Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
DEDICACES
‘’Rendez grâce au Seigneur, car il est bon et éternel est son amour‘’
DEDICACES
Je dédie ce travail.
Ton sens de responsabilité et surtout ton humilité restent pour moi des
exemples édifiants à suivre. Reçois ce travail en signe de ma profonde
reconnaissance.
REMERCIEMENTS
Après avoir rendu grâce à Dieu qui nous a accordé Vie et Santé, je
remercie le Directeur Général de l’EPAC, le Professeur Titulaire Félicien
AVLESSI ; le Directeur adjoint, le Docteur Clément BONOU, le Chef
département Dr HOUINOU Gossou Jean, Docteur Ingénieur en Génie Minier et
Topographie, Maître Assistant des universités de CAMES et tout le personnel
de l’administration de l’EPAC.
Je rends un hommage sincère et plus que mérité à l'ensemble du corps
professoral de l’EPAC en particulier celui affecté au Département du Génie Civil
pour la qualité de l'enseignement dispensé.
Je voudrais tout particulièrement exprimer ma sincère reconnaissance à
mon encadreur le Docteur Ezéchiel ALLOBA, Maître Assistant des Universités de
CAMES pour sa disponibilité et pour la peine qu'il s'est donnée de nous
encadrer et de nous suivre tout au long de ce travail.
Je remercie également toutes les personnes ressources qui, de près ou
de loin, ont contribué à la réalisation de ce projet et en l’occurrence l’Ingénieur
Gilbert AHOUANSOU, ancien Directeur des Travaux Neufs au Ministère des
Travaux Publics et des Transports pour sa disponibilité et son apport
intellectuel, de même l’Ingénieur SOGLO Arsène, actuel Directeur des Travaux
Neufs au Ministère des Travaux Publics et des Transports ainsi que l’Ingénieur
routier Moïse ATTAKPA ; l’Ingénieur Géotechnicien Mendel BOKODE et
l’Ingénieur Géomètre Médard de SOUZA, l’ingénieur de conception S. Paulin
Elisée GOULOME, l’Ingénieur Ponts et Chaussées Akimbi AKPADO, pour leurs
précieux conseils et apports intellectuels.
Je veux remercier très particulièrement M. DJIBIGAYE Mohamed Maître
de conférence en science de l’Ingénieur, M. Basile KOUDJE, M. Razack
Résumé
Le but de ce travail est d’élaborer en fonction des matériaux disponibles au sud
du Bénin et des facteurs économiques, un catalogue des structures types de
chaussées neuves au sud du Bénin. Nous avions, à cet effet produit d’une part, des
fiches de matériaux respectant les caractéristiques et spécifications auxquelles
devront satisfaire les matériaux routiers ; et d’autre part, des fiches des structures
permettant selon la classe de plateforme (S2, S3, S4 et S5) et la classe de trafic (T1,
T2 T3, T4 ) de déterminer les épaisseurs des matériaux d’assise et du revêtement.
L’étude s’est principalement appuyée sur une recherche bibliographique très
diversifiée dans le but d’identifier les matériaux utilisables en construction routière
au Sud du Bénin, d’exposer la méthode rationnelle de dimensionnement, de
déterminer pour chaque matériau les caractéristiques mécaniques, (module
d’Young, coefficient de Poisson ainsi que les caractéristiques en fatigue b, ε6 et/ou
σ6). Une fois ces informations collectées, nous avons déterminé les contraintes et
déformations admissibles pour chaque matériau, puis il a été possible d’obtenir 13
types de structures en fonction du type de trafic et de la classe des sols ; soit au
total 176 dimensionnements réalisés parmi lesquels se trouvent les
plus fréquemment rencontrées au Bénin. Ce catalogue qui en découle est présenté
sous forme de fiche de structure qui chacune correspondant à une classe de plate-
forme donnée, combinée à un trafic bien déterminé. L’analyse globale des fiches de
structures nous a permis de voir que pour des trafics allant de T1 à T2, les
chaussées souples réalisées à partir des matériaux naturels convenaient. Par contre
pour des trafics élevés (T3 et T4), les structures utilisant des matériaux d’assise
traités, soit aux liants hydrauliques soit aux liants hydrocarbonés, sont plus
adaptées. Il s’agit des chaussées semi-rigides, mixtes ou des chaussées à couche de
base en grave-bitume.
Enfin les conclusions de l’étude sont tirées et des recommandations données pour
une utilisation efficace et efficiente du catalogue.
Mots Clés : Fiches de matériaux, Méthodes rationnelles, Module de Young, Coefficient
de poisson, Contraintes et Déformations admissibles, Catalogue, Trafic,
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT vii
DES CHAUSSEES AU SUD DU BENIN
Abstract
Abstract
The aim of this work is to develop according to the available materials and
economic factors of the South of Benin, a catalog of the types of new pavement
structures in the South of Benin. To this end, we had produced on one hand, materials
sheets following the features and specifications to be met by pavement materials and
on the other hand, structure sheets establishing according to the platform class (S2,
S3, S4 and S5) and the traffic class (T1, T2, T3, T4) the thickness of the base and
surfacing materials.
The study relied mainly on a bibliographical research in order to identify the
materials usable in pavement construction in the South of Benin, to find the rational
design method, to determine for each material the mechanical characteristics (Young
Modulus, Poisson ratio, as well as the stress characteristics b, ε6 et/ou σ6). Once this
information was collected, we determined the allowable stresses and strains for each
material, then it was possible to obtain 13 types of structures depending on the type
of traffic and soil class; totaling 176 sizing made in which are found the most
frequently encountered in Benin.
This ensuing catalog is presented as a series of structure sheets, each
corresponding to a given class of platform matched with a well-defined traffic. The
overall analysis of the structures sheets allowed us to see that for trafficking ranging
from T1 to T2, flexible pavements made from natural materials were most suitable. As
for high traffic (T3 and T4), structures using base materials treated with either
hydraulically or hydrocarbon binders, were most suitable. These are semi-rigid, mixed
or asphalt base layer pavements.
Finally, the study conclusions are drawn and recommendations are made for
effective and efficient use of the catalog.
Keywords: Materials list; rational method; Young Modulus; Poisson Ratio; Allowable
strain and stress; traffic; catalog.
Sommaires
DEDICACES ........................................................................................................................ iv
REMERCIEMENTS .............................................................................................................v
Résumé................................................................................................................................... vii
Sommaires.............................................................................................................................. ix
Références Bibliographiques...........................................................................................138
Annexes ................................................................................................................................139
Introduction générale
1-1 - Contexte de l’étude
Le niveau d'aménagement du réseau routier d'un pays est souvent le reflet de son niveau de
développement économique.
Le maintien dans un bon état de praticabilité du réseau routier apparaît alors comme
une nécessité pour tout pays qui ambitionne de se positionner sur l'orbite du développement
durable.
La route, sur le plan structural, est l‟ensemble des couches de matériaux de qualité
variable empilées les unes sur les autres pour résister aux sollicitations du trafic. Les
structures de chaussées sont dimensionnées non seulement pour supporter les contraintes
dues au trafic, mais aussi pour les transmettre au sol support. Les principales sollicitations
auxquelles doit résister le sol support sont celles du trafic et du corps de chaussée. Les
méthodes de dimensionnement de chaussées utilisées se basent sur les résultats d‟essais des
matériaux routiers à mettre en œuvre et sur l‟expérience acquise dans l‟étude du
comportement des chaussées déjà réalisées.
La présente étude a pour but de caractériser les matériaux routiers et d’élaborer
un catalogue pour le dimensionnement des chaussées au Sud du Bénin.
1-2- Problématique
Il existe différentes sortes de matériaux utilisés en couches de chaussées. Les
matériaux routiers utilisés couramment en couche d‟assise au Sud Bénin sont : les graveleux
latéritiques ; les concassés, le sable silteux. Ces matériaux sont utilisés à l‟état naturel ou
amélioré.
On assiste aujourd‟hui à une forte demande de ces matériaux d‟emprunts. Cette
demande prend d‟ampleur de jour en jour si bien que les poches de latérites et de sables
silteux localisées dans le Sud du Bénin deviennent rares. Il faut désormais parcourir de
longues distances pour s‟approvisionner en matériaux.
Pour remédier à cette situation, il est nécessaire de recourir à des matériaux autres que
la latérite et le sable silteux et à des techniques d‟amélioration moins courantes comme
l‟usage de nouveaux matériaux, le mélange de deux matériaux afin d‟optimiser la
construction de routes au Bénin.
Les méthodes de dimensionnement de chaussées utilisées se basent sur les résultats
d‟essais en fatigue sur les matériaux routiers à mettre en œuvre et sur l‟expérience acquise
dans l‟étude du comportement des chaussées déjà réalisées.
Pour atteindre les objectifs visés par cette étude, nous devons cerner certains aspects
clés sur la route à savoir :
classification des routes et présentation sommaire du réseau routier au Sud du Bénin
étude des différents types de structures de chaussées des routes revêtues
caractérisation des matériaux d‟emprunts utilisés en technique routière au Sud du
Bénin et vérification des hypothèses de dimensionnement;
analyse du trafic et des coefficients d‟agressivité en fonction de la durée de service
escomptée ;
1-6- Contenu de l’étude
En premier lieu, il faut rechercher les rapports de tous les travaux réalisés sur les
chaussées inspectées lors de la visite détaillée des projets en cours (Djèrègbé - Dja – Owodé,
Godomey - Hillacondji, Akassato – Bohicon, Comé – Lokossa - Dogbo). Les informations
nécessaires comprennent la composition du corps de chaussée, leur épaisseur, les
caractéristiques des matériaux, le trafic et la plate – forme support.
Secundo il faut réaliser une étude en laboratoire sur les échantillons prélevés sur les
différentes carrières.
Ainsi les informations collectées nous permettront de calculer les différentes variantes
de structure à l‟aide du logiciel ALIZE III.
1-7- Approche méthodologique
Après avoir présenté la généralité sur la route nous allons faire un recensement des carrières
de matériaux routiers de la zone Sud.
Par la suite, des données géotechniques sur ces carrières répertoriées seront collectées
à travers les études de caractérisation des matériaux routiers. Cette collecte est présentée
sous forme de fiche, pour chaque carrière et chaque type de matériau où sont consignés les
résultats d‟essais et les recommandations sur les caractéristiques ; ce qui permet de voir les
possibilités d‟utilisation en technique routière du matériau concerné.
Ainsi, avec les matériaux aptes à être utilisés en couche de base, des structures de
chaussées seront proposées, pour une durée de vingt (20) ans, suite à un dimensionnement
rationnel. Les contraintes dans ces structures sont déterminées à l‟aide du logiciel ALIZE et
comparées aux limites admissibles. Le catalogue qui en découle est présenté sous forme de
fiche-structure, qui chacune correspond à une classe de plateforme donnée, combinée à un
trafic donné. On présentera d‟une part les fiches de matériaux indiquant les caractéristiques
et spécifications auxquelles devront répondre les matériaux routiers ainsi que les hypothèses
et les logiciels.
Technique d‟analyse
La première démarche est de réunir la documentation nécessaire pour élucider le
thème choisi en se basant sur les livres, les anciens mémoires, les publications, l‟internet. Il
sera également question de discuter avec les personnes ressources afin de connaître et
orienter correctement les recherches pour aboutir à de bons résultats.
Quant aux études en laboratoire il sera question de choisir d‟abord le sol à étudier et
de procéder aux différents essais à savoir :
les essais d‟identification : analyse granulométrique, limites d‟Atterberg, valeur au
bleu de méthylène, teneur en matières organiques et éventuellement composition
chimique etc.
l‟essai de compactage : essai Proctor modifié ;
l‟essai de portance : essai CBR etc.
Ensuite on procèdera à l‟analyse des résultats pour déboucher sur des
conclusions.
Ce faisant, cette infrastructure est conçue pour promouvoir l’économie et servir de vecteur
de développement ou tout au moins d’outil collectif autour duquel des actions de
développement peuvent être menées. C’est pourquoi dans chaque pays, nous avons toute
une gamme de routes organisées en réseaux puis classées selon leur niveau
d’aménagement, leur capacité et leur volume de service.
dont la chaussée, dans un premier temps, ne soit pas revêtue mais simplement constituée de
sols sélectionnés, convenablement mis en œuvre.
Selon le revêtement on distingue : les routes non revêtues et les routes revêtues.
1-2-1- Les routes non revêtues
Encore appelées routes en terre, il s‟agit de toutes les voies empruntées par les
véhicules, par saison ou durant toute l‟année, et qui n‟ont pas bénéficié de revêtement :
bitume, goudron, pavé, dalle etc.
Suivant le niveau d‟aménagement, nous avons trois types de routes en terre à savoir :
La piste rudimentaire
Elle n'est souvent qu'une simple trace de véhicules sur le sol naturel, balisée en régions
désertiques ou sommairement débroussaillée en régions de savane ou de forêt. Très souvent
elle n'est qu'une adaptation à l'automobile d'anciennes pistes piétonnes et à ce titre ne mérite
le nom de route que parce que des véhicules (éventuellement tout- terrain) peuvent y
circuler
La piste améliorée
Elle est encore appelée piste de desserte sur laquelle on a aménagé les passages les plus
difficiles (réalisation de petits ouvrages, exhaussement de la route en terrain marécageux,
renforcement de la chaussée par apport partiel de matériaux ayant meilleure tenue). Cette
piste améliorée peut n'être que l'évolution d'une piste rudimentaire, mais peut aussi être
l'embryon d'une route définitive à condition que le tracé géométrique ait été correctement
étudié.
Elle peut être en gravier (graveleux) pour laquelle la chaussée est constituée en général par
un matériau d'apport sélectionné ou amélioré. Ce type de route peut comporter différents
stades d'aménagements, depuis celui de piste améliorée ayant une chaussée en sol
sélectionné de bout en bout, jusqu'à celui d'une route présentant des caractéristiques larges,
des ouvrages définitifs, une chaussée de qualité, convenablement drainée, une couche de
surface régulièrement entretenue. Une telle route permet déjà le passage d'un trafic
important et une vitesse de base élevée.
Les routes revêtues sont des routes en terre qui ont reçu un revêtement, généralement
à base de bitume ou de goudron. Le revêtement de ces routes permet de maintenir
l‟imperméabilité de la surface, afin d‟empêcher l‟eau de pénétrer dans la chaussée, ce qui
entraînerait un affaiblissement du corps de chaussée. Il permet également de conserver ou
rétablir la qualité superficielle de la route et, par conséquent, les conditions de circulation et
de service.
La route peut être légère avec corps de chaussée en sols sélectionnés ou améliorés avec
revêtement superficiel hydrocarboné mono ou mieux bicouche, ou bien axe-lourd avec
corps de chaussée multicouche en matériaux de qualité croissante, avec revêtement épais en
enrobés denses ou même en béton de ciment.
1-3- Constitution d’une structure de chaussée
La route est avant tout une succession de couches de matériaux devant supporter et
répartir les charges des engins.
Une chaussée est une structure multicouche constituée de trois parties principales qui
ont chacune un rôle bien défini [1] (cf. figure 1.1).
Tout d‟abord le sol terrassé ou sol-support est surmonté généralement d‟une couche de
forme. L‟ensemble sol-couche de forme représente la plate-forme support de la chaussée.
Puis viennent la couche de base et la couche de fondation formant ainsi les couches
d‟assise.
Enfin, la couche de surface se compose de la couche de roulement et éventuellement d‟une
couche de liaison entre la couche de roulement et les couches d‟assise.
Selon les matériaux granulaires liés (enrobés, béton,...) ou non, qui composent les couches
des chaussées, nous distinguons plusieurs types de structures de chaussées. Dans la suite,
nous allons présenter la constitution d‟une structure de chaussée et le rôle des différentes
couches [1].
Le rôle de la sous-couche est de constituer, dans un but bien défini, une interface ou
un écran entre les matériaux mis en œuvre dans les terrassements et ceux qui sont employés
en couche de fondation ou en couche de base.
La sous-couche anti-contaminante
Le but de cette sous-couche est d‟empêcher la remontée (contamination) des matériaux fins,
l‟argile par exemple, de la plate-forme à travers les vides d‟une couche de fondation à
structure ouverte.
niveau dans des limites admissibles. Pour les chaussées à faible trafic, le rôle de couche de
fondation peut être, dans certains cas, assuré par un traitement du sol en place.
De ce qui précède, il est aisé de comprendre qu‟on se doit d‟être beaucoup plus exigeant
sur les caractéristiques des matériaux constituant la couche de base que pour ceux qui sont
utilisés en couche de fondation.
Dans le cas particulier des chaussées en béton de ciment, la dalle, qui repose sur une
couche de fondation, joue simultanément le rôle de couche de surface et celui de la couche
de base.
La couche de surface n‟est pas dimensionnée pour résister aux sollicitations du trafic
mais elle doit avoir un minimum de résistance pour transmettre les efforts normaux (poids
des véhicules) et les efforts tangentiels imposés par les pneumatiques (action des roues
tournant, freinage).
Il existe une grande diversité de structures de chaussées, que l‟on classe dans les
familles ci-dessous [1].
matériaux bitumineux. La couche de béton repose soit sur une couche de fondation (en
matériaux traités aux liants hydrauliques ou en béton de ciment), soit sur une couche
drainante en grave non traitée, soit sur une couche d‟enrobé reposant elle-même sur une
couche de forme traitée aux liants hydrauliques.
La dalle de béton peut être continue avec un renforcement longitudinal (“béton armé
continu”), ou discontinue avec ou sans élément de liaison aux joints. Ci-dessous nous
présentons les structures de chaussée en béton de ciment (cf. figures 1.7 à 1.11).
1-3-3-1- Le trafic
Il transmet des répétitions de charges à la chaussée. Aux termes du Code de la Route,
la charge maximum autorisée sur un jumelage isolé est de 6,5 tonnes, soit un essieu standard
de 13 tonnes. Il arrive que cette charge maximale soit dépassée à cause des surcharges que
l‟on observe dans la plupart des pays africains. C‟est ce qui accélère le processus de
dégradation prématurée des chaussées. L‟effet des surcharges sur les structures de chaussées
est mis en évidence par le coefficient d‟agressivité.
La notion d'agressivité se rapporte aux dommages que créent à la surface de la chaussée les
véhicules. Il est apprécié à l'aide d'un coefficient appelé coefficient d'agressivité qui est
obtenu par la formule :
AP p
A13 13
Où :
AP = agressivité d'un essieu de charge P tonnes ;
A13 = agressivité de l'essieu standard de 13 tonnes ;
Sur les axes routiers, ce sont les postes de pesage qui ont pour mission de contrôler les poids
des véhicules et de veiller au respect des normes.
Le trafic considéré dans les études de dimensionnement est le trafic cumulé poids
lourds sur la durée de service escomptée.
Dans les pays tropicaux on distingue cinq classes de trafics (tableau I) : l'essieu
équivalent est celui de 13 tonnes et la durée de vie est de quinze (15 ans).
De nos jours, la durée de vie est de plus en plus considérée à vingt ans (20 ans) d'où la
remise en cause de cette classification. Les limites des classes de trafic vont changer nous
rapprochant le plus des limites françaises.
1-3-3-2- L’environnement
Le climat et les variations qui lui sont liées, la situation géologique, sont autant de
facteurs qui affectent le comportement, la rigidité et la portance des matériaux.
Le climat agit directement sur les matériaux utilisés en couche de surface. Ainsi donc
les mélanges bitumineux subissent des phénomènes de dilatance et de retractance selon la
position du soleil. Le soleil influence également la teneur en eau des matériaux de surface
des routes en terre. Avec la pluie, ce sont des problèmes de drainage qui se posent. Cela se
manifeste par une infiltration d‟eau dans les couches de la chaussée ou une remontée d‟eau
par capillarité lorsque la plate-forme support est inondée. La situation géologique d‟une
route joue elle aussi un rôle très important. On fait passer une route sur un sol plus ou
facilement selon qu‟il soit argileux ou non.
1-3-3-3- L’assainissement
Les eaux d‟infiltration affectent sérieusement les chaussées en aggravant le niveau de
dégradation. L‟eau augmente la pression interstitielle, diminue le frottement des particules et
aboutit à la réduction de la portance des structures. Il faut donc prendre très au sérieux ce
risque en aménageant les chaussées de manière à évacuer les eaux de surfaces.
Dans le cas des pistes rurales, on distinguera les ponts submersibles, les dalots, les
buses, les radiers. Pour les routes revêtues on distingue les ponts, les dalots, les buses.
Dans le cas des pistes rurales, on distinguera les fossés aménagés ou non qui
permettent d‟évacuer l‟eau vers les ouvrages en vue d‟assainir la piste. Pour les routes
revêtues on a les caniveaux et collecteurs.
Selon le type de structure de chaussée, la transmission des pressions induites par le trafic
se fait suivant deux modes. Il s‟agit de :
Ce mode de fonctionnement est propre aux chaussées souples qui sont composées
d‟un corps de chaussée en matériaux granulaires souvent non traités. Ces matériaux, ne
pouvant résister aux sollicitations en flexions, transmettent verticalement les charges reçues
à la surface du revêtement au sol support.
La diffusion horizontale des efforts est caractéristique des chaussées rigides. Ces
dernières sont constituées de matériaux traités le plus souvent au liant hydraulique ou de
dalle de béton de ciment dotée d‟une forte cohésion ou d‟une rigidité relative et peuvent
mobiliser des efforts non négligeables de traction induite par flexion.
En effet, les sollicitations créent un désordre entre les granulats des différentes
couches de manière à ce que ceux-ci perdent leur cohésion initiale et ne jouent plus
efficacement leur rôle de transmetteur de charges à la fondation. De même, cette perte de
cohésion entraîne une déformabilité de la chaussée qui se traduit par des désordres
importants pouvant conduire celle-ci jusqu‟à la rupture localisée ou généralisée. La courbe
A résume le processus de vieillissement des chaussées.
L‟indication d‟une zone de rupture implique l‟existence d‟une déflexion critique qui
marque la frontière entre la fin de la phase plastique durant laquelle un renforcement est
encore possible et la phase de rupture où il ne peut s‟agir que de reconstruction. Il arrive
cependant que la chaussée soit dès l‟origine sous dimensionnée. La phase élastique peut être
ainsi réduite, voire complètement inexistante, et la chaussée, si elle est constituée de
matériaux de bonne qualité se trouvera d‟emblée à la limite de la phase plastique. A ce
niveau, le renforcement reste encore possible et doit être exécuté sans aucun retard (courbe
B).
Enfin lorsque la chaussée est réalisée avec des matériaux de mauvaise qualité, elle se
retrouve très rapidement en phase de rupture et devient à court terme impraticable.
Phase élastique
Après une période initiale de recompactage qui entraîne une légère diminution des
déflexions, ces dernières restent constantes. Les déformations rémanentes sont pratiquement
nulles, et l‟état de surface reste satisfaisant (puisque l‟imperméabilité est encore existante),
sauf défauts imputables au revêtement. La déflexion restant pratiquement constante durant la
phase élastique, il n‟est d‟ailleurs pas possible d‟établir une corrélation entre sa valeur
actuelle et le trafic antérieurement supporté par la chaussée.
C‟est la période pendant laquelle la route supporte les différentes charges d‟essieu
sans se dégrader.
Phase plastique
Après un certain nombre de passages d‟essieux, la chaussée commence par manifester
des signes de fatigue sous forme d‟un réseau maillé de légères fissurations de revêtement
(peau de crocodile ou faïençage) et de l‟apparition de faibles déformations permanentes.
Si rien n‟est fait pour diminuer les contraintes qui s‟y manifestent, la chaussée entre
en phase plastique et se met à évoluer rapidement. Les fissurations et les déformations
irréversibles deviennent de plus en plus importantes. Des ornières profondes apparaissent
accompagnées de ruptures de revêtement et d‟une perte totale d‟imperméabilité et de
surcroît de portance. Les déflexions augmentent rapidement avec le temps et la réaction qui
s‟est amorcée aboutit à sa ruine complète. La chaussée ayant alors perdu toutes ses qualités
initiales est désormais très défaillante et une réhabilitation s‟impose.
Phase de rupture
Les déflexions augmentent rapidement avec le temps et l‟on assiste à la ruine
complète de la chaussée à brèves échéances. La chaussée ayant perdu toutes ses qualités
initiales est désormais très défaillante et une réhabilitation s‟impose.
proportion de particules fines. Pour jouer parfaitement leur rôle dans la chaussée, ils doivent
répondre à un certain nombre de conditions à savoir : granularité, angularité, forme,
propreté.
PROBLEME: Les graves non traités ont l'inconvénient d'avoir un module E faible. Elles
répartissent assez mal les charges sur le sol de fondation et ne peuvent convenir que pour les
chaussées à faible trafic ou pour certaines utilisations particulières.
On utilise ici, comme liant du bitume soit sous forme de bitume pur ou sous forme
d'émulsion.
Graves-émulsion : Lorsqu'il est en émulsion, le bitume se fixe sur les éléments fins en
constituant un mastic qui enchâsse les gros grains et les scelle entre eux. Le mélange
sortant du malaxeur est très maniable et le reste jusqu'à la fin du compactage. Ce
matériau est souvent utilisé pour les reprofilages car il peut être mis en œuvre en
faible épaisseur et même se raccorder à zéro sur une chaussée déformée. On l'utilise
également en renforcement et en couche de base. Il est bon de noter que c'est une
technique peu coûteuse en énergie. Evidemment, la grave et le bitume doivent avoir
certaines caractéristiques.
2-1-3-1- Présentation
Les matériaux granulaires non liés sont utilisés pour la construction des chaussées à
faible trafic (chaussées souples, routes en terre). Ils sont composés de granulats dont le
calibre dépend de leur destination.
Il est dit «non traité » lorsqu‟aucun liant n‟est ajouté pour assurer sa cohésion. Dans
le cas d‟ajout de liant on parle de matériaux stabilisés ou améliorés au liant hydraulique ou
hydrocarboné.
2-1-3-2- Utilisation
Les chaussées souples sont constituées d‟un revêtement hydrocarboné, parfois
décomposé en une couche de roulement et une couche de liaison, d‟un corps de chaussée lui-
même le plus souvent divisé en une couche de base à la partie supérieure et une couche de
fondation sous-jacente en matériaux non traitées, reposant sur un ensemble appelé plate-
forme support de chaussée.
Les matériaux granulaires non liés sont utilisées pour la réalisation de chaussées assurant
un trafic routier faible ou moyen (moins de 200 poids lourds/ jour). Comparées aux assises
de chaussées en matériaux traitées (dédiées aux trafics plus importants), les couches en
matériaux non traitées sont souvent considérées comme peu nobles ; elles conservent
cependant un indiscutable intérêt, notamment pour le réseau routier secondaire ou elles sont
alors utilisées comme couche de fondation ou couche de base pour assurer l‟assise de la
chaussée.
Granularité: Elle est très importante, en effet, le comportement des grains lors du
compactage dépend d'elle. Une compacité élevée assure une bonne stabilité et une
bonne résistance à l'apparition des ornières, elle augmente aussi le module d'élasticité
E et assure un meilleur étalement des charges sur le sol de fondation. C'est en fait la
distribution dimensionnelle des grains du granulat.
Angularité: Plus cette caractéristique est élevée, plus la stabilité de la chaussée sera
bonne. C'est la proportion de granulats à arêtes vives.
Forme: Elle résulte de la manière de fabrication des granulats et est définie par la
grosseur et l'épaisseur.
Dureté : Puisque rien ne lie les granulats, des efforts plus importants sont appliqués
sur eux, ce qui fait que pour ne pas s'effondrer à la première charge trop grande, il
leur faut certaines caractéristiques de dureté. Ce qui assure une bonne qualité de
l'assise, même s'il y a beaucoup de trafic.
Qualité de la roche de départ : Dans le cas des concassés et des GNT, on ne peut pas
prendre n'importe qu'elle roche, car certaines caractéristiques de celle-ci (dureté,
résistance au polissage) dépendent directement de la roche. Donc, on doit bien faire
attention lors du choix de la roche à concasser pour avoir les caractéristiques
recherchées.
Dans son rapport présenté en 2009, le CNERTP a répertorié les différents types de
matériaux routiers disponibles sur l‟étendue du territoire national et les a réparti comme suit
[4] :
• la nature du matériau
• le diamètre maximal des grains
• le refus au tamis de 20 mm
• le refus au tamis de 2 mm
• le passant au tamis de 80μ
• le pourcentage de matières organiques
• les limites d‟Atterberg
• les classifications USCS et HRB
• le poids spécifique des grains solides
• les références Proctor modifié
• les indices CBR à 95% et 100% après 96 heures d‟imbibition
• le gonflement linéaire
Tableau 2-2 : Caractéristiques des graveleux latéritiques répertoriés [4]
Refus au tamis de
0 0 0 0 0
20mm
GL (%) 1 1 1 1 1
Les deux tableaux ci-dessus montrent que les caractéristiques des matériaux
granulaires varient non seulement en fonction des différentes familles de matériaux
répertoriés mais aussi au sein d‟une même famille.
Un graveleux latéritique est une roche résiduelle rougeâtre ou ocre issue d'un
processus d'altération de roches meubles silico-alumineuses, constitué par un mélange
de particules de dimensions généralement comprises entre 2 et 20 mm (pisolithes,
concrétions ou nodules plus ou moins durs et/ ou rognons de quartz) et d‟argile. Il est
utilisé pour construire la partie inférieure des corps de chaussées (couche de base et
couche de fondation) dans la partie de l‟Afrique située au sud du Sahara, en raison de
son intérêt économique.
Localisation
A travers le monde, les sols graveleux latéritiques sont largement répandus,
mais plus particulièrement dans les régions intertropicales d‟Afrique, d‟Australie, de
l‟Inde, du sud-est asiatique et d‟Amérique du sud. La plupart de ces formations sont
sub-actuelles ou fossiles, même en régions intertropicales. Leur existence montre qu‟à
un moment ou un autre de l‟histoire du globe, les conditions de formation ont pu se
trouver réunies, conditions qui n‟ont pas été nécessairement contemporaines en tous
points de la terre. Mückenhausen et Tavernier [12] signalent des latosols en Allemagne
méridionale. Les red yellow podzolic soils des États-Unis peuvent plus ou moins être
assimilés à des oxisols. Selon certains auteurs, des sols enterrés sous les limons du
Condroz (Belgique) possèdent toutes les caractéristiques de sols ferrugineux tropicaux à
concrétions. De tels exemples sont extrêmement fréquents.
Au Bénin, les latérites sont les matériaux routiers les plus répandus. On les
retrouve dans l‟ensemble des douze départements du pays [4].
Certains facteurs ont une influence prépondérante sur l‟altération des roches
et la formation des sols latéritiques qui en découlent, ce sont :
Indice de plasticité : IP
5-15 15-25 25-35
Tamisat au 0,08mm : f%
5-15 15-25 25-35
CRITERES
ABSOLUS
Produit : f × IP
50-250 250-600 500-1000
Limite de liquidité : Wl
15-40 25-60 40-70
Classes de trafic
Les graveleux naturels peuvent être utilisés en couche de fondation pour toutes les
gammes d‟intensité de trafics prévues à savoir T1, T2, T3, T4 et T5. Par contre au niveau
de la couche de base, leur emploi a été limité en toute sécurité aux classes T1 et T2
de trafic. Néanmoins pour la classe T3 de trafic, l‟emploi en couche de base des graveleux
naturels est autorisé sous réserve d‟appliquer des conditions de dimensionnement et de
drainage plus rigoureuses que celles admises au niveau des trafics T1 et T2.
Tableau 2-5: Valeurs nominales du CBR pour les graveleux naturels utilisés en corps de
chaussée [5]
Couches
Valeurs minimales de l‟indice CBR selon le type de trafic
concernées
T1 T2 T3 T4 T5
Couche de
fondation
25 30 30 30-35 30-35
Couche de
base 60 80 80 - -
Pour les trafics élevés (T3, T4 et T5), les graveleux latéritiques destinés aux
couches de base revêtues présentent une sensibilité à l‟attrition trop grande pour
pouvoir être utilisés à l‟état naturel, même si leur CBR est supérieur à 80. Leur
traitement est nécessaire.
Plasticité
La plasticité des graveleux naturels est aussi un paramètre important
puisqu‟elle est étroitement liée au pourcentage de fines contenues dans le matériau.
Ainsi, l‟action combinée de ces deux caractéristiques influe sur le comportement des
matériaux ou même sur leur portance. Les valeurs limites de l‟indice de plasticité
recommandées pour les couches de base ou de fondation sont consignées dans le
tableau suivant :
Tableau 2-6: Valeurs limites de l‟indice de plasticité recommandées pour les graveleux
naturels [5]
T1 T2 T3 T4 T5
concernées
Couche de 20 20
fondation 25 25 20
Couche de
15 15 15
base 15 15
Gonflement linéaire
La tendance d‟un sol au gonflement est une caractéristique importante qui n‟est
pas liée à la valeur de son indice portant. Pour éviter des variations
dimensionnelles inacceptables au niveau des assises de chaussée, il est nécessaire de
fixer une limite supérieure au potentiel de gonflement des matériaux les
constituant. A cet effet, il est recommandé d‟être très réservé quant à l‟utilisation
des graveleux naturels présentant des valeurs de gonflement linéaire supérieures à :
- Couche de fondation : 1 à 2 %
Optimum Proctor
En résumé nous pouvons donc dire que outre la valeur de l‟indice portant CBR
qui constitue le critère essentiel d‟acceptabilité, les autres critères sont des
recommandations „‟d‟appoint‟‟ destinées essentiellement à faciliter et à justifier les
choix qui peuvent se poser entre différents emprunts qui satisferont aux normes de
portance. A ce titre, ils ont été nommés „‟indices ou critères sélectifs‟‟.
Le tableau de la page suivante récapitule les critères relatifs aux propriétés des
graveleux latéritiques naturels destinés aux couches de fondation et de base des routes
revêtues.
Tableau 2-7: Tableau récapitulatif des critères d‟utilisation des graveleux naturels [2]
GLR F 1 % à 2 % Max
B 0.1 à 1 % Max
F ˃ 1.9 T/m3
d B ˃ 2.00T/m3
F = Fondation
B = Base
IP = Indice de plasticité
LA = Los Angeles
γd = Densité sèche
En mécanique des sols, on appelle sable tous les matériaux dont le diamètre des grains
est compris entre 0,02 et 2 mm. D‟autres documentations appellent sables l‟ensemble des
particules de diamètre compris entre 0,08 mm et 5 mm. D‟une manière générale, les
définitions varient largement d‟un auteur à un autre.
Le granite est souvent la roche mère à l‟origine de la formation des sables, ainsi le plus
fréquent de ses composants est le quartz, le constituant le moins altérable du granite.
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES
CHAUSSEES AU SUD DU BENIN 43
Chapitre 2 : Présentation des matériaux routiers de la zone d’étude
Dans le domaine routier, l‟identification des sables est basée sur les essais de
laboratoire suivants :
- L‟analyse granulométrique
- Les limites d‟Atterberg
- L‟équivalent de sable
- L‟essai Proctor
- L‟essai CBR
Le but de l‟identification des sols est de pouvoir les comparer à des matériaux ayant
des caractéristiques mécaniques voisines de façon à pouvoir apprécier leur comportement face
aux sollicitations extérieures.
D‟après la norme NF P 98-113 relative aux sables traités, on distingue les classes de sable
suivantes :
X : passant à 80 µm
-les sols grenus dont 50% d‟éléments en poids sont supérieurs à 80µm ;
-les sols fins dont 50% d‟éléments en poids sont inférieurs à 80µm ;
D‟un point de vue global, les sables ne constituent pas les meilleurs matériaux
routiers. Leur utilisation en construction routière dans une région est très souvent la
conséquence d‟une pénurie de graveleux latéritique, de concassés ou d‟autres matériaux
recommandés. Les sables utilisés en couche de base jusque-là ont tous fait l‟objet d‟un
traitement au liant ; la chaux et le ciment en particulier.
Ainsi, de toutes les expériences qui ont été faites jusque-là, il s‟est avéré que ce sont les
sables argileux qui peuvent constituer des couches de base convenables pour chaussées
revêtues. Toutefois avant de songer à les utiliser, ils doivent satisfaire, à l‟état naturel à
certaines spécifications.
A cet effet, le Guide Pratique de Dimensionnement des Chaussées pour les Pays
Tropicaux recommande que les sables argileux destinés à être traités présentent à l‟état naturel
les caractéristiques physiques suivantes :
Performances à atteindre
D‟après les spécifications françaises traduites dans la norme NF P 98-113 relative aux
STLH, les performances mécaniques prises en compte pour le matériau sont celles à 360 jours
de la résistance à la traction Rt360 et du module élastique E360, estimées à partir d‟éprouvettes
fabriquées en laboratoire. Ces valeurs sont, soit mesurées directement si le délai d‟étude est
satisfaisant, soit déduites des valeurs mesurées à des délais plus courts par des coefficients de
correspondance empirique. Vu d‟une part que nous n‟aurons pas le temps de faire des
mesures de résistance à un an et que l‟application de coefficients empiriques ne saurait être
très rassurante pour un nouveau matériau et d‟autre part que les conditions climatiques
africaines sont vraiment différentes de celles françaises, nous convenons d‟adopter comme
performances à atteindre celles prescrites dans les spécifications relatives aux pays tropicaux,
ce qui est après tout plus réaliste. D‟après les recommandations relatives aux pays tropicaux,
trois aspects du comportement mécanique des STLH sont essentiellement pris en compte :
La résistance à la compression à 7 jours de cure à l‟air (Rc) ;
La résistance à la compression à 7 jours de cure dont 3 à l‟air et 4 à l‟eau (R‟c)
La résistance à la traction à 7 jours de cure à l‟air (Rt).
Ainsi, le Guide Pratique de Dimensionnement des Chaussées pour les Pays Tropicaux
exhorte à ce que les mêmes performances que celles des graveleux latéritiques soient
atteintes :
CBR après 7 jours dont 3 jours à l‟air et 4 jours d‟immersion > 160 ;
La résistance à la compression simple (RC), après 7 jours de cure à l‟air des
éprouvettes, doit être supérieure à 18 bars et inférieure à 30 bars. Dans les
mêmes conditions, la résistance à la traction (RT) mesurée par compression
diamétrale (essai brésilien) doit être supérieure à 3 bars ;
La résistance à la compression simple (R‟C) sur éprouvette ayant subi 3 jours de
cure à l‟air et 4 jours d‟immersion dans l‟eau doit être supérieure à 5 bars.
C‟est d‟ailleurs ces mêmes spécifications qu‟on rencontre en général dans les autres
documentations à l‟exception de la résistance à la traction pour laquelle les recommandations
ivoiriennes et la fiche du CND-Maroc préconisent qu‟une valeur minimale de 2 bars est déjà
acceptable.
D‟autres paramètres tels que la stabilité immédiate (IPI), l‟indice de dégradation (T), la
portance à long terme sont vivement conseillés à vérifier.
minéraux argileux indiquent que la terre de barre est formée d‟un matériau hétérométrique, mis
en place sous des conditions subaériennes tropicales, avec des consolidations sporadiques.
Guilchers (1959) conclut que ce matériel forme le couronnement de la série
sédimentaire du bassin côtier du Bénin.
Selon Furon (1964), le continental terminal du Dahomey est caractérisé par des
formations argilo-sableuse connues sous le nom de « terre de barre ». Elles peuvent atteindre
une centaine de mètre de puissance et contenir à la base des niveaux ligniteux.
Fauck (1972) attribue, lui le terme de « terre de barre » aux sols rouges développés sur
les roches-mères que représente le continental terminal du Bénin.
Slansky (1959) décrivant les plateaux du bassin sédimentaire qualifie de sol la terre de
barre ; ses caractéristiques essentielles sont ; mélange meuble de sable et d‟argile, de couleur
brun rouge. La proportion d‟argile ferrugineuse et de sable est très variable. Il pense qu‟il
s‟agit simplement de l‟évolution latéritique des niveaux sous-jacents.
Figure 2-5 : Schéma morphologique : Répartition des unités géographiques (in M. SLANSKY -
1959)
2-1-6-3- Composition
La terre de barre du sud Bénin décrite par WILLIAME et VOLKOFF en 1966 présente
les caractéristiques physiques et chimiques suivantes: 15,3% d'Argile; 5,4% de limon; 77,3%
de sable et 0,05% d'Azote total; la teneur en matières organiques est de 2,64%.
Tourmaline Brune, noire ou verte, se présente sous des formes très diverses.
Le liant doit être choisi de façon à adhérer convenablement à la surface sur laquelle il
est appliqué. Son dosage doit être tel que le granulat puisse s‟y accrocher sans donner lieu à du
ressuage. De plus il doit, après épandage, présenter une viscosité suffisamment élevée pour
empêcher que le trafic n‟arrache les granulats, provoquant ainsi la pelade du revêtement.
L'utilisation d'une dope d'adhésivité permet d'assurer le mouillage du granulat par le
liant et s'opposent ultérieurement à la rupture de cette liaison.
La structure de l'enduit (monocouche ou bicouche) dépend du trafic et de l'état du
support. Les structures monocouches sont composées d'une couche de granulat (3/8 et 8/16) et
d'une couche de granulats (6/10 et 10/14) pour les trafics faibles TI, T2 et T3. Pour les
structures bicouches nous avons deux couches de granulats (2/4 et 6/10) et deux couches de
granulats (4/6 et 10/14).
La rapidité d'exécution et le coût peu élevé des enduits superficiels font qu'ils sont plus
utilisés. Cependant ils sont limités au trafic faible.
2-2-3-1- Définition
Le béton bitumineux est un mélange, parfaitement contrôlé et de haute qualité, réalisé à
chaud. Il est constitué de granulats de bonne qualité et bien calibré provenant exclusivement de
roches massives et de bitume pur tenant à la fois d'éléments mouillant et agglutinant. Il doit
être bien compacté en une masse uniforme et dense.
% filler élevé
Fuseau large
Enrobés denses Bitume % de 4 à 5
% filler faible (5 %)
% vides de 8 à 12
C‟est ce point de vue qui domine les méthodes de calcul des chaussées rigides,
méthodes qui combinent l‟épaisseur et la résistance du béton des dalles, pour une charge et un
sol donné. La figure ci-dessous présente la coupe type de chaussée rigide
Ce sont des structures comportant une dalle en béton de ciment continue (béton armé
continu) ou discontinue (avec ou sans éléments de liaison aux joints) reposant sur une
fondation pouvant être réalisée avec des matériaux traités aux liants hydrauliques, du
béton de ciment ou tout simplement en matériaux non traités drainants.
Pour un aménagement en pavés, on exécute une couche de base suivi d‟un lit de pose.
La réalisation de cette couche de surface en éléments préfabriqués comprend notamment :
La tolérance en nivellement après réglage doit être au plus égale à plus ou moins 5mm
(+ ou -5)
La pose des pavés ne peut commencer que si les ouvrages de butée prévus ont été
réalisés conformément aux indications techniques.
Les joins sont remplis de sable de même nature que celui du lit de pose. L‟opération se
fait par balayage. Le scellement des joints au mortier est proscrit.
CARACTERISATION DES ATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 60
SUD DU BENIN
Chapitre 3 : Etudes expérimentales
CARACTERISATION DES ATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 61
SUD DU BENIN
Chapitre 3 : Etudes expérimentales
Tableau 3-2: Classification des graveleux latéritiques étudiés et la possibilité de leur utilisation en couche d’assise
Evaluation du matériau
Classification
Emprunts Communes Nom géotechnique comme couche d’assise
HRB
Couche de Couche de base
fondation
Latérite d’adovi -zapkota puits 1 Zapkota Grave argileuse plastique A2-6 Bon Mauvais
Latérite d’adovi -zapkota puits 2 Zapkota Grave argileuse plastique A2-6 Bon Mauvais
Latérite d’adovi -zapkota puits 3 Zapkota Grave argileuse plastique A2-6 Bon Bon
Latérite de Sodohome puits 1 Bohicon Grave argileuse plastique A2-6 Bon Mauvais
Latérite de Sodohome puits 2 Bohicon Grave argileuse plastique A2-6 Bon Mauvais
Latérite de Sodohome puits 3 Bohicon Grave argileuse plastique A2-6 Bon Bon
Latérite de Kpankou (kétou) kétou Grave argileuse peu plastique A2-4 Bon Mauvais
Latérite de Deve (carrière Adeoti) Lokossa Grave argileuse plastique A2-6 Bon Mauvais
Latérite de Dogbo (Mapolo) Dogbo Grave argileuse plastique A2-6 Bon Mauvais
Latérite de Deve (Mapolo) Lokossa Grave argileuse peu plastique A2-4 Bon Mauvais
CARACTERISATION DES ATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 62
SUD DU BENIN
Chapitre 3 : Etudes expérimentales
Latérite de Gbodjomè Houéyogbé Grave argileuse peu plastique A2-4 Bon Mauvais
CARACTERISATION DES ATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 63
SUD DU BENIN
Chapitre 3 : Etudes expérimentales
Nous avons constaté que les matériaux des carrières de Kpankou, Dakpla,
Akotomey Honhouè- gbadji, Kpassakanmè- gbodjomè, Massè-Honvê, Tohonou et
Tozounmè contiennent de matériau à un pourcentage de fine supérieur aux
spécifications pour la couche de base mais peut être utilisé à l‟état naturel en couche
de fondation jusqu‟au trafic T2.
Par rapport à la densité sèche tous les matériaux des carrières prospectées
répondent aux spécifications des couches d‟assise de chaussées.
Tableau 3-3 : Récapitulatif des résultats issus des essais du traitement du graveleux
latéritique au ciment
Résistance à la Résistance
CBR à compression
Carrières (bars) Rapport en traction
Dosages 95% de (R‟c/Rc)
Rc à 7 j R‟c à 3j % à Rt
l‟OPM air + 4j
air à 7 j air
eau
3% 187 20.38 14.26 70 1.69
IP 14 11
% de fine 12 10
Evaluation du Couche de
Bon Bon
matériau comme fondation
couche d‟assise
Couche de base
Bon Bon
En nous référant aux résultats de la latérite de KPAHE crue nous avons constaté
que l‟ajout du concassé 0/31.5 a amélioré les caractéristiques de la latérite. Le CBR
qui passe de 33 à 80 ; l‟IP de 17,1 à 14 ; %fine de 16,5 à 12 avec 35% de concassé et
65% de latérite. Ces résultats sont encore meilleurs lorsque le pourcentage de concassé
augmente. La lithostabilisation de la latérite de Kpahè a permis l‟amélioration de ces
caractéristiques ce qui permet aussi son utilisation en couche d‟assise (en particulier
en couche de base) de chaussées revêtues.
De nos jours ce matériau est utilisé dans les couches d‟assise des chaussées
revêtues dans le sud de notre pays à cause de la pénurie des graveleux latéritiques dans
cette zone du pays. On le trouve notamment à Ouidah, à Djèrègbé, à Sèmè.
L‟identification complète des matériaux de ces carrières se présente comme suit :
Tableau 3-5: Récapitulatif des résultats obtenus sur les matériaux des carrières de silteux dans la zone d‟étude
Evaluation du
Caractéristiques Classifications matériau comme
Nom
couche d’assise
Désignation
géotechnique
% <80µ ICBR à 95 % Couche de Couche de
IP DS (t/m3) HRB USCS
(fines) OPM fondation base
CARACTERISATION DES ATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 70
SUD DU BENIN
Chapitre 3 : Etudes expérimentales
Les résultats montrent que le sable silteux est un matériau qui ne renferme pas
assez de fine, il a un indice de plasticité bon, une densité sèche bonne pour la plus part
mais avec des caractéristiques mécaniques faibles (insuffisant pour les couches
d‟assises en particulier la couche de base). Pour les carrières étudiées nous pouvons
dire qu‟en dehors des carrières d‟Ahouicodji (Puits 1 et 2) ces carrières de silteux
contiennent des matériaux routiers de bonnes qualités pouvant être utilisé en couche de
fondation à l‟état naturel mais en couche de base leur amélioration serait nécessaire car
ils n‟ont pas un ICBR≥80 le minimum demandé en couche de base des chaussées.
Tableau 3-6 : synthèse des résultats obtenus sur l‟amélioration de silteux de Djèrègbé au ciment
Résistances Ratio
Portance
Compression uniaxiale
Types de ciment % ciment Traction Rti
CBR à 7 jours (3
7 jrs air
3jrs air + 4jrs R’c/Rc (%)
eau (bars)
jours air + 4 jours
eau) Rc (bars) R’c (bars)
3 145 12.7 6.2 1.27 49
3.5 165 17.4 10.6 1.9 61
CEM II 32.5 R
4 201 20.8 12.3 2.3 60
4.5 227 19.5 12.3 2.4 63
3 166 8.9 5.9 1.4 66
CARACTERISATION DES ATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 72
SUD DU BENIN
Chapitre 3 : Etudes expérimentales
Tableau 3-8: Synthèse des résultats effectués sur la terre de barre des carrières prospectées
Limites Proctor
Caractéristiques Analyse granulométriques par tamisage Classification CBR imbibé à 96 heures
d‟Atterberg modifié
%˂ %˂ %˂ %˂ %˂ %˂ 100 Gonfl
WL ɣopt WOpt 95 %
Emprunts 0.080 0.16 0.315 0.40 1.25 2.0 IP HRB USCS % Linéaire
(%) (t/m3) (%) OPM
mm mm mm mm mm mm OPM (%)
Terre de barre de
46 57 63 71 97 100 39.3 16.3 A2-6 SA 1.89 13.8 18 14 0.28
Soyo
Terre de barre de
- - 78 85 98 100 - - A2-6 SA 1.89 13.8 18 14 0.28
Zèko (GBOPA)
Terre de barre
44 51.5 67.5 76.5 96.5 99.5 49 21 A2-7 SA 1.89 11.4 13 10.5 0.37
d‟AZANNOU
Terre de barre de
43.5 51 65.5 74 98.5 100 39 14.2 A-6 SL-SA 1.91 13.2 22.0 15 0.095
Dangbo
Carrière de
50 55 67.5 73.5 98.5 100 39 15 A-6 SA 1.85 13.0 18 12 0.20
Yogou
Terre de barre de
41 78 84 89 95 97 53 22 A2-7 SA 2.08 10.72 50 25
BONOU
Terre de barre de
35.2 45.4 53.4 59.8 80 90.2 50 26 A2-7 SA 1.98 11.6 23 21 0.96
Sissèkpa
Terre de barre
48.8 57.8 65.6 73 96 100 51 28 A7-6 SA 1.97 14 19 15 1.3
d'Avrankou
CARACTERISATION DES ATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 75
SUD DU BENIN
Chapitre 3 : Etudes expérimentales
De l‟analyse des résultats de la terre de barre nous pouvons dire que la terre de
barre ne présente pas les caractéristiques requises pour être utilisé en couche d‟assise
d‟une chaussée à l‟état naturel et aussi impropre pour son amélioration directe aux
liants sauf sa stabilisation à la chaux mais sa lithostabilisation peut lui permettre
d‟avoir des performances requise pour son utilisation en corps de chaussée avant son
amélioration au ciment..
Mais en nous basant sur le travail de notre ainé TIKO Achille qui a changé la
classe du concassé du 0/31.5 au 0/4, nous avons constaté que les performances de la
terre de barre se sont améliorées. Les résultats issus de son travail sont résumés dans le
tableau 3-6.
IP 28 26 20 18
CBR à 95% 15 21 23 33
Couche de
Evaluation du Mauvais Mauvais Mauvais Bon
fondation
matériau comme
couche d‟assise Couche de
Mauvais Mauvais Mauvais Mauvais
base
Tableau 3-10 : synthèse des résultats de l’amélioration au ciment des matériaux issus
de la lithostabilisation de la terre de barre avec du concassé 0/4
Résistance en Résistance
Résistance au poinçonnement
compression axiale en traction
Les matériaux traités aux liants hydrocarbonés sont généralement utilisés en couche de
Base (Grave –Bitume : GB) pour les trafics élevés à défaut de matériau de bonne
qualité et en couche de surface (Béton Bitumineux: BB) pour les chaussés revêtues des
épaisseurs différentes. C‟est un mélange qu‟on ne fabrique pas fréquemment sauf en
cas de besoin pour un chantier. Mais nous avons eu la chance de suivre la production
100
80
Passants (%)
60 0/6
6/10.
40
20
0
0,0625 0,125 0,25 0,5 1 2 4 8 16
Ouverture de tamis (mm)
Classes
Note : Les tamis de contrôle sont les tamis de la série AFNOR dont les ouvertures sont
les plus proches des diamètres nominaux.
Note : (*) Ces faibles écarts constatés sont probablement l‟effet combiné des
incertitudes liées aux matériels d‟essais (balances, tamis…) et à l‟opérateur.
Propriétés physiques
Tableau 3-14 : Propriétés physiques des granulats étudiés
PARAMETRES
Masse
Masse
Classe volumique Coefficient Los
volumique Equivalent
granulaire apparente d’aplatissement Angeles
réelle (t/m3) de sable (%)
(t/m3) (%)
Au regard des résultats obtenus après essais sur les différentes fractions
granulaires, il ressort que les agrégats produits sont conformes aux spécifications du
projet.
PROPRIETES DU LIANT : BITUME PUR 50/70
Tableau 3-15 : Propriétés du liant
PARAMETRES
Pénétrabilité à Point de Densité relative au
Classe de bitume
25°C - 100g- 5 sec ramollissement Bille - pycnomètre à 25°C
(1/10 mm) Anneau (°C) (t/m3)
50/70 69 48.1 1.03
SPECIFICATIONS 50-70 46-54
100
Granulométrie du squelette recomposé
90 Limite
80 inférieure
70
Limite
Passants (%)
60 supérieure
50
Squelette
40
recomposé
30
20
10
0
0,0625 0,125 0,25 0,5 1 2 4 8 16
Ouverture de tamis (mm)
Nomenclature
1300
1200
1100
1000
900
800
700
4,00 4,50 5,00 5,50 6,00 6,50 7,00
Tableau 3-19: Résultats détaillés de l‟essai Marshall sur le mélange à 5.7% de liant
interne
ESSAI PARAMETRES RESULTATS
K (Kg/m2) 3.69
N° éprouvette 1 2 3
Résistance à la compression
47.770 45.780 48.765 47.438
simple (bar)
Comme pour les autres ouvrages de génie civil, la structure de la route doit être
définie à la suite d'un dimensionnement. Étant fonction des matériaux utilisés,
des techniques de réalisation et des caractéristiques du trafic, le dimensionnement
des chaussées a connu d'importantes évolutions.
La deuxième étape de l‟aspect théorique consiste en une vérification portant sur deux
aspects à savoir :
- Si la rupture par fatigue ne survient pas avant la fin de la durée de vie souhaitée
pour la chaussée
- Si les déformations permanentes dans les matériaux susceptibles d‟en subir
(matériaux non liés, à liant hydrocarboné, sol support) ne produisent pas des
ornières ou des défauts d‟uni rendant le trafic inconfortable, voire dangereux)
L‟approche théorique est, en réalité, entachée d‟empirisme puisque les propriétés des
matériaux introduites comme données dans les modèles de calcul sont déterminées lors
d‟une phase expérimentale. De ce point de vue, elle recoupe l‟approche empirique
proprement dite.
Le nombre de catalogues se multiplie car chaque pays essaie d‟élaborer un, qui
lui soit propre. Comme exemple de catalogue nous pouvons citer “le guide pratique de
dimensionnement des chaussées pour les pays tropicaux” ; ce qui est élaboré par le
Centre Expérimental des recherches et d‟Etude de bâtiment et des TP. Il fournit des
fiches de dimensionnement basées sur la portance CBR des sols, le trafic. Dans ce
guide, on considère cinq classes de trafic T1 à T5 et cinq classes de sol S1 à S5. La
partie 3 de notre document présentera un catalogue élaboré en suivant cette même
démarche.
Plusieurs pays ont adopté cette méthode car ils présentent plusieurs avantages.
- Rapidité du dimensionnement
- Simplicité de la méthode
- Structure standard permettant une bonne maîtrise de la technique et une bonne
capitalisation des expériences.
• Le trafic
4-2-1- Le trafic
La connaissance du trafic et principalement du trafic poids lourds constitue un
élément essentiel pour un bon dimensionnement de la chaussée. Ce trafic s‟exprime
généralement par deux (2) paramètres.
)
)
n : durée de vie d'une route qui est la période écoulée depuis sa date de mise en
service jusqu'à l'apparition des dommages nécessitant un entretien.
T1 T2 T3 T4 T5
Trafic journalier
1 90 300 900 1800 3600
(Pl/j) : T
Trafic Equivalent
0,0157 1,421 4,7070 14,121 28,242 56,483
(106 PL)
T1 T2 T3 T4 T5
T1- T1+ T2- T2+ T3- T3+ T4- T4+ T5- T5+
4 . 2 . 3 Etude climatologique
Dans la zone d‟étude le climat est de type subéquatorial avec deux saisons
pluvieuses (une grande de mi-mars à mi-juillet et une petite de mi-septembre à mi-
novembre) et deux saisons sèches (une grande de mi-novembre à mi-mars et une petite
de mi-juillet à mi-septembre). La pluviométrie est d‟environ 1200mm par an. La
température moyenne varie entre 27°c et 31°c (ASECNA 2013)
Impact de la Précipitation
Par contre, c'est de l'eau de pluie que l'on se méfie le plus car
inévitablement, elle viendra au contact de l a r o u t e . Si la route est dotée d'un
revêtement qui joue bien son rôle d'étanchéité et de devers convenable alors
sa partie supérieure est en principe protégée de l'eau de pluie. Une autre
partie de la pluie ruisselle le long de la route et provoque une érosion. Cette
dernière ronge progressivement les talus qui ne sont pas protégés avant de
s'attaquer à la chaussée.
Impact de la température
Pour les matériaux traités aux liants hydrauliques (par exemple la latérite-ciment
qui est très utilisée dans la région), des températures élevées favorisent
l'apparition de fissures de retraits thermiques et c'est valable pour les bétons. Aussi
causent-elles une augmentation de l'évaporation de l'eau dans le matériau traité ce
qui n'est pas favorable à la réaction d'hydratation du liant en particulier le ciment
qui nécessite un minimum d'eau pour être efficace.
4.3.1 Prédimensionnement
Une fois qu'on a réuni les données nécessaires au calcul (caractéristiques
physiques et mécaniques telles que le CBR, le module d'élasticité E des
matériaux destinés à être utilisés comme couche de chaussée), on procède à
un premier choix de la couche de roulement et au prédimensionnement de la
structure en se fixant à priori les épaisseurs des autres couches de la chaussée.
:
N=NE= nombre de chargements équivalents calculés à partir du trafic
cumulé et du coefficient d‟agressivité.
Avec :
6 : Niveau de déformation correspondant à 106 cycles de chargement
NE : Nombre d‟essieux équivalents calculé à partir du trafic cumulé et du
coefficient d‟agressivité (CAM),
E(10) : Module du matériau à 10°C
E(eq) : Module du matériau à eq°C
b : pente de la droite de fatigue du matériau,
kc : coefficient de calage destiné à ajuster les résultats du modèle de calcul au
comportement observé de chaussées du même type,
kr : coefficient de risque,
) en mm
( ) )
Kr=
- Structures souples
- Structures semi-rigides
- Structures rigides
La durée de vie (de calcul) est la durée au bout de laquelle le taux de dégradations
observé dépasse le taux admissible correspondant au niveau de service désiré pour la
route, ce qui rend nécessaire un renforcement structurel.
- Généralités - Trafics
Sollicitations : Prévisions de trafics en essieu équivalent 13 t
1ère méthode complète : Mesures de trafics avec distinctions des profils de
véhicules + Mesures des charges à l‟essieu + calcul du Coefficient d‟Agressivité
Moyen (CAM) + prévision d‟augmentation de trafic = Estimation du trafic
cumulé en équivalent 13 t
2ème méthode sans pesage : Mesures de trafics PL + valeurs CAM « normales » +
prévision d‟augmentation de trafic = Estimation du trafic cumulé en équivalent 13 t
- Classe (CEBTP) Nb de PL éq 13 t
- Classe CBR
S1 CBR < 5
S5 CBR > 30
Principes de dimensionnement
Objectif :
Trouver les épaisseurs optimales des différentes couches d‟une structure pour que les
contraintes au niveau de chaque couche restent inférieures aux contraintes admissibles
trafic
N
σ ou Ԑ
Calcul de la contrainte de travail dans une couche
grâce aux logiciels de mécanique des milieux continus
σ travail
Epaisseur de la couche
H mini
Pour les matériaux non traités (graves non traitées et sols) : le modèle adopté
est le modèle d‟endommagement par accumulation des déformations plastiques
irréversibles (orniérage), résultant des sollicitations de compression verticale exercées
par le trafic
Pour les matériaux traités (enrobés, matériaux traités aux liants hydrauliques
et les bétons) : le modèle adopté est le modèle d‟endommagement par fatigue sous les
sollicitations répétées de traction par flexion exercées par le trafic.
Avantages :
E1 couche de roulement BB
Ԑt
E2 couches d'assise Transmission des efforts par contact entre granulats
E2/E3 entre 2 et 4
E3 entre 20 et 100 Mpa Ԑ z (N) = A N-b
BB sur GTLH
Avantages :
Dimensionnement : σ t GH Dimensionnement : σ t GH
Ԑ z au sol Ԑ z au sol
Ԑ t au niveau du BB
Fonctionnement en flexion / traction à la base des couches selon le collage des interfaces
joints
couche de base/roulement en béton
σ t béton
couche de fondation en GH
σ t GH
Ԑz
sol support
Dimensionnement : σ t GB
σ t GH
Ԑ z au sol
σ t béton
couche de fondation en GH
σ t GH
Ԑz
sol support
Dimensionnement : σ t GB
σ t GH
Ԑ z au sol
Détails modélisation
Extraits de calculs
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT 117
DES CHAUSSEES AU SUD DU BENIN
Chapitre 4 : Dimensionnement des chaussées
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT 117
DES CHAUSSEES AU SUD DU BENIN
TROISIEME PARTIE : ELABORATION DU CATALOGUE
5-1- Composition
5-1- 1 Les fiches de matériaux (cf. Annexe B)
Chaque matériau sera fiché et dans chaque cas on aura les résultats des essais
géotechniques sur les matériaux.
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT 119
DES CHAUSSEES AU SUD DU BENIN
Chapitre 5 : Elaboration du catalogue
Au terme de notre étude certains matériaux ont été rejetés pour des raisons
économiques. Etant donné qu‟on aboutissait pratiquement à des épaisseurs identiques
avec d‟autres matériaux ayant approximativement les mêmes modules, nous avons
procédé a un choix des matériaux entrant dans le catalogue (Tableau 5-2)
Les valeurs de CBR utilisées dans ces formules sont celles trouvées lors des
essais mais réduites de 10 % pour tenir compte du manque d’homogénéité
des carrières et des imperfections pouvant survenir lors de l’essai CBR .
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT 120
DES CHAUSSEES AU SUD DU BENIN
Chapitre 5 : Elaboration du catalogue
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT 121
DES CHAUSSEES AU SUD DU BENIN
Chapitre 5 : Elaboration du catalogue
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 122
SUD DU BENIN
Chapitre 5 : Elaboration du catalogue
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 123
SUD DU BENIN
Chapitre 5 : Elaboration du catalogue
Matériaux Silteux
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 124
SUD DU BENIN
Chapitre 5 : Elaboration du catalogue
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 125
SUD DU BENIN
Chapitre 5 : Elaboration du catalogue
Lithostabilisation
de la terre de barre avec du concassé 0/4 de Dan
Amelioration
de la terre de barre avec du concassé 0/4
61% TB Avrankou + 39% Concassé de
65 61TBAA39CDD3C 262 236 11 800
Dan + 3% ciment
61% TB Avrankou + 39% Concassé de
66 Avrankou/DJIDJA 61TBAA39CDD3,5C 277 249 12 450
Dan + 3,5% ciment
61% TB Avrankou + 39% Concassé de
67 61TBAA39CDD4C 285 257 12 850
Dan+ 4% ciment
58% TB Sissekpa + 42% Concassé de Dan
68 58TBSA42CDD3C 226 203 10 150
+ 3% ciment
58% TB Sissekpa + 42% Concassé de Dan
69 58TBSA42CDD3,5C 270 243 12 150
+ 3,5% ciment Adjohoun/DJIDJA
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 126
SUD DU BENIN
Chapitre 5 : Elaboration du catalogue
Tableau 5-2: Choix des matériaux utilisables en couches d'assise dans le cadre de notre étude
CBR à CBR de Module Couche de Couche de
Code Emprunts Commune
95%OPM calcul (Bars) fondation base
Matériaux graveleux latéritiques
LDeLa Latérite de Deve (Adeoti) Lokossa 62 56 2 800 x
LKK Laterite de Kpankou (kétou) Kétou 42 38 1 900 x
LAZ3 Latérite de Adovi -zapkota puits 3 Zakpota 91 82 4 100 x x
LSB3 Laterite de Sodohome puits 3 Bohicon 148 133 6 650 x x
LAA Latérite d’Avakpa Allada 38 34 1700 x
LYH Latérite de Yèhouénouhou Houéyogbé 58 52 2600 x
Traitement du graveleux
latéritique au ciment
LAA3,5C Latérite de Avakpa + 3,5% ciment Allada 247 222 11 100 x x
LYH3,5C Latérite de Yèhouénouhou + 3,5% ciment Houéyogbé 250 225 11 250 x x
LAA4C Latérite de Avakpa + 4% ciment Allada 300 270 13 500 x x
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 127
SUD DU BENIN
Chapitre 5 : Elaboration du catalogue
et du concassé 0/31.5
65% de latérite de Kpahe et 35% de concassé ZOGBODOMEY et
65LKZ35CSD 80 72 3 600 x
0/31.5 de Seto DJIDJA
55% de latérite de Kpahe et 45% de concassé ZOGBODOMEY et
55LKZ45CSD 102 92 4 600 x x
0/31.5 de Seto DJIDJA
Matériaux Silteux
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 128
SUD DU BENIN
Chapitre 5 : Elaboration du catalogue
Lithostabilisation
de la terre de barre avec du concassé 0/4 de Dan
Amelioration
de la terre de barre avec du concassé 0/4
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 129
SUD DU BENIN
Chapitre 5 : Elaboration du catalogue
CBR CBR < 5 5 < CBR > 10 10 < CBR > 15 15 < CBR > 30 30 < CBR > 60
Classe de plate-forme S1 S2 S3 S4 S5
Qualité Très mauvais sol Mauvais sol Qualité moyenne Bon sol Très bon sol
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 130
SUD DU BENIN
Conclusion générale
Conditions d’interfaces
Interface : Béton Bitumineux (BB) - Graveleux Latéritique au Ciment (GLC) :
collé ; Le collage entre BB-GLC est assuré par la couche d‟accrochage. Ce
collage rend les deux couches solidaires et fait apparaître des sollicitations
identiques à l‟interface.
Interface : Graveleux Latéritique au Ciment (GLC) - Graveleux Latéritique (GL):
collé ; Le collage est assuré par la présence de ciment comme liant à l‟interface.
(modélisation Alize).
Interface : Graveleux Latéritique (GL) - Plate-forme (PF): collé ; Le collage est
assuré par le mode de déformation verticale, poinçonnement vers le bas car les
forces appliquées sont verticales et dirigées vers le bas.
Interface : BB-GNT (grave concassé): collé ; Le collage entre BB-GNT est
assuré par la couche d‟accrochage. La couche d‟émulsion de bitume répandue sur
la GNT sert de protection de la couche. Le collage rend les deux couches
solidaires et fait apparaître des sollicitations identiques à l‟interface.
Interface : Grave non traité (GNT) - Silteux Ciment (SLTC): collé ; Le collage
est assuré par le mode de déformation de la GNT qui est un matériau non lié qui
se déforme verticalement par poinçonnement.
Interface : SLTC- Sable Silteux (SLT): collé ; Le collage est assuré par la
présence de ciment comme liant à l‟interface et au mode de déformation du
Silteux.
Interface : SLT-PF: collé ; Le collage est assuré par le mode de déformation
verticale, poinçonnement vers le bas car les forces appliquées sont verticales et
dirigées vers le bas.
avant utilisation de ce catalogue, faire des études de trafic les plus précises
possibles dans le but de déterminer la classe de trafic à entrer dans le
catalogue ;
avant utilisation de ce catalogue, faire des sondages sur la plate-forme dans le
but de déterminer la classe du sol d‟assise à entrer dans le catalogue ;
pour les couches supérieures à 25cm, la réalisation in situ se fera par couches
de 15 ou 20 cm soigneusement compactées ;
afin de choisir la structure optimale pour un endroit donné de la zone, faire
une étude financière qui prendrait en compte les distances de transport de
matériaux ; ainsi le choix de la structure recommandée se fera en tenant
compte de la situation des zones d‟emprunt.
toujours s‟assurer de la compatibilité des matériaux par des essais avant
d‟utiliser une variante des structures de chaussée du catalogue ; c‟est-à-dire
mener, grâce à la mise en place de laboratoires performants, des études
poussées de caractérisation des matériaux routiers utilisés au Bénin(
détermination du modules de Young et des paramètres en fatigue).
prévoir, au stade de l‟élaboration du projet, un programme d‟entretien de la
structure choisie ; ce qui permettrait d‟atteindre et certainement de dépasser
la période de design qui est de 20 ans dans le cas de la présente étude.
maîtriser l‟évolution et la configuration du trafic en procédant à des
campagnes de comptage plus fréquentes.
prendre en compte l‟effet des surcharges en l‟absence d‟un contrôle des
charges à l‟essieu.
créer des catalogues secondaires ou réaliser un catalogue pour chaque région
naturelle de manière à prendre en compte la diversité et la dispersion des
matériaux sur l‟ensemble du territoire.
poursuivre la présente étude, afin de compléter les fiches manquantes, de les
organiser sous forme d‟une base de données informatisées.
Conclusion générale
A cette étape, et au terme de cette étude nous obtenons le catalogue comportant des
fiches de matériaux et des fiches de structures. Les fiches sont élaborées en fonction
des types de matériaux disponibles, de leurs performances mécaniques et leurs
aptitudes à être utilisées en technique routière, ainsi les types de trafic, les contextes
techniques et économiques.
Nous constatons que pour les trafics T3 et T4, les structures à assise traitée aux
liants hydrauliques, les structures mixtes ainsi que certaines structures souples
conviennent mieux. L‟épaisseur du revêtement est de 7 cm.
Pour ces deux types de trafics l‟assise a une épaisseur totale variant entre 10 et 60
cm selon qu‟elle soit constituée d‟une ou de deux couches en matériaux traités aux
liants hydrauliques, selon la nature des matériaux et la classe de plateforme.
Aussi étant donné que ce travail est partiel la validation du catalogue se fera par la
réalisation de planches expérimentales ainsi que le suivi et l‟évaluation du
comportement des chaussées car ceci dépasse a notre avis le cadre d‟un projet en fin
de formation et nécessite une forte implication des responsables du réseau routier.
Références Bibliographiques
Annexes
o
Fiche de structure n 1: T1-S2
εtmax <
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 4 ε tadm = 214 µdéf ε tmax = 184,2 µdéf ok
εtadm
Structure non
55% Latérite de Kpahè + 45% εzmax > recommandée
55LKZ45CSD 92 4 600 0,35 20 ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 921,9 µdéf non (sollicitations
Structure 1 concassé 0/31,5 de Sèto εzadm
deviennent très
εzmax < importantes pour
Latérite de zakpota puits 3 LAZ3 82 4 100 0,35 35 ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 423,9 µdéf ok
εzadm les matériaux)
εzmax >
S2 PST 7,5 375 0,35 ∞ ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 597,4 µdéf non
εtadm
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 3 ε tadm = 214 µdéf ε tmax = 96,3 µdéf εtmax < εtadm ok
Latérite de Sodohomè puit 3 LSB3 133 6 650 0,35 25 ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 552,2 µdéf εzmax < εzadm ok
Structure
Structure 2
55% Latérite de Kpahè + 45% recommandée
55LKZ45CSD 92 4 600 0,35 35 ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 302,4 µdéf εzmax < εzadm ok
concassé 0/31,5 de Sèto
S2 PST 7,5 375 0,35 ∞ ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 485,1µdéf εzmax < εzadm ok
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 4 ε tadm = 214 µdéf ε tmax = 199,1 µdéf εtmax < εtadm ok
141
Annexes A
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 214 µdéf ε tmax = 61,7 µdéf εtmax < εtadm ok
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 214 µdéf ε tmax = 68,2 µdéf εtmax < εtadm ok
Latérite de Dogbo B +
LDD4C 344 17 200 0,25 20 σ tadm = 0,673 Mpa σ tmax = 0,355 Mpa σ tmax <σ tadm ok Structure
Structure 6 4% de ciment CPJ 35 recomma
Latérite de Deve ndée
LDeLa 56 2 800 0,35 35 ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 383,8 µdéf εzmax < εzadm ok
(Adeoti)
S2 PST 7,5 375 0,35 ∞ ε zadm = 562,2µdéf ε zmax = 534,2 µdéf εzmax < εzadm ok
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 214 µdéf ε tmax = 41,1 µdéf εtmax < εtadm ok
Latérite de
Yèhouénouhou +3,5% LYH3, 5C 225 11 250 0,25 25 σ tadm = 0,448 Mpa σ tmax = 0,235 Mpa σ tmax <σ tadm ok Structure
Structure 7 ciment recomma
ndée
Latérite de
LYH 52 2 600 0,35 30 ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 354,9 µdéf εzmax < εzadm ok
Yèhouénouhou
142
Annexes A
S2 PST 7,5 375 0,35 ∞ ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 546,6 µdéf εzmax < εzadm ok
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 4 ε tadm = 214 µdéf ε tmax = 176,6 µdéf εtmax < εtadm ok Structure
non
55% Latérite de Kpahè recomma
55LKZ45 εzmax >
et 45% de concassé 92 4 600 0,35 30 ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 919,4 µdéf non ndée
CSD εzadm (sollicitati
0/31,5 de Sèto
Structure 8 ons
εzmax <
Latérite de Kpankou LKK 38 1 900 0,35 40 ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 492,1 µdéf ok deviennen
εzadm t très
εzmax < important
S2 PST 7,5 375 0,35 ∞ ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 519 µdéf ok es pour le
εtadm
matériau)
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 214 µdéf ε tmax = 26,5 µdéf εtmax < εtadm ok
Silteux de Tohouè
STDS4CII
(DJEREGBE) + 4% 181 9 050 0,25 30 σ tadm = 0,291 Mpa σ tmax = 0,222 Mpa σ tmax <σ tadm ok Structure
32,5R
Structure 9 CEMII 32,5 R recomma
Silteux de Ouidah ndée
SOGO2 34 1 700 0,35 30 ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 401,2 µdéf εzmax < εzadm ok
Gendarmerie puit 2
S2 PST 7,5 375 0,35 ∞ ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 530,2 µdéf εzmax < εzadm ok
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 214 µdéf ε tmax = 21,1 µdéf εtmax < εtadm ok
Silteux de Tohouè
STDS3,5C Structure
Structure (DJEREGBE) +3,5% 179 8 950 0,25 30 σ tadm = 0,291 Mpa σ tmax = 0,210 Mpa σ tmax <σ tadm ok
I42,5N recomma
10 CEMI 42,5 N
Silteux de Ouidah ndée
SOGO1 37 1 850 0,35 30 ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 383,3 µdéf εzmax < εzadm ok
Gendarmerie puit 1
S2 PST 7,5 375 0,35 ∞ ε zadm = 562,2µdéf ε zmax = 524,1 µdéf εzmax < εzadm ok
Structure Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 214 µdéf ε tmax = 24,4 µdéf εtmax < εtadm ok Structure
143
Annexes A
144
Annexes A
o
Fiche de structure n 2: T1-S3
εtmax <
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 235,3 µdéf ε tmax = 188,4 µdéf ok
εtadm
Structure non
55% Latérite de Kpahè + recommandée
εzmax >
45% concassé 0/31,5 de 55LKZ45CSD 92 4 600 0,35 20 ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 952,1 µdéf non
εzadm (sollicitations
Structure 1 Sèto deviennent très
importantes
Latérite de zakpota puits εzmax < pour le
LAZ3 82 4 100 0,35 30 ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 402,7 µdéf ok
3 εzadm matériau)
εzmax <
S3 PST 12,5 625 0,35 ∞ ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 533,5 µdéf ok
εtadm
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 3 ε tadm = 235,3 µdéf ε tmax = 104,4 µdéf εtmax < εtadm ok
Latérite de Sodohomè
LSB3 133 6 650 0,35 15 ε zadm = 562,2 µdéf ε zadm = 546,6 µdéf εzmax < εzadm ok
puit 3
Structure
Structure 2
recommandée
55% Latérite de Kpahè +
45% concassé 0/31,5 de 55LKZ45CSD 92 4 600 0,35 35 ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 525,6 µdéf εzmax < εzadm ok
Sèto
S3 PST 12,5 625 0,35 ∞ ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 530,2 µdéf εzmax < εzadm ok
Structure non
recommandée
Structure 3 Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 235,3 µdéf ε tmax = 186,7 µdéf εtmax < εtadm ok
(sollicitations
deviennent très
145
Annexes A
importantes
pour le
55% Latérite de Kpahè et
matériau)
45% de concassé 0/31,5 55LKZ45CSD 92 4 600 0,35 20 ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 949,2 µdéf εzmax > εzadm non
de Sèto
S3 PST 12,5 625 0,35 ∞ ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 554,5 µdéf εzmax < εzadm ok
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 235,3 µdéf ε tmax = 53,3 µdéf εtmax < εtadm ok
S3 PST 12,5 625 0,35 ∞ ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 479,4 µdéf εzmax < εzadm ok
Béton Bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 235,3 µdéf ε tmax = 36,1 µdéf εtmax < εtadm ok
S3 PST 12,5 625 0,35 ∞ εzadm = 562,2 µdéf εzmax = 510,9 µdéf εzmax < εzadm ok
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 235,3 µdéf ε tmax = 64,3 µdéf εtmax < εtadm ok
Latérite de Dogbo B + 4% σ tmax < σ
LDD4C 344 17 200 0,25 20 σ tadm = 0,740 Mpa σ tmax = 0,368 Mpa ok
de ciment CPJ 35 tadm
Structure
Structure 6
Latérite de Deve (Adeoti) LDeLa 56 2 800 0,35 25 ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 382,2 µdéf εzmax < εzadm ok recommandée
S3 PST 12,5 625 0,35 ∞ ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 527,4 µdéf εzmax < εzadm ok
146
Annexes A
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 235,5 µdéf ε tmax = 34,3 µdéf εtmax < εtadm ok
Latérite de
σ tmax <σ
Yèhouénouhou +3,5% LYH3,5C 225 11 250 0,25 20 σ tadm = 0,493 Mpa σ tmax = 0,260 Mpa ok
tadm Structure
Structure 7 ciment
recommandée
Latérite de
LYH 52 2 600 0,35 30 ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 456,7 µdéf εzmax < εzadm ok
Yèhouénouhou
S3 PST 12,5 625 0,35 ∞ ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 517,5 µdéf εzmax <εzadm ok
εtmax <
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 235,3 µdéf ε tmax = 158,7 µdéf ok
εtadm
55% Latérite de Kpahè et Structure non
εzmax > recommandée
45% de concassé 0/31,5 55LKZ45CSD 92 4 600 0,35 20 ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 940,2 µdéf non
εzadm (sollicitations
de Sèto
Structure 8 deviennent très
εzmax > importantes
Latérite de Kpankou LKK 38 1 900 0,35 40 ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 740,9 µdéf non pour le
εzadm
matériau)
εzmax <
S3 PST 12,5 625 0,35 ∞ ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 513,5 µdéf ok
εtadm
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 235,3 µdéf ε tmax = 18,3 µdéf εtmax < εtadm ok
Silteux de Tohouè
σ tmax <
(DJEREGBE) + 4% CEMII STDS4CII32,5R 181 9 050 0,25 25 σ tadm = 0,320 Mpa σ tmax = 0,249 Mpa ok
σtadm Structure
Structure 9 32,5 R
recommandée
Silteux de Ouidah
SOGO2 34 1 700 0,35 25 ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 491,5 µdéf εzmax < εzadm ok
Gendarmerie puit 2
S3 PST 12,5 625 0,35 ∞ ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 537,2 µdéf εzmax < εzadm ok
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 235,5 µdéf ε tmax = 16,1 µdéf εtmax < εtadm ok
Structure
Structure 10 Silteux de Tohouè
σ tmax < σ recommandée
(DJEREGBE) +3,5% CEMI STDS3,5CI42,5N 179 8 950 0,25 25 σ tadm = 0,320 Mpa σ tmax = 0,235 Mpa ok
tadm
42,5 N
147
Annexes A
Silteux de Ouidah
SOGO1 37 1 850 0,35 25 ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 469,0 µdéf εzmax < εzadm ok
Gendarmerie puit 1
S3 PST 12,5 625 0,35 ∞ ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 533,8 µdéf εzmax < εzadm ok
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 235,3 µdéf ε tmax = 28,3 µdéf εtmax < εtadm ok
Silteux de Tohouè
σ tmax <σ
(DJEREGBE) + 4% CEMII STDS4CII32,5R 181 9 050 0,25 15 σ tadm = 0,320 Mpa σ tmax = 0,146 Mpa ok
tadm
32,5 R
sable Silteux de
DJEREGBE amélioré de Structure
Structure 11 STDS3CII32,5R 131 6 550 0,25 15 σ tadm = 0,168 Mpa σ tmax = 0,145 Mpa εzmax < εzadm ok
3% CEMII 32,5 R en 2è recommandée
couche
Sable Silteux de
STDS1 44 2 200 0,35 20 ε zadm = 562,2µdéf ε zmax = 363,9 µdéf εzmax < εzadm ok
DJEREGBE
S3 PST 12,5 625 0,35 ∞ ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 511,8 µdéf εzmax < εzadm ok
εtmax <
Béton bitumineux (BB) 13 000 0,35 5 ε tadm = 235,3 µdéf ε tmax = 42,1 µdéf ok
εtadm
61% TB Avrankou + 39%
61TBAA39CDD3 σ tmax < σ
concassé de 0/4 de Dan+ 236 11 800 0,25 25 σ tadm = 0,469 Mpa σ tmax = 0,318 Mpa ok
C tadm
3% ciment CPJ 35
Structure
Structure 12
58%TB Sissèkpa + 42% 58TBSA42C0/4 εzmax < recommandée
30 1 500 0,35 25 ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 479,3 µdéf ok
Concassé 0/4 de Dan DAD εzadm
εzmax <
S3 PST 12,5 625 0,35 ∞ ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax =507,3 µdéf ok
εtadm
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 235,3 µdéf ε tmax = 37,9 µdéf εtmax < εtadm ok
58% de TB Sissekpa+ 42%
58TBSA42CDD3 σ tmax < σ
Concassé de Dan + 3,5% 243 12 150 0,25 20 σ tadm = 0,533 Mpa σ tmax = 0,216 Mpa ok
,5C tadm Structure
Structure 13 ciment recommandée
Concassé de Sèto
CSD0/31,5 77 3 850 0,35 25 ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 344,3 µdéf εzmax < εzadm ok
0/31,5
S3 PST 12,5 625 0,35 ∞ ε zadm = 562,2 µdéf ε zmax = 523,5 µdéf εzmax < εzadm ok
148
Annexes A
o
Fiche de structure n 3: T1-S4
149
Annexes A
ε zadm = 562,6
S4 PST 22,5 1 125 0,35 ∞ ε zmax = 582,4 µdéf εzmax > εtadm non
µdéf
Béton bitumineux ε tadm = 235,3
BB 13 000 0,35 5 ε tmax = 50,8 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB) µdéf
Latérite de Dogbo
σ tadm = 0,634
+ 3% Ciment CPJ LDD3C 317 15 850 0,25 15 σ tmax = 0,413 Mpa σtmax < σtadm ok
Mpa Structure
Structure 4 35
recommandée
Latérite de Deve ε zadm = 562,6
LDeLa 56 2 800 0,35 20 ε zmax = 529,3µdéf εzmax < εzadm ok
(Adeoti) µdéf
ε zadm =
S4 PST 22,5 1 125 0,35 ∞ ε zmax = 544,8 µdéf εzmax < εzadm ok
562,6µdéf
Béton Bitumineux ε tadm = 235,3
BB 13 000 0,35 5 ε tmax = 22,9 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB) µdéf
Latérite de Avakpa
σ tadm = 0,493 σ tmax <σ
+ 3,5% de ciment LAA3,5C 222 11 100 0,25 25 σ tmax = 0,271 Mpa ok Structure
Structure 5 Mpa tadm
CPJ 35 recommandée
εzadm = 562,6
Latérite de Avakpa LAA 34 1 700 0,35 15 εzmax = 463,7 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
ε zadm = 562,6
S4 PST 22,5 1 125 0,35 ∞ ε zmax = 444,0 µdéf εzmax < εtadm ok
µdéf
Béton bitumineux ε tadm = 235,3
BB 13 000 0,35 5 ε tmax = 57,0 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB) µdéf
Latérite de Dogbo
σ tadm = 0,740 σ tmax <σ
B + 4% de ciment LDD4C 344 17 200 0,25 20 σ tmax = 0,393 Mpa ok
Mpa tadm Structure
Structure 6 CPJ 35
recommandée
Latérite de Deve ε zadm = 562,6
LDeLa 56 2 800 0,35 10 ε zmax = 379,7 µdéf εzmax < εzadm ok
(Adeoti) µdéf
ε zadm =
S4 PST 22,5 1 125 0,35 ∞ ε zmax = 536,5 µdéf εzmax < εtadm ok
562,6µdéf
Béton bitumineux ε tadm = 235,5
BB 13 000 0,35 5 ε tmax = 25,5 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB) µdéf
Structure
Structure 7
Latérite de recommandée
σ tadm = 0,493 σ tmax <σ
Yèhouénouhou LYH3,5C 225 11 250 0,25 20 σ tmax = 0,273 Mpa ok
Mpa tadm
+3,5% ciment
150
Annexes A
Silteux de Tohouè
(DJEREGBE) STDS3,5CI42 σ tadm = σ tmax <σ
179 8 950 0,25 25 σ tmax = 0,234 Mpa ok
+3,5% CEMI 42,5 ,5N 0,320Mpa tadm Structure
Structure 10 N recommandée
Silteux de Ouidah ε zadm =
SOGO1 37 1 850 0,35 10 ε zmax = 472,7 µdéf εzmax < εzadm ok
Gendarmerie puit 1 562,6µdéf
ε zadm = 562,6
S4 PST 22,5 1 125 0,35 ∞ ε zmax = 528,1 µdéf εzmax < εtadm ok
µdéf
Béton bitumineux ε tadm = 235,3 Structure
Structure 11 BB 13 000 0,35 5 ε tmax = 30,7 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB) µdéf recommandée
151
Annexes A
Silteux de Tohouè
STDS4CII32, σ tadm = 0,320 σ tmax <σ
(DJEREGBE) + 4% 181 9 050 0,25 15 σ tmax = 0,139 Mpa ok
5R Mpa tadm
CEMII 32,5 R
sable Silteux de
DJEREGBE
STDS3CII32, σ tadm = 0,168
amélioré de 3% 131 6 550 0,25 10 σ tmax = 0,165 Mpa εzmax < εzadm ok
5R Mpa
CEMII 32,5 R en 2è
couche
Sable Silteux de ε zadm =
STDS1 44 2 200 0,35 10 ε zmax = 445,6 µdéf εzmax < εzadm ok
DJEREGBE 562,6µdéf
ε zadm = 562,6
S4 PST 22,5 1 125 0,35 ∞ ε zmax = 549,0 µdéf εzmax < εtadm ok
µdéf
Béton bitumineux ε tadm = 235,3
13 000 0,35 5 ε tmax = 29,2 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB) µdéf
61% TB Avrankou
+ 39% concassé de 61TBAA39C σ tadm = 0,469 σ tmax <σ
236 11 800 0,25 25 σ tmax = 0,301 Mpa ok
0/4 de Dan+ 3% DD3C Mpa tadm Structure
Structure 12 ciment CPJ 35 recommandée
58%TB Sissèkpa +
58TBSA42C0 ε zadm = 562,6
42% Concassé 0/4 30 1 500 0,35 10 ε zmax = 486,5 µdéf εzmax < εzadm ok
/4DAD µdéf
de Dan
ε zadm = 562,2
S4 PST 22,5 1 125 0,35 ∞ ε zmax = 481,7 µdéf εzmax < εtadm ok
µdéf
Béton bitumineux ε tadm = 235,3
BB 13 000 0,35 5 ε tmax = 26,2 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB) µdéf
58% de TB
Sissekpa+ 42% 58TBSA42C σ tadm = 0,533 σ tmax < σ
243 12 150 0,25 25 σ tmax = 0,223 Mpa ok
Concassé de Dan + DD3,5C Mpa tadm Structure
Structure 13 3,5% ciment recommandée
Concassé de Sèto ε zadm = 562,6
CSD0/31,5 77 3 850 0,35 10 ε zmax = 273,9 µdéf εzmax < εzadm ok
0/31,5 µdéf
ε zadm = 562,6
S4 PST 22,5 1 125 0,35 ∞ ε zmax = 471,6 µdéf εzmax < εtadm ok
µdéf
152
Annexes A
o
Fiche de structure n 4: T1-S5
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 3 ε tadm = 235,3 µdéf ε tmax = 243,1 µdéf εtmax < εtadm ok
Structure non
55% Latérite de Kpahè + recommandée
45% concassé 0/31,5 55LKZ45CSD 92 4 600 0,35 20 ε zadm = 562,6 µdéf ε zmax = 923,4 µdéf εzmax > εzadm non
(sollicitations
Structure 1 de Sèto
deviennent très
Latérite de zakpota importantes pour
LAZ3 82 4 100 0,35 30 ε zadm = 562,6µdéf ε zmax = 481,7 µdéf εzmax < εzadm ok
puits 3
le matériau)
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm = 562,6 µdéf ε zmax = 281,8 µdéf εzmax < εtadm ok
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 3 ε tadm = 235,3 µdéf ε tmax = 143,7 µdéf εtmax < εtadm ok
Structure non
Latérite de Sodohomè ε zmax = 584,2
LSB3 133 6 650 0,35 15 ε zadm = 562,6 µdéf εzmax > εzadm non recommandée
puit 3 µdéf
(sollicitations
Structure 2
55% Latérite de Kpahè deviennent très
+ 45% concassé 0/31,5 55LKZ45CSD 92 4 600 0,35 20 ε zadm = 562,6 µdéf ε zmax = 544,5 µdéf εzmax < εzadm ok importantes pour
de Sèto le matériau)
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm = 562,6 µdéf ε zmax = 398,6 µdéf εzmax < εtadm ok
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 3 ε tadm = 235,3 µdéf ε tmax = 242,1 µdéf εtmax > εtadm non
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm = 562,6 µdéf ε zmax = 287,0 µdéf εzmax < εtadm ok
153
Annexes A
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 235,3 µdéf ε tmax = 29,5 µdéf εtmax < εtadm ok
Latérite de Dogbo + 3%
LDD3C 317 15 850 0,25 20 σ tadm =0,635 Mpa σ tmax = 0,324 Mpa σ tmax <σ tadm ok
Ciment CPJ 35 Structure
Structure 4
Latérite de Deve recommandée
LDeLa 56 2 800 0,35 0 ε zadm = 562,6 µdéf - εzmax < εzadm ok
(Adeoti)
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm = 562,6µdéf ε zmax = 463,1 µdéf εzmax < εzadm ok
Béton Bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 235,3 µdéf ε tmax = 30,2 µdéf εtmax < εtadm ok
Latérite de Avakpa +
LAA3,5C 222 11 100 0,25 20 σ tadm = 0,493 Mpa σ tmax = 0,248 Mpa σ tmax <σ tadm ok
3,5% de ciment CPJ 35 Structure
Structure 5
recommandée
Latérite de Avakpa LAA 34 1 700 0,35 0 εzadm = 562,6 µdéf - εzmax < εzadm ok
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm = 562,6 µdéf ε zmax = 518,5 µdéf εzmax < εtadm ok
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 235,3 µdéf ε tmax = 33,2 µdéf εtmax < εtadm ok
Latérite de Dogbo B +
LDD4C 344 17 200 0,25 20 σ tadm = 0,740 Mpa σ tmax = 0,342 Mpa σ tmax <σ tadm ok
4% de ciment CPJ 35 Structure
Structure 6
recommandée
Latérite de Deve
LDeLa 56 2 800 0,35 0 ε zadm = 562,6 µdéf - εzmax < εzadm ok
(Adeoti)
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm = 562,2µdéf ε zmax = 450,4 µdéf εzmax < εtadm ok
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 235,5 µdéf ε tmax = 28,3 µdéf εtmax < εtadm ok
Latérite de
Yèhouénouhou +3,5% LYH3,5C 225 11 250 0,25 20 σ tadm = 0,493 Mpa σ tmax = 0,251 Mpa σ tmax <σ tadm ok Structure
Structure 7 ciment recommandée
Latérite de
LYH 52 2 600 0,35 0 ε zadm = 562,6µdéf - εzmax < εzadm ok
Yèhouénouhou
154
Annexes A
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm = 562,6µdéf ε zmax = 516,4 µdéf εzmax < εtadm ok
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 3 ε tadm = 235,5 µdéf ε tmax = 218,0 µdéf εtmax < εtadm ok
Structure non
55% Latérite de Kpahè
recommandée
et 45% de concassé 55LKZ45CSD 92 4 600 0,35 20 ε zadm = 562,6 µdéf ε zmax = 893,9 µdéf εzmax > εzadm non
(sollicitations
Structure 8 0/31,5 de Sèto
deviennent très
Latérite de Kpankou LKK 38 1 900 0,35 30 ε zadm = 562,6 µdéf ε zmax = 870,6 µdéf εzmax > εzadm non importantes pour
le matériau)
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm = 562,6 µdéf ε zmax = 300,6 µdéf εzmax < εtadm ok
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 235,3 µdéf ε tmax = 61,0 µdéf εtmax < εtadm ok
Silteux de Tohouè
(DJEREGBE) + 4% CEMII STDS4CII32,5R 181 9 050 0,25 20 σ tadm = 0,320 Mpa σ tmax = 0,209 Mpa σ tmax <σ tadm ok
32,5 R Structure
Structure 9
recommandée
Silteux de Ouidah
SOGO2 34 1 700 0,35 0 ε zadm = 562,6µdéf - εzmax < εzadm ok
Gendarmerie puit 2
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm = 562,6µdéf ε zmax = 550,0 µdéf εzmax < εtadm ok
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 235,3 µdéf ε tmax = 62,8 µdéf εtmax < εtadm ok
Silteux de Tohouè
(DJEREGBE) +3,5% STDS3,5CI42,5N 179 8 950 0,25 20 σ tadm = 0,320 Mpa σ tmax = 0,207 Mpa σ tmax <σ tadm ok
CEMI 42,5 N Structure
Structure 10
recommandée
Silteux de Ouidah
SOGO1 37 1 850 0,35 0 ε zadm = 562,6µdéf - εzmax < εzadm ok
Gendarmerie puit 1
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm = 562,6 µdéf ε zmax = 551,7 µdéf εzmax < εtadm ok
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 235,3 µdéf ε tmax = 61 µdéf εtmax < εtadm ok
Silteux de Tohouè Structure
Structure 11
(DJEREGBE) + 4% CEMII STDS4CII32,5R 181 9 050 0,25 20 σ tadm = 0,320 Mpa σ tmax = 0,209 Mpa σ tmax <σ tadm ok recommandée
32,5 R
155
Annexes A
sable Silteux de
DJEREGBE amélioré de
STDS3CII32,5R 131 6 550 0,35 0 σ tadm = 0,168 Mpa - εzmax < εzadm ok
3% CEMII 32,5 R en 2è
couche
Sable Silteux de
STDS1 44 2 200 0,35 0 ε zadm = 562,6µdéf - εzmax < εzadm ok
DJEREGBE
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm = 562,6 µdéf ε zmax = 550,0 µdéf εzmax < εtadm ok
Béton bitumineux (BB) 13 000 0,35 5 ε tadm = 235,3 µdéf ε tmax = 22,0 µdéf εtmax < εtadm ok
61% TB Avrankou +
39% concassé de 0/4 de 61TBAA39CDD3C 236 11 800 0,25 20 σ tadm = 0,469 Mpa σ tmax = 0,260 Mpa σ tmax <σ tadm ok Structure
Structure 12 Dan+ 3% ciment CPJ 35
recommandée
58%TB Sissèkpa + 42% 58TBSA42C0/4DA
30 1 500 0,35 0 ε zadm = 562,6 µdéf - εzmax < εzadm ok
Concassé 0/4 de Dan D
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm = 562,6 µdéf ε zmax = 509,0 µdéf εzmax < εtadm ok
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 235,3 µdéf ε tmax = 18,2 µdéf εtmax < εtadm ok
58% de TB Sissekpa+
58TBSA42CDD3,5
42% Concassé de Dan + 243 12 150 0,25 20 σ tadm = 0,533 Mpa σ tmax = 0,266 Mpa σ tmax < σ tadm ok
C Structure
Structure 13 3,5% ciment
recommandée
Concassé de Sèto
CSD0/31,5 77 3 850 0,35 0 ε zadm = 562,6 µdéf - εzmax < εzadm ok
0/31,5
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm = 562,6 µdéf ε zmax = 504,4 µdéf εzmax < εtadm ok
156
Annexes A
o
Fiche de structure n 1: T2-S2
ε tmax = 186,2
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 168,2 µdéf εtmax > εtadm non
µdéf
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 168,2 µdéf ε tmax = 98,7 µdéf εtmax < εtadm ok
Structure non
Latérite de Sodohomè ε zmax = 622,4
LSB3 133 6 650 0,35 20 ε zadm = 430,7 µdéf εzmax > εzadm non recommandée
puit 3 µdéf
(sollicitations
Structure 2 55% Latérite de Kpahè +
ε zmax = 346,6 deviennent très
45% concassé 0/31,5 de 55LKZ45CSD 92 4 600 0,35 35 ε zadm = 430,7 µdéf εzmax < εzadm ok importantes pour le
µdéf
Sèto matériau)
ε zmax =
S2 PST 7,5 375 0,35 ∞ ε zadm = 430,7 µdéf εzmax > εzadm non
520,3µdéf
157
Annexes A
S2 PST 7,5 375 0,35 ∞ ε zadm = 430,7 µdéf ε zmax = 414 µdéf εzmax < εzadm ok
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 168,2µdéf ε tmax = 50,2 µdéf εtmax < εtadm ok
158
Annexes A
ε zmax = 403,0
S2 PST 7,5 375 0,35 ∞ ε zadm = 430,7 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
ε tmax = 172,3
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 168,2µdéf εtmax > εtadm non
µdéf
55% Latérite de Kpahè et Structure non
ε zmax = 939,6 εzmax > recommandée
45% de concassé 0/31,5 55LKZ45CSD 92 4 600 0,35 30 ε zadm = 430,7 µdéf non
µdéf εzadm (sollicitations
Structure 8 de Sèto
deviennent très
ε zmax = 476,3 importantes pour le
Latérite de Kpankou LKK 38 1 900 0,35 40 ε zadm = 430,7 µdéf εzmax > εzadm non
µdéf matériau)
ε zmax = 500,8
S2 PST 7,5 375 0,35 ∞ ε zadm = 430,7 µdéf εzmax > εtadm non
µdéf
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 168,2µdéf ε tmax = 21,8 µdéf εtmax < εtadm ok
Silteux de Tohouè
σ tmax = 0,202
(DJEREGBE) + 4% CEMII STDS4CII32,5R 181 9 050 0,25 30 σ tadm = 0,258 Mpa σ tmax <σ tadm ok
Mpa Structure
Structure 9 32,5 R
recommandée
Silteux de Ouidah ε zmax = 408,9
SOGO2 34 1 700 0,35 45 ε zadm = 430,7 µdéf εzmax < εzadm ok
Gendarmerie puit 2 µdéf
ε zmax =
S2 PST 7,5 375 0,35 ∞ ε zadm = 430,7 µdéf εzmax < εzadm ok
405,4µdéf
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 168,2µdéf ε tmax = 26,8 µdéf εtmax < εtadm ok
Silteux de Tohouè
σ tmax = 0,189
(DJEREGBE) +3,5% CEMI STDS3,5CI42,5N 179 8 950 0,25 30 σ tadm = 0,258 Mpa σ tmax <σ tadm ok
Structure Mpa Structure
42,5 N
10 recommandée
Silteux de Ouidah ε zmax = 390,0
SOGO1 37 1 850 0,35 45 ε zadm = 430,7 µdéf εzmax < εzadm ok
Gendarmerie puit 1 µdéf
ε zmax = 398,5
S2 PST 7,5 375 0,35 ∞ ε zadm = 430,7 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
Structure Structure
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 168,2µdéf ε tmax = 33,5 µdéf εtmax < εtadm ok
11 recommandée
159
Annexes A
Silteux de Tohouè
σ tmax = 0,133
(DJEREGBE) + 4% CEMII STDS4CII32,5R 181 9 050 0,25 20 σ tadm = 0,258 Mpa σ tmax <σ tadm ok
Mpa
32,5 R
sable Silteux de DJEREGBE
σ tmax = 0,109
amélioré de 3% CEMII STDS3CII32,5R 131 6 550 0,25 20 σ tadm = 0,135 Mpa εzmax < εzadm ok
Mpa
32,5 R en 2è couche
ε zmax = 233,2
Sable Silteux de DJEREGBE STDS1 44 2 200 0,35 25 ε zadm = 430,7 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
ε zmax = 417,1
S2 PST 7,5 375 0,35 ∞ ε zadm = 430,7 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
Béton bitumineux (BB) 13 000 0,35 5 ε tadm = 168,2µdéf ε tmax = 40,7 µdéf εtmax < εtadm ok
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 168,2µdéf ε tmax = 33,6 µdéf εtmax < εtadm ok
160
Annexes A
161
Annexes A
o
Fiche de structure n 6: T2-S3
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 185,0 µdéf ε tmax = 206,5 µdéf εtmax > εtadm non
Structure non
55% Latérite de Kpahè et 45%
55LKZ45CSD 92 4 600 0,35 30 ε zadm = 430,7 µdéf ε zmax = 964,4 µdéf εzmax > εzadm non recommandée
de concassé 0/31,5 de Sèto
(sollicitations
Structure 3 65% de Latérite de Kpahe deviennent très
+35% de concassé 0/31,5 de 65LKZ35CSD 72 3 600 0,35 35 ε zadm = 430,7 µdéf ε zmax = 290,7µdéf εzmax < εzadm ok importantes pour le
Sèto matériau)
S3 PST 12,5 625 0,35 ∞ ε zadm = 430,7 µdéf ε zmax = 375,6 µdéf εzmax < εzadm ok
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 185,0 µdéf ε tmax = 50,2 µdéf εtmax < εtadm ok
Latérite de Dogbo + 3% Structure
Structure 4 LDD3C 317 15 850 0,25 20 σ tadm =0,576 Mpa σ tmax = 0,253 Mpa σ tmax <σ tadm ok
Ciment CPJ 35 recommandée
Latérite de Deve (Adeoti) LDeLa 56 2 800 0,35 35 ε zadm = 430,7µdéf ε zmax = 395,0 µdéf εzmax < εzadm ok
S3 PST 12,5 625 0,35 ∞ ε zadm = 430,7 µdéf ε zmax = 430,1 µdéf εzmax < εzadm ok
Structure 5 Béton Bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 185,0 µdéf ε tmax = 27,6 µdéf εtmax < εtadm ok Structure
162
Annexes A
163
Annexes A
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 185,0 µdéf ε tmax = 45,5 µdéf εtmax < εtadm ok
S3 PST 12,5 625 0,35 ∞ ε zadm = 430,7µdéf ε zmax = 389,5 µdéf εzmax < εzadm ok
164
Annexes A
o
Fiche de structure n 7: T2-S4
ε tadm = 185,0
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tmax = 218,8 µdéf εtmax > εtadm non
µdéf
Structure non
55% Latérite de Kpahè + recommandée
ε zadm = 430,7
45% concassé 0/31,5 de 55LKZ45CSD 92 4 600 0,35 20 ε zmax = 974,8 µdéf εzmax > εzadm non (sollicitations
Structure µdéf
Sèto deviennent très
1
importantes
ε zadm = 430,7 pour le
Latérite de zakpota puits 3 LAZ3 82 4 100 0,35 35 ε zmax = 413,3 µdéf εzmax < εzadm ok matériau)
µdéf
ε zadm = 430,7
S4 PST 22,5 1 125 0,35 ∞ ε zmax = 351,4 µdéf εzmax < εtadm ok
µdéf
ε tadm = 185,0
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tmax = 136,7 µdéf εtmax < εtadm ok
µdéf
Structure non
Latérite de Sodohomè ε zadm = 430,7 recommandée
LSB3 133 6 650 0,35 20 ε zadm = 653,0 µdéf εzmax > εzadm non
puit 3 µdéf (sollicitations
Structure
deviennent très
2 55% Latérite de Kpahè
ε zadm = 430,7 importantes
+ 45% concassé 0/31,5 55LKZ45CSD 92 4 600 0,35 35 ε zmax = 356,9 µdéf εzmax < εzadm ok pour le
µdéf
de Sèto matériau)
ε zadm = 430,7
S4 PST 22,5 1 125 0,35 ∞ ε zmax = 322,6 µdéf εzmax < εtadm ok
µdéf
Structure non
recommandée
Structure εtadm = 185,0 (sollicitations
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tmax = 212,5 µdéf εtmax > εtadm non
3 µdéf deviennent très
importantes
pour le
165
Annexes A
matériau)
ε zadm = 430,7
S4 PST 22,5 1 125 0,35 ∞ ε zmax = 411,9 µdéf εzmax < εtadm ok
µdéf
εtadm = 185,0
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tmax = 39,5 µdéf εtmax < εtadm ok
µdéf
166
Annexes A
ε zadm = 430,7
S4 PST 22,5 1 125 0,35 ∞ ε zmax = 429,9 µdéf εzmax < εtadm ok
µdéf
εtadm = 185,0
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tmax = 18,6 µdéf εtmax < εtadm ok
µdéf
Latérite de
σ tadm = 0,442
Yèhouénouhou +3,5% LYH3,5C 225 11 250 0,25 25 σ tmax = 0,217 Mpa σ tmax <σ tadm ok
Structure Mpa Structure
ciment
7 recommandée
Latérite de ε zadm = 430,7
LYH 52 2 600 0,35 20 ε zmax = 357,3 µdéf εzmax < εzadm ok
Yèhouénouhou µdéf
ε zadm = 430,7
S4 PST 22,5 1 125 0,35 ∞ ε zmax = 392,7 µdéf εzmax < εtadm ok
µdéf
εtadm = 185,0
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tmax = 119,4 µdéf εtmax < εtadm ok
µdéf
167
Annexes A
ε tadm = 185,0
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 5 ε tmax = 22,4 µdéf εtmax < εtadm ok
µdéf
58% de TB Sissekpa+
σ tadm = 0,482
Structure 42% Concassé de Dan + 58TBSA42CDD3,5C 243 12 150 0,25 20 σ tmax = 0,198 Mpa σ tmax < σ tadm ok Structure
Mpa
13 3,5% ciment recommandée
ε zadm = 430,7
Concassé de Sèto 0/31,5 CSD0/31,5 77 3 850 0,35 25 ε zmax = 346,3 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
ε zadm = 430,7
S4 PST 22,5 1 125 0,35 ∞ ε zmax = 390,5 µdéf εzmax < εtadm ok
µdéf
168
Annexes A
o
Fiche de structure n 8: T2-S5
169
Annexes A
170
Annexes A
171
Annexes A
2è couche
Sable Silteux de
STDS1 44 2 200 0,35 0 ε zadm = 430,7 µdéf - εzmax < εzadm ok
DJEREGBE
ε zmax = 359,2 εzmax <
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm = 430,7 µdéf ok
µdéf εtadm
Béton bitumineux ε tmax = 27,0
13 000 0,35 5 ε tadm = 185,0 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB) µdéf
61% TB
Avrankou + 39%
σ tmax = 0,211
concassé de 0/4 de 61TBAA39CDD3C 236 11 800 0,25 20 σ tadm = 0,420 Mpa σ tmax <σ tadm ok
Mpa
Dan+ 3% ciment
Structure Structure
CPJ 35
12 recommandée
58%TB Sissèkpa
+ 42% Concassé 58TBSA42C0/4DAD 30 1 500 0,35 0 ε zadm = 430,7 µdéf - εzmax < εzadm ok
0/4 de Dan
ε zmax = 397,9 εzmax <
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm = 430,7 µdéf ok
µdéf εtadm
Béton bitumineux ε tmax = 23,4
BB 13 000 0,35 5 ε tadm = 185,0 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB) µdéf
58% de TB
Sissekpa+ 42% σ tmax = 0,216
58TBSA42CDD3,5C 243 12 150 0,25 25 σ tadm = 0,482 Mpa σ tmax < σ tadm ok
Structure Concassé de Dan Mpa Structure
13 + 3,5% ciment recommandée
Concassé de Sèto
CSD0/31,5 77 3 850 0,35 0 ε zadm = 430,7 µdéf - εzmax < εzadm ok
0/31,5
ε zmax = 394,1 εzmax <
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm = 430,7 µdéf ok
µdéf εtadm
172
Annexes A
o
Fiche de structure n 9: T3-S2
Béton bitumineux
BB 13 000 0,35 x ε tadm = 123,7 µdéf
(BB)
55% Latérite de
Kpahè + 45%
55LKZ45CSD 92 4 600 0,35 x ε zadm = 337,5 µdéf Structure non
Structure 1 concassé 0/31,5 adaptée a ce type
de Sèto de trafic
Latérite de
LAZ3 82 4 100 0,35 x ε zadm = 337,5 µdéf
zakpota puits 3
Latérite de
LSB3 133 6 650 0,35 x ε zadm = 337,5 µdéf
Sodohomè puit 3
Structure non
Structure 2 55% Latérite de adaptée a ce type
Kpahè + 45% de trafic
55LKZ45CSD 92 4 600 0,35 x ε zadm = 337,5 µdéf
concassé 0/31,5
de Sèto
173
Annexes A
65% de Latérite
de Kpahe +35%
65LKZ35CSD 72 3 600 0,35 x ε zadm = 337,5 µdéf
de concassé
0/31,5 de Sèto
Béton bitumineux
BB 13 000 0,35 7 ε tadm = 123,7 µdéf ε tmax = 31,0 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB)
Latérite de Dogbo
σ tmax = 0,239 σ tmax <σ
+ 3% Ciment CPJ LDD3C 317 15 850 0,25 25 σ tadm =0,480 Mpa ok
Mpa tadm Structure
Structure 4 35
recommandée
Latérite de Deve ε zmax =
LDeLa 56 2 800 0,35 50 ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
(Adeoti) 281,2µdéf
ε zmax = 318,7
S2 PST 7,5 375 0,35 ∞ ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
Béton
BB 13 000 0,35 7 ε tadm = 123,7 µdéf ε tmax = 15,5 µdéf εtmax < εtadm ok
Bitumineux (BB)
Latérite de
σ tmax = 0,188 σ tmax <σ
Avakpa + 3,5% LAA3,5C 222 11 100 0,25 35 σ tadm = 0,364 Mpa ok Structure
Structure 5 Mpa tadm
de ciment CPJ 35 recommandée
Latérite de εzmax = 298,9
LAA 34 1 700 0,35 45 ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
Avakpa µdéf
εzmax = 314,5
S2 PST 7,5 375 0,35 ∞ ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
Béton bitumineux
BB 13 000 0,35 7 ε tadm = 123,7 µdéf ε tmax = 36,6 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB)
Latérite de Dogbo
σ tmax = 0,255 σ tmax <σ Structure
Structure 6 B + 4% de ciment LDD4C 344 17 200 0,25 25 σ tadm = 0,560 Mpa ok
Mpa tadm recommandée
CPJ 35
174
Annexes A
ε zmax = 314,6
S2 PST 7,5 375 0,35 ∞ ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
Béton bitumineux
BB 13 000 0,35 7 ε tadm = 123,7 µdéf ε tmax = 16 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB)
Latérite de
σ tmax = 0,170 σ tmax <σ
Yèhouénouhou LYH3,5C 225 11 250 0,25 30 σ tadm = 0,364 Mpa ok
Mpa tadm
+3,5% ciment Structure
Structure 7
recommandée
Latérite de ε zmax = 274,5
LYH 52 2 600 0,35 45 ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
Yèhouénouhou µdéf
ε zmax = 326,6
S2 PST 7,5 375 0,35 ∞ ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
Béton bitumineux
BB 13 000 0,35 x ε tadm = 123,7 µdéf
(BB)
55% Latérite de
Kpahè et 45% de
55LKZ45CSD 92 4 600 0,35 x ε zadm = 337,5 µdéf Structure non
concassé 0/31,5
Structure 8 adaptée a ce type
de Sèto
de trafic
Latérite de
LKK 38 1 900 0,35 x ε zadm = 337,5 µdéf
Kpankou
Béton bitumineux
BB 13 000 0,35 7 ε tadm = 123,7 µdéf ε tmax = 37,6 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB)
Silteux de
Tohouè
σ tmax = 0,159 σ tmax <σ
(DJEREGBE) + STDS4CII32,5R 181 9 050 0,25 35 σ tadm = 0,231 Mpa ok Structure
Structure 9 Mpa tadm
4% CEMII 32,5 recommandée
R
Silteux de Ouidah
ε zmax = 324,6
Gendarmerie puit SOGO2 34 1 700 0,35 50 ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
2
175
Annexes A
ε zmax = 305,8
S2 PST 7,5 375 0,35 ∞ ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
Béton bitumineux
BB 13 000 0,35 7 ε tadm = 123,7 µdéf ε tmax = 38,5 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB)
Silteux de
Tohouè
σ tmax = 0,154 σ tmax <σ
(DJEREGBE) STDS3,5CI42,5N 179 8 950 0,25 35 σ tadm = 0,231Mpa ok
Mpa tadm
+3,5% CEMI Structure
Structure 10 42,5 N recommandée
Silteux de Ouidah
ε zmax = 309,2
Gendarmerie puit SOGO1 37 1 850 0,35 45 ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
1
ε zmax = 325,4
S2 PST 7,5 375 0,35 ∞ ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
Béton bitumineux
BB 13 000 0,35 7 ε tadm = 123,7 µdéf ε tmax = 40,6 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB)
Silteux de
Tohouè
σ tmax = 0,088 σ tmax <σ
(DJEREGBE) + STDS4CII32,5R 181 9 050 0,25 20 σ tadm = 0,231 Mpa ok
Mpa tadm
4% CEMII 32,5
R
sable Silteux de
DJEREGBE Structure
Structure 11 σ tmax = 0,092
amélioré de 3% STDS3CII32,5R 131 6 550 0,25 20 σ tadm = 0,121 Mpa εzmax < εzadm ok recommandée
Mpa
CEMII 32,5 R en
2è couche
ε zmax = 310,4
S2 PST 7,5 375 0,35 ∞ ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
176
Annexes A
61% TB
Avrankou + 39%
σ tmax = 0,208 σ tmax <σ
concassé de 0/4 61TBAA39CDD3C 236 11 800 0,25 35 σ tadm = 0,346 Mpa ok
Mpa tadm
de Dan+ 3%
ciment CPJ 35
58%TB Sissèkpa
ε zmax = 310,9 εzmax <
+ 42% Concassé 58TBSA42C0/4DAD 30 1 500 0,35 45 ε zadm = 337,5 µdéf ok
µdéf εzadm
0/4 de Dan
58% de TB
Sissekpa+ 42% σ tmax = σ tmax < σ
58TBSA42CDD3,5C 243 12 150 0,25 30 σ tadm = 0,400 Mpa ok
Concassé de Dan 0,138Mpa tadm
+ 3,5% ciment Structure
Structure 13
recommandée
ε zmax = 313,4
S2 PST 7,5 375 0,35 ∞ ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
177
Annexes A
o
Fiche de structure n 10: T3-S3
178
Annexes A
179
Annexes A
180
Annexes A
181
Annexes A
o
Fiche de structure n 11: T3-S4
Latérite de Sodohomè puit 3 LSB3 133 6 650 0,35 x ε zadm = 337,5 µdéf Structure non
Structure 2 adaptée a ce
55% Latérite de Kpahè + 45% type de trafic
55LKZ45CSD 92 4 600 0,35 x ε zadm = 337,5 µdéf
concassé 0/31,5 de Sèto
S4 PST 22,5 1 125 0,35 x ε zadm = 337,5 µdéf
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 x ε tadm = 148,5 µdéf
55% Latérite de Kpahè et 45%
55LKZ45CSD 92 4 600 0,35 x ε zadm = 337,5 µdéf Structure non
de concassé 0/31,5 de Sèto
Structure 3 adaptée a ce
65% de Latérite de Kpahe +35% type de trafic
65LKZ35CSD 72 3 600 0,35 x ε zadm = 337,5 µdéf
de concassé 0/31,5 de Sèto
S4 PST 22,5 1 125 0,35 x ε zadm = 337,5 µdéf
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 7 ε tadm = 148,5 µdéf ε tmax = 6,5 µdéf εtmax < εtadm ok
Latérite de Dogbo + 3% Ciment σ tmax =
LDD3C 317 15 850 0,25 30 σ tadm =0,528 Mpa σ tmax <σ tadm ok
CPJ 35 0,227Mpa Structure
Structure 4 ε zmax = 230,7
Latérite de Deve (Adeoti) LDeLa 56 2 800 0,35 15 ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok recommandée
µdéf
ε zmax = 307,8
S4 PST 22,5 1 125 0,35 ∞ ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
ε tmax = 26,7 Structure
Structure 5 Béton Bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 7 ε tadm = 148,5 µdéf εtmax < εtadm ok
µdéf recommandée
182
Annexes A
183
Annexes A
ε tmax = 50,3
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 7 ε tadm = 148,5 µdéf εtmax < εtadm ok
µdéf
Silteux de Tohouè (DJEREGBE) σ tmax = 0,151
STDS3,5CI42,5N 179 8 950 0,25 35 σ tadm = 0,254Mpa σ tmax <σ tadm ok
+3,5% CEMI 42,5 N Mpa Structure
Structure 10
Silteux de Ouidah Gendarmerie ε zmax = 318,2 recommandée
SOGO1 37 1 850 0,35 15 ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
puit 1 µdéf
ε zmax = 314,0
S4 PST 22,5 1 125 0,35 ∞ ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
ε tmax = 49,9
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 7 ε tadm = 148,5 µdéf εtmax < εtadm ok
µdéf
Silteux de Tohouè (DJEREGBE) + σ tmax = 0,078
STDS4CII32,5R 181 9 050 0,25 15 σ tadm = 0,254 Mpa σ tmax <σ tadm ok
4% CEMII 32,5 R Mpa
sable Silteux de DJEREGBE Structure
Structure 11 σ tmax = 0,106
amélioré de 3% CEMII 32,5 R STDS3CII32,5R 131 6 550 0,25 20 σ tadm = 0,133 Mpa εzmax < εzadm ok recommandée
Mpa
en 2è couche
ε zmax = 297,1
Sable Silteux de DJEREGBE STDS1 44 2 200 0,35 15 ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
ε zmax = 332,0
S4 PST 22,5 1 125 0,35 ∞ ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
ε tmax = 20,8
Béton bitumineux (BB) 13 000 0,35 7 ε tadm = 148,5 µdéf εtmax < εtadm ok
µdéf
61% TB Avrankou + 39%
σ tmax = 0,197
concassé de 0/4 de Dan+ 3% 61TBAA39CDD3C 236 11 800 0,25 35 σ tadm = 0,380 Mpa σ tmax <σ tadm ok
Mpa Structure
Structure 12 ciment CPJ 35
recommandée
58%TB Sissèkpa + 42% ε zmax = 314,6
58TBSA42C0/4DAD 30 1 500 0,35 10 ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
Concassé 0/4 de Dan µdéf
ε zmax = 311,9
S4 PST 22,5 1 125 0,35 ∞ ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εtadm ok
µdéf
ε tmax = 19,9
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 7 ε tadm = 148,5 µdéf εtmax < εtadm ok
µdéf
58% de TB Sissekpa+ 42% σ tmax = 0,176
58TBSA42CDD3,5C 243 12 150 0,25 20 σ tadm = 0,440 Mpa σ tmax < σ tadm ok
Concassé de Dan + 3,5% ciment Mpa Structure
Structure 13
ε zmax = 312,7 recommandée
Concassé de Sèto 0/31,5 CSD0/31,5 77 3 850 0,35 30 ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
ε zmax = 321,8
S4 PST 22,5 1 125 0,35 ∞ ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
184
Annexes A
o
Fiche de structure n 12: T3-S5
Béton bitumineux
BB 13 000 0,35 x ε tadm =148,5 µdéf
(BB)
185
Annexes A
65% de Latérite de
Kpahe +35% de
65LKZ35CSD 72 3 600 0,35 x ε zadm = 337,5 µdéf
concassé 0/31,5 de
Sèto
S5 PST 45 2 250 0,35 x ε zadm = 337,5 µdéf
Béton bitumineux ε tmax = 7,2
BB 13 000 0,35 7 ε tadm =148,5 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB) µdéf
Latérite de Dogbo + σ tmax = 0,244
LDD3C 317 15 850 0,25 25 σ tadm =0,528 Mpa σ tmax <σ tadm ok
3% Ciment CPJ 35 Mpa Structure
Structure 4
Latérite de Deve recommandée
LDeLa 56 2 800 ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
(Adeoti)
ε zmax = 330,6
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
Béton Bitumineux ε tmax = 41,9
BB 13 000 0,35 7 ε tadm =148,5 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB) µdéf
Latérite de Avakpa +
σ tmax = 0,159
3,5% de ciment CPJ LAA3,5C 222 11 100 0,25 25 σ tadm = 0,400Mpa σ tmax <σ tadm ok
Mpa Structure
Structure 5 35
recommandée
Latérite de Avakpa LAA 34 1 700 0,35 ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
186
Annexes A
Latérite de
LYH 52 2 600 ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
Yèhouénouhou
ε zmax = 313,1
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
Béton bitumineux
BB 13 000 0,35 ε tadm =148,5 µdéf
(BB)
55% Latérite de Kpahè
et 45% de concassé 55LKZ45CSD 92 4 600 0,35 ε zadm = 337,5 µdéf Structure non
Structure 8 0/31,5 de Sèto adaptée a ce
type de trafic
Latérite de Kpankou LKK 38 1 900 0,35 ε zadm = 337,5 µdéf
ε zmax =
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
335,7µdéf
Béton bitumineux ε tmax = 65,5
BB 13 000 0,35 7 ε tadm =148,5 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB) µdéf
Silteux de Tohouè
σ tmax = 0,134
(DJEREGBE) +3,5% STDS3,5CI42,5N 179 8 950 0,25 30 σ tadm = 0,254 Mpa σ tmax <σ tadm ok
Mpa Structure
Structure 10 CEMI 42,5 N
Silteux de Ouidah recommandée
SOGO1 37 1 850 0,35 ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
Gendarmerie puit 1
ε zmax = 336,2
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
Béton bitumineux ε tmax = 64,2 Structure
Structure 11 BB 13 000 0,35 7 ε tadm =148,5 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB) µdéf recommandée
187
Annexes A
Silteux de Tohouè
σ tmax = 0,135
(DJEREGBE) + 4% STDS4CII32,5R 181 9 050 0,25 30 σ tadm = 0,254 Mpa σ tmax <σ tadm ok
Mpa
CEMII 32,5 R
sable Silteux de
DJEREGBE amélioré
STDS3CII32,5R 131 6 550 0,35 σ tadm = 0,133 Mpa σzmax < σzadm ok
de 3% CEMII 32,5 R
en 2è couche
Sable Silteux de
STDS1 44 2 200 0,35 ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
DJEREGBE
ε zmax = 335,1
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
Béton bitumineux ε tmax = 35,9 εtmax <
13 000 0,35 7 ε tadm =148,5 µdéf ok
(BB) µdéf εtadm
61% TB Avrankou +
39% concassé de 0/4 σ tmax = 0,166
61TBAA39CDD3C 236 11 800 0,25 30 σ tadm = 0,380 Mpa σ tmax <σ tadm ok Structure
Structure 12 de Dan+ 3% ciment Mpa
CPJ 35 recommandée
58%TB Sissèkpa + 42%
58TBSA42C0/4DAD 30 1 500 0,35 ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
Concassé 0/4 de Dan
ε zmax = 308,3
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
Béton bitumineux ε tmax = 33,1
BB 13 000 0,35 7 ε tadm =148,5 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB) µdéf
58% de TB Sissekpa+
σ tmax = 0,170 σ tmax < σ
42% Concassé de Dan 58TBSA42CDD3,5C 243 12 150 0,25 30 σ tadm = 0,440 Mpa ok
Mpa tadm
+ 3,5% ciment Structure
Structure 13
Concassé de Sèto recommandée
CSD0/31,5 77 3 850 0,35 ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
0/31,5
ε zmax = 305,3
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm = 337,5 µdéf εzmax < εzadm ok
µdéf
188
Annexes A
o
Fiche de structure n 13: T4-S2
189
Annexes A
190
Annexes A
55% Latérite de
Kpahè et 45% de ε zadm = 289,3
55LKZ45CSD 92 4 600 0,35 Structure non
concassé 0/31,5 de µdéf
Structure 8 Sèto adaptée a ce type de
trafic
ε zadm = 289,3
Latérite de Kpankou LKK 38 1 900 0,35
µdéf
ε zadm = 289,3
S2 PST 7,5 375 0,35
µdéf
Béton bitumineux ε tadm = ε tmax = 43,7
BB 13 000 0,35 7 εtmax < εtadm ok
(BB) 117,5µdéf µdéf
Silteux de Tohouè
σ tadm = 0,216 σ tmax = 0,138 σ tmax <σ
(DJEREGBE) + 4% STDS4CII32,5R 181 9 050 0,25 40 ok
Mpa Mpa tadm
CEMII 32,5 R Structure
Structure 9
recommandée
191
Annexes A
Silteux de Tohouè
σ tadm = 0,216 σ tmax = 0,130 σ tmax <σ
(DJEREGBE) +3,5% STDS3,5CI42,5N 179 8 950 0,25 40 ok
Mpa Mpa tadm
CEMI 42,5 N
Silteux de Tohouè
σ tadm = 0,216 σ tmax = 0,086 σ tmax <σ
(DJEREGBE) + 4% STDS4CII32,5R 181 9 050 0,25 20 ok
Mpa Mpa tadm
CEMII 32,5 R
61% TB Avrankou +
39% concassé de 0/4 σ tadm = 0,324 σ tmax = 0,179 σ tmax <σ
61TBAA39CDD3C 236 11 800 0,25 40 ok Structure
Structure 12 de Dan+ 3% ciment Mpa Mpa tadm
recommandée
CPJ 35
58%TB Sissèkpa +
ε zadm = 289,3 ε zmax = εzmax <
42% Concassé 0/4 de 58TBSA42C0/4DAD 30 1 500 0,35 45 ok
µdéf 264,1 µdéf εzadm
Dan
192
Annexes A
58% de TB Sissekpa+
σ tadm = 0,378 σ tmax = σ tmax < σ
42% Concassé de Dan 58TBSA42CDD3,5C 243 12 150 0,25 35 ok Structure
Structure 13 Mpa 0,122Mpa tadm
+ 3,5% ciment recommandée
Concassé de Sèto ε zadm = 289,3 ε zmax =
CSD0/31,5 77 3 850 0,35 40 εzmax < εzadm ok
0/31,5 µdéf 178,7µdéf
ε zadm = 289,3 ε zmax =
S2 PST 7,5 375 0,35 ∞ εzmax < εzadm ok
µdéf 274,1 µdéf
193
Annexes A
Latérite de Sodohomè
LSB3 133 6 650 0,35 ε zadm =289,3 µdéf
puit 3 Structure non
Structure 2 adaptée a ce type
55% Latérite de Kpahè + de trafic
45% concassé 0/31,5 de 55LKZ45CSD 92 4 600 0,35 ε zadm =289,3 µdéf
Sèto
ε tmax = 2,1
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 7 ε tadm = 129,3 µdéf εtmax < εtadm ok
µdéf
Structure
Structure 4
Latérite de Dogbo + 3% σ tmax = recommandée
LDD3C 317 15 850 0,25 35 σ tadm =0,499 Mpa σ tmax <σ tadm ok
Ciment CPJ 35 0,192Mpa
194
Annexes A
ε zmax =
Latérite de Deve (Adeoti) LDeLa 56 2 800 0,35 30 ε zadm =289,3 µdéf εzmax < εzadm ok
196,7 µdéf
ε zmax =
S3 PST 12,5 625 0,35 ∞ ε zadm =289,3 µdéf εzmax < εzadm ok
265,7 µdéf
ε tmax = 27,5
Béton Bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 7 ε tadm = 129,3 µdéf εtmax < εtadm ok
µdéf
ε tmax = 15,0
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 7 ε tadm = 129,3 µdéf εtmax < εtadm ok
µdéf
Latérite de
σ tmax = 0,148 Structure
Structure 7 Yèhouénouhou +3,5% LYH3,5C 225 11 250 0,25 35 σ tadm = 0,376 Mpa σ tmax <σ tadm ok
Mpa recommandée
ciment
Latérite de ε zmax =
LYH 52 2 600 0,35 35 ε zadm =289,3 µdéf εzmax < εzadm ok
Yèhouénouhou 233,5 µdéf
195
Annexes A
ε zmax =
S3 PST 12,5 625 0,35 ∞ ε zadm =289,3 µdéf εzmax < εzadm ok
270,1 µdéf
ε tmax = 33,2
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 7 ε tadm = 129,3 µdéf εtmax < εtadm ok
µdéf
Silteux de Tohouè
σ tmax = 0,134
(DJEREGBE) + 4% STDS4CII32,5R 181 9 050 0,25 40 σ tadm = 0,237 Mpa σ tmax <σ tadm ok
Mpa
CEMII 32,5 R Structure
Structure 9
recommandée
ε zmax =
S3 PST 12,5 625 0,35 ∞ ε zadm =289,3 µdéf εzmax < εzadm ok
257,1 µdéf
ε tmax = 49,3
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 7 ε tadm = 129,3 µdéf εtmax < εtadm ok
µdéf
Silteux de Tohouè
σ tmax = 0,135 Structure
Structure 10 (DJEREGBE) +3,5% STDS3,5CI42,5N 179 8 950 0,25 40 σ tadm = 0,237 Mpa σ tmax <σ tadm ok
Mpa recommandée
CEMI 42,5 N
196
Annexes A
ε zmax =
S3 PST 12,5 625 0,35 ∞ ε zadm =289,3 µdéf εzmax < εzadm ok
285,2 µdéf
ε tmax = 46,5
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 7 ε tadm = 129,3 µdéf εtmax < εtadm ok
µdéf
Silteux de Tohouè
σ tmax = 0,081
(DJEREGBE) + 4% STDS4CII32,5R 181 9 050 0,25 20 ε zadm =0,237 µdéf σ tmax <σ tadm ok
Mpa
CEMII 32,5 R
ε zmax =
S3 PST 12,5 625 0,35 ∞ ε zadm =289,3 µdéf εzmax < εzadm ok
267,6 µdéf
ε tmax =19,0 εtmax <
Béton bitumineux (BB) 13 000 0,35 7 ε tadm = 129,3 µdéf ok
µdéf εtadm
61% TB Avrankou +
σ tmax = 0,180
39% concassé de 0/4 de 61TBAA39CDD3C 236 11 800 0,25 40 σ tadm = 0,357 Mpa σ tmax <σ tadm ok
Mpa
Dan+ 3% ciment CPJ 35
Structure
Structure 12
recommandée
58%TB Sissèkpa + 42% ε zmax =260,2 εzmax <
58TBSA42C0/4DAD 30 1 500 0,35 25 ε zadm =289,3 µdéf ok
Concassé 0/4 de Dan µdéf εzadm
197
Annexes A
58% de TB Sissekpa+
σ tmax = 0,131 σ tmax < σ
42% Concassé de Dan + 58TBSA42CDD3,5C 243 12 150 0,25 40 σ tadm = 0,416 Mpa ok
Mpa tadm
3,5% ciment
o
Fiche de structure n 15: T4-S4
198
Annexes A
ε tadm = 129,3
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 x
µdéf
199
Annexes A
200
Annexes A
ε tadm = 129,3
Béton bitumineux (BB) BB 13 000 0,35 x
µdéf
201
Annexes A
sable Silteux de
DJEREGBE amélioré σ tadm = 0,125 σ tmax = 0,091
STDS3CII32,5R 131 6 550 0,25 20 εzmax < εzadm ok
de 3% CEMII 32,5 R Mpa Mpa
en 2è couche
Sable Silteux de ε tadm = 289,3 ε zmax =254,8
STDS1 44 2 200 0,35 15 εzmax < εzadm ok
DJEREGBE µdéf µdéf
ε tadm = 289,3 ε zmax =286,2
S4 PST 22,5 1 125 0,35 ∞ εzmax < εtadm ok
µdéf µdéf
ε tadm = 129,3 ε tmax = 30,3
Béton bitumineux (BB) 13 000 0,35 7 εtmax < εtadm ok
µdéf µdéf
61% TB Avrankou +
39% concassé de 0/4 de σ tadm = 0,357 σ tmax = 0,167
61TBAA39CDD3C 236 11 800 0,25 40 σ tmax <σ tadm ok
Dan+ 3% ciment CPJ Mpa Mpa
35 Structure
Structure 12
recommandée
58% de TB Sissekpa+
σ tadm = 0,416 σ tmax = 0,139
42% Concassé de Dan 58TBSA42CDD3,5C 243 12 150 0,25 30 σ tmax < σ tadm ok
Mpa Mpa Structure
Structure 13 + 3,5% ciment
recommandée
Concassé de Sèto ε tadm = 289,3 ε zmax =207,0
CSD0/31,5 77 3 850 0,35 25 εzmax < εzadm ok
0/31,5 µdéf µdéf
ε tadm = 289,3 ε zmax =261,5
S4 PST 22,5 1 125 0,35 ∞ εzmax < εtadm ok
µdéf µdéf
202
Annexes A
o
Fiche de structure n 16: T4-S5
Béton bitumineux
BB 13 000 0,35 x ε tadm =129,3 µdéf
(BB)
203
Annexes A
Béton bitumineux
BB 13 000 0,35 7 ε tadm =129,3 µdéf ε tmax =10,9 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB)
Latérite de Dogbo +
LDD3C 317 15 850 0,25 30 σ tadm =0,499 Mpa σ tmax = 0,205 Mpa σ tmax <σ tadm ok
3% Ciment CPJ 35 Structure
Structure 4
recommandée
Latérite de Deve
LDeLa 56 2 800 0 ε zadm =289,3µdéf εzmax < εzadm ok
(Adeoti)
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm =289,3µdéf ε zmax = 278,5 µdéf εzmax < εzadm ok
Béton Bitumineux
BB 13 000 0,35 7 ε tadm =129,3 µdéf ε tmax = 49,5 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB)
Latérite de Avakpa +
3,5% de ciment CPJ LAA3,5C 222 11 100 0,25 35 σ tadm = 0,376 Mpa σ tmax = 0,135 Mpa σ tmax <σ tadm ok Structure
Structure 5 35 recommandée
Latérite de Avakpa LAA 34 1 700 0,35 0 ε zadm =289,3µdéf εzmax < εzadm ok
εzmax <
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm =289,3µdéf ε zmax = 268,9 µdéf ok
εtadm
Béton bitumineux
BB 13 000 0,35 7 ε tadm =129,3 µdéf ε tmax = 5,2 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB)
Latérite de Dogbo B +
LDD4C 344 17 200 0,25 30 σ tadm = 0,582 Mpa σ tmax = 0,216 Mpa σ tmax <σ tadm ok Structure
Structure 6 4% de ciment CPJ 35
recommandée
Latérite de Deve
LDeLa 56 2 800 0,35 0 ε zadm =289,3µdéf εzmax < εzadm ok
(Adeoti)
εzmax <
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm =289,3µdéf ε zmax = 278,3 µdéf ok
εtadm
Béton bitumineux
BB 13 000 0,35 7 ε tadm =129,3 µdéf ε tmax = 48,2 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB)
Latérite de
Yèhouénouhou +3,5% LYH3,5C 225 11 250 0,25 35 σ tadm = 0,376 Mpa σ tmax = 0,136 Mpa σ tmax <σ tadm ok
ciment Structure
Structure 7
recommandée
Latérite de
LYH 52 2 600 0 ε zadm =289,3µdéf εzmax < εzadm ok
Yèhouénouhou
εzmax <
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm =289,3µdéf ε zmax = 267,7 µdéf ok
εtadm
204
Annexes A
Béton bitumineux
BB 13 000 0,35 ε tadm =129,3 µdéf
(BB)
Béton bitumineux
BB 13 000 0,35 7 ε tadm =129,3 µdéf ε tmax =71,3 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB)
Silteux de Tohouè
(DJEREGBE) + 4% STDS4CII32,5R 181 9 050 0,25 35 σ tadm = 0,237 Mpa σ tmax = 0,115 Mpa σ tmax <σ tadm ok
Structure
Structure 9 CEMII 32,5 R
recommandée
Silteux de Ouidah
SOGO2 34 1 700 0,35 0 ε zadm =289,3µdéf εzmax < εzadm ok
Gendarmerie puit 2
εzmax <
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm =289,3µdéf ε zmax =287,8µdéf ok
εtadm
Béton bitumineux
BB 13 000 0,35 7 ε tadm =129,3 µdéf ε tmax = 72,4 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB)
Silteux de Tohouè
(DJEREGBE) +3,5% STDS3,5CI42,5N 179 8 950 0,25 35 σ tadm = 0,237 Mpa σ tmax = 0,114 Mpa σ tmax <σ tadm ok
CEMI 42,5 N Structure
Structure 10
recommandée
Silteux de Ouidah
SOGO1 37 1 850 0,35 0 ε zadm =289,3µdéf εzmax < εzadm ok
Gendarmerie puit 1
εzmax <
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm =289,3µdéf ε zmax = 288,8 µdéf ok
εtadm
Béton bitumineux
BB 13 000 0,35 7 ε tadm =129,3 µdéf ε tmax = 71,1 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB)
Structure
Structure 11 Silteux de Tohouè recommandée
(DJEREGBE) + 4% STDS4CII32,5R 181 9 050 0,25 35 σ tadm = 0,237 Mpa σ tmax = 0,115 Mpa σ tmax <σ tadm ok
CEMII 32,5 R
205
Annexes A
sable Silteux de
DJEREGBE amélioré
STDS3CII32,5R 131 6 550 0,35 0 σ tadm = 0,125 Mpa εzmax < εzadm ok
de 3% CEMII 32,5 R
en 2è couche
Sable Silteux de
STDS1 44 2 200 0,35 0 ε zadm =289,3µdéf εzmax < εzadm ok
DJEREGBE
εzmax <
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm =289,3µdéf ε zmax = 287,8 µdéf ok
εtadm
Béton bitumineux εtmax <
13 000 0,35 7 ε tadm =129,3 µdéf ε tmax = 43,7 µdéf ok
(BB) εtadm
61% TB Avrankou +
39% concassé de 0/4
61TBAA39CDD3C 236 11 800 0,25 35 σ tadm = 0,357 Mpa σ tmax = 0,141 Mpa σ tmax <σ tadm ok
de Dan+ 3% ciment
CPJ 35 Structure
Structure 12
recommandée
58%TB Sissèkpa +
εzmax <
42% Concassé 0/4 de 58TBSA42C0/4DAD 30 1 500 0,35 0 ε zadm =289,3µdéf ok
εzadm
Dan
εzmax <
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm =289,3µdéf ε zmax = 263,3 µdéf ok
εtadm
Béton bitumineux
BB 13 000 0,35 7 ε tadm =129,3 µdéf ε tmax =41,0 µdéf εtmax < εtadm ok
(BB)
58% de TB Sissekpa+
σ tmax < σ
42% Concassé de Dan 58TBSA42CDD3,5C 243 12 150 0,25 35 σ tadm = 0,416 Mpa σ tmax = 0,144 Mpa ok
tadm
+ 3,5% ciment Structure
Structure 13
recommandée
Concassé de Sèto
CSD0/31,5 77 3 850 0,35 0 ε zadm =289,3µdéf εzmax < εzadm ok
0/31,5
εzmax <
S5 PST 45 2 250 0,35 ∞ ε zadm =289,3µdéf ε zmax = 260,6 µdéf ok
εtadm
206
Annexes B
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 219
SUD DU BENIN
Annexes C
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 227
SUD DU BENIN
Annexes D
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 228
SUD DU BENIN
Annexes D
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 229
SUD DU BENIN
Annexes D
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 230
SUD DU BENIN
Annexes D
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 231
SUD DU BENIN
Annexes D
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 232
SUD DU BENIN
Annexes D
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 233
SUD DU BENIN
Annexes D
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 234
SUD DU BENIN
Annexes D
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 235
SUD DU BENIN
Annexes D
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 236
SUD DU BENIN
Annexes D
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 237
SUD DU BENIN
Annexes D
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 238
SUD DU BENIN
Annexes D
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 239
SUD DU BENIN
Annexes D
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 240
SUD DU BENIN
Annexes D
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 241
SUD DU BENIN
Annexes D
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 242
SUD DU BENIN
Annexes D
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 243
SUD DU BENIN
Annexes D
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 244
SUD DU BENIN
Annexes D
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 245
SUD DU BENIN
Annexes D
CARACTERISATION DES MATERIAUX ROUTIERS ET ELABORATION D’UN CATALOGUE POUR LE DIMENSIONNEMENT DES CHAUSSEES AU 246
SUD DU BENIN
Annexes E