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Le tatouage et la religion

(https://www.info-bible.org/faq/puce-tatouage-marque.htm)
(http://photodoc.e-monsite.com/pages/tatouages/tatouage-et-religions.html)
(https://www.sunnisme.com/article-les-tatouages-en-islam-59649996.html/)
Nombreuses sont les religions qui condamnent le tatouage. Malgré tout, cette pratique est souvent
transgressée, car beaucoup l’utilise pour graver en eux leur foi.5000 ans avant J.C. on retrouve déjà
des marques sur des statuettes funéraires au Japon, qui laissent à penser que, il servait à ne pas
encombrer les défunts dans leur passage dan l’au-delà. Dans de nombreuses sociétés décrites
‘’primitives’’, il avait pour fonction des attributs médicaux, sociologiques, magiques et religieuses.
Comme le peuple des Karen, lors de la lutte contre les Birmans, les balles des adversaires étaient
arrêtées par leurs tatouages.
Ou bien les tributs berbères et dans les îles Samoa, on peut se faire tatouer contre le rhumatisme.
Certaines populations africaines attributs de nombreux bienfaits au tatouage comme dans les
traitements des yeux, des maux de têtes, d’une protection envers les morsures de chiens ou de
serpents et même contre les dangers de noyades. La marine américaine avait aussi ses pratiques
contre les risques de noyade, un coq sur un pied et un cochon sur l’autre.
Du point de vu du christianisme, la création, la Terre ainsi que ce qu’elle contient appartient au
Seigneur. L’homme aillant été créé à l’image de Dieu, il porte originairement la marque divine.
Comme le dit la Bible, ‘’ vous avez obtenu de Dieu l'Esprit Saint qu'il avait promis et par lequel il vous
a marqués de son sceau (sa marque) pour lui appartenir‘’.
Apposer une marque peut indiquer que l’objet est une propriété, ou comme à l’époque de l’esclavage
peut signifier un changement de propriétaire, une identification, ou équivalait à l’aliénation des juifs
dans les camps de concentration. A l’époque des Percussions, les premiers chrétiens, se
reconnaissaient entre eux grâce à des signes tel qu’une ancre, un agneau ou d’un poisson. Puis le
pape Adrien, en 789, interdit cette pratique.
C’est pour cela que selon la religion, tout autre marquage que celui de l’Esprit Saint est interdit pour
un croyant. Notre corps serait un temple et ne nous appartiendrait pas car il n’est que présent de
Dieu ainsi que notre esprit. Dans le livre de l’Apocalypse, lorsque viendra la fin des temps, il est écrit
que, chacun sera porteur du marquage de la Bête. Posséder une marque encrée dans la peau n’est
spirituellement pas à la gloire de Dieu. On ne graverait pas impunément son corps de toute sortes de
formes sans se lier aux ténèbres. Cependant, les bagnards d’autrefois n’hésitaient pas à se tatouer
le visage de Jésus Christ dans leur dos, afin de ne pas se faire fouetter. En effet les autorités
n’osaient pas fustiger le visage du seigneur.
Dans la culture musulmane, l’anagogie du Coran inscrit : « Maudites soient les tatoueuses et celles
qui se font tatouer, celles qui épilent les visages des autres et celles qui s’épilent leur propre visage,
celles qui liment leurs dents (par coquetterie), changeant ainsi la création d’Allah ». Le tatouage
permanent comme temporaire est vu comme un obstacle pour la petite et grande ablution. Dans
l’histoire coranique, le compagnon du prophète aurait aussi annoncé « Que la malédiction soit sur
celui ou celle qui fait et fait faire des tatouages, qui met la perruque et qui la fait mettre » cette
malédiction exprime l’importance de ce péché.

https://www.tattoome.com/blog/non-classe/tatouage-hindou-symbole-puissant-peau/# Depuis la nuit


des temps, au Royaume de Siam en Thaïlande, le ‘’Sak Yant’’, tatouage sacré, destiné au guerriers
leur apportait force et protection lors des combats. Provenant de l’archipel de Koh Samui, il n’est pas
rare que de nombreux voyageurs arborent ce tatouage ancestrale. Pour le peuple thaïlandais, ce
tatouage spirituel, cette protection contre le mauvais œil et promesse de longue vie est pratiqué lors
d’un rituel, selon des exigences précises. Pour la population thaïlandaise ce tatouage consiste à
inscrire des litanies ou des invocations. La dénomination ‘’Sak’’ & ’’Yant’’ veut dire tatouer et prières
sacrées. De forme pyramidale, il est écrit en Sanskrit, le peuple thaï lui attribue de pouvoir
surnaturel.
A l’origine, Les moines se faisaient inscrire sous l’épiderme de nombreux texte sacrés dans les Wats
à l’aide d’aiguilles en bambou. Cette pratique plus douloureuse que la machine à tatouer moderne,
amène le chanoine dans une transe qui le rend indolore. Par la suite le ‘’Sak Yant’’ fut amené avec
les premiers soldats visitant les temples et qui se firent tatouer la marque d’invisibilité et de
protection. Une légendaire histoire Thaïe explique que la Thaïlande n’a jamais été envahie car leurs
guerriers sont des soldats fantômes.
Dernièrement, le peuple de Siam voudrait interdire la pratique de ce tatouage aux voyageurs
indifférents à leurs pratiques religieuses. Le ministère de la culture a reçu de nombreuse protestation
de la part des Thaïes choqués de voir des locaux tatouer par simple effet de mode les emblèmes
sacrées.

Dans la culture hindouiste, la richesse artistique et historique fait du corps et du tatouage un mariage
presque inéluctable. Par l’expérience de la vie, ainsi que le marquage du corps montre l’aspiration de
l’homme au divin. C’est pour cela qu’on retrouve dans cette art une diversité mirobolante de couleurs
et de toutes sortes de représentations divines personnifiées par des créatures ou inspirées par les
enseignements religieux. Faisant partie des plus vieilles religions, l’hindouisme, accorde beaucoup
d’importance au tatouage. Qu’il soit permanent ou à l’henné, il se décline sous diverses formes qui
comprend énormément de symboles et de représentations des divinités hindoues.
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Le Judaïsme, défend formellement cette pratique. Il est inscrit dans la Torah : « Vous ne ferez pas
d’incision sur votre chair et vous n’écrirez pas de signes sur vous », elle stipule que nous ne devons
pas nous blesser et que c’était une coutume païenne aillant pour but d’inscrire leur idole à jamais ce
qui est mal vu. En effet on peut retrouver quelques ressemblances au christianisme, comme le fait
que nous devons entretenir ce corps qui nous est offert tout au long de notre existence sur terre.
Quant aux tatoueurs, ils transgressent non seulement cette interdiction mais aussi le Lévitique qui
énonce : « devant un aveugle, tu ne mettras pas d'embûche ».
https://www.hidabroot.fr/article/120259/Pourquoi-est-il-interdit-de-se-faire-tatouer-

https://beaute.toutcomment.com/article/quelle-est-la-signification-des-tatouages-celtiques-9718.html
Dans la culture Celtique, le tatouage occupe une place importante. Il permet à chaque tribu de se
différencier en fonction de leur place dans la hiérarchie. Les guerriers arboraient leur tatouage face à
l’ennemis pour l’intimider.
Le Troban ou Arwenest le symbole de l’équilibre entre l’énergie féminie et l’énergie masculine.

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Dans les croyances celtiques, Ogham, est le Dieu du langage et de l’élocution. Leur langue
scripturale retrouvée sur des pierres en fait la plus vielle d’Irlande. Cet alphabète runique est
composé d’une barre verticale à laquelle s’ajoute jusqu’à cinq lignes horizontales.

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La spirale symbolise l’évolution de l’univers elle se retrouve partout dans la nature. Elle est
omniprésente dans l’eau, les airs, les carapaces et les coquillages. Elle symbolise le passage de
l’état primitif à l’aboutissement du labyrinthe de la vie.

Dans la culture Amérindienne, le tatouage est arrivé de l’Asie plus de 5000 avant J. C. Dispersée à
travers le pays parmi les nombreuse tributs la signification diffère à travers le continent. Le peuple
des Maya avait pour coutume d’arborer le symbole du courage jusqu’à la taille. Seulement les
prêtres en étaient entièrement recouverts afin de se rapprocher des dieux. Dans la culture aztèque,
Huitzilopochtli, Dieu du soleil et de la guerre, était le plus honorer lors de cérémonie car il apportait
protection aux tributs aztèques.
En Amérique du nord, le tatouage fut rapidement adopté, qu’il en devint l’unique habillement des
tributs comme les Sioux. Les Chickasaws et les Iroquois. Il représentait une appartenance, un rang
social ou le couronnement d’un acte de bravoure à la guerre ou à la chasse. Les puissants guerriers
de chaque tribut arboraient cette marque indélébile signe de leur courage. Pratiqué lors de la danse
du soleil par des prêtres, les voleurs ou autres condamnés étaient punis par le marquage complet du
visage. Les Indiens des plaines pensaient apporter avec eux leur honneur et se faire accepter par
leurs ancêtres dans l’au-delà
Dans l’Amérique arctique, Les Inuites avaient des croyances similaires. Une femme non-tatouée ne
pourrait pas reposer en paix après sa mort et l’homme portait une marque de mérite pour chaque
prise qui contribuait au tribut. Ils utilisaient une aiguille secondée par un fils pour poser le marquage
sous la peau.

A travers de l’Amérique de diverses cultures du tatouage restent étrangères. C’est néanmoins là-bas
que sont nées les premières machines électriques. Au court du XIXème siècle, Samuel O’Reilly
construit la première machine semblable à un stylo à piles. En 1961, à la suite d’une épidémie
d’hépatite à New York, fut t’interdite car il faisait penser à une propagation de virus. Pratiqué malgré
tout clandestinement, cette loi fut abolie 37 ans plus tard.

http://www.tattoo-tatouages.com/conseils-tatouages/tatouage-hygiene.html
Le tatouage est une pratique qui nécessite énormément d’hygiène.L’acte nécessite d’introduire une
pigmentation sous la première épiderme. Chaque perforation est une blessure ouverte par lequels
sont injecter les agents colorants. Pendant et après l’organisme est exposé à de nombreux dangers
d’infection ou la transmission de virus par le sang comme entre autres l’hépatite ou le Sida.

http://www.tattoo-tatouages.com/histoire/tatouage-japon.html
Dans la culture japonaise l’art du tatouage se pratique depuis la nuit des temps. Cet acte s’appelle
‘’Horimono’’ qui signifie litéralement graver en japonais. Particulièrement riche au Japon, l’histoire du
tatouage

http://www.tattoo-tatouages.com/histoire/tatouage-punition-marquage-social.html

Tatouage et punition
A travers l’histoire et les civilisations, on retrouve de nombreuse trace du marquage punitif comme un
marquage social. La plupart du temps il servait de d’identification qui s’en suivait généralement d’une
exclusion sociale.
Pendant la seconde guerre mondiale, les juifs et autres prisonniers de camps de concentration
étaient marqués tel du bétail par un numéros qui restait leur unique identité dans cette démarche de
déshumanisation. Le matricule tatoué à l’intérieur du poignet, les Tsiganes étaient marqués d’un ‘’ Z ‘’
et les Ariens d’un ‘’ A ‘’. Ceux qui n’était pas marqué à leur arrivée dans un camp était exterminé sur
le champ. Malgré ces horreurs nombreuses sont les survivants qui porte cette marque qui témoigne
de l’horreur vécu et d’autre préfèrent enlever cette humiliation. Certaine fois une croie gammée était
tatouée sur le front de ceux qui osaient faire preuve de collaboration avec l’ennemis.

Dans l’ancien Japon, le marquage social était courant. Les prostituées attiraient grâce à leur
tatouages leurs clients. La punition du tatouage, qui est une loi officielle en 1720, constituait une
réputation de hors-la loi qui étaient forcés de s’exiler.
Dans l’empire romain, les esclaves étaient également tatoués de même que les criminels et les
hérétiques. L’empereur Constantinople avait annoncé que les esclaves, devait porter des tatouages
sur les jambes et les mains. Rejoignant le christianisme, on ne pouvait sacrifier le visage de l’homme
qui a été créé à l’image de Dieu
Une chouette était représentée sur le front de sorte à ne à ce que la marque du prisonnier soit visible
de tous. Les Grecques réservaient cette pratique à leurs détenus contrairement à leurs ennemis de
guerres les Perses qui le laissaient de coutume aux notaires.
Le tatouage en signe d’exclusion social, de servitude, de forme de punition ou d’infamie sous
l’injonction de la loi en fait une soumission d’un corps devenu objet déchue de ses droits. Ce
marquage sanguinolent en signe d’asservissement conduisant au déni d’identité et de liberté. Il était
souvent question de marginaux suspects aux mœurs dont il fallait se méfier. Les juge étant souvent
les religieux la politique et l’esclavage.
Au travers les études de civilisation au cours de l’histoire, nombreuse sont les traces punitives du
tatouage et forcée. Il implique souvent l’exclusion social et le désigner irrémédiablement aux yeux de
ses congénères.
La suppression d’un tatouage
http://letatouage-pardespremieress.e-monsite.com/pages/iii-les-concequnces-du-tatouage/la-
suppression-d-un-tatouage.html

Le tatouage étant une pratique autant marginale que courante à travers les temps il est de plus en
plus présent dans nos sociétés. Toutefois la montée en popularité de cet art se raccroche étroitement
à une récente technique ; le détatouage.
Parmi les nombreuses personnes souhaitant porter un tatouage, certaines en revanche regrette ce
choix. Avec l’avancement de la science, plusieurs techniques de suppression de tatouage. Le choix
de plusieurs procédés permet d’enlever un tatouage avec plus ou moins d’efficacité.
Le recouvrement est une ‘’suppression’’ de tatouage qui consiste à tatouer un autre motif sur celui
qu’on n’apprécie plus autant. Le procédé est le même qu’un simple tatouage, il nécessite en
revanche plus d’habilité sur le travail des couleurs. Le jeu de contraste initiales et celles qui vont
recouvrir tournent que quelques semaines après.
La suppression chirurgicale est la plus douloureuse et la plus couteuse. Elle consiste à greffer un
morceau de peau artificiel crées en laboratoire sur le patient. Il s’agit d’une coutume peu répandue et
destinée aux personne fortunée. L’opération coutant des milliers d’euro et recouvre en revanche
entièrement le tatouage et ne laisse aucune cicatrice.
L’étirement de la peau permet l’éradication complète du tatouage. Il consiste à étirer les peaux afin
de ‘’renouveler’’ la zone souhaiter.
La méthode Rejuvi est une technique permettant de sortir l’encre de dessous la peau en injectant
une crème sous l’épiderme qui amènera l’encre à remonter à la surface.
La dermabrasion est la technique la plus douloureuse qui suit la greffe de peau. Elle est réalisée
chez un médecin en dermatologie ou un chirurgien plasticine. C’est le même procédé utiliser pour
retirer une tache de naissance ou cicatrice. Pour les plus grands tatouages, la cicatrisation peut aller
jusqu’à plusieurs semaines. C’est un traitement à base de crème qui brûle l’épiderme grâce à un
acide qui permet de retirer l’encre en profondeur.
Le laser qui est un amplificateur de lumière projette des ondes prédéfinies à une certaine distance
sur un corps physique qui est l’épiderme. Elle peut traiter une partie bien déterminer grâce à la forte
projection de lumière. Suivant la tâche qui lui est incomber, le laser peut entrer jusqu’à plusieurs
minimètres sous la peau afin de traiter au mieux la pathologie.
Le Q-Switched est une association de trois lasers qui se différencie par la longueur d’onde qu’ils
émettent. Un premier avec une portée de 1064nm, dans le domaine de l’infrarouge qui lui permet de
rentrer en profondeur sous l’épiderme. Il peut encourir une destruction du tissu entrainé par la
mauvaise absorption par les molécules de mélanine et d’hémoglobine. Le deuxième, avec une
portée de 755 nm dans le rouge intense. Il détruit la pigmentation verte et violette. Le dernier, avec
une portée de 694 nm, dans le rouge est bien mieux absorbée par la mélanine et s’empare des
pigments foncés comme le noir, le bleu et le vert.
L’extraction des pigments est aussi une technique à laser Q-swiitched. Un seul laser est utilisé à la
destruction d’encre sous la peau qui seront par la suite débarrassée de manière naturelle. Certaines
couleurs comme le noir, le bleu, et du rouge sont évacués rapidement, contrairement aux
pigmentations verte bleu clair et orange qui prennent plus de temps à s’estomper.

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