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Chapitre 4 : Chapitre de regard croisé, mix entre eco, socio et science po :

Quelle action publique pour l’environnement ?

Objectif d’apprentissage 1 :
● Savoir identifier les différents acteurs (pouvoirs publics, ONG, entreprises, experts,
partis, mouvement citoyens) qui participent à la construction des questions
environnementales comme problème public et à leur mise à l’agenda politique.
Comprendre que ces acteurs entretiennent des relations de coopération et de
conflits.

L’environnement : Un problème public, mis a l’agenda politique Page 350/351


Les questions environnementales se sont progressivement construites comme problème
public, débouchant sur leur mise à l'agenda politique et sur une action publique.

probleme public : phénomène social (négatif) qui, du fait de l’interaction de différents


acteurs, acquiert une visibilité et suscite un débat public.

Constituer un problème public, c’est transformer une situation, une pratique, une expérience
de vie en quelque chose qui se trouve défini comme problématique. C’est faire d’un enjeu ou
d’une activité un objet de débat et de revendication pour qu’une action soit entreprise pour
changer le statut ou les effets de cette dernière. Un classique de la littérature scientifique
anglophone a pour titre Naming, Blaming, Claming. C’est de cela qu’il s’agit ici. Pour qu’il y
ait un problème public, il faut qualifier une situation, l’associer à quelque chose
d'inacceptable.

➔ Problème banal
➔ Problème public
➔ Mise à l'agenda politique (par les pouvoirs public / politique)
➔ Actions / Solutions envisagées par les pouvoirs public et politique

De la construction du problème public à sa mise sur l’agenda et l’action publique


1. Identification : identification d’une situation ou d’un comportement designe comme
problematique par des entrepreneurs de cause (des acteurs qui tentent de faire d’un
phenomene social un probleme public.)

En 1972, le rapport du Club de Rome (composé de scientifiques) intitulé “The limits


to Growth” (Les limites de la croissance) donnait au système économique mondial,
confronté à la diminution des ressources et a la dégradation de l’environnement,
soixante ans pour s’effondrer. Ce rapport eut un retentissement mondial. Rapport
Meadows,réalisé en 1971, premier rapport alertant sur les changements climatiques.

2. Cadrage : c’est la mise en récit du problème ; nature du problème, causes, actions a


mener.

Le GIEC (groupe d’experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) créé en


1988, produit des rapports sur les dommages environnementaux et leurs
conséquences économiques et sociales.
3. Justification : L’importance et la gravité du problème, mobilisation de données
scientifiques, recours au registre des émotions (compassion, inquiétude, colère,
révolte).

La campagne de fonds mondial pour la nature (WWF) pour sensibiliser l’opinion


publique et les pouvoirs publics sur les risques liés au réchauffement climatique et a
la fonte des glaces.

4. Popularisation : c’est la communication autour du problème auprès de la population,


des médias, des intellectuels, des décideurs politiques.

Le même exemple que pour la justification peut être utilisé. La campagne de fonds
mondial pour la nature (WWF) pour sensibiliser l’opinion publique et les pouvoirs
publics sur les risques liés au réchauffement climatique et à la fonte des glaces.

5. Mise en politique publique : proposition (mesures) et négociations pour convaincre


les pouvoirs publics de la nécessité d’une mise a l’agenda politique (probleme inscrit
à l'ordre du jour politique) en vue d’une action publique (action des pouvoir publics
pour repondre a un problème mis à l'agenda politique)

L’accord sur le climat signé par 195 pays a Paris en 2015 lors de la conférence COP
21 (21# Conference des Parties) prévoit de limiter la hausse des température à
2 degree voire 1,5 d’ici 2100

La diversité des acteurs des questions environnementales. Page 352/353


Un problème public, comme celui concernant les questions environnementales, n'existe pas
en soi : il se construit sous l’effet de l’action d’entrepreneurs de cause et dans l’interaction
de différents acteurs.

Des acteurs (entrepreneurs de cause) qui vont mettre en avant les problème/ question
environnemental pour qu’il soit inscrit dans l’agenda public et pour qu’il soient considérés
comme un problème public. Font exister les problèmes environnementaux dans le débat
public.

Entrepreneurs de cause : Les entrepreneurs de cause mobilisent leurs ressources en


puissant dans un vaste répertoire d’actions (manifestation, expertise, judiciarisation,
médiatisation, lobbying, etc…) pour tenter de changer la perception que la société a d’un
phénomène. Dans ce processus de cadrage, ils mobilisent une situation problématique et
construisent les catégories qui servent à penser ce phénomène (quelles en sont les causes,
etc…), et donc à définir la manière de le traiter.

lobbying : recours à la justice pour régler des litiges

Acteurs qui participe a la construction des questions environnementales :


Les mouvements citoyens : Entrepreneurs de cause utilisent des répertoires d’actions
(manifestation, pétition… afin d’alerter l’opinion publique et les pouvoirs publics (Greta
Thunberg, Marche pour le climat en 2019.) Ce sont majoritairement des mouvements très
pacifique.

Les ONG environnementales : Entrepreneurs de cause au répertoire d’action diversifié


(pétition, opération, buzz, formation etc…) avec des compétences scientifiques et juridiques
qui participent aux grands sommets mondiaux sur l'environnement (COP). Ils sont violents et
possèdent des capacités scientifiques. Par exemple, Greenpeace.

Les partis politiques : Intègrent les problèmes environnementaux dans leurs programmes
politiques et proposent des solutions. Partis écologistes apparus dans les années 1970 et
existent partout en Europe. Par exemple, Europe Ecologie les Verts.

Les groupes d’experts : apportent leurs compétences sur les questions environnementales,
évaluent les risques et déterminent les causes (ex : GES, GIEC Groupement international
des experts du climat) Rapports et recommandations (GIEC, Haut Conseil pour le climat…)

Les entreprises : Volontairement ou forcées par la pression de l'opinion publique, elles


doivent intégrer les questions environnementales dans leurs modes de fonctionnement.

Les pouvoirs publics : Contribuent à identifier les problèmes liés à l'environnement, les
mettent à l'agenda politique et prennent des mesures pour y remédier (taxation,
réglementation, subventions à l'innovation verte...)

Relation de conflit :
● Au niveau scientifique : entre ceux qui mettent en avant le changement climatique
(rôle des activités humaines) et les climato-sceptiques. Climatosceptiques ≠ Citoyens/
ONG / Expert. Conflit d'idées.
Donald Trump et Jair Bolsonaro

● Au niveau économique : intérêts entre les entreprises (souci de mentalité). Conflit


d'intérêt.Contre les défenseurs de la planète. (ONG/MDC/ Experts).
Les entreprises qui usent des pesticides, tuant des milliers d’insectes.

Conflit du siecle : les ONG qui accusent les pouvoirs publics d’inactions et d’absence de
textes de loi pour proteger l’environement.

Relation de coopération :
Grenelle de l'environnement :
Conference au sommet sur l’environement. Organise oar L’etat et qui a eu la participation de
6 acteurs.

COP : Reunion entre dirigeant politique du monde et ONG


Par exemple, Cooperation entre le GIEC et les politiques.
Intérêt convergent pour des raisons différentes : problèmes de rendements agricoles et
disparition d'espèces mènent à une coopération. Cela permet de mutualiser les informations
: Nouveaux modeles economiques (economie circulaire).
Par exemple : Rechauffement climatique limiter a 1,5 degree en 2050.
Les interet peuvent converger entre les entreprise.
Par exemple : rendement agricole, qui entrainent une demande de conseil aupres des
ecologistes et scientifiaues (experts). Pour changer le comportement, les amener a changer
de comportement ou a mutualiser les informations.

Toutes economies liees a lenvironement, sont des nouveaux marche pour les entreprise.
Par exemple ; l’energie renouvlable, electrique, voiture electrique, etc…

Les consommateurs changent anisi de comportement de consommation a laide es


entreprises
Par exemple: les voitures électriques, les produits recyclables, etc…

La gouvernance multi niveau :


Afin de coordonner l’action publiques entre les collectivite locales et l’Union, il doit y avoir
une gouvernance multi niveaux.
Elle va consister a faire travailler ensemble les collectivites des different niveaux afin de
mettre plus efficacement en oeuvres les politiques.

Par exemple : Projet Coopernerguy : financé par l’UE. Participation de collectivités locales et
régionales.

L’objectif : élaborer des plans climat mutuellement bénéfiques.

Les collectivités locales vont aussi avoir des compétences liées à l'environnement.
Exemple : Plan régional de la qualité de l’air.

Objectif d’apprentissage 2 :
● Comprendre que l’action publique pour l’evironnement articule differentes echelles
(locale, nationale, europeene et mondial).

Les questions environementales ne connaisent pas de frontieres. Tout les pays du monde
sont concernes. Leur traitement necessitait des actions s’inbriguent au niveau internationale.
Cela s’appelle une “Gouvernance mondiale”

L’articulation des actions


publiques a differentes
echelle.

logique descendante (top- Logique ascendante


down) (bottom-up)

Les engagement decide au chaque pays annonce une


niveau mondial sont ensuite contribution nationale dans
appliques au sein des la lutte contre le
differents pays rechauffement climatique,
consistuant le socle des
negociations internationales.

chaque pays s’engage a


reduire de 5% leurs
emission de GES.
C’est le protocole de kyoto
(logique ascendante)

L’echelle mondiale :
A. Larticulation des actions publiques a l’echelle mondiale.

Les Nations-Unies jouent un role crucial avec 3 outils :

Programme des Nation Unis pour l’environement (PNUE) :

Cree en 1972, le PNUE travaille avec les Etats, les ONG, la societe civile ou encore le
secteur prive.

Il soutiennent le gouvernements dans la mise en place et le renforcement d’institutions pour


la protection de l’environement.

Les sommets mondiaux : Sommet de la Terre :


Tout les 10 ans depuis 1972, a lieu cette conference internationale consacre aux questions
climatiques et environementales reunissant la quasi totalites des cjefs d’Etat. Afin de penser
les axes d’une politique mondiale et s’accorder sur un referentiel communs .
Par exemple : En 1992, au Sommet de Rio est adopte le premier traite international sur le
changement climatique.

Des conferences des parties (COP) :


Institue lors de l’adoption de CCNUCC en 1992.
Elles ont lieux chaque annes depuis 1995.
Elle rassemble les representants des Etats qui ont signes les traites, ainsi que les acteurs de
la societe civile : ONG collectivites territoriales, syndicats, entreprise, experts scientifiques.
(Ce sont des negociations internationales qui ont emmenes a des actions pour la planete.

Par exemple, la COP 27 en Egypte en Novrembre 2022 : Les pays pauvres vont beneficier
d’une aide de 100 milliards de $/ an pour faire face aux effets du rechauffement climatique.

Les limites de cet articulation de l’action publiques au niveau internationale :

L’action publique se base uniquement sur l’exercisme du volontariat. Il n y a pas de contraite


au niveau de l’application des traites.

Car les Etats participent volontairement aux organisations internationales. Cette cooperation
internationale peut donc etre rompu a tout moment.

B. La

Objectif d’apprentissage 3 :
● En prenant l’exemple du changement climatique :
Comprendre qu’en présence de bien commun, les négociations des accords
internationaux, liées à la préservation de l'environnement, sont contraintes par les
stratégies de “passager clandestin" et les inégalités de développement entre pays.

Quels sonte les deux problèmes liés à la gouvernance de l'environnement mondial ?

Pourquoi l’environnement est-il un bien commun?

Rival : L’utilisation du bien empêche l’utilisation de ce bien par un autre agent.


Non Exclusif : accessible à tous.
Bien commun : c’est un bien rival et non exclusif.
Bien public : un bien au départ non rival et qui est non exclusif.

L’environnement de base est un bien public mais dû à la surexploitation ce dernier devient


un bien commun.

A. Le bien commun est victime du “passager clandestins”

La gouvernance mondiale sur l’environnement est contrainte par les stratégies du passager
clandestin de certains Etats.

Pour commencer, le passager clandestin (free rider), consiste à laisser les autres agir (le
free rider ne va pas prendre en charge le coût de l’action), tout en bénéficiant des avantages
collectifs liés à l’action. De plus, dans les accords internationaux pour la préservation de
l’environnement, certains Etats signataires ne respectent pas le comportement /
engagement / normes qui leurs ont été imposés tout en essayant de bénéficier des
comportement vertueux (positif) des autres etat. Voilà pourquoi nous faisons référence au
passager clandestin. Par exemple, les USA signataires du protocole de Kyoto n’ont pas été
ratifiés par le sénat américain (suivis) et donc aucune procédure / changement n'a été mis
en place. Le protocole était de baisser les émissions de GES de 5% par an mais ça n'a pas
été respecté. Cela crée donc un effet domino car plus de pays ne suivent pas le mouvement
ils vont penser que leurs actions sont inutiles et les autres pays ne vont aussi pas suivre le
mouvement. Cela impact donc le climat et l’effet domino entraîne donc 0 résultat de l’accord
et de la gouvernance mondial.

Passager clandestins (free rider) : consiste à laisser les autres agir (le free rider ne va pas
prendre en charge le coût de l’action), tout en bénéficiant des avantages collectifs liés à
l’action.

Effet domino : le comportement d’un est copié par un autre et cela encore et encore.

B. Inégalités de développement entre pays.


La gouvernance mondiale des questions environnementales est contrainte, par les inégalités
entre pays.

En effet, le principe d'universalité (dans la gouvernance mondiale) chaque pays signataire


de l’accord international sur l'environnement ; donc chaque pays doivent fournir les mêmes
efforts que les autres pays / état en matière de protection de l'environnement. Or, ce
principe d'universalité n’est pas valable dans la gouvernance mondiale car les pays riche et
émergent tel que la France, la Chine, les Etats-Unis polluent plus que d’autre pays et ils sont
donc plus responsable de la détérioration de l’environnement (par rapport à d'autre pays)
alors que les pays en développement sont victimes sans être responsable. Les pays
"victimes" ne trouvent donc pas cette universalité équitable et donc choisissent de ne pas
participer à la gouvernance mondiale. Ou bien les pays pauvres ne veulent pas participer
dans l’effort autant que les pays riches, ils veulent plutôt être indemnisés. D’autant plus que
ses pays "pauvres" n’ont pas les moyens / ont des moyens financiers limités pour faire des
efforts. (Signataire pour bénéficier et non pas pour fournir l’effort.)

principe d'universalité : le même principe pour tous le monde, une participation identique,
une égalité / base identique entre les pays.

Application page 356 Document 1.

1. Pourquoi l’Amazonie est elle un bien commun ?

L’Amazonie produit de l'oxygène qui est un bien non exclusif et qui est devenu rival.

2. Pourquoi les incendies en Amazonie nécessitent t-ils une action publique au niveau
mondial?

Les incendies en Amazonie nécessitent t-ils une action publique au niveau mondial car les
effets négatifs des incendies en Amazonie créer des problèmes à l'échelle mondiale. Cela
explique pourquoi cela nécessite une gouvernance mondiale en plus d’une gouvernance
locale et nationale Brésilienne.
Objectif d’apprentissage 4 :
● En prennant l’exemple du changement climatique :
Connaitre les differents intruments, dont disposent les pouvoirs publics, pour faire
face aux externalites negatives sur l’environement. Comprendre que ces differents
intruments presentent des avantages et des limites ; et que leur mise en oeuvre peut
se heurter a des dysfonctionements.

Intruments de Instrument Intrument Les subventions Le marche des


l’action reglementaire fiscale a l’innovation quota
publicque en (Taxation) verte d’emission
faveur de
l’environement
de la politique
climatique :

fonction :
Des lois (ce sont
des textes
juridique qui vont
contraindre les
entreprises a
respecter
l’environement /
contraindre les
entreprises a
changer de
comportement).

avantages : ● tres peu


couteux
(tres facile
a mettre
en oeuvre)
limites :

A. Instrument reglementaire :

Mise en place des regles (normes environementales / normes de qualite, de production,


d’emission, de procedes, de composition).

L’Etat / les pouvoirs public vont mettre en place des lois.

Des lois (ce sont des textes juridique qui vont contraindre les entreprises a respecter
l’environement / contraindre les entreprises a changer de comportement). Changer de
comportement c’est a dire baisser la pollution et une augmenter l’innovation.

Avantage :
● tres peu couteux (tres facile a mettre en oeuvre)

Limites :
● Mise en applications des lois :
1. Il faut que la loi parle d’une externalite bien precise et ce nest pas evident.
Les lois ne sont pas assez precise, trop globale.
2. Le degree d’application de la loi, loi laxiste les entreprise ne vont pas changer
de comportement sois la loi est trop severe donc les entreprise vont fuir.
● Effet rebond :
3. La mise en place de la norme environemental va augmenter les externalite.
Si l’entreprise respecte la norme environemental, elle va avoir un
comportement a risque (aleas moral)
Par exemple, une voiture respecte la norme mais va beaucoup circuler et beaucoup polluer
et ne risque rien car elle respecte la normes.

B. Instrument fiscale (Taxation) :

"Pollueur payeur"
L’agent polluer (celui qui cree l'externalité negative) va verser a l’Etat des taxes
environnementales.

Tax Pigou :
Internaliser les externalités : l’agent economique va prendre en charge les cout de sa
pollution (les coûts de dépollution).

Avantage :
● Double dividendes
Du cote de l’entreprise qui cree l’externalite il y auras une augmentation du prix ce
qui va entrainer une baisse de la demande. La tax devient une contrainte pour
l’entreprise. Du cote des consommateurs, ils vont subir une hausse des prix et donc
ils vont substituer ce produit polluant par un autre produit moins coûteux. Les taxes
vont inciter l’innovation. Les entreprises innovantes avec des produits moins coûteux
et moins polluant vont avoir une augmentation de leurs demande. Cela va donc
stimuler l’innovation. Les taxes sont une stimulation a l’innovation. Par la substitution
une baisse des externalite negatif est observer. Internalisation des externalite.
Limites :
● Montant de la taxe ; si le montant de la taxe est trop élevé les entreprises vont aller
dans des pays ou il y a un dumping fiscal(fuite des entreprises). La taxe crée un
problème de compétitivité des prix pour certaines entreprises.

C. Les subventions à l'innovation verte

Aides financières accordées au entreprise.

Les subventions doivent guider et mener les entreprises à innover dans le domaine de
l'environnement. L'idée est de mener les entreprises à changer de comportement. Par effet
domino ( d’entrainement ) ceux qui n’ont pas reçu de subventions vont être incités à faire de
même que les entreprises qui ont été subventionnées. Les entreprises non vertes vont
changer de comportement pour bénéficier de la subventions. La subventions devient un outil
d’incitation, un outil qui va entrainer l’effet d’entrainement.

Avantage :
● Incitation à innover dans l’environnement

Limites :
● très coûteux : la subvention pose un problème de coût à supporter pour l'état. Cela
peut créer des dettes publiques pour l'état.
● La subventions est une actions contraire au libre fonctionnement du marché
La subventions est une sorte de dumping environemental.

D. Le marche des quota d’emission (le marché des droit a polluer)

L’Etat / les pouvoirs public utilise les mechanisme du marche (loi de l’offre et la demande),
comme intrument de la politique climatique. En effet, ils vendent des quotas d’emission
(identique pour toutes les entreprise) a chaque entreprise ce qui leur permettent de polluer.
Les entreprises peuvent polluer en se procurrant des quota d’emission aupres des autres
entreprise.

Ensuite, du a leurs habitude de productions differente, quelques entreprise vont polluer plus
que d’autre et vont donc acheter les quotas restant des entreprises peu polluante a des prix
(prix du marcher du a la demande et a l’offre) elever pour pouvoir subvenir a leurs besoin.

Les entreprises qui achete les quotas “chere” vont ensuite changer leurs mode de
production / l’adapter afin de ne pas avoir besoin d’acheter les quotas “chere” chez autruis
ou de pouvoir vendre aussi leurs quota d’emission a d’autre entreprise. Du a l’effet
d’entrainement, petit a petit toutes les entreprise vont essyaer de faire de meme pour obtenir
des benefices plus elever. Cela va beneficier a l’environement car les producteurs vont
changer leurs habitude de facon positive.

Avantage :
● les entreprises deviennent ecologiquement responsable (obliger de gerer de facon
optimale son quota)
● incitation les entreprise vertes a ne pas polluer et/ou minimiser leurs depenses de
quota.

Limites :
● les prix des quotas sont encore trop faible
● certainne entreprises ont les moyens de se les payer et donc cela ne va rien changer
pour eux.

Video youtube: Le bac en 5 minute

Comprehension du document 4 page 363.

Les 04 instruments de la politique climatique sont complementaires.

Les normes (reglementation) sont le principal outil des politiques environnementales


domestiques.

La taxation ne peux pas etre applicable a l’international (UE).

Les pouvoirs publics vont privilegier les outil de marche des quotas (dans sa strategie de
gouvernance mondiale). Seulement par ce que cette outils peux etre utilisable au marche
local, communautaire et internationale.

Les subventions sont majoritairement a l’echelle local.

Comprehension du document 2 page 364.

Les problemes de mise en oeuvre des politiques au niveau national :

L’inefectivite : une decision est prise (loi La France est sanctionee par la Cour de
adoptee, annonce ministerielle), mais les justice de l’Union europeene pour le non
mesures d’application tardent ou restent en respect de la directive de 2008 sur la qualite
suspens. de l’air (depassement des seuils d’emission
d’oxyde d’azote dans de nombreuses
grandes villes

Action pour denoncer la pollution dans


l’air, place de la concodre, a Paris le 31,
Mars 2018.

L’inefficacite : une decision a ete suivie de L’usine Synthron (fabriquant de matieres


mesures d’application (normes), mais plastiques et de produits chimiques dans
celles-ci ne produisent pas (en tout ou l’Indre-et-Loire a occasionne depuis 1963
partie) les effets attendus. une quarantaine de pollutions accidentelles
et deux graves incendies.

L’inefficience : une decision et les La loi instaurant une ecotaxe sur les poids
mesures d’application sont prises, mais le lourds, votee en 2009, devrait entreren
cout final de l’intervention s’avere tres vigueur en 2014 : le gouvernement y
elever : la depense etait elle justifie? renonce sous la pression d’un mouvement
social. Selon la Cour des Comptes, les
pertes liees aux investissement realises
s’elevent a 1,08 milliard d’euros.

160 portiques et 720,000 boitiers GPS


remix au transporteurs routiers devaient
permettre de collecter l’ecotaxe.

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