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Partie I : La croissance économique et ses facteurs

Chapitre 1 : La croissance économique

Section 1 : Mesure et définition

A : Définition de la croissance économique :

La croissance économique définit comme l’amélioration des performances de

l’économie. Elle se traduit par l’accroissement des grandeurs économiques

pendant une longue période (I, C, P) accompagnés par des modifications des

structures économiques.

Afin d’améliorer et accroitre les richesses, il faut recourir à :

* La croissance extensive

C’est l'augmentation des quantités des facteurs de production


(capital et travail)
=> Pour obtenir plus de PIB (créations des richesses)

* La croissance intensive

Il consiste à améliorer l’efficacité des facteurs de production, génératrice

d’une amélioration de la productivité qui génère des gains productivité.

*Généralement, la croissance est à la fois extensive et intensive.

B : La mesure de la croissance économique :

La valeur ajoutée : est la contribution propres d’un agent économique à

l’ensemble des richesses crées dans un pays.

VA = valeur de la P – valeur de la CI

* Le PIB : est la somme des valeurs ajoutées des agents résidents, cet

indicateur mesure la valeur des biens et services produits par les unités

résidentes :

PIB = ∑ des valeurs ajoutées

1
* Le PNB : est calculée en ajoutant au PIB, les revenus primaires reçus du

reste du monde par les unités résidentes et en soustrayant les revenus

primaires versés au reste du monde par les agents résidents aux agents non

résidents.

PNB = PIB+ (Revenu perçus du reste du monde – R Verser au reste du

monde)

* PIB réel et PIB nominal : on calcul le PIB réel pour éliminer l’effet prix.

En effet, le PIB nominal ne permet pas de saisir l’augmentation réel des

richesses crées car son augmentation peut être dû à la hausse des prix.

C’est pour cela qu’on fait recourt au PIB réel qui se calculer au -1- prix de

l’année de base.

PIB nominal PIB réel

Les différentes PIB à prix courant PIB à prix constant

appellations

L’utilité Mesure les richesses Mesure les richesses

crées au cours d’une crées au cours d’une

année au prix de l’année année au prix de l’année

en cours. de base.

Relation entre PIB réel Déflateur du PIB = PIB nominal x 100

et le PIB nominal PIB réel

PIB à parité de pouvoir d’achat :

La méthode du PIB exprimé en PPA permet une comparaison plus réaliste du

niveau de la production et du pouvoir d’achat d’un pays à un autre.

TCA : Taux de croissance annuel : = PIN n – PIB n-1 x100

PIB n-1

Il mesure l’évolution des richesses crées au cours de l’année t n/t n-1

TC global du PIB en % = [PIB (tn) - PIB (t°)] / PIB(t°)


CM =Coefficient multiplicateur du PIB = PIB (tn) / PIB (t°)
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TCG = (CM -1) x100
Indice du PIB en % = (PIB (tn) / PIB (t année de base ) )x 100
= CM x100 lorsque t0 est une année de base
Le PIB = ∑VA

VA = valeur de la production – CI

PNB = PIB + (RR – RV)

PIB nominal = PIB à prix courants (au prix de l’année en cours)

PIB réel = PIB à prix constant (au prix de l’année de base)

Pour éliminer l’effet prix

PIB réel = PIB nominal x 100


Déflateur du PIB

PIB nominal = PIB réel x déflateur du PIB


100

Déflateur du PIB = PIB nominal x 100


PIB réel

Section 2 : L’irrégularité de la croissance :


L’activité économique est irrégulière elle connaît une accélération du

rythme de l’activité économique, et parfois, elle ralentit.

A/ Définition de la fluctuation :

Les variations de l’activité économique (des grandeurs économique) au cours

du temps, Les fluctuations sont donc irrégulières.

B/ Définition du cycle :

L’activité économique est dite « cyclique » quand on , des mouvements

alternés (hausse, baisse, hausse…), récurrents des mouvements qui se

répètent .

C/ Morphologie d’un cycle :

Le cycle économique comporte :

* d’expansion : augmentation des richesse crée a court terme, et les

indicateurs éco évaluent a la hausse a un rythme accéléré

*Crise : point de retournement de l’activité éco a la baise

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* récession : ralentissement de l’activité éco, les indicateur éco sont taux

reste positif (+) mais démunie

*dépression : les taux des indicateur éco devenu négatif (-)

*reprise : point de retournement de l’activité éco a la hausse

Chapitre 2 : Chapitre 2 Les facteurs de la croissance économique

Section 1-La contribution du travail à la croissance :

Le facteur travail est l’ensemble des capacités physiques et intellectuelles

offertes par l’homme pour produire des biens et services nécessaire à la

satisfaction de leurs besoins. Donc le facteur travail est essentiel pour

toute activité économique.

A-L’importance quantitative du travail dans la croissance :

* l’augmentation de nombre de travailleurs génère une distribution des

revenu supplémentaire se qui va augmenter la consumation qui permet

d’augmenter la demande et aussi augmente la épargne qui permet

d’augmenter les investissements tous sa il génère une augmentation de

production

=> Croissance extensive.

B -L’importance de la qualité du travail dans la croissance :

1°) Les déterminants de la qualité du travail :

 la qualification (expérience, formation, éducation)

 motivation (condition de travaille, augmentation des revenu)

=> permet d’augmenter la productivité et gêner un gain de productivité

 Croissance intensive.

C -L’importance du revenu du travail dans la croissance :

 si le revenu augmente => motivation => productivité => augmentation


de production

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 si le revenu augmente => consommation augmente => demande =>
augmentation de production
 revenu augmente => épargne augmente => investissement augmente
=> augmentation de production
 Croissance éco

Section 2 : La contribution de l’investissement à la croissance :

L’investissement : est une opération réalisée par un agent économique afin

d’obtenir des moyens de production.

C’est un facteur de croissance économique puisqu’il y contribue par son action

sur l’offre et sur la demande.

1-La contribution de l’investissement à la croissance par son action sur

l’offre :

A/ l’investissement d’accroitre l’offre :

* L’investissement de renouvellement

* L’investissement de capacité

* L’investissement de productivité

=> il permet d’augmenter la production => croissance extensive

B/ l’investissement améliore l’offre :

 l’investissement de modernisation

 permet de (amélioré la qualité, diversification, différenciation, gain

de productivité)

2-La contribution de l’investissement à la croissance par son action sur la

demande :

A/ l’investissement d’accroitre la demande :

L’augmentation des investissements permet de crée l’emploi et par suite

augmenter les revenu se qui va permet de augmenter la consommation et la

demande.

B/ l’investissement améliore la demande :

 l’investissement de modernisation (diversification, différenciation) :

permet de répandre au besoin de consommateur.

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Calcule l’indicateur de consommation, l’investissement, revenu.
Variation R = k * Variation I  K = 1 / (1-Pmc)
Variation I = Variation R / k
Pmc = 1 – Pms  Pms = 1 – Pmc

Section 3 La contribution des échanges extérieurs de biens et service à la

croissance économique :

Les échange extérieur : c’est l’ensemble des échange des bien et service

effectué par les agents résident avec les reste de mande

I- La contribution des exportations de B/S à la croissance :

Les exportations permet de :


1) entré de devi$e => démunie le déficit commerciale et
budgétaire => augmenter les investissements publique
2) augmenter l’échelle de production => démunie le cout
moyenne de production => génère une compétitivité prix
3) augmenter les investissements => augmenter l’emploi =>
augmenter revenu + consumation + épargne => augmenter
l’investissement => augmenter la production.
=> Tous sa permet de réalise une croissance économique

II- La contribution des importations de B/S à la croissance :

Les importations permet de :


1) Transfer de technologique => moderniser la production =>rattraper la

retard technologique

2) renforce la concurrence entre les entreprise nationaux et étranger =>

démunie le prix => amélioré la qualité

3) rapprovisionnement en matières premiers et énergétique => augmenter la

production

=> Tous sa permet de réalise une croissance économique

PARTIE II : Les mutations des structures


économiques au cours de la croissance économique

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Chapitre 1 : Les mutations des structures économique

Section 1 : les modifications des structures économique de production :

A) les modifications des répartitions sectorielles

* Répartition de PIB :
1) diminution de part de PIB dans le secteur première (agricole)
2) diminution de part de PIB dans le secteur industrielle
3) augmentation de la part de PIB dans le secteur tarsiers (les
services)
=> Tertiarisation de production
*Répartition de population :
1) diminution de part de population dans le secteur première
(mécanisation)
2) diminution de part de population dans le secteur industrielle
(robotisation)
3) augmentation de la part de population dans le secteur
tarsiers (activité précise)
=> Tertiarisation d’emploi
B) l’évolution technique de production

 La mécanisation : c’est l’utilisation des machine d’ériger directement


par le travailleur (importance d’effort physique et intellectuelle)
 L’automatisation : c’est l’utilisation des machine ou l’intervention des
travailleur se limite au d’éclanche initiale (importance d’effort
intellectuelle)
 La robotisation : c’est l’utilisation des robot (ordinateur machine ) a
fin de réaliser des tache spécifique et complexe (absence d’effort
physique et intellectuelle).

Section 2 : la flexibilité de technique de production :


Définition : la flexibilité et la capacité dune entreprise à s’adapter à un
environnement fluctuent
Un Atelier flexible il compose de 2 éléments qui sont
 Polyvalence des équipements : c’est l’utilisation des machines moderne
qui permet de fabriquer des quantités déférentes avec un temps de
réglage courte.

 Polyvalence des travailleurs : c’est l’ensemble des travailleur qualifier


et compétant qui pouvant occuper plusieurs poste pour s’adapter au
changement d’environnement.
Section 3 : la concentration des entreprises

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Définition : c’est la croissance externe de l’entreprise qui permet

d’augmenter leur taille et de la réduction de leur nombre.

Il a 3 formes de concentration qui sont :

 La concentration horizontale :

Définition : c’est la regroupement des entreprises ayant des activités supplémentaires

(même produit aux groupes de produit).

Objectif : (augmenter la part de marché, dominer la concurrence, augmenter l’échelle

de production) qui permet de réalise des économies d’échelle et par suite une baise de

prix et un compétitives prix.

Aussi un élargissement de gamme des produits + diversification + déafférentation ce

qui permet de réalisé une compétitives hors prix.

 La concentration verticale :

Définition : c’est le regroupement des entreprises ayant des activités complémentaires

Il se réalise -vers l’amont : remonter la filière et intégrer les activités des fournisseurs

- vers l’avale : dessoudure la filière et intégrer les activités des clients

Objectif : - métriser l’approvisionnement et diminué les coûts (compétitivité prix)

- améliorer la condition d’approvisionnement (compétitivité hors prix)

 La concentration congloméralle :

Définition : le regroupement des entreprises ayant des activités défirent

Objectif : - répartir les risque des pertes sur plusieurs branches

- être présent dans tout les branche ou il possible de réaliser des profits

Chapitre 2 : Les mutations des structures de la consommation

Section 1 : L’amélioration du niveau de vie :

La croissance économique s’accompagne de nombreuses mutations qui ont

touchés non seulement la production mais aussi la consommation. En effet, au

cours de la croissance,

le niveau de vie moyen de la population ne cesse de s’élever. La consommation

augmente mais aussi se modifie. Les modes de vie se transforment.

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A-Définition et mesure

1-Définir le niveau de vie

Le niveau de vie est une notion quantitative, correspond à l’ensemble des

biens et services dont il peut bénéficier un individu ou un groupe pour

satisfaire leur besoin.

2-Mesure du niveau de vie d’un pays : Pour apprécier le niveau de vie d’un

pays, on rapport le PIB réel à la population : on obtient ainsi le produit par

tête ou encore le revenu moyen par habitant. Cet indicateur n’est qu’une

moyenne. Il peut donc masquer les inégalités.

PIB / habitons =

3-Mesure de l’amélioration du niveau de vie d’un pays :

La croissance économique s’accompagne, en général, de la hausse du niveau

de vie de la population qui se mesure de la manière suivante :

TC du PIB réel / hab. = TC du PIB réel – TC de la population

B-Croissance économique & amélioration du niveau de vie :

1) Croissance extensive :

*création d’emploi => distribution des revenus => augmentation de pouvoir

d’achat => amélioration de nivaux de vie

*accroitre l’échelle de production => baise de coût moyen de production =>

économie d’échelle baise de prix => augmentation de pouvoir d’achat =>

amélioration de nivaux de vie

2) croissance intensive :

Réalisation des gains de productivité => repartir des revenu supplémentaire

au ménage (augmenter pouvoir d’achat et l’épargne) et au entreprise

(augmenter le profit et baisse des prix) et pour l’Etat (augmenter les impôts

et les taxes et augmenter l’investissement publique) => tout ca il permet

de réalisé une amélioration de nivaux de vie.

Section 2 : Les transformations des modes de vie :

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A-Définition du mode de vie : il désigne l’ensemble des manières de vivre

d’un individu ou groupes d’individus. C’est une notion qualitative qui dépond le

nivaux de vie et des autres facteurs socio économique (mielleux sociale, âge,

aptitude).

B-Croissance économique & transformation des modes de vie :

1) des changements qualitative : la croissance économique => alimentation se

diversifier => abimement devenu plus pratique => logement plus confortable

=> transport plus rapide et sécurisé => transformation des aptitudes de

consommation => modification de mode de vie

2) une similarité de mode de vie : la croissance économique => augmentation


de nivaux de vie => production de masse => innovation commerciale =>
imitation =>
Les ménages de région rurale adoptent un mode de vie influencé par les
milieux urbains
3) différentiation de mode de vie : croissance économique =>
changement de gamme de produit => hot gamme et bas de
gamme => diversification de l’offre => différence de revenu =>
différence de nivaux de vie et des goûts => différentiation de
mode de vie
4) utilisation de temps : croissance économique => amélioration
de productivité => baise de temps de travail => augmentation
de temps libre => augmentation de loisirs et des activité
culturelle => amélioration de mode de vie

Section 3 : évolution de structure de consommation (les loi d’Engel)

1ére loi : si le revenu augmente => confection budgétaire de

l’alimentation diminue => part de dépense d’alimentation dans

les dépense totale démunie

2éme loi : si le revenu augmente => confection budgétaire de

l’habilement et l’habitation reste stable => part de dépense de

l’habilement et l’habitation dans les dépense totale augmenter

au même rythme

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3éme loi : le revenu augmente => confection budgétaire de

service augmente => part de dépense de service dans les

dépense totale augmenter a un rythme plus élever

PARTIE III : Le développement durable

Chapitre 1 : Les coûts de la croissance :

Section 1 : Les coûts socio-économiques de la croissance

I) Les coûts humains et sociaux

1) Les problèmes liés à l’urbanisation et la métropolisation :


* Problèmes de logement : Augmentation des prix de l’immobilier,
Éloignement du lieu de travail.
* Problèmes de circulation : Embouteillages, Accidents, Pertes de temps.
* Problèmes de criminalité : Délinquance, Vols à cause du chômage et de
l’exclusion.
2) Le stress et la fatigue des travailleurs :
Croissance => augmentation de la productivité => Parcellisation
des tâches + Accélération des cadences => Intensification de l’effort de
travail => Fatigue et Stress
3) Développement de nouvelles maladies :
Maladies mentales ; Maladies nerveuses ; Maladies cardiovasculaires ;
Cancer.
4) L’Égoïsme et le désagrégement des liens sociaux :
Diminution de la (solidarité, la communication) , Désagrégement des liens
familiaux et sociaux

II-La persistance des inégalités


1) Les inégalités sociales (entre individus)

A) Les inégalités de revenu : Croissance => plus de richesses Croissance =>


plus de pauvreté
•Pauvreté traditionnelle : revenu faible
• Pauvreté nouvelle : absence totale de revenu à cause du chômage
structurel (de longue durée) qui génère l’exclusion.
b) Les inégalités devant l’emploi :
• Inégalités entre les travailleurs : Différences de vulnérabilité
(Vulnérabilité = Risque de tomber au chômage)
* Vulnérabilité faible : Travailleurs qualifiés Travailleurs jeunes
Travailleurs en CDI (contrat à durée indéterminée)

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* Vulnérabilité élevée : Travailleurs peu qualifiés Travailleurs âgés
Travailleurs en CDD (contrat à durée déterminée)
•Inégalités entre les chômeurs : Différences d’employabilité (Employabilité =
Probabilité de trouver un emploi)
Employabilité élevée : Chômeurs qualifiés Chômeurs jeunes
Employabilité faible : Chômeurs peu qualifiés Chômeurs âgés
2) Les inégalités entre les entreprises :
Croissance économique => concentration des entreprises => augmentation de
la taille des entreprises => dualisme dans la structure de l’appareil productif
* Grandes entreprises : Forte intensité en capital Forte productivité Forte
compétitivité Emplois stables et bien rémunérés Cycle de vie long
* Petites et Moyennes entreprises (PME) : Faible intensité en capital Faible
productivité Faible compétitivité Emplois précaires et peu rémunérés Cycle
de vie court à cause des risques de faillite
3) Les inégalités régionales :
Régions favorisées et Régions défavorisées
* Milieu urbain (ville) Régions côtières :
Investissements élevés => Infrastructure développée => Emplois élevés =>
Niveau de vie élevé

* Milieu rural (campagne) Régions de l’intérieur :


Investissements faibles => Infrastructure insuffisante => Emplois faibles
(chômage élevé) => Niveau de vie faible

Coûts socio-économiques => transformations négatives des modes de vie

Section 2 : Les coûts environnementaux :

A- La dégradation de l’environnement : (la pollution et l’effet de serre)

* La pollution : Croissance économique => intensification des activités de


production et de consommation => Pollution
1) Activité agricole : Utilisation des produits chimiques (pesticides,
insecticides, engrais chimiques) => Pollution du sol et de la nappe phréatique
2) Activité industrielle : Rejet des déchets d’usines & Émission de CO2 =>
Pollution de l’air, du sol et de la mer Bruit => Pollution sonore
3) Activité domestique : Rejet des eaux usées, accumulation des ordures
ménagères, consommation d’énergie => Pollution du sol et de l’air
* L’effet de serre
Croissance économique => consommation de combustibles fossiles (pétrole,
gaz naturel, charbon) => émission de CO2 => Pollution de l’air => effet de
serre => réchauffement de la planète => déstabilisation des climats =>
maladies + épuisement des ressources +catastrophes naturelles (inondations,
tempêtes, sécheresse)
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B- L’épuisement des ressources naturelles : Croissance économique => exploitation
intensive des ressources naturelles => forte demande de ressources =>
risque d’épuisement des ressources

1) L’épuisement des ressources non renouvelables


Ressources non renouvelables = combustibles fossiles (pétrole, gaz naturel,
charbon) + autres minéraux + métaux Croissance économique => forte
demande de ressources Les ressources non renouvelables => quantité limitée
+ diminution des découvertes => Déséquilibre entre offre et demande
de ressources => Risque d’épuisement
2) L’épuisement des ressources renouvelables : Sol ; Eau ; Bois ; Faune
(animaux) et Flore (végétaux) Rythme de renouvellement des ressources
renouvelables => rythme d’exploitation imposé par la croissance => Risque
d’épuisement.
a) La dégradation du sol : Érosion ; Désertification ; Salinisation ; Pollution
du sol ; Baisse de la fertilité ; Diminution des surfaces cultivables
b) Le tarissement des ressources en eau douce
Pollution de l’eau et de la nappe phréatique ; Mauvaises pratiques d’irrigation
en agriculture ; Gaspillage d’eau ; Raréfaction de l’eau douce
c) La déforestation : Abattage des arbres ; Incendies ; Diminution des
surfaces des forêts
d) L’extinction de certaines espèces animales et végétales : Appauvrissement
des réserves halieutiques ; Disparition de certains animaux ; Menaces sur la
biodiversité

=> Les coûts environnementaux sont plus aggravés par la croissance


démographique et par l’urbanisation.

Chapitre (2) : Le développement durable ;

Section(1) : Notion du développement durable :


I) Définition : Le développement est une notion complexe et difficile à
définir. D'une manière générale, le développement est un processus
caractérisé par la combinaison des changements de toute nature:
économiques, techniques démographique, mentales, sociales, culturelles etc..
Ces transformations permettent à une population de satisfaire ses besoins
fondamentaux.
II) objectif ;
 objectif de développement humain : rependre au besoin fondamentale
+ réduire les inégalités sociale

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 objectif de développement durable : réaliser les objectifs du
développement humain + sauvegarder l’environnement et préserver
l’intérêt de générations présent et future
Section (2) : Les composantes du développement durable.
1- Le capital matériel : désigne l’ensemble des biens nécessaires pour la
création des richesses (machines, bâtiments, infrastructure…) En tant que
composante du développement durable, il permet la création des biens et
services afin de satisfaire les besoins de l’humanité.
2- Le capital humain : L’ensemble des connaissances et qualifications
acquises dans la famille, pendant l’éducation et pendant la vie
professionnelle. Le capital humain est valorisé par les investissements dans
l’homme (l’éducation, la santé). La valorisation du capital humain permet
d’améliore la productivité et de qualité de la vie (santé, éducation, …)
3-Le capital social : l’ensemble des droits de l’homme et les libertés
fondamentales. Le développement humain ne met pas l’accent seulement sur
les garanties des droits de l’homme mais aussi l’accent sur l’équité en termes
de capacités (santé, enseignement …) et opportunités et la solidarité sociale.
La garantie des droits de l’homme permet la réalisation des objectifs du
développement humain (la réduction des inégalités)
4- Le capital naturel : Le capital naturel désigne l’ensemble des richesses
naturelles (ressources naturelles renouvelables et non renouvelables, les
espèces animales (faune) et végétale (flore), Le capital naturel permet de
fournir les biens nécessaires à la satisfaction des besoins humains c pour sa
il doit les préserver contre l’extinction et la pollution et contre tout ce qui
menace la nature pour garantir les mêmes conditions du développement pour
les générations actuelles et futures.

Section (3) : Les indicateurs du développement humain :


Indicateur de développement humain (IDH)
IDH = 1- déficit de IDH => déficit de IDH = 1-IDH

Si IDH > 0.8 => il a une nivaux de développement humain élever


Si IDH entre 0.5 et 0.8 => il a une nivaux de développement humain
moyenne
Si IDH <0.5 => il a une nivaux de développement humain faible
Si IDH proche De ISDH => il a une faible inégalité entre les sexe si non le
contraire

PIB en PPA (Parité de pouvoir d’achat) => permet de mesuré la nivaux de


développement

IPH-1 => mesure la pauvreté au nivaux de pays en développement

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IPH-2 => mesure la pauvreté au nivaux des pays développer

PARTIE IV : La mondialisation et ces enjeux

Chapitre 1 : Les échanges internationaux de Biens et Services

Section (1) : Présentation des échanges internationaux de Biens et Services


Les principaux indicateurs de mesures du commerce extérieur

Solde commercial = X – M
 SC° = 0  X = M  équilibre C°
 SC° > 0  X > M  excédent C°
 SC < 0  X < M  déficit C°
Taux de couverture = (X / M) * 100
 TC = 100%  les Recettes d’X couvrent exactement les Dépense d’M
 TC > 100%  les Recettes d’X couvrent largement les Dépense d’M
 TC < 100%  les Recettes d’X ne couvrent que partiellement les Dépense
d’M
Taux d’effort à l’X = (X / PIB) * 100
 Il mesure la part de l’X dans le PIB si à dire la part de PIB qui est X.
Taux d’ouverture = (X + M) / PIB * 100
 Il mesure le dégréer d’ouverture d’une économie sur l’extérieur
Taux de dépendance = (M / PIB) * 100
 Il mesure le dégrée de dépendance vis-à-vis de l’extérieur
Indice des termes de l’échange(ITE) = (indice Px à l’X / indice Px à l’M) *
100
 Il mesure l’évolution des prix des biens exportés par rapport aux prix des
biens importés.
Si ITE > 100 => le prix de bien exporter augmente (+) rapide que les bien
importer => amélioration de terme de l’échange
Si ITE < 100 => le prix de bien exporter augmente (-) rapide que les bien
importer => dégradation de terme de l’échange

Chapitre 2 : L’évolution de la structure des échanges internationaux des


biens et services

Définition : les échange internationale se sont des opérations commerciale


réaliser par les agents résident avec le reste de mande (l’extérieur). Il
connu une évolution rapide favorise par la croissance économique et
l’évolution de technologique et les politique de libération commercial

Section 1 : L’évolution de la structure des échanges internationaux par


produit :
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*régression de produit de base : en raison de la faible demande et de prix
de ses produits dans le marché mondial
*prédominance des produits manufacturés : croissance de produit
manufacturé qui représente 75% des échanges mondiaux des marchandises
*nette monté de service : une progression rapide en raison de développement
des progrès de télécommunication et de développement des échange des
services commensaux (transport, assurance …)

Section(2) : La division internationale de travail :


Définition : c’est la répartition des activités a l’échelle internationale elle
correspond a une spécialisation d’un pays ou un groupe de pays dans la
production et l’exportation des produit et importe des autre produit

A) l’ancienne division internationale de travaille


* les pays industrialisé : exporter des produit manufacturé intensifie
en capitale et en technologie à des prix élever et importe des produits
de base à faible valeur ajouter et a faible prix
*les pays en développement : exporte des produit premier a faible
prix et importe des produit manufacturé a forte valeur ajouter et prix
élever
B) nouvelle division internationale de travaille
*remise a cause les anciennes spécialisations : les nouveaux pays
industrialiser produire et exporter des produits manufacturé
* les pays émergent : les 4 dragons asiatique effectué plus de la
moitié des exportations des payes en développement aussi les chine et
le inde qui réalise une forte insertion dans le commerce mondiale

Section (3) : L’évolution de la structure géographique des échanges


mondiaux :
1) tropolisation des échanges internationale :
*domination des 3 blocs régionaux : qui forme la triade (Amérique Asie et
Europe) et qui réalisent plus de 80% de commerce mondiale
* importance de commerce intra zone : la grande part des échange
s’effectué a l’intérieur de chaque zone (plus de 65%)
* faiblesse de commerce inter zone : il consiste une part ne dépasse pas
30% de commerce mondiale
2) nouvelle structure géographique des échange mondiaux :
*prédominance des 3 blocs régionaux : la commerce mondiale et dominer par
les payes industrialisé qui exporter essentiellement des produit manufacturé
et des services et des produit agricole.
*émergence des payes en développement : un ressui des payes émergent
s’explique par leur spécialisation dans les produits manufacturé.
*marginalisation des payes le moins (-) avancer : puisque il exporte
essentiellement des matières premiers a un demande et des prix faible
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Chapitre3 : Les firmes multinationales

Section(1) : Notion de firme multinationale :


A/ Présentation d’une firme multinationale ( F M N ) :
1) Définition: Les FMN représentent des grandes entreprises qui
possèdent leur siège social généralement dans un pays d’origine et de un ou
plusieurs pays d’accueils
2) Les principales caractéristiques des FMN :
a) La multinationalisation, phénomène récent: La multinationalisation est un
phénomène récent car les premières multinationales se sont apparues pendant
la 2Ième moitié du 19ième siècle. Les destinations des multinationales sont
principalement les pays industrialisés. Toutefois, certaines multinationales
ont choisit d’investir dans les PED tel que Maroc et Tunisie.
b) Les secteurs d’activités des multinationales: il présente dans tous les
secteurs d’activité depuis l’agro-alimentaire
jusqu’aux services financiers et au tourisme. Les principales FMN existent
dans les secteurs de l’automobile, l’électromécanique et le pétrole… qui sont
dominés par 3 ou 4 entreprises.
c) Le capital des multinationales : est tellement important qu’il est étendu
entre les actionnaires «le plus gros des actionnaires ne disposent que de
quelques pourcents»
d) La taille des multinationales : Pour mesurer l’importance économique des
multinationales, on peut se référer à plusieurs
Indicateurs tel que : le chiffre d’affaire, la valeur ajoutée, le montant des
profits, le nombre d’employés, le capital investit et les investissements au
cours de l’année.
e) Les pays d’origine des multinationales : principalement des pays
industrialisés, elles sont Américaines, Européennes et Japonaises. Toutefois,
depuis 1980, on assiste à une multinationalisation des firmes provenant de
certains pays émergents (Chines, Corée du Sud, Inde…).
f) Les pays hôtes des multinationales : La présence des multinationales est
très importante dans les pays industrialisés, mais elle
Progresse dans certains pays émergents en raison des opportunités qu’ils
Présentent pour les firmes en matière d’efficacité productive ou en tant que
marchés.
B/ Les modalités de la multinationalisation:
On peut constater plusieurs modalités:
1) La création de filiales entièrement nouvelles dans les pays d’accueil :
-La firme crée elle-même une filiale dans un pays étranger.-La firme crée
une nouvelle filiale en coopération avec une entreprise généralement locale:
c’est le «joint – v e n t u r e » * Le joint – Venture : Des entreprises vont se
regrouper en créant une nouvelle entreprise qui
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porte un nom commun en ces 2 dernières. Il s’agit de modalité qui se réalise
entre des entreprises de nationalité différentes.
2) L’implantation des filiales sur la base d’entités déjà établies:
- Acquisition totale : Rachat d’entreprise par acquisition totale de son
capital.
-Acquisition partielle : Détenir la majorité du capital (participation au
capital d’une entreprise existante).
- Fusion : Regroupement de 2 ou plusieurs entreprises qui vont totalement
disparaître pour laisser place à une nouvelle entreprise avec une nouvelle
nomination.

Section (2) : les différentes formes de filiales :

A/ Les filiales commerciales:


1) Définition: Il s’agit de filiales qui vont s’occuper de la commercialisation
(distribution) des produit réalisés. Cette forme de filiale permet ainsi
d’améliorer l’image de marque et la réputation de l’entreprise. La filiale
va donc se substituer à la maison mère dans le pays à l’étranger.
L’activité des filiales commerciales ne se limite pas à l’approvisionnement de
la maison mère (en amont), mais se charge de la commercialisation de leurs
produits, c'est-à-dire, a comme fonction la distribution de la production de
la FMN (activité en aval).

3) Les objectifs spécifiques de l’implantation d’une filiale commerciale:


En amont : - Source d’approvisionnement en matière première de GE
nécessaire pour la production.
-Assurer la qualité, la stabilité et la sécurité de ses
approvisionnements et augmenter ses profits.
En aval : - A s s u r e r l a d i s t r i b u t i o n d e s p r o d u i t s d e l a m a i s o n
m è r e . -Assurer la prospection (ensemble des actions qui visent à
identifier de nouveaux clients potentiels et les transformer en clients
réels) du marché, la prise des commandes, la facturation, la livraison,
le recouvrement, la promotion des produits surplace, service après-vente

B/ Les filiales relais:


1) Définition : Il s’agit de filiale qui va s’occuper de la production et de la
distribution de produit en utilisant les mêmes techniques et les mêmes
matières utilisées par la maison mère.
2) Les objectifs de filiale relais:
* Maîtriser les coûts d’approvisionnement par l’implantation auprès des
ressources en matière première et énergétique.
* Surmonter les barrières protectionnistes.
* La proximité de la clientèle pour influencer le comportement des
consommateurs.
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* S’adapter aux exigences du marché local (hôte) (en procédant à des
modifications mineures dans les produits.)
C/ Les filiales ateliers:
1) Définition:
Il s’agit de filiales qui vont permettre de réaliser une partie ou une
composante de produit final. Ainsi, la production se réalisée dans
plusieurs pays de monde. La FMN bénéficie ainsi, soit d’une diminution
du coût de production, soit d’une amélioration de la qualité de la production.
Cette production réalisée dans plusieurs pays de monde représente la
décomposition internationale de processus de production (DIPP) qui entraîne
l’amélioration de la compétitivité de l’entreprise.
DIPP: Consiste à diviser le produit en plusieurs sous ensemble ou des
composants ou segments fabriqués de façon autonome les uns des autres
dans un pays différent.

Section (3) : Développement des échanges intra- firmes :


Définition : ce sont des échanges de bien et service qui s’effectue entre le
maison maire et les filiale et entre les filiale de même nation
i. nature de produit :
 des biens de production
 des composons des produit semi fini
 des produits finis
ii. évolution des échanges intra firme
il s’effectué dans un surcuit fermait a l’intérieur de la FMN, il échappe donc
au règle de marché, les FMN fixe librement les prix et tend méme a les
estime pour échapper a la fiscalité
iii. développement de commerce intra firme
il favoriser par le division internationale de processus de production, les
échange pondre une place important dans le commerce mondiale

Section 4 les mobiles de la multinationalisation :


A) compétitivités prix :
1) réduction de la charge salariale et sociale : main d’œuvre travailler
avec un salaire faible + système de sécurité sociale faible => baise
des coûts de production
2) réduction des charges fiscale et financier : allégement et exo
génération faisceaux => faible taux d’intérêt
3) réalisation des économies d’échelle : implantation des filiale =>
augmenter l’échelle de production => baise de coût moyen de
production => baise des prix
4) baise de coût de transport internationale : implantation des filiale =>
être à proximité du client et de fournisseur => baise de coût de
transport
 touts cet élément permet de métriser une compétitivité prix.
19
B) compétitivités hors prix :
1) le métrise d’approvisionnement : implanter des filiales => sécurité +
régularité
2) condition d’accueils favorable : création des filiale => profiter des
avantages des pays d’accueil => infrastructure favorable => avance
technologique => paradis fiscaux possibilité de contourner certain
obstacles : création des filiales => production sur place => contourner
les obstacles douanier et administrative
3) la conquête de part de marché : création des emplois => être a
proximité de client => mieux rependre à l’exigence des clients =>
diversification et déafférentation

Section 5 : Les effets de la multinationalisation sur les pays d’origines et


les pays d’accueils
A) Les effets de la multinationalisation sur les pays d’origine
I) les avantage (+) :
 Repartir des revenus
 Rapprovisionnement en MOD qualifié et la technologie nessisaire
II) les limite (-)
 sortie de capitaux
 distribution des emplois
 réduction de solde commerciale

B) Les effets de la multinationalisation sur les pays d’accueils


III) les avantage (+) :
 création d’emploi
 entre de technologie
 entre de capitaux
 amélioration de solde commerciale
IV) les limite (-)
 sortie de capitaux
 domination économique et technologique

20
Les Introductions Générales Des Dissertations Economique
La croissance et ses Mutation des structures Les coûts de la Les échanges
facteurs économiques Croissance extérieurs

la croissance Outre son aspect depuis la deuxième de nos jours la


économique a quantitatif la croissance moitié de XX mondialisation n’est
toujours été qui est une augmentation siècle les plus un choix pour
l’objectif primordial des richesses nationale économistes ont les pays elle est
de toutes les revêt aussi bien un commencé de plutôt une
nations, c’est une aspect qualitatif désigné mettre en question obligation étant
augmentation durable par des mutations des le model de la données ses
des richesses structures de croissance à tous bienfait. Elle est
nationales suivie par consommation (ou de prix, car La perceptible au
des mutations des production en cas de croissance qui nivaux de
structures de mutation sectorielles ou désigne l’importance des
production et flexibilité ou l’augmentation échange
consommation, concentration) tel que durable des internationaux de
l’investissement (ou l’amélioration du niveau richesses biens et services
le travail ou les de vie (ou transformation nationales a été à qui sont sans cesse
échange extérieurs) des modes des vies ou de l’origine de croissants.
représente un des la structure de plusieurs effets
facteurs qui consommation) … pervers tel que les
soutiennent la (définition de deuxième coûts sociaux (ou
croissance (définition mot clé). environnementaux
de deuxième mot ou …).
clé).

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Méthodologie de dissertation

<< 2 carreaux >> + introduction et définition des mots clé : ……………………………


……………………………………………………………… ……………………………………………………………………
+ Problématique : le problème qui se pose a ce nivaux : ……………………………… ?
+ Annonce de plan : pour résoudre ce problème il faut montrer d’abord dans
une première partie ………………………………………………………………………………………………………
Et dans une deuxième partie …………………………………………………………………………………….

<< Laisser 2 lignes >>

<< Laisser 2 carreaux >> + 1ére partie ………… tout d’abord…………En autre
……………………………….de plus………………………………………………………. …

 lies la première et la deuxième partie : …… d’autre part………aussi…………


………………ou bien # contrairement …………………………… .

<< Laisser 1 ligne >>

<< Laisser 2 carreaux >> + 2ème partie :……… Dalleur ……..en effet……………
……………………………………..de plus ………………… .

<< Laisser 2 lignes >>

<< Laisser 2 carreaux >> Conclusion : ........ Donc………enfin ……………………..


………………………… …………………………………………………………………………………………………………… .

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