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Dans la société :
SONATRACH
à Hassi Mesaoud
Le stagiaire :
Année : 2021/2022
A l’université de
Kasdi Merbah Ouargla
I. Introduction :
L’Energie est le pilier de toute civilisation, sans laquelle on ne peut exister ni
construire et évoluer dans ce monde. L’homme dans sa quête perpétuelle de
performance a cherche et continue a chercher et développer les différent moyens
d’accéder a une source d’énergie intarissable ou du moins rallonger sa durée de vie.
Le pétrole est cette précieuse source de vie propre a notre civilisation qui continue a
faire marcher les rouages de l’industrie depuis cent ans. Ainsi l’homme a su maitriser
des technologies pour mieux exploiter cette source et assurer sa survie. Le génie
pétrolier a progresse depuis.
Dans ce rapport de stage nous allons voir l’organisation de toute une compagnie dans
l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures de différentes manières, à partir les
différentes services de travail.
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majeurs exploités par Sonatrach figurent Tin Fouye Tabankort Ordo, Zarzaitine, Haoud
Berkaoui/Ben Kahla et Ait Kheir.
Sonatrach exploite plus de 3 900 km (2 400 mi) d'oléoducs dans le pays. Les oléoducs
les plus importants acheminent le pétrole brut du champ de Hassi Messaoud vers les
terminaux d'exportation. Sonatrach exploite également des réseaux de condensats de
pétrole et d'oléoducs GPL qui relient Hassi R'mel et d'autres champs à Arzew.
Sonatrach agrandit l'oléoduc Hassi Messaoud-Azrew, le plus long du pays. Le projet
prévoit une deuxième ligne parallèle qui fera plus que doubler la capacité de la ligne
existante.
III. Histoire :
Sonatrach est créée le 31 décembre 1963, avec pour objectif principal le transport et la
commercialisation des hydrocarbures et se déployer progressivement dans les autres
segments de l'activité pétrolière.
En 1964, Sonatrach lance la construction du premier oléoduc algérien OZ1, d'une
longueur de 805 km, il relie Haoud El Hamra à Arzew4. Début de la grande
aventure dans le gaz, en mettant en service le premier complexe de liquéfaction de
gaz naturel GL4Z Compagnie algérienne du méthane liquéfié (CAMEL), d'une
capacité de traitement de 1,8 milliard m3 de gaz par an.
En 1965, la première campagne sismique de recherche d'hydrocarbures est lancée par
Sonatrach avec l'implantation de 3 forages. En 1966, l'oléoduc OZ1, ouvrage d'une
grande portée stratégique, est mis en service. Il permet d'augmenter les capacités de
production et d'acheminement des hydrocarbures de près de 30 %. Les missions de la
Sonatrach, limitées à la gestion des pipelines et à la commercialisation, sont élargies à la
recherche, à la production et à la transformation des hydrocarbures. Sonatrach devient la
société nationale de recherche, production, transport, transformation et
commercialisation des hydrocarbures et de leurs dérivés.
Le 24 février 1971, la nationalisation des hydrocarbures décidée par l'Algérie en
février 1971 inscrit la compagnie nationale des hydrocarbures dans une nouvelle
dynamique, les objectifs de l'entreprise portent alors sur l'extension de toutes ses
activités à l'ensemble des installations gazières et pétrolières et l'atteinte de la maîtrise
de toute la chaîne des hydrocarbures. Cette année-là est aussi marquée par l'acquisition
du premier méthanier baptisé au nom du gisement gazier d'Hassi R'Mel.
En 1976, la mise en service de deux unités de transformation des matières plastiques,
une à Sétif et l'autre à Chlef. En 1977, un plan d'investissement qui propulse l'Algérie au
rang de grand pays pétroliers avec la diversification de ses activités. Le plan « Valhyd »
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(Valorisation des Hydrocarbures) est lancé. Il a pour objectif, l'accroissement des taux
de production de pétrole et de gaz, la récupération des gaz associés au pétrole, la
production maximale de GPL et de condensat, la commercialisation du gaz naturel, la
substitution de produits finis au brut à l'exportation, la satisfaction des besoins du
marché national en produits raffinés.
En 1996, la mise en place du gazoduc Afrique-Europe le Pedro Duran Farell qui
approvisionne l'Espagne et le Portugal via le Maroc. Sa capacité est de plus de 11
milliards m3 de gaz par an9.
IV. Activités :
SONATRACH couvre l’ensemble de la chaîne de valeur des hydrocarbures.
- Exploration et Production
Depuis la création de SONATRACH, l’Activité Exploration-Production en
hydrocarbures est montée en puissance grâce à l’expertise technologique et le savoir-
faire des équipes dans la recherche et la découverte de nouveaux gisements sur le
territoire national et à travers le monde.
- Liquéfaction et Séparation
Pionnier dans le GNL, SONATRACH s’est hissée parmi les tous premiers acteurs
mondiaux dans la production et la commercialisation de produits à forte valeur ajoutée.
- Raffinage et Pétrochimie
L’activité Raffinage-Pétrochimie a pour mission de valoriser l’approvisionnement du
marché domestique en carburants.
- Commercialisation
Depuis plus de 50 ans, SONATRACH est un fournisseur clé de référence sur la scène
européenne et internationale.
- L’organigramme :
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V. Sonatrach exploite le plus grand champ pétrolier d'Algérie,
Hassi Messaoud :
Le champ de Hassi Messaoud est considéré comme l'un des plus grands gisements
dans le monde. et se situe à environ 850 Km au Sud Sud-est d'Alger, à 280 Km au Sud-
est du gisement de gaz à condensât de Hassi R'Mel et à 350 Km à l'Ouest de la frontière
tunisienne.
V.1. Réservoirs :
Le champ de Hassi Messaoud est composé de quatre réservoirs (R3, R2, Ra, et Ri),
dont les dépôts quartzitiques d'âge Cambro-Ordovicien se développent sur plusieurs
centaines de mètres d'épaisseur, à une profondeur variant de 3200 à 3500 m.
Le réservoir principal est le Ra, où la formation a été subdivisée verticalement en
intervalles avec des propriétés différentes qui sont appelées des drains.
Le champ de Hassi Messaoud est divise d’Est en ouest en deux parties distinctes :
Le champ sud et le champ Nord, chacun a sa propre numérotation.
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Un second est du a la présence, dans la formation, d'eau salée saturée dans les
conditions de fond. Ces dépôts entraînent des bouchages et diminuent fortement la
productivité des puits.
Les percées de gaz et d'eau dans les puits producteurs en zone d'injection posent des
problèmes de production. Cette dernière réduit d'une façon importante l'index de
productivité, particulièrement sur les puits en percée d'eau. Ces puits nécessitent à court
terme le gaz lift pour les maintenir en production d'où des investissements
supplémentaires.
Département géologie
- Service Etude géologique
- Service Diagraphie
- Surveillance
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Département opération
- Service Work-Over
- Service Stimulation
- Service Snubbing
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- Champ périphérique et extérieur
- Data Bank
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Pression en tête, pression en 7’’, pression en 9’’5/8 et la pression et la température au
niveau des manifold de distribution du gaz injecté .
Il font aussi le changement du diagramme de différence de pression qui permet la
mesure du débit d’injection.
Ce diagramme est placé dans un enregistreur appelé ‘’BARTON’’ qui fait
l’enregistrement de la pression différentielle entre l’amant et l’aval d’un orifice
placé sur la conduite.
Le débit de gaz est calculé par la formule suivante :
Qg = 0,18988 . µ . J . £ . d2 P0 . h / Z0 .T0 .G
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Le Gas-Lift :
Le gaz lift est un moyen d’activation utilise dans les puits semi ou non éruptifs qui
possèdent un certain GOR.
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Pour les puits qui ont en plus un problème de sel, on installe une pompe BSB
fonctionnant avec le gaz même produit par le puits. Cette pompe sert a pomper de l’eau
douce dans un concentrique suspendu a l’intérieur du puits a fin de dissoudre le sel et
éviter le bouchage du tubing de production.
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- Service essai de puits :
Ce service assure la réalisation des différents tests des puits au cours et après le forage,
et permet d’avoir un certain nombre des renseignements tels que :
La capacité de puits
La pression du gisement.
L’air et le rayon de drainage.
Les paramètres pétro physiques du réservoir.
La limite et hétérogénéité.
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- Service Etudes Et Programmation :
Certains puits nécessite une intervention au cours de production suite à des
anomalies provoquant la chute de production.
Pour trouver des solutions à ses puits le service études et programmation élabore des
programmes d’entretien et d’intervention sur puits.
- Les principaux problèmes rencontrés au niveau d’un puits sont :
- Nettoyage de tubing, des prefos de liner, de crépine, de fond et de fractures
(dépôts insolubles à l’eau (BaSo4)
- Problème de communication des espaces annulaires
- Recomplétion des puits
- Injection de gaz ou d’eau
- Les venues d’eau et de gaz
- L’instrumentation ; outils coincés dans le puits
- Le service travaille en collaboration avec le département des Opérations
(Work-Over, Snubbing et Coiled Tubing).
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- Revêtement du puits
- Contrôle de l’état du casing
1- Fracturation hydraulique :
Elle consiste à créer après rupture de la roche un drain perméable qui s’étend le plus
possible de la formation a fin de faciliter l’ecoulement de l’huile vers le puits
Pour fracturer la roche réservoir en injectant des billes de frac au bauxite sous une
grande pression.
La fracturation consiste à élargir les fissures naturelles de la roche réservoir ou même
créer des fissures là où elles n’existent pas.
2- Traitement de matrice :
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- Service rapport et planification :
Il communique avec les différentes départements et les services , en créant des rapports
spéciaux afin qu'ils soient selon la problématique et le processus à accomplir selon
l’étude réalisé a partir les services précédents .
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Appareil de Work over
B. Snubbing :
Le Snubbing est un moyen qui permet de descendre dans un puits en pression,
une tubulaire munie en son extrémité d’un clapet anti-retour en utilisant un
dispositif de manœuvre et un système d’étanchéité approprié.
On trouve deux types d’appareils de Snubbing :
- A longue course HRL (une course d’environ 11 m).
- A petite course HRS (une course d’environ 3 m).
Les unités de Snubbing ont une grande puissance et elles peuvent parfois remplacées
un Work Over ou un forage.
Opérations effectuées par le Snubbing :
- Changement des concentriques.
- Nettoyage du fond.
- Repêchage des poissons.
- Descente et remontée des complétions.
- Circulation et nettoyage des dépôts et sédiments à l’intérieur du puits.
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- Acidification et nettoyage des perforations.
- Opérations de fraisage.
- Contrôle des puits.
L’appareille de Snubbing est constitué essentiellement de
1- accumulateur.
2- strippers.
3- obturateurs.
4- tête rotative (rotary swivel) .
5- ensemble des vérins
hydrauliques. 6- snubs fixes
(stationary slips)
7- snubs mobiles (traveling slips).
8- clé automatique (power tong).
9- groupe de puissance (power pack).
10- passerelle de travail.
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Appareil de Snubbing
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C. Coiled Tubing :
Le Coiled Tubing est une opération qui consiste a introduire un tubing de différents
diamètres enroule sur un tambour (coil) dans un puits sous pression .Pour se faire le
tube est manœuvre depuis la surface par un injecteur au travers un système d’étanchéité
qui est le BOP. Les avantages de cette technique sont la rapidité d’exécution et le gain
en temps de production (le puits reste sur collecte).
Parmi les opérations effectuées par le Coiled tubing on cite :
- Les opérations de perforation.
- Le nettoyage de dépôt et sédiment.
- La mise en place des bouchons de sable et de ciment.
- L’acidification et la fracturation des réservoirs.
- Le démarrage et neutralisation des puits.
- Les opérations de Logging.
- Les opérations de fraisage et repêchage.
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Service wire line Nord : réalise les opérations wire line sur chantier Nord.
Service wire line sud : réalise les opérations wire line sur chantier sud .
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Service wire line Entretien : Se compose de trois sections :
- Section préparation.
- Section entretien Wire Line.
- Section hydromécanique.
Le Wire Line est une technique d’intervention sur puits sous pression en utilisant des
outils manœuvres depuis la surface par l’intermédiaire d’un câble relie a un treuil.
Elle permet donc de repêcher et de poser toute une série d’outils et d’instruments sans
interrompre la production grâce a un équipement spéciale que voici :
- Equipements de surface :
1) Treuil : sur lequel est enroule le câble.
2) SAS : ensemble de pièces assurant l’introduction du câble dans le puits en
toute sécurité, il est compose de :
• stuffing box : permet l’entrée du câble wire line dans puits et assure l’étanchéité sur le
câble durant l’opération.
•le tube SAS : est la liaison entre le BOP et la Stuffing Box. Résistant aux
hautes pressions, il est compose de manchettes accordées grâce a des raccords rapides,
et une purge. Sa longueur varie selon la longueur du train de WL
•le BOP (Blow Out Preventer) : c’est un équipement de sécurité de surface
qui permet de fermer le puits en cas d’urgence (fuite ou problème avec un équipement
de surface) sur le câble (sans le casser).
- Equipements de fond : (train wire line)
1) câble : il peut être de diamètre diffèrent selon le poids du train.
2) La rope socket : elle assure la liaison solide entre le train de WL et le câble.
3) barres de charge : ce sont des barres lourdes qui assurent le poids sur l’outil pour le
battage
4) coulisses (jar) : elles permettent le battage soit vers le haut soit vers le bas a fin
de poser ou de repêcher l’outil.
5) rotules : permettent de suivre les déviations des puits grâce a leurs a
leurs articulations.
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Calibres de différents diamètres Rope socket
BOB manuelle
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Unité de Wire Line sur un puits injecteur de gaz Schlumberger
- Déroulement de l’opération :
- Pose de la Storm choke (clapet anti retour qui empêche le gaz injecte de revenir
- en surface) dans un puits injecteur de gaz.
- Enlever le top cap et placer le BOP.
- Monter le SAS.
- Introduire le câble dans la stuffing-box et le SAS.
- Monter le train wire line (rope socket + barres de charge + coulisse + gratteur).
- Fixer le SAS sur le BOP a l’aide d’une grue.
- Ouvrir la vanne de curage.
- Commencer l’opération de nettoyage du tubing en descendant le câble.
- Remonter le train et changer le gratteur par le calibre a fin de s’assurer qu’il
n’y aura aucun obstacle lors de la descente de la vanne.
- L’opération de calibrage terminée, on remplace le calibre par la Storm Choke sur
le train de WL.
- Descendre le nouveau train wire line jusqu'a la cote ou on veut placer la
Storm Choke.
- On effectue un battage vers le bas afin de libérer la Storm choke et de la placer
sur son siège.
- Remonter le train en surface.
- Fermer la vanne de curage.
- Purger le SAS.
- Démonter l’ensemble.
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VII. Conclusion :
Durant ce stage pratique passe a HASSI MESSAOUD nous avons pu approfondir nos
connaissances sur le domaine pétrolier en général et la production en particulier.
Nous avons eu a notre plus grand plaisir l’occasion de voir le chantier, et donc de mettre
une image concrète sur la théorie qu’on a étudie a l’université, de plus ca nous a permis
de nous familiariser avec notre futur métier, certes comme la production est un domaine
beaucoup trop vaste il nous a été impossible de tout voir en l’espace de, seulement
8 jours mais cela constitue un bon point de départ pour notre travail personnel. Nous
tenons a remercier tous les superviseurs de la SONATRACH division DP qui ont été si
patients avec nous, et nous ont donne de leur temps pour enrichir nos connaissances.
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SOMMAIRE
I. Introduction..................................................................................................................1
II. Présentation de l’entreprise SONATRACH...........................................................1
III. Histoire.......................................................................................................................2
IV. Activités......................................................................................................................3
V. Sonatrach exploite le plus grand champ pétrolier d'Algérie, Hassi Messaoud....5
V.1. Réservoirs...............................................................................................................5
V.2. Problèmes d'exploitations rencontrées au champ Hassi Messaoud........................5
V.3. Organisation de la direction Engineering et Production -DEP- ( DP IRARA -
HASSI MESSAOUD )...................................................................................................6
VI. Opérations assistées..................................................................................................7
1- Département réservoir : (18//07/2022)....................................................................7
2- Département contrôle puits : (19/07/2022).............................................................8
3- Département Technique puits : (21/07/2022).......................................................11
4- Département Opération puits : (21/07 au 23/07/2022).........................................15
5- Département Wire Line: (20/0/2022)....................................................................18
VII. Conclusion..............................................................................................................22