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MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENTSSUPERIEUR ET
DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
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UNIVERSITE NATIONALE DES SCIENCES, TECHNOLOGIES,
INGENIERIE ET MATHEMATIQUES (UNSTIM) ABOMEY
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INSTITUT UNIVERSITAIRE DE TECHNOLOGIE DE LOKOSSA
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DEPARTEMENT DE GENIE CIVIL
1. Unités........................................................................................................4
2. Actions et sollicitations.............................................................................4
3. Etats limite................................................................................................5
4. Vérifications..............................................................................................6
5. Combinaisons d’actions............................................................................8
1. Définitions..............................................................................................12
3. Contraintes d’adhérence.........................................................................14
1. Introduction.............................................................................................17
3. Vérifications............................................................................................18
5. Armatures transversales..........................................................................19
2. Elancement..............................................................................................21
3. Armatures longitudinales........................................................................23
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3ème Année GC/12ème Groupe/IUT-Lokossa/U.N.S.T.I.M.
4. Armatures transversales..........................................................................26
1. Introduction et généralité........................................................................27
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3ème Année GC/12ème Groupe/IUT-Lokossa/U.N.S.T.I.M.
1. Vérification du béton..............................................................................46
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3ème Année GC/12ème Groupe/IUT-Lokossa/U.N.S.T.I.M.
LES GENERALITES.
1. Unités.
L →m
b, h → cm
2. Actions et sollicitations.
- Actions permanente → G
- Actions variables → Q
- Charges accidentelles → F
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Sollicitation : ce sont les forces et les moments crées par les actions. On
distingue :
- L’effort normal→ N
- L’effort tranchant → V
- Le moment fléchissant → M
- Le moment de torsion → T
- Charge ponctuelle :
G= ρ× V =ρ × L ×b × h
ρ=250 kg/m 3
- Charge répartie
g= ρ× S=ρ × b× h
Actions variables.
3. Etats limite.
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- L’équilibre statique,
4. Vérifications.
A l’ELU.
f e f cj f tj
S
[ ∑ γ ; φi Q i ] ≤ R
i
[ ; ;
γs γb γb ]
A l’ELS.
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[ (∑ φ Q ) ] ≤ σ
σ S
i
i i lim ¿
´ et ou N ¿
; S=M
´ /N ¿
[ (∑ φ γ ) ] ≤ f
f S
i
i i lim ¿ ; S=M
Suivant la nature des déformations, les éléments sont soumis à des sollicitations
précises :
M T =M [ 1 .35 ( G pp +G pt ) ]+ M ( 1 .5 Qexp )
V T =V [ 1. 35 ( G pp +G pt ) ] +V ( 1 .5 Qexp )
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MT ≤ M R
VT≤VR
5. Combinaisons d’actions.
{1.35G+1.5 Q+1.3 W
1.35G+1.5 W +1.3 Q
{G+G+Q+W
Q+ 0 .77 W
Le béton.
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Il est caractérisé par une résistance à la compression notée f c28 . Cette dernière est
laissée à l’appréciation du projecteur BA.
L’acier.
j
f cj= f ; f ≤ 40 MPa
4 .76+ 0 .83 j c28 c 28
j
f cj= f ; f > 40 MPa
1 .1+0 . 95 j c 28 c 28
On peut aussi : f tj =0 .6 +0 . 06 f cj .
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0 .85
On a : f bu= θ γ f c28
b
γ b: coefficient de sécurité.
γ b= {1.151.5dans≤cas
dans≤cas général
accidentel
2
0 0
Pour : 0 ¿00 ≤ σ bc ≤ 2 ¿ 00 ; σ bc=
0 . 85
f
[ (
θ γ b c 28
1−
2 .10−3−ε bc
2 .10−3 )]
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fe
f su = avec γ s = 1, 5 dans≤cas g é n é ral
{
γs 1 dans≤cas accidentel
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1. Définitions.
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Ex : les armatures inférieures se présentent en deux (02) lits de trois (03) files.
e
c ( et ct )=max
{ ∅
1 cm
∅ : diamètre.
NB : c et ct se gèrent sur le chantier avec des cales à béton (appelées « biscuits »
en jargon de maçons).
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0
- Granulat fin : sable 5
concassé↔ Nord
NB :
∅
e h ≥ max 1.5 C{g
8. Contraintes d’adhérence.
C’est le rapport de la variation de force de traction sur le périmètre de
l’armature.
dF
τ=
( dx )
s
∅π
Au-delà de cette contrainte, l’armature perdra son enveloppe vue que la limite
du béton en traction est atteinte.
τ ≤ τ su =0 .6 Ѱ 2s f tj
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f tj =0 .6 +0 . 06 f cj
∅ fe
ls = ×
4 τ su
50 ∅ pour HA 500
{
De façon empirique, pour un f c28 ≤25 MPa ; l s = 40 ∅ pour HA 400
Armatures longitudinales.
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Armatures transversales.
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1. Introduction.
Inconnues : A s ( A su ; A ser )
N u= A su × f su
Nu ef
A su=
f su
avec f su= Ɣ
s
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N ser = A ser × σ´ s
N ser
A ser=
σ́ s
- en FTP : σ´ s=max ¿ ¿
10.Vérifications.
Inconnues : σ s ( ≤ σ´ s ).
● Si FP ou FTP → σ s ≤ σ´ s
N ser
σ s=
A ser
A s × f e ≥ B × f tj avec f tj =0 .6 +0 . 06 f cj
B
d’où A smin= f f tj
e
NB :
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12.Armatures transversales
A la fissuration préjudiciable, vérifier que A su ≥ A smin.
f et
At × ( )
St
=m× π × ∅ × τ su
A t × f et
St ≤
m× π ×∅ ×τ su
En zone courante :
St ≤ a
Schémas de ferraillage.
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A s; FP ; FTP=max ( A su ; A ser ) =A se
13. Elancement.
Dans le cas d’un bâtiment, on considère le cas d’un poteau encastré à l’extrémité
inférieure et articulé à celle supérieure. Avec Lf =0.7 ×l o
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I1 I
K 1= ≥ K 3= 3
L1 L3
K2 ≥ K3
Poteau coulant.
K1 , K 5≥ K2
K3 , K 4 ≥ K 2
Le rayon de giration i
I
i=
√ B
Avec I, le moment d’inertie dans le sens du flambement.
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λ=4 ( Ld )
f
Il est exigé que les armatures transversales qui maintiennent les armatures
longitudinales en place, aient un espacement ne espacement ne dépassant pas
15 ∅ l.
Pour que toutes les armatures longitudinales dans une pièce comprimée de façon
centrée travaillent, il faut que l’élancement λ soit ≤35 (sachant que λ max=70 ).
0 .7 ×l 0 × √ 12
λ= ≤ 35
a
0. 7 ×l 0 × √ 12
a≥
35
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Br × f bu
β × k × N u ≤θ +0 . 85 × A su × f ed
0.9
Avec :
En absence d’une valeur de « k », on prendra après l’avoir précisé : k =1 .1; pour
la majorité des charges appliquées avant 90 jours.
λ 2
1+0 . 2 ( )
35
si λ ≤50
λ2
0 . 85 × ( )
1500
si50< λ ≤70
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(D−0 .002)2
Br (cercle)=π
4
1 Br f bu
⇒ A su ≥
0,85 f ed [
K β N u −θ
0,9 ]
A l’insu de la détermination de A su, le projecteur BA devra choisir les armatures
longitudinales dont l’aire des sections transversales doit-être A su.
A su ≥ A smin
B
Aussi, A su ≤ A sman =5 100
15.Armatures transversales.
Concernant∅ t , on a :
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∅l
∅t ≤
{ 3
12 mm
40 cm
St ≤ min
{ a+10 cm
15 ∅l (si A su> A smin )
fe
l r =0.6 l s, l s =( ∅4 ) × Ԏ ; τ
su
su =0.6 Ѱ 2s f tj ou de façon forfaitaire (ou empirique) :
- l s =50 ∅ si F e E 500 HA
- l s =40 ∅ si F e E 400 HA
l r −( 2× 3 cm )
St ' = avec St ' < St
2
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1. Introduction et généralité
Dans la structure portant d’un bâtiment, nombreuses sont les pièces qui
travaillent à la flexion simple. On peut donc citer de façon non exostive les
linteaux, les éléments du plancher (poutrelles, poutre, dalle de compression, …),
ainsi que certaines longrines.
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L x l x épaisseur (cm)
40 x 20 x 15
50 x 20 x 15
50 x 20 x 20
60 x 20 x 20
60 x 20 x 25
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Dans les dessins ci-dessus, les éléments qui travaillent à la flexion simple sont
les poutrelles (association nervure + dalle de compression), les poutres
principales (poutre type 1.axb), les poutres secondaires (poutre type 2.cxd).
l l
≤ ép ≤
25 20
l
On prend généralement ép= 22,5 .
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Concernant les poutres, il faut distinguer celles principales de celles qui sont
secondaires.
Sur le plan de poutraisons ci-dessus, les poutres principales sont celles qui
reprennent directement le poids des nervures. Ici, elles sont par poutre type 1.
Pour leurs pré dimensionnement, nous allons également utiliser la condition
rigidité pour les poutres principales.
1 h 1
≤ ≤
12 L 8
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L
En général, h= 10 à arrondir au multiple de 5 cm immédiatement supérieur.
0,3 h ≤ b ≤0,5 h
1 h 1
≤ ≤
15 L 10
L
En général, nous prenons h= 10 et b=0,3 h.
1.3.Calcul de A su
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M u=f ( F bc ; Z b )=f ( F s ; Z b )
M u=F s × Zb =σ s A su . ( d−0,4 y u )
M u=0,8 × b0 × y u ×f bu ( d −0,4 y u )
¿ 0,8 ×b 0 × αd × f bu ( d−0,4 y u )
Mu
⇔ 0,8 α ( 1−0,4 α )= =μbu
b 0 d 2 f bu
M u=σ s A su . ( d−0,4 y u )
M u=σ s A su d ( 1−0,4 α )
Mu
A su=
σ s d ( 1−0,4 α )
ɛ bc αd α
⇒ = =
ɛ s ( d−αd ) ( 1−α )
( 1−α )
⇒ ɛ s =ɛ bc
α
Si α calculé vérifie les conditions suivantes, alors on peut être mieux fixé par
rapport au pivot de calcul des aciers. Ainsi :
fe
ainsi σ s=f su= γ .
s
( 1−α )
ɛ s=ɛ bc .
α
Il est également dit que si α >0,259, alors le calcul est conduit au pivot B.
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3,5 ‰ α d α
⇒ = calc = calc
ɛs d−α calc d 1−α calc
( 1−α calc )
⇒ ɛ s =3,5 ‰
α calc
⇒ Aciers sous-utilisés.
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Mu
ultime M lu qui sera fonction de plusieurs paramètres dont f c28 ; f e;γ = M et μls.
ser
M lu
fonction de M lu sous la forme μlu= avec :
b0 d 2 f bu
Mu
NB : γ = M
ser
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En principe, cette quantité devrait être ≤ 0,259 et dès lors, le calcul de section
d’armatures A su doit-être conduit au pivot A, c’est-à-dire avec ɛ s=10 ‰
fe
conduisant à σ s=f su= γ conformément au diagramme contrainte-déformation de
s
Mu
l’acier. On calculera donc A su par l’expression A su= .
f su d ( 1−0,4 α )
240 MPa
{
si FP : σ´ s=max 110 √ η f
c28
200 MPa
{
si FTP :σ´ s=max 90 √ η f avec
c 28
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η= 1,6 pour HA
{
1 pour RL
M rb =f ( σ bc =σ´bc et σ s=σ´ s )
σ´bc b0 ά 1 ý 1
F´bc= × b0 ý 1=σ´bc ×
2 2
n σ´bc ά d ά 1 n σ´
= 1 ⇔ = bc
σ́ s d −α´1 d (1− ά 1 ) σ́ s
n σ´bc
ά 1=
n σ´bc + σ́ s
1 ά d
M rb = F´bc × Ź b= σ´bc b0 ά 1 d d− 1
2 (
3 )
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1 ά
(
M rb = σ´bc b0 d ² ά 1 1− 1
2 3 )
M rb 1 ά
2
b0 d σ´bc 2 (
= ά 1 1− 1
3 )
1 ά
(
μrb= ά 1 1− 1
2 3 )
1.7. Calcul d’armatures à la FP ou FTP
Pour calculer la section des armatures tendues à la FP ou la FTP, on compare le
moment agissant M ser au moment résistant béton M rb :
M ά n σ´
ser
s b
(
Si M ser ≤ M rb alors A ser= σ´ Ź avec Ź b=d 1−
3
1
) bc
et ά 1= n σ´ + σ́
bc s
li
b−b0
2
=min 10
l0
2
{
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M TU =f ( F bc ; Z b ) =Fbc × Z b
h0
F bc=b ×h0 × f bu et Z b=d−0,4 y u=d −0,4 h0 =d−
2
h0
(
M TU =b h0 f bu d−
2 )
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On dit que la table est surabondante, et comme par hypothèse de calcul suivant
les états limites (BAEL), le béton tendu est négligé, alors la section en T sera
calculée comme une section rectangulaire de dimensions ( b × h ).
Si M u > M TU , alors 0,8 y u >h0 et l’axe neutre passe dans la nervure. D’où la section
en T soumise à M u est décomposée en deux sections fictives S F 1 et S F 2 telles que
S F 1 équilibre M u 1 et S F 2 équilibre M u 2.
Etudions S F 2:
h0
(
M u 2=F bc2 × Z b 2= ( b−b0 ) ×h 0 × f bu d−
2 )
fe h
¿ F S 2 × Z b 2= A su 2 (
γs
d− 0
2 )
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( b−b 0 ) × h0 × f bu
A su2=
f su
Etudions S F 1 :
M u 1=M u−M u 2
Mu
A su1=
σ s d ( 1−0,4 α )
h0 b
M u 2=( b−b 0 ) × h0 × f bu d− ( 2 b )
h0
M TU =b h0 f bu d− ( 2 )
( b−b0 )
M u 2= M TU
b
( b−b0 )
M u− M TU
b
A su1=
f bu d ( 1−0,4 α )
Valeur de A s :
( b−b 0 )
M u− M TU b−b ×h × f
b ( 0) 0 bu
A s= A s1 + A s 2= +
f bu d ( 1−0,4 α ) f su
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σ bc h
M Tser =F bc × Zb =b × h0 ×
2 ( d− 0
3 )
bc 0 nσ s 0h σ´ h
TTS au diagramme ⇒ σ́ = d−h ⇒ σ bc= n × d −h
s ( 0) ( 0)
b ×h0 h
M Tser =
2 3 ( )
d − 0 σ bc
σ´ s h0
σ bc= ×
n ( d −h0 )
h0
l’ELS seulement avec un bras de levier Z b=d− et donc :
3
M ser
A ser=
σ´ s × Z b
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M
ser
On détermine A ser par A ser= σ´ × Z avec Z b=0,99 d−0,4 h0 ou
s b
h0
Z b=d−
3
I f t 28
A smin ci-dessous reste applicable, c’est-à-dire A smin= × .
0,81 h v ' f e
I t 28 f
Si M >0; A smin= 0,81 h v ' × f
e
I f
t 28
Si M <0; A smin= 0,81 h v × f
e
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b 0 h 2+ ( b−b0 ) h2
- v=
2 [ b 0 h+ ( b−b0 ) h0 ]
3
h3 h0
- I =b 0 + ( b−b0 ) −[ b 0 h+ ( b−b0 ) h0 ] v
2
3 3
- v' =h−v
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Introduction
NB : on appelle bielle de béton, une bande de béton comprise entre deux
fissures. Les bielles de béton sont généralement inclinées à 45 0 par rapport à la
ligne moyenne de la poutre.
1. Vérification du béton
19.1. Contrainte tangente conventionnelle
On appelle contrainte tangente conventionnelle τ u à l’ELU, la quantité
Vu
τu=
b0 d
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b 0= b si section rectangulaire
{ b 0 si section en T
d : hauteur utile
τu ≤ τ 0,2 f cj
lim ¿=min
{ γb ¿
5 MPa
τu ≤ τ 0,15 f cj
lim ¿=min
{ γb ¿
4 MPa
At f e ,t τ u−0,3 K f tj
× ≥
b0 S t γ s 0,9 ( sin α + cos α )
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{K=1K=0 si FTP
si flexion simple
l’inégalité ci-dessous.
∅l
{ h
∅ t = 35
b0
10
A stmin
f ≥ 0,4 MPa
b0 S t e ,t
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At f e ,t τ u−0,3 K f tj
× ≥
b0 S t 0 γ s 0,9 ( sin α+ cos α )
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5h
l0 +
6 St0 .
1,15 V umax
As≥
fe
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2 V umax f
σ bc= ≤ 0,8 cj
b0 a γb
Mu
V umax−
Zb
A s=
fe
avec Z b=0,9 d
γs
Vérification du béton :
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2 V umax f
σ bc= ≤ 0,8 cj
b0 a γb
10