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Fonction d’onde

1. Fentes de Young

Si on ne mesure pas.

Si on jette des électrons sur les fentes, et qu’on fond il y a un détecteur qui fait comme un
grand mur, il va nous dire par où il est passé. Normalement si l’électron est une balle on
devrait avoir deux fentes sur le mur (et les endroits à coté où les électrons ont rebondi). Mais
les résultats sont plusieurs barres // d’épaisseur différentes et non deux. L’explication est que
lorsqu’elles (particules) passent les fentes elles se comportent comme une onde, donc passe
partout, par les deux fentes à la fois, et redevient particule quand il tape sur le mur.

Lors de la mesure.

L’électron passe par les deux fentes : on le voit en mettant un détecteur au niveau des
fentes, pour vérifier la trajectoire à son début et non plus à la fin (le mur de détecteurs). Elle
était onde et devient particule (selon la non-mesure ou la mesure)

 L’électron va prendre tous les chemins entre le point de départ et le point d’arrivée
(c’est valable pour toute la matière) sauf si on la regarde.

2. Spin et superposition d’état

État est le sens de rotation (spin). La particule à la base tourne dans un sens et dans l’autre
en même temps. Si on le mesure par contre, elle ne tourne que dans un sens.

Cela se passe quand on passe du monde quantique au monde classique, que ce soit pour les
fentes ou pour le sens de rotation d’une particule. La transition entre les deux est non
connue.

3. Radioactivité

Il y a deux particules crées qui vont dans des sens opposées. Elles tournent sur elles-mêmes
dans des sens opposées (conservation d’énergie), sauf avant qu’on la regarde où elles
tournent dans les deux sens. C’est le paradoxe EPR : imposer entre deux particules une
direction mêmes à des Milliards d’Al où l’intrication quantique se fait après la mesure. Le
paradoxe est que l’information devrait alors aller plus vite que c.
Peut-être il y a des variables cachées possibles dirait Bell en étudiant les équations d’Einstein.
Il est impossible que ce soit le hasard, sinon il y aurait des inégalités dans les résultats : c’est
l’inégalité de Bell.
Depuis 2015 lorsque l’expérience a été faite avec le moindre détail écarté, et l’intrication
quantique est bien réelle.

4. Effondrement de la fonction d’onde

Il y a de l’aléatoire parfait pour les fentes de Young : au niveau des détecteurs il y a une
probabilité qu’il détecte l’électron en chemin puisqu’il peut prendre n’importe quel chemin.
Pour sa rotation : il tourne dans tous les sens différents, même avec des angles différents,
des vitesses différentes, etc. : et ceci est aléatoire, on ne peut pas le prédire à l’avance.

L’effondrement de la fonction d’onde est imposer d’être une possibilité alors qu’elle était
infinie avant, et elle ne pourra jamais redevenir ce qu’elle était avant. C’est le problème de la
mesure.

5. Chat de Schrödinger

Avant la mesure, les particules radioactives ont tous les états possibles (désintégrées ou
non): le chat peut être mort et vivant. Lors de la mesure, la particule n’est plus dans l’infini
de ses potentialités, mais doit choisir un état : désintégrée ou non.

Soit pour Copenhague la mesure sélectionne une fonction d’onde (un état), soit pour
Schrödinger toutes les fonctions d’ondes avant l’effondrement existent encore mais dans un
autre univers, dans un autre univers non mesurable dans l’espace et le temps.

Le tout est lié à l’effondrement du paquet d’onde (ou projection du vecteur d’état en espace
de Hilbert).

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