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TRAVAUX PRATIQUES N° : 1
DE BIOCHIMIE STRUCTURALE
DEUXIÈME ANNÉE BIOLOGIE
2019 – 2020
Les activités expérimentales jouent un rôle essentiel dans l’enseignement. Il est impératif
pour la sécurité des personnes et du matériel que certaines règles de sécurité doivent être
obligatoirement suivit.
1. Objectifs du T.P
Appliquer les indispensables règles de sécurité de la personne.
Découvrir les nouveaux pictogrammes des étiquettes et identifier les phrases de risque
et les conseils de prudence.
Identifier le matériel et apprendre à l’utiliser.
2. Recommandations générales
1
3. Les interdits :
Fumer, boire, manger.
Manipuler des produits chimiques directement avec les doigts ou les goûter.
Pipeter avec la bouche : cette opération doit être réalisée avec des poires aspirantes,
pipeteur …
Regarder de près les récipients contenant des liquides en ébullition.
Transvaser des liquides en ayant le visage à proximité ou au-dessus des récipients
manipulés.
Ne jamais jeter à l'évier :
o des produits réagissant violemment avec l'eau (métaux alcalins, composés
organométalliques, hydrures…),
o des produits toxiques (phénol, naphtol, cyanures, sels de certains métaux :
mercure, plomb, thallium, chrome, cadmium, zinc, cuivre…),
o des produits inflammables (solvants…),
o des produits nauséabonds (mercaptans, thiols, sulfures…),
o des produits lacrymogènes (halogénures d'acyle…),
o des produits difficilement biodégradables (dérivés polyhalogénés …).
2
Symboles utilisés sur les étiquettes des produits chimiques
3
UNIVERSITÉ AMAR TELIDJI - LAGHOUAT -
FACULTÉ DES SCIENCES
DÉPARTEMENT DE BIOLOGIE
Nom et Prénom :
Année :
Section/Groupe :
TP n° : Date :
QUESTIONS :
2. Si la pureté du raffinose que vous allez utiliser pour la préparation est de 87%, quelle
serai la masse à peser dans ce cas ?
Calcul :……………………………………………………………………..……………
……………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………
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……………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………
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UNIVERSITÉ AMAR TELIDJI - LAGHOUAT -
FACULTÉ DES SCIENCES
DÉPARTEMENT DE BIOLOGIE
TRAVAUX PRATIQUES N° : 2
DE BIOCHIMIE STRUCTURALE
DEUXIÈME ANNÉE BIOLOGIE
2019 - 2020
La biochimie est la discipline scientifique qui étudie les réactions chimiques ayant lieu
au sein des cellules, au cours desquelles la matière est transformé et les espèces chimiques
(atomiques, ioniques ou moléculaires) qui constituent la matière sont modifiées.
Afin de mieux comprendre l’avancement de ces réactions, les travaux pratiques sont une
reproduction et une mise en application d’une méthode scientifique, basée sur la conception
d'un protocole expérimental, l'expérimentation et l'interprétation des résultats permettant de
vérifier et compléter les connaissances dispensées dans les cours théoriques.
En apprentissage pratique on est amené à imiter de la façon la plus proche de la réalité les
milieux où on lieu les réactions métaboliques par l’utilisation de préparations homogènes de
deux ou plusieurs substances, initialement dans un état solide ou liquide qualifié de solutions.
Il est important alors de savoir maîtriser les paramètres expérimentaux nécessaires à la
compréhension des réactions en solution
1. Notion de concertation
La concentration exprime la quantité de substance par unité de volume
Pour calculer la concentration d'une solution nous devons connaître deux facteurs :
• La quantité du composé (nombre de moles, masse, nombre d'équivalents-gramme)
• Le volume de la solution.
2. Expressions de concentration
a) La molarité (M)
Est la concentration en nombre de moles par litre de solution ; elle est donnée par le rapport
du nombre de moles (n) d’un composé par le volume (V).
M : Molarité (mol/l)
𝒏𝒏(𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚)
𝑴𝑴 = n : Nombre de mole
𝑽𝑽(𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙)
V : Volume en litre
T : Titre (g/l)
𝒎𝒎(𝑔𝑔)
𝑻𝑻 = m : Masse du soluté en gramme
𝑽𝑽(𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙)
V : Volume en litre
1
c) Le pourcentage en masse (P)
C'est le nombre de grammes du composé dans cent grammes de solution ; mathématiquement
il s'exprime en divisant la masse du composé par la masse de la solution et en multipliant par
cent.
P : Pourcentage en masse
𝒎𝒎(𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠é)
𝑷𝑷 = × 100 m (soluté) : Masse du soluté en gramme
𝒎𝒎(𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠)
m (solution) : Masse de la solution en gramme
d) La normalité (N)
Est la concentration en équivalents grammes par litre de solution. Un équivalent gramme
d’acide ou de base qui correspond à la libération d’un ion H+ pour un acide ou d’un ion OH–
pour une base.
e) La molalité d’une solution (m) est le nombre de moles de soluté par kilogramme de
solvant. La molalité ne peut pas être calculée à partir de la molarité (M) ou de la normalité (N)
à moins de connaître la densité de la solution.
M : molalité mole/Kg
𝑛𝑛𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠é (𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚)
𝑀𝑀 = n : nombre de mole du soluté en mole
𝑚𝑚𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 (𝐾𝐾𝐾𝐾)
m : masse du solvant en kilogramme
Remarque
Lorsque les substances sont présentes sous forme de trace dans une solution, il est courant
d’utiliser la notion ppm. Il correspond à un facteur 1.000.000 (106).
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3. Dilution
Lorsqu'on dilue une solution aqueuse on ajoute de l'eau sans modifier la quantité de soluté. Le
nombre de moles de soluté reste constant et le volume varie. D'une façon générale supposons
que le volume initial de la solution soit V i et que sa concentration soit C i . Après addition d'eau
le nouveau volume est V f et la nouvelle concentration sera C f . Comme le nombre de moles est
constant, nous pouvons écrire la relation suivante :
La masse volumique (ρ) d’une toute substance homogène est le rapport de la masse m
correspondant à un volume V de cette substance.
5. Objectifs du T.P
Savoir définir une concentration.
Savoir préparer une solution de concentration donnée en composé A :
- Par dissolution d'un composé solide en A
- Par dilution d’une solution pour laquelle la concentration en composé A est connue.
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6. Préparation de solutions
6. 1. Matériel
• Deux béchers.
• Spatule propre et sèche.
• Balance de précision.
• Deux fioles jaugées de 100 mL avec bouchons.
• Pipettes jaugées de 5mL, 10mL, 20mL + propipette et / ou pipeteur.
• Sulfate de cuivre solide.
• Solution aqueuse de permanganate de potassium de concentration C o =50.104 mol.L-1.
• Pissette d’eau distillée.
6. 2. Réalisation
On désire préparer 100mL d'une solution aqueuse de sulfate de cuivre CuSO 4 ,5H 2 O de
concentration C = 4.10-2 mol.l-1.
1. Déterminer la masse molaire du sulfate de cuivre utilisé.
Données : masses molaires atomiques en g.mol-1 : H = 1 ; O = 16 ; S = 32 ; Cu = 63
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6. 2. 2. Préparation d'une solution par dilution
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FACULTÉ DES SCIENCES
DÉPARTEMENT DE BIOLOGIE
TRAVAUX PRATIQUES N° : 3
DE BIOCHIMIE STRUCTURALE
DEUXIÈME ANNÉE BIOLOGIE
2019 – 2020
1. Généralités
- Les sucres sont des produits naturels, ils sont aussi appelés glucides. Dans la nature, la
synthèse des glucides est réalisée par les plantes vertes, à la lumière et grâce à leur
chlorophylle, lors de la photosynthèse. Les autres organismes vivants tirent leurs glucides
directement ou indirectement, de ces végétaux. Les glucides, à côté des protides et des
lipides, constituent les trois nutriments de l'organisme humain.
- Ce sont des hydrates de carbone de formule générale C x (H 2 O) y .
- Dans le langage courant, le terme "sucres" (pluriel) désigne la plupart des glucides, alors que
le terme "sucre" (singulier) désigne le saccharose, le sucre le plus répandu dans la nature.
Les sucres sont de façon générale, utilisés par les organismes vivants comme éléments
structuraux, sources ou réserves d’énergie, on peut les séparer en deux catégories :
Les sucres “ rapides ” (boissons sucrées, sucrerie…) sont rapidement assimilés par
l’organisme.
Les sucres “ lents ” (féculents, pâtes, semoule…) libèrent lentement le glucose. Les
amidons constituent l’essentiel des “ glucides complexes ” de notre alimentation ; les
pommes de terre et les pâtes contiennent de l’amidon
- Les glucides les plus simples sont appelés les oses ou encore monosaccharides ; ils ont pour
formule C x H 2x O x (x>2).
Exemples
o Le glucose (présent dans les fruits mûrs, le nectar des fleurs, la sève, le sang, certaines
confiseries, des boissons sucrées.)
o Le fructose (on le trouve dans les fruits, le miel, certaines confiseries, des boissons
sucrées)
- Les autres glucides complexe sont appelés les osides : ce sont des produits de condensation
de plusieurs oses.
Les disaccharides comme le saccharose résultent de la condensation de deux oses.
Le saccharose ou sucrose, a pour formule globale : C 12 H 22 O 11 . C’est le « sucre », il se
trouve dans la plupart des végétaux, et en particulier, dans la canne à sucre, la betterave
sucrière dont on l’extrait couramment.
1
Les polysaccharides sont des polymères des oses (condensation d’un grand nombre
d’oses). Exemple : l’amidon, formule globale : (C 6 H 10 O 5 ) n , présent dans le maïs, les
pommes de terre, le blé, le riz…
2. Objectif du TP
- Mise en évidence de la propriété réductrice d’un sucre réducteur (glucose)
- Réaliser la réaction caractéristique de mise en évidence de l'amidon
- Caractérisation des glucides présents dans quelques aliments
L'ion cuivrique (Cu2+) est réduit en ion cuivreux (Cu+) par la fonction aldéhyde (-C=O) des
sucres réducteurs pour donner l'oxyde cuivreux (Cu 2 O) qui est rouge et qui précipite.
Si la réaction est positive, on obtient un précipité rouge brique. Si le sucre n’est pas réducteur,
la coloration reste bleue.
b. Le test au lugol (= eau iodée = réactif iodo-ioduré) : peut se réaliser aussi bien sur des solides
que sur des liquides. L'apparition d'une coloration bleu-violacé ou brune indique la présence
de POLYOSIDES (glucides "complexes").
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a. 1. Principe
Le lugol ou l’eau iodée (I3 -) se fixe sur les chaînes polysaccharidiques pour donner des
complexes colorés. L’iode est absorbé par les chaines alpha (1 - 4) des résidus glycosyl, à raison
de 2 molécules d’iode par tour de spire. La réaction du lugol avec le glycogène donne une
coloration brune alors qu’on obtient une coloration bleue-noir avec l’amidon. Cette coloration
disparait au chauffage et réapparait après refroidissement.
Réactifs :
- Liqueur de Fehling : La liqueur de Fehling est un mélange de deux solutions A et B dont la
composition est la suivante :
Solution A : 35 g CuSO 4 .5H 2 O + 5 ml H 2 SO 4 concentré + H 2 O compléter à 1L.
Solution B : 150 g tartrate de K et Na + 300 ml NaOH pure + H 2 O compléter à 1L
- Les solutions de sucre à tester : solutions de glucose, saccharose et amidon à 1%
- Lugol (un mélange de 1g d’iode avec 2g d’Iodure de potassium dans 100 ml d’eau distillée)
- Quelques aliments et boissons : Pomme de terre, banane, Pain, pomme, oignon, des dattes,
lait et jus
Protocole expérimental :
a. Le test à la liqueur de Fehling :
1. Prenez 4 tubes à essai : mettez dans chaque tube 2 ml de la liqueur de Fehling.
2. Ajoutez au premier tube 2 ml de la solution de glucose, au deuxième 2 ml de la solution
de saccharose, au troisième 2 ml de la solution d’amidon et au quatrième 2 ml d’eau distillée.
3. Agiter pour bien mélanger le contenu des tubes
4. Porter les tubes à ébullition pendant 3 min
5. Observer et noter le résultat obtenu.
Réalisez la recherche du pouvoir réducteur sur les aliments et boissons suivants : Pomme de
terre, banane, Pain, pomme, oignon, dattes, lait et jus d’orange
Pour cela :
1. Prenez 8 tubes à essai et vous mettez dans chaque tube des morceaux de chaque aliment
et un petit volume de chaque boisson choisis pour la caractérisation
2. Ajoutez dans chaque tube un volume arbitraire de la liqueur de Fehling
3. Porter les tubes à ébullition pendant 3 min
4. Observer et noter le résultat obtenu.
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b. Le test au lugol :
1. Prenez 4 tubes à essai : mettez dans le premier tube 2 ml de la solution de glucose, au
deuxième 2 ml de la solution de saccharose, au troisième 2 ml de la solution d’amidon et au
quatrième 2 ml d’eau distillée.
2. Ajoutez aux 4 tubes 1 à 2 gouttes du lugol dilué
3. Observer et noter le résultat obtenu.
Réalisez la recherche de la présence d’amidon sur les aliments et boissons suivants : Pomme de
terre, banane, Pain, pomme, oignon, dattes, lait et jus
Pour cela :
1. Prenez 8 tubes à essai et vous mettez dans chaque tube des morceaux de chaque aliment
et un petit volume de chaque boisson choisis pour la caractérisation
2. Ajoutez aux 4 tubes 1 à 2 gouttes du lugol dilué
3. Observer et noter le résultat obtenu.
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DÉPARTEMENT DE BIOLOGIE
TRAVAUX PRATIQUES N° : 4
DE BIOCHIMIE STRUCTURALE
DEUXIÈME ANNÉE BIOLOGIE
2019 – 2020
1. Introduction
Les protéines constituent l'élément de base de toutes cellules vivantes ; elles représentent la seule
source d’azote, élément chimique indispensable à la vie.
Une protéine (ou protide) est un assemblage d'acides aminés. On parle généralement de protéine
lorsque plus de 100 acides aminés sont liés au sein d'une chaîne. Il existe des protéines d’origine
animale et des protéines d’origine végétale.
Éléments de construction et de réparation de l’organisme, les protéines jouent un rôle primordial.
Elles participent au renouvellement quotidien de la peau, des ongles, des cheveux et des tissus
musculaires. Elles interviennent aussi dans le fonctionnement de l'organisme, et en particulier dans
sa défense contre les maladies. Elles agissent par l'intermédiaire d'enzymes dans de nombreuses
fonctions biologiques. Les protéines sont, par ailleurs, indispensables à la croissance des enfants et
des adolescents, ainsi qu'à la formation du fœtus chez les femmes enceintes.
2. Objectif du TP
o Doser les protéines par une méthode chimique : la réaction de Biuret
o Dosage des protéines du blanc d’œuf
La composition moyenne du blanc d’œuf (% en masse) est :
- Eau 85 %
- Protéines 12,9 %
- Lipides 0,3 %
- Glucides 0,8 %
- Sels minéraux 1,0 %
3. Principe
La Biuret résulte de la condensation de 2 molécules d’urée avec départ d’ammoniac.
La Biuret réagit en milieu alcalin avec le CuSO 4 en donnant une coloration violette dont le
maximum d’absorption est à 540 nm.
Par suite de leur analogie de structure avec la Biuret, Les peptides et les protéines donnent la
même réaction.
En milieu alcalin, les protéines qui possèdent au moins 4 liaisons peptidiques forment avec les
ions cuivre (Cu2+) un complexe bleu-violet. Un dosage colorimétrique est donc possible à
540 nm. Le réactif de coloration bleu utilisé est le réactif de Gornall.
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Il est composé :
• de sulfate de cuivre, qui donne la coloration bleu du réactif due aux ions cuivre ;
• d'hydroxyde de sodium, qui rend le milieu basique ;
• de tartrate double de sodium et de potassium, qui « chelate » (piège) le ions Cu2+ et évite
leur précipitation en milieu basique sous forme d'hydroxyde de cuivre Cu(OH) 2 insoluble ;
• d'iodure de potassium, pour éviter la réduction du cuivre.
Un temps de réaction d'environ 30 minutes à l'obscurité est nécessaire à l'obtention d'une coloration
stable. La lecture étant spectrophotométrique, il faut cependant réaliser une gamme d'étalonnage.
La zone d’utilisation est de 1 à 20 mg/mL.
4. Réactifs
- Solution standard d’albumine à 20 mg/mL dans de l'eau physiologique
- Solution inconnue d’albumine (nous utiliserons un blanc d’œuf)
- Eau physiologique : solution contenant 9g de NaCl dans 1L d’eau distillée
- Réactif de biuret (Gornall) :
o CuSO 4 , 5H 2 O : 1,5g
o NaOH : 15 g
o KI : 1g
o Tartrate double de Na et K : 6g
o H 2 O Quantité suffisante pour 1 L
5. Matériel nécessaire
• Spectrophotomètre à 540 nm
• Tubes à essai (autant que de solutions à tester)
• Portoirs pour tubes à essai
• Micropipette à volume 1000 µl et 100 µl
• Une pissette d'eau distillée
6. Manipulation :
a) Préparation des solutions filles d’albumine pour la courbe d’étalonnage :
À partir d'une solution mère d’albumine de concentration massique C 1 = 10 mg/ml, réaliser une
série de 9 solutions filles :
Numéro de la solution 1 2 3 4 5 6 7 8 9
Concentration massique (mg/ml) 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Volume finale (ml) 5 5 5 5 5 5 5 5 5
Volume à prendre de la solution
1,0 5,0
mère (ml)
Volume de l’H 2 O (ml) 4,0 0
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- Complétez le tableau
- Réaliser les dilutions dans des tubes à essais à l’aide des micropipettes pour prélever les
volumes d’eau et la solution d’albumine.
c) Protocole expérimental
2. Traitement de l’échantillon
- Dans un tube à essai vous placez 1 ml de la solution de blanc d'œuf au quel vous ajoutez
4 ml du réactif de Gornall, ensuite vous incubez le tout pendant 30 min et à l’obscurité
et à température ambiante.
- Après incubation, mesurer l'absorbance contre un blanc à la même longueur d’onde.
La valeur en densité optique, est proportionnelle à la quantité en protéine dans le blanc d’œuf.
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