Vous êtes sur la page 1sur 3

2005 – 2012 

: tentatives pour un amélioration

2012 : certains docteurs croient que Lambert fait une résistance

10.4.2013 : Dr. Kariger arrêt de traitement artificiel (« loi Leonetti ») après consultation de l’époux

11.5.2013 : ordonnance par le tribunal administratif de Châlons-en-Champagne (après un référé-


liberté)

Argumentation de époux et un de ses frères (contre référé-liberté) :

Ne pas accepter un maintien artificiel de vie et a conduit l’équipe médicale

Mais le tribunal administratif :

Collective procédure : parents de V.L. n’ont pas été informés de la décision de mettre en
œuvre/nature/motifs de cette décision, ne pas tenant compte les souhaits des parents ;

Mais : il est nécessaire lorsqu’une personne est ne pas être à la constitution de express une volonté
de continuer avec tout la famille (L 1111-4 du code de la santé publique et R. 4127-37 du même
code)

Alors : manquements des process sont une atteinte grave et manifestement illégale à une liberté
fondamentale (art.2 de convention de la sauvegarde du droit humain européennes)

Conséquence : Rétablir l’alimentation et l’hydratation normales de V.L.

Septembre 2013 : nouveau procédure initiâtes : Dr.Kariger consulté six docteurs choisir par le deux
parties de la famille et deux racontes avec famille (27. Septembre 2013, 16 novembre 2013)

9. Décembre 2013 : Kariger et cinq de six docteurs favorisent d’arrêter le traitement. (Déraisonnable
déplaisir pour VL)

11. Janvier 2014 : décision d’arrêter avec l’alimentation et hydrification

16. Janvier 2014 : Tribunal administratif de Châlons-en-Champagne :

Référé-liberté  l’exécution de la décision du Dr. K est suspendue

Car : atteinte grave et manifestement illégale au droit à la vie de B (l’art. 2 de la convention


européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales)

Car :
1. Aucune directive anticipée
2. Aucune désignation de personne de confiance
3. Volonté devant un de ses frères et son épouse est ne pas suffisant, car
a. Aucune datée avec précision
b. Personne ne pas confrontée aux conséquences
c. Personne ne pas dans le contexte d’une manifestation formelle

(Mais connaissance professionnelle de la situation de patients en Etat de dépendance ou


de handicap)

4. Conflit avec ses parents et leur valeurs morales est ne pas suffisant, car : aucune volonté
certaine de refuser tout traitement subir une situation comme ça
5. Déplaisir avec les soins n’est pas suffisant de constater une personne refuse de rester en vie
6. Aucune communication avec le patient
7. L’existence de possibles réaction à son environnement  peuvent avoir pour effet la
conversation d’un certain lien relationnel
8. Caractère irréversible et l’absence pour une bonne chance d’évolution est ne pas suffisant

31. Janvier 2014 : Rachel Lambert (époux), François Lambert, Reims University Hospital: faire appel
contre le jugement pour une transportation par référé-liberté de Conseil d’État

14. février 2014 : décision de Conseil d’État

Ne pas une liberté violat par cette transportation

9. Avril 2018 : décision d’arrêter la nutrition et l’hydratation artificielle de V.L. + transfert dans
un autre établissement de soin d’ordonner une mission d’expertise judicaire (communiquer,
examiner les réactions du VL, ecistence des souffrances, perspective au alimentation
functionnelle + méconnaissance dÄart 459 du cCiv

20. Avril 2018 : Ordonnance de Tribunal administratif de Châlons-en-Champagne

Tribunal : liberté fondamentale : protection de la santé par tous moyens disponsibles au bénßefice
de toute personne (Urgence : pris la décision d’arrêter la nutrition et l’hydratation de V.L.)

Transfert est rejeté

N.B.  : 5ème alinéa de l’article L.1111-3 du code de la santé publique  : «  Lorsque la personne est hors
d’état d’exprimer sa volonté, la limitation ou l’arrêt de traitement susceptible de mettre sa vie en
danger ne peut être réalisé sans avoir respecté la procédure collégiale défini par le code de
déontologie médicale et sans que la personne de confiance prévue à l’article L.1111- ou la famille ou,
à défaut, un de ses proches, et, le cas échéant, les directives anticipées de la personne, aient été
consultés. La décision motivée de limitation ou d’arrêt de traitement est inscrite dans le dossier
médical  »

Vous aimerez peut-être aussi