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L’ANAMNÈSE EN ODF
Table des matières
Introduction, bases de l’anamnèse : .......................................................................................... 2
Définition : .............................................................................................................................. 2
Principe : ................................................................................................................................. 3
I. Organisation en 3 étapes : .................................................................................................. 4
1°) Étape de contact : ............................................................................................................. 4
2°) Étape clinique : ................................................................................................................. 5
3°) Étape administrative : ....................................................................................................... 6
II. Obligations légales : ............................................................................................................ 7
1. Les textes légaux : (reste assez flou) ............................................................................... 7
2. La constitution du dossier, la confidentialité : ................................................................ 9
3. Exemples de dossier d’anamnèse : ............................................................................... 12
4. Exemples de questionnaire administratif enfant et adulte : ........................................ 13
5. Le questionnaire médical : ............................................................................................ 14
6. Exemple de questionnaire médical enfant : ................................................................. 14
III. L’informatisation et l’Intelligence Artificielle (IA) : ....................................................... 16
1°) L’IA et la constitution du dossier .................................................................................... 16
2°) L’IA et la pratique orthodontique : ................................................................................. 16
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Introduction, bases de l’anamnèse :
Définition :
L'anamnèse en ODF est une partie fondamentale de l'examen clinique. Elle ne peut pas être
différenciée de l’examen clinique. Les examens complémentaires sont les photos, les
moulages et les radios, ils complètent l’examen clinique mais sont aussi indispensables.
Le relationnel est très important puisque le patient va se définir par rapport à nous en tant que
praticien puisqu’il va se livrer à nous, mais on devra aussi analyser le relationnel du patient vis-
à-vis de son entourage. Famille monoparentale, pluri-parental, famille d’accueil.
Il est donc important de le définir car cela aura un impact psychique sur le patient et il aura
donc une réaction qui sera individuelle et il faudra s’adapter en fonction de cela.
Il s'agit à ce titre d'un examen complet qui demande un temps clinique suffisant.
C’est la clé de voute de la dentisterie actuelle, il faut savoir écouter le patient et ne pas se «
ruer sur la petite prothèse à faire » il faudra intégrer à notre pratique et dans tous les
différents protocoles de notre cabinet cet examen clinique. Cela demande du temps et de
l’organisation.
L’anamnèse est aussi examen dynamique, on ne se contente pas d’être passif vis-à-vis de
l’information qui arrive : chaque réponse peut nécessiter de reprendre les questions
précédentes.
Ce pseudo perte de temps va permettre de caler le patient beaucoup plus efficacement que
dans un contexte où on se contente d’un strict minimum, et donc on n'arrivera pas à faire la
synthèse, vis-à-vis des parents qui ne sont pas forcément des praticiens médicaux entre la
rhinite chronique, l’allergie et le fait que l’enfant n’arrive pas à faire le marathon sous-entend
un gros effort, et donc si on n'arrive pas à faire cette synthèse-là et à voir la conséquence de
demander un bilan a l’ORL ou au médecin généraliste on va droit dans le mur pour ce qui
concerne au minimum la constitution du dossier du patient.
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Principe :
L'anamnèse commence dès la prise de rendez-vous : les informations données sont notées
par l’assistante et se termine lors du départ du patient à la fin de son premier rendez-vous.
(par qui est adressé le patient comment cela fonctionne etc.)
Exemple : la première question posée au centre de soins en internat d’orthodontie : « qu’est-ce
qui vous amène ?». Parce qu’il y a des gens qui prennent RDV sur Doctolib et qui sont là par ex
pour pour faire de la prothèse et pas forcément de l’ODF.
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I. Organisation en 3 étapes :
Il est important pour le patient d’être bien reçu pour pouvoir bien coopérer et éviter que le
patient se braque. On intégrera aussi la notion de temps pratique du personnel.
Exemple : préparation par le personnel d’un plateau pour empreinte, il faut donc que le
personnel ait le temps de le préparer, la gentillesse de le préparer, il faut que le personnel soit
actif dans la chaine thérapeutique.
Elle commence lors de la prise de RDV ,les observations sont notées !!(informatique etc)
Une fois que toutes ces informations sont notées, on lui donne les informations d'accès au
cabinet. Car pas tous les cabinets ont l'a même facilitée d’accès cela permettra de sécuriser
l’arrivée du patient en et en heure au cabinet.
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Exemple : si grève de transport prévu dans la zone où se trouve le cabinet prévenir que ce jour-
là il faudra y faire attention.
Le patient se rend ensuite en salle d'attente pour remplir les questionnaires. (Médicaux et
administratifs). Une fois remplis, le patient ramène les questionnaires au secrétariat.
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L'étape clinique n'est en aucun cas un show destiné à flatter le patient ou l'ego du praticien !!
Le patient vient nous voir en tant que thérapeute. Donc il faudra faire attention à ces 2 biais.
C'est un acte clinique de raisonnement et de respect des choix des parents, des patients, des
autres praticiens.
Tous les actes à dépassements d’honoraires doivent faire l’objet d’un devis, tout ce qui est
sous devis comporte un délai de référence obligatoire en termes de timing, qui est de 15 jours.
C’est très important à respecter+++.
Exemple, le patient vient pour une consultation, on procède à toutes les étapes jusqu’à l’examen
clinique que l’on fait, on en déduit qu’il faut faire une traitement orthodontique, on remet un
devis au patient, qui sera le devis du bilan orthodontique qui est un devis à dépassement
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d’honoraire, donc on aura nécessairement un délai de 15 jours, ce qui veut dire que durant la
première séance on n'aura pas le droit de réaliser des actes en rapport avec le bilan
orthodontique pour pouvoir justement respecter ce délai de 15 jours (peut se faire uniquement
sur contrainte médicale justifier, comme un traitement Paro en cours)
Obligation légale : un devis n'est valable que s'il est précédé d'un rendez-vous spécifique
d'explication médicale et si le délai de réflexion légal est respecté.
On doit donc se justifier au premier RDV mais ce n’est PAS au premier RDV qu’on donne le
devis du traitement, en aucun cas !
C’est-à-dire que si le patient décide de ne pas régler ses honoraires car on a remis le devis lors
du 1er rdv et qu’il n’a pas eu le délai de réflexion légal, il est en droit de ne pas payer le
traitement et même de demander le remboursement des sommes versées -> il aura dans 100%
des cas gain de cause.
Tous les actes sous devis doivent-être justifiés d’un RDV d’explication adapté. L’anamnèse est
suivie de temps en temps d’un RDV de bilan. Le bilan ODF appartient à l’examen clinique initial
(avec l’anamnèse et tous les documents) mais pour le plan thérapeutique/la thérapeutique on
va fixer un RDV de bilan pour expliquer au patient tout ce qui se passe.
Ensuite, le patient règle la consultation. La consultation de base est de 23€ (consultation sécu),
certains jeunes ont droit à des dépassements d’honoraires, on fait alors des CS2 (multiplié par
2), CS3 (multiplié par 3). Généralement les spécialistes font des CS2 ou CS3.
- De renseigner au mieux les patients sur leur situation administrative vis-à-vis des organismes
de remboursement. Exemple : pour une prothèse il faudra expliquer qu’il aura un partie pris en
charge par sa mutuelle et une partie qui restera à sa charge .C’est pour cela qu’on fournit un
devis pour qu’il puisse se renseigner auprès de leur mutuelle au niveau de ce qu’elle rembourse.
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spécialiste, le patient qui est en cours de traitement ne le signal pas, on aboutit donc à une
perte de hauteur parodontal ce qui devient problématique, et sera vu et jugé par les instances
de façon tout à fait différentes d’un praticien à l’autre selon les informations qui seront
données.
Il faudra donc être vigilant lors d’un acte de type anamnèse a le réévalué régulièrement. C’est
pour cela qu’en orthodontie on préconise de faire des bilan de réévaluation régulier ,dans
lequel on réévalue le traitement qui est en cours mais aussi nous permet d’avoir un moment
de diagnostique avec les parents et de faire bilan de la santé général du patient (comment se
passe la scolarité etc)
Anecdote d’un patient qui suivait un traitement ODF et qui arrivé au passage des élastiques
avait donné un échec thérapeutique , des années plus tard le patient revient on lui fait une
réévaluation thérapeutique et on comprend que cet échec était dû à un changement
d’environnement intellectuelle (d’après le prof il était devenu plus « bête » ) et une fois ré
explication et meilleur compréhension le traitement a était cette fois ci terminé avec succès.
Il n'existe pas de règle imposant aux chirurgiens-dentistes la façon de tenir un dossier médical.
Aucune règle ne décrit le contenu du dossier.
Cependant on a plusieurs éléments qui nous permettent de voir qu’on est quand même fliqué
tel que la HAS :
En cas de décès du praticien, les héritiers, en acceptant la succession, sont tenus de réparer les
conséquences dommageables des actes du praticien dans les limites de la prescription
trentenaire. Ce qui veut dire que lorsque l’on décèdera nos héritiers seront donc responsable de
l’aspect financier de problème éventuel.
Il est donc recommandé de conserver les dossiers durant toute cette période.
Importance de bien tout noter car le praticien est responsable du dossier du patient !
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2. La constitution du dossier, la confidentialité :
Les organismes considérés comme « officiels » ou « référents » édictent des règles à suivre.
Ces règles sont souvent minimales. Il appartient à chaque praticien de compléter les éléments
selon sa propre volonté, chaque praticien établissent en général eux même la constitution de
leurs dossiers.
Les règles de bases sont celles de l'odontologie générale, avec une spécificité pour l'application
en orthodontie.
Le dossier est confidentiel. Le praticien est responsable des moyens mis en œuvre pour en
assurer la responsabilité. (Pensez à faire une déclaration à la commission Informatique-et-
Libertés dans laquelle on stipulera qu’on a un traitement informatisé des informations, avec
des sauvegardes et une alarme qui protège le système, car si on n’a pas d’alarme dans le cabinet
on fautif si on nous pique l’ordinateur)
La peine risquée est au minimum une interdiction d'exercer de plusieurs mois (3 minimum).
Même avec comme justification l’urgence cela ne passe pas.
Pour les patients mineurs, seul l'ayant droit administrativement désigné par la justice, peut
prendre connaissance du dossier.
Exemple des cas de parents divorcés, parfois on a des interdictions de « prendre soins » de
l’enfant d’un des 2 parties même s’ils en ont la garde et donc on n’aura pas le droit de
communiquer radio ou certificat au parti ne disposant pas du droit. Si les deux disposent du droit
il faudra faire au mieux pour le patient
Autres documents de la HAS (disponible sur internet) qui liste les éléments indispensables.
En gros les indispensables sont les élément de base (qui est le patient ,comment on le joint et
qui en est responsable et le reste on fait « ce qu’on veut »)
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Le dossier du patient doit contenir les données cliniques suivantes :
-les motifs de la consultation !
-l'anamnèse médicale + l’anamnèse odontologique ! (pourquoi je viens ,j’ai mal au dents, j’ai
les dents qui se chevauche ou en avant , important de noter les mot du patient tel quel et ne pas
directement convertir en langage scientifique)
-les données de l'examen clinique qui comprend un examen exo buccal + un examen endo
buccal (examen complet , inspection ,palpation ,ponction)
-un schéma bucco-dentaire clair avant traitement et un après
-les résultats des examens complémentaires (examens radiographiques, modèles d'études,
etc.)
-les diagnostics
-les échanges avec les autres professionnels de santé
-les plans de traitement
-les traitements
-le suivi thérapeutique (généralement informatisé) dont les modalités doivent être précisées
dans le contrat avec le patient (fréquence du suivi, examens de contrôle) .
Le conseil de l’ordre stipule noir sur blanc dans les devis d’orthodontie que les traitement
d’ortho sont des traitement à action continue et doivent être suivie de contrôle et de rdv
régulier .
-la prévention (calendrier des actes de prévention)
-les pièces à conserver dans le dossier (fiches de consentement aux soins, le cas échéant ->
double des prescriptions et des certificats, fiches d'incident de toutes sortes, radiographies ou
reçu de remise au patient et détails des radiographies remises, nature des matériaux mis en
bouche, etc).
Il est de la responsabilité du praticien que l'anamnèse soit complète. Par exemple soin
d’urgence il faudra s’assurer que le patient ne soit pas épileptique qu’il accepte de
l’anesthésie, qu’il n’est pas de réaction allergique.
Il est de la responsabilité du patient de répondre correctement aux questions. (examen
du carnet de santé pour les enfant si pas de réponse)
Le praticien doit pouvoir se référer au carnet de santé ainsi qu'aux professionnels
médicaux qui ont suivi ou suivent le patient. (pathologie pulmonaire pathologie
cardiaque, pathologie ORL on se réfère à l’ORL.)
On demande donc par écrit les informations indispensables. On conserve les échanges et les
prises de décision collectives, toujours par écrit !!(travail pluridisciplinaire avec tous les
praticiens si besoin)
Il y a un assureur la macscf qui détermine les éléments à lister dans l’anamnèse médical, en
fonction des litiges qu’ils ont eu à traiter . (liste évolutives)
Question : comment cela se passe si un patient reviens des années après et qui a les dents qui
ont bouger malgré contention ?
➔ simple problème de vieillissement (ou de croissance déséquilibrer que l’on ne peut pas
prévenir, il n’y pas de réclamation possible car l’assurance d’un dentiste s’arrête « à la
porte du cabinet » ,il faut expliquer au patient que cela ne reste pas figé et qu’il faut
entretenir le traitement .on enseigne aujourd’hui que l’orthodontie doit être facile à
reprendre
Le dossier médical est l’élément de preuve le plus probant dans le cadre d’un suivi de soin, c’est
pourquoi sa tenue est une exigence légale participant directement à la qualité des soins devant
être consciencieux, attentifs et conformes aux données acquises de la science.
Plusieurs éléments sont indispensables à la bonne tenue d’un dossier médical, il s’agit
notamment :
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Dans le cadre d'axes complexes tels que l'implantologie ou l'orthodontie, il est nécessaire de
compléter le dossier médical par d'autres éléments :
•Le plan de traitement retenu ainsi que les alternatives de réhabilitations proposées et
chiffrées,
•Le consentement éclairé du patient.
•Le devis daté et signé.
•Tout type de correspondance (courriers ou mails) avec le patient ou d'autres intervenants.
Dès lors, le dossier médical peut lui permettre de comporter tous les justificatifs prouvant que
le patient a eu connaissance et le choix de son traitement. Cette preuve peut être rapportée
par tous moyens.
Le devis ne peut être légalement donné qu'après avoir effectué le bilan orthodontique complet.
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La partie Covid à été une obligation du questionnaire médical de la part des autorités, il fallait
donc à chaque fois que l’on voyait le patient , qu’il l’ai envoyé au préalable à la consultation
(savoir si il tousse, enrhumé…) il y avait donc une infantilisation, et on passait à coté de
problème plus gros au « profit » du covid.
Il y généralement une petite différence entre enfant et adulte, tel que les informations portées
sur le responsable légal qui n’on aucun intérêt pour une personne adulte . Mais on toujours
quel que soit le questionnaire la même base :
-qui êtes vous ?
-qui vous soigne habituellement ?
-votre assurance social (intéressant pour que les patients puissent commencé à réfléchir et a
savoir quel mutuelles les prends en charge, pourquoi ils sont pris en charges , comment ils sont
rembourse etc.)
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5. Le questionnaire médical :
Il faut que le questionnaire médical que l’on va proposer représente notre façon d’aborder les
choses.
Sur un plan pratique, il est développé un questionnaire médical plus étendu que ce qui est
habituellement donné dans les publications.
Pour le questionnaire dentaire, son remplissage est plus difficile car certaines questions sont
difficiles à apprécier sans une aide directe du praticien qui en explique l'objectif.
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Diapo en dessous et au-dessus : questionnaire utilisé par le prof
La partie nom et prénom remplie par la secrétaire et le reste par le patient.
Il a mis au point un système de question précise avec une case à cocher et une éventuelle
réponse a coté au cas où il y aurait un truc à compléter.
Le patient coche ce qui lui correspond. Exemple patient allergique, a quoi ? (Poils d’animaux,
latex métal etc)
Les problèmes ORL, la liste des problèmes ORL a était étendu pour obliger intellectuellement
les parents a dirent « oui mon enfant est souvent enrhumé » . Car si on envoie aujourd’hui un
enfant allergique avec une rhinite allergique chez un ORL il dira que tout va bien , sauf que pour
les traitement ortho si l’enfant respire par la bouche impossibilité de conserve un dispositif
médical en bouche fermée.
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III. L’informatisation et l’Intelligence Artificielle (IA) :
En médecine, le principe de l'IA est de pouvoir synthétiser avec le minimum de risque possible
les éléments utiles à la décision thérapeutique. Cela commence par l'anamnèse. Elle est sera
certainement automatisée en amont de toute consultation avec l'accès libre aux
documents médicaux du patient. Et que le patient arrive au cabinet un dossier qui est rempli
de la façon la plus complète.
Conséquences :
-L'IA pourra indiquer la pertinence des consultations, délivrer toutes les informations et leur
interprétation au praticien. Elle interviendra par la suite très certainement dans le diagnostic
et le plan de traitement, en prenant le relai du praticien (certainement en 2025)
-Chaque praticien ou acteur médical devra informer le système avec les éléments (donnés,
actes thérapeutique) les plus complets. Puis le système fera la synthèse de tout ça. Il y aura
certainement une réglementation en faveur du moindre coût, donc en défaveur du praticien.
L'IA est « vendue » pour sécuriser les traitements. Pour l'instant elle est utilisée pour justifier
de l'automatisation et l’industrialisation per fi du diagnostic et du plan de traitement et est
donc sujet à des erreurs monumental, car le patient ne grandira pas forcément comme la
statistique le veut (plus on affinera le système et plus on aura la capacité de retomber sur
l’individualité du patient).
Exemple : logiciel qui aligne les dents donc très esthétiques mais en dehors de la cortical, il
perdra alors ces dents dans quelques années.
L'IA est appliqué avec certains traitements industrialisés comme ceux effectués par
gouttières. Pour l'instant il y a toujours un intervenant humain non ou sous-qualifié, qui
travaille toujours donc avec moins de compétence qu'un spécialiste. Beaucoup de traitements
ainsi effectués sont en dehors les limites thérapeutiques classiquement admises.
Cela est destiné à évoluer et à devenir conforme à une normalité acceptée très rapidement.
Le couplage de l'IA avec les ordinateurs quantiques (arrivée prévue sur le marché vers 2025) a
définitivement supprimé beaucoup de travail de documentation, de synthèse et de
planification thérapeutique. Il y aura aussi un problème de confidentialité puisqu’avec ces
ordinateurs on peut très facilement contourner les sécurités. Ainsi beaucoup de travail non
spécialisé deviendra obsolète.
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