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■ RESPONSABLE DE LA PUBLICATION
Le SecrŽtaire gŽnŽral de lÕUMAQ :
Penser QualitŽ, cÕest amŽliorer ses
● Fouad SEKKAT
performances au quotidien.
■ COMITE DE REDACTION haque jour, lÕentreprise est appelŽe ˆ faire face ˆ des exigences de plus
●
●
Mouawya MOUKITE
Amina EL FASSY EL FIHRY
MÕhammed Sa•d El KEBBAJ
C en plus fortes tant au niveau de son mode de production, que celui de sa
compŽtitivitŽ ou de son engagement en mati•re de dŽveloppement
durable.
● Youssef BECHCHAR
A cet Žgard, les normes de qualitŽ apportent une aide prŽcieuse dans la
● Mohamed EL MGHARI TABIB
conduite des syst•mes de production ; elles permettent au fournisseur de
● Kamal-Eddine BENCHEKROUN
baser le dŽveloppement de ses produits et services sur des spŽcifications
■ CONCEPTION REALISATION- RƒGIE PUBLICITAIRE
connues et acceptŽes de tous ; mais, ces normes ne peuvent constituer
● PrŽcom : 332, Bd Brahim Roudani, Casablanca quÕune base minimale que le fournisseur doit consolider rŽguli•rement et
TŽlŽphone : 022 23 66 50 - Fax : 022 23 67 40 Ïuvrer pour amŽliorer les rŽsultats en dŽcoulant.
Parall•lement, une dŽmarche dÕŽcoute-client et de veille sociale, technique
et Žconomique, favorise durablement le renforcement de la compŽtitivitŽ du
■ ADMINISTRATION fournisseur, gr‰ce ˆ lÕeffort dÕanticipation quÕelle
UMAQ (Union Marocaine pour la QualitŽ) dŽveloppe au niveau de la gestion courante de
Complexe du Minist•re de lÕIndustrie, du lÕentreprise, permettant ainsi de conforter les
Commerce et de la Mise ˆ niveau de lÕŽconomie.
performances enregistrŽes et dÕagir, chaque jour,
Km 9,5 Route de Nouaceur-Casablanca-Maroc
pour les faire progresser.
De m•me, la prŽoccupation gŽnŽrale de b‰tir un
SOMMAIRE dŽveloppement durable impose aux opŽrateurs
EDITO p. 3
Žconomiques dÕintŽgrer leur dŽveloppement dans
Par M. Mourad CHERIF Le dŽveloppement celui du bien-•tre de la collectivitŽ, ce qui nŽcessite
DOSSIER p. 4
DŽmarche qualitŽ dans durable impose une Žvaluation rŽguli•re des rŽalisations et une
lÕagro-alimentaire
ENQUETE p.10
aux opŽrateurs mobilisation constante pour les amŽliorer.
Ainsi, avec lÕouverture des marchŽs et lÕaspiration
Accompagnement des entreprises Žconomiques de tous ˆ une vie meilleure, la consolidation des
ˆ la dŽmarche qualitŽ
FOCUS p.12 dÕintŽgrer leur acquis et lÕamŽlioration continue des performances
DŽmarche qualitŽ et certification
de la Lydec dŽveloppement deviennent des objectifs-clŽs pour pouvoir assurer
ACTUALITE
Prix National de la QualitŽ 2005
p.14
dans celui du lÕactivitŽ normale de lÕentreprise et soutenir son
dŽveloppement.
Ë SAVOIR p.16
Ë propos de lÕapproche de lÕorganisation
bien-•tre de A cet effet, la dŽmarche QualitŽ apporte un cadre et
europŽenne pour la qualitŽ la collectivitŽ une mŽthodologie pour y parvenir, et lÕUMAQ vous
ETUDE p.18
Cap sur la dimension socio-culturelle offre un espace dÕŽchange et de synergie pour
de la dŽmarche qualitŽ partager, avec dÕautres, les expŽriences vŽcues,
SAVOIR-FAIRE p.20
Mise en place dŽmarche qualitŽ :
crŽer de lÕŽmulation pour sÔamŽliorer au quotidien et
Žvaluation de la satisfaction des accompagner les entreprises dans la voie de
clients et des attentes du marchŽ Mourad CHERIF
lÕexcellence.
LA VIE DE LÕUMAQ p.24 PrŽsident de lÕUMAQ
ENTREPRISES CERTIFIƒES p.25
SELECTION
Nouveaux ouvrages p.26 M a r o c Q u a l i t Ž N ¡ 5 < A V R I L 2 0 0 5 3
D OSSIER : DŽmarche qualitŽ dans lÕagro-alimentaire D OSSIER : DŽmarche qualitŽ dans lÕagro-alimentaire
4 M a r o c Q u a l i t Ž N ¡ 5 < A V R I L 2 0 0 5 M a r o c Q u a l i t Ž N ¡ 5 < A V R I L 2 0 0 5 5
D OSSIER : DŽmarche qualitŽ dans lÕagro-alimentaire D OSSIER : DŽmarche qualitŽ dans lÕagro-alimentaire
LÕAGRO-INDUSTRIE MAROCAI-
NE EMPRUNTE LA VOIE DE en dŽtail du projet dÕamŽlioration
de la qualitŽ des produits
M.Q.: Vous avez signŽ avec
lÕANPME une convention.
tra•abilitŽ pour la partie interne
ainsi que pour la partie aval de
LA QUALITƒ alimentaires?
A.B.: LÕidŽe a germŽ suite ˆ un
Pouvez-vous nous parler plus en
dŽtail de cette convention et de
leurs entreprises. Il ne man-
quait que la ma”trise de la partie
projet de dŽveloppement de ses apports au secteur ? amont de lÕentreprise.
Entretien avec M. Abdelhak Bennani, Abdelhak Bennani lÕagro-industrie que le minist•re
de lÕAgriculture avait entrepris
Directeur de la FICOPAM avec la Banque mondiale ˆ partir LA TRA‚ABILITƒ EST DEVENUE UN SYSTYéME OBLIGATOIRE
de 1992. Quand ce projet sÕest
terminŽ en 1999, nous avons
Maroc QualitŽ : et marchŽs si nous ne dispo- pour sÕimposer sur les marchŽs retenu la nŽcessitŽ de changer A.B.: Nous avons signŽ avec Pour les prŽparer ˆ cette nou-
Quelle Žvaluation faites-vous sons pas dÕune mati•re pre- extŽrieurs. Partant de ces notre approche du syst•me de lÕANPME une convention portant velle donne, les associations
aujourdÕhui de lÕŽvolution du mi•re suffisante. Le probl•me diffŽrentes dŽmarches en ma- gestion de la qualitŽ des produits sur la mise en place du syst•me professionnelles du secteur ont
secteur de lÕagro-alimentaire de lÕapprovisionnement handi- ti•re de qualitŽ, nous avons mis alimentaires au Maroc. Le Maroc de gestion de la qualitŽ aupr•s menŽ une sŽrie de rencontres
et de la fili•re des conserves cape amplement le secteur. en place un projet pour lÕamŽ- a commencŽ avec des canadiens dÕun certain nombre dÕentre- avec les opŽrateurs et experts en
vŽgŽtales en particulier ? Nous avons dÕautre part, une lioration de la qualitŽ dans le ˆ mettre en place le syst•me prises de lÕagro-alimentaire, la mati•re. Tout le monde est
Abdelhak Bennani : Žnergie et une main-dÕÏuvre secteur alimentaire en colla- HACCP dans toutes les entre- particuli•rement de la conserve. conscient de lÕimportance de ce
Le secteur de lÕagro-industrie ch•re par rapport ˆ nos con- boration avec le minist•re de prises opŽrant dans le secteur L'accord porte sur la rŽalisation syst•me pour amŽliorer la
sÕest dŽveloppŽ au Maroc es- currents. Ce qui rend nos pro- lÕAgriculture, le minist•re du des produits de la mer (le d'un diagnostic et d'un plan compŽtitivitŽ de nos produits, que
sentiellement ˆ partir des an- duits moins compŽtitifs sur Commerce et de lÕIndustrie et poisson). La mise en place du d'action HACCP (syst•me dÕana- ce soit sur les marchŽs euro-
nŽes 70 notamment avec le certains marchŽs. Il faut donc les associations professionnel- programme de gestion de la lyses des risques au point pŽens ou amŽricains. Il y a eu
dŽveloppement des pŽrim•tres rŽduire les cožts de facteur les reprŽsentant le secteur, es- qualitŽ (PGQ) a permis lÕamŽlio- critique), lÕaccompagnement ˆ la Žgalement lors des rencontres
irriguŽs. pour amŽliorer la compŽtitivitŽ sentiellement la FICOMAP et la ration de la compŽtitivitŽ de ces certification HACCP, le coaching avec les opŽrateurs, la pro-
Vers la fin des annŽes 80, le de nos produits et permettre ˆ Fenagri. Dans ce projet, nous entreprises. Apr•s la rŽussite de de la FICOPAM pour la mise en messe formelle de lÕapplication
avons privilŽgiŽ une nouvelle cette expŽrience, nous avons pris place d'un syst•me de tra•abilitŽ de la tra•abilitŽ aux produits
approche et une dŽmarche qui la dŽcision dÕinstaller un syst•me dans la fili•re des olives de table commercialisŽs sur le marchŽ
LE SECTEUR DOIT FAIRE FACE AUX NOUVELLES tient compte de tous les besoins analogue dans le secteur des et en dernier lieu lÕaccompa- national. Le consommateur ma-
EXIGENCES EN MATIéRE DE QUALITƒ du secteur. LÕobjectif Žtait conserves. Nous lÕavons baptisŽ gnement ˆ la mise en place d'un rocain doit Žgalement jouir de
dÕŽtablir un diagnostic exhaustif PIAQ (Programme IntŽgrŽ syst•me de tra•abilitŽ. CÕest une la m•me considŽration portŽe
du syst•me rŽglementaire au dÕAmŽ- lioration de la QualitŽ) et expŽrience pilote en attendant la au consommateur europŽen ou
secteur a connu une certaine nos entreprises de faire face ˆ Maroc qui est incomplet et qui nous avons essayŽ de lÕinstaller gŽnŽralisation de lÕinstallation amŽricain.
rŽgression notamment avec la une concurrence de plus en ne couvre pas tous les aspects dans le cadre du projet AQPA du PIAQ aupr•s de toutes les
mise en place des accords plus acharnŽe. Le secteur doit dÕhygi•ne sanitaire et de con- (AmŽlio- ration de la QualitŽ des entreprises du secteur. M.Q.: Peut-on savoir combien
avec lÕUnion europŽenne et les Žgalement faire face aux nou- tr™le des aliments. Les con- Produits Agro-alimentaires) avec dÕentreprises du secteur des
restrictions qui Žtaient mises ˆ velles exigences en mati•re de tr™les au niveau national se font le sou- tien de la GTZ M.Q.: O• en est le secteur de conserves sont certifiŽes ou
lÕexportation avec le syst•me qualitŽ. pour les produits finis, ce qui (Gesellschaft fŸr technische lÕagro-alimentaire en mati•re Žligibles de lÕ•tre ˆ court terme ?
des contingents. AujourdÕhui, le nŽcessite des moyens impor- Zusammenarbeit). dÕapplication de la tra•abilitŽ ? A.B.: Le secteur des conserves
secteur fait face ˆ de nouvelles M.Q.: Le secteur a entamŽ les tants alors que partout dans le A.B.: La tra•abilitŽ permet le suivi compte une centaine dÕentre-
exigences notamment avec les premi•res dŽmarches qualitŽ monde, la prioritŽ est au M.Q.: Quelle Žvaluation faites- dÕun produit depuis sa produc- prises. Il y a une vingtaine
diffŽrents accords de libre depuis les annŽes 90. Est-ce contr™le documentaire. La mise vous aujourdÕhui de cette expŽ- tion jusquÕau consommateur dÕentreprises qui sont aujour-
Žchange que le Maroc a signŽs que vous estimez aujourdÕhui en place des syst•mes de rience ? final. Ce syst•me est devenu dÕhui certifiŽes HACCP ou sur le
avec les Etats-Unis, la Turquie que lÕobjectif est atteint ? gestion de la qualitŽ, le HACCP A.B.: Je crois que cette expŽ- obligatoire ˆ partir de janvier point de lÕ•tre dans quelques
et les pays arabes, en plus de QuÕest ce qui se fait (syst•me d'analyses des ris- rience est tr•s rŽussie. Les 11 2005, notamment pour les mois. Pr•s de 20 % des
nos accords avec lÕUnion euro- actuellement pour amŽliorer la ques au point critique) ou la entreprises aupr•s desquelles entreprises qui exportent leurs entreprises peuvent •tre certi-
pŽenne. qualitŽ des produits ? tra•abilitŽ est devenue impŽ- nous avons installŽ le PIAQ produits vers lÕUnion euro- fiables ˆ court terme, mais aussi
Nous sommes confrontŽs dÕune A.B.: Le secteur a menŽ les rative. Partant de lˆ, il nous reconnaissent lÕapport enrichis- pŽenne. LÕadoption de ce sys- un nombre aussi important
part, ˆ un probl•me dÕapprovi- premi•res expŽriences en ma- semblait important que le sant de ce programme, un gain et t•me est devenue Žgalement dÕentreprises sont plus pr•s de
sionnement en mati•res pre- ti•re de qualitŽ depuis les an- Maroc se mette sur cette voie une diminution du cožt et une obligatoire pour les entreprises lÕinformel que du formel. Il est
mi•res. Nous arrivons ˆ peine ˆ nŽes 90. Nous avons tirŽ des pour amŽliorer la qualitŽ de ses ouverture plus importante sur les qui exportent vers le marchŽ impŽratif pour cette tranche du
satisfaire la demande de nos enseignements de ces dif- produits ainsi que sa compŽ- marchŽs extŽrieurs. CÕest une amŽricain ˆ partir du 15 avril. secteur de se mettre ˆ niveau et
clients traditionnels en Europe. fŽrentes expŽriences et nous titivitŽ, aussi bien sur les expŽrience quÕil faudrait encore Cela ne constitue pas un dÕamŽliorer la qualitŽ de leurs
Il serait difficile pour nous, avec essayons dÕamŽliorer constam- marchŽs extŽrieurs que sur le dŽvelopper et gŽnŽraliser ˆ toute probl•me pour la plupart des produits pour pouvoir sÕimposer
nos moyens actuels de pouvoir ment la qualitŽ de nos produits. marchŽ intŽrieur. lÕindustrie agro-alimentaire. entreprises marocaines expor- sur les marchŽs, voire survivre.<
satisfaire dÕautres commandes CÕest une condition sine qua non M.Q.: Pouvez vous nous parler tatrices. Elles ont souvent une
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D OSSIER : DŽmarche qualitŽ dans lÕagro-alimentaire D OSSIER : DŽmarche qualitŽ dans lÕagro-alimentaire
es entreprises agro-alimen- (Programme IntŽgrŽ dÕAmŽ- our rŽpondre aux attentes de modernes qui rŽpondent ˆ des
8 M a r o c Q u a l i t Ž N ¡ 5 < A V R I L 2 0 0 5 M a r o c Q u a l i t Ž N ¡ 5 < A V R I L 2 0 0 5 9
Accompagnement des entreprises ˆ la dŽmarche qualitŽ
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DŽmarche qualitŽ et certification de la Lydec
ÒUNE ORGANISATION ET DES MOYENS POUR analysŽs par les acteurs clŽs du
processus qui assurent en
ment des factures d'eau et
d'ŽlectricitŽ. Ce mode permet ˆ
AUDIT CERTIFICATION
m•me temps le suivi des non- un client de rŽgler ses factures
L'audit de certification conduit
PROGRESSER EN PERMANENCEÓ conformitŽs et probl•mes.
Dans ce sens, la Lydec a entamŽ
en 2004 un programme baptisŽ
Lydec dans un Espace Services
(commerce de proximitŽ, tŽlŽ-
boutiques). Elle a, par ailleurs,
par deux organismes fran•ais et
marocain (Afaq-ASCERT Inter-
national et SNIMA) a eu lieu du
La dŽcision de la LYDEC de sÕengager dans une dŽmarche qualitŽ par rŽfŽrence "Parlons qualitŽ" aupr•s de adaptŽ les services aux attentes
23 novembre au 3 dŽcembre
plus de 2900 agents d'exŽcution clients gr‰ce ˆ la nouvelle
ˆ la norme ISO 9004 version 2000 remonte ˆ lÕannŽe 2000. AmŽliorer, prŽparer, 2004.
afin de mieux les sensibiliser ˆ prŽsentation de facture et au Les auditeurs n'ont relevŽ dans
vŽrifier et rŽaliser sont les mots dÕordre du processus dÕamŽlioration de la l'importance de la satisfaction PDA (Personal Digital les bilans prŽsentŽs aux mem-
du client et ˆ la ma”trise des Assistant) encaisseur. bres du ComitŽ de Direction
sociŽtŽ. probl•mes. L'amŽlioration de la communi- GŽnŽrale et ˆ l'Žquipe Projet-
La convention du 8 mai 2004 cation n'est pas en reste. Le QualitŽ, aucun Žcart par rapport
ÒLa certification ne nous place
"Tous en action pour Massira "Magazine Lydec & vous" est aux exigences de la norme.
pas sur la premi•re marche du
2007" a permis de dresser venu appuyer cet effort.
podium, elle atteste simple-
un bilan d'Žtape sur l'Žtat Les conditions Žtaient donc
ment que nous sommes orga-
d'avancement des plans dÕac- rŽunies pour b‰tir un schŽma
nisŽs pour le progr•s continu"
tions stratŽgiques et des directeur des syst•mes dÕinfor-
souligne M. Alain Perret, DG
plans dÕamŽlioration continue mation pour la pŽriode 2005-
adjoint de la Lydec.
engagŽs par l'entreprise. 2007, en phase avec le projet RESPONSABILITƒ
La certification signifie, expli-
Massira 2007 et les axes
que ce dernier, "que nous
disposons de lÕorganisation et
PROJET MASSIRA 2007 stratŽgiques de l'entreprise. SOCIALE LYDEC
Pour les responsables de lÕen-
des moyens pour progresser en
La Lydec vise dans le cadre de treprise, l'obtention de la certi- Premi•re entreprise marocaine
permanence. Nos clients sont
son programme "Massira 2007" fication ISO 9001 version 2000 a ŽvaluŽe par une agence euro-
de plus en plus exigeants. Nous
trois grands objectifs : une re- permis de concrŽtiser une Žtape pŽenne de notation sociale
devons rapidement dŽtecter
lation de confiance et de pro- dans la dŽmarche engagŽe et a "Vigeo" conformŽment ˆ sa vi-
nos faiblesses, les corriger et
ximitŽ, une anticipation de la montrŽ que la Lydec est bien sion 2007, la Lydec a confiŽ ˆ
lancer des actions correctives et
ma”- trise des processus et de probl•mes et fiches d'actions ville de demain et un profes- organisŽe pour s'amŽliorer et cette agence une mission dÕŽva-
prŽventives". luation-notation de la responsa-
lÕorga- nisation. Aussi, des correctives et prŽventives sionnalisme et esprit d'Žquipe poursuivre ses efforts pour
Pour la Lydec, l'annŽe 2004 est bilitŽ sociale.
tableaux de bord ont-ils ŽtŽ (ACP). au service de la performance. atteindre lÕefficience ˆ lÕhorizon
considŽrŽe comme celle de la Selon les rŽsultats dÕŽvaluation
con•us pour mettre en Ainsi, pour mener ˆ bien l'enjeu 2007, selon le rŽfŽrentiel de la
consŽcration du syst•me de effectuŽe par Vigeo, la Lydec est
application les plans d'actions. 2004, L'ANNƒE DE CONSƒ- confiance/proximitŽ, la Lydec a norme ISO 9004 qui prend en
management de la qualitŽ et la situŽe aux niveaux "EngagŽe"
Ainsi, pour informer le plus CRATION DU SYSTéME DE procŽdŽ au dŽveloppement des compte l'ensemble des activitŽs
certification de l'ensemble de sur le domaine "Gouvernement
grand nombre de collabo- MANAGEMENT DE LA QUALITƒ canaux de contacts via, notam- d'une entreprise et vise la
ses activitŽs selon la norme ISO d'entreprise" et "SociŽtal".
rateurs sur l'Žtat dÕavance- ment la crŽation de nouvelles satisfaction de toutes les parties
9001 version 2000. Elle est notŽe "Active" sur les
ment de la dŽmarche qualitŽ, Par ailleurs, l'audit opŽrŽ en agences, d'un site web et la prenantes. <
Durant cette m•me annŽe, des domaines "Ressources Humai-
des points d'affichage et des interne de l'ensemble des mise en place du centre de
dizaines de groupe de travail nes", "Environnement" et ÓClient
bornes de consultation qualitŽ processus a permis de vŽrifier relation client•le. -Fournisseurs".
ont ŽlaborŽ les procŽdures,
ont ŽtŽ mis en place. l'exŽcution des r•gles L'entreprise a, en outre, lancŽ Sur le domaine "Droits Humains",
instructions, documents mŽ-
Le syst•me de dŽtection et de adoptŽes, le taux de rŽalisation elle est placŽe au niveau ÓPru-
tiers, formulaires, fiches de
traitement des non- des plans dent".
fonctions et notes dÕorganisa-
conformitŽs installŽ a permis ˆ d'actions et le respect des
tion, donnant naissance au
l'entreprise de dŽtecter et exigences normatives.
syst•me documentaire de lÕen-
traiter les dys- Les rŽsultats des audits et des
treprise nŽcessaire pour la
fonctionnements via des fiches retours d'informations recueil-
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M a r o c Q u a l i t Ž N ¡ 5 < A V R I L 2 0 0 5
Prix National de la QualitŽ 2005
L moyens dŽvaluation et
dÕauto-Žvaluation qui per-
mettent aux entreprises de
dŽclinŽ sous forme dÕun ques-
tionnaire de 30 questions rela-
tives aux 9 chapitres suivants :
(PondŽration des 9 chapitres)
- Leadership
- StratŽgie et objectifs qualitŽ
- Management du personnel
150
100 ÒMoyensÓ
100
ÒIntŽgration de lÕentreprise ˆ
la vie de la collectivitŽÓ.
Ainsi, dans la pondŽration
du Prix 2005 et des modalitŽs
de participation a dŽbutŽ le
19 avril 2005 ˆ Rabat ; elle se
La mise en Ïuvre commence, mais
la QualitŽ ne fait pas encore partie
de la culture QualitŽ. Les rŽsultats
ne sont pas dus ˆ lÕapproche.
mesurer leurs performances leadership, stratŽgie et objec- - Management des ressources 100
550
des 9 chapitres, celui liŽ ˆ Ó poursuivra jusquÕˆ la fin mai ¥ 401 ˆ 500 : DŽbut dÕune approche
en mati•re de QualitŽ et tifs qualitŽ, management du
- Management des processus
- Satisfaction des clients
100
100
lÕintŽgration de lÕentreprise ˆ 2005, passant par plusieurs intŽgrŽe de la QualitŽ. La mise en
- Satisfaction du personnel 100 ÒRŽsultatsÓ la vie de la collectivitŽ Ó sera villes du Royaume : Settat, Ïuvre commence et la culture
dÕidentifier les axes de pro- personnel, management des - IntŽgration ˆ la vie de la collectivitŽ 150 450 appara”t. Des rŽsultats sont visi-
gr•s. ressources, management des - RŽsultats de lÕorganisation 100 dotŽ de 150 points au lieu des Marrakech, Agadir, Mekn•s,
bles, mais sans relation de cause ˆ
Les prix QualitŽ existent dans processus, satisfaction des
1.000 points 100 points de base. F•s, Oujda, Nador, Tanger, effet avec les dŽmarches engagŽes.
plusieurs pays dŽveloppŽs, clients, satisfaction du person- Le score obtenu par le candi- Cette approche permettra El Jadida, KŽnitra et Casa- ¥ 501 ˆ 600 : La pratique de la qualitŽ
mais les plus prestigieux sont nel, intŽgration ˆ la vie de la dat permet de dresser un pro- de valoriser davantage les blanca. devient visible. Bonne intŽgration.
efforts dŽployŽs par lÕorga- Un guide dÕauto-Žvaluation Nombreux dŽbuts de mise en Ïuvre
le Prix Deming crŽŽ en 1951 au collectivitŽ et rŽsultats de lÕor- fil qualitŽ le concernant et de de la dŽmarche qualitŽ. La qualitŽ
Japon, le Prix MALCOM BAL- ganisation. lui associer un classement nisme candidat pour prendre pour le Prix a ŽtŽ ŽditŽ pour est connue par tous, sous
DRIGE crŽŽ en 1987 aux Etats- Chaque th•me est notŽ sur 100 selon les points re•us (voir conscience de son environ- sa diffusion aupr•s des parti- lÕimpulsion de la direction. Les
nement et favoriser son cipants aux sŽances de rŽsultats et les tendances clairs,
Unis et le Prix EFQM crŽŽ en points et pondŽrŽ par un cÏffi- encadrŽ). avec une forte relation de cause ˆ
Europe en 1991. cient de 1 ou 1,5 pour un score LÕŽdition 2005 se propose de amŽlioration et ce, parall•le- prŽsentation et aux entre-
effet.
Le Prix National de la QualitŽ total de 1.000 points. mettre en relief les aspects ment aux performances en- prises .< ¥ 601 ˆ 700 : LÕapproche est bien
planifiŽe et documentŽe. La qualitŽ
est mise en Ïuvre dans la plupart
Ë RETENIR des fonctions et est visible dans la
culture de lÕentreprise et pour la
TrophŽe Grandes Entreprises Materials (2004). Carsud (2000,2001, 2002), ONP/ PME, PMI, Grandes Entreprises plupart des salariŽs. Les rŽsultats
Groupe OCP (1998), ST-Micro- TrophŽe Entreprises de services Halle de Tanger (2000,2001,2002), 4 catŽgories Industrielles et Grands sont probants et ont une forte
RAM/ P™le Clients Sol (1999), CID ONP/Halle de Mehdia (2001), ONP/
primŽes Organismes de service relation de cause ˆ effet.
electronics (1999), Groupe Ciments ¥ 701 ˆ 800 : La qualitŽ " ˆ lÕŽcoute
du Maroc (2000), Ondumar (2001), (2000), RAM/Direction OpŽrations Halle de La‰youne (2001,2002) DŽ- Agenda pour candidatures du client " est mise en pratique de
Air Liquide Maroc (2002), Carsud aŽriennes (2002), MŽditŽlŽcom lŽgation de la SantŽ de TŽtouan fa•on innovante. La qualitŽ est
Retrait dossiers Avant le 15.7.2005 visible dans la culture de presque
2003), Lafarge-Maroc (2004). (2003), Drapor (2004). (2001,2003), SociŽtŽ ImpŽriale des
tous.
TrophŽe PME/PMI Certificats dÕencouragement ThŽs et Infusions (2002), Imacid DŽp™t dossiers Avant le 31.7.2005 ¥ 801 ˆ 1000 : La qualitŽ " ˆ lÕŽcoute
Somana (1999), Possehl (2000), Laprophan (1998), Groupe Ciments (2002, 2004), Ifriquia Plastic, du client " est une pratique couran-
Industube (2001), Cap Info (2001), du Maroc (1998,1999), Cooper- ONCF/Oujda, ONCF/Safi (2003, ƒvaluation dossiers Septembre 2005 te dans lÕentreprise : Excellente
intŽ- gration dans tous les secteurs
ONP/Halle de Mehdia (2002), Maroc, Sotherma (1999), Compa- 2004), ONP/ Halle de Larache, et chez tous les acteurs, mise en
ƒvaluation sur site Octobre Ð novembre 2005
ONP/Halle de Nador (2003), gnie Mini•re de Guemassa (1999, ONCF/ Ateliers Gros Entretiens de Ïuvre dans toutes les fonctions
ONCF/Ateliers Gros Entretiens de 2004), Industube, Reminex (2000), Casablanca, OB Electronique impor- tantes. La qualitŽ est visible
RŽunion jury sŽlection DŽcembre 2005 dans la culture de tous. La qualitŽ
Oujda (2004), Semiconductors Air Liquide Maroc (2000,2001), (2004). < devient un avantage compŽtitif.<
Remise TrophŽes Fin dŽcembre 2005
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Approche QualitŽ EOQ
AujourdÕhui, les entreprises sont de plus en plus amenŽes
ˆ •tre reconnues comme amŽliorateurs du bien-•tre de la collectivitŽ
Les normes de qualitŽ jouent Mod•les de Prix QualitŽ et ¥ une normalisation excessive,
Ë PROPOS DE LÕAPPROCHE DE un r™le tr•s important dans la
sŽcuritŽ, la protection de lÕenvi-
ˆ lÕAuto-Žvaluation, lÕOrganisa-
tion EuropŽenne pour la QualitŽ
g•nant lÕadaptation continue
aux nouveaux besoins ;
LÕORGANISATION ronnement physique et social
et la libŽralisation du
(EOQ) encourage :
¥ lÕapplication de la QualitŽ liŽe
¥ une promotion excessive des
mod•les de Prix et de normes
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DƒMARCHE QUALITƒ ET CULTURE
L la mondialisation de lÕŽco-
nomie imposent un niveau
de compŽtitivitŽ de plus en plus Principe de rŽcursivitŽ
lÕapprentissage et dans lÕapprentissage
CrŽer une dynamique de la culture par des phŽnom•nes
ŽlevŽ aux entreprises. rŽcursifs
Or, pour rester compŽtitives, les Identifier et prendre en compte les leviers et les rŽsistances :
entreprises se doivent dÕ•tre Principe dÕhomŽostasie Construire sur leviers et mobiliser les forces cachŽes que
dans un processus de progr•s reprŽsentent les rŽsistances
permanent ˆ tous les niveaux de
lÕorganisation. Elles doivent Principe de dialogique Manager les antagonismes dans une logique conjonctive
amŽliorer en permanence leurs
performances pour survivre et Principes de base et actions mŽthodologiques pour la prise en compte du contexte socio-culturel
se dŽvelopper. La dŽmarche
QualitŽ leur offre le cadre et la mŽthodologie pour y parvenir. La dŽmarche qualitŽ est, en
effet, un processus de progr•s les niveaux de culture : culture tion, la fa•on dont les acteurs et che qualitŽ dans un contexte
et un projet de changement. nationale, culture dÕentreprise, les ensembles concernŽs ap- socio-culturel donnŽ : 1) dŽfinir
Mais, si les principes de la culture de groupes sociaux et de prochent les aspects liŽs au les finalitŽs, 2) prendre en
QualitŽ et de lÕExcellence sont catŽgories professionnelles... temps, ˆ lÕespace, au contr™le compte lÕenvironnement et
considŽrŽs comme universels, Certes, les concepts et dŽ- de lÕincertitude, ˆ la distance particuli•rement la dimension
leur mise en Ïuvre ne peut •tre marches qualitŽ ont ŽvoluŽ, hiŽrarchique, ˆ lÕindividu et ˆ la socio-culturelle, 3) dŽfinir la
que locale en fonction de la avec le temps, allant de la collectivitŽ, au degrŽ dÕenga- structure et lÕorganisation
diversitŽ et des spŽcificitŽs des conformitŽ aux spŽcifications ˆ gement, au niveau de confiance impli- quant le personnel ˆ tous
cultures. Car, mettre en mou- lÕadŽquation avec les valeurs et dans lÕenvironnementÉ les niveaux, 4) dŽfinir les
vement lÕentreprise pour la lan- avec lÕen- vironnement social et Pour ce faire, une approche fonctions ˆ assurer pour tendre
cer dans la voie de la QualitŽ, global, le tout formalisŽ dans systŽmique de la culture permet vers la finalitŽ, avec implication
cÕest agir sur les ŽlŽments qui la des sys- t•mes de management de dŽgager 10 principes dÕaction du personnel ˆ tous les niveaux,
constituent : le management, de la QualitŽ ou des rŽfŽrentiels (voir tableau ci-dessus). Sur cet- 5) faire Žvoluer le syst•me pour
les structures, les syst•mesÉ, dÕexcellence (Mod•les DEMING, te base, et en tenant compte des le garder opŽrant au fil du
avec un risque dÕopŽrer des BALDRIDGE, EFQM). Mais, com- leviers et des rŽsistances liŽs ˆ temps.
changements ˆ ces niveaux. Le ment se fait lÕadŽquation avec chaque dimension culturelle, Ainsi, la dimension socio-
changement le plus important, les valeurs et la culture ? Com- le processus de changement, culturelle, qui est gŽnŽralement
celui qui rencontre le plus ment se fait lÕadŽquation avec schŽmatisŽ en page 18 ci-avant, per•ue comme source de rŽsis-
dÕobstacles, est le changement lÕenvironnement social et glo- peut •tre mis en Ïuvre pour tance, peut se transformer en
de mentalitŽ. bal ? Les dŽmarches qualitŽ ne faire ressortir les plans dÕaction potentiel de changement et ac-
Ainsi, Žtant un syst•me de rŽpondent pas au comment. intŽgrant le contexte socio- compagner lÕŽvolution vers une
management, la dŽmarche qua- Dans ce cadre, plusieurs dimen- culturel. culture QualitŽ.<
Processus de changement par la prise en compte litŽ ne peut ignorer la diversitŽ sions socio-culturelles sont ˆ Une dŽmarche en 5 phases est
de la dimension socioculturelle des cultures et en particulier, prendre en considŽration pour alors recommandŽe pour rŽus-
intŽgrer, dans les plans dÕac- sir le changement par la dŽmar-
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Mise en place DŽmarche QualitŽ
ƒVALUATION DE LA SATISFACTION
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Mise en place DŽmarche QualitŽ
ment dans le choix des inter- Actions dÕŽcoute ˆ mettre en Ïuvre ˆ mettre en Ïuvre en deux ou trois entretiens en face
locuteurs ˆ interroger, dans Žtude ponctuelle du taux ˆ face ou lÕorganisation dÕune
de satisfaction du Client conseillŽ
la stimulation de lÕentretien. table ronde. (Attention ! pour un
Žtude ponctuelle pour
LÕenqu•teur doit •tre fid•le au lÕamŽlioration dÕun produit contact aupr•s dÕune entreprise
ou innovation
plan retenu et dŽfini selon les cliente, il faudra bien entendu
Žcoute permanente de
objectifs visŽs par lÕŽtude. lÕensemble de lÕentreprise fortement conseillŽ sÕentretenir avec les diffŽrents
par une mŽthode rŽelle
interlocuteurs, tels que lÕache-
veille concurrentielle
1.4 - La table ronde fortement conseillŽ
teur, le technicien, le responsa-
benchmarking suggŽrŽ ble qualitŽ, etc. Bref, il est tr•s
rencontres en face ˆ face
La table ronde reste la important dÕobtenir lÕinforma- supposer les attentes du client ¥ pour une meilleure agres-
table ronde suggŽrŽ
mŽthode irrempla•able qui tion recherchŽe de la bouche de et ensuite de les faire avaliser et sivitŽ commerciale du bureau
repas de fin dÕannŽe
vous rendra une vision avec les Clients.. suggŽrŽ
lÕinterlocuteur concernŽ et non complŽter par lÕŽtude. dÕŽtude ;
(ou portes ouvertes.
prŽcieuse des avis de vos sorties.etc.) des Ç ˆ peu pr•s È rapportŽs par ¥ pour une orientation des tra-
clients. Elle peut Žgalement club des Clients dÕautres). 5. QUE FAUT-IL FAIRE DES vaux de conception et dÕin-
permettre ˆ lÕentreprise de se Etc... ... ... INFORMATIONS RECUEILLIES ? novation ;
positionner face ˆ la con- 4. QUE FAUT-IL DEMANDER AU ¥ pour la mise en place de
currence et de dŽtecter les de satisfaction est dŽjˆ une CLIENT ? Le travail dÕŽcoute ne sÕarr•te mŽthodes dÕaide ˆ la conception
attentes implicites du marchŽ. bonne dŽmarche. Mais reste 3. DOIT-ON INTERROGER TOUS pas au recueil des informations. telles que le Q.F.C. du service
Les entretiens de groupe se insuffisant pour identifier lÕŽvo- LES CLIENTS ? Le questionnaire (ou plan Ce qui est important pour lÕen- qualitŽ ;
dŽroulent gŽnŽralement dans lution du marchŽ ˆ temps, et dÕentretien) se construit suivant treprise, ce sont les rŽsultats ¥ pour la mise en place dÕindi-
un lieu confortable, extŽrieur ˆ donc rŽagir rapidement aux Evidemment non, ˆ moins que les objectifs que lÕentreprise qui ressortiront de chaque cateurs de satisfaction plus
lÕentreprise si possible, afin changements. vous nÕayez que quelques aura fixŽs selon ce quÕelle action et les axes qualitatifs du service marke-
dÕŽviter toute pression au Les rŽsultats sont plus riches clients, la charge de travail cherche ˆ dŽfinir : dÕamŽlioration qui pourront en ting ;
client. en mettant en place une serait dÕailleurs trop impor- ¥ le taux de satisfaction du client ; dŽcouler. Une Žtude ¥ pour une meilleure dŽfinition
LÕanimateur a un r™le tr•s dŽmarche dÕŽcoute selon le tante pour le fonctionnement ¥ lÕimage de lÕentreprise telle correctement effectuŽe reprŽ- de la cible visŽe ;
important dans la prŽparation tableau ci-dessus. dÕune PME-PMI. Il existe des quÕelle est per•ue par le client sente une mine dÕinformations ¥ pour trouver de meilleures
et la conduite de cette forme La mise en place dÕune telle moyens permettant dÕobtenir ou le marchŽ ; utile ˆ la direction : accroches publicitaires ;
dÕentretien de groupe, ce qui dŽmarche demande bien Žvi- un Žchantillon reprŽsentatif ¥ les points forts et les points ¥ pour un positionnement et une ¥ pour mieux communiquer sur
nŽcessite une formation ˆ la demment la connaissance des de lÕensemble de la client•le. faibles de lÕentreprise ; rŽactivitŽ face ˆ la concurrence ; lÕentreprise.
conduite dÕune rŽunion crŽative mŽthodes dÕapproche et de Toutefois, il est important de ¥ le positionnement de lÕentre- ¥ pour lÕaide ˆ la dŽfinition dÕune Dans tous les cas et pour
mais aussi ˆ lÕŽcoute et ˆ la non questionnement du client mais sŽlectionner non seulement les prise par rapport ˆ la concur- nouvelle stratŽgie du service lÕensemble du personnel,
directivitŽ. aussi lÕanalyse des donnŽes clients importants ou satisfaits, rence ; commercial ; lÕŽcoute Ð clients, lorsquÕelle est
DÕautres moyens existent tels quantitatives et qualitatives. mais aussi : ¥ les principales attentes des ¥ pour une meilleure connais- correctement mise en place et
que lÕŽcoute permanente du Les diffŽrentes actions sont ¥ les clients infid•les ; clients et prospects ; sance des clients et prospects ; suivie, est une source de moti-
client, lÕorganisation de f•tes, dirigŽes et analysŽes par les ¥ les clients mŽcontents ; ¥ les faits prŽcis qui dŽter-
sorties annuelles avec les m•mes personnes respon- ¥ les prospects. mineront une Žvolution du chif-
clients, club, veille concur- sables de lÕŽcoute du client Suivant le ou les moyens fre dÕaffaires avec certains Il y a plusieurs outils pour Žvaluer la satisfaction des clients
rentielle, benchmarking, etc. dans lÕentreprise, pour Žviter dÕŽtude que lÕentreprise aura clients ; parmi lesquels : lÕenqu•te par voie postale, lÕentretien en face ˆ
de mauvaises interprŽtations sŽlectionnŽ, lÕŽchantillon pour- ¥ les attentes du marchŽ en face, la table ronde et lÕentretien semi directif par tŽlŽphone. Ce
2. COMMENT ORGANISER LA des propos recueillis. LÕŽcoute ra •tre plus ou moins ŽlevŽ. Par mati•re dÕinnovation ou dÕamŽ- dernier offre de loin le meilleur rapport qualitŽ/prix.
MISE EN ÎUVRE DÕUNE du client est lÕaffaire de tous exemple, dans le milieu indus- lioration du produit ou service. La mŽthodologie, la frŽquence et la reprŽsentativitŽ de lÕŽchan-
DEMARCHE DÕECOUTE DU dans lÕentreprise. triel, un Žchantillon de 30 ou 40 Il ne sÕagit pas de rŽdiger des tillon sont dŽterminantes dans lÕŽvaluation de la satisfaction des
CLIENT DANS LÕENTREPRISE ? Le traitement et lÕanalyse des contacts par tŽlŽphone suffira. questions tous azimut. Bien au clients en conformitŽ avec les objectifs de lÕorganisme.
informations recueillies res- ‚a permet apr•s ÇdŽchetsÈ, de contraire, lÕŽlaboration du ques- LÕexploitation mŽthodique et systŽmatique des donnŽes dÕŽva-
Interroger son client une fois tent lÕaffaire dÕune ou de deux faire une analyse sur 20 ou 30 tionnaire ou plan dÕentretien luation de la satisfaction des clients permet ˆ lÕorganisme de
par an pour mesurer ponc- personnes formŽes aux mŽ- entretiens tr•s qualitatifs. On demande un travail qui nŽces- dŽgager les pistes dÕamŽlioration des performances.
tuellement lÕŽvolution du taux thodes utilisŽes. pourra conforter lÕŽtude par site dans un premier temps de
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LANCEMENT DE 2 ACTIONS pert mandatŽ par le MEDA, a n ONE dŽlais courts pour lÕŽxŽ- version 2000 pour SYSTEMES DÕINFORMATION
ANNUELLES-PHARES PARTICIPATION AUX entamŽ, le 24 janvier 2005, une cution des opŽrations de crŽ- lÕensemble de ses activitŽs. CERTIFIEE
MANIFES- TATIONS NATIO- sŽrie dÕentretiens et de visites dit et de remise documen- La dŽmarche qualitŽ entre-
ONE :
Semaine Nationale NALES au Maroc, aupr•s de plusieurs taire de ses clients impor- n LA FISA prise depuis 2003 au sein
LA DIVISION TRANSPORT
de la QualitŽ •mes
responsables et entreprises, DE KƒNITRA CERTIFIƒE tateurs et/ou exportateurs. de la SGMB, est finalement
Apr•s une Žvaluation de la der- 2 Assises Nationales des membres de lÕUMAQ ou lau- Cette certification a ŽtŽ LA FISA CERTIFIEE ISO 9001 rŽcompensŽe par la remise
ni•re Ždition 2004, la commis- Associations Professionnelles rŽates du Prix National de la
(ANAP II) obtenue pour une durŽe de VERSION 2000
sion chargŽe de la prŽparation QualitŽ. trois ans et, en 2003, BVQI
de la Semaine Nationale de la Ë lÕinvitation de la CGEM, LÕobjectif de cette mission, qui
lÕUMAQ a participŽ aux travaux a reconduit ce label des La FŽdŽration Interpro-
QualitŽ a engagŽ la rŽflexion sÕest dŽroulŽe au Maroc du 24
de la rencontre ANAP II, organi- opŽrations documentaires fessionnelle du Secteur
pour lÕorganisation de lÕŽdition janvier au 4 fŽvrier 2005, est
2005, qui aura pour th•me : sŽe le 27 janvier 2005 ˆ Casa- dÕŽtudier la situation actuelle en sous la nouvelle norme ISO
ÒLeadership et amŽlioration blanca, sous le th•me ÒPour des mati•re dÕoffre de produits et de 9001 version 2000.
des performancesÒ. Des sug- associations performantes au prestations de lÕUMAQ, de vŽri- Pour les responsables de la
gestions dÕamŽlioration ont ŽtŽ service des entreprises et de fier aupr•s des professionnels La division rŽgionale du banque, cette certification
Žmises pour ancrer davantage lÕŽconomie nationale Ó. lÕadŽquation de cette offre par transport de KŽnitra de constitue la garantie dÕune officielle de la certification
cette manifestation dans lÕenvi- rapport aux attentes, puis de lÕOffice National dÕElectricitŽ qualitŽ de service constante ISO 9001 version 2000 ˆ
ronnement socio-Žconomico- Salon Solutechq faire des propositions pour le (ONE), choisie comme site- et durable et aussi un gage la direction des syst•mes
culturel de lÕentreprise et de la Du 3 au 5 mars 2005, des reprŽ- renforcement de lÕaction de de reconnaissance qui fait de dÕinformation. Il sÕagit de la
pilote, a re•u, le mardi 5 avril
collectivitŽ. sentants de lÕUMAQ ont pris lÕUMAQ par des actions dÕamŽ- la BMCI une rŽfŽrence dans premi•re certification infor-
2005, le certificat ISO 9001
DorŽnavant, la Semaine sera part aux manifestations du lioration de lÕexistant et des le domaine du commerce matique dans le secteur
Salon Solutechq, notamment ˆ version 2000. La certification
organisŽe au cours de la 2•me actions dÕinnovation, dans le est remise suite ˆ un audit international. bancaire au Maroc.
semaine du mois de novembre. travers la participation ˆ la cadre dÕun plan global.
table-ronde dÕouverture sur le des activitŽs dÕexploitation et
LÕŽdition 2005 est ainsi prŽvue Cette mission intŽgrait, Žgale- n TISSIR PRIMAGAZ Avicole Ð FISA - a obtenu la n LA FROMAGERIE
du 7 au 11 novembre, avec la th•me : Òle Maroc et les proces- ment, une visite de 3 respon- de maintenance du rŽseau
sus dÕexcellenceÓ et lÕanimation de transport "tr•s haute" et certification de son syst•me
tenue du forum traditionnel de sables UMAQ, aupr•s dÕorga-
dÕun espace dÕinformation. "haute" tension, couvrant ISO 9001 VERSION 2000 de management de la qualitŽ LA FROMAGERIE DES
lancement dans la ville de nismes en charge des questions
Mekn•s. liŽes ˆ la QualitŽ, en France et lÕensemble de la rŽgion POUR TISSIR PRIMAGAZ selon la norme ISO 9001 DOUKKALA EST CERTIFIƒE
en Belgique, du 14 au 18 mars nord-ouest du pays. La version 2000, le 29 mars ISO 9001 VERSION 2000
Prix National de la QualitŽ PARTICIPATION AUX OPƒRA- 2005. Les recommandations cŽrŽmonie a eu lieu au InitiŽe dŽbut 2003, la dŽ- 2005 par le cabinet MOODY Cette certification est valable
DŽjˆ, lÕŽlan est donnŽ pour lÕor- TIONS DU PROJET MEDA formulŽes par le rapport de M. Centre scienti- fique et CERTI- FICATION MAROC. aussi bien pour ses process
ganisation de lÕŽdition 2005, Caliste sont en cours dÕexamen technique de lÕŽlec- tricitŽ de Cette cer- tification vient de fabrication de fromage
sous le th•me de ÒIntŽgration Appui au programme pour la pour leur intŽgration dans les A•n Seba‰ devant tout le top complŽter la logique fondu et de fromage frais
de lÕEntreprise ˆ la vie de la promotion de la QualitŽ (APPQ) documents prŽparatoires du management de lÕONE, soit dÕamŽlioration con- tinue de que pour les fonctions com-
CollectivitŽ Ó. Les dossiers de Dans le cadre du programme Plan dÕaction de lÕUMAQ Ó2005- marche de certification de la gestion et du
au total, plus de 100
candidature doivent •tre dŽpo- ÒAPPQÓ, lÕUMAQ intervient, ˆ 2007Ó. Tissir Primagaz a ŽtŽ menŽe fonctionnement de la FŽdŽ-
dirigeants.
sŽs avant fin juillet 2005, aupr•s titre de partenaire, dans le pro- progressivement, mobilisant ration qui depuis plusieurs
de lÕUMAQ ˆ Casablanca : gramme dÕassistance de 200 Evaluation des plans dÕactions n BMCI lÕensemble des compŽtences annŽes fait auditer annuel-
TŽl: 022 97 24 43 petites et moyennes entre- financŽs par le PAAP internes autour dÕun projet lement ses comptes par un
prises ˆ la mise ˆ niveau de leur Ë lÕinitiative du PAAP (Pro-
syst•me de management de la CE QUI A CHANGƒ AVEC LA collectif pour optimiser son cabinet international.
RƒUNION DU BUREAU EXƒCU- gramme dÕAppui aux Associa- organisation, amŽliorer le
QualitŽ, conformŽment aux ISO CERTIFICATION Par cette dŽmarche volon-
TIF DE LÕUMAQ tions Professionnelles), lÕUMAQ
9.000. niveau de satisfaction de tariste, la FISA confirme sa merciales, export et mar-
a participŽ ˆ lÕŽtude sur lÕŽva-
Le 4 fŽvrier 2005, le Bureau Des contacts sont ainsi pris avec luation de lÕimpact des plans ses clients/partenaires et volontŽ de sÕinscrire enti•- keting de son si•ge. Cette
ExŽcutif de lÕUMAQ sÕest rŽuni 148 entreprises en cours de dÕaction financŽs par ce Pro- faciliter la communication rement dans la mise en place certification est la reconnais-
en session normale pour faire rŽalisation de leur plan (secteur gramme sur le fonctionnement interne et externe. de r•gles de bonne gouver- sance officielle des efforts
le point sur les activitŽs de ÓAgro-industrieÓ 16, ÓChimieÓ et lÕactivitŽ des Associations En octobre 2004, T†V Rhein- nance en mati•re dÕorgani- pour dŽvelopper sans cesse
lÕAssociation, prŽparer le nou- 44, ÓElectricitŽÓ 24, ÒMŽca- Professionnelles concernŽes. Les parts de marchŽ ˆ land, organisme allemand sation interprofessionnelle la qualitŽ au service du
veau plan dÕaction pluriannuel niqueÓ 26, ÓTextilesÓ 38). Des entretiens ont eu lieu, ˆ ce lÕexport ont progressŽ. La de certification dÕentreprises (audit des comptes, certifi- consommateur.<
et discuter de lÕactualisation sujet, avec le cabinet consultant BMCI a relevŽ le dŽfi quÕelle au niveau mondial, a reconnu cation ISO, tenue des as-
des Statuts en liaison avec les Mission dÕassistance ˆ lÕUMAQ ÓHarvard Consulting Ó, avec com- sÕest lancŽe en 2000 au la pertinence et lÕefficacitŽ du semblŽes gŽnŽrales ˆ bonne
recommandations de lÕAssem- Au titre dÕune mission dÕassis- munication de documentation syst•me de management de dateÉ)
moment o• elle a dŽcrochŽ
blŽe GŽnŽrale Ordinaire et du tance aupr•s de lÕUMAQ, M. concernant lÕactivitŽ de lÕas- la qualitŽ mis en place par n SGMB BANK
Jean Pierre Caliste, ensei- sa certification ISO 9002
Conseil dÕAdministration du 8 sociation UMAQ.< version 1994 : appliquer des Tissir Primagaz, en lui dŽli-
octobre 2004. gnant-chercheur ˆ lÕUniversitŽ
vrant la certification ISO 9001 LA DIRECTION DES
de Compi•gne (France) et ex-
M a r o c Q u a l i t Ž N ¡ 5 < A V R I L 2 0 0 5 M a r o c Q u a l i t Ž N ¡ 5 < A V R I L 2 0 0 5
SƒLECTION OUVRAGES des principaux textes avec quel-
n MAëTRISER LA QUALITƒ, TOUT SUR ques haltes sur les moments clŽs
n 100 questions pour comprendre et LA CERTIFICATION ET LA QUALITƒ de la discipline. Cette Ždition s'est
agir : MISE EN PLACE D'UNE Dƒ- TOTALE enrichie d'un chapitre sur le
MARCHE QUALITƒ AUTEUR: DANIEL BOERI Knowledge management et le
AUTEURS : D. FRƒCHER, J. SƒGOT, P. EDITEUR MAXIMA, NOVEMBRE 2004 partage du savoir. Il propose en
TUZZOLINO OCTOBRE 2004 La deuxi•me Ždition de ce livre axŽ conclusion une classification des
sur la qualitŽ et l'orientation client diffŽrentes thŽories du manage-
de l'entreprise se prŽsente comme ment.
un manuel
pour obtenir la n PROCESSUS, LES OUTILS D'OPTI-
certification et MISATION DE LA PERFORMANCE
mettre en pla- AUTEUR : YVON MOUGIN
ce la QualitŽ EDITEUR: Editions ORGANISATION
totale. RŽdigŽ DƒCEMBRE 2004
en tenant Ce livre offre des mŽthodes et
compte de la des outils pour amŽliorer les pro-
lettre et de
l'esprit des
nouveaux
impŽratifs de la
La "QualitŽ" a bien souvent ŽtŽ criti- certification, il
quŽe et discrŽditŽe dans les entre- devrait aider concr•tement ˆ repen-
prises. Il y a quelques annŽes encore, ser l'organisation de l'entreprise en
les fonctions liŽes ˆ la qualitŽ prenant le client comme fil conduc-
Žtaient occupŽes par du personnel en teur de la dŽmarche. Cette nouvelle
marge des activitŽs principales. Ždition a ŽtŽ augmentŽe d'une troi-
Aujourd'hui, beaucoup d'entreprises si•me partie qui prŽsente un cas
se sont rendues compte qu'une poli- concret de documentation du syst•-
tique de QualitŽ moderne, englobant me de management de la qualitŽ
une dŽmarche processus, augmen- comprenant un chapitre du manuel
tait leurs performances, la qualitŽ de de management de la qualitŽ, un cessus dans l'entreprise et aug-
leurs produits ou services, et leur exemple de documentation de pro- menter la valeur ajoutŽe de chaque
permettait de disposer d'un avantage cessus et cinq formulaires liŽs ˆ ce activitŽ : benchmarking, outils sta-
face ˆ leurs concurrents. Pour la processus. tistiques avancŽs, quality func-
mise en place d'une dŽmarche tion development, total productive
QualitŽ ou pour dynamiser un syst•- n 100 ANS DE MANAGEMENT maintenance, audit qualitŽ interne.
me qualitŽ existant, l'entreprise AUTEUR : BRUNO JARROSSON L'auteur met ainsi l'accent sur
pourra se focaliser sur ses dysfonc- EDITEUR DUNOD, OCTOBRE 2004 l'implication des personnes au
tionnements importants, avŽrŽs ou La deuxi•me Ždition de cet sein de l'organisation pour instau-
prŽsumŽs. L'ouvrage prŽsente la ouvrage bros- rer des pratiques de travail plus
mise en place d'une dŽmarche se le panora- efficaces. Il propose une mŽthodo-
QualitŽ dans une entreprise offrant ma d'un si•cle logie basŽe sur la mise en Ïuvre
une vision globale concr•te et de rŽflexions d'un mod•le systŽmique et d'une
d'actualitŽ ! sur l'entrepri- approche processus pour optimi-
Il s'adresse aussi bien aux managers, se et l'homme ser la performance.
aux responsables QualitŽ qu'aux au travail. Il Cette dŽmarche permet notam-
"opŽrationnels". Chacun ˆ son niveau invite ˆ une ment d'Žvaluer et de rŽduire les
y trouvera mati•re ˆ rŽflexion ainsi promenade au cožts de fonctionnement de chaque
que des mŽthodes applicables dans cÏur service ou de chaque processus. <
son entreprise.
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