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Hilary Putman
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Sommaire.
I. Présentation.
II. Discussion.
III. Ouverture.
Conclusion.
BIBLIOGRAPHIE.
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INTRODUCTION.
« Brains In a Vat » ,(BIV) ou « Cerveaux dans Une Cuve », (CUC), est une expérience de
pensée énoncée par Hilary Putman. (À noter que j'utilise indépendamment LA CUC pour
l'expérience comme LE CUC pour le cerveau en cuve.)
Hilary Putman est un philosophe américain (31 juillet 1926) professeur à l'université de
Cogan. L'expérience de pensée qu'il a énoncée est très simple. Imaginez vous être dans
votre sommeil. Un savant fou vous enlève, vous trépane pour extirper votre cerveau de
votre boîte crânienne et le placer dans une « cuve ». Celle-ci constitue le nouvel habitat de
votre cerveau et répond à tous les besoins physiologiques de celui ci. Le savant fou vous
relie ensuite à un ordinateur qui va simuler tous les influx nerveux que votre corps vous
envoyait naguère. Vous plaçant ainsi dans une réalité virtuelle, simulée par l'ordinateur.
Comment ensuite savoir de notre corps ou de la cuve, où nous sommes en réalité ?
La question principale soulevée ici est «Est ce que votre cerveau a raison de croire ce qu'il
croit ? »
Je me pince le nez mais est-ce mon nez ou bien est-ce un nez virtuel, est-ce ma main ou
bien une main virtuelle, et cette sensation de toucher elle aussi, pourrait être virtuelle...
Il est ici clairement question de nos connaissances sur le monde extérieur. Peut-on faire
confiance à ce que l'on perçoit du monde ? Peut-on remettre en cause l'existence même
de celui-ci ?
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I. Présentation.
a. Kant.
b. Descartes et le scepticisme.
Cette théorie est la mère de celle d'Hilary Putman, mais Descartes va plus
loin encore en remettant en cause l'existence même du monde extérieur. La CUC
est moins radicale car il faut au moins un monde extérieur, un savant fou et une
cuve autour de nous. Descartes aura aussi de longues interrogations sur la façon
dont nous pouvons faire la différence entre le rêve et la réalité pour arriver
finalement :
" Et je dois rejeter tous les doutes de ces jours passés, comme hyperboliques et
ridicules, particulièrement cette incertitude si générale touchant le sommeil, que je
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ne pouvais distinguer de la veille; car à présent j’y rencontre une très notable
différence, en ce que notre mémoire ne peut jamais lier et joindre nos songes les
uns avec les autres, et avec toute la suite de notre vie, ainsi qu’elle a coutume de
joindre les choses qui nous arrivent étant éveillés. " Méditations métaphysiques -
Méditation seconde: De la nature de l’esprit humain, et qu’il est plus aisé a
connaître que le corps.
1 Si S est justifié à croire que P et si P implique Q, alors S est justifié à croire que Q.
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1. Si je suis justifié à croire « Voici une main » alors je suis justifié à croire que
« Nous ne vivons pas dans un monde simulé ». (conséquence logique)
2. Je ne suis pas justifié à croire que « Nous ne vivons pas dans un monde
simulé ». Rien ne l'affirme.
3. Donc je ne suis pas justifié à croire en cette main.
Voilà deux façons d'avancer le fait qu'on ne sait pas que nous ne sommes
pas des cerveaux en cuve car rien ne le prouve. Le sceptique ne nie pas que vous
soyez justifié à croire que vous avez des mains. Il dit simplement que vous ne le
savez pas.
Mais plaçons nous maintenant dans le cas où toutes les personnes avec qui
nous pourrions interagir ne seraient pas simulées mais bel et bien prisonnières de
cette méta-cuve ou matrice. Ainsi toute l'humanité se retrouverait « branchée » à
cette réalité parallèle. Cette thèse à été très développée dans Matrix où les
protagonistes en plus d'interagir entre eux, pouvaient aussi interagir avec des
« programmes » comme les « agents », « l'oracle » ou « l'architecte ».Ils étaient
chargés de différentes tâches comme maintenir l'ordre ou construire la matrice1.
Beaucoup d'arguments sont présents dans la littérature et sur Internet et la
faveur de cette thèse. Nous allons en étudier quelques uns.
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a. Les arguments de Nick Bostrom.
Nick Bostrom affirme que si on est justifié de croire que nous ne pourrons
jamais atteindre le stade post-humain c'est que nous sommes dans une simulation.
Pour se faire, il avance un calcul de probabilité basé sur le fait que si des
civilisations post-humaines existent, elles ont le pouvoir de créer un nombre très
important de simulations. Son calcul se base sur le fait que même si peu de
civilisations post-humaines s'engagent dans la simulation de civilisations humaines
pareilles à la notre, de part le nombre total de simulations, le nombre de civilisations
humaines simulées est grand. Il affirme ainsi que le nombre de réalités simulées est
plus important que le nombres de civilisations réellement présentes dans l'univers.
1 Une civilisation « post-humaine » est une civilisation ayant le pouvoir créer une réalité virtuelle. Une
simulation de la civilisation humaine à un âge précis.
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b. Des arguments plus généraux.
Plus simplement, beaucoup ont juste avancé des arguments allant dans le sens de
la simulation sans chercher à les démontrer :
1. Y aurait-il un intérêt à simuler le monde ?
Les arguments avancés sont que nous simulons et modélisons déjà
énormément pour la météorologie, le comportement des avions... Alors
pourquoi ne pas imaginer une simulation sur le comportement de l'éco-
système si l'on pose une civilisation comme la notre dessus ? L'utilité d'une
telle simulation est tout à fait justifiée.
2. Aurait-on les moyens technologiques ?
Pour l'instant non, cela paraît évident mais des personnes comme Hans
Moravec dans Mind Children décrivent l'avenir de l'IA à la manière de la loi
de Moore1 pour l'informatique. Rien n'exclue que technologiquement, une
civilisation ne puisse pas en simuler une autre.
Nous pouvons être des CUC de bien des manières mais peu d'arguments
convaincants sont avancés. Il faut remarquer que l'hypothèse ne manque pas de
séduire et elle se dote de beaucoup de ramifications. Le thème de la CUC s'inscrit
dans d'innombrables autres thèmes. Mais il convenait de restreindre ceux ci à leur
plus simple expression :
− Le monde extérieur est il réel ?
− Êtes vous simulés ?
− Sommes nous enfermés ?
II. Discussion.
a. Moore et Wittgenstein.
Moore montre donc qu'il existe bien des choses que l'on peut rencontrer
dans l'espace. Il existe donc bien un monde. Je sais qu'il existe donc je ne peux pas
être un CUC.
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C'est là que le sceptique va intervenir en disant que l'on ne peut
raisonnablement pas croire nos sens. Pour que je sois justifié à croire que les
prémisses sont vraies il faudrait que je sois justifié de croire que je ne suis pas un
CUC ! Il y a des possibilités d'erreur que l'on ne peut pas éliminer.
Moore n'apporte pas de réponse à cela mais demande aux sceptiques de
prouver ce qu'ils avancent. Pourquoi les prémisses 1 et 2 seraient fausses et les
prémisses de l'argument sceptique vraies ?
Moore soutient que si son argument est faux à cause de l'inconsistance de
ses prémisses alors celui des sceptiques ne tient pas non plus. Pourquoi « Voici
une main » serait moins solide que « Je ne suis pas justifié à croire que je ne suis
pas un CUC ». Et pourquoi pas ?
C'est Wittgenstein qui apporte peut être une réponse dans De la certitude.
En effet il discute de la différence entre « croire » et « savoir ». Ceci est fait sous
forme d'aphorismes sur le thème de la certitude.
« C'est un coup du sort étrange : tous les hommes dont on a ouvert le crâne
avaient un cerveau »
Pour Wittgenstein, la question « est ce que je sais que j'ai deux mains? » n'a pas
de sens. On a pas à se la poser, ceci est une évidence. Quand un neurologue
examine un patient pour la première fois, sa première question n'est pas « cet
homme a-t'il un cerveau? ».
Ainsi, la discussion sur la première prémisse n'a pas vraiment lieu d'être.
Les sceptiques remettent donc en question des choses qui nous paraissent
évidentes comme « Voici une main ».Pour les sceptiques, pour savoir que P, il faut
pouvoir écarter toutes les possibilités d'erreur. Mais les hypothèses sceptiques
radicales ne sont jamais exclues, on peut donc remettre en cause des choses
évidentes. Tout repose sur la valeur l'argument d'ignorance et de la clôture
épistémique. Le sceptique ne remet pas en cause la justification mais la
connaissance.
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toutes les alternatives plausibles possibles. On ne croira plus que c'est un
chardonnet mais on le saura. L'exemple de Dretske se présente sous la forme
d'une visite dans un zoo. Vous voyez un zèbre, mais comment savez-vous que ce
que vous voyez n'est pas une mule peinte ? Même si cela paraît farfelu, cela
constitue une alternative. Mais bon, les zoos ne font habituellement pas ça donc
vous croyez que c'est un zèbre, l'alternative de la mule n'est pas pertinente. Ce
n'est pas pour autant que l'on peut exclure cette éventualité.
Dretske rejette le principe de clôture épistémique de l'argument d'ignorance des
sceptiques. En effet un sceptique propose comme alternative à la réalité le fait
d'être un CUC mais en quoi cela constitue une alternative pertinente ? Pour Dretske
on ne peut pas rejeter cette thèse mais on ne peut pas clôturer à partir de cela. La
vérité ne se trouve pas dans toutes les alternatives, on ne peut pas se baser sur
elles pour conclure quelque chose. Il faudrait d'abord pouvoir vérifier, comme pour
l'oiseau. Une alternative pertinente est un présupposé vrai et non la vérité vraie. Il
faudrait SAVOIR. Ainsi, cela détruit la clôture épistémique des sceptiques.
Cette notion de suivre à la trace montre que s'il ne pleuvait pas, on aurait
pas de raison concluante de croire qu'il pleut.
Ainsi Nozick casse le second prémisse sceptique :
« Si je ne sais pas que je suis un CUC, je ne sais pas que j'ai deux mains. »
La croyance que j'ai deux mains est sensitive. Si je n'avais pas de mains, je
n'aurais pas de raison de croire ça. Donc on sait qu'on a deux mains, même si l'on
ne sait pas que l'on est un CUC. Mais le sceptique ne suppose qu'il sait qu'il a deux
mains que s'il sait qu'il n'est pas un cerveau en cuve :/
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haut. » Cela nous mène au contextualisme.
Le contextualisme dit que la notion de savoir varie en fonction du contexte. Ainsi
nous retrouvons Wittgenstein. Il dit que se demander si l'on sait que P n'a de sens
que s'il est possible qu'on ne le sache pas. Ainsi « N'oublies pas ta tête » par
exemple n'a de sens que si la personne avec qui l'on parle est quelqu'un qui oublie
toujours tout. Le contextualiste dit lui que le savoir s'inscrit toujours dans un
contexte et qu'il convient de bien le choisir et de le garder tout le long de son
argumentation pour ne pas se tromper. Ainsi la thèse sceptique est détruite par les
contextualistes. Très grossièrement :
Pour le contextualiste, c'est faux car le critère pour que 3 soit vraie est trop élevé.
Le sceptique crée un contexte dans lequel il dit qu'il ne sait que peu de choses.
« Mais dans un contexte ordinaire.,il est correct pour nous de dire que nous savons
ce que le sceptique dit qu'il ne sait pas. »1
Une CUC où le sujet se trouve seul est une place où tout est simulé. Le
monde peut être simulé par l'ordinateur d'un savant, un malin génie ou bien même
notre propre conscience. C'est ici que nous retrouvons la vraie définition du
solipsisme.
Seule notre conscience existe, le reste est le fruit de notre imagination. Mais il
pourrait aussi l'être d'une imagination artificielle. Ainsi s'enfermer dans sa tête ou
s'y faire enfermer n'est pas si différent. Descartes par son « cogito ergo sum »
nous dit que notre existence en tant qu'entité pensante est connaissance
fondamentale. Mais comment peut-on raisonnablement donner une preuve de
l'existence d'autrui ?
Une réfutation simple du solipsisme passe par le fait que cette idée a besoin
d'un langage et de concepts pour que nous l'exprimions. Ceux-ci représentent notre
monde et nous permettent de réfléchir sur celui-ci. Or sans monde, il n'y a pas de
langage, cela ne tient pas debout. Le solipsisme ne peut être envisageable que si
notre monde tel qu'on le connaît n'est qu'un leurre. Notre logique, notre langage, et
notre monde ne sont qu'illusions et leurs raisons d'être aussi. Ainsi, je suis trompé
par un malin génie. Mais ce malin génie pour créer ce monde aurait besoin d'idées,
de concepts, de langages pour penser. Le solipsisme aurait donc besoin de ça pour
exister. Le solipsisme ne tient pas la route.
Mais plus facilement encore, il nous suffit d'essayer de nous écouter. Nos
émotions individuelles comme partagées, l'art, ne peuvent être le fruit que d'un
individu ou d'une simulation. Comment une entité bien que pensante pourrait avoir
des émotions avec elle même où avec des « machines » ?
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3. Discussion sur la véracité de la thèse de la « matrice », sommes nous enfermés ?
b. Nouveaux nés.
Que l'on soit seul dans sa CUC ou avec le reste du monde réel, une question
reste difficile à résoudre. Que se passe-t'il quand on fait un enfant dans le monde
simulé ? En effet, si nous sommes seul et que les autres protagonistes du monde
sont simulés, simuler un nouvel individu ne paraît pas difficile en soit. Mais, un
enfant nous ressemble. Un enfant est issu d'un brassage génétique avec une entité
simulée. A quoi va-t'il ressembler ? Est il possible que la machine qui simule le
monde puisse simuler une partie de nous dans cet enfant au point que nous ne
parvenions pas à voir la supercherie ?
Et dans le cas ou tous les protagonistes seraient enfermés avec vous. Que se
passe-t'il ? Cet enfant a été conçu virtuellement, il ne peut exister dans le monde
réel. Mais alors comment cet enfant serait simulé ? On obtiendrai un monde rempli
d'hommes et des femmes bien réels dans le monde du scientifique, enfantant des
robots dans un monde virtuel. Ou alors il est possible que le savant fou surveille
tous les hommes dans leur monde virtuel pour créer l'enfant dans le monde réel,
s'ils procréent dans le monde virtuel. C'est la seule solution pour que l'homme
puisse avoir de « vrais enfants1 » dans le monde simulé. Deux cas de figure se
présentent alors :
− Le scientifique contrôle parfaitement le processus de création d'un enfant.
Dans ce cas c'est assez simple. La mère suit sa grossesse virtuelle jusqu'au
moment où l'enfant naît. Le scientifique insère « bébé » dans le monde simulé à
l'exact moment de la naissance dans le monde simulé.
− Le scientifique ne contrôle pas le moment où l'enfant nait. Il doit donc agir sur
nous.
Dans ce cas, le scientifique doit nous contrôler ou tout du moins influer sur nous
pour pouvoir insérer « bébé » au bon moment. « Bébé » ne prévient pas de son
arrivée. Et dans un monde similaire au notre « bébé » n'apparaît pas comme
par magie. Donc nécessairement, le scientifique doit pouvoir faire en sorte que
le père et la mère aillent à la maternité, crient « poussez vous !» partout... pour
enfin insérer bébé. C'est le scientifique qui déclenche la fin de la grossesse
simulée. Adieu libre arbitre. Ce n'est qu'un exemple mais dans ce cas de figure,
le scientifique aurait un contrôle non seulement sur le monde qu'il nous présente
mais aussi sur nous.
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De plus, l'interaction entre la femme enceinte et son bébé dans le monde
simulé est très compliquée. En effet, elle porte un enfant totalement virtuel jusqu'à
la naissance. A moins que le scientifique ne puisse brancher un foetus au monde
simulé. Dans un cas de figure, ça ne sert à rien de faire écouter du mozart à son
ventre (Puisse que ce n'est qu'une « boule ») et dans l'autre on peut se demander
si notre scientifique ne branche pas aussi des animaux à ce monde (« s'il branche
des êtres élémentaires pour l'équilibre de ce monde. Pourquoi pas des
animaux? »).
c. Animaux.
d. Un monde imparfait.
Le monde créé par notre scientifique doit être parfaitement cohérent. Une
zone d'apesanteur dans un terrain vague1 pourrait faire désordre dans le monde où
nous vivons. Mais d'un autre côté, l'homme a besoin de mystère. Sans un certain
désordre, sans certaines questions l'homme et la civilisation humaine en seraient-ils
où ils en sont aujourd'hui. L'homme est sensible à la nouveauté, même notre oeil
est incapable de saisir une image stabilisée car il n'est pas fait pour ça. Il est fait
pour découvrir. Et pour découvrir, un monde vaste n'est pas suffisant, il faut aussi
qu'il soit mystérieux et imparfait pour susciter la curiosité. Une aurore boréale peut
tout aussi bien se voir comme une anomalie. On a cherché, on sait que non, que
cela fait partie de monde et qu'il est cohérent. Mais de tels mystères restent à
élucider. Comme le comportement de ces ***** de fourmis.
e. Schizophrénie de l'humanité2.
Il reste un point à aborder concernant un possible monde simulé qui est la fin
de celui-ci. Que se passerait-il si on débranchait tout le monde ? Pourquoi un
homme, président de tel pays dans le monde virtuel ne le serait-il pas dans le
monde réel à sa sortie ? L'histoire du monde simulé existe, bien que celui-ci ne soit
que simulé. Il faudrait matérialiser les oeuvres, les inventions du monde simulé
dans le monde réel. Il est déjà difficile aux hommes de cohabiter avec ceux du
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même monde mais alors là.. deux Terres sur une Terre, c'est assurément une de
trop.
III. Ouverture.
Matrix
Trilogie des frères Wachowski où des machines ont pris le pouvoir. Celles-ci
enferment l'humanité dans un monde virtuel, la « matrice », pour pouvoir se servir
de leur corps pour produire de l'énergie.
Existenz
Dans ce film de David Cronenberg, les deux héros sont plongés dans un jeu vidéo
Existenz pendant la majorité du film.
William Gibson – Neuromancer 1984 Count zero 1986 Mona lisa overdrive
1988 –
Les monuments que sont ces livres constituent le point de départ des univers
cyber-punk comme on les retrouve dans matrix, blade runner ou Johnny Mnemonic.
Il est important de préciser cela car aujourd'hui, la CUC est essentiellement
évoquée des les romans de Science fiction et autres oeuvres à l'univers cyberpunk
et technomaniac.
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2. Neurally controlled animat.
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Conclusion.
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BIBLIOGRAPHIE.
Livre :
Matrix, machine philosophique.
G.E. Moore, Philosophical papers, New York: Collier Books, 1962, p. 144-148.
Trad. J. Dutant 2003.
Newsgroups :
alt.philosophy
alt.religion
humanities.philosophy
talk.atheism
sci.skeptic
comp.ai
fr.sci.philo
Site internet :
WIKIPEDIA Inépuisable point de départ.
www.sceptiques.qc.ca Où les sceptiques en général.
http://www.kevinwarwick.org/ Bras artificiel, interface cerveau/bras.
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