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Introductionauxscienceseconomiquesetlagestionpartiei 150112090413 Conversion Gate01
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Economiques et à la Gestion
! Besoins
! Ressources rares
! Comportements
2. Vers une définition de l’économie
Définition:
! Un besoin est un sentiment de privation, de manque que l’individu
cherche à faire disparaître par la consommation d’un bien. EX: manger,
boire, se loger …
! On peut considérer les besoins des hommes comme illimités. La
satisfaction des besoins, la lutte contre la rareté sont au centre de
l’action économique.
3. Les éléments fondateurs de l’économie
Classification courante:
• Les besoins primaires (vitaux) : indispensables, qui correspondent
aux exigences naturelles.
se nourrir, se protéger contre le froid, etc.
• Les besoins secondaires (ou besoins sociologiques) : c-à-d ceux dont
la satisfaction est nécessaire mais non indispensable à la survie de
l’homme :
voyage, instruction, culture, sport, vacances etc.
• Les besoins tertiaires: ou de luxe qui seront satisfaits par les classes
les plus favorisées de la population.
appartenance à un club très select, voiture de luxe etc.
3. Les éléments fondateurs de l’économie
Besoins d’estime:
respect des autres et par les autres ,
confiance, estime personnel etc.
Besoins de sécurité:
se mettre à l'abri de toutes les agressions extérieures, sécurité morale
et physique etc.
Besoins Physiologiques:
manger, boire, se soigner etc.
3. Les éléments fondateurs de l’économie
Analyse statique:
Ne tient pas compte du temps.
Dire par exemple que la consommation est fonction des revenus gagnés,
sans préciser ni la consommation de quelle période ni les revenus de
quelle période.
L’analyse dynamique:
Prend en considération le temps, et plus particulièrement les notions de
décalage, de retard et de délai.
3. Les éléments fondateurs de l’économie
! Les ménages
! Les entreprises
! Les institutions financières
! Les administrations publiques
! L’extérieur ou le reste du monde
Les ménages
! Un ménage est une cellule sociale, constituée
d’individus vivants sous un même toit (ex: famille).
La fonction principale des ménages est la
consommation.
! Leurs ressources proviennent des rémunérations
de facteurs de production (salaires, dividendes,
loyers…) et des transferts versés par d’autres agents
économiques.
Consommation= f(revenu)
Les ménages
Profit=Recettes-Coût Total
! La production
! L’échange
! La consommation
! La répartition
La production
! Définition:
Un marché peut se définir comme le lieu de rencontre entre
une offre et une demande. Cette rencontre détermine une
quantité échangée et un prix de vente.
le marché permet alors de rendre compatible les offres et
demandes pour que l’échange puisse avoir lieu à un prix
déterminé, appelé prix d’équilibre, équilibrant les quantités
offertes et demandées.
Ce marché peut être un lieu concret ou abstrait.
La loi de l'offre et de la demande correspond à un
mécanisme d'ajustement automatique des prix. Le prix
est librement déterminé entre les offreurs et les
demandeurs jusqu'au moment où l'offre est égale à la
demande qualifié de « prix d'équilibre »
Graphique: l’offre et la demande
Le marché ne s'applique donc pas seulement à
l'échange de biens et de services mais à tous les
échanges réalisés sur d’autres marchés.
Les agents économiques sont à la fois demandeur et
offreur sur plusieurs marchés. Un changement d’offre
ou de demande sur un marché influence directement
ou indirectement tous les autres marchés.
3- Les Marchés
1. Atomicité du marché
! Définition:
Le circuit économique est une représentation
schématisée simplifiée du fonctionnement de
l’économie qui permet de décrire, au moyen des flux,
les opérations effectuées par les différents agents
économiques sur les marchés.
Interdépendances économiques des agents : la notion
du circuit économique
Ménages Entreprises
Biens Produits
Remboursements Ménages
Retraits
Dépôts
Prêts
Sociétés Financières
Remboursements
Retraits
Dépôts
Prêts
Entreprises
Les administrations publiques dans le circuit
économique
Financière
Traitements et
Administr
Publiques
Ménages
Sociétés
Cotisations Sociales
ations
salaires
non
s
Cotisations sociales Subventions
Subventions
Prêts
Sociét
és
Financ
Le circuit économique ouvert sur l’extérieur
Revenus Monétaires
Transfert Privés
Plan
! Objectif général
Se familiariser avec les différentes écoles de pensée
économique afin d’en saisir les principales divergences.
! Objectifs spécifiques
Connaître les principaux penseurs de l’histoire
économique.
Saisir les outils d’analyse économique des principales
écoles de pensée
Présenter les apports essentiels à la théorie
économique .
Chapitre 3: Les grandes écoles de la pensée économique.
2. l’école Classique
3. l’école Marxiste
5. L’école keynésienne
Chapitre 3: Les grandes écoles de la pensée économique.
L’école physiocratique
❑ Auteurs et apport :
▪ François Quesnay (1694-1774), Tableau économique
en 1759.
▪ Turgot(1727-1781), « Réflexion sur la formation et la
distribution des richesses » , en 1766.
▪ Dupont de Nemours ( 1739-1817).
Chapitre 3: Les grandes écoles de la pensée économique.
! 1867
L’école marxiste
! Marx a étudié:
! Les forces productives: elles contiennent les forces
productives matérielles (les machines, les outilles, les
matières premières, et les matières semi-productives)
et les forces productives humaines (le travail
humain).
! Les rapports de production: les rapports de propriété
et la distribution des revenus entre les composantes
de la société.
L’école marxiste
Quelques apports de l’analyse marxiste:
Contexte:
! Crise globale et multiple entre 1923 et 1936.
taux de chômage élevé (chômage involontaire),
l’inégale répartition des revenus, déficits de la
balance commerciale, les fluctuations de l’activité
économique.
L’école keynésienne
! Représentée par John Maynard Keynes 1939
L’école keynésienne
! Keynes ne croit pas à l’équilibre et à l’autorégulation du marché.
! l’idée centrale de KEYNES est que le jeu des mécanismes
économiques tend vers un équilibre, mais cet équilibre n’est pas,
comme le soutiennent les classiques et les néoclassique, un
équilibre de plein emploi des facteur de production, mais un
équilibre de sous emploi de ces facteurs.
! Le chômage classique est volontaire ( car il y a rétablissement de
l’équilibre de plein emploi).
! Pour Keynes le chômage est involontaire.
! Selon lui il y a des situations où les travailleurs ne trouverons pas
de travail même sous rémunérés, en raison de la faiblesse de la
demande.
L’école keynésienne
! selon Keynes, étant donné la préférence pour les
liquidités chez les épargnants, le taux d’intérêt égalise
simplement l’offre et la demande de monnaie liquide.
! La décision d’investir, qui est fonction des
anticipations sur la demande est déterminée par le
rapport entre le taux d’intérêt ( qui est le coût payé
par l’investisseur pour avoir de la monnaie liquide),
et l’efficacité marginale du capital, selon
l’appréciation de l’entrepreneur.
L’école keynésienne
! La pensée de Keynes est fondée sur la critique de la
pensée libérale selon laquelle le marché permet
toujours une relation d’équilibre.
! Selon lui, c’est le niveau de la demande effective qui
détermine le niveau de la production et donc celui de
l’emploi.
! En effet, en période de récession, les entrepreneurs
n’anticipent pas d’augmentation de la demande,
investissent peu et créent peu d’emplois. L’Etat doit
donc intervenir pour relancer l’investissement et / ou
la consommation
L’école keynésienne
! Keynes préconise un rôle important de l’Etat dans
l’activité économique par le moyen de politiques
visant à relancer la demande considérée comme une
véritable importante pour sortir de la crise:
1. Une politique budgétaire: qui consiste à accroitre
l’investissement, mais l’Etat ne peut forcer les
industriels à investir s’ils ne le veulent pas (Keynes dira
qu’on ne peut pas obliger un cheval à boire s’il n’a pas
soif), c’est l’Etat qui se substitue à eux en mettant en
œuvres les investissements publics.
L’école keynésienne
2. Une politique monétaire: permettant
l’accroissement de la masse monétaire pour diminuer
les taux d’intérêt, et relancer la production en phase de
croissance économique.
3. Une politique fiscale: en vue d’une meilleure
répartition du revenu national, et d’un maintien des
taux de salaire réels
Arbitrage entre chômage et l'inflation
! Mise en évidence en 1958, la courbe de Phillips est une
courbe illustrant une relation empirique négative (relation
décroissante) entre le taux de chômage et l'inflation ou taux
de croissance des salaires nominaux.
! Elle dérive des travaux de l'économiste néo-zélandais Alban
William Phillips mettant en relation le chômage et la
variation des salaires nominaux ; l'augmentation des
salaires nominaux est source d'inflation, car elle accroît les
coûts de production des entreprises et celles-ci se voient
alors contraintes de rehausser leurs prix afin de restaurer
leur marge bénéficiaire.
L’école keynésienne
! conclusion :
L’influence keynésienne a été particulièrement sensible
aux USA avec la politiquer du NEW DEAL, la loi sur
l’emploi en 1946, ou la réduction massive d’impôt en
1946 pour atteindre une forte croissance durant cette
décennie.
Ce n’est qu’à partir des années 70 qu’un phénomène
nouveau est venu remettre en cause la politique
keynésienne: celui de LA STAGFLATION, c’est-à-dire,
la stagnation économique conjuguée à l’inflation.
! L'État-providence est une forme d'État qui se dote de
larges compétences réglementaires, économiques et
sociales en vue d'assurer une panoplie plus ou moins
étendue de fonctions sociales au bénéfice de ses
citoyens. Cette nouvelle forme d'État s'affranchit de la
conception libérale d'un État limité à des fonctions
d'ordre et de sécurité.
! ces interventions de l'Etat visent à garantir un niveau
minimum de bien-être à l'ensemble de la population.
! Keynes préconise une intervention des pouvoirs
publics pour assurer le plein emploi par une politique
fiscale, et monétaire favorisant la propension à
consommer. L'influence de Keynes fut considérable,
tant sur le plan de l'analyse théorique que sur le plan
de la politique économique, monétaire et sociale
internationale.
CHAPITRE 4 : PRINCIPES DE LA
COMPTABILITÉ NATIONALE
Définition
Secteur
institutionnel
• Entreprise 1
• Produit 1
• Produit 2
2.2 opérations économiques
Production
P+M = CI + CF + FBCF + X + ΔS
5. Le tableau central des entrées-sorties (TES)
ENB mesure la fraction du revenu national qui n’est pas consommée par les résidents
ENB = Revenu national – consommation finale nationale
6.1.3 les agrégats de la dépense
Exportations / PIB