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LA RELIGION

Vient du latin religare = lien à la fois transcendant (= ce qui est


extérieur et supérieur à moi (verticalité) comme le lien avec Dieu ) et
immanent (= ce qui se situe sur le même plan (horizontalité) qui relie
les Hommes entre eux avec une pratique ou croyance )

Il s’agit de se relier à Dieu avec la religion mais aussi de se relier aux


Hommes (Noel)
2 aspects de la religion : elle répond à un besoin sociale mais aussi à
un besoin individuel sur le plan existentiel
Social : elle perme de produire une loi que le sujet va intérioriser et
qui va renforcer sa moral

Kant : selon lui, nous n’avons pas besoin de la religion pour fonder
une moral car elle est rationnelle. Il suffit de suivre sa raison plutô t
que de succomber à nos pulsions. Il est aussi impossible selon lui de
montrer l’existence de Dieu. Pour lui la religion renforce notre moral
en admettant l’existence de Dieu, l’immortalité de l’Ame et la liberté
humaine. Nous donnes l’espoir qu’en obéissant à cette moral nous
puissions un jour accéder au bonheur véritable ( le souverain bien
selon Kant ) ( donne un sens à notre vie )

Freud : se demande si cet espoir est une illusion. La religion à selon


lui a une fonction d’intérioriser une certaine censure dans notre
esprit et nous conduire à respecter des interdits sociaux. Le surmoi
est né en grande partie grâ ce à la religion. Si on respect pas la loi du
groupe, Dieu va nous punir. Quelqu’un qui n’aurait pas de Surmoi
n’éprouverait aucune culpabilité en commettant des crimes et ce
serait terrible pour tous. Mais il remarque que la religion renforce de
manière excessive ce sentiment de culpabilité chaque fois que
l’individu va éprouver un désir. (sexuel particulièrement )
Il remarque aussi que la religion favorise des maladies mentales
comme des tocs. L’individu se punit lui même. Selon lui la religion est
une illusion réconfortante qui finit par produire de la névrose.
LE LANGAGE

= système de signe utilisé pour établir un système de communication.


Les animaux possèdent aussi un langage.

Descartes : affirme qu’il y a une différence fondamentale avec le


langage des animaux. Celui ci n’est que l’expression de ces besoins
corporeles. Il ne parle que pour satisfaire son corps. ( faim, soif )
Quand un animal s’exprime, il s’agit plutô t d’un signa qui déclenche
une action mais déclenche pas un dialogue. Le langage humain est
l’expression de notre esprit alors que le langage animal est
l’expression du corps.

« Les animaux peuvent parler mais ils n’ont rien à dire «  - Dominique
Lestel ( philosophe ) Ils ne racontent pas d’histoire.

Hegel : «  Une pensée sans langage serait une pensée obscure ». Une
pensée qui serait prisonnière de notre subjectivité. Ce qui est
subjectif c’est nos sentiments, nos émotions, ce qu’on ressent en
première personne mais qu’on arrive pas forcément à communiquer
aux autres. Le langage nous permet au contraire de rendre notre
pensée objective, on peut l’exposer aux autres, elle devient réelle
alors que notre ressentit subjectif tant qu’on arrive pas à le mettre en
mot est quelque chose de flou, qui représente le degrés le plus bas de
la pensée.
Ineffable = qui ne peut être exprimé par des paroles
Pour Hegel l’ineffable est le degrés le plus obscure de la pensée

Freud : c’est pas seulement un moyen de communication, mais aussi


un moyen d’exprimer notre inconscient. La plupart du temps on
refoule nos traumatismes mais sur le divan du psychanalyste, on peut
parler sans aucunes censures  thérapie.
C’est en affrontant nos démons grâ ce au langage qu’on devient
heureux
L’ART

=la techné ( art au sens large cà d un savoir-faire )


= (langage courant ) ensemble des activités visant à la création
esthétique ( beaux arts )

Point commun entre l’art et la technique qui est de maîtriser un


savoir faire mais il y a certaines différences essentielles ?

 Kant : 2 critères de distinction : - l’œuvre d’art n’est pas directement


fonctionnelle alors qu’un objet technique a une fonction.
Exemple : canapé de Salavador Dali «  Canapé Boca » est seulement
fait pour être admiré. C’est la différence entre le beaux et l’agréable.
- Le génie créatif : L’artisan va respecter des règles bien déterminés à
l’avance alors que l’artiste va boulverser les règles «  La femme qui
pleure » de Picasso

Bergson : selon lui l’art permet d’exprimer l’ineffable càd ce que le


langage ordinaire ne parvient pas à exprimer. Il pense que l’ineffable
est une pensée tellement profonde que aucune mot ne parvient à
l’exprimer car le langage n’exprime que des généralités. ( être
amoureux – aucun amour est comparable ). Le langage nous pousse à
faire des généralités. L’art c’est différent car c’est toujours
l’expression de quelque chose de très singulier. Mélancolie est
différente dans les arts. ( Nirvana – Sells like teen spirit et Papaoutai
de Stromae ) Le langage va tout ramener sur la généralité de
mélancolie. L’oeuvre d’art est plus fine que le langage.

Freud : L’art permet aussi d’exprimer nos désirs refouler et nos


traumatismes inconscients (= la sublimation ) C’est une forme de
thérapie pour l’artiste
LA TECHNIQUE

=ensemble de moyens qui permet de réaliser un but.

A priori elle permet d’améliorer tout ce qu’on fait dans la vie.


Grâ ce aux outils et aux machines, on s’est facilité la vie mais on a
rendu le travail plus intéressant. L’homme n’est plus utilisé pour sa
force brut mais pour son intelligence et son habilité.

Aristote : L’homme n’est pas né avec la plus grande force mais il y a


des mains et c’est donc la combinaison de l’intelligence et de la
technique. Etre intelligent c’st notre capacité à résoudre des
problèmes nouveaux. La main humaine est polyvalente. Elle est cet
outil qui nous permet de fabriquer de nouveaux outils. L’animal au
contraire n’a pas vraiment de technique au sens où il ne peut pas en
invente de nouvelles. Il n’a presque aucune polyvalence. Il est
prisonnier de son instinct

Karl Marx : «  ce qui distingue le plus mauvais architecte de l’abeille la


plus experte, c’est qu’il a construit la cellule dans sa tête avant de la
construire dans la ruche »  la technique humaine n’est pas
comparable avec celle de l’animal au sens où elle fait appel à
l’intelligence cà d à envisager plusieurs possibles

Heidegger : La technique moderne a tendance considérer la nature


comme un stock de ressource disponible. L’arraisonnement de la
nature : soumettre la nature par la raison humaine

La technique est la marque de l’intelligence humaine et en cela elle


doit être valorisée mais elle peut devenir un outil de domination
dévastateur pour la nature et finalement pour l’humanité elle même.
LE TRAVAIL

= toutes activités de transformations d’un matériau.


C’est une activité nécessaire de l’Homme : transformer la nature car
elle ne donne pas assez de fruits spontanément mais il faut également
se travailler soi –même. Il faut transformer sa nature animal pour
devenir un Homme. C’est souvent pénible : «  C’est à la sueur de ton
front que tu mangeras du pain «  Bible, Genèse (malédiction
prononcée par Dieu aux Hommes. )
Le travail est aussi une source d’épanouissement qui nous humanise.

Hegel : Il permet de dépasser l’animal car il vit dans un rapport


immédiat (sans intermédiaire ) à la nature. Il est en symbiose avec
elle. La vache mange directement de l’herbe. L’homme fait de la pâ te
et la cuit ensuite. Son esprit est plus fort que la nature puisque à
partir d’une idée qu’il forme dans son esprit , il peut dominer la
nature et la transformer . Objectivation de mon esprit dans la matière
(= quand je fais un gâ teau, il est peut être moins bon qu’à la
boulangerie, mais c’est moi qui l’ai fait )

Le travail peut devenir horrible pour certaines personnes quand on


se reconnaît pas dans le produit de notre travail. Exemple : la
technique moderne à mise en place la production à la chaîne devenue
qlc de fatiguant pour l’ouvrier avec des tâ ches répétitive qu’il n’a pas
conçu lui même.

Karl Marx : aliénation de l’ouvrier = l’individu est soumis à quelque


chose d’autre que lui-même. Il est privé de sa liberté. La machine a
pris le contrô le sur nous. Cette aliénation est double : le patron
l’exploite aussi : expropriation de la plus-value : la valeur créée par
l’ouvrier que la capitaliste s’approprie.
LA JUSTICE

Plusieurs sens : le droit positif : le droit tel qu’il a été «  posé » dans
des codes de lois. C’est la justice au sens de la légalité cà d ce qui est
conforme à la loi .
Légal : ce qui est conforme au droit positif et le légitime est ce qui est
conforme à la moral
Le droit positif n’est pas suffisant pour déterminer si une action est
juste ou pas car en Allemagne nazie le droit positif était
profondément raciste.
Le droit naturel : un droit universel que tous les humains possèdent
même si aucun code de loi n’est là pour le faire respecter. C’est une
norme morale indépendante des textes de lois.

Pacal : le droit positif est relatif à chaque pays et chaque époque. L


justice au sens des lois humaine n’est pas quelque chose de sérieux
elle est plaisante prcq elle change en fonction des frontières
( exemple : cannabis )

Karl Marx : le véritable critère de la justice pour lui c’est l’égalité


entre les Hommes. Il explique dans « Manifeste du Parti
Communiste » que toute la violence de l’histoire est la conséquence
des rapports de domination entre les classes sociales. Le capitaliste
( bourgeois ) exploite le prolétaire ( ouvrier) en le payer seulement
de quoi survivre et les bénéfices générés par son travail vont aller
dans la poche du capitaliste. Il faut faire une révolution pour mettre
fin aux rapports de domination selon Marx.

Robert Nozick ( philosophe libertarien ) : ce qui compte le plus c’est


la liberté individuelle de chacun. Selon lui il est inconcevable de
répartir les richesses car chacun est libre de s’enrichir tant qu’il le
souhaite. ( exemple : si Mbappé gagne 3 million/mois on peut pas
prendre la moitié de cette somme pour la donner à l’état car se serait
porter atteinte à sa liberté.
L’ETAT

= ensemble des éléments qui organise la société permettant d’exercer


une autorité sur les individus

Hobbes : Selon lui, les Hommes vivent dans un état de nature ( =


vivent en dehors de toutes autorités politique ). Dans ces conditions
ce serait la confrontation perpétuelle et le déchainement de toutes les
violences. ( exemple : American Nightmare ). L’Etat est donc
nécessaire pour permettre la vie en société car il met fin à la guerre
de tous contre tous. Les individus vont conclure un contrat pour
éviter le déchainement de violence en transmettant leur pouvoir à un
souverain.

Rousseau : «  l’homme est né libre, et partout il est dans les fers ».


Les hommes vivent aux 18 e siècle dans des régimes politiques où ils
ne sont pas libre. Il faut donc réinventer le contrat social pour éviter
le rapport de domination entre l’état et le peuple. Pour lui, le peuple
doit se soumettre non pas à un roi mais à la volonté générale (= la
volonté du peuple visant le bien de tous ). Je ne perds pas ma liberté
si je m’y soumet car je me soumet à la raison et non plus à mes
pulsions. «  L’obéissance à la loi qu’on s’est prescrite est liberté » - Le
contrat social – Rousseau. Si je respecte une loi que ma raison
m’impose je ne suis pas soumis, mais libre

Ethnologue Pierre clastres : il est allé vivre avec les indiens Guayakis
et Guaranis dans la forêt. Ce sont des stés où le chef n’a aucun
pouvoir à l’inverse de nos stés. Ici , il n’y a pas d’inégalités sociales,
tout le monde partage. Mais cependant ils possèdent des rîtes qui
sont des véritables séances de tortures (enfant qui se fait piqués par
fourmis balle de fusil )
LA NATURE

= ensemble des choses physiques et vivantes qui existe


indépendamment de l’homme ( natura = naissance )

Idée que tout ce qui est naturel est valorisé : cosmos : de Kosmos en
grec qui signifie le bon ordre, l’harmonie ( qui donnera cosmétique :
les soins de beauté )

Ce qui est naturel dans la vie de l’homme est ce qui est inné ( savoir
manger, digérer ..) VS la culture = ce qui est acquis par transmission
( langue, technique ..) L’homme est un être de culture au sens où il ne
se contente pas de son instinct mais il est capable d’évoluer par la
transmission d’un savoir.

Michael Tomasello ( psychologue ) : Chez les animaux le savoir n’est


pas cumulatif. Chez les Humains, le savoir se cumulent jusqu’au point
où aucun individu au monde serait capable de réinventer le moindre
objet technique que nous utilisons chaque jours ( smartphone )

Freud : L’être humain transforme la nature grâ ce à la culture, cà d


grâ ce à la transmission d’un savoir, mais il modifie également sa
propre nature en maîtrisant ses pulsions animales grâ ce à son
surmoi.
Devenir un être civilisé c’est apprendre à maîtriser ses instincts
naturels. Selon lui, a force de censurer et réprimer tous nos désirs
naturels, la sté a emmagasiné de la violence qui a finit par exploser et
produire un déferlement de violence meurtrière ( guerres ) . Il y a
donc un certain équilibre à trouver entre nature et culture ; si
l’homme domine excessivement la nature extérieure alors cela
aboutit aux catastrophes écologiques que nous connaissons et si
l’homme censure ses désirs naturels comme la sexualité, alors il
risque de venir une explosion de violence.
LA RAISON

= à un sens plus précis qui s’oppose à l’imagination : c’est la


rationnalité. On fait appelle à un raisonnement logique ( magma qui
remonte faisant une éruption d’un volcan )

Rationalité = la raison sur le plan logique


Raisonnable : la raison sur le plan moral ( quelqu’un de raisonnable
qui ne succombe pas à ses désirs )

Aux 18e siècle , le mouvement Les Lumières.


Kant : écrit un ouvrage «  qu’est ce que les Lumières » pour défendre
ce courant en montrant que l’homme des lumières est celui qui
parvient à sortir de l’enfance Sapere Aude = ose penser par toi même
( horace cité par Kant ) Il constate que par paresse les gens ne
suivent pas leur raison, mais quand on parvient à suivre sa raison,
c’est là qu’on devient libre. Pour être libre il faut à la fois être
rationnelle et raisonnable.

Descartes : Il a eu tellement confiance en sa raison. Il a voulu montrer


l’existence de Dieu par un raisonnement avec son argument
ontologique : j’ai l’idée de dieu en tête et Dieu est un être parfait, or
un être parfait qui n’existe pas ne serait pas parfait donc Dieu existe
nécessairement.

Kant : pas OK avec Descartes. Il va montrer que c’est un sophisme =


un raisonnement faux malgré une apparence de vérité. Pour savoir
qu’une chose existe, il faut en faire une expérience avec les 5 sens. Et
comme je ne pourrais jamais faire l’expérience de Dieu avec mes 5
sens, je ne pourrai jamais démontrer son existence. Quand la raison
se détache de l’expérience, elle est conduit à produire des êtres
imaginaires ; la métaphysique ne peut donc rien montrer. On aboutit
à des contradictions que Kant appelles des antinomis : si Dieu est la
cause de toutes les causes, qui a créé Dieu ? La raison est donc ici en
échec car quand on essaye de réfléchir au delà de nos expériences,
on touche les limites de la raison.
LA SCIENCE

= dans l’antiquité c’est un savoir démonstratif qui se distingue d’une


simple opinion. ( doxa en grec )

Aristote : la science consiste à faire des raisonnements et si par un


raisonnement logique il en conclut qu’il existe un Dieu, alors pour lui
c’est de la science
La science moderne est focalisée sur l’expérience

Galilée : au 17e siècle, l’expérimentation devient systématique mais


elle est couplé avec la technique = les technosciences
Exemple : les lunettes de Galilée au musée Galilée de Florence qui
contribue à montrer l’héliocentrsime = la terre tourne autour du
soleil

On a 3 choses qui font exploser le progrès scientifiques en Europe :


l’expérience, le couplage science et technique et enfin la
mathématisation du réel. Cela va nous permettre de mieux
comprendre le monde qui nous entoure mais aussi de nous faciliter la
vie grâ ce à la technologie

La science moderne est neutre : c’est un moyen qui peut servir pour
le meilleure comme pour le pire (remède contre le cancer ou bombe
atomique) Tout début du but rechercher
Moyen : ce qui rend possible quelque chose
Fin : le but rechercher

Heidegger : selon lui les technosciences ne sont pas neutres. Elles ont
tendances à produire une nouvelles visions du monde. Il insiste sur e
rô le de l’artiste qui nous réapprend à contempler la nature pour ce
qu’elle est : ( champ de blé aux corbeaux de Vincent Van Gogh, il nous
dévoile la nature, nous la donne à contempler )

La science moderne nous permetterai de devenir comme le dit


Descartes : «  nous rendre comme maîtres et possesseurs de la
nature »
Un monde dominé par les technosciences modernes est un monde
qui risquerait de se transformer en une immense usine de
production.
LA VERITE

Vérité-cohérence = un énoncé est vrai s’il ne se contredit pas


Vérité-adéquation= un énoncé est vrai s’il correspond à la réalité
Vérité-évidence= une vérité qui ne peut être démontrée mais qui est
évidente ( théorème en math )
Axiome = proposition évidente, admise sans démonstration

Euclide : il est le premier à formuler les axiomes. Il dira qu’il existe


toujours une droite qui passe par deux points du plan ; c’est une
vérité évidence ça ne se démontre pas

La science est une combinaison de ces 3 formes de vérités


Quand galilée découvre l’héliocentrisme, ce n’est pas seulement en
faisant un raisonnement logique, il a fallut faire des observations
grâ ce à un instruments techniques (la lunette astronomique)

Pseudo-sciences = discipline qui prétend être scientifique alors


qu’elle ne les pas

Karl Popper : explique que le discours scientifique se remarque par


son courage car il s’expose à une réfutation. Quand la science nous dit
qu’il y aura une éclipse demain c’est réfutable. Si jamais il n’y a pas
d’éclipse je peux affirmer qu’elle s’est trompée et qu’il faudra revoir
les calculs. En revanche, quand l’astrologue dit que la semaine
prochaine je vais m’exposer à une belle opportunitées, il ne s’expose
à aucun risque, aucune réfutation possible car il pourra toujours dire
que cette opportunité a u lieu mais que je n’ai pas su la saisir.
Seule la science accepte d’être réfutée quand elle se trompe. Et c’est
pour ça qu’elle progresse vers la vérité contrairement à la pseudo-
science et à la religion. On appelle cette idée de Popper la
falsifiabilité  : théorie de Popper pour distinguer les théories
scientifiques de celles qui ne le sont pas

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