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Neuroscience CM1

Neuro 2 fonctionnement du neuronne :


Première etape avant d’etudier les aires, les interactions. On va essayer de comprendre comment un neurone
fonctionne.
Le but est de comprendre un neuronne, c’est la brique fondamental de notre système nerveu. L’année prochaine on
s’intéressera a des régions du cerveau, des lots de neurones.
Un graphique nous montre la capacité mémorielle en fonction de la vitesse de calcul, combien d’opérations par
seconde. On peut y trouver notre neurone, une cellule qui reçoit de l’information et qui renvoi de l’information, le
grand challenge des neuroscience est de comprendre cette fonction. Le neurone a une vitesse de calcul aux
alentours de 10 puissance 9 . SI on prend quelque uns de ces neurones là on les connecte d’une manière particulière

 Le neurone et sa fonction :
Petit rappel : un neurone est une cellule qui a la particularité d’avoir des prolongements, les dendrites et l’axone.
L’information est reçu par les dendrites et renvoyer par l’axone. L’information va des dendrites vers le corp cellulaire
vers l’axone.
 Qu’elle est le type d’info qui circule dans un neuronne ?
C’est une activité électrique, il va falloir qu’on le décortique on va essayer de se faciliter l’apprentissage en se posant
des questions intelligente, les questions les plus simples, pourquoi on étudie sa, qu’elle est l’intérêt ?
La question la plus simple que l’on va poser au départ est que l’on va devoir définir :
Comment un signal électrique peut-il naitre et se propager depuis les dendrites jusqu’aux extrémités des axones ?
Mais au final qu’est qu’un signal électrique ? Un courant électrique ?
Un neurone serait-il comparable à un câble électrique.
Un courant c’est un flux comment peut-on définir un courant ? : Par un débit, un courant électrique c’est juste un
débit d’électrons. Quand on parle de courant d’électricité on parle aussi de la tension, c’est un peu la hauteur d’une
cascade. La tension électrique que l’on va définir en volt, c’est en effet comparable a la hauteur d’une cascade d’eau.
On a une hauteur et on peut définir un débit de l’eau.
Pour faire varier le courant d’une chute d’eau on peut faire varier la hauteur et la largeur du tuyau. Plus je monte on
augmente le potentiel, on augmente la pression (sous les chute du Niagara on se fait écraser) L’autre possibilité est
d’augmenter la taille du tuyau. Pour faire varier le débit soit on joue sur la hauteur du récipient sois on ouvre ou
ferme le robinet.
Si les deux récipients sont au même niveau l’eau ne vas pas couler, sans différence de potentiel on n’aura pas de
pression.
On prend n’importe qu’elle pile électrique, 1, volt 5 c’est son potentiel la réserve d’eau, branché a une lampe qui
consomme peu la pile va mettre longtemps à se vider. Si au contraire on prend un objet qui consomme beaucoup
c’est comme si on ouvrait le robinet a fond. On ne peut avoir un courant que si on a une cascade, la hauteur on va la
définir comme une différence entre deux point, ce qui importe est la différence entre ces deux point, la différence de
potentiel. Ce que l’on définit en volte, la tension électrique est la différence de potentiel.

Pour nous on ne va pas parler d’eau on va s’en servir comme image, notre eau a nous va être des ions, chargé
positivement (on parlera essentiellement du sodium et du potassium). Ce signal électrique va sous-entendre la
présence d’ions, on a des cascade d’ions. Comment les ions peuvent être responsables de la propagation électrique ?

On doit se poser la question pourquoi la nature a fait comme ça ?


On va déjà devoir s’intéresser a ce qui va nous permettre de comprendre la polarisation, dans la première partie on
va parler de perméabilités de transport.
Quand on parle de perméabilités c’est comment certains éléments vont passer à travers la membrane. Qu’elles règle
vont régir ces transports et ces passage

1. Transport Passifs
Eau qui tombe passivement qui subit le gradient, on a un potentiel il va y a voir passage totalement passif
a. La diffusion
Le premier qui a décrit les règles de cette diffusion passive est BROWN dont ses découvertes ont donné le nom des
mouvement grenier. On a un récipient et on dilue de l’encre devant. On voit de l’eau bleu clair, tout est homogène
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et stable. Mais si on regarde au microscope les molécules d’encre bouge, tout bouge en permanence, toute les
molécules ce déplace de manière totalement aléatoire. On prend une goutte d’encre quand l’encre tombe dans le
verre d’eau il y a un endroit dans le verre ou l’encre est très concentre très rapidement l’encre va partir dans toute
les directions, au fur et à mesure les molécules de l’encre va se diffuser dans l’eau et l’eau va changer.

Si on prend deux récipient celui qui a formaliser toutes le équation pour expliquer la diffusion entre de
compartiment est Flick a l’origine de deux équation. Il s’est intéressé a la diffusion entre deux compartiment il prend
une bassine, et sépare en deux compartiment avec une membrane qui est perméable seulement a un élément
donne. Il s’est intéressé aux lois qui vont régir la diffusion qui vont aller d’un compartiment à l’autre.

Lorsque l’on a deux compartiment dans celui de gauche un colorant jaune dans le droite que de l’eau la membrane
laisse passer le colorant jaune, si il y en a beaucoup a droit et peu a gauche, le colorant va passer de l’endroit où il
est le plus concentre vers le moins concentre. Il va se déplacer selon un gradient de concentration, jusqu’à ce qu’il y
est autant de colorant jaune à gauche et a droite.
Maintenait si on a un colorant bleu aussi a droite et que la membrane est perméable aux deux alors ils vont aller de
la droite vers la gauche on va se trouver avec les deux compartiments ayant la même concentration.

b. Mouvement des ions


Notre eau ou colorant change en ions. Les ions, un atome est constitué de toute substance chimique, constitué d’un
noyau comportant des protons, des neutrons. Autour de ces noyau vont graviter un ou deux électrons, ce sont des
charge négative. Si on prend l’atome le plus simple, a l’origine de l’univers c’est l’hydrogène, il a 1 seul électrons. On
va s’intéresser au sodium et le potassium
Si on prend l’exemple du sodium il a un noyau et un certain nombre d’électron mais il se peut pour des raison x ou y
que ce sodium perdent un électrons, sil il en perd un le noyau est charge positivement, si on prend un électrons et
que ‘l’on arrache a l’atome devient de l’ion si il a perdu un électrons on dit qu’il est chargé positivement. Idem pour
le potassium. Quand le sel se retrouve dans l’eau l’atome de sodium et de chlore se sépare et le chlore se barre en
volant un électrons au sodium, dans notre eau on a plus du NA CL mais du Na +
Comment ces ions vont passer de parte et d’autre de notre membrane plasmique ? Au sein de cette membrane on a
des protéines un des rôle possible de ces prot est de transporter des substances. Ces protéine pouvait etre des
canaux au travers de quel spécifiquement certains ions vont pouvoir passer. Ce que l’on va voir sont des
phénomènes du a ces proteine là.
Dans un compartiment il faut tout faire pour conserver l’electroneutralite, qu’il y est autant de charge + que de
charge – Dans chaque compartiment il y a autant de plus que de moins. Il faut dans les deux compartiments autant
de plus que de moins.
Ce qui va se passer est qu’il va y avoir un peu de changement, une équation nous donne l’état final qui dit comment
le système doit être à l’équilibre. Ce que nous dit l’équation est que bien que l’on est des différences de
concentration ça ne vas pas bouger. On a un gradient électrique qui va s’opposer au gradient chimique c’est
pourquoi on va se retrouver avec des plus d’un côté et plus de moins d’un autre.

Dans une cellule on va se retrouver par exemple, on remplace le sodium par du potassium et aussi des protéines qui
sont charge négativement, on a du chlore et beaucoup de potassium.

Ce qu’il faut savoir qu’il y a plus de potassium a l’intérieur qu’a l’extérieur et plus de sodium a l’extérieur qu’a
l’intérieur. Bien que l’on est des transporteurs on ne va pas avoir beaucoup d’échange
Mis a part ces transport passif du a des canaux on va avoir des transports actif ;

1. Transport actifs
Qui nécessite de l’énergie, ils vont permette de faire passer l’élément contre le gradient de concentration, on a
besoin d’énergie sous forme d’atp, c’est une pompe. Dans le cas inverse ou l’eau est en bas et doit remonter, il
faudrait un transport actif. Cette pompe actif consomme les deux tiers de l’énergie nécessaire au système nerveux
central. Si pour un neurone elle s’arrête on est mort.
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Pour que cette pompe fonctionne il faut que deux ions soit présent. La pompe va faire en sorte que le potassium qui
est sorti on va le re-rentrer. Dès que l’on a un sodium a l’intérieur il est pris par la pompe et ressorti et en même
temps elle fait renter du potassium. Cette pompe consomme les deux tiers de l’énergie utilisé par le système
nerveux.

Qu’est ce que cette asymétrie de concentration va engendrer ?


On va oublier le sodium et réfléchir en quoi cette équilibre de potassium engendre. Ça va permettre de garder
toujours polarisation de la cellule au repos. Quand la cellule est au repos, le neurone est toujours polarisé. C’est-à-
dire qu’il y a toujours une hauteur de cascade, on pourra toujours définir une différence de potentiel entre l’intérieur
et l’extérieur.
 Les électrons vont des zone de haut potentiel vers des zone de bas potentiel (comme une cascade qui va
vers le bas) Pour qu’il y est un courant il faut obligatoirement qu’il y est une différence de potentiel
L’intensité du courant va s’exprimer en emper, c’est un débit qui traduit la quantité d’électrons qui se déplace, plus
l’intensité est élevé plus les électrons sont nombreux a se déplacer. Par exemple qu’est ce qui est le plus dangereux
lorsque l’on parle d’électricité ? L’intensité du courant, pour modifier le courant sois on joue sur la hauteur de la
cascade sois sur l’ouverture du robinet.

Pour qu’il y est un débit il faut une différence de potentiel, il faut qu’une membrane d’un neurone soit polarise et est
une différence de tension. Dans la nature pour générer un courant il faut maintenir une différence de potentiel, si on
a pas cette différence quel que soit l’ouverture du robinet on n’aura pas d’équilibre.

La polarisation membranaire de repos :


1. Historique
Les premier a avoir vu qu’il y avait des réponse électrique a la stimulation de cellule excitable :
Matteucci = courant de blessure en coupant un muscle avec son galvanomètre. Emil du bois Raymond vient juste
piquer sans blesser le muscle et révèle pour la première fois ce qu’il appelle les fluctuations négatives ou courantes
de repos et courant d’action.
C’est l’arrive de première base thermodynamique, Walter ners et sa fameuse équation pour comprendre, il va
amener la façon d’expliquer pourquoi une diff de proportion de part et d’autre de la membrane.
Hodgkin et Huxley ont tout fait on continue de compléter leur travaux, il ont mis a jour tous les mécanise que l’on
connait.
2. Mise en évidence de la polarisation de repos
Le potentiel de repos n’est pas positif il est négatif, notre cellule est toujours plus négative a l’intérieur.
Au repos la membrane de cellule excitable est électriquement polarisée, on a une polarisation de repos. Cette
polarisation membranaire est stable dans le temps tant que la cellule n’est pas excitée. On est polarise tant que l’on
n’est pas a 0, si on se rapproche de 0 on est dépolarise
Si on est à moins 60 et que l’on va a moins 100 on augmente la pression, la hauteur de la cascade et on dira que l’on
est hyper polarisé. Si on se rapproche de 0 on dépolarise si on s’éloigne plus de 0 on hyper polarisé. c’est lorsque le
potentiel de membrane est inférieur au potentiel de repos
3. Signification de la polarisation de repos.
Pourquoi notre gradient de concentration va faire que l’on a cette polarisation ?
Lorsque l’on a un gradient électrique, ce que l’on va mesurer, notre hauteur de cascade compense notre gradient de
concentration il se passe plus rien. Mais les concentrations n’ont pas changé pour crée se gradient électrique il faut
une infime quantité d’ion.
 Le gradiant électrique s’oppose au gradient de concentration.
La différence entre le gradient chimique et le gradient électrique s’appelle la « driving force », la force motrice si
cette force motrice est nulle, on est stable. Quand cette driving force est nul les ions sont a équilibre. L’équilibre c’est
quand ces deux force s’annule.
La diffusion crée un gradient qui s’oppose a cette division.
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Un équilibre électrochimique vient de se réaliser. Il nous permet de comprendre que les concentrations d'un ion de
part et d'autre d'une membrane qui lui est perméable peuvent être inégales puisqu'une force électrique s'oppose à
la diffusion.
Il aura fallu une infime quantité d'ions K+ passant de A vers B pour que la ddp s'établisse à -84mV (valeur variable en
fonction des concentrations).
En d'autres termes, on peut dire que la variation de concentration ne concerne que le voisinage immédiat de la
membrane. Tout se passe comme si les concentrations dans le reste du compartiment étaient inchangées.
-84mv : c'est le potentiel d'équilibre des ions K+ ou EK. Bien entendu, cette valeur dépend des concentrations K+ de
part et d'autre de la membrane dans la cellule étudiée.
Selon les cellules EK varie entre -70 et -90mV
La différence de potentiel appel E est ce que l’on mesure lorsque l’on est à l’équilibre, ce E on l’appel potentiel
d’équilibre d’un ion. Lorsque votre membrane est perméable uniquement au K+ a ce moment-là on verra une valeur
qui correspond, qui n’est d’u qu’a l’ion, on va alors enregistre le potentiel d’équilibre de cette ion là (Ek) et le
potentiel d’équilibre du K+ n’est as a plus 50 il est à moins 80. On va mesurer moins 80 comme étant le potentiel
pour le potassium qui est plus concentre a l’intérieur qu’a l’extérieur. Si on inverse les rapports on aura un potentiel
de sodium positif.

Si une membrane est perméable à un seul ion x alors son potentiel que l’on enregistre Em est égal au potentiel
d’équilibre de l’ion x. Ce que l’on enregistre est du uniquement a cet ions là . On va se mettre dans un cas ou la
membrane est perméable uniquement au potassium. Si tous les canaux potassium se ferme et d’autre canaux
sodium qui s’ouvre Si ma membrane est perméable qu’au k+ ma membrane va avoir un potentiel négatif, si on ouvre
les canaux et on les rend perméable aux Na+ alors la membrane devient potentiel positif.
Le principe du potentiel d’action, c’est joue sur les perméabilité aux ions en ouvrant brutaent les canaux puis en les
referment.
E depend du rapport des concentration si il n’y a pas de difference c’est 0 ce qu’il faut avoir en tete est cette
dependance de E =𝑋 𝑒 ∶ 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑥𝑡𝑟𝑎𝑐𝑒𝑙𝑙𝑢𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙′𝑖𝑜𝑛 𝑋 𝑋 𝑖:𝑐𝑜𝑛𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑖𝑛𝑡𝑟𝑎𝑐𝑒𝑙𝑙𝑢𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙′𝑖𝑜𝑛 𝑋

Moins 84 est le potentiel d’equilibre du potatium

Si on prend notre neuronne on rappel que EK = -84 et ENA = 58mV

Au fur et a mesure que le sodium retre le rapport change, il tend vers 1 au fur et a mesure que le k+ sort il faut
l’attraper et le faire reretrer parail avec le NA+
Si on ouvre les deux robient de la meme manière on aurait un potentiel membranaire entre les deux. Si on ouvre l’un
plus que l’autre si on ouvre plus le robinet potassium on va avoir un erm qui va tendre vers le K+

Quand on parlera de robinet très ouvert c’est une forte conductance, la capacité à ouvrir. Pour un neurone la
conductance est proportionnelle au nombre de canaux qui vont être ouvert. Si tous les canaux sont fermés la
conductance est nul

Les canaux dont on parle pour le potentiel de repos sont ouvert en permanence, leur nombre est diffèrent on a plus
de canaux K+ que de canaux NA+ on a par défaut des robinet toujours ouvert mais plus de K+, plus nombreux.
En dépend de la hauteur des cascades et de l’ouverture des robinets.

LE POTENTIEL D’ACTION.
Les neurones sont des cellules spécialisées dans la transmission des influx nerveux. Lorsque le neurone est au repos,
les ions sodium et potassium sont inégalement distribués de part et d'autre de la membrane. Les ions sodium sont
concentrés dans le milieu extracellulaire tandis que les ions potassium se trouvent dans le cytoplasme du neurone.
Ce déséquilibre est ainsi maintenu grâce à la pompe Sodium/Potassium. Au repos l’intérieur du neurone est plus
négatif que le milieu extra-cellulaire. On dit qu'il est polarisé. Lorsque la membrane du neurone est restabilisée, les
portes des canaux s'ouvrent, cependant les portes d'activation des canaux à Sodium s'ouvrent plus rapidement que
celles des canaux à Potassium. Les ions Sodium entrent donc massivement dans le neurone rendant celui-ci moins
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négatif. Si le seuil est atteint, les autres canaux s'ouvriront à leur tour. La grande quantité d'ions Sodium qui entre
dans la cellule entraîne une dépolarisation. Pendant que les portes d'inactivation des canaux à Sodium se ferment,
les canaux à Potassium s'ouvrent à leurs tours. Cette fois les ions Potassium sortent du neurone, on appelle cela la
repolarisation. Toutefois les canaux à Potassium restent ouverts plus longtemps que nécessaire, beaucoup d'ions
Potassium sortiront ce qui diminuera le potentiel intracellulaire plus bas que le potentiel de repos, c'est
l’hyperpolarisation. La pompe Sodium/Potassium se chargera d'amener les ions Sodium à l’extérieur de la cellule et
les ions Potassium à l’intérieur. Le potentiel de repos sera ainsi rétabli

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Petit rappel :
On avait terminé sur le fait que notre membrane du neurone est perméable au deux ions, on pouvait définir les deux
potentiels auquel ces deux substances serait à l’équilibre si elle était seul. Au repos sans stimulation la membrane
est polarise a -70. Si on dépolarise on se rapproche de 0 si on hypolarise on s’éloigne encore plus de 0 Le potentiel de
repos est maintenu stable grâce a une pompe. Il ne faut surtout pas que le K+ sorte trop ou que le NA + rentre, d’où
l’intérêt de cette pompe qui va faire ressortir du sodium et faire rentrer du potassium.

Aujourd’hui on va aller stimuler le neurone :


On va s’intéresser à l’entrer, dans l’anatomie du neurone, on avait dit que les entrées se font par les dendrites va
voyager le long des dendrites puis après va aller dans l’axone. On verra que les potentiels d’action on ne les trouve
que dans les axones. Dans les dendrites on trouve autres choses.

On va parler des potentiels locaux :


La communication électrique intercellulaire a pour support des variations de potentiels de membrane qui parcourent
les membranes. Parmi ces modifications transitoires du potentiel de membrane par rapport au potentiel de repos il
existe des phénomènes électriques qui ont un caractère strictement local.
Quand on étudie un potentiel de repos on prend un voltmètre pour mesurer la diff de potentiel on mesurait le haut
de la cascade et le bas et on mesure la diff de charge on a alors notre diff de potentiel. On ne va pas se contenter
d’enregistrer juste le potentiel de repos. Lorsque l’on stimule électriquement on voit que notre potentiel tend à se
rapprocher de 0 on va parler de dépolarisation. On voit que l’amplitude de variation dépend de la stimulation. Ce
potentiel est gradue, plus on va stimuler fort plus on va avoir une variation de potentiel importante.
On va considérer le fait que ces petite réponse sont gradue c’est-à-dire dont l’amplitude varie en fonction de
l’intensité de la stimulation. Si on augmente l’intensité de la stimulation on augmente l’intensité de notre réponse.
Tous sa c’est dans les dendrite là ou il n’y a pas de potentiel d’action. De plus c’est un phénomène locale, Le
potentiel que l’on mesure là est a un endroit donné, un peu plus loin la variation ne sera pas la même, car le
potentiel se diminue en se propageant.
On a dit que le neurone reçoit l’information d’un autres, les neurotransmetteurs qui vont arriver vont engendre un
potentiel local, ou post synaptique. Là-dessus ça va se propager mais pour que le neurone décide que ce qu’Il a reçu
est important, en fonction de ce qui va arriver a un endroit précis de notre neurone, le neurone va ou non décider de
générer un PA. Un PA est générer car le neurone a reçu l’information suffisante pour que la sortie soit suffisante.

Si non il se passera rien, il faut faire en sorte d’additionner ces petits potentiel. Au lieu de laisser le temps au
potentiel de revenir au repos on ne le laisse pas le temps, on réapplique une stimulation directement, on se retrouve
avec une addition des deux ce que l’on va appeler une sommation temporelle.

On peut se mettre dans un autres cas de figure où on enregistre à un endroit et on vient stumuler a deux endroits. Là
si on en stimule on la naissance d’un petit potentiel même chose pour l’autre, lorsque ils vont se rencontrer et vont
s’additionner on appellera sa une sommation spatial.
On applique pendant quelques dizaines de ms un courant.
On étudie l'effet de ce courant sur le potentiel de repos de la cellule, Em (enregistrement intracellulaire).
La membrane répond par une faible variation de potentiel nommée électrotonus dépolarisant (quelques mV
d'amplitude)
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L'amplitude de l'électrotonus, potentile electrotonique, augmente si l'intensité du courant augmente: on dit que
c'est une réponse graduée.
Pour un courant de sens contraire, la variation de potentiel change de sens et on obtient un électrotonus
hyperpolarisant.
Lorsque l'application du courant stimulant cesse, le potentiel revient à sa valeur de repos Em.

Le potentiel local se propage de manière decrementielle, sont amplitude diminue au fur et à mesure en se
propageant. L’amplitude de réponse diminue au fur et à mesure que l’on s’éloigne du point d’arriver de la
stimulation. Il y a un effet que l’on appelle l’effet joule c’est la perte au fur à mesure que le courant à voyager. C’est
un peu le même principe ici, au fur et à mesure que le signal va se déplacer le signal va perdre en amplitude. Mais on
en revient à ce que l’on disait, cette dépolarisation est normalement générer par l’arrive de neurotransmetteur, mais
si cette depolarisation se propage en diminuant il est probable qu’en arrivant au bout des dendrites il n y est plus
rien. Le moyen pour renforcer l’amplitude de notre courant, va être de synchroniser les entrer faire en sorte que le
corps cellulaire va être stimulé par des petit potentiel qui vont s’additionner (la sommation)

Mais que va-t-il a arriver au niveau de la zone gâchette, le tout début de l’axone ? C’est ici que la décision sera prise
de générer une sortie ou non en fonction des potentiels arrivé.

Là il y a un concept important sur lequel il faut insister : Une telle propagation passive d’une tension le long du
neurone est appelée conduction électrotonique L’efficacité de ce processus a deux effets importants sur les
fonctions neuronales :
 Elle influence la sommation spatiale, processus par lequel des potentiels synaptiques générés à différentes
régions du neurone peuvent être sommés au niveau de la zone de déclenchement.
 Une deuxième caractéristique importante de la conduction électronique est son rôle dans la propagation des
potentiels d’action, là attention ce que l’on va voir ensuite quand on parlera de propagation d’un potentiel
d’action il fut revoir ce qu’est un pa et a quoi ça sert.

Un PA est en fait une dépolarisation qui est entretenu, au lieu de faire comme un potentiel local naitre et diminue.
Le PA est une information importante pour le neurone, le neurone dit qu’il est important de libéré cette information
a l’autres neurone Si on avait la même méthode de propagation que les potentiel locaux, il n’y aurait pas de
transmission de l’information. La nature met en jeux donc des processus qui permettent d’entretenir la transmission
de l’information. C’est une dépolarisation qui va s’entretenir, puis se propager. Cette propagation répond au même
processus que l’on a vu, sauf que dans le cas d’une reponse local c’est decrementiel car pas entrenu, alors que dans
le cas du PA on aura un entretien.

Si la membrane reçoit une info pertinente, qu’elle adition les potentiel et qu’en arrivant à la zone gâchette on a un
potentiel qui passe une valeur seuil alors on va avoir à cette endroit-là le déclenchement d’un pa et ce grâce à
l’ouverture de canaux particulier, des canaux qui vont être sensible à la dépolarisation qui arrive. On appel sa des
canaux potentiel dépendant, ou voltage dépendant.

 Donc le potentiel nait au niveau post synaptique se propage, s’adition voyage de manière decrementielle, si
ça passe le seuil on déclenche un PA.

LE POTENTIELD’ACTION:
Si le potentiel n’atteint pas le seuil on va avoir une conduction passive et au bout, rien. Par contre si le potentiel est
sup a la valeur seuil a ce moment-là on déclenche un PA Et là on va générer un potentiel d’action, une grosse
dépolarisation qui va se propager en s’entretenant, on est sûr que cette dépolarisation car elle ne perd pas
d’amplitude. Attention le PA se propage tout au long de l’axone. Si on augmente l’intensité de la stimulation on
n’augmente pas l’amplitude de notre PA mais on augmente la durée du potentiel
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Le pa est une inversion brusque et momentanée, une dépolarisation Le PA est une inversion brusque et
momentanée du potentiel de membrane. Le PA est présent uniquement dans l’axone et les terminaisons
synaptiques. Les PA est que si il y a des canaux qui permette sa genèse, dans les dendrite on a pas de canaux voltage
dépendant donc pas de PA dans les dendrites. Le PA consiste en une brusque et brève dépolarisation locale de la
membrane.
 Cette dépolarisation est suivie d’une repolarisation et d’une hyperpolarisation

Comment dépolariser une membrane neuronale :


Pour dépolariser une membrane on ouvre des canaux NA+, au repos on a beaucoup de canaux K+ et peu de NA+
ouvert, si on en a autant on va se situer au milieu, pour dépolariser on va augmenter l’ouverture des canaux NA+.

Donc notre potentiel membranaire n’aura jamais une valeur inferieur a -84 ni une valeur supérieur a na + 54.
Plus la conductance au Sodium augmente, plus le potentiel membranaire se rapproche de Ena La membrane se
dépolarise ou sa polarisation s’inverse.
C’est ce qui va se passer avec un PA
PA et canaux voltage dépendant (VD) :
Si on veut modifier le potentiel membranaire on va faire appel a des canaux qui sont fermer au repos mais qui vont
s’ouvrir si on les stimule. Les canaux voltage dépendent sont sensible au voltage, plus la membrane se dépolarise
plus les canaux auront de chance de s’ouvrir On peut parler de probabilité d’ouverture.
Dans notre membrane on a toujours nos canaux de fuite, puis on rajoute nos canaux voltage dépendant. C’est
canaux si ils sont ouvert continueront de laisser passer des ions voltage dépendant, toujours selon les gradients de
concentration.
Si notre petit potentiel sont amplitude passe la valeur seuil, c’est pour cette valeur minimal que les canaux voltage
dépendant s’ouvre. Plus les potentiel augmente plus les canaux vont s’ouvrir. Quand un canal va s’ouvrir ça va
engendrer quelque chose d’inaretable

Si on ouvre les Canaux K+ on se rapproche de Ek, on est allé plus loin de 0 on a donc hyperpolarise, si ouvre les
canaux voltage aux sodium on dépolarise on se rapproche de ENA+

 Notre PA par phase : Dépolarisation, repolorasition, hyperpolarisation.


Ils se déclenchent au niveau de la zone de déclenchement des PA, au niveau du segment initial de l’axone. C’est à
partir de cette zone que l’on trouve des canaux VD (Na+VD et K+VD). Dans les dendrites pas de canaux voltage
dependant = pas de potentiel d’action. Au niveau de la zone de déclenchement, si l’amplitude du potentiel
électronique (local) n’atteint pas le seuil, alors les canaux VD ne s’ouvrent pas, et donc pas de PA. Le potentiel se
propagera alors de façon décrémentiel… et disparaitra….Au niveau de la zone de déclenchement, si l’amplitude du
potentiel électronique (local) dépasse le seuil, alors les canaux VD pourront s’ouvrir. Le potentiel se propagera
alors de façon non-décrémentiel…

 On va essayer de comprendre ces différentes phases :


Au repos las canaux voltages dépendant sont tous fermer, le potentiel origine arrive au seuil, ouverture importante
des canaux sodique, les deux commence à s’ouvrir en même temps, mais le robinet K+ s’ouvre plus lentement. Ce
sont des canaux voltage dépendant il sont sensible au même voltage mais ne vont pas s’ouvrir à la meme vitesse se
fait là explique les phases de notre PA.
On va dépolariser, ouvrir notre robinet qui engendre un courant qui dépolarise (exemple de la pile qui se décharge
quand on l’utilise). Ce courant engendré par notre entré de NA+ va changer de potentiel. Mais en dépolarisant un
peu on augmente les chances d’avoir des canaux ouvert qui vont augmenter les courant dépolarise etc … Il y a une
logique proposer par la nature a la base de ça.

ATTENTION : AU MOMENT DU DECLENCHEMENT, C’EST BIEN LA DEPOLARISATION INITIALE (L’ELECTROTONUS) QUI


OUVRE LES CANAUX SENSIBLES AU VOLTAGE.
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DES QUE UN PETIT NOMBRE DE CANAUX Na+-VD SONT OUVERTS, LE COURANT AUGMENTE DONC LA
DEPOLARISATION S’ACCENTUE CE QUI OUVRE DE NOUVEAUX CANAUX…
C’EST ALORS L’OUVERTURE DES CANAUX QUI ENTRETIENNE LA DEPOLARISATION !!!
Cette dépolarisation va s’arrêter quand tous les canaux sont ouverts on a atteint le maximum.

Se pose un problème majeur c’est le suivant une fois : au maximum il va falloir repolariser, le canal sodique
transmembranaire a une petite sous unité, une protéine, un bouchon qui venir se mettre dans le canal pour le
boucher, c’est un phénomène aussi sensible au voltage. La nature à trouver un moyen de venir boucher le canal, si
tout d’un coup on enlève le courant NA+ on re-polarise Les Canaux Na+ VD vont s’inactiver / Se boucher. ILS SONT
OUVERTS MAIS BOUCHÉS. Au repos 40 % des canaux voltage dépendant sont inactivé. Les Canaux Na+ VD peuvent
être : Fermés, ouverts, ouverts mais inactifs (bouchés) ou fermés mais inactifs (bouchés)
On a également ouvert les canaux K+ en plus de cette inactivation des canaux NA+ . Du coup il y a polarisation Au
niveau de la repolarisation les canaux NA+ sont fermé. Les canaux NA+ qui mène l’hyperpolarisation se fermeront
au fur et à mesure.
La tetrodotoxyn, que contient le fugu poisson, va bloquer les canaux voltage dépend mène a la mort.
Au final un PA est engendre par deux cycle qui s’entretienne : La dépolarisation vient ouvrir des canaux, l’ouverture
augmente les courant et c’est ce courant qui crée la dépolarisation, c’est l’augmentation du courant. Quand on
dépolarise encore plus on ouvre plus de canaux et donc on augmente encore le courant
On a un boucle plus lente qui va engendre de façon plus lente les canaux K+ qui va conduire a hyper polariser.
 Il faut inactiver pour avoir un potentiel qui maintien l’ouverture.

 La période réfractaire :
On va considérer un pa comme une chasse d’eau, car quand on tire la chasse d’eau sa libère l’eau et si l’on rappui
tout de suite ça ne marche pas, c’est en train de couler un deuxième appui va rien faire. Il ne se repassera la même
chose que si le réservoir se rempli. C’est la même chose pour un PA. On va parler du fait que le pa a une période
réfractaire. Mais on n’aura pas la possibilité de générer un deuxième PA. On va pouvoir définir une période ou une
stimulation pourra quand même engendrer quelque chose.
On va faire la diff entre période réfractaire absolu ou on ne pourra pas faire un PA pendant la dépolarisation et
pendant la repolarisation.
Et une autre période : a partir du moment où certains canaux se sont desinactive, débouche une deuxième
stimulation peut les reouvrir, mais a ce moment-là on est plus loin du seuil, si on a hyperpolarisé il faut stimuler plus
fort que la première fois du coup il est possible de générer un deuxième pa mais c’est plus difficile et pas la même
efficacité on va appeler cette période la période réfractaire relative, car on est éloigné du seuil. Toujours avoir en
tête ou on est par rapport a EK et ENA.

Sa nous amène a définir la notion de seuil, le seuil on va le définir de manière plus intelligente, en fonction des
neurone le seuil va varier … Un seuil ce n’est pas une valeur au-delà de laquelle je suis, le seuil c’est un lieu entre
deux endroit, le seuil pour un PA est un moment, un état particulier, c’est le moment ,le point pour lequel le courant
rentrant NA+ est égal au courant sortant K+, c’est un état auquel les deux courant s’oppose complétement

U La tension, la diff de potentiel la hauteur de la cascade/ I intensité du courant, le debit/ R resistance c’est la
capacité de resister au courant. U = RI
La conductance g = 1 sur R
U = Em –ENA1 = I divise par G Gna+ MULTIPLIER par la diff de la cascade = au courant du sodium.
Notre potentiel membranaire dépend du niveau d’ouverture de nos deux robinet, se rapproche plus de ek ou ena, si
ils sont ouvert de la même manière on sera au milieu.

CM3
Pour reprendre ce que l’on a vu :
Apres avoir vu qu’un neurone doit être polarise et maintenir cette polarisation. On a vu les base fondamental des
entre, de l’intégration neuronal. Il faut pouvoir explique ce qu’est un neurone et qu’elle est sont rôle.
Neuroscience CM1
Un neurone ne va pas forcement renvoyer l’information, la décision du neurone va être sous forme d’un potentiel
d’action, qui doit aller se propager de l’info jusqu’au bout de l’axone, si il y avait une propagation decrementielle il
n’y aurait rien au bout. L’ouverture des canaux permet de maintenir une dépolarisation qui va se déplacer.
Les potentiel locaux sont sommable aussi bien spatialement que temporellement.
Ce potentiel peut se retrouver au niveau de la zone gâchette, segment initial. Si ce potentiel n’atteignait pas une
valeur seuil (un état d’équilibre des deux courants) un état dans lequel on a ouvert les deux type de robinet de
manière à ce que les deux courants soit égaux, ces potentiel vont être decrementiels. Les processus implique dans la
propagation d’un pa sont les meme que ceux implique dans la propagation de nos potentiel electrotonique. Si on ne
dépasse pas le seuil le potentiel locaux va continuer de se propager de manière decrementiel le long de l’axone
jusqu’à disparaitre.
Ce qui va nous intéresser aujourd’hui est le mécanisme qui va permettre au pa de se reproduire tout au long de
l’axone.

Le Pa se déclenche uniquement après la zone de déclenchement a partir du moment ou l’on trouve nos canaux
voltage dépendant. Le rôle fondamental d’un neurone est qu’a partir des entre prendre une décision.
Si le potentiel d’action nait c’est qu’il y a eu un potentiel local suffisant. Si on ne fonctionnait que sur les potentiel
locaux au final on aurait plus rien. Comment a partir de cette zone gâchette notre Pa va se propager sans diminuer
en amplitude ?

Ce n’est pas un Pa qui se propage en une ligne droite, c’est un pa régénérer a l’identique a cote, qui va se régénérer
au fur à mesure. On va considérer que la propagation peut s’expliquer de la même manière que le potentiel local. La
raison de cette diminution est dû à un principe universel qui dit qu’un courant cherche toujours a fuir pas les zones
de moindre résistances. Si au niveau du segment initial on a un potentiel qui passe le seuil : A ce moment-là on
génère un PA, la nature veut générer un courant dans l’axone dans ce cas-là si on stimule suffisamment nos canaux
voltage dépendant se sont ouverts.
Pourquoi un canal s’ouvre-t-il ? Un canal c’est une protéine transmembranaire avec plusieurs molécule. Dans la
structure des protéine on avait mentionner le fait que nos protéine pouvait forme des hélice alpha ou feuillet beta.
Imaginons que notre canal soit une hélice alpha et on avait également dit que l’on a 20 aa pour composer nos
protéine et que certains ont des caractéristique particulière. Parmi ces caractéristique on avait vu que certains aa
sont charger positivement. Imaginerons que notre hélice alpha au bout elle est des aa charge plus. Si on envoie un
courant avec des charge positive a l’intérieur l’helice est déplacé par la répulsion des + face au + en bougeant sa
ouvre le canal.
Donc on a un canal qui va s’ouvrir car on a stimulé électriquement, notre courant qui est induit par l’ouverture du
canal qui s’est ouvert car un courant l’a traversé. Que fait le courant a partir de là, il cherche a fuir par les zone de
moindre résistances. Les zone de moindre résistances sont juste à côté, le courant va comme dans le tuyau fuir et va
rencontrer des canaux voltage dépendant voisin, le canal s’ouvre avec un nouveau courant aussi important. Cette
fuite par les zones de moindre résistance explique que l’on a une progression décrémentiel et c’est aussi la raison
qui explique l’ouverture de canaux voltage dépendant.

C’est pour ça qu’il ne faut pas voir quelque chose qui se partage de manière linéaire, le but est d’amener une
dépolarisation importante. Pour amener l’information on ne joue pas sur la taille, mais sur leur fréquence.
Dans la nature le sens de propagation est impose, si le PA nait au début de l’axone il va se propager toujours dans le
sens de propagation. Ça ne va pas dans l’autre sens car les canaux sont inactif.

Axone myélinisé et conduction saltatoire


Pour avoir moins de canaux voltage dépendant, on va mettre des longues régions isolé sans fuite, ces isolant ce sont
les gaines de myéline qui viennes entourer l’axone. Une myéline qui est une substance qui sert à isoler et a protéger
les fibres nerveuses. On a aussi vu les diffèrent type de cellule dans le SNP ou SNC qui était a l’origine de la myéline.
Un neurone non myélinisé, notre courant va toujours fuir pas les zone de moindre résistance, avec un axone
myélinisé on a moins de canaux voltage dépendant. La myéline est un isolant sur une longue portion d’axone, cette
gaine empêche le courant de fuir, donc il n y a jamais de courant qui traverse cette membrane. Les prochain canaux
voltage dépendant seront au niveau de la prochaine zone non isole, les nœuds de Ranvier. Si on considère sa, avec
Neuroscience CM1
un PA générer au début la zone de moindre résistance est le nœud de raniver donc à cet endroit là on aura une
régénération du PA, les PA vont sauter voilà pourquoi on parler de conduction saltatoire.

Une maladie génétique adrenol transmise par la mère : c’est une protéine qui n’a pas été fonctionnel qui est
impliqué dans l’élimination du peroxysome qui est impliqué dans l’élimination d’acide gras,. Cette protéine ne
remplisse plus leur role , cette accumulation d’acide gras va induire la démyélinisation de nos axone. Ce qui se passe
alors que le courant, le PA devient decrementiel, il n y aura jamais de sortie.

Cette myélinisation permet aussi d’augmenter la vitesse de propagation, le fait d’avoir isolé l’axone permet une
conduction plus rapide. On peut classifier les fibres par diamètre et par vitesse de production on peut en déduire
donc des fibres oui ou non myélinisé. Notre moelle épinière reçoit des info en permanence sur l’état de nos tendons,
nos muscle, ces fibre qui transmette l’information sont myeliniser et on voit que la vitesse de conduction est très
importante. Ce ne sont pas les mêmes fibres qui vont faire circuler les mêmes informations.

CM3 :
Physiologie du neuronne :
La transmission Synaptique

Le courant électrique généré par la transmission synaptique :


Dans le système nerveux on a des neurones qui communiquent entre eux grâce a des synapses. Il y a deux grand
type de synapse, des chimique et électrique. Chimique veut dire que les neurones communique entre eux grâce a
une substance chimique, électrique c’est qu’il communique directement par un signal électrique. On va voir
principalement les synapses chimiques.

Synapse chimique
Classiquement quand on a présenté la communication entre les neurones, la communication se fait par une liaison
particulier entre le neurone qui envoi l’info et le neurone qui reçoit l’info.
Il existe plusieurs types de synapse en fonction de l’endroit où se fait la liaison. Quand on a l’axone du neurone A qui
contact les dendrites du neurone B on appel sa une synapse axo dendritique. Le neurone A peut aussi contacter le
neurone B au niveau du corp cellulaire dans ce cas-là on a appel sa une synapse axo somatique. Et enfin troisièmes
lieu de synapse, les synapse axo axonique, l’axone du neurone A se termine sur l’axone du neurones B
Ce sont les trois grands types de synapses que l’on peut avoir.
En règles générale pour les synapse axo axonique se font principalement sois au niveau du segment initial du
neuronne B sois au niveau des terminaison axonique du neuronne B.

 Eléments d’une synapse :


Une synapse c’est quoi ?
C’est le point de jonction entre deux neurones. Une synapse est composé d’une terminaison axonique qui provient
du neurone A cette partie est ce que l’on appelle versent pre synaptique(ou bouton pre synaptique) L’autre partie
de la synapse c’est la partie des dendrites du neurone B qui reçoit l’information, on appel sa le versant post
synaptique au niveau des dendrites. Pour une synapse axo somatique ou axo axonique c’est la même chose
Entre les deux on a l’espace synaptique, la fente synaptique.
 Une synapse est composé de ces trois éléments quand on parle d’une synapse on parle de versant pré
synaptique, post synaptique et la fente synaptique.
La fente synaptique est un espace qui est très faible en terme de distance mais qui va nécessite si aux alentours de
10 20 nanomètre, qui va nécessite l’utilisation d’une substance chimique pour transmettre l’info entre post et pre
synaptique. Il peut y avoir des synapses qui ont des formes différentes, mais on a toujours ces trois éléments.

 Elément du versent pré synaptique (au niveau des terminaisons axonique) :


Ils sont nécessaires pour la transmission de l’information. On va voir d’abord au niveau pré synaptique, en fait on a
ce qui va nous etre utile se sont au niveau de la membrane du versant pre synaptique on va avoir des canaux
ionique (des prot) calcium voltage dépendant, c’est un canal ionique qui s’ouvre en fonction du potentiel de
Neuroscience CM1
membrane. Calcium veut dire qu’ils vont laisser passer des ions calcium. Ensuite on a aussi ce que l’on appel des
vésicules synaptique se sont des petits paquets, ballon qui contienne la substance chimique qui va permettre au
neurone pré synaptique de communique avec le neurone post synaptique. La substance chimique qui permet la
communication entre les deux versements, s’appelle neurotransmeteur (ou neuromédiateur c’est la même chose).
Et la membrane de la vésicule synaptique a exactement la même constitution que la membrane du neurone. La
membrane des vésicules synaptique est une double membrane phospholipidique. Sur la paroi des vésicules
synaptique, les trait sont les protéines qui vont permettre au vesicule synaptique de s’accroché a la paroi pre
synaptique. Le complexe snare= ensemble de protéines qui permette a la vésicule synaptique de s’accrocher a la
membrane pré synaptique. Ces vésicules ont donc la possibilité ou non d’être accrocher à la paroi pré synaptique.
La quantité de neurotransmetteur dans chaque vésicule synaptique peut varier, d’autres auteurs diront que la
quantité dans chaque vésicule est identique.

 Elément du versent post synaptique (aux niveaux des dendrites) :


En vert on a des canaux ionique chimio dépendant, c’est-à-dire que l’on va voir sur ce schéma des canaux ionique
dont l’ouverture dépend d’une substance chimique, la substance chimique là c’est les neurotransmetteurs. Ces
canaux ionique chimio dépendant, ce sont les récepteurs au neuro transmetteur. On peut avoir d’autre récepteur,
qui sont des récepteur metabotropique . Au niveau de la membrane pré synaptique pour résumer, c’est les
récepteurs de neurotransmetteur.
Pour rappel un canal ionique chimio dépendant : protéine enchâssé dans la membrane, a sa surface elle a des sites
de fixation pour certaine substance chimique :
 Quand le neurotransmetteur n’est pas fixe le canal est ferme.
 Quand le neurotransmetteur se fixe sur le récepteur, le canal s’ouvre et les ions peuvent traverser le canal
Un canal ionique ou récepteur chimio dépendant, ne va laisser passer qu’un type d’ion, en réalité chaque canal
ionique peut laisser passer deux type d’ions. Le sens de passage va dépendre du type d’ions, certains ions vont
rentrer dans le neurone d’autre sortir, et donc la concentration de ces ions entre le milieu intra et extra cellulaire.
L’idée globalement les ions plus concentre a l’extérieur aurait tendance à rentre et les ions plus concentre à
l’intérieur sortirons. Les ions vont se déplacer en fonction du gradient de concentration. Sur un canal ionique chimio
dépendant, on a toujours un ou plusieurs sites pour le neurotransmetteur à la surface du récepteur on a aussi
d’autre site de fixation pour d’autres substances chimiques. Sur le récepteur au gaba par exemple, le
fonctionnement de ce récepteur va pourvoir changer grâce à la présence d’autre molécule. Le fonctionnement d’un
récepteur peut être modulé.

Les récepteur metabotropique sur le versent post synaptique aussi, en fait c’est une protéine réceptrice qui est
couplé à une autre protéine que l’on appel protéine G qui se trouve dans le milieu intra cellulaire. Pour rappel
chaque neurotransmetteur possède plusieurs type de récepteur diffèrent, la plus part du temps ionotropiqe mais
aussi métabotropique. Chaque récepteur a des propriétés différents, va entrainer des conséquence différentes
lorsqu’il est activé. Quand un neurotransmetteur arrive au niveau de la synapse en fonction des récepteurs au niveau
post synaptique son action ne sera pas la même.
Pour rappel un récepteur metabotropique va avoir deux conséquences lorsqu’il est activé :
 Soit il est activé et va avoir une influence sur des canaux ionique qui sont autour de lui. Donc si les canaux
ioniques s’ouvrent les ions vont pouvoir traverser.
 Un récepteur metabotropique peut aussi lorsqu’il est activé avoir une action sur des enzymes. Une enzyme
est une protéine qui permet de catalyse, déclencher des réactions chimique. A chaque cascade chimique il y
a des substances chimique qui sont libérer que l’on appel des messagers secondaire qui vont pouvoir agir sur
les différents organites qui se trouve dans le versent post synaptique. Ça va avoir une influence sur le
potentiel membranaire.
Pour rappel : quand un récepteur metabortropique sont action sera plus lente que des canaux ionotropique mais
permet d’amplifier l’info. Certains neurotransmetteur en fonction du récepteur auquel il se fixe seront inhibiteur ou
excitateur dans la réalité, ce que l’on va voir est plus simplifié

La transmission synaptique
Neuroscience CM1
 Synase excitatrice
On va voir le fonctionnement d’une synapse chimique excitatrice qui utilise comme neurotransmetteur du glutamate
Glu, les récepteurs du glutamate impliqués ici sont des récepteur ionotropique que l’on appelle récepteur AMPA. Le
glutamate peut agir sur d’autre récepteur qui n’ont pas les mêmes propriétés.

Ce que l’on va observer, c’est le potentiel de membrane au niveau du bouton post synaptique, on va mesurer la diff
de potentiel entre le milieu intra cellulaire et extra. Un récepteur ionotropique est un récepteur qui a un canal a sont
centre, qui laisse passer des ions. On voit qu’au départ quand la synapse n’est pas activé quand le neurone est au
repose, le potentiel de membrane est autour de -70 millivolt. Les valeurs du potentiel de membrane en fait ces
valeurs peuvent changer, pour un même type cellulaire le potentiel de repos ne sera pas le même. En plus se
potentiel de membrane, sa valeur varie aussi en fonction de la température dans laquelle est faite la mesure, il faut
plutôt retenir les différences d’ordre de grandeur et pas vraiment les chiffre donnés… Pour qu’un neuro pre
transmette une information il faut que l’info soit transmise a travers le neurone, quand des potentiel d’action arrive
a la fin de l’axone au niveau du bouton pre synaptique, sa active les canaux voltage dépendant. A ce moment-là il se
produit un changement du potentiel de membrane. Le milieu intra cellulaire devient positif et le milieu extra négatif.
Quand le potentiel de membrane va changer ces canaux voltage vont s’ouvrir. Les canaux calcium voltage dépendant
s’ouvre et ce produit alors le calcium passe a travers ces canaux du milieu extra cellulaire au milieu intracellulaire. Il
passe du milieu où il sont le plus concentre vers le milieu où il sont le moins concentre. Cette augmentation des ions
calcium va permettre la fusion de la membrane des vésicules synaptique avec la membrane présynaptique.Sa veut
dire que les vésicules synaptique vont s’ouvrir vers l’extérieur, libérer les neurotransmetteur dans la fente
synaptique, c’est un phénomène d’exocytose : libération des neurotransmetteurs par la fente synaptique.
Donc là on a du glutamate libéré dans la fente synaptique. Jusqu’à présent au niveau post synaptique le potentiel de
membrane est toujours au repos. Le neurotransmetteur (ici du glutamate) va se fixer sur les récepteurs. Donc sa
entraine l’ouverture du canal ionique chimio, les récepteur AMPA laisse passer des ions sodium principalement. Le
sodium est plus concentre a l’extérieur ils vont donc se déplacer vers le milieu intra cellulaire lorsque le canal
s’ouvre.
Là il va y avoir une entre de charge positive dans le milieu intra cellulaire qui normalement est négatif. Ça va entraine
une dépolarisation, c’est pour ça que le potentiel de membrane va être dépolarise, la diff entre milieu extra et intra
cellulaire au niveau électrique va diminuer. Le potentiel d’équilibre d’un ions est la valeur de potentiel de membrane
pour laquelle la force électrostatique et la force de diffusion s’oppose et s’équilibre. En fait lorsque le sodium passe
c’est comme si il y avait que des canaux sodium qui sont ouvert donc la valeur de potentiel de membrane va avoir
tendance à s’approche du potentiel d’équilibre des ions sodium. La dépolarisation générer va dans cet exemple
s’approcher des 58milivol.
Cette dépolarisation est ce que l’on appelle un potentiel post synaptique excitateur. Et dès que le
neurotransmetteur se détache d’un récepteur, le potentiel de membrane du neurone va revenir à son potentiel de
repos.
 Là on voit bien que l’info est transformée en une information chimique qui elle est de nouveau transformée
en une info électrique

 Synapse inhibitrice :
On va voir deux cas de figure : le 1er cas de figure c’est le cas où le potentiel d’équilibre de l’ion qui passe à travers
le récepteur, est inférieur au potentiel de repos du neurone post synaptique.
Deuxième cas de figure. C’est le cas où le potentiel d’équilibre de l’ion qui passe a travers le récepteur, est égal ou
supérieur au potentiel de repos du neurone. Pour ces synapses inhibtre, elle implique comme neurotransmeteur le
gaba ou la glycine. Et sa implqiue principalement des récepteur ionotropique mais pas que, mais des recepteur a ces
deux substances chimique.

On va voir le 1er cas de figure ou le potentiel d’équilibre de l’ion qui passe a travers le récepteur est inférieur au
potentiel de repos du neurone. On va retrouver au niveau de la synapse la même chose qu’une excitatrice. La diff est
que dans les vésicule le neurotransmetteur change et en post synaptique les récepteur change aussi. Toutes les
étapes sont identique. Donc on mesure au départ le potentiel de membrane post synaptique, au repos -70 et on
reprend toutes les étapes vu un peu plus haut. Les Pa arrivent au niveau des boutons pré synaptique etc.
Neuroscience CM1
L’augmentions des ions calcium va permettre la fusion des vésicules avec la membrane et donc la libération des
neurotransmetteur. Le neurotransmetteur en post synaptique le potentiel de membrane est toujours au repos.
Quand le neuro se fixe sur le récepteur, les canaux récepteur vont s’ouvrir et ces canaux ionique vont laisser passer
des ions chlore. Ici on est dans une structure avec des neurone ou le potentiel d’équilibre des ions chlore est de -78
millivolt, il est inférieur au potentiel de repos du neurone. Les ions clore sont plus concentre a l’extérieur donc quand
les canaux gaba s’ouvre les ions clore vont passer de l’extérieur vers l’inter, on a donc des charges négative qui
rentre dans le neurone. L’intérieur du neurone devient encore plus négatif par rapport a l’extérieur. Le potentiel de
membrane va s’approcher du potentiel d’équilibre des ions clore, on a une hyper polarisation, les courant électrique
qui entraine cette hyperpolarisation est ce que l’on appelle un potentiel post synaptique inhiibteur. Sa c’est le 1er
cas.

On a aussi un autre cas où le potentiel d’équilibre des ions qui passe a travers les canaux est inferieur au potentiel de
repos de la membrane. Là c’est un exemple d’une synapse inhibitrice qui utilise aussi le gaba mais ce gaba post
synaptique va aller se fixer sur un autre type de récepteur gaba, récepteur metabortropqieu. Des canaux ionique
vont être active par cette activation et vont laisser passer du potassium. Une fois le gaba libéré dans cet exemple-là
a travers les canaux ionique le potassium va passer, son potentiel d’équilibre est toujours tres bas. Donc quand le
neurotransmetteur active les metabotropiqe, les canaux potassium s’active, s’ouvre , le K+ qui est plus concentre
dans le neurone, ils vont donc sortir du neurone . Ils vont passer du milieu intra cellulaire vers le milieu extra, le
milieu intracellulaire perd des charge positive, l’intérieur du neurone devient plus négative, on se rapproche du
potentiel de neurone qui sort on a ici une hyperpolarisation et un ppsi. On peut donc avoir une ppsi soit par une
rentre d’ions chlore, soit par une sorti d’ions potassium. Se n’est pas une question de rentrer ou sortir, sa depend
des ions qui sortent.

Quand le potentiel d’équilibre de l’ions est supérieur ou égal au potentiel de repos en fait ça va concerner des
synapses inhibitrice qui utilise des ions clore. Le neurotransmetteur en règle général dans ce cas là ces du GABA. Les
cascades d’évènements en pre synaptique c’est toujours la même chose. Quand les neurotransmetteurs arrive les
canaux s’ouvre etc.. Là on est dans un cas de figure où le potentiel d’équilibre des ions clore est supérieur au
potentiel de repos de la membrane, la répartition des ions fait que la valeur d’équilibre des ions clore est supérieur
au potentiel de repos. Du coup quand les canaux gaba sont active, qu’il s’ouvre, les ions clore rentre dans le
neurone, les ions se déplace toujours du milieu le plus concentre au moins concentre. Quand les canaux s’ouvre c’est
comme si il n’y avait que les ions clore qui avait une influence sur le potentiel de membrane du neurone. Le potentiel
de membrane passe de -70 au repos vers une valeur qui se rapproche du potentiel d’équilibre des ions chlore. On va
avoir une dépolarisation qui va en quelque sorte maintenir, fixe le potentiel de membrane a cette valeur du potentiel
d’équilibre du ion clore. En fait même si il y a des dépolarisation qui arrive le potentiel de membrane ne va pas
décoller. Dit autrement pour dépolariser l’action synaptique il faudra une excitation tres important, c’est comme si le
potentiel synaptique restait scotché a cette valeur, on appel sa une ihibition silencieuse. En fait le neurone Meme si
c’est une dépolarisation ici sa entraine une inhibition. En règle générale le potentiel d’équilibre du clore est très
proche, soit a la même valeur que le potentiel de membrane au repos, sois il est légèrement inferieur.

En resumé sur le graphique en ordonné on a la valeur de potentiel de membrane, en absice le temps. Si on a un


neurone dont le potentiel de repos tourne a -70 , quand on a des canaux sodium qui s’ouvre on a un déplacement
d’ions sodium, ça va entrainer une dépolarisation. Si on a des ions potassium qui sortent on a des hyperpolarisations.
Et si on a des ions clore qui passe la membrane on a une hyperpolarisation ou une inhibition silencieuse.

2 inactivations du neurotransmetteur.
Si le neurotransmetteur reste dans la fente synaptique en permanence la synapse sera active en permance. Il faut
que le neuro transmetteur soit inactive. Au niveau d’une synapse chimique le neurotransmetteur peut être inactivé
de différentes manières.
 Le neurotransmetteur la premier manière qu’il a d’être inactive est de diffuse dans le milieu extra
synaptique, une partie du neurotransmetteur est évacué par diffusion.
Neuroscience CM1
 Un autre mécanisme d’inactivation du neurotransmetteur est par dégradation et recapture. Dans le milieu
extra cellulaire il existe des enzyme qui permette de dégrader le neurotransmetteur = Il y a notamment les
MAO, ces enzyme lorsqu’elle se fixe sur la molécule de neurotransmetteur adéquate vont couper la
molécule neurotransmetteur. Il existe à la surface du versent présynoptique, des protéine que l’on appel
des transporteurs membranaire, qui vont pouvoir récupérer, recapture, une partie de la molécule chimique
qui a été dégrader. Quand le neurotransmetteur est coupé en morceau certains partie que l’on appelle
precurseur est un morceau de molécule qui permet de reconstitue le neurotransmetteur. Le système de
capture peut recouper ce précurseur du milieu extra, pour être réutiliser pour construire un
neurotransmetteur. Sa permet de réutiliser du materiel biologique sans etre obligé de tout refabriqué. Sa
permet au cellule d’économisé de l’énergie.
 Et il y a troisième système d’inactivation, il existe un système de recapture, qui permet de recupere la
molécule de neurotransmetteur complète. Ce neurotransmetteur pourra être soit restocker soit dégrade
Ces trois systme existe. Donc ces trois processus leurs objectif est d’enlever les neurotransmetteurs de la fente
synaptique pour que la synapse devienne inactive et puisse fonctionner normalement pour le prochain message
suivant.

Jusqu’à les anné 90 on c’est rendu compte que les cellule gliale vont aussi avoir un rôle dans l’inactivation des
neurotransmetteur. Souvent la synapse est entourée de cellule gliales. Les cellules gliales, a leur niveau , on a aussi
des transporteurs, des protéines qui permette de prendre le neurotransmetteur au niveau de la fente synaptique
pour l’amener a l’intérieur de la cellule gliale. Le neurotransmetteurs capture, est dégrade en précurseur et ce
précurseur est reliberer dans le milieu extracellulaire et recapturer par le bouton pré synaptique. Les cellule gliale en
plus peuvent très bien simplement dégrader purement le neurotransmetteurs. Les cellules gliales peuvent aussi
stocké le neurotransmetteurs. Et il a été mis en évidence que les cellule gliales peuvent aussi relarguer les
neurotransmetteurs, elle le stocke et le relargue au niveau de la synapse dans certaines conditions.

 Notions d’autorécepteurs et d’hétérorécepteurs :


Un autorecepteur c’est un récepteur au neurotransmetteur qui est libéré par le versant pré synaptique. En règle
générale ces autorécepteur ont pour conséquence de diminue la libération du neurotransmetteur, c’est un système
d’autorégulation.
Un hétérorecepteur, est un récepteur sur le bouton pré synaptique, qui est activé par un neurotransmetteur qui
n’est pas libéré par le versent présynaptique. Si le versent présynaptique liber du glu l’autorécepteur sera activé par
du glu. Mais un hétérorecepteur sera activé par une molécule différente. Les héterorecpteur vont avoir une
influence sur l’ouverture ou pas des canaux voltage dépendant et sur le potentiel de membrane du versent pré
synaptique.

Action des molécules chimiques : Antidépresseurs


Toute les substances chimique que l’on prend à partir du moment où on les ingere et atteigne le système nerveau
elle peuvent avoir une influence sur la transmission synaptique a partir du moment ou les synapse possede des
recepteur a ces substances chhimique.
Les Inhibiteur monoamine oxidase IMAO= durant la depression on a constaté qu’il y avait une diminution de
l’activité de certains syteme de la neurotransmission. L’antidepresseur essaie de les faire mieux fonctionner. Si on
reprend une synapse normal, les antidepresseur IMAO, veut dire que des substances chimique vont bloquer les
enzyme qui permette de dégrader les neurotransmetteur. Si on bloque sa on permet a une plus grande quantité de
neurotransmetteur de passer la fente synaptique. L’objectif est sois d’augmenter la quantité de neuro dans la fente
synaptique ou d’augmenter la quantité de neurotransmetteurs stocker dans le versant pre synaptique. Si on bloque
sa on aura plus de neurotransmetteur libéré plus longtemps, le versent post synaptique sera plus facilement
activable. C’est une astuce pour essaie de refaire fonctionner des systèmes de neurotransmission un niveau normal.
Neuroscience CM1
Il existe des antidépresseur un peu plus ressent ISRS, qui permette de reciler uniquement le système de recapture de
la sérotonine, ça veut dire qu’a chaque libération de neurotransmetteur, il va rester plus longtemps dans la fente
synaptique

L’action des axiolitique (benzo) = sa utilise comme molécule des benzo sa va avoir une action sur les récepteurs
gaba. Qui entraine une inhibition. Sur la surface extracellulaire au niveau du récepteur gaba on a deux cycle de
fixation gaba, lors d’une transmission classique, les deux molécule gaba se fixe, le canal s’ouvre, les ions clore passe
du côte extra, crée un courant électrique que l’on peut mesurer. Si on met du gaba + du benzo et bien on constate
de benzo les canaux gaba , il y a + d’ions clore qui rentrer, les courant électrique sont plus puissant. Quand le canal
s’ouvre il laisse plus passer d’ions clore

Le problèmes des susbstances chimique c’est qu’une fois que la substance chimique est ingéré et penetre dans le
système nerveux elle va agir sur tous les recerpteur qui ont des site ou la substanc chimique peut se fixe, on risque
d’activer d’autre système que l’on ne cherche pas a activer. Ces médicament ne sont pas ciblé, il ne peuvent pas
cibler un type de récepteur.

LA SYNAPSE ELECTRIQUE :
 1 Eléments d’une synapse :
Une synapse electrique n’a pas besoin de substance chimique pour faire la transmission du message. La fente
synaptique est tres petite, une synapse chimique a un espace plus grand entre le pre et post synaptique alors que
dans une synapse electrique cette espace est plus petit. Du coup il existe des proteine canaux qui permette de faire
la connexion direct entre le milieu intracellulaire pre synaptique et le milieu intracellulaire post synaptique. En fait ce
qui se passe est que dans chaque membrane pos et pre synaptique il y a un demi-canal. Chaque demi canal est
compose de plusieurs éléments et l’ensemble des connexions formes des connexon. Ces connexon il peut y en avoir
plusieurs milier au niveau d’une synapse électrique. La synapse électrique est bi directionnelle, ça veut dire que
l’information va du versant pre synaptique et post synaptique et inversement. On a les deux versent a partir du
moment ou une substance peut passer elle peut passer dans n’importe qu’elle sens. Du coup la transmission du
message est un peu plus rapide qu’une synapse chimique. Par contre la modulation au niveau d’une synapse est plus
limité. Au niveau d’une synapse chimique sa surface est le site de fixation de recpteur de substance chimique… Mais
la non.

 Fonctionnement :
En fait au niveau d’une synapse les évènements qui se passe au versent pre synaptique la dépolarisation par
exemple, tous ces ion qui peuvent rentrer dans le versant pre synaptique vont rentrer directement a partir des
canaux. Tous les échanges ionique peuvent se faire par ces canaux dans les deux sens. Alors classiquement une
synapse chimique le message passe du versent post vers le versent pré synaptique alors que le-là le message passe
dans les deux sens.

Potentiel synaptique (dendrites / soma)


 1 information diverse
On va reprendre les potentiel post synaptique et leur propriété. Déjà on est là au niveau des synapses axo
dendritique et axo somatique. Le potentiel post synaptique c’est tout simplement une variation du potentiel de
membrane au niveau du versant post synaptique
Ces PPSE et ces PPSI sont généré par des courants électrique que l’on appel des courant locaux et qui se produise
principalement au niveau dendritique et somatique. Ces courant locaux ont des propriétés électrique diffèrent des
potentiel d’actions au niveau des axones.
Sur la surface d’un neurone il existe diffèrent type de canaux a travers lequel les ions peuvent passer, et ces canaux
ionique ne sont pas établie de la même manière sur le corp cellulaire.
Au niveau des dendrites on va avoir des canaux spécifiquement chimio dépendant la ce sont les récepteur
neurotransmetteurs. On peut aussi avoir des canaux mecano dependant, d’ont l’ouverture depend d’une
deformation de la membrane, que l’on trouve au niveau des recepteurs sesoriel.
Neuroscience CM1
Au nvieau de ‘laxone on vavoir des canaux ionique voltage dependant, ces canaux ionique sodium/potassium
voltage pdepandant ne se trouve aps au niveau des dendrite.
Et sur l’ensemble des neuronne ont trouve les canaux de fuite. En fait comme on a pas exactement les mêmes
canaux ioniques repartis sur le corp cellulaire les courant électrique n’auront pas les même propriété au niveau de
l’axone qu’au niveau des dendrite ou au niveau du soma.

Les potentiel post synaptique, ces courants locaux, sont de courant graduable, dépolarisant ou hyper polarisant.
L’intensité d’un stimulus est code en amplitude contrairement au potentiel d’actions. Si on prend un morceau de
dendrite et que l’on veut mesure la diff de potentiel electrique entre milieu intra et extra on met un stimulateur qui
va permettre de dépolarise ou hyperpolarise, sa permet artificiellement de faire varie le potentiel de membrane du
neurone. Si on fait une petite stimulation dépolarisant on voit que le potentiel de membrane va passer de -70
millivolt a -40 milivolt. Si on augmente l’intensité de la dépolarisation on constate que le potentiel de membrane est
encore plus polariser on atteint 10milivolt. Là au niveau des dendrites au plus on fait passer un courant dépolarisant
intense au plus la membrane est dépolariser. Ce courant dépolarisant son maximum va s’approcher des potentiels
d’équilibre des ions sodium et il faut noter que là on est au niveau des dendrite ou de soma, quand le potentiel de
membrane atteint les 40 mil ou les dépasse on a pas de potentiel d’action.

Si on regarde au niveau d’une synapse :


Un courant de faible intensité c’est un peu comme si l’axone amenait un potentiel d’action. Au niveau de la synapse
se potentiel d’action va permettre une faible amplitude, et donc peu de neurotransmetteur libéré. Si dans ce cas-là
sa va entraine une faible dépolarisation.
Quand plus de potentiel d’action arrive sur le bouton pre synaptique donc la dépolarisation est plus forte, les canaux
volatge dépendant sont plus ouvert, plus ions qui rentre, plus de neurotransmetteur sont libérée.
SI au niveau de la synapse on a un neurotransmetteur excitateur au lieu d’avoir une dépolarisation on aura une
hyperpolarisation, ce sont des courant graduable. Plus ou moins de neurotransmetteur est libéré et donc
l’hyperpolarisation sera plus importante.

Les coruant locaux sont aussi somable temporelelemntet et spatialement. SI on rapproche les deux simulation
depolarisante dans el temps, si on applique la deuxime depolarisation avant que le potentiel de membrane soit
revenu au repos. La depolarisation induite va le stimulus S1 va se rajouter a la deuxième stimulation. Si les
stimulations arrive suffisamment proche dans le temps, els dépolarisation actionné vont se cummuler.
Au niveau d’une synapse si on rapproche plusieur PA dans le temps c’est comme si on avait une plus forte
stimulation dans le temps. Et ce qui est valable pour une depolatrisation est vaalble pour une hyperpolarisation
aussi.

Ces un courant decrementie, c’est-à-dire que el changmenet de potnetiel de mmebrane genere par le courant local
va diminuer avec la distance, au plus on s’eloigne de la source qui genere l’hyperpolarisation ou depolarisation, au
elle diminue. Car en fait les ions qui genere les courant electrique vont passer par les canxu de fuite et qu’il n’y apas
de canaux voltage ou chimio dependant, le courant electrique ne peut pas se maintenir.

Sommation spatiale depolarisante : Au lieu d’avoir une seul eelctrode de stimulation on va avoir deux electrode de
stimulation a deux point differents. Si on genere une polarisation en deux point different au meme moment, ces
deux depolarisation vont se cumuler, se sommer, c’ets comme si on faisant une stimulation lus forte et du coup la
depolarisation va etre plus forte que les deux séparé.
Au niveau d’une synapse on a une dendrite avec deux voies d’entrée on avoir trois point d’enregistrmeent on
enregistrer le potentiel de membrane proche de la voie 1, proche de la voie 2 et plus loins des deux voies. Si on
active en meme temps ces deux pointes, la depolarisation que l’on va enregistrer en chaque point est le cumiul des
deux points. Bien sur tous ce qui marche pour le courant depolarisant marche pour le courant hyperpolarasin
Neuroscience CM1
Pour resumer, un courant local est graduable en amplitude sommable temporelemnt et spatialment, et
decrementiel. Par rapport a un potentiel d’action graduable en frequence, en tout ou rien, non decrementiel.

Maintenant au niveau de l’axone la diff qu’il y a pour les courant locaux n’existe pas. Tant que la variation du
potentiel de membrane est inferieur a -40milivolt, les courants electrique obeisse, sont des courant locaux, ils
obeissent au lois des courant locaux,car tnat qu’e l’on est endessous, les canaux voltage dependant ne sont pas
activé. Par contre a partir du moment ou le potentiel de membran atteint les moins 40milivol, on bascule a un
courant electrique. Donc au niveau

CM5 :
Potentiel post synaptique : Resumé
En règles général ce sont des phénomène qui sont au niveau des synapse sur le versent post synaptique et tout ce
qui a été dit est vrais au niveau des dendrites et du corp cellulaire. C’est-à-dire que l’intensité du stimulus va être
code en amplitude au plus les stimulations est intense, au plus ce changement de polarisation sera ample. Ces
courant post synaptique sont sommable aussi bien temporellement ou spatialement. Et ces courant sont
decrementiel par rapport a l’endroit où il se produise cette dépolarisation ou hyperpolarisation va diminue au fur et
a mesure que l’on s’éloigne de point d’origine.
Sa c’est vrais aussi au niveau de l’axone, tant que le potentiel de membrane n’atteint pas les moins 40 mv, quand on
est en dessous des -40mv.
Au niveau du potentiel de l’axone, quand le potentiel électrique entraine une dépolarisation, on va avoir des courant
électrique qui génèreront des potentiel d’action. Qui code en fréquence et pas en amplitude, tout ou rien, non
decrementiel, il sont la même de leur point d’origine a l’arrivé.

Intégration post synaptique :


Sur le schéma on a en rouge des inférence excitatrice en bleu inhibitrice. On a des points de mesure du potentiel,
avec la mesure en haut du potentiel de membrane, a chacun de ces cones. Imaginons que l’on une inférence
excitatrice a la première barre rouge, si on mesure le potentiel de membrane au diffèrent point, proche du point de
départ on va avoir une dépolarisation qui va diminuer au diffèrent point. La on a l’illustration d’un courant local qui
est decementielle, on voit que la dépolarisation diminue avec la distance. On voit bien aussi qu’au niveau de l’axone
on a une dépolarisation, le courant continue à diminuer le long de l’axone. Ces courants locaux sont sommable, si a
segment gâchette la dépolarisation atteint les -40mv sa active les potentiel d’action.
Dans l’exemple suivant on a une sommation temporelle, si on a une activation importante sa entraine une
diminution importante. Au plus la dépolarisation sera importante au plus la fréquence de décharge de potentiel
d’action sera important. Au niveau des dendrites et du corp cellulaire l’information qui arrive est code en
amplitude alors que au niveau de l’axone cette intensité est codé en fréquence.
On peut avoir des inférence excitatrice et inhibitrice en meme temp, en plus des 4 ppse cree on peut avoir aussi une
inference inhibitrice, on va avoir une hyperpolarisation et une depolarisation au niveau des dendrites. On va avoir
des ppse qui entrainent une depo et des ppsi qui entrainent une hype. La diff entre milieu extra et intra va résulter
va la diff des ppse et des ppsi.

Une même information peut très bien ne pas être transmise si en même temps on a une information qui va venir
inhiber les dendrites.
En fait à chaque instant au niveau des neurone au niveau du segment initial du neurone, a chaque instant, la valeur
du potentiel de membrane dépende de l’ensemble des ppse et ppsi qui arrive principalement du corp cellulaire. En
fait ce que l’on appel intégration c’est en fait le somation satial et temporelle qui arrive au niveau de la zone
gachette et qui donne une valeur au potentiel de membrane, si il atteint plus que 40mv sa va entraine un potentiel
d’action.

PPSE ET PPSI SONT DES POTENTIEL POST SYNAPTIQUE

5 Le potentiel récepteur
Neuroscience CM1
Ce que l’on va jusqu’à présent se passe entre un neurone pre et post synaptique. Ce que l’on appelle integration en
post synaptique c’est le fait que a chaque instant c’est l’ensemble des ppse et des ppsi qui se produise au niveau
des dendrite et du corp cellulaire du neurone qui vont déterminé la valeur du potentiel de membrane au niveau du
segment initial de l’axone. Si cette valeur est inferieur ça n’active pas les canaux voltage dépendant donc pas de
potentiel d’action. Si on atteint les -40 ou dépasse les canaux voltage dépendant s’ouvre et on a un potentiel
d’action.
Le potentiel recepteur c’est en fait le potentiel de membrane au niveau d’un récepteur sensoriel. C’est-à-dire le diff
de potentiel électrique entre extra et intra au niveau d’un récepteur sensoriel, une structure qui permet la
transduction. C’est-à-dire l’ensemble des processus qui permette de transformer un signal physique/chimique en un
signal nerveux, un signal électrique c’est-à-dire en un message compréhensible par les neurones.

Il y a plein de récepteur sensoriel différents pour les différent sens que l’on possède, la somesthésie, le toucher, les
sensation thermique, la douleur… on a des récepteurs pour la vision, les gouts, l’ecoute… Ces différents recepteur
sensoriel ne vont pas détecter les même stimulis. Il n’empeche que quel que soit ses récepteur il va falloir
transformer un stimulus physique ou chimique en un signal nerveux. Cette transformation s’effectue au niveau du
récepteur sensoriel c’est la transduction.

Deux grandes catégories de recepteurs sensoriel :


 En premier on a les neurones en T.
Par exemple au niveau du toucher, le tact, ou au niveau de la douleur, des sensations thermique. Ces voies
somesthésie pour transporter l’information du stimulus jusqu’au niveau du cerveau elle nécessite trois neurones.
Ces neurones en T se sont les neurones de première ordre au début de la voie.  L’extrémité nerveuse équivalent des
dendrite du neurone en T sert de récepteur sensoriel. On appel ce type de terminaison nerveuse une terminaison
nerveuse libre car il n’y a rien autour des fibres nerveuse, c’est ce que l’on appel un recepteur sensoriel non
encapsulé, qui n’a pas de capsule. Il existe des récepteur sensoriel pour lequel autour des terminaisons nerveuses on
a une membrane que l’on appelle une capsule. Le potentiel de membrane au niveau des dendrites est ce que l’on
appelle le potentiel récepteur. C’est le potentiel de membrane au niveau des dendrites qui serve de récepteur
sensoriel. Donc là on est au niveau de courant locaux, sur ce type de neurone, le segment initial, la zone ou on
commence a trouver des canaux sodium se trouve juste au niveau de la jonction entre les dendrites et a le début de
l’axone.
Si le potentiel récepteur entraine une dépolarisation suffisamment importante, sa active les canaux voltage
dépendant et généré des potentiel d’action qui se propage tout le long de l’axone.
C’est la variations de ce potentiel récepteur qui va générer ou non un potentiel d’action au niveau du neurone.
Par exemple a la surface des dendrites il existe des canaux ionique, mecano depednadant. Des canaux ionique dont
l’ouverture dépend d’une deformation physique qui entraine une depolarisation .

Le DEUXIEME type : récepteur encapsulé :


ce sont des recpeteur autour des dendrites il y a une membrane, cette membrane va servir de filtre au stimulus. Sa
mise a part que le principe d’activation est le même que pour les libres. Quand on a une stimulation sa entraine une
déformation de la peau qui entraine une dépolarisation …. Ce sont des récepteurs surtout impliqué dans le toucher
précis. C’est la terminaison dendritique entouré par une membrane sa suffit de savoir ça.
De manière général ce type de récepteur globalement sont reparti sur l’ensemble du corp que l’on trouve au niveau
du toucher, il existe aussi des récepteur sensoriel qui sont localisé où spécialisé. Au niveau des yeux pour la vision,
les récepteur sensoriel sont localise au niveau de la rétine. Souvent dans ces cas-là le récepteur sensoriel est une
structure spécialisé. On constate souvent c’est une cellule qui a d’un cote une structure qui fait office de récepteur
et de l’autre cote cette cellule va pouvoir libérer un neurotransmetteur qui activera le neurone suivant. En fait le
récepteur sensoriel va pouvoir contacter ou activer les dendrites du neurones du premier ordre.
On a par exemple des molécules de sucre pour le gout, qui vont entraine une variation du potentiel de membrane du
récepteurs sensoriel. Schématiquement la molécule de sucre va permettre l’ouverture de canaux ionique qui
entraine une dépolarisation de la cellule, si cette variation permet d’ouvrir les canaux voltage dépend.
Le principe est le même soit avec une cellule spécialise soit avec le neurone T .
Neuroscience CM1
Réseaux de neurones :
On a des réseaux que l’on appelle resaux divergent, c’est-à-dire un réseaux de neurone dans lequel l’info va partir
de point précis et se message va se rependre dans plusieurs structure différentes. Ces réseaux divergents souvent
cette organisation on l’a trouve dans les systèmes de neuromodulation. Ce sont des petits couples de neurones,
qu’on trouve souvent dans le tronc cérébral et qui vont projeter leur axone sur quasiment tous les neurones.
Souvent dans ces système un neurones peut contacter jusqu’à cent milles neurones différents.

On a aussi des circuits convergents, un petit groupe de neurones qui va recevoir l’info venant de pleine de neurones
diff. Ce type de circuit on le retrouve au niveau des aires associatives. Ce sont des structures cérébrale qui vont
permettre d’associer des information d’origine differentes entre elles.

Les circuits reverberent : c’est un circuit dans lequel les neurones peuvent se réactivé. Sa peut générer des boucles.
Sa permet d’entretenir un circuit nerveux et de maintenir une information vivace dans le circuit nerveux.

Circuit parallelle de decharges retardées : Simplement que par rapport au circuit nerveux principal on peut avoir des
circuits parallèles qui vienne réactiver le second neurone plus tard

 En fonction de l’organisation du circuit nerveux on eput avoir une influence sur le type d’info transmise.
Le système d’inhibition latéral va permettre d’activé en priorité une voie nerveuse et d’inhiber les voies qui se
trouve à côté. Ça va permettre de préciser le point d’origine d’une information et sa va inhiber les voies parallèle.
C’est une organisation que l’on trouve notamment au niveau de la peau.
On a plein de récepteur sensoriel au niveau de la peau et on a le champ récepteur du neurone B, se champ
récepteur, cette surface de peau est la surface de peau qui va permettre au neurone B de détecter un stimulus. Tant
que l’on appui dans le champ c’est le neurone B qui sera activé, autour, les neurones A et C on eux aussi des champ
récepteurs.
Pour le tact la voie sensoriel qui mène du cerveau a la peau comprend trois ordre :
Au niveau de la voie 2 on voit que le neurone de la voie B de deuxième ordre va contacter les neurones adjacent. En
plus de contacter son neurones de troisième ordre. Quand le stimulus est applique au niveau du champ récepteur du
neurone B , sa entraine des ppse sur le neurone de deuxième ordre asser important pour generer des potentiel
d’action, qui vont generer les neuronne de troisieme ordre.
Quand le timulus est applique sa entraine aussi une petite deformation de la peau des neuronnes lateraux. Sa va
libéré un petit peu de neurotransmetre des neuronne A / C de premier ordre au niveau du second ordre. Il vont
theoriquement donc generer aussi des potentiel d’action. Mais en fait le neuronne central est plus fortement active
et va inhiber les neuronne a et c et les collateral d’axone vont liberer un neurotransmetteur inhibiteur.
Le neuronne B va aller hyperpolariser le potentiel de membrane des neuronne A et C du deuxieme ordre. Du coup
au debut on a les neuronne A B C qui sont active, mais le cortex va recevoir ‘linfo que du neuronne B car les autres
neuronne vont etre inhibier. Sa permet au cervau de localiser la source d’une stimulation.

Pour que l’info visuel qui provienne de la retine atteigne l’hypocampe, elle va passer par un ensemble de structure
differentes. Au niveau de chaque structure nerveuse, on a les neuronnes principaux, mais aussi une multitude de
neuronne, qui peuvent moduler l’information, peut utiliser plusieur neurotransmetteur.
Il faut avoir en tête qu’en fait le fonctionnement du système nerveau est plus complexe que ce que l’on eput voir là .
Ce n’est qu’un exemple ici.

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