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MINISTERE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI REPULBLIQUE GABONAISE

ET DE LA JEUNESSE CHARGER DE LA Union-Travail-Justice


FORMATION PROFESSIONNELLE
…………………………………………………………..
INSTITUT DES TECHNIQUES AVANCEES

Thème

MAINTENANCE D’UN MOTEUR


A GAZ D’ENTRAINEMENT
3516
Stage effectué du 7 février 2019 au 06 août 2019

En vue de l’obtention du diplôme de technicien supérieur (DTS) en électrotechnique

Rédigé par : Supervisé par :


AWOULE Georges Leslie Brice Kombila
Étudiant en 2e année Electrotechnique Maintenance Planning

 SESSION 2019
AVANT- PROPOS
Nous trouverons dans ce modeste projet une exploitation du retour d’experience pour l’évaluation et
l’amélioration de stratégies de maintenance de certains équipements dit critiquede par leur
indisponibilité dans la chaine de production du pétrole brut sur nos different site,opéré par la société
SINOPEC .

Malgré la bonne volonté qui nous anime afin de fournir un travail excellent,nous ne perdont pas de vue
que nous ne somme pas des chevronnés en la matière et nous prieons au lecteurs avertis de bien vouloir
nous excuser des éventuelles manquements qu’ils constateront.

Nous restons donc ouvert à toutes remarques et suggestions dans le but de faire tendre ce travail
vert l’ideal…

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STAGE EFFECTUE DU 07 FEVRIER 2019 AU 06 AOUT 2019
i
REMERCIEMENTS
J’adresse mes remerciements à tous ceux qui ont participé de près ou de loin à la réalisation de cette
œuvre.
Particulièrement à la Direction Générale de la société SINOPEC
Mais aussi,
 Le départements assets integrity /maintenance précisément les services Mécanique, Electrique
et Instrumentation pour l’accueil chaleureux.
En outre je tiens à exprimer ma gratitude à mon encadreur, , Superviseur de TSIENGUI qui n’a ménagé
aucun effort pour me suivre et conseiller lors de ce stage,

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TABLE DES MATIERES

AVANT- PROPOS ........................................................................................... i


REMERCIEMENTS ......................................................................................... ii
TABLE DES MATIERES .................................................................................. iii
LISTES DES FIGURES...................................................................................... v
INTRODUCTION ........................................................................................... 2
CHAPITRE I : PRÉSENTATION DE L’ENTREPRISE. ...............................................
A. LE GROUPE SINOPEC
POLITIQUES HYGIENE SECURITE SURETE ENVIRONNEMENT .....................................................
B. LE DEPARTEMENTS ASSETS INTEGRITY /MAINTENANCE .
A. SITUATION GEOGRAPHIQUE DU SITE DE TSIENGUI
B. ORGANIGRAMME DE LA MAINTENANCE DU SITE
D. PROCESS DE TSIENGUI .......................................................................................................
A. LES RECHAUFFEURES
B. LES SEPARATEURS TRIPHASIQUES
C. LES SCRUBBERS
D. LES POMPES
E. LES COMPRESSEURS A GAZ-LIFT
F. LA GENERATION ELECTRIQUE
G. LES TANCKS DE STOCKAGE
CHAPITRE II: GÉNÉRALITÉS DU PACKAGE COMPRESSEUR GAS-LIFT . ....................................
DEFINITION
A. MOTEUR .................................................................................................................
B. AEROREFRIGERAN
C. COMPRESSEUR ..........................................................................................................

CHAPITRE III : STRATEGIES DE MAINTENANCE DES MOTEUR GAZ 3516 . ...........


DEFINITION
A. TYPE DE MAINTENANCE
MAINTENANCE CORRECTIVE
MAINTENANCE PREVENTIVE
B. POLITIQUE DE LA MAINTENANCE SUR UN MOTEUR GAZ 3516
A. Maintenance préventive
B. But de la maintenance préventive
C. Gamme opératoire pour PM16KH
D. Procédure des travaux à exécuter
CHAPITRE IV : COÛT D'UNE MAINTENANCE 16.000H D'UN MOTEUR GAZ DE TYPE 3516 .
.....................................................................................................................
A. COÛT DES PIECES DE RECHANGE
B. COÛT DE LA MAIN D'OEUVRE
C. COÛT TOTAL D'UNE PM16KH
CONCLUSION .................................................................................................
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iii
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES. ..................................................................

ANNEXES

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iv
LISTES DES FIGURES
Figure Organigramme de SINOPEC ..............................................................................................
Figure Organigramme de la maintenance du site Tsiengui .........................................................
Figure Synoptique du process de la station TSG-CPF ..................................................................
Figure Synoptique du circuit gaz de la station TSG-CPF. .............................................................
Figure Moteur à gaz CAT G3516 ..................................................................................................
Figure Aéroréfrigérant .................................................................................................................

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v
LISTE DES TABLEAUX

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vi
INTRODUCTION
Nous présentons dans ce mémoire une exploitation du retour d’expérience qui nous
permettra de faire un maintenance d’un moteur entrainement 3512 à partir des effets
sur la dynamique des processus engagés pour le retour vers un état opérationnel.
L’approche est basée sur le traitement et l’analyse des données évènementielles
recueille à partie de l’historique de comportement des équipements sur lesquels
s’applique un type de maintenance.

Notre travail est divisé en trois grande parties. A savoir :

- PRÉSENTATION DE L’ENTREPRISE ;

- GÉNÉRALITÉS SUR PACKAGE COMPRESSEUR GAS-LIFT

- STRATEGIES DE MAINTENANCE DES MOTEUR GAZ 3516 COÛT DE MAINTENANCE


DES MOTEUR GAZ 3516

- COÛT DE MAINTENANCE DES MOTEUR GAZ 3516

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CHAPITRE I : PRÉSENTATION DE L’ENTREPRISE.

A. Le groupe Sinopec

Addax Petroleum a été créé en 1994 par le groupe ADDAX et Oryx compagnies. En
Octobre 2006, la société rachète la compagnie pétrolière américano-canadienne
PanAfrican Nze et devient ainsi Addax Petroleum Gabon. En août 2009, elle devient une
filiale de China Petrochemical Corporation (Sinopec Group), un des plus grands
producteurs de pétrole et de gaz en Chine, plus gros raffineur de pétrole en Asie et
troisième dans le monde. Cette société a alors évolué en développant un savoir-faire dans
l’exploration et la production de ressources pétrolières et gazières à travers une expansion
stratégique en Afrique, au Moyen-Orient et en Mer du Nord. En effet, Addax Petroleum a
une base active de haute qualité composée d’un certain nombre d’explorations onshore et
offshore, des champs de production au Nigeria, au Cameroun, au Gabon, dans la région du
Kurdistan Irakien, ainsi que sur le plateau continental de la mer du Nord britannique.

L’entreprise opère au Gabon sous l’appellation Addax Petroleum Oil and Gaz Gabon
Inc. depuis l’année 2014. Son capital, soit 55 millions de Francs CFA, est détenu à 100% par
Sinopec via APL (Addax Petroleum Limited) basée à Genève en Suisse. APOGG compte à ce
jour 360 employés dont 90% sont de nationalité gabonaise.
Les sites on shore d’APOGG couvrent une superficie totale de 1284 km2 et se composent
d’une zone de licence regroupant : les sites Obangué Centre, OBANGUE-Est, TSIENGUI,
OTOUR, AWOUN et Rabi.
Actuellement, les champs opérés d’APOGG sont OBANGUE-Est,
TSIENGUI et Rabi.
De plus, depuis le 01 janvier 2016, la société APOGG a la responsabilité opérationnelle du
champ d’AKONDO de Sino-Gabon.

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B. LE DEPARTEMENT ASSETS INTEGRITY/MAINTENANCE

Le départements assets integrity /maintenance est le plus grand département de la


société SINOPEC Addax Petroleum, et à en charge de produire le pétrole brut après
détection dans la zone de permis attribué par l’état Gabonais. Pour connaitre
l’existence du pétrole dans une zone, une étude géologique est faite par le
département. Le département projet et forage viennent aménager l’endroit et placer
tous les équipements nécessaires à la production.
Enfin le département opération à la charge de produire le pétrole brut.

Ce département a pour rôle d’assurer la production des puits jusqu’à la station


avant exportation, le département des opérations doit faire en sorte que les objectifs fixés
par la société atteint en terme de production et de maintenance des équipements. Ainsi
nous disons que le département des opérations a la charge de produire le pétrole brut et
de s’assurer de la bonne production. Ce département doit communiquer aux département
le nombre de baril de pétrole produit par jour, par mois et par ans.

Assistance OPS

Prod.Support Vacant Mechanical


& Maintenance coordinator inspection
Programming advisor

Elec /instrum/syst Resp Method


CMMS
Mechanical

intrumentist Support meca

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B. LE SITE TSIENGUI

A. SITUATION GEOGRAPHIQUE DU SITE TSIENGUI

Le site Tsiengui (TSG) est le lieu où nous avons effectué notre stage. Il est localisé
dans la province de la Ngounié à 120 km Nord-Ouest de la ville de Mandji. Il
compte actuellement dix plateformes extérieures encore appelées PADs, à savoir
les PADs A,B, C, D, E, E1, F ,G, et L permettant la production d’huile et dispose
aussi d’une station de traitement appelée CPF. On y retrouve plusieurs corps de
métier à savoir : la mécanique, l’électricité, le système, l’instrumentation et la
production bien que tous soient réunis dans le département des opérations. Ce
département assure la production d’huile ainsi que la maintenance des
équipements

B. ORGANISATION DE LA MAINTENANCE DU SITE

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C. POLITIQUE HYGIENE SURETE ENVIRONEMENT

La société SINOPEC considère comme primordiaux la santé et la sûreté du personnel


présent sur leurs sites, la sécurité de leurs opérations et le Respect de l’environnement
pour la bonne marche des activités opérationnelles. Ainsi, un système de management
HSSE assurant l’intégrité des installations, la compétence des équipes et le développement
d’une culture HSSE vivante au sein de l’entreprise a été mise en place. Afin d’atteindre ses
objectifs sur le plan de la sécurité, SINOPEC s’appuie sur les différentes politiques HSSE à
savoir :
LES 12 REGLES DE SECURITE

1. SECURITE PERMIS DE TRAVAIL OBLIGATOIRE


2. OBLIGATOIR PROTEGER L’ENVIRONEMENT
3. TOUJOURS PORTER LES EQUIPEMENTS DE PROTECTION INDIVIDUELS
4. ARRET ET INFOMER TOUTES OPERATION NON SECURITAIRE
5. UTILISAYION DES EQUIPEMENTS ANTI-CHUTE LORS DE TRAVAUX EN HAUTEUR
6. NE PAS DEPASER LES LIMITATIONS DE VITESSE
7. CEINTURES DE SECURITE OBLIGATOIRE
8. NE JAMAIS UTILISE LES TELEPHONES AU VOLANT
9. PENETRER DANS LES ESPACES CONFINES QU’AVEC AUTORISATION
10. NE JAMAIN SE PLACER SOUS LES CHARGES SUSPENDUES
11. GARDER LES SYSTEMES DE SECURITE OPERATIONNELS
12. NE PAS ETRE SOUS L’INFLUENCE DE L’ALCOOL OU DE LA DROGUE

La politique anti-tabac établit l’interdiction formelle de fumer dans toutes les installations
pétrolières parce que le site dispose de zones fumeur. Elles sont principalement situées dans
des aires extérieures avec des contenants appropriés.

La politique anti-Drogue et Alcool met en exergue les risques de travailler en état d’ébriété
et sous l’emprise des drogues. Il est donc prohibé de se présenter au travail dans cet état et
même de vendre ces substances illicites.

La politique HSSE Environnement à pour objectif de protéger l’environnement le mieux


possible. Cela passe par la mise en place de plans de prévention et de lutte contre la
pollution, des plans de gestion de l’environnement, réaliser des audits environnementaux.
La politique HSSE Conduite de véhicules met l’accent sur la sécurité lors des transports en
encourageant la prévention des risques routiers. Il est nécessaire que la sécurité des
conducteurs, des passagers soit assurée en permanence. Aussi, il est interdit de conduire
sans permis, sans ceinture de sécurité, sans documentation légale, de dépasser la limitation
de vitesse, de transporter des personnes sur le plateau arrière des pick-up. Le conducteur se
doit de suivre une formation en conduite défensive. 
Additionné à cela, des réunions de
sécurité (safety meeting) ont lieu tous les dimanches pour faire le point sur les événements
de la semaine et rappeler les principales règles de sécurité.

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D. PRESENTATION DU PROCESS DE TSIENGUI

Extrait sur les plateformes extérieures (PAD), le pétrole brut est un mélange forme
de trois éléments principaux : l’huile, l’eau, le gaz et d’autre corps tels que les sels
minéraux, le sable …
La station tsiengui est constituée des équipements suivants : un manifold d’entrée,
cinq (6) heaters, quatre (6) séparateurs, trois (6) tanks de stockage…

Dans cette partie, il sera question de définir le rôle des équipements importants
dans le traitement de l’huile

a. Les réchauffeurs
Placés juste du manifold (premier équipement de la chaine de traitement,
permettant la collecte du pétrole brut des puits), les réchauffeurs permettent d’élever la
température du brut par échange thermique : le brut circule dans le réchauffeur via des
serpentins qui eux baigne dans de ‘eau chaude ce qui augmente la température du brut
pour mieux effectuer la séparation au niveau des réchauffeurs.

Ci-dessous une représentation d’un réchauffeur

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b. Les séparateurs
Les séparateurs sont placés à la suite des réchauffeurs sur la chaine de traitement, ils
constituent donc un des éléments essentiels au traitement. Ce sont des capacités sous
pression incorporée à un circuit où elle provoque un ralentissement de la vitesse
d’écoulement du pétrole brut. Il se présente comme un réservoir cylindrique dispose
horizontalement.
A TSIENGUI, ils sont au nombre de 6, et le type de séparateur utilise est triphasique :
eau/huile gaz que l’on représente comme suit :

Figure : principe de fonctionnement des séparateurs

Figure
Principe de la séparation :
A la sortie des réchauffeurs , le pétrole brut est chauffe à une température variant entre
60°c et 50°c pour le rentre plus fluide et permettre sa séparation .De plus ,à l’entrée du
séparateur ,une chute de pression (de 90psi à 70psi) permet au gaz de s’évaporer et passe
parles plaque de tranquillisation pour une stabilisation en pression par une tamis (mist
extractor) avant de sortie .L’effet de densité , les effets des produits chimiques et les
conditions de pression et de température du séparateur , déclenche la distinction de l’huile
et de l’eau . L’huile plus légère que l’eau, s’élevé jusqu’à la collision débordement et se
déverse dans le compartiment huile. L’eau étant plus lourd, elle va être retenue dans le 1er
compartiment.

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c. Les scrubbers
Le scrubber est un réservoir cylindrique dispose verticalement. Il a pour rôle de sèche le gaz.
A la sortie, le gaz sert à alimenter les compresseurs (scrubber...) et les générateurs à gaz
(scrubber...). Il d’un tamis qui se charge de filtre le gaz et retenir les corps lourds qui s’y trouvent.

Ci-contre, une représentation d’un scrubber.

Figure : principe de fonctionnement des scrubbers

Figure

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d. Les pompes
Ce sont des équipements mécaniques destinés à évacuer les liquides : prendre un
liquide à un pression P1 et apporte à un pression P2 tel que P2 supérieur à P1.
A TSIENGUI on trouve une variété de pompes. Dont les principales sont :

- Les pompes centrifuges : elles sont utilisées pour le transfert d’eau industrielle, le
dépotage gasoil et levage des pompes alternatives ;
- Les pompes volumétriques : on les utilise pour l’expédition d’huile vers la station
de pompage de RABI, pour l’injection d’eau, celle des produits chimiques et pour
le recyclage des fluides.
Ci-dessous une photographique des pompes boosting et des pompes
d’expéditions (NATIONAL) :

e. Les compresseurs gaz-lift


Les compresseurs sont des équipements qui permettent d’augmenter la pression du gaz.
Entraine par un moteur thermique, il se compose de deux parties : une qui les pièces
en contact avec le gaz et qui participe directement à la compression, et d’autre qui
transforme le mouvement de rotation continu de la machine entrainement à un
mouvement alternatif.
A tsiengui, on l’utilise pour l’assistance certain puits de production de faible pression
par réinjection de gaz d’où le nom de gas-lift.

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f. La génération électrique
La génération électrique est l’ensemble des équipements présents sur site dont le but est
de produire l’énergie électrique. Dans le cas de la station TSG, on a quatre groupes
électrogènes dont trois à gaz et un bi-fuel (pouvant fonctionner avec 30%gaz+70%gasoil)
qui délivrent une puissance active disponible de 2740kw.

Ci-dessous, une photographie des génératrices à gaz bi-fuel :

Figure

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g. Les tanks
Les tanks de stockage sont les lieux de brut après séparation. Sur le site de tsiengui nous
avons 6 tanks de stockage :
- Pour le stockage de l’huile :
- Pour le stockage de l’eau :
- Et le tank poubelle qui est un mélange de l’huile, d’eau des sels minéraux

Figure

Circuit du gaz.

A la sortie des séparateurs 1er étage, et, le gaz est envoyé aux scrubbers et. Ce gaz
servira en partie pour la production de gas-lift, pour l’alimentation des scrubbers et, l’autre
partie est brûlée à la flare (torchère).

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Le gaz sorti des séparateurs 2ème étage et est envoyé vers les scrubbers et (scrubbers
alimentant les utilités de la station). Dès sa sortie des scrubbers, il est utilisé pour alimenter
les génératrices à gaz, et les chaudières à gaz.

Synoptique du circuit gaz de la station TSG-CPF.

Circuit d’eau.

A la sortie des séparateurs, l’eau va être stockée dans le tank TK3 pour être acheminée
directement vers les pompes boosting eau. A la suite elle sera envoyée vers les pompes
exports eau. Cette eau sera utilisée pour les puits d’injection d’eau.

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CHAPITRE II: GÉNÉRALITÉS SUR PACKAGE COMPRESSEUR GAS-LIFT

DEFINITION

Les compresseurs sont des équipements mécaniques permettant d’accroitre la


pression d’un gaz. Ils sont soumis à des contraintes notamment de pressions, de
températures et/ou liées à la nature du gaz.

Il existe deux grandes familles de compresseurs.


Il s’agit :
 De compresseurs volumétriques. Dans cette famille de machine on distingue :
 Les compresseurs volumétriques alternatifs à piston, à membrane ;
 Les compresseurs volumétriques rotatifs à palettes, à lobes, à vis, à anneau
liquide.
 De turbocompresseurs. Dans cette famille on a :
 Les compresseurs centrifuges ;
 Les compresseurs axiaux.

L’ensemble qui le compose est constitué de :


 Quatre scrubbers d’aspiration (étage 1 à 4) ;
 Un compresseur constitué de quatre cylindres ;
 Un moteur ;
 Un panel de commande ;
 Un aéroréfrigérant ;
 Et les auxiliaires.
Ci-dessous une photographie du compresseur gas-lift :

Rôle du compresseur gaz-lift dans le process.

La fonction principale du compresseur alternatif à gaz dans la production pétrolière est


d’assister le gaz dans les puits producteurs d’huile.
En effet, il existe au niveau des plateformes (PAD) du site des puits éruptifs, semi-éruptifs
et non éruptifs et le rôle du compresseur alternatif à gaz est d’augmenter la pression du
gaz en le comprimant. Ce gaz servira à la réinjection dans les puits de faible pression c’est-
à-dire des puits ayant un besoin continu en gaz pour mieux produire.

A. Moteur d’entrainement.

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Chaque compresseur a besoin d’un moteur d’entrainement, un moteur électrique ou un
moteur thermique, dans notre cas il s’agit d’un moteur à gaz CATERPILLAR G3516 (1265
HP/ 1400 tr/min) voir figure. Ce moteur est composé de 16 cylindres et relié au
compresseur par un accouplement mécanique.

Figure Moteur à gaz CAT G3516

B. Aéroréfrigérant.

L’aéroréfrigérant est un dispositif permettant de transférer l’énergie thermique du fluide


interne vers l’air extérieur. Généralement on utilise cette méthode pour refroidir un liquide
ou un gaz. Il est composé d’une surface d’échange et d’un moyen de ventilation.
Sur le site TSG, on compte 4 aéroréfrigérants, ils sont utilisés pour le refroidissement du
gaz des compresseurs à gaz.

Aéroréfrigérant

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Lorsqu’un gaz est comprimé sa température augmente. Cette chaleur se dissipe dans les
différentes parties du compresseur. Il est donc nécessaire de prévoir un système de
refroidissement via l’aéroréfrigérant.
Figure Circuit de refroidissement du compresseur

Figure du refroidissement du gaz

B. Compresseur gaz-lift.

Pour réinjecter le gaz dans le cadre de l’assistance des puits, on utilise un compresseur. À la
station de Tsiengui, il s’agit du compresseur Ariel JGE/4. On utilise 4 compresseurs de ce
type, situés au PAD compresseur, appelé aussi TRCP.
C’est un compresseur alternatif à pistons à double effet à 4 cylindres et 4 étages. Il
augmente la pression du gaz issu du traitement au CPF.

Figure Compresseur alternatif du type Ariel JGE-4

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 Description du compresseur gas-lift.

Le compresseur gaz lift se compose de plusieurs éléments :

 Le bâti :
C’est l’enveloppe qui protège le vilebrequin, il est fermé de façon
étanche et contient l’huile de lubrification.

 Les cylindres :
Au nombre de 4, ils sont le siège de la compression du gaz, leur taille
décroît avec le nombre d’étages.

 Les scrubbers :
Ils peuvent être assimilés aux étages du compresseur, ils sont aussi au
nombre de 4 et sont placés à l’aspiration de chaque étage, leur rôle est
de sécher le gaz en le séparant des condensats.

 Les ballons anti-pulsatoires :


Sur chaque étage, nous avons deux ballons anti-pulsatoires. L’un à l’aspiration et l’autre au
refoulement du gaz. Ces ballons absorbent les crêtes de pressions et de pulsations. En effet
plus la section de conduite est petite et plus les crêtes de pression augmentent. C’est
pourquoi il convient de prévoir des ballons anti-pulsatoires pour minimiser ces fluctuations
de pression.

 Principe de fonctionnement. [20]

Le compresseur Ariel JGE/4 utilise un piston qui se déplace dans un cylindre pour
compresser le gaz, pour comprendre ce qui s’y passe on doit faire appel à des notions de
base en thermodynamique. Le cycle idéal de compression est sans échange de chaleur avec
le milieu extérieur (adiabatique) et dit isentropique.

Le cycle de compression.

Le cycle de compression idéal ou cycle de Carnot peut être décomposé en quatre


étapes : la compression, le refoulement, l’expansion et l’aspiration. On est aidé en
se référant à la figure ci-dessous. Pendant la compression le volume de gaz est
réduit par le mouvement du piston, le gaz contenu dans le cylindre est comprimé, la

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température et la pression augmentent. Cela correspond à l’arc de courbe AB.
L’évolution de la pression suit la loi PVk = constante.
Au refoulement, lorsque la pression à l'intérieur de la chambre dépasse la
pression du circuit
De refoulement, les clapets de refoulement peuvent s'ouvrir et
le gaz est refoulé. La pression cesse de croître. Il s’agit de l’arc de courbe BC.
Au cours de l’expansion (arc CD), lorsque le piston s'éloigne de la tête du
cylindre, le gaz emprisonné sous pression dans le volume mort se détend. La
température et la pression baissent.
Dès lors, la phase d’aspiration commence (arc DA), lorsque la pression dans
la chambre devient inférieure à la pression du circuit d'aspiration, les clapets
d'aspiration s'ouvrent. Le gaz pénètre dans la chambre. Il est important de noter
qu’il s’agit d’un cylindre à double effet, donc pendant le mouvement du piston
entre le PMH et le PMB, le cylindre présente une chambre basse pression où se
déroule l’aspiration du gaz et une chambre haute pression où se déroule le
refoulement du gaz pendant sa compression. L’aspiration et le refoulement
s’opèrent instantanément dans les deux chambres pendant la course du piston dans
le cylindre.

Figure 2-8 Cycle de compression idéal.

 Le volume de gaz aspiré par le compresseur est inférieur à sa cylindrée. Cet écart
est dû à la phase d'expansion d'autant plus importante que le volume mort est
important.
 Le volume aspiré dépend également de la nature du gaz et plus exactement de la
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𝐶𝑝
valeur de leur ratio de constantes de chaleur spécifiques 𝑘 = 𝐶𝑣
.
 La cylindrée est le volume de gaz comprimé par le piston dans le cylindre entre le
PMH et le PMB. Sa formule est donnée par :

𝐶𝑦𝑙𝑖𝑛𝑑𝑟é𝑒 = 𝑉𝑃𝑀𝐻 − 𝑉𝑃𝑀𝐵

Où VPMH désigne volume balayé par le piston au point mort haut et VPMB désigne le
volume balayé par le piston au point mort bas.

Le taux de compression.

Le taux de compression est la proportion entre la pression absolue d’aspiration et la


pression absolue de refoulement du compresseur au niveau de chaque cylindre. Il
est constant sur chaque étage et ne comporte pas d’unité de mesure. Sur les
compresseurs multi-étages, le taux de compression effectif sur chaque étage est
autodéterminé à cause du gaz venant des étages inférieurs. Le taux de compression
sur chaque étage varie en fonction du changement de rendement des autres
étages. Il est donné par la relation suivante :

Pression𝑟𝑒𝑓
τ=
Pression𝑎𝑠𝑝
Avec :
τ: Taux de compression
Pressionref : Pression de refoulement de l’étage.
Pressionasp : Pression d’aspiration de l’étage.

L’espace mort.

Le pourcentage d’espace mort est utilisé pour calculer le rendement volumétrique


d’un cylindre, c’est le ratio du volume mort au déplacement du piston exprimé
comme suit :

𝑣𝑜𝑙𝑢𝑚𝑒 𝑚𝑜𝑟𝑡 (𝑖𝑛3 )


%𝐶𝐿 = × 100
𝑐𝑦𝑙𝑖𝑛𝑑𝑟é𝑒(𝑖𝑛3 )

L’information nous est aussi donnée sur la plaque d’identification de chaque


cylindre. L’espace mort est le volume laissé dans le cylindre à la position C, voir
figure. C’est la zone à la tête du cylindre qui n’est pas balayé par le mouvement du
piston. Généralement, les cylindres larges sont plus affectés par le volume mort
entre le piston et la tête de cylindre. Contrairement aux petits cylindres affectés par
l’espace dans et sous les clapets. Le pourcentage d’espace mort est une information
vitale pour les calculs sur les compresseurs alternatifs, c’est pour cela qu’une plaque
d’identification est indispensable.
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CHAPITRE III : STRATEGIES DE MAINTENANCE DES MOTEUR GAZ 3516

DEFINITION
La maintenance qui peut se définir comme étant l’ensemble des actions permettant de
maintenir ou de rétablir un bien dans un état spécifie ou en mesure d’assurer service
détermine. Effet, maintenir, c’est donc effectuer des Operations (dépannage, graissage,
réparation, amélioration, vérification,) qui permettent de conserver le potentiel du matériel
pour assurer la continuité et la qualité de la production ainsi que la sécurité d’opération.

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A. TYPE DE MAINTENANCE

Maintenance

Corrective Préventive
Le système est en panne La production est
La production est stoppée assure par le système

Dépannage Réparation Amélioration

Le système est la partie le système est


remis concernée du réparé et
provisoirement système est améliore en
en service remis en état vue de diminuer
d’origine pannes et
anomalies

Fonctionnement jusqu’à rupture. Les temps


d’intervention sont des temps de perte de production

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Routine Auto-maintenance Périodique Systématique Conditionnel

Rondes de activités visite de remplacement intervention


vérification, de spécifique vérification à de composants déclenchée par un
lubrification, de accomplie par les intervalle base sur une signal d’usure ou
calibration operateurs régulier en vue estimation de un rapport
de décelé les leur durée de d’analyse
défaillances vie moyenne Prédictive

Les interventions s’effectuer Les interventions peuvent s’effectuer pendant les arrêts de
pendant les arrêts. Les réglages ,les la production, les congés …
mise en route et au début ou à la fin
des quarts de travail Elles doivent être programmés l’analyse prédictive
à partir d’un calendrier ou peut être réalisée
d’un compteur en cours de production

Figure : Classification des types de la maintenance


B. POLITIQUE DE LA MAINTENANCE SUR UN MOTEUR GAZ 3516

La maintenance couvre plusieurs activités allant du simple suivi de


fonctionnement des équipements jusqu’à leur renouvellement entier : elle doit être
menée dans les conditions optimales visant un certain compromis entre le cout
l’intervention de la maintenance et les pertes pouvant résulter de l’immobilisation des
équipements en cas de non intervention.
Pour mieux gère la maintenance des équipements la société SINOPEC a mis en place un
logiciel GMAO (logiciel de la gestion de maintenance assistée par ordinateur).

Ainsi une GMAO permet la gestion complète du parc machine, l’analyse du curatif,
l’organisation des interventions préventive et corrective…

Etant donné les suivis de maintenance effectués par l’équipe méthode lors de nos
différentes interventions, nous allons vous présente la maintenance préventive sur
les moteurs gaz 3516 dont nous avons eu l’occasion traite.

A. Maintenance préventive

Maintenance effectuée selon des critères prédéterminés, dont l’objectif est de


réduire la probabilité de défaillance d’un bien ou la dégradation d’un service
rendu. Elle doit permettre d’éviter les défaillances des matériels en cours d’utilisation.
L’analyse des coûts doit mettre en évidence un gain par rapport aux défaillances qu’elle
permet d’éviter
Comme cela a été dit, la maintenance préventive permet de détecte les défauts dans le
temps et de les corriger grâce à des impactions périodiques effectuées par des experts.
De cette façon, les entreprises empêchent les arrêts d’usines, affectant la production et
empêchant l’amortissement et même la perte totale de l’équipement

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B. But de la maintenance préventive :

o Augmenter la durée de vie des matériels


o Diminuer la probabilité des défaillances en service
o Diminuer les temps d’arrêt en cas de révision ou de panne
o Prévenir et aussi prévoir les interventions coûteuses de maintenance
corrective
o Permettre de décider la maintenance corrective dans de bonnes
conditions
o Éviter les consommations anormales d’énergie, de lubrifiant, de pièces
détachées, etc.
o Améliorer les conditions de travail du personnel de production
o Diminuer le budget de maintenance
o Supprimer les causes d’accidents graves

Il s’agit d’une planification élabore par le service technique(méthode) de la


maintenance.

Certains relevés des paramètres journaliers effectuer sur nos moteurs :

*niveau d’huile moteur ;


*niveau d’eau ;
*niveau de la réserve combustible ;
*régime du moteur ;
*température de l’eau de refroidissement ;
*température d’échappement ;
*test voyants et indicateurs ;
*contrôle visuel de l’état des organes ;
*contrôle auditif des bruits de marche ;
*contrôle des batteries…

Pour assure une bonne gestion de nos équipements, les constructeurs on la


maintenance a mis en place certains types de maintenance préventive.

Maintenance préventive 4.000h ;


Maintenance préventive 8.000h ;
Maintenance préventive 16.000h ;
Maintenance préventive 24.000h ;
Maintenance préventive 48.000h…

Ainsi notre l’analyse c’est porte sur la maintenance préventive 16000h des moteurs
gaz 3516 qui ont un rôle important au sien notre de l’entreprise, les moteurs à gaz

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3516 ont une gamme opératoire de maintenance associée afin d’améliore et de
garantir un fonctionnement optimal.

Mise en place d’un plan de maintenance dans la GMAO(coswin) qui va génère des OT
sur les équipements dis critique.
Après vérification des compteurs des moteurs, si ces derniers ont atteint les heures de
marche indique par le constructeur (8000h,16000h…) alors ils passent en
maintenance.
Figure…

C. Gamme opératoire pour une PM 16kh (voir annexes)

D. Procédure des travaux à exécuter

• Consignation électrique et mécanique Consignation électrique et


mécanique
• Vidange générale
• Dépose, des supports filtres à air et des panels d’instruments
• Dépose, de la ligne d’eau principale, de la ligne d’eau auxiliaire et de la
ligne gaz
• Dépose des reniflards, des caches culbuteurs, des transformateurs
d’allumages, bougies et des culbuteurs
• Dépose, des lignes d’air de turbos et des cartridges turbo
• Dépose, des rehausses, des collecteurs et des thermocouples
• Dépose du faisceau moteur et des trappes de visites arbres à cames
puis inspection des arbres à cames
• Dépose des collecteurs d’eaux
• Dépose des vis de culasses et des vis de collecteurs admission et
échappement
• Dépose des culasses, joins et des par-flammes
• Exécution de la métrologie des cylindres et des anciennes culasses
• Dépose du damper, remplacement du joins spi avant et remontage du
damper
• Découplage du groupe, dépose du volant moteur, remplacement du
joint spi arrière puis remontage du volant moteur et réassemblage du
groupe
 Dépose des reniflards, des caches culbuteur, des transformateurs
d’allumages, bougies et des culbutes.
 Dépose, des lignes d’air de turbos et des cartridge turbo
 Dépose, des rehausses, des collecteurs et thermocouple
 Dépose du faisceau moteur et des trappes de visites arbre

 Nettoyage et remontage de nouvelles pièces


Réglage des culbuteurs, mise en huile du circuit et prise des compressions
avec des nouvelles pièces
 Mise en eaux des circuits puis test de démarrage
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NB. 2 jour de marche probatoire

CHAPITRE IV : COÛT DE MAINTENANCE DES MOTEUR GAZ 3516

Cependant, le but ultime de toute maintenance est de réduire les dépenses liées à un
équipement en minimisant le cout global de celle-ci. Il s’agit du coût de maintenance.
Auquel on ajoute celui des défaillances matérielles, celui des stocke de maintenance
ainsi que l’amortissement de surinvestissement de maintenance.

A. COÛT DES PIECES DE RECHANGE

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B. COÛT DE LA MAIN D'OEUVRE

Pour réalise une maintenance 16000h sur un moteur cat3516 le temps d’exécution de
12 jours.

Type de Nombre de Tarif Tarif Week-end Tarif pour 12


Techniciens technicien journalier jours
Mécanicien 1 300.000 450.000 3.900.000
Electricien 1 300.000 450.000 3.900.000
Superviseur 1 580.000 700.000 7.200.000

Alors le tarif de la main d’œuvre d’une PM16kh est 15.000.000 million FCFA

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C. COÛT TOTAL D'UNE PM16KH

COUT TOTALDES PIECES DE RECHANGE


COUT TOTALDES DE LA MAIN D’ŒUVRE 15.000.000

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CONCLUSION

En conclusion nous dirons que ce travail nous a permis de comprendre la stratégie de maintenance
des moteurs gaz de type 3516 et en particulier le cout génère d’une PM 16000h , qui peut être
déterminante pour la réussite d’une entreprise. Commented [GLA1]: Comprendre la STRATEGIES DE
MAINTENANCE DES MOTEUR GAZ 3516 et en particulier
COÛT GENERE D’UNE MAINTENANCE 16.000H DES
Le suivi par l’Asset Integrity de différentes actions mise en place amené à une organisation et un MOTEURS A GAZ DE TYPE 3516
renseignement plus pointilleux de toute action à accomplir. Aussi la formation des mécaniciens et
électriciens sur la maintenance des moteurs Caterpillar sera un atout dans les différentes actions
entreprises.

Un bon suivi du préventive évitera une maintenance corrective qui affecte les objectifs définis par
la politique de la maintenance de SINOPEC Addax Petroleum. Cette maintenance étant plus
couteuse nous amené à un dépassement du budget alloué annuellement.

Toutefois, la maintenance reste stratégique car elle reste propre à chaque équipement à maintenir.

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REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES .................................................................

ANNEXES

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES.

[1] Thierry DESTOOP, « Compresseurs volumétriques », Technologie des compresseurs


volumétriques, Chapitre 1, Association Française de Normalisation AFNOR, page 3.

[2] TOTAL, « Les Equipements, les compresseurs », Les fonctions des compresseurs,
Chapitre 2, 2007.

[3] TOTAL, « Les Equipements, les compresseurs », Principe de fonctionnement des


compresseurs, Chapitre 3, 2007

[4] ADDAX PETROLEUM, « Circuit de refroidissement via l’aéroréfrigérant », Le système de


refroidissement côté compresseur, Chapitre2, 2012.

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ANNEXES
Annexes 1: Job Safety Analysis.

Annexes 2 :

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