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Louis Blonce
4 septembre 2019
Université Le Havre Normandie - ISEL
Table des matières
2. Champ de vecteurs
3. Torseurs
1
Calculs vectoriels classiques
Notations
2
Notations
2
Notations
2
Notations
2
Notations
2
Notations
2
Vecteurs orthonormés
3
Vecteurs orthonormés
3
Vecteurs orthonormés
3
Vecteurs orthonormés
3
Vecteurs orthonormés
3
Vecteurs orthonormés
3
Produit scalaire
(i, j, E) base
Fri E IR 3,] un. Mz, U, E IR
1F = Mr P + M2 J t Mz R
(u 1 1 M2 I Mz) sont les composantes du vecteur à dans la base (î, J, K)
4
Produit scalaire
Le produit scalaire de deux vecteurs est une opération notée "." qui
transforme les deux vecteurs en un scalaire.
4
Produit scalaire
Le produit scalaire de deux vecteurs est une opération notée "." qui
transforme les deux vecteurs en un scalaire.
Définition
Si on note
4
Produit scalaire
Le produit scalaire de deux vecteurs est une opération notée "." qui
transforme les deux vecteurs en un scalaire.
Définition
Si on note
on aura :
4
Produit scalaire
Le produit scalaire de deux vecteurs est une opération notée "." qui
transforme les deux vecteurs en un scalaire.
Définition
Si on note
on aura :
4
Propriétés du produit scalaire
5
Propriétés du produit scalaire
~u .~v = ~v .~u
5
Propriétés du produit scalaire
~u .~v = ~v .~u
~u .~v = u1 v1 + u2 v2 + u3 v3
5
Produit vectoriel
6
Produit vectoriel
6
Produit vectoriel
6
Produit vectoriel
~ = ~u ∧ ~v
w
direction de W : B I I et NIP
sens de lit est tel que (û, E, û)est un trièdre direct
Â
↳
6
Produit vectoriel
~ = ~u ∧ ~v
w
~ sont :
Les caractéristiques de w
6
Produit vectoriel
~ = ~u ∧ ~v
w
~ sont :
Les caractéristiques de w
• Sa norme : ||w
~ || = ||~u || ||~v || | sin(~u , ~v )|
6
Produit vectoriel
~ = ~u ∧ ~v
w
~ sont :
Les caractéristiques de w
• Sa norme : ||w~ || = ||~u || ||~v || | sin(~u , ~v )|
~ est porté par la droite perpendiculaire au plan
• Sa direction, w
formé par les vecteurs ~u et ~v
6
Produit vectoriel
~ = ~u ∧ ~v
w
~ sont :
Les caractéristiques de w
• Sa norme : ||w~ || = ||~u || ||~v || | sin(~u , ~v )|
~ est porté par la droite perpendiculaire au plan
• Sa direction, w
formé par les vecteurs ~u et ~v
• Son sens est tel que (~u , ~v , w ~ ) forme un trièdre direct.
6
Produit vectoriel
~ =0
w
7
Produit vectoriel
7
Produit vectoriel
7
Produit vectoriel
7
Propriétés du produit vectoriel
8
Propriétés du produit vectoriel
8
Propriétés du produit vectoriel
8
Propriétés du produit vectoriel
8
Propriétés du produit vectoriel
8
Propriétés du produit vectoriel
8
Propriétés du produit vectoriel
8
Propriétés du produit vectoriel
8
Champ de vecteurs
Champ de vecteurs
9
Champ de vecteurs
Définition
Soit E un espace de point (espace affine). Dans cet espace, on
définit un champ de vecteur comme étant une application qui à
tout point de l’espace associe un vecteur.
9
Champ de vecteurs
Définition
Soit E un espace de point (espace affine). Dans cet espace, on
définit un champ de vecteur comme étant une application qui à
tout point de l’espace associe un vecteur.
9
Champ de vecteurs
Définition
Soit E un espace de point (espace affine). Dans cet espace, on
définit un champ de vecteur comme étant une application qui à
tout point de l’espace associe un vecteur.
9
Champ de vecteurs
Définition
Soit E un espace de point (espace affine). Dans cet espace, on
définit un champ de vecteur comme étant une application qui à
tout point de l’espace associe un vecteur.
9
Champ de vecteurs
Définition
Soit E un espace de point (espace affine). Dans cet espace, on
définit un champ de vecteur comme étant une application qui à
tout point de l’espace associe un vecteur.
9
Vecteurs
Champ de moment
FIN)
û
↑•N (N/Yai 3N)
ÂCQ)
O Q
P
î •M
10
Champ de moment
Définition
~ ∧−
Si ~S(M, N) = R
−→
MN, on dit que le champs de vecteur est un
champ de moment. On a alors la relation fondamentale :
10
Champ de moment
Définition
~ ∧−
Si ~S(M, N) = R
−→
MN, on dit que le champs de vecteur est un
champ de moment. On a alors la relation fondamentale :
∀ M, N ∈ E ~
H(N) ~
= H(M) ~ ∧−
+R
−→
MN (2)
10
Champ équiprojectif
11
Champ équiprojectif
Définition
Un champ de vecteur est dit équiprojectif si et seulement si :
11
Champ équiprojectif
Définition
Un champ de vecteur est dit équiprojectif si et seulement si :
−−→ ~ −−→
∀ M, N ∈ E ~
H(M).MN = H(N).MN
11
Champ équiprojectif
Définition
Un champ de vecteur est dit équiprojectif si et seulement si :
−−→ ~ −−→
∀ M, N ∈ E ~
H(M).MN = H(N).MN
propriété
Dire qu’un champ de vecteur est un champ de moment est
équivalent à dire que c’est un champ équiprojectif.
11
Champ équiprojectif
Définition
Un champ de vecteur est dit équiprojectif si et seulement si :
−−→ ~ −−→
∀ M, N ∈ E ~
H(M).MN = H(N).MN
propriété
Dire qu’un champ de vecteur est un champ de moment est
équivalent à dire que c’est un champ équiprojectif.
11
Démonstration
12
Démonstration
12
Démonstration
•
∀ M, N ∈ E ~
H(N) ~
= H(M) ~ ∧−
+R
−→
MN
12
Démonstration
•
∀ M, N ∈ E ~
H(N) ~
= H(M) ~ ∧−
+R
−→
MN
12
Démonstration
•
∀ M, N ∈ E ~
H(N) ~
= H(M) ~ ∧−
+R
−→
MN
12
Démonstration
•
∀ M, N ∈ E ~
H(N) ~
= H(M) ~ ∧−
+R
−→
MN
12
Démonstration
•
∀ M, N ∈ E ~
H(N) ~
= H(M) ~ ∧−
+R
−→
MN
~ est équiprojectif.
• Ce qui implique que le champ de vecteur H
12
Suite Démonstration
13
Suite Démonstration
~
Maintenant supposons que le champ de vecteur H(M) est un champ
équiprojectif. C’est-à-dire que :
13
Suite Démonstration
~
Maintenant supposons que le champ de vecteur H(M) est un champ
équiprojectif. C’est-à-dire que :
•
−−→ ~ −−→
∀ M, N ∈ E ~
H(M). MN = H(N).MN
13
Suite Démonstration
~
Maintenant supposons que le champ de vecteur H(M) est un champ
équiprojectif. C’est-à-dire que :
•
−−→ ~ −−→
∀ M, N ∈ E ~
H(M). MN = H(N).MN
•
~ ~ −−→
=⇒ (H(M) − H(N)). MN = 0
13
Suite Démonstration
~
Maintenant supposons que le champ de vecteur H(M) est un champ
équiprojectif. C’est-à-dire que :
•
−−→ ~ −−→
∀ M, N ∈ E ~
H(M). MN = H(N).MN
•
~ ~ −−→
=⇒ (H(M) − H(N)). MN = 0
~
• On en déduit donc que le vecteur (H(M) ~
− H(N)) est
−−→
perpendiculaire au vecteur MN.
13
Suite Démonstration
~
Maintenant supposons que le champ de vecteur H(M) est un champ
équiprojectif. C’est-à-dire que :
•
−−→ ~ −−→
∀ M, N ∈ E ~
H(M). MN = H(N).MN
•
~ ~ −−→
=⇒ (H(M) − H(N)). MN = 0
~
• On en déduit donc que le vecteur (H(M) ~
− H(N)) est
−−→
perpendiculaire au vecteur MN.
• Montrer que ce champ est un champ de moment revient à
~ tel que
montrer qu’il existe un vecteur R
13
Suite Démonstration
~
Maintenant supposons que le champ de vecteur H(M) est un champ
équiprojectif. C’est-à-dire que :
•
−−→ ~ −−→
∀ M, N ∈ E ~
H(M). MN = H(N).MN
•
~ ~ −−→
=⇒ (H(M) − H(N)). MN = 0
~
• On en déduit donc que le vecteur (H(M) ~
− H(N)) est
−−→
perpendiculaire au vecteur MN.
• Montrer que ce champ est un champ de moment revient à
~ tel que
montrer qu’il existe un vecteur R
•
~
H(N) ~
= H(M) +R ~ ∧− −→
MN
.
13
Suite Démonstration
~
Maintenant supposons que le champ de vecteur H(M) est un champ
équiprojectif. C’est-à-dire que :
•
−−→ ~ −−→
∀ M, N ∈ E ~
H(M). MN = H(N).MN
•
~ ~ −−→
=⇒ (H(M) − H(N)). MN = 0
~
• On en déduit donc que le vecteur (H(M) ~
− H(N)) est
−−→
perpendiculaire au vecteur MN.
• Montrer que ce champ est un champ de moment revient à
~ tel que
montrer qu’il existe un vecteur R
•
~
H(N) ~
= H(M) +R ~ ∧− −→
MN
.
•
~
=⇒ H(N) ~
− H(M) ~ ∧−
=R
−→
MN
13
Suite Démonstration
14
Suite Démonstration
~ ~ −−→
• Or on vient de voir que (H(M) − H(N)) et MN sont
perpendiculaires.
14
Suite Démonstration
~ ~ −−→
• Or on vient de voir que (H(M) − H(N)) et MN sont
perpendiculaires.
• La question est donc de savoir si on peut trouver un vecteur ~c tel
que ~a = ~c ∧ ~b où ~b et ~a sont connus et perpendiculaires entre
eux.
14
Suite Démonstration
~ ~ −−→
• Or on vient de voir que (H(M) − H(N)) et MN sont
perpendiculaires.
• La question est donc de savoir si on peut trouver un vecteur ~c tel
que ~a = ~c ∧ ~b où ~b et ~a sont connus et perpendiculaires entre
eux.
• La réponse est oui, il suffit de résoudre un système linéaire.
14
Torseurs
Torseurs
15
Torseurs
15
Torseurs
15
Torseurs
15
Torseurs
15
Torseurs
~
torseur en A du champ de moment H.
15
Notation des torseurs
16
Notation des torseurs
On le note :
−
→
R
[T] = −
→
A H (A)
~ est la résultante
• ou R
16
Notation des torseurs
On le note :
−
→
R
[T] = −
→
A H (A)
• ou R~ est la résultante
~
• et H(A) est la valeur du champ de moment en A ou dit plus
rapidement par abus de langage le moment en A.
16
Notation des torseurs
On le note :
−
→
R
[T] = −
→
A H (A)
• ou R~ est la résultante
~
• et H(A) est la valeur du champ de moment en A ou dit plus
rapidement par abus de langage le moment en A.
16
Notation des torseurs
On le note :
−
→
R
[T] = −
→
A H (A)
• ou R~ est la résultante
~
• et H(A) est la valeur du champ de moment en A ou dit plus
rapidement par abus de langage le moment en A.
16
Notation des torseurs
On le note :
−
→
R
[T] = −
→
A H (A)
• ou R~ est la résultante
~
• et H(A) est la valeur du champ de moment en A ou dit plus
rapidement par abus de langage le moment en A.
∀ M∈E ~
H(M) ~
= H(A) ~ ∧−
+R
−→
AM (4)
16
Opération sur les torseurs
17
Opération sur les torseurs
−
→
−
→
R1 R2
Considérons deux torseurs [T1 ] = −
→ et [T2 ] = −
→ .
A H1 (A) A H2 (A)
17
Opération sur les torseurs
−
→
−
→
R1 R2
Considérons deux torseurs [T1 ] = −
→ et [T2 ] = −
→ .
A H1 (A) A H2 (A)
On va définir différentes opérations sur ces deux torseurs.
17
Opération sur les torseurs
−
→
−
→
R1 R2
Considérons deux torseurs [T1 ] = −
→ et [T2 ] = −
→ .
A H1 (A) A H2 (A)
On va définir différentes opérations sur ces deux torseurs.
• Somme
−
→ −
→
R1 + R2
[T1 ] + [T2 ] = −−−→ −−−→
A H1 (A)+H2 (A)
17
Opération sur les torseurs
−
→
−
→
R1 R2
Considérons deux torseurs [T1 ] = −
→ et [T2 ] = −
→ .
A H1 (A) A H2 (A)
On va définir différentes opérations sur ces deux torseurs.
• Somme
−
→ −
→
R1 + R2
[T1 ] + [T2 ] = −−−→ −−−→
A H1 (A)+H2 (A)
~ 1 .H
[T1 ] × [T2 ] = R ~ 2 (A) + R
~ 2 .H
~ 1 (A)
17
Opération sur les torseurs
−
→
−
→
R1 R2
Considérons deux torseurs [T1 ] = −
→ et [T2 ] = −
→ .
A H1 (A) A H2 (A)
On va définir différentes opérations sur ces deux torseurs.
• Somme
−
→ −
→
R1 + R2
[T1 ] + [T2 ] = −−−→ −−−→
A H1 (A)+H2 (A)
~ 1 .H
[T1 ] × [T2 ] = R ~ 2 (A) + R
~ 2 .H
~ 1 (A)
17
Propriétés des torseurs
18
Propriétés des torseurs
18
Propriétés des torseurs
• un invariant vectoriel,
18
Propriétés des torseurs
• un invariant vectoriel,
18
Propriétés des torseurs
18
Propriétés des torseurs
18
Propriétés des torseurs
18
Propriétés des torseurs
18
Propriétés des torseurs
18
Propriétés des torseurs
On a donc : ∀ M, N ∈ E ~
H(M).R~ = H(A).
~ R~
18
Torseurs particuliers
19
Torseurs particuliers
19
Torseurs particuliers
19
Torseurs particuliers
19
Torseurs particuliers
19
Axe central d’un torseur
20
Axe central d’un torseur
Définition
L’axe central d’un torseur est le lieu des points I pour lesquels la
valeur du champ de moment H(I) ~ est parallèle à la résultante du
~
torseur R.
20
Axe central d’un torseur
Définition
L’axe central d’un torseur est le lieu des points I pour lesquels la
valeur du champ de moment H(I) ~ est parallèle à la résultante du
~
torseur R.
~
Dire que H(I)// ~ =⇒ H(I)
R ~ ~
= aR avec a ∈ R.
20
Axe central d’un torseur
Définition
L’axe central d’un torseur est le lieu des points I pour lesquels la
valeur du champ de moment H(I) ~ est parallèle à la résultante du
~
torseur R.
~
Dire que H(I)// ~ =⇒ H(I)
R ~ ~ avec a ∈ R.
= aR
Supposons connu le torseur au point O,
20
Axe central d’un torseur
Définition
L’axe central d’un torseur est le lieu des points I pour lesquels la
valeur du champ de moment H(I) ~ est parallèle à la résultante du
~
torseur R.
~
Dire que H(I)// ~ =⇒ H(I)
R ~ ~ avec a ∈ R.
= aR
~
Supposons connu le torseur au point O, c’est à dire sa résultante R
~
et son moment H(O). On a alors :
20
Axe central d’un torseur
Définition
L’axe central d’un torseur est le lieu des points I pour lesquels la
valeur du champ de moment H(I) ~ est parallèle à la résultante du
~
torseur R.
~
Dire que H(I)// ~ =⇒ H(I)
R ~ ~ avec a ∈ R.
= aR
~
Supposons connu le torseur au point O, c’est à dire sa résultante R
~
et son moment H(O). On a alors :
~
H(I) = ~
H(O) ~ ∧−
+R
→
OI
20
Axe central d’un torseur
Définition
L’axe central d’un torseur est le lieu des points I pour lesquels la
valeur du champ de moment H(I) ~ est parallèle à la résultante du
~
torseur R.
~
Dire que H(I)// ~ =⇒ H(I)
R ~ ~ avec a ∈ R.
= aR
~
Supposons connu le torseur au point O, c’est à dire sa résultante R
~
et son moment H(O). On a alors :
~
H(I) = ~
H(O) ~ ∧−
+R
→
OI
=⇒ ~
aR ~
= H(O) ~ ∧−
+R
→
OI
20
Axe central d’un torseur
Définition
L’axe central d’un torseur est le lieu des points I pour lesquels la
valeur du champ de moment H(I) ~ est parallèle à la résultante du
~
torseur R.
~
Dire que H(I)// ~ =⇒ H(I)
R ~ ~ avec a ∈ R.
= aR
~
Supposons connu le torseur au point O, c’est à dire sa résultante R
~
et son moment H(O). On a alors :
~
H(I) ~
= H(O) +R~ ∧−
→
OI
=⇒ ~ = H(O)
aR ~ +R~ ∧−
→
OI
~ ∧−
=⇒ R
→
OI = aR~ − H(O)
~
20
Rappelons que l’on cherche à connaître le lieu géométrique des
points I.
21
Rappelons que l’on cherche à connaître le lieu géométrique des
points I. Il nous faut donc extraire de la relation précédente le vecteur
−
→
OI.
21
Rappelons que l’on cherche à connaître le lieu géométrique des
points I. Il nous faut donc extraire de la relation précédente le vecteur
−
→
OI. Pour ce faire, on effectue le produit scalaire de la relation
précédente avec la résultante R. ~ Soit :
21
Rappelons que l’on cherche à connaître le lieu géométrique des
points I. Il nous faut donc extraire de la relation précédente le vecteur
−
→
OI. Pour ce faire, on effectue le produit scalaire de la relation
précédente avec la résultante R. ~ Soit :
~ R
R.( ~ ∧−
→
OI) = ~ R
R.(a ~ − H(O))
~
21
Rappelons que l’on cherche à connaître le lieu géométrique des
points I. Il nous faut donc extraire de la relation précédente le vecteur
−
→
OI. Pour ce faire, on effectue le produit scalaire de la relation
précédente avec la résultante R. ~ Soit :
~ R
R.( ~ ∧−
→
OI) = ~ R
R.(a ~ − H(O))
~
~ H(O)
R. ~
=⇒ a =
~2
R
21
Rappelons que l’on cherche à connaître le lieu géométrique des
points I. Il nous faut donc extraire de la relation précédente le vecteur
−
→
OI. Pour ce faire, on effectue le produit scalaire de la relation
précédente avec la résultante R. ~ Soit :
~ R
R.( ~ ∧−
→
OI) = ~ R
R.(a ~ − H(O))
~
~ H(O)
R. ~
=⇒ a =
~2
R
On peut calculer a donc I existe, que l’on détermine de la manière
suivante :
−
→ ~ − H(O))
(aR ~ ∧R
~
~
OI = + λR
~
R 2
21
Rappelons que l’on cherche à connaître le lieu géométrique des
points I. Il nous faut donc extraire de la relation précédente le vecteur
−
→
OI. Pour ce faire, on effectue le produit scalaire de la relation
précédente avec la résultante R. ~ Soit :
~ R
R.( ~ ∧−
→
OI) = ~ R
R.(a ~ − H(O))
~
~ H(O)
R. ~
=⇒ a =
~2
R
On peut calculer a donc I existe, que l’on détermine de la manière
suivante :
−
→ ~ − H(O))
(aR ~ ∧R ~
~
OI = + λR
~
R 2
−
→ ~ ∧ H(O)
R ~
=⇒ OI = ~
+ λR
~2
R
21
Rappelons que l’on cherche à connaître le lieu géométrique des
points I. Il nous faut donc extraire de la relation précédente le vecteur
−
→
OI. Pour ce faire, on effectue le produit scalaire de la relation
précédente avec la résultante R. ~ Soit :
~ R
R.( ~ ∧−
→
OI) = ~ R
R.(a ~ − H(O))
~
~ H(O)
R. ~
=⇒ a =
~2
R
On peut calculer a donc I existe, que l’on détermine de la manière
suivante :
−
→ ~ − H(O))
(aR ~ ∧R ~
~
OI = + λR
~
R 2
−
→ ~ ∧ H(O)
R ~
=⇒ OI = ~
+ λR
~2
R
Où λ ∈ R
21
~ quand λ varie,
I décrit donc une droite parallèle à R
22
~ quand λ varie, d’ou l’appellation
I décrit donc une droite parallèle à R
22
~ quand λ varie, d’ou l’appellation
I décrit donc une droite parallèle à R
d’axe central du torseur.
22
~ quand λ varie, d’ou l’appellation
I décrit donc une droite parallèle à R
d’axe central du torseur.
Etudions maintenant la structure de cet axe central que nous
noterons ∆.
22
~ quand λ varie, d’ou l’appellation
I décrit donc une droite parallèle à R
d’axe central du torseur.
Etudions maintenant la structure de cet axe central que nous
noterons ∆.
Soit donc I appartenant à cet axe ∆.
22
~ quand λ varie, d’ou l’appellation
I décrit donc une droite parallèle à R
d’axe central du torseur.
Etudions maintenant la structure de cet axe central que nous
noterons ∆.
Soit donc I appartenant à cet axe ∆.
∀ M ~
H(M) = ~
H(I) ~ ∧−
+R
→
IM
22
~ quand λ varie, d’ou l’appellation
I décrit donc une droite parallèle à R
d’axe central du torseur.
Etudions maintenant la structure de cet axe central que nous
noterons ∆.
Soit donc I appartenant à cet axe ∆.
∀ M ~
H(M) ~
= H(I) +R ~ ∧− →
IM
~ 2 (M) = H
H ~ ∧−
~ 2 (I) + (R → ~
IM)2 + 2H(I).( ~ ∧−
R
→
IM)
22
~ quand λ varie, d’ou l’appellation
I décrit donc une droite parallèle à R
d’axe central du torseur.
Etudions maintenant la structure de cet axe central que nous
noterons ∆.
Soit donc I appartenant à cet axe ∆.
∀ M ~
H(M) ~
= H(I) +R ~ ∧− →
IM
~ 2 (M) = H
H ~ ∧−
~ 2 (I) + (R → ~
IM)2 + 2H(I).( ~ ∧−
R
→
IM)
~
Or H(I) ~ et donc 2H(I).(
= aR ~ ~ ∧−
R
→
IM) = 0
22
~ quand λ varie, d’ou l’appellation
I décrit donc une droite parallèle à R
d’axe central du torseur.
Etudions maintenant la structure de cet axe central que nous
noterons ∆.
Soit donc I appartenant à cet axe ∆.
∀ M ~
H(M) ~
= H(I) +R ~ ∧− →
IM
~ 2 (M) = H
H ~ ∧−
~ 2 (I) + (R → ~
IM)2 + 2H(I).( ~ ∧−
R
→
IM)
~
Or H(I) ~ et donc 2H(I).(
= aR ~ ~ ∧−
R
→
IM) = 0
On a donc
22
~ quand λ varie, d’ou l’appellation
I décrit donc une droite parallèle à R
d’axe central du torseur.
Etudions maintenant la structure de cet axe central que nous
noterons ∆.
Soit donc I appartenant à cet axe ∆.
∀ M ~
H(M) ~
= H(I) +R ~ ∧− →
IM
~ 2 (M) = H
H ~ ∧−
~ 2 (I) + (R → ~
IM)2 + 2H(I).( ~ ∧−
R
→
IM)
~
Or H(I) ~ et donc 2H(I).(
= aR ~ ~ ∧−
R
→
IM) = 0
On a donc
∀ M ~ 2 (M)
H = H ~ ∧−
~ 2 (I) + (R →
IM)2
22
~ quand λ varie, d’ou l’appellation
I décrit donc une droite parallèle à R
d’axe central du torseur.
Etudions maintenant la structure de cet axe central que nous
noterons ∆.
Soit donc I appartenant à cet axe ∆.
∀ M ~
H(M) ~
= H(I) +R ~ ∧− →
IM
~ 2 (M) = H
H ~ ∧−
~ 2 (I) + (R → ~
IM)2 + 2H(I).( ~ ∧−
R
→
IM)
~
Or H(I) ~ et donc 2H(I).(
= aR ~ ~ ∧−
R
→
IM) = 0
On a donc
∀ M ~ 2 (M) = H
H ~ ∧−
~ 2 (I) + (R →
IM)2
−−−→ −−→
=⇒ ||H(M)|| > ||H(I)|| ∀ M
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On vient donc de démontrer le théorème suivant :
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On vient donc de démontrer le théorème suivant :
Théorème
L’axe ∆, axe central du torseur, est le lieu des points I
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On vient donc de démontrer le théorème suivant :
Théorème
L’axe ∆, axe central du torseur, est le lieu des points I pour lesquels
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On vient donc de démontrer le théorème suivant :
Théorème
L’axe ∆, axe central du torseur, est le lieu des points I pour lesquels
la valeur du champ de moment
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On vient donc de démontrer le théorème suivant :
Théorème
L’axe ∆, axe central du torseur, est le lieu des points I pour lesquels
la valeur du champ de moment est minimale.
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