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MAAMAR Nihad
Introduction.
Conclusion.
Introduction.
Conclusion.
Chapitre 3 : étude de cas d’une remise documentaire à la BDL Cité Tobbal
Bejaïa.
Introduction.
Conclusion.
Conclusion générale.
Bibliographie
Introduction générale
Introduction générale
Introduction générale :
Le commerce international est né du besoin ressenti par les hommes, de faire des
échanges au-delà des frontières géographiques, linguistiques, raciales ou religieuses en raison
de la diversité dans la répartition des richesses.
Le commerce international est donc une réponse aux besoins auxquels un pays ne
pourrait répondre immédiatement par les échanges commerciaux locaux.
Les agents économiques sont amenés à rechercher les produits qu’ils ne trouvent pas
sur le territoire national, ou encore, qui sont plus abondants dans d’autres territoires.
1
Introduction générale
et les plus avantageux pour réaliser sans préjudice une opération réussite d’importation ou
d’exportation ?
Dans le but de délimiter notre champ de travail et de le rendre plus précis, quelques
hypothèses sont prises en considération pour qu’elles puissent être vérifiées ultérieurement.
Hypothèse 3 : les différents risques que peuvent rencontrer les opérateurs à
l’importation peuvent être palliés par des garanties internationales.
2
Chapitre 01 : Généralités sur le
Commerce International.
Chapitre 01 Généralités sur le commerce international
Introduction :
Le commerce extérieur est l’ensemble des échanges de biens et services entre les
nations. L’utilité de ces échanges s’appréhende, quant à elle, à travers la «théorie des
avantages comparatifs» développée par les économistes classiques, David Ricardo en
particulier. Celui-ci a démontré dans son ouvrage « traité d’économie politique et de l’impôt »
que chaque pays avait intérêt à se spécialiser dans la production des biens pour lesquels il a un
avantage comparatif et recourir à l’importation des autres biens, car la spécialisation aboutit à
l’amélioration du bienêtre global, en opérant une économie des facteurs de production.
On peut dire aussi que le commerce extérieur représente un domaine d’activité lié à
l’achat, à la vente, ou à l’échange des produits entre pays appartenant à des zones monétaires
différents.1
Les flux de Services sont pris en considération car leur part a progressé rapidement
dans les échanges internationaux (surtout le transport, le tourisme et les services aux
entreprises).2
1
Jacquet (Jean-Michel) et delebecque (Philippe) « doit du commerce international » Edition : Dollaz, collection !
CoursDolloz, paris 2000.
2
M. Patrik.Messertin « le commerce international » ,themis 1eredition, paris 1988.
4
Chapitre 01 Généralités sur le commerce international
A partir des années soixante-dix, les services ont pris une place plus grande dans les
économies et le commerce international s’est étendu de façon marquée aux échanges de
services. Le développement du commerce extérieur a été à la fois une conséquence de
développement du libre-échange permettant les échanges mondiaux et une incitation aux
diminutions des barrières protectionnistes et des obstacles. Les accords bilatéraux puis les
négociations à l’échelle régionale et mondiale ont conduit à une globalisation de l’économie
mondiale.
5
Chapitre 01 Généralités sur le commerce international
Les couts de production unitaire de chacun des biens sont mesurés en nombre de
travailleurs. Pour Smith, l’échange international provient de différence absolue de
productivité. Un pays dispose d’un avantage absolu sur son partenaire pour un bien quand il
peut produire avec moins de travailleurs que ce partenaire.4
Les pays sont toujours gagnants à l’échange qui permet de produire de manière plus
efficace et en situations d’échange, les pays vont se spécialiser dans la production du bien où
ils possèdent un avantage comparatif.
4
ALAIN B, op, cit, p,320.
5
M, Basle ,B.ChanenceGLLeobal,F.Benhamou, Geldon, et A.Lipietez « histoire des pensées économique international ,
edition, Dolloz,1993,p62.
6
Chapitre 01 Généralités sur le commerce international
•Au cours de la 1ièrephase, il n’existe pas d’échange international : le monopole vend et teste
son produit sur le marché national.
•Lors de la seconde phase, le monopole produit à la fois pour son marché intérieur et pour
l’exportation vers les pays développés. Le recours à l’exportation s’explique par les deux
motivations principales suivantes : la baisse du prix de vente, conjuguée à l’effet d’imitation,
entraîne l’apparition d’une demande dans les pays développés ; le monopole commence à être
concurrencé sur son propre territoire par des imitateurs et cherchent, par l’exportation, à
prolonger son avance. Au niveau macroéconomique, cette situation se traduit, pour le pays
abritant la firme innovatrice, par une balance commerciale excédentaire. Le monopole peut
délocaliser sa production dans les pays industrialisés afin de contourne les mesures
protectionnistes.
• La 3ième phase : le pays innovateur, qui était auparavant exportateur du bien, l’importe à
présent des pays développés, où des firmes imitatrices sont apparues, qui produisent à
moindre coût.
7
Chapitre 01 Généralités sur le commerce international
• Durant la 4ième phase, la firme innovatrice et les firmes suiveuses délocalisent leur
production dans les PVD afin de limiter les coûts de production. Le pays innovateur et les
pays développés deviennent tous deux importateurs du bien.
Les écarts technologiques entre les pays représentent chez Ricardo le déterminant
essentiel des échanges internationaux. Il en va de même pour la théorie de « cycle du produit
» : les nouveaux produits sont d’abord exportés par le pays innovateur. Ce n’est que plus tard,
lorsque les produits et les processus de productions se serons standardisés et les nouvelles
techniques diffusées à l’étranger, que les autres pays pourront les fabriquer et éventuellement
exporter à leur tour.
Ce type de commerce peut être expliqué par le fait qu’un pays importe et exporte
simultanément des biens similaires. Ces échanges s’expliquent également par l’imperfection
de la concurrence « Oligopole », alors que la théorie des avantages comparatifs repose sur une
« concurrence parfaite ».
1.6.2. L’importation :
Une importation est une entée dans un pays de biens ou service provenant d’un autre
pays. Ces marchandises peuvent être :
8
Chapitre 01 Généralités sur le commerce international
1.6.2. L’exportation :
L’exportation est l’action de vendre à l’étranger une partie de la production de biens
et de services d’un ensemble économique « pays » ou « région ».
2.1. Définition :
Il est hors de question de réaliser une opération de commerce extérieur sans avoir
mis l’accent sur l’acheminement de la marchandise. En effet, la partie qui paie les frais et qui
supporte le risque doit être déterminée.
C’est pour cette raison que la chambre de commerce internationale a publié pour la
première fois en 1936 une série de règles internationales pour l’interprétation des termes
commerciaux ; ces règles parues sous le titre « incoterms ». Ce sont des termes commerciaux
normalisés qui déterminent les obligations et les responsabilités de chaque intervenant dans
une transaction commerciale internationale. Le but des incoterms est de fournir une série de
règles internationales pour l’interprétation des termes commerciaux afin d’éviter toute
confusion, mauvaise interprétation ou mal entendu d’un pays à un autre.6
L’importateur des incoterms dans l’élaboration du contrat justifie, a notre, avis leur
présentation succincte dans le cadre de cette étude.
6
LAGRAND (G) et MARTINI (H) : « Gestion des opérations Import-Export », Dunod, paris, 2008, p11.
9
Chapitre 01 Généralités sur le commerce international
10
Chapitre 01 Généralités sur le commerce international
Conclusion :
On peut conclure que le commerce international alterne des périodes de libre
échange et des périodes de protectionnisme. Il a connu une croissance très forte depuis le XIX
sauf un ralentissement en 1914 (première guerre mondiale), puis en 1929 (crise financière) et
en fin en 1945 (deuxième guerre mondiale).
Il est courant dans ce genre d’activité mercantile pour les contractants d’insérer un
incoterm en vue de réglementer leurs obligations respectives surtout celles portant sur la
livraison de la marchandise, le transfert des risques ainsi que sur la répartition des frais et des
couts.
11
Chapitre 02 : financement, risque et garanties
dans le Commerce International
Chapitre 02 Financement, risque et garanties dans le commerce international
Introduction
Les transactions qui s’effectuent entre un agent économique résident et un autre
étranger engendrent d’énormes problèmes, du fait que les deux parties sont de nationalité
différente, l’accumulation de tous ces problèmes a obligé l’intervention des banques.
Ce chapitre est divisé en trois sections, la première nous permet de connaitre les
moyens de paiements de commerce extérieur, la seconde nous donne les différents risques liés
au financement du commerce extérieur et la dernière nous présente les garanties bancaires
internationales pour faire face à ces risques.
Le vendeur fait établir les documents de transports à l’ordre d’une banque. Cette
banque doit remettre les documents commerciaux et de transport à l’acheteur, contre paiement
ou acceptation d’effets de commerce. La remise documentaire est soumise à des règles et
usances uniforme.7
7
La chambre de commerce international a édité des brochures relatives aux règles et usances uniformes.
13
Chapitre 02 Financement, risque et garanties dans le commerce international
1.1.2.4. Bénéficiaire :
Destinataire des documents qui devra s’acquitter de montant du contrat pour lever les
documents.
14
Chapitre 02 Financement, risque et garanties dans le commerce international
banque remettent un modèle de texte de cette lettre que la banque chargée de l’encaissement
doit soumettre pour acceptation par le tiré.
L’avis de sort est le document par lequel la banque présentatrice informe le donneur
d’ordre (le vendeur) du paiement ou de l’acceptation de la remise documentaire, ou des
raisons invoquées par l’acheteur pour retarder ou refuser le règlement.
Contrat commercial
Importateur 1 Exportateur
do pou arc
Pr n rai is
cu r l ha
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documents acceptation
Paiement
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Source : Etabli par à partir du livre : LRGRAND G et MARITINI H, commerce international, p 146
15
Chapitre 02 Financement, risque et garanties dans le commerce international
16
Chapitre 02 Financement, risque et garanties dans le commerce international
1.2.2.4. Le bénéficiaire :
C’est le vendeur qui est le « bénéficiaire »de l’engagement bancaire d’être payé.
17
Chapitre 02 Financement, risque et garanties dans le commerce international
C’est l’acte par lequel la banque réalise ses engagements envers le bénéficiaire. En
présentant des documents conformes, le vendeur bénéfice du dénouement positif de sa
sécurité de paiement. Le mode de réalisation et le lieu de réalisation sont des éléments
primordiaux dans le crédit. L’article 10 a stipule que « tout crédit doit clairement indiquer s’il
réalisable par paiement à vue, par paiement différé, par acceptation ou par négociation ». La
banque chargée de la réalisation s’appelle « la banque désignée ou la banque réalisatrice ».
10
TOURE H-O, « le financement des investissements par le crédit documentaire », ED Bouché, paris, 2014, p34
18
Chapitre 02 Financement, risque et garanties dans le commerce international
La banque accepte une traite sur elle-même. En effet, le débiteur de la traite ne peut
être l’importateur dans la mesure où, avec le crédit documentaire, c’est la banque qui est
engagée dans le paiement vis-à-vis de l’exportateur.
11
LEGARAND.G et MARTINI.H, «commerce international », 3ème édition, ED DUNOD,PARIS, 2010,p162
19
Chapitre 02 Financement, risque et garanties dans le commerce international
même que les deux crédits constituent un ensemble destiné à sécuriser une opération
économique homogène.
2.1. Définition :
D’après l’auteur LEVY-LANG, A : Un risque est un événement néfaste. Tout futur
est par nature incertain et tout projet comporte des incertitudes ; le risque est donc un
élément toujours présent dans le mouvement de la vie, pour les particuliers ou les entreprises
et pour l’ensemble de l’économie. Il est indissociable du progrès : Il n’y a pas d’entreprise
sans incertitude donc sans risque et le profit et le risque vont de pair.12
Pour éliminer ce risque, l’importateur peut faire contrôler la marchandise avant son
expédition par un représentant ou par un tiers qui sera sur place.
12
ANDEREE LEVY-LONG, « l’argent, la finance et le risque », édition Odile jacob, paris, 2006, p24.
13
SITE INTERNET
20
Chapitre 02 Financement, risque et garanties dans le commerce international
Pour se prémunir contre ce risque, l’exportateur peut négocier avec son client un
acompte, afin de couvrir les frais éventuels de retour et de stockage.
Pour le bénéficiaire :
La technique du crédit qui repose sur l’examen des documents apporte une grande
sécurité à l’acheteur. Celui-ci peut même demander une visite à l’expédition pour s’assurer de
la conformité de la marchandise. Le risque qu’il court serait de devoir payer une marchandise
non conformée. Le cas est rare et l’entreprise peut s’en remettre au droit commercial pour
régler un tel différend.
14
Josette payrared, gestion financière international, 5e édition, vuibert, France , 1999.
21
Chapitre 02 Financement, risque et garanties dans le commerce international
Le risque est plus élevé, dans l’absolu, dans le crédit à paiement différé, dans la
mesure où l’entreprise importatrice va vendre la marchandise et ne remboursera la banque que
dans un deuxième temps.
Par ailleurs, elle court un risque technique lié à l’étude des documents. Si la banque
ne relève pas une réserve majeure et paye son client, la banque émettrice peut refuser de la
rembourser si son propre client n’accepte pas de lever la réserve.
22
Chapitre 02 Financement, risque et garanties dans le commerce international
3.1. Définition :
« Garantie synonymes de sureté accordée au créancier pour le recouvrement de sa
créance. On distingue la garantie personnelle et la garantie réelle.
Dans la sureté réelle, la garantie repose sur certains biens de débiteur qui seront
vendus, en cas de défaillance de celui-ci, pour payer les créanciers ». 15
La garantie peut aussi se définir comme un engagement par lequel une banque (le
garant) s’oblige à payer pour le compte de son client fournisseur (donneur d’ordre) une
somme déterminée, permettant à l’acheteur (bénéficiaire) d’être indemnisé en cas de
défaillance du fournisseur. Ainsi, la garantie se distingue tant par son caractère principal et
irrévocable que par son caractère d’engagement autonome et indépendant de l’obligation
principale.
15
ALAIN-CHARLES MARTINET AHMED SILEM, «lexique de gestion », 7e edition, Italie , 2005,p275.
23
Chapitre 02 Financement, risque et garanties dans le commerce international
3.2.2. Le cautionnement :
Le cautionnement est un acte civil définit par l’article 644 du code civil algérien
comme suit : « Le cautionnement est un contrat par lequel une personne garantit l’exécution
d’une obligation, en s’engageant envers le créancier, à satisfaire cette obligation si le débiteur
n’y satisfait pas lui-même ».16
16
Article 644du code civil algérien.
24
Chapitre 02 Financement, risque et garanties dans le commerce international
25
Chapitre 02 Financement, risque et garanties dans le commerce international
c. L’assurance-crédit :
« Un des moyens par lequel, une entreprise qui vend, s’assure contre le risque de
défaillance de son client. Elle est pratiquée principalement pour le marché extérieur quelle
développe ».17
L’assurance-crédit peut se définir aussi comme une garantie importante de fait
qu’elle permet de réduire non seulement les risques d’interaction du marcher mais aussi du
risque de crédit, le risque politique et de fabrication.
Conclusion :
Les différents modes de paiement du commerce international évoqués dans ce
chapitre sont considérés comme un soutien financier des banques sur lequel repose les
17
ALIAN-CHARLES MARTINET AHMED SILEM,2005, «lexique de gestion », 7e edition, Italie, p47-48.
26
Chapitre 02 Financement, risque et garanties dans le commerce international
A cet effet, et afin de se protéger contre tous ces risques il appartient à l’importateur
et à l’exportateur de se prémunir contre ces risques par tous les moyens dont ils disposent.
Ainsi, pour plus de sécurité, les banques, qui se placent en intermédiaire de choix
entre les deux parties contractantes assurent leurs couvertures puisqu’elles accompagnent les
opérateurs dans leurs transactions en mettant en place des techniques de couverture où en
engagent leur nom à travers les garanties accordés qui permettent de réduire et d’éliminer
l’impact de ces risques.
27
Chapitre 03 : Etude de cas d’une
remise documentaire.
Chapitre 03 Etude de cas d’une remise documentaire
Introduction :
Pour mieux comprendre les techniques de financement des importations qui sont
traitées au niveau d’une structure fonctionnelle, nous avons effectué un stage pratique au sein
du service commerce international de l’agence BDL 152 qui a pour but de comparer le
traitement de deux techniques de financement à savoir le crédit documentaire et la remise
documentaire.
Dotée d’un capital entièrement souscrit par l’Etat. La BDL est habilité à effectuer
toutes les opérations de banque classique et spécialement chargé de financer :
Garder un contact permanent avec sa clientèle et lui faire part par les moyens les plus
adéquats et rapides de la réception pour son compte ou en sa faveur de tous ordres de
paiement ou virement de l’étranger de tout jeu de documents, de tout ordre de
notification ou de confirmation de crédit documentaire ou accréditif, ou de toute
information la concernant.
Informer sa clientèle par les moyens les plus rapides de l’exécution de tout ordre
d’opérations initiées par elle.
29
Chapitre 03 Etude de cas d’une remise documentaire
RIB client ;
Raison sociale ;
30
Chapitre 03 Etude de cas d’une remise documentaire
N d’identification social ;
N de registre de commerce ;
N de la licence d’importation ;
Nature de produit objet d’importation ;
Tarif douanier ;
N de la facture pro-forma ou le contrat commercial ;
Montant et la devises de facturation.
En quatrième et la dernière phase une fois la pré domiciliation est validé, une
notification avis d’acceptation est automatiquement envoyé au client, l’invitant à se présenter
auprès de son agence de domiciliation muni des documents exigible suivants :
Après l’accord de chef de service, l’agent procède à l’ouverture d’un dossier de domiciliation
en attribuant un numéro d’ordre chronologique
Désignation Montant
Commission de domiciliation 3000,00 DA
Commission d’acceptation 3000,00DA
Taxe 19% 1140,00DA
Total commission de domiciliation 7140,00DA
31
Chapitre 03 Etude de cas d’une remise documentaire
Afin que l’importateur puisse dédouaner sa marchandise il a exigé à son fournisseur de lui
envoyer les documents suivants :
Une traite ;
Connaissement ;
Facture commerciale ;
Déclaration de conformité ;
Liste de colisage ;
Certificat de circulation des marchandises.
Une fois que la banque reçoit le pli par DHL, le préposé du commerce extérieur procède à la
vérification des documents un par un par rapport à leurs énumérations dans le bordereau
d’encaissements de la banque remettante le banquier procède de l’Établissement d’une
accusée de réception, vérification de la conformité des documents, domiciliation de la facture
définitive et transmission des documents à l’importateur. Apres possessions des documents
l’importateur (SARL BIS) procède au dédouanement des marchandises, l’importateur donne à
sa banque un ordre de paiement.
Le chargé de commerce extérieur à son tour doit sursoir les documents suivants :
La facture définitive ;
Des documents douaniers (D10) ;
« La formule 04 ».
32
Chapitre 03 Etude de cas d’une remise documentaire
1 expédition de la marchandise
ixapack SARL BIS
2 6 4 4
Des documents
Documents
Banque du Société
développem générale
5 paiement
ent local Bressuire
Explication du schéma :
(2) Les documents sont remis à la banque remettante (société générale Bressuire).
(3) La banque remettante transmet (société général Bressuire) les documents et la lettre
d’instruction la banque de l’importateur (BDL).
(4) La banque présentatrice (BDL) remet les documents à l’importateur (SARL BIS), contre
paiement ou acceptation.
33
Chapitre 03 Etude de cas d’une remise documentaire
Conclusion
L’étude du cas pratique auprès de la banque de développement et local de cité
Tobbal de Bejaia, agence N° 152, nous a permis de mesurer l’écart entre la théorie et la
pratique des opérations bancaires et de voir de l’intérieur l’importance et le rôle de la banque
dans le renforcement des relations entre les partenaires commerciaux.
34
Conclusion générale
Conclusion générale
Nous avons essayé tout au long de ce travail d’éclairer une partie d’un vaste domaine
du commerce extérieur, ces transactions réalisés entre un pays et un autre engendre une
importante circulation de flux réel et monétaires, ce qui présente de nombreux risque ; d’où la
nécessité d’utiliser des modes de financements offrants un maximum d’assurance aux
importateurs et exportateurs.
Notre étude porte initialement sur la définition des aspects relatifs aux commerces
extérieurs, et techniques de paiement et financement utilisés en mettant l’accent sur le crédit
documentaire et la remise documentaire, ainsi que les principaux risques auquel sont
confrontés les opérateurs lors de l’opération commerciale à l’international au niveau de la
banque BDL de cité Tobbal. Nous avons traité en premier l’aspect théorique, ou nous avons
évoqués les documents usuels du commerce extérieur, les incoterms ainsi que les risques et
les garanties recensés nous avons mis l’accent aussi sur le financement par encaissement
simple et documentaire en passant par la domiciliation bancaire qui est préalable à toute
opération de commerce extérieur permet au banquier de procéder à une première estimation
de l’opération commerciale de son client.
Dans l’illustration de l’exemple pratique au sein de l’agence 152 BDL de cité Tobbal
nous avons constatés que :
36
Bibliographies
Bibliographie
Ouvrages
1. BEITTON-A et autre, « Dictionnaire des sciences économiques », 2eme Édition
Armand Colin, Paris 2007.
2. BERNET-R, « principes de techniques bancaire »,25ème Edition Dunod, Paris
2008.
3. BERNET-R, « moyens et technique de paiement internationaux », Edition ESKA,
Paris 1999
4. LUC BERNET ROLLANDE, [« principes de technique bancaire », DUNOD
édition 2004].
5. CHARLES-M, « Le régime juridique et les clauses essentielles du contrat de
garantie bancaire », Edition Thémis, Montréal-Québec 1997.
6. DUBOIN.J et DUPHIL.F, Exporter pratique du commerce international, 16éme
édition, Edition Foucher, Paris, 2000.
7. DUCRET (J), « la gestion du risque de change », e-éthique, 2002, France.
8. DOUKH-A (2005).
Mémoires
1. AMLOUKKAS (A) et GUEDDOUDJ (F), et ZELOUCHE (K) : Credoc comme
seul instrument de paiement en Algérie, mémoire de licence, HEC, Alger, 2011.
2. AKKAL amine, ALLOUT Zoubir, mémoire de fin d’étude, financement du
commerce extérieur, Université A/mira Bejaia, 2003.
3. BLKHEIRE Sid Ahmed, Les différents modes de paiement, Université
Mostaganem, Algérie, licence en FCI, Promotion 2009.
4. CHAPDELIENE TEAMO.M, Traitement des chèques à l’encaissement, Institut
privé de gestion de Dakar Sénégal, BTS en gestion des entreprises, Promotion
2007
5. Chirigui (Ch.), « le financement du commerce extérieur par les banques
algériennes », mémoire magister, Université d’Oran, 2014.
6. (k) kais et (L) lahdir « le financement du commerce international » mémoire
master Bejaia 2015/2016.
7. AZAG (S) et IBRIR (W) : financement, risques et garanties dans le commerce
extérieur, université A/Mira Bejaia, 2015/2016.
8. BERRI (F) et MAOUCHE (K) : le financement du commerce extérieur, université
A/Mira Bejaia, 2017/2018.
9. HIKEM (M) et HOUACINE (M) : le commerce extérieur rn Algérie pour la
période 2010-2017, université Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou, promotion
2018.
38
Table des matières
Table des matières
Remerciement
Liste des abréviations
Sommaire
Introduction générale---------------------------------------------------------------------------1
Chapitre 01 : Généralité sur le commerce international.
Introduction du chapitre --------------------------------------------------------------------------4
Section 01 : Historique du commerce international------------------------------------------4
1.1. Définition du commerce international--------------------------------------------------4
1.2. La naissance du commerce international----------------------------------------------5
1.3. Le développement du commerce international ---------------------------------------5
1.4. Les théories classiques du commerce international ----------------------------------6
1.4.1. Théorie des avantages absolu (Adam Smith) -----------------------------------------6
1.4.2. Théorie des avantages comparatifs (David Ricardo)---------------------------------6
1.4.3. Théorie de la dotation en facteur de production (HOS)-----------------------------7
1.5. Les nouvelles théories du commerce international ----------------------------------7
1.5.1. Le cycle de vie VERNON ---------------------------------------------------------------7
1.5.2. L’écart technologie -----------------------------------------------------------------------8
1.5.3. L’échange intra branche------------------------------------------------------------------8
1.6. La structure des échanges extérieur ----------------------------------------------------8
1.6.1. L’importation -----------------------------------------------------------------------------8
1.6.2. L’exportation ------------------------------------------------------------------------------9
Section 02 : les Incoterms -----------------------------------------------------------------------9
2.1. Définition des incoterms --------------------------------------------------------------------9
2.2. Présentation des différents incoterms -----------------------------------------------------9
Conclusion du chapitre--------------------------------------------------------------------------11
Chapitre 02 : Financement, risques et garanties dans le commerce international
Introduction du chapitre ------------------------------------------------------------------------13
Section 01 : Les techniques de paiement du commerce international -------------------13
1.1. La remise documentaire----------------------------------------------------------------13
1.1.1. Définition --------------------------------------------------------------------------------13
1.1.2. Les intervenants de la remise documentaire ----------------------------------------14
1.1.2.1. Donneur d’ordre --------------------------------------------------------------------14
1.1.2.2. Banque remettante-------------------------------------------------------------------14
1.1.2.3. Banque présentatrice ---------------------------------------------------------------14
1.1.3. Mode de réalisation de la relise documentaire --------------------------------------14
1.1.3.1. Les documents contre partie -------------------------------------------------------14
1.1.3.2. Les documents contre acceptation ------------------------------------------------14
1.1.3.3. Les documents contre acceptation et aval ---------------------------------------14
1.1.3.4. Les documents contre lettre d’engagement--------------------------------------14
1.1.4. Mécanisme de la remise documentaire ----------------------------------------------15
40
Table des matières
41
Table des matières
42
Table des matières
43