La machine à dessiner les courbes de F. Van SCHOOTEN
1
1
1'-
184
NOTES
p. 23).
6. Ibid. Court Traite {2ème partie, chap. 4, parag. 2>. Op. cft.
(p. 95'.
7. Court Traité (2ème partie, chap. 4, parag. 2>, Op. cit. (pp.95
et 96).
(p. 90).
185
Op . ci t. (p . 90).
Op . ci t . ( p • 96).
p. 357>.
21. Ibid.
23. SPINOZA, Crt. TR. (2ème partie, chap. 5, parag. 11) 1 op. cit.
(p. 102).
24. Crt. Tr. (1ère partie, chap. 3, parag. 2, 2ème alinéa), op.
26. Ibid.
33. Lettre 55 d'e ugo Boxel à Spinoza, op. cit. (p. ::96>.
37. Ibid. (p. 178). Voir également la r-ot.e ~~e Rene !ATON (p. 178,
note 98}.
1 g&
Op . c it. ( pp. 1 38 et s q. ) .
Op • ci t . ( p • 86).
51. Ibid.
Op • C' i t. (p • 14 1 ) •
Op. ci t . (p • 8 1}•
T r.. Op . c i t. ( P . 87).
58. Ibid. <parag" 14). Voir aussi le parag. 12.
59. Lettre sur le sang à Henri 'Oldenburg. Op. cil. (p. 2.37).
62. Lettre à VaJ'l Der Heer. Op. cit. (Let.t.re 38, pp. 252 - 253).
64. Note 1 (Crt .. Tr., deuxième partie, préface). Op. cit. (pp .. 8·6
65. Not.e 3 {Crt. Tî"'. ~ deuxième partie, chap. 20). Op. cit.. (pp.
66. Appendice au Crt.. Tl'. (II, parage 1 , 7 , 9 , Ill. Op. cit. <pp.
16,~ à 166).
lt11
corol., scolie),
Op . ci t.. ( P . 4,0).
Op. ci t .C P . 86}.
72. Note 3 CCrt. Tr., II. chap. 20), au parage 6. Op. cit.
74. Appendice au Crt. Tr. CIl, parag. 14}. Op. cit. Cp. 165).
78. Note 4 (Crt. Tl". , deuxième part.ie, chap .. 20). Op. cU..
Cp. 14U.
79. Note 3 CCrt. Tr., II, chap. 20) au parag. 10. Op. cit.
(p. 140).
BO. Note 1 (Crt. Tr., Il, préface) au parag. 11. Op. cit.
(p. 87).
82. Crt. Tr. f I l , chap. 19 (parag. 9}. Op. eit. {p. 1331.
84. Crt. Tr-., II, Préface (parag. 3>' Op. cit. (pp. 87 - 88>.
(p. 146).
l'âme et le co~ps.
88. Not.e 1 (Crt-. Tr., II. Préface) 1 parag. 14. Op. cit. (p. 87).
89. Crt. Tr. II, chal'. 23 (parag. 2, alinéa 1). Op. cit.
<p. 147>.
91. Not.e 3 CCrt. Tr. II f chap. 20!, parag. 8. Op. cit. (p. 140).
93. Ibid.
95. Ibid.
98. Ibid.
100. Cf. note de Charles APPUHN, in op. cit. Cp. 164, xxx).
101. Appendice, II (parag. 10, in Ch. APPUHNJ. Op. cit.. (p. 164).
103. Ibid.
Cpareg. 9 t p. 164).
ei t . ( p . 1 00) •
109. lbi d.
110. Ibid.
116. Ibid.
(p. 192).
Op • c i t. ( 'P • 3 1 5) •
126. Ibid.
130. Ibid.
131. Ibid.
132. Ibid.
p. 64).
CHAPITRE VI
les premiers exemples dans leurs traités des coniques" (7) et.
conçus comme d9S entités dérivables les unes de~ autres, sous
Principe de Dualité.
immédiat de Desargues;
dimensions" ( 21 } .
véritablement f~nd.e sur la VUE DES CHOSES" 127'. sur "1 a pure
rendre manifeste la relation qui unit tous ces modes entre eux
optique.
203
cercle" (30).
universelle".
philosophiques".
euclidien.
et UnE> seule',
et un seul',
proposition
habituels.
restreintes" (46).
Ainsi, par exemple "le point par o~ passent les plans polaires
plus pure par la d'.écouvert.e que tout est "unum et idem" (49).
de la nature" (54).
humain" C55}.
corps célestes autour d'un axe dans "le Syst~me du mo~de" '58) ,
sur une technique que Spinoza est loin d'ignorer et qui pourr.ait
di'une machine.
elles ces deux théories, de manière que les procédés indiqués par
des corps qui est bien prononcée, et qui repose, comme celle des
Le principe qui "lie entre elles les deux manières da d~crire les
'-,
Gravure de la machine à tourner les
lentilles de Christian HL~GHENS
L_.______________. . . .
NOTES
3. Ibid.
6. Ibid.
9. Ibid.
216
10. Ibid.
13. Ibid.
{166SI,
24. Michel CHASLES. Aperçu Historique ..• , op. cit. Cp. 261.
parag.l1).
25. Ib.id.
28. Ibid.
31, Ib.ld.
21.8
32. Ibid.
37. Ibid.
40~ Ibid.
42 • lb i cl. ( fi • 56).
43. Ibid.
219
48. ïbid.
54. Ibid.
59. Ibid. (pp. 415 et 416l. I l n'est pas sans inlêr@t de comparer
221
Desargues, publié par René TATON dans l'ouvrage qui nous sert
60. Michel CHASLES, op. cit. Cp. 409 à 41Urt Not.e XXXIV.
62. Lettre 32, de Spinoza, in Ch. APPUHN, op. ci. (p. 238L
63. lbi d.
66. Ibid.
67. Ibid.
GR. Ibid.
222
69. Ibid ..
11. Ibid.
72. Ibid.
73. Ibid.
CHAPITRE VII
langage trop nouveau sans doute pour l'époque mais ~u,'Îourd 'hui
brfevelé que l'Autheur leur avait donné dans ses écrils". Et l'on
Arts" Cl>.
rl
De ces "raisons infaillibles dont le fondement est ce que lIon a
emprunté.
l'infini (7).
ligne B,8' •... ) qui est polaire du point F Cleq.lel· est son
pel e) •
1 e Pô 1 e (11).
quelconque (13).
Ainsi, DANS LE PLAN, TOUTE DROITE EST POLAIRE D'UN POINT ET TOUT
POINT EST LE rOfR n'UN~ nROITE.
DAN., 1 ' l':,t',\Cë 1 TOUT PLAN EST POLAIRE D'UN POINT ET TOUT POINT EST
est donnée en dix lignes ... - c'est sans doute parce que
dire peur n'en rien laisser" (16). Mais aussi parce que
bataille que semblent avoir suscit6e des idées sans doute trop
.originales.
Niceron.
des tons clairs e~ des ~ons bruns p~r plages contrastées (24),
meell e'.
HIRE, Pe.ntre assez co~neu par ses oeuvres, e~ ne les lui avais
Car, sj ]a Ijste est longue des livres que Bosse a écrits pour
lui-même.
pensée nouvelle.
pour lui faire écho t les quelques mots de dédicace adressés par
233
thématique arguésienne.
sur laquelle cette regle puisse estre fondée" (35), MalS aussi.
234
"entre ces deux" f à ceux "qui sans penser aux estroi t.es
pratiques d'un Art: Mais quand ils en ont appris une, ils en
Bosse, j'ay mis les plus na~veS descriptions que j'ay peu de la
ma li ères" (40).
E. GEOMETRAL ET PERSPECTF
2J6
divers" (43).
encirai t·· (44) • Or, comme chacun sait, "un oeil ne voit.
conformité" (511.
Bosse, qu'il ntest pas croyable à ceux qui n'en ont pas du tout
de connaissa~=e» (52),
et celle du pe~spectif
verit. t que ces deux pratiques sont une mesme chose l'une qL.
(64) •
deux espèces d'un même genre ou deux cas o·'une seule proposition
de géométrie.
bien plus petite, ou bien plus grande que celle du sujet (plat ou
sujet, aussi toutes ses autres parties en sor.t ssgalas aux autrès
Or. quand bien m@me une partie de celle-ci "se rencontre esgaie
apercevoir fl
(76), remarque Abraham Bosse, mais il existe; et qui
plus est, cet. ordre est. en conformitè.· avec ce'ui-là m@me que
<7'9> •
définit.ion.
L'id~e de succession pa~art à première vue constituer la
Mont-marlhe rue de Clery" <8o}, que Desargues "a fait eviter pal'
ou r,uptures" {8tH. Car :i 1 Îa\.\"è 'lue "les Orne'Jen't.s d' archi tectur'e
long des ra~pes, et sans que les piliers des angles, hauteur
"De tous les modernes qui ont écrit des cinq Ordres, il n'y a que
fe. .... mer cam-me une harmani e vi si bl e, que les yeu:x purgez et
de dualité.
agremant, et que l'idée n'y ~rouve plus ri€n qui lui deplaise ,.
contemplat.ive.
2~9
unifiante et unificatrice.
contemplative.
H. ORDRE ET DUALITE
objet paraStra plus ou moins petit selon qu'il est placé à une
corps qu'elle reprisent., sans que pour autant les autres parties
le soient.
parce que le rapport qui les unit est celui-là même qui rapproche
et de la pratique arg~ésiennas.
252
que l'un et l'autre arrive, et vous sçavez de plus qu'il faut des
1. CONCLUSION
Abraham Bosse que nous devons de l'avoir appliqué non plus dans
oubliée.
offert au plus grand nombre par Abraham Bosse et ce, par-delà les
\.
/ \
.
1 ,/
0"
'Ci
/. 1
/"'- •
\C/\
1
,/ -B /' '
.E ,i..
/ ' \I3.' ~ a
...D
j ,
•
J>
1
i
257
NOTES
8. Ce point est reconnlJ par René TATON, voir ln op. cit. les
KLINE, Mathemati. cal Thought from Anc! snt to Modern Times <New
droite NGHO.
12. In René TATON, op. cit. (p. 154). Voir le paragraphe signalé
13. Ibid. (p. 154>, Voir le paragraphe signalé par la note 63.
14. Ibid. (p. 170>. Voir les paragraphes sur la "boule" ainsi que
29. Ces Propositions ont 't~ déji longuement jtudi'es par nous au
chapitre 4 de ce travail.
paginée.
Nous avons déjà cité ces pages dans notre travail de thèse de
p. 19}.
36. Ibid.
37. Ibid.
39. Ibid.
4 O. l b i cl • ( pp. :? 0- 2 1 j •
263
42. Ibid.
Cp. 23).
45. Ibid.
46. Ibid.
47. Ibid.
48. Ibid.
49. Ibid.
51. Ibid.
52. Ibid.
53. Ibid.
2Gl.,
54. Ibid. khap. 12, p. 53}.
57. Ibid.
58. Ibid.
59. Ibid.
60. Ibid.
65. Ibid.
67. Ibid.
265
68. Ibid.
,69. Ibid.
70. Ibid.
73. Ibid.
75. Ibid.
77. Ibid.
79. Ibid.
80. Ibid.
266
82. Ibid.
1664.
88. Ibid.
96. Ibid.
100. Ibid.
(chap. XLI>.
102. Ibi d.
103. Ibid.
105. Les deux ouvrages d'Abraham BOSSE donl il est question ici
sont :
present",
Littré.
à 49).
109, lbi d.
à la page 255.
120. Ibid.
l
B. J . De Wi t.t · p. 10
C. J • Hudde . . . . . . · p • 21
D. le "Collège Invisible"
· p. 28
Notes . . . . . . · p • 35
DE LA PROPORTION A\lANT
l'ETHIQUE
A. Examen des modes de Perception . . p. 50
C. Arith~étjque politique . . . . . . p. 59
et géométrie
Figures 1 et. 2 • . . . . . p. 74
Not.es • • • • iJ. 75
AU DIX-SEPTIEHE SIECLE
A. L€ développement de la . . . . . . p. 82
ma"hématique
B. Le cinquième postula+ . . . • . . . p. 88
d'Euclide
gE>omé-tr:icues
nouve·.·.l,/;
Not€'s p. 112
GIRARD DESARGUES
A. Les trois propositions ..... p. 119
gecmet.riques de 1648-1664
8. pç~spective et proportionnalilè p. 1Z 3
introduction
Figures 1 à. 11 p. 136
. . . ,.. . . · p. 142
existants
Figure l p. 183
Notes · . p. 184
..
CHAPITRE 6 LA DUALITE COMME PRINCIPE DE LA p. 198
Michel CHASLES
énoncé
PRINCIPE DE DUALITE
Girard Desargues et Abraham Bosse
Desargues
préliminaires
de la connaissance dans 1~
MANIERE UNIVERSELLE
E. G~~métral et Perspectif p. 235
pratique de la perspectiv€
1. Conclusion
· p. 254
Figure l
· p. 256
Notes
· p. 257
Géùmétrie de situation
Vi
du multiple et de l'Un
pSl'spective
TRAIT.E THEOLOGICO-POLITIQUE
et la Pàrole rê~élée
figures corr6latives
figures duales
l'Etendue
1. LA PENSEE p. 356
dans l'ETHIQUE
la causalité centrée
2. l.'ETENDUE · p. 386
le COUR! TRAITE
H. Mouvement et repos dans .. . . • p. 394
I. Remarque · p. 397
dans l'ETHIQUE
de connaissance
Not.es . . . . . . . .. p. 430
Notes p. 468
POUR SERVIR
AU PLUS GRAND RAPPRCCHEMENT
DE LA PHYSIQUE AVEC LES MATHEMATIQUES
Par B. de Spin~za
Not es . . . . • . • p. 501
etud~)'
svr Spinoza;. Dé$éltgue$ et l'EcQI.e Ho'lIandaise :
Jean De Witt, JOhsO" ·Huddè:i Franz van Schooteo,èlc.
par Yvonne TOROS
19>9'0
ETUD,E SPI N 0 Z 1 StE
Splnozéte.t l'espacftproJectif
'.'
,.'"
'.". ~.' _,0
."
~
@tr'é.'e.ntendu.
,',.c2';;.~'.~··.··
~
,;/,'5-'
'" ....
·l
f:zdre c9rrespo.ndre. àuh~ 'idêe' (finie ou infinie.) daos
1. ·;attr.ibvl pènseé; urie Dlodiflcat.i cm .tt?t uo~ seü.l fil·! finie ou·
Lapt"emièteet la :p1 us éVl denté i est qué dEja cha·cvn de.s mOcfes
idée' dans laPerisée, l'idêe d'~ Pâ\Jl par exe~ple, l "ime de 'Pauto'U
.. 1...;P'tf.,s~~ ,.
;~.;c:i~!H~~t,,~e.r.lsP'nv;~;~rit clè .cê qu.,·d.r)$ 1···l'd4.... ·~ê·trè::)~vê"l
;~o~it~·~qj~Ti.~,"1.,!5;P!Qc:f•.Sr::Ô·tÜ!i;~dêf4is;
. ..
••.., .tan.tqû·êtl"~ltistant p~;~
r.eil~~~nt~(~J';~~n$ i~.f:Pelu~~., .aç,:"e, 11 ya ;.....atJm~;i~seQ
~pr:é'tni;è ..... ,ri~ly,5ê ""'~i'àè: ide,. de . plus q~'i: l '~'y .4 ,r:$.e mc;;de.54:JX,i~t •• tjt.
stà.t,ql de· 1.. ,Pèriseeen t~J:lt q\,i.e r~cept:itcle: d.es BÎIl~,s. P\1isq~e "l.es
bie.n
il"lé.
Dstis le: preniier c~s, la qUEst.i.Qn qui se. pose es>t. cel.a.e de
''!)~U.'''.
>L.-.I,~> '
celle qu'il convi•.nl- .dé re'tenir; $1 lilts attributs vont par paire
pourrait. exis,t,e,r et agi,!" ,e.n t~nt que ",odi ficàt.i Cin d.' un attrlbut
lan:t que modif icali and "un at.t.ributaut;.re qu~ 1 ;gte,ndue sans
"',Jul,et.
p.,....... fa:
rédtd. re l.à di ve;rsi t,ê, de$ sé"ri.e:..s;el cf 'en li mi ter ta variété. Par:mi
n.ouvel iè du monde et dl.1 ,foi sonnèipEt.n~ df3~ coul é,urs f3t de.s. f9rtriès.
troublée par les illiages qui sont comme "de minces làmes dé ver're
witt (et d,'eJ • Hüdc1.eJ s·u.r' l~s rentes vi sg€!'r'".e;s, de Piri~rré Fèrm'sl
p'a'tce q~u ;'ell,é l ' at'franchit d~s fi c:t.ions et ÏÏl~.è des. g'énéral ibis
qu.!. lui SOQt lié,s: délta.s s.Q.nù,sa.e 'rest.reint.. (2.6) • Cette (~orctJ
dèvaH:. @lr"'e app d~hendée al!. moYen d_e Cbncepts qui àpp~rt.jennè;nt à
jpsnière
celle de lénir ëompte ,tout à la fois d.e "l'oeil'; (c , èst-à .... d'ire ,
"Il fau't. rem;:;. l'qUel', éc.r i t eneff.et Abraha.m Bos~eji que l 'oei l peul,
()u!r,uJet.·ô <a3l .
~e;'r\t!'çôur.. eè~t~tï'lpl •. r·él .. t4ànè!ilt eg~) èftiertt.néç~$.I!i:~t,r~pC)tir
que .0 ;est q1.i, ~elle repre~êrit,~ ft h34). Car "pour ~or'lnlii:stre .( ••• ;
i(Ïc:fj.-!ferèmment cf'où que ee soi t; 'mais parti cul ier'èl!l~n'~ d' 'un
qu "on è,nt.end qu'el1ff$ ayent e.rtlr 'eLles daos leur rel 1tt('" et~ là
PEt·r$pEj~t."~·~.r
aü;t~.,t.d 'ent;ftésê1:I:;f.!';rènt,fltf:!· m$l$~t/to,tt~@lt!~t' .paé~çi"c.f~~!3..,bâ."s:l~,
C~i~ dé:' l~ Vics.,ton .fiôm*'~r~l~:, ,c;~$ .tr'6:fs:p~tlê.$s~aV~r:'é.,":~cQnst;i,t:\lèr:
p~rspeçté\.i.r,
. .. '.. .' ,.
1 "oell"
\< "' ,"'.' .
;pratique
i ignési
. . .,
t,r6J.s:l..·ème genre.
de c~lli:i
d~n$ 1 'etëndu~.
l·autl"ê ~lors qu'en Dieu, tout. est Un.• Et c'est ~in$i qu$!:Ie
"dEluxieme ienre" porte, neanmci ns" 1 'e.mprè.i nt.e de notre fl'n itûdë..
dè l'intuition inlelleotuelle.
séra,lent
·ap.,port'é,$; -tic r.é. s
.hAN'IEREt1NIVERSEt:tE·
• "',' ' •• " .. u · .' ~ ~,. ,'. • •
donc
et. du le
::onvett'is.seüt- dumultipl e. tilt d.e 1 'un. Dliins l~\.1h i vers ,argll.èsi en,
,
b·,.',r,'l, ,1,.1,',.:.,',· . :., U,. c.'".o,_,' urd."U," 'ê ",. : , , ,
r,.~.",
l;p~çfre
eA~l uni.que
dans la. n4turë; q.i,iec.ët ôr.drées'f. fixe:, 1'illltl.'hle
(loutes pr.opos! t,lè;ms d, "où le-
q\l'pn
14!tc,tél.lr'
.t
t.f'QuVè
ç.oncltit
de-
C{u'~l
.qu.
l.oii,s tt (56}.
sachions 'nous!:Oe.rvi.r de. no~ sen$ et f.airoe sU:Î"vant. un -ordre ed: des
chose que ~bü-s .,? tlJ di ons l , â t in cl t en lof'crêt' 'ènfi n, selon quelles
b'~C.l.,
'-' --\<, :pOU1~
,
"1 '.r:wigine ci D'--
"
t'Out.es choses" (064).
((59) .
l'esprit
, '
:parte
Cnull a
.r;léta-physique, le TRAITE DE LA
quI
·cb6.s~s .
Nà;t.u rae leges ••. ~ (83). • L' "'ordrê de L:i Néitur~·i S" avèrent.
con,nolal.i on
,pe.t..,~~ti;tù!") .f84r, >"ê~!>'ùit.~·d~ :q~6i "'PuS,m:~lt;qnSê~ ;élval"t:e~':qul
f pl,S,." (90)..
qui fa'it s'ichân.er tes ldéè.s dù mul t.ipl.è' et. de' }·un, t.ire sdn.
pèr$pe.ëti Vf! la
Parm,i:r.?st.'Mè:~.e,s .q~i y,sènt ··p,,~.s.~nt,~(?S'~. ile"l~:st 4.Qn'~ ··ric:),~sr.avdns'
du P~cte" C10;3.J t.
l:ois par et
..
t:.
savere' ,
. en
la loi divine du
d~t~:è.,
t~$ .161'.$ h'ur!lÇlin~$. l?iôn,tà là; loi.d~ DIeu, Qe que d~$ vij~S:
le plus
p.sdutout Iii. ,Parole de P"."a que par colère i l Jeta' et. brisa dlil:
obéir y était. écrit, .ais qui, alors q\,1'en ,adoràntun veau il.
saintet;é" ti09).
"J'aJou,tel. êont.inu~Sp,i:n()za, qt,te si l,'onavai,t era"50i, ço,,_. dit
Ç:~Î~r:tPb:.ç~$.s~.r'.:i t d'.• c:1o'l.r, la 1.• tt:r • • t Cie· t"nt ..ie. t·c\. :J.•."~iII:I:'.··
•.OriSÛJ ètnt.libL
~, • ,- ~ .' - • < '. - • : - -
et
, . par q'. u·;·!·····l
~: j -'
"Q\iand on. dit d'~un~ chost!! qu! n'; •• t. p4,s Dieu lui--..... qu '.I.1e ë5:t
l_p .. role de .ôiel,l:~, Oil f!~ténd pro.pre..nenl ëette lot divine! dont
rt.ousavons tr.l'-ê (ptêc.'.dèlllllent..' (., •• )j etest.'-'i,:..,cilre lâ Re}iâion
'. lO et. s'ü.1vants), "oùe$t 'en$êlgnêe la vrâiè man,i •.re d.é vivre
qtLi: /r€ consist.ep3.$: ~tl cér~,mon:i!eB 1 maLs è'n IÇh;;irit.& et en
[H~u" ct17).
:M~J:s ,p,rêç;l.së 'SpJ no;z,a., "lé mot. êst È!nèore pi:' lS P;:t.,l:.,~~t.à·phore pCHit
l 'èrtdre m~:mede la Nat.urê ,et la de.st inée (par.ce éru'-i. 1,5 d~perideJit
"tout ce qui a'rr'i "'e ), arr ive pa.r 1 a vol Oh t.é ""t. le d.ê-cret
hiE.'o q''U 'elh:.5 ne n01.ts soient.. pa.,5 tèntte;~ connues! une nécessit.é et
021},
ûsns un ot'd!"E' fi~e et. immuable" Cl22) et, qUe les loIs <Jtd notis le
l ' lofi ni te de DislJ, son étEH'hité et, .son immi.ltabi l:it é : C~E lois
autant
mÉl'me Ordl"e ou Ls!Î ve·} une seule et. m~me çon'pl$xion tfesé.;it\se;s,
chose,s 'fsequi f
S "~nsll i"ian t:.) les Unè,s des atd:. reis" (ETH. I!,Pr-cp, 7 ,scolie)
28; CRI. TR. II, chap. 20, pdr-ag. 4 e+. note?' 3; APPENDICE, chap.
2) (129 )
LIrJ don div i ri .f· ( l 3 Q) Or Dieu "n'éxige de.s hommes, p~l" le$
S.,Q.n.t tels qt..LE' ~es hom'mE's les ?vissent imiter en suivant une
afn.si quand on
'L:; "''\~riidè <:'ClnnaJ.ssance df.;' Dieu j. { 137; qui est "un dort di vîn"
en soi ,i
çeJie
nattire I l ~.
.,
TRAÎTE
THEotOGICQ'-POLITIQUS.
on le.s
que ], à
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Révélation est la
puisquE'
lE;!?aJs;tr' t,OUt.aU:5Sl. b.lè.n qU '~ijXèta'ii~,2:utié ~,~i,tit'4d~; ~g,t:Ü~i~
,." , , . ,
oe s~gnéSï;
peur t.elle "parce qu'i! est dit dans S~m\Jel Ot chap. 3, oE'rnler
ÉT D'li NouvtAu DIEU APPf,fWT ,.. SAMUEL OAN,s SILO, CAR DIE1)
l t~:pp~titloo d~Dl-é:ti ·il· :Saimu~ltti6h5ista;,setd.,em~nt ·ê.nc!;:! qy.~Dl~\1
;or· . • "f··OlS,
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cotrc.ll); a.ü .5$1 dè ç·é qtl '''~lle re:prodl.dsai t la vdix ci 'r;~l l. ;
br·ul t
bruit 1
pensêe
Oeutéron0m.ej d'oi) se. rnbierêsü.lter (püisqWé Dieu (3. parlé une fois
r~·en.ë. Ca.T l,ies.tdi.te:Xpré'.':;sément-CD$ü t.~, c;hap.. Vr v. 4J:bt~U
VQ!JSA.PAR~EFAÇ;'E· AFAct., ,~t..ç.; c·"~,st~.à-:"dlr'e -. cbm.rrt~n~è>S;l~inozé;a ...
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s'us
J' P.I CO.NJW, nt:ù n.S' croira. que la btJuchB connu ,. tnài.$
EriV€ri -t,& pr'e,m.ar<;lÜ~$p j, rlOZ~ t "la t-jjlÎ'é \i ê fée ~MQi.5;\= e,.;,,} j"j·â.
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El i l C'Qù-cli.d: f.ac€.> ,
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ca.ract'ér
. . .
isentf1ot,sf1c
Or, dans le tè,x't.e biblique, on lit ~'APRES CeLA t'fOISEI,; SERV fTElIR
DEl' ,JEHOVÀij, MOURUTLÂ, DA'NS 1.E PAYS DE MOAB, SUR L' OR'6RE DE:
.1 OUR. ET MOISE ETAIT AGE, DE. C'ENI-Vnm! ANS ~UAND IL MOURUT. ,S'ON
Ft,lJ. Ar...o,RS LES fILS D'I.SRAEL PLÈVRER:Ë:NI MorSE DANS LES PtATN~S
ÙESERTES 1)~ MO,.A8 PENDANt T:R.ENT~ ~rOURS. FIN:ALEMENt LES JOURS ûËS
PLEURS DU tEMPS DE DEU,IL POUR MOISE S' ACHEVERENT" Weut.", 34: 5-8} .
E.lpl us bas, on ll,l "J'tAIS IL NE S' ,EST ENCORe J Al'1hîS LEVE EN'
J·èvoca'l::.ion de dans
aIP~4r~f't .p'b:u; ela,il" Ci~É! la'h.lmlèt~ du Jour q,ue leP~.n.t;at~'Jqve 1l:'a
pa'SÊtt(! écr j,:t pat· ,Morse " ( 2,1.1). lj;$j~gl-tdie la vlg.u.gü1,;' \il t àl.è .(:tt,J:
prQphè,tebébrêU.
la
î,it'üres,
(:e~.oltde .. :~p~
p.,rt.i..rde ], ··Uo. ·Soo lélt ll1 Pti'v i~s;t l.a fotrD"d~. ·"Uni;.lnL et. j.·tfêfli 'ff,S:t;"
. . 1
monde .et. torm~rl.in~ 'sQc,ié.t.é.noLivèlle, a~t.r.~.me,fit .dit èon$tl~uèr '\In
, .
âls.3nt:J ~ET nOI'JE: SE!RA~.ÏAVÊC,T.A;~QtJê~~'f;t JE:1",ÈN'St:.IGNERÂI CE:
QÛÊTUPtVRA's DIRE" f/E'xbd~,.4fî?) ''-' $pinpzéI,falt coi'rè$J)ôJ'i,dl:'~
. .- .
I:ê
Ct:\r·{s.-ten t",nt qu',e·~()u.ç:h.:i· déP;î,~.Q., ,[teè '('$l~ant j Li~l~;t:ii :it.. ' tin
s:.)"S lè",e d~corrès j?o il Pat1 c~,sd t,I al, té s~
~pr~p~l~l~$~l 'le û,t:Ët~Îi;. s,'t~rlÇ,~ {,po, 'Ci~é' .)Sar, :r-~p t~,~~ ~t~#lë>r.a ,d~,fl\.:••
}~e::"~l'~ê;, li;e ,J?tPp t.a:.te, i~.V~19PP~f(9U.xpilq~e)d~nS]if',;tR:A,itÊ:~,
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nou,$'~e"',ê'C""t:~a.S,r.,ân,":"ê'Qi ",À,,"'-
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l"Et~ndue).
· .
3;28'
a.tY'JV;NDE'ONVERAND.tRL~VJK) (231).
QÛà,.rd dans le t,oURT TRA1Té: ~ Spi'noza Pétrie del ;f;·tènctl.&~, il l tiSf? ,d'u
qSland 1;1
1 "Ete:ndue> •
. ...,
TRA'!1"!· La
.$,eront de.cr i ta pai'Sp i noza l' 1'01.1 i' l'Etend:I,1?, t :mai.!S s'uss.il:;;i en
Got.tfr iedWll helm lei bnlz CBerl in, Wé~ dmàrm t 1875-1&99, vol. 6)
L Ibid.
). Ibid.
17. lbid.
18.. Ibid.
19. Ibid.,
(' i 782), êit.épa.t' J i!;?~n""Pler.re!LUl'1INEt l..$1"tOliS nqir1!
)
(Paris, BelfQ'ndlScl~.nce$, t987. p. '54>.
33. f'bid.
3;;. Tbj d.
36. Ibid.
37. Ibi d.
ae. Ibid .
39. Ibid.
.Eve.
., ne.n,~n$: ·tJ.·.es,···.',Rellcôii'trêsd\.i
' .....,. , " , . ' ,... " ··~n,·Pla., fl.6.3.'".9')',.·.,·tn·
',.'."t'one,,$,V~ç.
.lA
~,~.'.
'l,ch'"
" .. ,:1. cf" ..
55. Ibid.
56. IbIq.
lbid.
· "~-.
··65~. Ibid.
>1. fbièl.
69. Ib~d.
lb.id .
'0
p~~agr. 103 <p. ~S) ';ëx.p.~Unen~ac~lrtl,s ·l~,l.bt,a$$t.. Qrd:in~
lnst.it1Jtum
paragt'. B.5 (p. '73) an i ",a,ms~eundUtneèt'ta.$ lèg~!i.a,gentem,
de.bet
dans le !.R. e." ,ph.argé d~ une si BniC! ç-st..î:on 01) en'tre l ii dee'
,
al. 'lbid.,paragt., 10j; (pp. 84,'-80) ~
92. Ibid.
,cp i 144'.
1 05 i r bi cl • (p . 167 ) •
i Il. Ïb.id. (:p.~ 22p.
112. IbId"
11'5. Ib.i d.
lIS. Ibid.
i2~,; Ibi.d.
1.2.4 •. 'Par dti!s Hodès irifînis, et. Çles lI'loêiës fînis exlsl.Bo.l.sel r:oh
encore ex.i$téi.ht.s.
~2'7'. Ibid ..
(p. 3671.
16S) .
1 3 1. lb id. ( p. 2: J 3) .
132 . l hi d·. (p • 2. 3 4 ) .
~33. Crt-. Tr. l.èl"e part.ie; Chà;p. 2" par.ag:. 29, in APP. 57},
Ibid.
153. Ibid.
i'54. Ibid.
tS6 ~ Ibi d.
157. Ibid.
158;; Ibid.
1.59. .Ibid,
'165. rbi d. Cp,. 33J.
f66. Ibid.
1,67". lb1d •
..168. Ibid.
~ Ihid.
1'77. Ibid.
t78·.1hid •
.179,; 1bl d.
181. IbId.,
184. Ibid.
ï8S. Ibid..
186. Ibid.
.' .
fà'? .Di~ti se sèt~:it.é,àlè!~eht r~vèl~ de cet:·t~ma:nlèr~. Â'P •.v:iî:f~ ,t:fn
1 !t .,p •. , çhap. l, p.13f),) .,it.se .s«;,téJl\~t~v.~l t!~.·~p$r."·c;f~.si~~g~·!1
;c:t.p~HJé~antdêUI .sè.",l·è .t*P.'fi.rt~t~6n "'.a.Josep.h ct ~t,~P •.,di~P.
t.,. 11 .'36) ~.
192.. l'bid.
'193. tbid.
In VYLe l (p •. 362).
201 ... Dans lé T. T. 'P. ~a\,lx .chàp.i tre.s Cl; 4,.5 7et'
.2.1.LI hi d.
L~P,è.n~~~Aijù·4\Je e5t c.ompo$é •.ë,otftp:îeonsait t ~ëiS. 5pr·~~i~t-:S.
Oe.üt;érônonie) •
Anv~r:'sl.
2.15. Ibid".
216. lhid.
;" "
22J. ~bî:ëf.
2:~&,. lbia.
In VVL. 2 (p
·····~\2~,r
'~< --,'> .: '.~
. . P~.,i.~~pphi.~·?· .·Pà.f.l~., ... "
···········~:otttQn ".,:, .~'~J)()~je~.~n\:·.ljb.v.~~t, · ·:1.9fÜ;<e~.,'~~u:t.ri~.~·:\:;#
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.. ePritlt;i:p~de ,dti~l,:i: tt€tri:lt~Vés;Çl'Plénl' tu'declans 1 ·E:.fH:tQV~
l'î.dee. de tH~u.
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THEOLOGICQ"-POtlt'lQUE
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niatd(ès,teJriÊ·rtt .Sptno~à en .. e.xp'lot,é l~,,s~cf~J,i,,t V!:!T:$8!'lt,s:; !ilÏ'lc;" dans
le cOr'ps(:te l'c;)~"r.agè·~ d?Cl.ùe,st àbse,"t-e 1 'Td~~ c;f'ê ,Î>:iiéu d,~
Âprès avoir a,Cff rm~ q\,le ··t, IDEENAI'T D'U'N OBJET EXISTANT
REE'LL'EMflNT D,ANS LANATlJRê~ (~) 1 Spinoza écrit. "Par où nous
l '~me ·e,n gênêral t ente.hdant par là hon ,seulement. les idees qui
n.et.~$$f!,f)~, d~~,mod~fi,cat.i 'or\'$,çor",pore.lles,:lIiafs aussl ç~,l,l;squ~
è.st
elle cO.inti·enl fi?n elle aU,!isl bien le.$ essf'!:i'lcèS objectives d'es
çbje:ctives det.ous les at,trfbùts d01'\t lènombre é,st, 01') les~ i·te,
1."(1 ni;
niy
t.ant. que n ·e,xl stant pas sans q~ 'i l Y ait "dans 1 "ldc!eauC'u.ne
conçue
et de repo~u (22)
Au poj nt. gui mopéli..se l ' Idé~
"1 • esseilce ob.j,ect i"'€', qui d'ans l'attrihut plS'n~a.nt 'G'Qr:l:' espbrtd
l ' td~e (de Dieu) dan.s la ,p.ens~e'J ~VEC les essén9'É's torme'11es ,de
toutes ChOS8S 7 et eh particulier
de dlJ8 J. it~ .
. ;
.d " "'l.1 n è';,
~.
,'. e.'r.'t.':.
. . .; ~:,
çr· .. fi!Pr
.. ","
. . .
dû
l'âvons: YU (JO)
~ricorE sail
qi) '.î 1 sait qu i 1.1 sa.i l , etè .. ;! (32)" déclareSpinozà dan$ l etRAtI~
1~è5s,,'I1ee dutr·ia .....lè 1.,1 .Il ;'è.st besë)iri dé: c6ntaattj"f;' (;'.,11è. ~\.I
cetcle'" ta(4).. L' •• sên<;,· ·èh..t,ria ... ,lè d:ifr.re, ~neff.t:,çlec~i]é cbi
ë'er~le, ce.quî n '"st p~#iI :r. e.$,de tild~~ ··(!t.çI'e 1 'Hfé~ de.. l'Tçf~e .•
certi tude de la vér.i t~ '" il n'e!it be$o!·n d' aucun.,'U:(:;re .Isj·gneo. que
l'idée'..
l'tdé~ dELt l' id~è avec 1" id4!!·e., c'es.t-à,..dlré coinei,de,.ce de t;oût~$
'" +1.
"d'.IUt
• de,
prinèipe 1S,i. ~oiflcjdencè de l ' idêe aVeC l!' idée. de l ' idÊ!~ 'e.t ~. 'il
.>()~~.lh~~i:~.t.e.rlçe ,~'unê~fçl~e'91'li:qJ:~ f!tt'p:~I'f'al~,:m~ijt;~lji,pjl.'â~:tJtt':~èi,
~Jtê,ittt'qüte5il~s Id~~41', '1;1 ,,,,.~1'tF~~êf.~'qu~11,.i~:~~o,ff:~q~# ' 'h~~',
·,eh9,,se.!!'~~n#5'1 '·,Êtr-"i f·~ê:".lrçe,'èi~l,~ lf.ture~, ~~t '. ,";.\;:r~;':ut,.iq~.;~
~r.rib:i;"tiqu.i "~$tt;o\lll~\~t'r~E!t ,ènd~!tèjr:s, f#.uq,ci.ll' ,11: ~r,!jia
, '
j. "obJ~t; de memèquê.l q,w'un qui .sai lqlJ~lqüe ènos~ sait ,:par' cel.
ril@rrîè~ qu'il le sait, et. ,1.1 sait enm@.e temps qu·~l SiI:i.'t q'\i'il
lerbroi'.sJème genré (45). Toutes' .les i cfêes cQi.ncl.clèn{:, ,dans l ' id~e
de DIeu., Dteu formant .!~. idée, .de son ê~s·enc.e ét. de tèu,t, {.omni:üt'l\}
D.ÊL'EÜZÊ:
..... _.' .. 1
ï~s 'IJni.;t,,,.
.' ':r
TRAItE ~. Iln~ tlQu$s.,mblepjls légltirpé q'; i~èntif'~érpllr~me.~t et
simp~~ftieiit, cÔ.mme le veüt Marti.l GUEROtJ1.T, l'ènt~l1dem~r"t infin.1
et. l' Jdéi:! de Olav (,50>.
de
l (è paral1élis.nre des. AltI" ibut,.!h le paraJ lêl1srne n' est pas, cpmme
dans la P~.nsée et.. cié l '·èn'chaf:nernéol des choses OU P8\Jsës d8n~ les
t:ép.1-iê.tto~ :,dë ,;l;':td.~e· 'd'an$ t',~n't~.r\èÏ«mëf\t dE!OiéûJ)~~8:.jipi;i.ç.llQ,rt,
duP .. r.,ç !pec{ '~dent:~i{e.
,'.':.: '
.,,~.
1~ sy.st~~é ~r~ué~ien.
qu'll soit
1âf' 0 is U ft ë i ft { i ni té H'( 59 }
.,
"ente
,
(66,) •
.~,li,ê.gêlr.d d~~$:El{.,f$étions,dê 1',Am~.;;~pin6zaappo.rt.e ~y,:e:pT~~:J5h)"
lëurs
façona~~quate'.
son tÇ>urpéir un élutT'~ mode et. ai rrs i l ' infini, dé façon qUE!'
constituent. l'éhtend.ement
.flit~Ul,,,~t.~meQri.$tftliant) f7$>;,
Et invèrs,èment·, la ;p.rt aç~tve dëto .... t.e!l les Am~!r, nos ,Ame$ dQnc,
•
en tànt qu'elles '<::!;)nnaiss,!!ntet .$ontu.ri mocfé éte,t',n,el du' pens~r,
dë
Par ~e Prlnci p~ cité dual '! té" SpinozaCai t, de l' d nf.in i, uo ~n!! n1
.', ,
.q,uJel'l$uitnéee!'lsa:1:r~ment (8;) .•
fll.es ,,,,()des d.e chaque attrlb!Jt ont pour ca.ü5.e rHeu c!,n t,ant
lIIocfes ·et nO.n en tant qu' lIes t consi dé",é sous Ull .ut'rèâttri but ..
éI't.t.rt:but..s d~ rHeu.
Les JttQçies exis,tants dans lès at.t:ribut.s .de D.leu n.e sont Jamaha,
1?1'~ij<,entant:q,~.'Qll )_ ,éori$~dèr. ,( ..,,.Jçft~.,.'m.rii.r.cért;.îri. ,.t
d.'~f1t~Hté."~Q~.s t'u" cu l'.utcÎ"e tt.e.e~ ,A't*,'r'fb,u~$ f$6}.·t.:s .odes
.exl$tarjtcssont,qohe icequJEf$tp.rçude, l '~'5~eAc. ~jD'lêù \.,
i1at:uredivin~ ( .•• ) qu. Dle:u iformè ufte id.e .ci.• lut-m,@.e". i.lsu.it.
l~qu~lle i.lf'orime une id"., dé lul-II\'.m~·· f89l. IH~u {:o.r~e une id:e.,
et. ét.ant.
La ·si.anille.tion de ta
l·'ê.xa~ën dès oêc urre,nCèS. d\A. ttU'lIlé dan$ 1.' EtHiQUE C92J. de ce:l1e-'!
""
( 1031 , .-lor's l !A"''' reàârde 1,.$
,et :jj()ï\t.di.t.etmi,;~e.. j1i~is~.r\ '.t ~I '\p,-Qdultèq\t {yl'qut!i ·~f:fèt·paT~'lI~e
ll·.J$~l'ihi'tni.~. e.~s.~," (~JiS 're'jp."ês tlêçe'$s.r·l:.s ë.J.
;inte:l:l:J..~t, ·,t't.'in;f'~·ntto ç.~$.r·1Îft"'''~~V: ~_t.ë:t.ll.i~"'J:l.·d: ~·~r.tendu·~:
et ,op:.r·~"du~)lfÔS;,.,C.r ~~PëèhQ5..~1*,'.uli~h·.~q'û~r~onqu'_~
<109·:). Et "è~t,te. é.us~.t' j,56ft, tou:r" ou ce, 'ftlo:(je~ .. d'a .u~sJ, .tre
déter."dnée pet ~nf! •. ut.ré 'q't.d. ë,St..:. au,Ssi fi,n:î:e è'tà ~n~ exi'slfH'IC:ë
',: . "
.LQt ..'~.u •.. ·t,:,~AiD,.n". ·P._' l'l.4.ê!~.·tfittu,,·· f:).~·. • ~'~n· j •. p~~.' "',,e" . '~. '~~'~'.
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. .
·ri~\ls, .• 9n:~•. iin~()À~~~'" ·4tl.Oil~.tf."fctl'r.....,.qt.f_)J,.tuft!j;~f..; .. ~~q,t~~',
. P~{!l ••1'1è:fll·". (·li:~lt ···.t.~tlj 'eç;l!te.teri41".~"q~e;:tQ~tê.sch~a • .ti:.(:,.,t . >.t.,'
'1,S,,.·Ift~U;y
. . ,-
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.,·~;"":t;6t '!I~r' ·l·l.iiI:.'ln~t.i.pnqu:e ;51Jrî.,; r.il.Tltê ·(t1..f~~ ",
J.orsque.pJl1"·· c:Qn~r. f i j;~ê., recon.,.tt .• n.. [).l~ù; 'tii . ç •.ù~è!r·de tQùt..~.
t..o.üte.s
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;~Q;Ü:~,ltS,)C'h~.ttSJ; ,~~; :~pij~.,~,~ ç.",~~.s~~,s~ l,aca.lI,5,e:,pèt&.t t ';A~è,q'~t .•
;çttt D:~ëu ,u rf~ Jd~:.,'#,l;âi~~.;: l~,ICt.ede,.,U·. ije!i~ ,"S()UC:h~"'(JT9),.,
ce
, ,
.r;:r;~~t\'!l";.:dûq)'~l:' .. ,f
;~~;f;~·:hi~~(l~:~·:;"iii~t·.r.lt~,/:~:~âÎfÎ~~;.:,:r~l;l·~5·~m~.~·S;i ····~4!~·>.(:,Qr~~~~,~.~iI;~.. liç~,·s~;
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dâns. l.~, cf~p~nq~nc~, de,sqlJe,llfitssê ~r'.Qt.tve l.~tiat:ur~ qtt san$, &'t;, qlj.j.
le. sB.ng ;toos eh effet ,sont entourés d'.~u,t.res .0'01"1'5 qt\ î agfs:se"t
d 'e,c:islence
.$; 'accordant. avec u,n tout. etC:Q~me .1 ieaux aut.res partie,s" nsu.
e.t
"~:t>$~l:l,i~i <q~e··~h~c\tîÎ~. dt?s p~:r*,l~,Sà,P:Pji(rt,i.e"t. j~, ù. .<(lâ,ttJ.r.ed~, "J~
'in('Îh it;ê, J aNal \J.rt? ·'t,O\i t .n~j,.r.e, lesp(u'!ji~~sp@I"'t:;i ~,~l 1, è,{'·. 5 '.
phLi.O$.ophiè qui a le
1rês nouvel le, pâl' co.nt'tê.; est la d~fi ni tidn du rappo.rt d.e
lprobsblemen.t rédigé vers la, tin de l'atinée 1664,) et. dans lès
d' f a bord"
~i1s~i te, péu après l 'APP.e:NPICE, tous ces textf!?$se $U:l van.t
f>robablement à quelques nteii,sd' inter.vaJ le dans lié couralî;.;. dé,a
":3:;'9,4,'
.en
l'8me d\l
i" •
1"1110,5;1. , ~'ql,land ies dêgrés dg mouvement ët de repos ne SQtJ.t ,pas les
qu'est. tés'_n t i:ilie nt ,nous po\.tVQh,s voi. r ... f·sêtménl cOmllit!nt-ün. idëe
r;céfl.;,tlve; ou 1..ac.onn'àis$anê. d. nous-~f}lfte:S.; 1 '~xpéri.ncë èt. lé
mê~i,ate .•
ph.llôsôphlè de S.·.··p.inoza·
... ' ."
Pans cette NOTE 3 .<.173) èt dans L~Nbt~ 4 qui lui. fait. suitè
qui n'~ait 1 leu atissitet c(:ans l '#m~, cela. a ,PQur' effet que l~s
mai.s cpnim~ pur rapp.ori tnathemat,iq!Jé. Car", si. Spln,Qz.a ln,!r.t$,t.è? pour
DANS LE CORPS SANS LE;' CONCOliR$ D~ .L 'UN ET dlE 1,' AUT.RE'· Cl ?€,)
"... .,
ë,ltaqoefoi!> eh~rige :r. ~âiïl~~ tttel. A;in$i; leftlC)u.v~ •• I'\t. dont ~,$t;
partie dü et
'. "
qt,iélnd il
~tait. un enfant non encorerié, ét. ,pat:" là' ,s.uite.. .àprè,s flott.è
If!1$ grahd$ seui 1 s dë l'a ..,le se. rédu i sE!',n't, dans l~NOTE 1, il là
iJ1'âVés, êtc.,).
daO$ la, çhQ$èp~i'!.$~nte.l.lf1ë çQnh~J.ss~ti~tl.dè not"tE!: ~(jr.ps 4P~~È?.s
mai~ il n'yen ava.it .pa.$ moins dès lor"s, et il .nt'y eri. a.ura pàs
etq .., doi t.@t.rë Q.;in <:0 la chose,!i pen.s~nte (idêe qui} tout
est
la murai lle èst toute bl.. tlehè, on ne ~i s.t.ingu~ e,n ell:fl! tLl,
qui ~t.ai t.sans dou.t~·en C-è:rrë cè 11..11 d.\J' Collège Invisihle: lorsque
tl;gl_e$cfec;~.lc1.d '~rire~~!~q~.,'nt'·,q)1:jiJ .s' ••-:i,t,. C•.. "y ~oripa;s t_.,l;
:d e" " •." . . cf" '.1
'h ' ", 'm.meS,~$
,e,_an.(;~s d'" f"f'é'" . "."
" ...r·.n_~s .·0'ntantes
,~ " .., m'... _.' cl
"'105'.' . • .1'"
eUT. ,";a,',ft.'"',
,.'..,-..,·,Qrt..·.
,. cI.'.'e',:.,'
" 3 ce
eo,rp;s et 1 's'me s.eront èpmine .1105 sont ae:t\leJ leme.nt..; soumis
.-.~ . ,
la
d'épasse là limite de 1 à 3,
.....
pè;r$uader qu'il a Jamài$ ~té 'enfant, fi. 'il ne ,.,~isait d'après. lÉJs
i'n~erirlédi aires j comme le passage d:e l'enf anèea 1 't}t zrl ao\l1 té ,;Q\1
.:cq.p$~,.v(e: êso."iftï:•• r~'t.f!!,
:eorrupt;lofl·q;ij;iê"",l.oPpt;·
SQrl
de la de. la
P'recfsIbn
................. .
diDE$AR(1).ESëtc:teleu,t .é:.QTQllâi,'r~5, 1ït
"
.ëi;enc·. "oûv~Jtle âJo\.ite.
1.••• ttr·îse di!ts,r.dàtiQn~ ;je la lumiè". :p.rHICcol,lle\,(r.!;. ':artd'A
·"tr.:î. ct ~eOn$:Ui.t..":,JU$~~nDëlli, .à .,4$ ••"" 4e '''1 'éçtàt..dûl!l~.a :l'ira,,t;i
.o:l,àpl;lÎ;·ssan.t lumin.trÉt t ' à ,il '·op.scut;i té d •.s plus: forf;es.~ Jrafl.diEPli
s'ordonnent·
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perc;;ept~blé
(210).
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~ân~qu '~ll~ ê$t~9'mpris~ d.tls l·idéEt :d\l '~~l"çle'" f:E'l"H. 2':; ~çQl lé
tle, lapf:'ôp...8) ..
dab$ 1 ;i.dé. ifitin~. c:f~ Dièu dé l~ m.',iiu! f'iç,on q~e les è5Sê~~.~
connexion dès idêes sont les mthilë.$ Ci~è.mest.) qu~ l; ori;1re èt.La
,ce qui 'c'oneerne les "odes .non encore elcist.an.t.s dan.s lès Atttibuts
l 'exi$tèncé d~s Mode.s pàr'att chapgé, .Ç: 'est. sitftpl,è~ent parCe que.,
dan~' l ·~1'tllQUÈL~ 1.àp~r.5p~ç,t.ivêe~l :n!ouy~11~ ~t. q.\îê. l épçdritd~
Y\J~. élVèc l ';iqië ~e Dl.f!.u, è~t d:Î.ffèrènt.
ê~erriell e et ''J,nique.
t,.. ,PE:LA CONN/Ü.$,$ANCEDE LA-N~tU~t CONCU~ sous L 'A:T:rRI.B UT
. ,_J' "-
L',Êt:ENDQ E
.il1ust.r,er ta.: façon dont. les tdées, des ,"6d~snon enco_,"Et ê)Cistân,t,.$
ou dt.! troi,sième.
de t-oule slItTesénsat-ion_
de connals:sance,
è"'es.t êhe.f!,~~î 'Opt.JqÛè Jéomettiqueqü~ nous feralç:l'ènt.:if'ter la.
couJf!ur pure .~. \.i11rappot't..de vi-t.ess~ et.èfe lèntèur , e t é;- "est
elle qui hou!;' e:ns~.J gner.a .8 ëënçev.oir tous les )::,.hênoÏJièh~s l umihêQx
-t.P'H~ les 'f'Elflèt:$ èoloJ"ès ow
é.n tànt. qu'é;f!~ls d~ là Lùmj:erè
'1 'at.t;ri but Et.endue cOqi",e pelan; on. pla'fl étique 1 cOrrespond dans
l',èbre
v,i ennerd;, , comme on !liBit" ~desobj~ts si ngol le'rs qui n,ous sont
(1253), "Un sold~t,par exemple,. ~yan'l "u sur le sable les traèe~
d~u n,éc.ttiti,.e. ·f'aç6n·,d~t ~ t'iii i ne.t:iëjns sÇ)n4t";t:ï.~... ,ri 9trf;i.pe 1" c~,pt.i ori
l "€hne~è coricevoi r:' l'essence dès cO.r'ps èt l ' eS.s~nce. dt! sie.a
des. couleur,s qui paraissent ( ..• ) nêconslste qu: 'en ce q\,Îe. lÊ!s
lUm~ èrej tendent àt.purnoye'l'· avec plus dé, ! orç'~ q\,l' â s~ mouvoir
pl"ojfi!ler' sur u.hplao le. spe:.ctre ~,trt.i e,r.' des couleurs .t:tal s la
"'ré,j~~t'éntcô,mlilè
p.,.," ....", .' ".,' . ... dès,
c'
inlêl ,ésstimàti.·ües,~es
. , .•. g". ,.,"', B, :..<1 " ,. "".' !H.Qc:I.ès
,., ,., éf"'l'Ët.
..~,,:.'~",',' d'
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~orr:'espond,nè~ q;uiûn i:t ~ntr~ 6\.iX l:è,sHQdés dt! la Pêhsée Eit lè~
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déf'Jn'1 ~ i ohrr ~envé.l opp~tffn.'E:>:)tp.t'l me. J'ama,i sa.\,i c. u nhoiPÏ,:>.re ' détoe f"1Il1.nê
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salt ra :d 'àu ta" t tnieux hitA?t'pr,éter que- sQQ de.rè de connâ i,$~~'lçe
es.t·p,l U$ ~levé,
P,ou.,r taptèmi.è.rè~ les. ,ph. én~ll'i~nlIs; dË! 1?, Natûtesont ,dês~'f:t~t,$ .Çle·
~ê~t'~ d~ vites'$eet. ,éi~ lenteur dont .$ont atdmêes lê,s par-t.iês q\l.i
..
Qut::rè l~s Ite:~les :d.~ la$r'aèÎat,:4,ôn cf~l ',ômbi"'~t!'t,. d.~là lUJii:t~r,ê". lès
Pans ,son dernIer opusç.ule (2'71) 1 ,$p,i nozà ne folJrnl t""'i l p,as une
cdJ'r$~;'st~,
.
:~.'.' .
.;:·pt~hdt~~~:
. ..
.~O~pte, it-Ç)t;i1:.Ëi:S Te.sv~rt!io~t?'$; "'; t:~ute,s;:l;.$'
ôèC9n!Î'lsJssarice , ç'esllli i ;
.1 '-E!HTQ'uE, lêp.r"incipe ,,Sulva.nt. leq.uel sont ,régléè$:. les: .ch 0.'$ e,s. de
l 'homm~ ~ J;~s:gence d,~ l..a< iStl1:)S',t:;aflq~é·ternErlte É?t :.in(:~ nJ~.• 1;:însf,
Pen'see
, '.' ,
SpindZ~ \,l,ne
"réf,orméè :pa.r Sàville èt par Hobbes" (2:791, élU li~u d ·une autre
lettre tXIV de Spinoza â SCHtJLLE;iR di,t. hien qUt? les cho!$-€(s qui
!( "
cet Quv .... agec ,è1: d. j autres, qu'i l sEir:àit lrqp l6n~ ç('è~a.JÎlinér ,Lc.±._
de sônsystèmè.
.COlftlDè nQu;sl~~H~iQris.pl.ps haut (2'82J ~ëhez Sp.illoza.; liQp.tiq~'ë
t;roi siè'me .ge.nrè. ou Science int:ll.ît.î 'Ile, q\Je nbUs; voyons :enDt'eu
pendeat) (2J34).
nO\jS
La
fê8S> •
Spinoza
.' .. , elles
y @t~e j.o1.nte:s après coup par qUélqu,e éf'i.sclplê ...•i (AfP. :l,ilQte'
t d~ làp,. Z~l.
7. lbhL.'p.r~*. 1,0, .l'nAPP. t (p. t64}.
Jer,tâbli 5' jic~il.v-ir:8\rl.q'\u, Les écfl ti;ons en"'erlàncf~t~
italiquê$, d.ans
d'APPUHN •.
$. Ibid.
If.T.. tb:i d.
ZOo Ibid.
22. Ibid.
2~. IbLd.
HL, 34,;3).
3~. !.tL,E,. pp~ra,s~2.7 /:(·n' AI?P .. l (p.~ 1911; p~:ra~, 34 de: J'édi~î<>n.
1. l~id,
r
T. R. E. ,éd. K'O'IRE, parag.B5 {pp. 12 731
j ~ 'R'
~ ',' E
_ • ct'' ~J ,
:e:u.. 1."("\ve'E", ',," ,i:' çCi
:.Ç:\'v'" [';,' ,~,p1i:l',ag.Q ( : " " :;"
,pp. 6 . ~ ;;;;.,
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APP.,
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·.t,~·34··:·····
41. ~. . . ~
.>..... . .~ ,'.·.·H....
.1. '2
..:, p.y.:'''''p'~-
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1.58;. 1.Crt;. l'fc'. l:~ ,Châ~. t9\i paraI. 6: ,ète, ii'l,\,'PP. l (pp. la9
et 1*0).
2.N'9té t .' tél p..."t.êe du.Çrt,. 'fr.lI: <p·p.as '-57J.
3. Ap.perld.i: ée 1'1 ,Pa.l'."" 14" 15 et l~ fp,:>. 1.65 - 166"'.
• . 8 ..Note 3 au par.... 4 d,.ac h.p.2·O d\,i Crt. TT ô 11 ,( p~ ,; t39
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1163. P'.....
• •' . ne··:' p" h" e .'d' e De!i'C:a,r t
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C:p,:., ,t4,Ol:~
(p. 8T).
1$1. N.OTE 1, (p.rag. 1(H j del. Préfaçè du Crt. T.r.. Il'1 in APP.,
(p. S7).
.(;1.
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. '
(po, ~7).
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laqu~ll~tQüte.s 1~,s ·ê$$.ènc,e.sl?bS$<:t.l"vês des choses sont,
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(p.14Q.') •
195,.lbidi
i~6.NQTE .1, (p~ta.. 12::), d., 1_ Prê{a,cé .d~ë!tt. TI'. Il;i;,'J -APP.
tp. -fJ'1).
200'. t~i.d.
"
203. Ibid.! ( <: • "'Prop-Q,si tion .!ondametl't.'ale de J à Pr.~t:i,q'ue dé)
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201 .. It;,id.
•• '
tA?toN','L;oe,t,lvte. <dè "G..pe •• r,.~ ()p+~t:t!. (p.?:ol,l
hl. 'fJ 8\1 re,.g\.le.: l.t s ·iP'.r.~.J l e,t l ~.!i~n t.t.Jt.çhèvér~, tà'~
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·f~t5
..•
223. Tbi d.
22~. Ap:pendice 8.U Grt. Tr., 2ème· partie, pàr~g. Il, in AP'P.1
(p. 1651.
225.. Ibid.
22,6. ër,t:.tr.~, Chap.. 20. nôt:4!t 3 .9\1 Ptlr~.,.4 tP~r.9g..: 8J , i:n
APP 0: 1(1' • 14,OL
fp~ J6SJ.
249. Orto tt. 2~ chap.iQ)'Note '3 au:. .pa'r:ag. 4 (pataj,io. 8l.~ i.n
"PP. l ( p • 140J.
230.Ctt. Tr •.2, chap. 20, J!Îotè ,4 S\.l ,parage 4" in. ·APP. 1 (,p. 14'0
et 'p. 141).
(l'l'. 1b·5·).
J·allume tùn. flam~eau) Cf/.li cléHre la qhél~br~e par rtli .... rjI.~:e;
ou J'O\1vre
. . ùn.e
rapport. de.il:IQ~vènlè·nt~tde
't:t.t ec~ri ~e
r:ep9$', ôu la
"r,aisonsi"poütÇ:fi ré.
propofit.i9n~
le
.~.ais()n:
249.. Ibi d.
.... ·····(8···:::·
'45,·":
252. lbid.
'"
254. ETH.;2 ,scol i e de la,prop. 18·~·
p. 2~85).
25'8.. Ibid.
prop. 33.
, "i"
menu:s
..
26'1.. ln. "L ~ (;).èu:VTe.nil.thé",a·ti,qü~. d,CL .t>fsdSàTg:·ues'''.,pa.r 'EtenÈrIA;x,Ot-:;
l',Arc::-en-Ciel" de Spinoz.a..
ê7t. Ibid.
273' .. Ibid ..
2-74 .. Ih.îd.
SpJno~a.
2.76. InReil_~ tAt(jfl,. L ;ge\ivr,_.â:thémàt.lq\l~'"dë G~Des~t:gj.i,e~,~pJ:h:
284. Ibid.
28,5. Ihiid ..
dtaphane.
2,88.Pre~r~teËpt-tr''':â.ux. :Côrln.th;e.hs".e.,h.p.t~"Yet.$ét l:~:;;l'r~'Q~'
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cro·yOn.!5, J'Où" no·tre PcBrt, qu'e.Ile- vise ". dt?'tef"mIi'H?r "'. priorI
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r:àisoh dan;?; lë;l r'~chérche de..s"'~rites tnconrtues '. COmmE! 81.1,55i votre
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nbU.s. ···ouvons
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PQUrl:'4 se. r·&pPt.t;er, au c.ours dftl sone:nq",i!të. ll~h 'est de :",~me .dés
travaux ace jtll.fr· cl~irë~ënt i·nv.ento.rlé$ de Chri$t,·.lsn Hl.ïyg.hèns
quI., d'ès. 1655 J S ·lfite.re,s'.5;è·él\J~r.()blèligé Qe :i~ iurndèreénqJ@itle
toutes dont
li,i,n.troduot.~ on Élu TRA1TE;.t.à. d~\lxiètile.ne ret.fé.nt ,parcon.tre ,qtJ.e
a. 'J).t.g~, l)~:sb~Sè.
de La Hf13ye .•
lè',s· coU
. 4'.·giantsJ r. voi,!"·ài cet,é,ia,!"d,
que l,a, légère modifi cation apIJor't,cée par Spi nOz.a là,
novembr'ë Hï65 "j e n'a i ., ft\Ô i ·-m.eme i ~ff ir!l)é l <i, f filUSs.e té
Dèscat'té.5
- . ... "
' .. '. .s·au! ~"
ôan.s:ta
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;p.. .27) •.
5. 1659
HlJYGEENS,
.Ç:,t;LÇUL ~îGEaRtQÜE
DE L tARC ....iH ... C·I~I..
POUF. SERVIR
AVptUSG~ÂND R,AP·PftO'CffE·HENT
DË. tA PHY$lQVtA'Vf;.CLgS :HAtHê:ttAtl~Oe:.s*·
mod:ùm.·· ( 2} .
ë.t~u' no;~b.r~. ,.
dessein seli'lblabl e
pOU.r déter!lli n'er l.es pl us grànaeset les plu~s :pElti tés quallt~t~é~'
fA );
cel 'Ji du. Sieur Huy.ghens q'u..i .est" à$Sute.meht j c(;>mme la p,ru,nelle
des yè,U.x dé tous èel.:t:x qui c!J.ILtv-ent.. cesar't.s, \Cie par pJ"llsh~ti.rs d.e
ainsi qt1è celui dt! Sle~r .De, Witt, de son viVant GréU'~d
sê:cti ons con iqlJes '5) l et àvec son éva...t uat.i on de's ,rente.s y tagères
• .'1 ; ,', , ,
J'Agebre à èeux qui
.nat.ul"êllès 1 a.lorsce mbèfè.$'t.$ essai a'ura pJ'odvJt plus t;fe bien .ql,Je,
.Irq ü è.~f·" 'S uiv~ nt;lJheÇi~r~ c.t:'l <;ln 'Î,:néJ i.rt~e:; :d~ squ ~ .il,.s()·"tat;t~i.rit
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èi~:,~~t.O;;.-'éH:i~ $,c';:;' ou,,'~n'çC>r,e' "l~liôjl',é "",qlt,~ V91'êtiiC9ÎQ•• fitc,·'1.~,
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;proposd.. l.i.Cl.nt.3 da~$ fi. AJnsl..; ~;t 5.uît. en: 6,lélnt ôe,s" g,uant.,ite$
·ê:ga:t,esde .qti.anti t'è$éga.les q:uè §p~t 1 '~'xio.rne3,dari,s: l,J' leu.rs
S~CONPE RÈGLE
tnter'i'nèS;à:lg~'.briq},tes" e-e!arèViel\t',à ,di r~ qJ.l~ (:
LeSiêul'"" ;d~S'l u.?~ ,Cié s6n e,~;atc.hfi.nb~n~ de• .l~Egl i$~ Câ:thêdt'~lE? ~fJ'
,KCi)jet par.5;\Ji t,e ,pou.'" t.rcHlVêl'" 1 'à,Jisle' XQ8 ,li ~on ,tour'., il taut
sCiu~,trÇli r e l èditdoühl.ede Kea .de 1, 'àrcfK. C~ ~ue,brLti>v~~eh.t,
,
q\H m'a été e'i1,$;e.l ~nèe par un sranci (ZOl.
Or, noüs avons d'émont;ré plus h.s,llt, dà.ns la sè'condè Règl~ r qti.e
êta.nt
XQR
. .... d".où découle
.' -f
dans les C.AHIERS PEL" EQUTPE DE. RECHERCHE -15 toi rection Andrê
C.N.R.S. p ~ ris) .
Oisputationes"
dés la p.age 507 â i a 'page 515 des tr.ol..s' édî hi.on·$ pr'écédêlll.ft!ent
préçi tê.e·s, s:: trouve le ré~umé (S'OUS. lafbrme d"une tablè des
.
maiiirés) d·une Oeuvre de HVDb! i~titul~e ftDe Ma~imis êt d.
M'ininlis".
B. N. V6231.
153 à 340.
parination. B. N. V623J.
·Cff?ff9llancie. ~ei11879 .•
aUc'un
qui puisse @tre Vî.l sous urt pl usgr,artd. Puis J ~ ai trotJ'\!é allssd
t.ravers' du crL~t~iMNP, fait qüe 51., .ayant. l'oeil e;n l·a pl~ç~
pa;r-è~ que J,P- l"'syon te int d.e rouge ql.li 'Va vers F, 'if i~·t de G;
12. "lignes Of
187 CT
1'7. En effet, si +2y .. c == '"
alors =: 2a ?,.
alorli ~ :: 2'a
19. Spinoza fait. icî état d'unb2xtè publ ié en 1673; cja,os lequel
Frah~Qia de Slus. (1622
qu ;i 1 :$' agl,sse: dfaHUotlË;. ççmpte tèh.ù'desÊ',s ttâ.v,aux; ,sUr lf1
texte de i' AR(}-EN:-C H':L êr;i né~r14~.Qals., 'parue dans l>E volüfÙë
50?:
OEUVRES DE SPJNOZA
O~UVRES COMPLETES
SUCfiTEI.EN.
OEUVRES iSOLEES
et
textè
Spinoza
ê.d. RèpliqU~,1~19l.
,partie
Ooor% L~n,tkl.lnc:fe
.
b u.yt-ëiigE!. 4aenten. ;;;
{ParlS, Impr.
d~ P. Des Hayes, saM.S date; ~ J%trt:.l es .en 1 vol. Jrt-~)
Res. \/2225 li
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et gèqmétrie
p. 61
B. Le èdnquièJ'!\e pdstulat; 88
d'Eucl.ide
géo~etriques
nouvea.ux
F.i.gur~s let 2
Notés
GIRARD DESARGUES
A. Le~ troi. propositions
gé,osnét.r iq ues df? 1648'-1664
s'on
D. le Principe de dUàlité;
~n l rodüçt:i tin
e'x Ls,ta n tg
,Figure 1 183
Notes i64
Miçhèl CH.ASLES
d'histo.ire
c. Le Pl' i noi pe dé D\Ja l it;.é;. son
éno'nçé
D~sargues
pô 231
dé lB connaissance d~ns la
MANIERE UN1VE~SELLE
pratique de 1. p~rspectiv~
J. Conclusion p. '.254
Figure l p. 256
Notes p. 257
Géo.mét.ri e dè sit.ua li on
.,p .2&e.
p. 299
p,•. aoù
TRAlTt THEOl.OGICO-POL tTIQUE.
figures c~~rilatives
fi~ùres, di.làlêS
l ' Et.end.ue
Note:s. 331
1. LA P'ENSE,E 3.56
au COURT TRAITE
B. L'idée dé ~ieu dans l'EtHIQUE • .361
368
lé..c.;lusaJile .oeritr'ê.e
2. L'ETENDUE p. 3Êl~
,p. 3901
le. COURT TRAITE
H. l'1ouve~~nt è.trepQs darrl; \. 394
L Rem~rqu.e p. 3.97
403
dans l'EltilQU,E
K. Rernarql)E' concerna-nt les M'odes 409
de connaissance
Not.e.s -430
Notes 468
p~~ B~ d. S~ffi~i~
'BIBLIO<lHAPHIE RAISONNEe: