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le prenom : Amel
le groupe : 2
En 1960 le soleil des indépendances s’est levé enfin sur les pays africains ; 18 colonies de
l’Europe en Afrique devinrent souveraines. Ces indépendances des années 1960 sont
inaugurées en 1957 par proclamation de l’indépendance au Ghana. Et contrairement à
l’Indochine et l’Algérie qui ont arrachées leurs Independence par des guerres violentes et
douloureuses, les pays d’Afrique noire ont eu leur indépendance par des négociations
pacifique. Mais après presque 60 ans d’indépendance, l’Afrique baigne encore dans
l’ignorance, la pauvreté, guerres civiles et le sous développement. Ce qui nous mène a se posé
des questions l’Afrique est elle vraiment indépendante ? Et comment expliquer décolonisation
rapide et pacifique des pays africains en 1960 ?
Au niveau politique, depuis la décolonisation, l’Afrique est dirigé par des hommes
politique qui se substitué aux anciens colonisateurs, et qui se sont davantage préoccupés par
leurs intérêts que d’intérêts des peuples dont ils prétendent défendre. En plus l’Europe ne
s’arête pas jusqu’au aujourd’hui de se mêler des affaires politiques intérieur des pays
africains ; tel que le cas de la France avec le mali.
L’indépendance n’est pas une fin en soi, mais un moyen de libération nationale et de
libération de l’Homme qui devait porter des changements des structures socio-économiques,
juridiques et politiques héritées de la domination coloniale. Et malheureusement, ce n’était
pas le cas de l’Afrique. Mais aujourd’hui l’Afrique ne doit pas attendre l’aide de l’extérieur. Il
faut qu’elle prenne son destin en main pour une renaissance africaine. Awalou Ouedraogo,
Professeur adjoint au département d’études internationales de l’Université York, a déclaré :
«On ne développe pas un continent avec des micro-projets comme construire une école…
L’Afrique est inondée d’aides, mais nous ne devons pas attendre que les instances
internationales fassent notre bonheur. Il faut réfléchir par soi-même et arrêter de tendre la
main, car 50 ans après, ça ne mène toujours à rien».