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Pot Thermo PC PDF
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df d 2Ep
f ( x) = f ( xéq ) + ( x − xéq ) = − ( x − xéq )
dx xéq dx 2
xéq
L’équilibre sera stable si cette force correspond à une force de rappel, soit pour :
d 2Ep
2 > 0 (minimum de Ep)
dx xéq
Dans le cas où Ep est maximale, l’équilibre est instable.
Voici donc le sens d’un potentiel en physique : il donne en quelque sorte le chemin suivi par un
système lors d’une évolution spontanée et permet de connaître la position d’équilibre stable comme
minimum de ce potentiel.
Nous allons généraliser cette notion dans le cadre plus général de la thermodynamique.
2) Exemple de l’entropie :
Pour un système thermodynamique thermiquement isolé, le 2nd principe donne :
1
∆S = S cr > 0
L’entropie ne peut qu’augmenter, ou (- S) ne peut que décroître ; par analogie avec la mécanique et
l’énergie potentielle (qui est minimale en une position d’équilibre stable), (- S) représente un potentiel
thermodynamique pour un système isolé, encore appelé néguentropie.
Mais l’emploi de ce potentiel est rarement intéressant car les systèmes réels échangent le plus souvent
matière et énergie avec l’extérieur.
Exemples :
• Système mécanique : énergie potentielle.
• Système fermé thermodynamiquement isolé : néguentropie – S.
• Evolution monotherme et isochore : potentiel F*.
• Evolution monotherme et monobare : potentiel G*.
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Ces différents potentiels thermodynamiques correspondent aux différents jeux de variables d'état
utilisés.
Énergie interne
Enthalpie
Les potentiels thermodynamiques sont très utiles pour calculer le résultat d'équilibre d'une réaction
chimique ou bien pour mesurer les propriétés des espèces lors d'une réaction chimique.
Les réactions chimiques ont en général lieu sous certaines contraintes simples comme à pression et
température constantes, ou bien à entropie et volume constants ; dans ce cas-là, on peut faire
intervenir les potentiels thermodynamiques correspondants.
Comme en mécanique, le système verra la valeur du potentiel diminuer, et à l'équilibre, sous ces
contraintes, le potentiel va adopter une valeur minimale permanente.
Les potentiels thermodynamiques peuvent également être utilisés pour estimer la quantité totale
d'énergie disponible pour un certain système thermodynamique sous certaines contraintes.
En particulier :
* Quand l'entropie (S) et les paramètres extensifs (par exemple le volume) d'un système fermé sont
maintenus constants, l'énergie interne (U) diminue et atteint un minimum à l'équilibre. C'est une
conséquence du premier et du deuxième principe de la thermodynamique, appelée principe de l'énergie
minimale. Les trois énoncés ci-dessous sont directement déductibles de ce principe.
* Quand la température (T) et les paramètres extensifs d'un système fermé sont maintenus constants,
l'énergie libre de Helmholtz (F) diminue et atteint un minimum à l'équilibre.
* Quand la pression (P) et les paramètres extensifs d'un système fermé sont maintenus constants,
l'enthalpie (H) diminue et atteint un minimum à l'équilibre.
* Quand la température (T), la pression (P) et les paramètres extensifs d'un système fermé sont
maintenus constants, l'enthalpie libre de Gibbs (G) diminue et atteint un minimum à l'équilibre.
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a) Système soumis à des transformations monothermes :
Le système (Σ) subit une transformation durant laquelle il reçoit le transfert thermique Q de la part
du thermostat et un travail W de l’extérieur, sous forme par exemple de travail des forces de
pression.
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b) Potentiel thermodynamique pour les transformations monothermes sans échange
de travail avec l’extérieur :
Dans le cas particulier où W est nul (par exemple, si W est dû aux forces de pression et si la
transformation s’effectue à volume constant – isochore –), alors :
∆F * ≤ 0
Dans une transformation de ce type, la fonction F* ne peut que diminuer : F* joue donc le rôle d’un
potentiel thermodynamique pour les systèmes évoluant dans des transformations monothermes sans
échange de travail avec l’extérieur. Une situation pour laquelle F* est minimale sera une situation
d’équilibre.
Rappelons que F* est une fonction qui dépend à la fois du système (par U et S) et du thermostat (par
sa température T0).
Réponses :
a) La transformation de la masse d’eau est isochore (on néglige la variation de volume de l’eau entre
80°C et 20°C) et monotherme (on peut noter que la température initiale de l’eau n’est pas celle du
thermostat !). La température finale de l’eau sera bien sûr celle du thermostat, c’est-à-dire la
température ambiante.
Les variations de U et de S de la masse m d’eau sont (l’eau est une phase condensée) :
T
∆U = mc(T0 − T1 ) ; ∆S = mc ln 0
T1
On en déduit la variation de la fonction F* :
T
∆F * = mc (T0 − T1 ) − T0 ln 0
T1
AN : ∆F * = −2 260 J < 0 .
b) La fonction F* pour une température T quelconque de la masse d’eau vaut :
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T
∆F * (T ) = mc (T − T1 ) − T0 ln
T1
La différentielle de la fonction F* s’écrit :
dT T0
dF * = dU − T0 dS = mc dT − T0 = mc 1 − dT
T T
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L’égalité a lieu si la transformation est réversible. Ainsi, dans une transformation isotherme (par
définition, réversible !), la diminution de l’énergie libre est égale au travail fourni par le système à
l’extérieur.
Les échanges thermiques se font uniquement entre (Σ) et le thermostat Th. Les échanges de volume
se font uniquement entre (Σ) et le « réservoir » de volume à la pression constante P0.
Le système (Σ) reçoit le transfert thermique Q de la part du thermostat, le travail des forces de
pressions P0 et éventuellement un travail utile noté Wu de la part de l’extérieur (force électrique, par
exemple).
On souhaite alors évaluer le travail Wu utile (autre que celui des forces de pression, quand il existe)
reçu par le système.
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Le 1er principe appliqué à (Σ) donne :
∆U Σ = Q − P0 (V f − Vi ) + Wu
On définit alors le potentiel G* du système (ce n’est pas une fonction d’état car il dépend des
paramètres extérieurs T0 et P0) :
G* = U + PV
0 − T0 S
Alors :
∆G * = Wu − Te Scr
∆G * = Wu − Te Scr ≤ Wu
Le travail utile reçu par l’extérieur, - Wu vérifie alors :
−Wu ≤ Gi* − G*f
Le travail autre que celui des forces de pression (le travail utile) fourni par le système à l’extérieur,
dans une transformation monotherme et monobare, est nécessairement inférieur ou égal à la
diminution de la fonction G* du système.
Le travail maximum est égal à la diminution de la fonction G* lorsque la transformation est
réversible.
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Rappelons que G* est une fonction qui dépend à la fois du système (par U et S) et du thermostat (par
sa température T0 et sa pression P0).
Réponses :
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c) Cas particulier des systèmes en équilibre avec le thermostat et le réservoir :
On se limite maintenant aux situations où le système (Σ) est en équilibre avec le thermostat et le
réservoir de volume dans l’état initial et dans l’état final. C’est la situation que l’on rencontre chaque
fois que l’on provoque une transformation en libérant une contrainte interne au système.
On aura alors Ti = T f = T0 et Pi = Pf = P0 . Alors, le bilan :
(U Σ , f + PV
0 f − T0 S Σ , f ) − (U Σ ,i + PV
0 i − T0 S Σ ,i ) = Wu − Te S cr
devient :
(U Σ, f + Pf V f − T f SΣ, f ) − (U Σ ,i + PV
i i − Ti S Σ ,i ) = ∆GΣ = Wu − Te S cr
Avec :
G = U + PV − TS = H − TS (H est l’enthalpie du système)
G est désormais une fonction d’état du système, appelée enthalpie libre (on encore, fonction de
Gibbs).
S’il y a échange de travail Wu avec l’extérieur, alors :
∆G ≤ Wu ou − Wu ≤ −∆G = Gi − G f
La diminution de la fonction G est supérieure ou égale au travail utile récupéré par l’extérieur (fourni
à celui – ci), d’où le nom d’enthalpie libre pour G qui représente la part d’enthalpie qui est
récupérable sous forme de travail par l’extérieur.
L’égalité a lieu si la transformation est réversible. Ainsi, dans une transformation isotherme et isobare
(par définition, réversibles !), la diminution de l’enthalpie libre est égale au travail utile fourni par le
système à l’extérieur.
S’il n’y a pas d’échange de travail utile avec l’extérieur (Wu = 0), on a alors :
∆G ≤ 0
Ainsi, la fonction énergie libre G est un potentiel thermodynamique pour les transformations
monothermes et monobares avec équilibre initial et final avec le thermostat et la source de volume.
∂G
= 0
∂ξ T , P
Cette condition définit l’avancement ξ éq à l’équilibre.
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III) Quelques exemples et applications :
1) Relations différentielles :
Dans la suite, on suppose le système fermé, monophasé, de composition fixée et sans travail utile.
On rappelle :
dU = TdS − PdV (Identité thermodynamique)
dH = TdS + VdP
1 P
dS = dU + dV
T T
On déduit :
dF = − SdT − PdV ; dG = − SdT + VdP
Par identification avec :
∂F ∂F ∂G ∂G
dF = dT + dV ; dG = dT + dP
∂T V ∂V T ∂T P ∂P T
Il vient :
∂F ∂F
= −S ; = −P
∂T V ∂V T
∂G ∂G
= −S ; =V
∂T P ∂P T
2) Relations de Gibbs-Helmholtz :
∂F
En utilisant = −S :
∂T V
∂F ∂F
F = U − TS = H + T soit U = F −T
∂T V ∂T V
∂G
De même, en utilisant = −S :
∂T P
∂G ∂G
G = H − TS = H + T soit H = G −T
∂T P ∂T P
En divisant par - 1 / T 2 :
U F 1 ∂F H 1 1 ∂G
− 2
=− 2 + ; − 2
=− 2 G+
T T T ∂T V T T T ∂T P
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D’où les relations de Gibbs-Helmholtz
∂( F / T ) U ∂ (G / T ) H
=− 2 ; =− 2
∂T V T ∂T P T
Variables naturelles :
Si un potentiel thermodynamique peut être déterminé comme fonction de ses variables naturelles,
toutes les propriétés thermodynamiques du système peuvent être déterminées en prenant les dérivées
partielles de ce potentiel par rapport à ces variables naturelles (et ce n'est vrai pour aucune autre
combinaison de variables).
Réciproquement, si un potentiel thermodynamique n'est pas donné comme une fonction de ses
variables naturelles, il ne pourra en général pas décrire toutes les propriétés thermodynamiques du
système.
Les relations précédentes ont montré qu’on pouvait en effet obtenir pression, volume, équation
d’état, énergie interne, enthalpie, entropie, coefficients calorimétriques, …
Les propriétés thermodynamiques d’un corps pur sont donc complètement déterminées par la
donnée de F(V,T) ou de G(P,T).
Par rapport à U(V,S) et H(P,S), on a réalisé un changement de variable commode en remplaçant
l’entropie par la température.
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Réponses :
La différentielle de F est :
dF = − SdT − PdV
L’équation d’état s’obtient à partir de P :
∂F 3 2 1
P = − = nR T soit PV = nRT
∂V T 2 3 V
et l’entropie :
∂F 3 T 2 V
S = − = − nR 1 − ln − 1 − ln + S0
∂T V 2 T0 3 V0
Soit l’expression classique :
3 T V
S = n nR ln + R ln + S0
2 T0 V0
On en déduit U ensuite par :
3
U = F + TS = nR(T − T0 ) + U 0
2
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A B
i
E
Le travail utile reçu par la pile est : δ Wu = Eidt = Edq < 0
∂G ∂G ∂G
dG = dT + dP + ∑ dni
∂T ( P ,ni ) ∂P (T ,ni ) i ∂ni (T , P , n )
j
µi est le potentiel chimique du constituant Ai dans le mélange. C’est son enthalpie libre molaire
partielle (dans le mélange) et :
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G = ∑ ni µ i (identité d’Euler)
i
dG = ∑ µi dni
i
On considère un système (Σ) composé deux sous-systèmes (Σ1) et (Σ2) en équilibre de pression et de
température avec l’extérieur (T0 et P0) et entre eux. Le nombre de moles de l’espèce i est ni, réparti
entre ni(1) et ni( 2) dans les deux sous-systèmes, avec :
On lève une contrainte en rendant la paroi perméable au passages des particules de l’espèce (i). On
aura alors des variations dni(1) et dni(2) reliées entre elles dni(2) = −dni(1) .
La variation élémentaire de G devient :
dG = dni(1) µi(1) + dni(2) µi(2) = dni(1) ( µi(1) − µi(2) )
L’évolution du système s’effectue dans le sens dG < 0 ; si l’on suppose par exemple que µi(2) > µi(1) ,
alors dni(1) > 0 : les particules de l’espèce (i) migrent du compartiment (2) vers le compartiment (1).
D’une manière générale, l’évolution s’effectue dans le sens des potentiels chimiques décroissants
(analogie avec le courant électrique : le courant I est toujours dirigé du + vers le -, soit dans le sens
des potentiels électriques décroissants).
A l’équilibre, dG = 0, soit µi(2) = µi(1) : il y a donc égalité des potentiels chimiques à l’équilibre.
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6) Les coefficients calorimétriques : (totalement HP)
a) Définitions :
On considère une transformation réversible et on écrit le transfert thermique élémentaire δQ soit en
fonction des variables (T,V) soit en fonction des variables (T,P) : (pour une mole)
δ Q = CV ,mol dT + ldV ou δ Q = CP ,mol dT + kdP
On en déduit les variations d’entropie dS :
δQ dT l δQ dT k
dS = = CV ,mol + dV ou dS = = CP ,mol + dP
dT T T dT T T
D’où :
l ∂S k ∂S
= et =
T ∂V T T ∂P T
On souhaite exprimer l’entropie en fonction de variables mesurables expérimentalement, soit (T,V),
soit (T,P).
CV,mol, CP,mol, l et k sont appelés les coefficients calorimétriques du système.
c) Relations de Clapeyron :
On rappelle les différentielles de F et de G :
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dF = − SdT − PdV ; dG = − SdT + VdP
Ce sont des différentielles exactes, par conséquent (théorème de Schawrz) :
∂S ∂P ∂S ∂V
= ; − =
∂V T ∂T V ∂P T ∂T P
Comme :
l ∂S k ∂S
= et =
T ∂V T T ∂P T
On en déduit : (relations de Clapeyron)
∂P ∂V
l =T ; k = −T
∂T V ∂T P
On peut également connaître les variations de CV,mol et de CP,mol avec la température. Pour cela, on
utilise :
dT l
dS = CV ,mol + dV
T T
C’est une différentielle exacte, par conséquent :
∂ ( CV ,mol / T ) ∂ ( l / T )
=
∂V ∂T
T V
D’où, finalement :
∂CV , mol ∂2 P
= T 2
∂V T ∂T V
En utilisant cette fois S(T,P), on obtiendrait :
∂CP ,mol ∂ 2V
= −T 2
∂P T ∂T P
d) Relation de Mayer :
On identifie les deux relations de dS :
dT l dT k
dS = CV , mol + dV et dS = CP ,mol + dP
T T T T
En remplaçant dV par :
∂V ∂V
dV = dT + dP
∂T P ∂P T
Il vient :
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dT l ∂V ∂V dT k
dS = CV , mol + dT + dP = CP , mol + dP
T T ∂T P ∂P T T T
D’où :
1 ∂V l ∂V dT k
CV , mol + l dT + dP = CP ,mol + dP
T ∂T P T ∂P T T T
Finalement :
∂V ∂P ∂V
CP , mol − CV ,mol = l =T
∂T P ∂T V ∂T P
C’est la relation de Mayer généralisée. Dans le cas d’un GP, on retrouve CP , mol − CV , mol = R .
Conclusion :
On peut mesurer CP,mol (calorimétrie, thermomètre, résistance thermique).
Connaissant l’équation d’état du fluide (théoriquement ou expérimentalement), on en déduit ensuite
CV,mol à partir de la relation de Mayer puis les coefficients calorimétriques et enfin toutes les
différentielles de U, H, S, F et G.
∂C ∂2 P
On montre facilement que V , mol = T 2 = 0 , par conséquent CV ,mol ne dépend que de la
∂V T ∂T V
température et non du volume.
On en déduit les différentielles de S et de U :
dT l dT R
dS = CV , mol + dV = CV ,mol + dV
T T T V −b
Et :
a
dU = CV , mol dT + dV
V2
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Si on suppose CV , mol indépendant de la température, on retrouve les expressions classiques de U et
de S données en 1ère année :
a
U = CV , molT − + cste ; S = CV , mol ln T + R ln(V − b) + cste
V
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b) Phénomène d’électrostriction :
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