Vous êtes sur la page 1sur 7

Support de cours avec exemples sur la stratégie du système de management

environnemental a la norme ISO


Les politiques publiques au service du respect de l'environnement

Au fil des années, le concept « d'atteinte à l'environnement » a évolué, entraînant la


matière du simple règlement de conflits de voisinage et de pollution circonscrite et
visible vers un environnement pétri d'interactions et d'interdépendances. L'écologie
n'est plus uniquement une « science de la nature ni une science de l'homme, mais
une science de leurs rapports2 ». Sont alors apparues les nécessités d'études multi
ou interdisciplinaires, aboutissant à la constitution d'organisations telles que le GIEC
ou IPBES et, à leur suite, l'établissement de politiques publiques renouvelées . On ne
s'intéresse plus uniquement aux espèces mais aux écosystèmes, plus seulement à
la nature mais à la biodiversité, autant aux pollutions locales qu'aux changements
climatiques. De nouvelles sources de pollution apparaissent, l'évolution technique
apportant autant de solutions que de potentiels risques d'atteintes nouvelles à
l'environnement.

Il en va, par exemple, ainsi des nanotechnologies, de l'exploitation des gaz de


schiste, ou encore de la quête d'exploitation des nodules polymétalliques3 . De
nouvelles problématiques surgissent, la plus prégnante d'entre elles étant celle du «
changement climatique ».

2.1 De l'expert vers l'ensemble des acteurs de la société


Les problèmes d'environnement tels qu'ils évoluent apparaissent certes comme des
enjeux de plus en plus planétaires et globaux, mais entraînent des actions
nécessairement locales, régionales. Les États, tout comme les entités
administratives locales (régions, départements, communes en France), tentent d'y
répondre en élaborant des « stratégies », notamment dans le domaine de la gestion
de l'eau, des écosystèmes, de la prévention des risques, etc. Ces politiques
publiques reposent à la fois sur des prises de position politiques, mais également sur
le développement d'outils d'aide à la décision spécifiques, outils de connaissance, de
prévision, d'action appropriés. On a pu croire à un moment que l'environnement
pourrait être le domaine du technique et du scientifique, du rationnel et de l'expert :
laissons aux « spécialistes » le soin d'indiquer ce qui est bon pour l'environnement,
et donc bon pour l'homme.

Mais le technicien et le scientifique se heurtent à la subjectivité dans beaucoup de


domaines de l'environnement (lorsqu'il s'agit de protection des paysages, de
prévention des risques en rapport avec une certaine « acceptabilité », etc.). Ils se
heurtent à l'incertitude : certains risques ne sont pas avérés mais ne peuvent pas
être éludés, demandant une précaution particulière. Dès lors, l'action publique en
matière d'environnement ne peut exclure l'analyse socio-économique et financière, ni
la participation de tous les acteurs à la prise de décision, d'autant moins dans un
contexte de forte incertitude, lorsque les expertises manquent ou sont
contradictoires4 .

2.2 Les politiques publiques sous forme de « stratégies »


Les pouvoirs publics français ont commencé dans les années 2000 à élaborer des «
stratégies », telle que la SNDD 2003-2008 (Stratégie nationale du développement
durable) qui avait pour ambition l'amélioration de l'efficacité de l'action publique en
matière de développement durable à l'attention des acteurs de l'État (10 plans
d'actions et 400 actions). En 2006, l'Europe a adopté une Stratégie européenne de
développement durable (SEDD) avec l'objectif de « développer des synergies entre
les programmes existants et de mettre en mouvement l'ensemble de la société ».

En 2009, une nouvelle SNDD 2010-2013 est élaborée par l'État français. Elle
implique non seulement les acteurs de l'État (services ministériels et services
déconcentrés), mais également les élus nationaux et locaux, des employeurs, des
salariés, des associations. L:ambition : « dessiner un projet de société pour aller vers
une économie verte et équitable en mobilisant tous les acteurs de la société, publics
et privés ». Le 4 février 2015, le Conseil des ministres a adopté la Stratégie nationale
de transition écologique vers un développement durable (SNTEDD) 2015-2020 qui
fixe un nouveau cap: « libérer les initiatives et donner à chacun le pouvoir d'agir».

D'autres documents de ce type sont prévus par la loi dans certains secteurs plus
spécifiques, ainsi de la « Stratégie de gestion des risques d'inondation » (article L.
566-4 du Code de l'environnement), de la « Stratégie nationale pour la mer et le
littoral» (article L. 219-1 du Code de l'environnement). 18 Même si ces documents
stratégiques peuvent paraître loin des préoccupations d'un organisme engageant ou
poursuivant une démarche de certification ISO 14001, ils sont toutefois importants à
connaître dans la mesure où ils peuvent désormais influencer, non seulement les
dispositions législatives et réglementaires susceptibles d'être adoptées pour leur
application, mais également les dispositifs de consultation du public, d'intégration des
représentants des divers corps de la société, dont les entrepreneurs, dans la prise de
décision, ainsi que les dispositions financières d'orientation de la production, par
exemple. L'ensemble de ces évolutions et de ces documents sont en lien direct avec
la notion de développement durable qui influence désormais tout le système de
management environnemental.

3 L'évolution parallèle des dispositions législatives


et réglementaires
3.1 L'organisation de la législation et de la réglementation
Les dispositions juridiques à prendre en compte dans le cadre d'un système de
management de l'environnement formaient les « exigences légales » dans les
anciennes versions de la norme ISO 14001, qui imposaient le recensement des «
exigences légales et autres exigences auxquelles l'organisme a souscrit » .
Désormais, les exigences légales sont intégrées plus largement dans le terme
d'obligation de conformité (même si les termes « exigences légales et autres
exigences» restent admis selon le paragraphe 3.2.9 ISO 14001:2015, p. 4). Comme
dans le cadre des précédentes versions de la norme, le recensement des obligations
de conformité s'agissant de l'aspect juridique comprend un ensemble de règles qui,
en France, ne se limite pas aux seules lois, mais doit prendre en compte un corpus
bien plus large.

L'identification des obligations de conformité, dans le cadre d'un système de


management environnemental, concerne l'ensemble des textes législatifs et
réglementaires organisés dans le cadre de ce que l'on nomme la « hiérarchie des
normes ». Pour en faciliter l'approche, les différentes sources du droit peuvent être
présentées sous la forme d'une pyramide, dite de Kelsen, illustrant les liens qui
existent entre les différents types de textes6• La pyramide, telle qu'elle est reprise ici
(voir figure 3.1), concerne l'ordre juridique interne français, auquel s'adjoignent les
liens avec les textes issus du droit international.

3.1.1 Au niveau national


La règle de droit est une règle dont l'édiction et le respect sont assurés par l'autorité
publique. Les règles de droit ne doivent pas être confondues avec les circulaires ou
les normes techniques qui n'en font pas partie, même si elles ont également leur
importance par rapport aux« obligations de conformité» de la norme ISO 14001.

3.2.1 3.1.2 Au niveau international


Les accords entre États ne sont pas nouveaux, notamment lorsqu'il s'agit de gérer en
commun un fleuve international ou de définir les dispositions relatives au transport
international de marchandises, par exemple. Aujourd'hui, ces accords tendent à se
multiplier, tant de manière bilatérale ou multilatérale qu'à travers l'activité
d'organisations internationales, telles que l'ONU ou l'OCDE pour n'en citer que deux.
LONU (Organisation des Nations unies), au-delà de son rôle en matière de maintien
de la paix à travers les actions de son Conseil de sécurité, initie des projets en
matière d'environnement à travers le PNUE (Programme des Nations unies pour
l'environnement)22.

Créé en 1972, ce programme a essentiellement un rôle de catalyseur d'actions :


évaluation de l'environnement, transfert de technologies, développement de
partenariats. Il abrite le secrétariat de plusieurs conventions, par exemple : la
convention de Bâle sur les mouvements transfrontières de déchets, la convention de
Rio sur les changements climatiques, le protocole de Kyoto relatif à la réduction des
émissions de gaz à effet de serre, la convention de Stockholm sur les polluants
organiques persistants. LOCDE (Organisation de coopération et de développement
économique) a été créée en 1961. Elle regroupe 30 pays, avec pour objectif de «
répondre ensemble aux défis économiques, sociaux, environnementaux et de
gouvernance que pose la mondialisation et de tirer parti des possibilités qu'elle offre
».

Elle édicte des principes directeurs et des recommandations et publie des


déclarations. Elle prend aussi des décisions que ses pays membres s'engagent à
respecter. En matière d'environnement, elle œuvre notamment pour améliorer les
connaissances des produits chimiques à travers la décision relative à l'acceptation
mutuelle des données pour l'évaluation des produits chimiques. Elle publie des
rapports sur les performances environnementales des pays23.
Dans le cadre international, les États s'engagent les uns envers les autres en signant
des accords, des traités, des conventions, des protocoles qui forment le corps du
droit international. Ces traités restent des accords entre États, même lorsqu'ils sont
signés dans le cadre d'organisations internationales. Ils ne contiennent pas de
dispositions directement applicables aux citoyens des pays. En revanche, pour tenir
les engagements souscrits, chaque État va devoir faire évoluer ses règles internes. Il
est donc important de connaître les engagements de la France en matière
d'environnement pour anticiper de futures évolutions législatives et réglementaires
nationales.

En matière de droit international, il s'agit de prospective à long terme dans la mesure


où les engagements des États peuvent être parfois très formels, sans implication
directe au départ, et dans la mesure où les conditions d'application d'une convention
internationale sont longues à réunir. La convention est d'abord signée par les États
qui l'ont rédigée, tout autre État pouvant, par la suite, adjoindre sa signature. Puis,
elle est ouverte à la ratification, condition sine qua non de son application par les
États.

Ainsi, certaines conventions ont pu être signées par des États qui, ne la ratifiant pas,
ne l'appliquent pas. Lorsqu'un État a ratifié la convention, celle-ci ne s'applique
réellement à lui que dans la mesure où un nombre suffisant d'État a également ratifié
le texte selon le principe de réciprocité. Chaque convention définit un nombre de
ratification minimal nécessaire pour son entrée en vigueur. Une convention n'entrera
donc en vigueur dans tous les États qui l'ont ratifiée qu'à la date où le nombre d'État
requis est atteint.

5 Le domaine d'application : • vers une perspective


de cycle de vie
Face à une société qui souhaite concilier un développement économique efficace,
socialement équitable et écologiquement tolérable, les entreprises se doivent d'être
proactives voire précurseurs dans leurs actions de préservation des écosystèmes.
Les utilisateurs du référentiel ISO 14001 ont désiré aller plus loin qu'auparavant en
mettant en œuvre un système de management environnemental contribuant au pilier
environnement du développement durable. Cela se traduit par une meilleure
compréhension générale des enjeux importants susceptibles d'avoir une incidence
négative mais également positive sur l'environnement et le développement de
l'entreprise.

Un accroissement de la transparence dans les pratiques environnementales et un


renforcement des relations avec les parties prenantes sont également des
engagements auxquels les entreprises ont souhaité adhérer. La norme s'applique à
tout organisme de toute taille, de tout type et de toute nature qui souhaite obtenir des
résultats constituant une valeur ajoutée pour l'environnement, pour l'entreprise et
pour les parties intéressées. L'.organisme met en place une organisation lui
permettant d'agir efficacement sur les éléments de ses activités, produits et service
qui peuvent être maîtrisés, ou sur lesquels une influence est possible. Cela peut aller
bien audelà du site de production ou de la clôture de l'organisme !
En effet, la prise en considération des différentes étapes du cycle de vie du produit
dans l'analyse des risques environnementaux devrait conduire à l'identification de
nouvelles pistes de progrès. Dans la norme, la notion de « prise en considération » -
à opposer à la notion de « prise en compte » - permet de nuancer le propos et de ne
pas imposer à l'organisme des actions auprès de fournisseurs, sous-traitants, clients,
institutions sur lesquels il n'aurait aucune maîtrise ou influence. Ceci devra toutefois
être justifié du moment que le référentiel impose de réfléchir aux risques ou
opportunités pouvant se présenter au niveau des étapes en amont et aval du produit.
De plus, suite à de nombreuses discussions, un consensus a été trouvé : le
référentiel n'impose pas de réaliser une analyse de cycle de vie (ACV)81 pour
laquelle une norme existe déjà, mais bien de réfléchir dans une « perspective de
cycle de vie ».

Bien qu'aucun critère spécifique de performance ne soit imposé par le référentiel, les
résultats que l'entreprise souhaite atteindre au travers de son système de
management environnemental incluent : 122

~ l'amélioration de la performance environnementale ;

~ le respect des obligations de conformité ;

~ la réalisation des objectifs environnementaux.

6 Le modèle PDCA : une approche systémique


Le système de management environnemental proposé par la nouvelle version ISO
14001 repose également sur le modèle PDCA (voir figure 6.1 ci-après) :

Planifier (Plan) : établir les objectifs environnementaux et les processus nécessaires


à l'obtention de résultats en accord avec la politique environnementale de
l'organisme .

Réaliser (Do) : mettre en œuvre les processus planifiés.

Vérifier (Check) : surveiller et mesurer les processus par rapport à la politique


environnementale, y compris les engagements, objectifs environnementaux et
critères opérationnels, et rendre compte des résultats .

_ Agir (Act): mener des actions en vue d'une amélioration continue

6.1 Une nouvelle structure des référentiels de système de


management
Depuis 2012, l'annexe SL des directives ISO définit la structure, le texte, les termes
et définitions de toutes les normes de système de management. Ce format
harmonisé, dit structure de haut niveau ou HLS (High Level Structure), assure la
cohérence entre les différentes normes pour en faciliter la lecture, la compréhension
et l'intégration entre elles. Ainsi, tout comme l'ISO 9001:2015, la nouvelle version
ISO 14001 comprend 10 chapitres (voir figure 6.2). Par rapport à la version
antérieure de 2004, ce référentiel a été enrichi de 7 paragraphes supplémentaires
repérés en gris dans le tableau en début d'ouvrage (voir p. XI).

6.2 Un enrichissement du lexique


Plusieurs termes et définitions viennent enrichir le lexique déjà fourni dans la version
2004, comme l'illustre le tableau 6.1. Ces nouvelles notions sont à corréler avec les
différents paragraphes introduisant les nouvelles orientations. De plus,
l'harmonisation des terminologies utilisées dans chaque norme de management
conduit à une intégration dans l'ISO 14001 de plusieurs termes émanant du
référentiel ISO 9001 (processus externalisé, indicateur, etc.). Toutefois, comme
l'indique l'annexe A,« aucune exigence n'oblige à remplacer les termes employés par
un organisme par les termes utilisés dans la norme ISO 14001 :2015 ».

6.3 L'essentiel des révisions 2015 Pour les entreprises déjà certifiées ISO
14001:2004, les principales évolutions sont reportées de manière synthétique afin
d'avoir un rapide aperçu des éléments à approfondir et des points nouveaux à mettre
en place. Il va de soi que les organismes ont besoin de temps pour s'adapter et un
calendrier des modalités d'application est proposé en figure 6.5.

L'.évolution du référentiel ISO 14001 peut s'appréhender en cinq grandes


orientations :

 intégration des systèmes de management;


 compréhension du contexte de l'entreprise et anticipation des besoins et attentes des
parties intéressées ;
 liaison entre stratégie et démarche environnementale ;
 approche par les risques tout le long de la chaîne de valeur et du cycle de vie ;
 évaluation et amélioration des performances du système de management.
 3.1 Intégrer des systèmes de management selon la logique du PDCA
Dans un souci d'intégration des systèmes de management qualité et environnement
(et, à plus long terme, santé et sécurité au travail), les exigences du référentiel ISO
14001 sont réparties dans la nouvelle structure universelle des systèmes de
management : une structure commune, dite « de haut niveau » ou « universelle »,
construite autour de dix chapitres. Cette réorganisation conduit à une intégration plus
logique et facile, évitant ainsi une approche millefeuille et une redondance
notamment dans la gestion documentaire (voir figure 6.2).

6.3.2 Comprendre les enjeux et anticiper les besoins et attentes des parties
intéressées
La construction du système de management environnemental se fera en étudiant de
manière plus approfondie le contexte environnemental de l'entreprise. Si les
interactions de l'organisme avec l'écosystème sont davantage connues et donc
mieux comprises, l'organisation en place sera plus adaptée et gagnera en
performance en termes de résultats environnementaux. Le croisement des données
va permettre aux organismes de redéployer leur système de management de
l'environnement. Connaître le contexte de l'organisme, c'est déterminer les enjeux
internes et externes (environnementaux, économiques, sociétaux, par exemple),
identifier les parties intéressées pertinentes et leurs attentes et en déduire les risques
et les opportunités auxquels l'entreprise sera confrontée à court, moyen et long
terme. Ces informations sont les données d'entrée pour définir le domaine
d'application du système de management qui, de fait, pourra être élargi audelà du
site de production (voir figure 6.3).

6.3.3 Renforcer les liens entre stratégie et démarche environnementale


La nécessité d'un pilotage du système de management en phase avec l'orientation
stratégique de l'organisme est mise en avant par la création d'un chapitre dédié à
l'engagement de la direction. Léquipe dirigeante intègre la notion de préservation de
l'environnement lors de ses prises de décision. Le leadership passe par une
démarche adaptée à la finalité de l'organisme et aux exigences des clients et parties
intéressées. Pour ce faire, il sera nécessaire de démontrer la mise en cohérence de
la politique environnementale et des objectifs du système de management avec
l'orientation stratégique de l'organisme. Au travers d'une approche processus,
l'intégration des risques environnementaux dans les processus métier conduit à une
déclinaison du leadership à tout l'encadrement. Le succès d'une démarche
environnementale est assuré également par la gestion du capital humain et
immatériel constitué des savoir-faire et des expériences acquises. L'allocation de
ressources se fait au regard des risques priorisés.

6.3.4 Une approche par les risques tout le long de la chaîne de valeur et du
cycle de vie
La nouvelle version du référentiel pousse la direction et son équipe à se préoccuper
des aspects et impacts environnementaux significatifs engendrés lors des étapes
amont et aval de la fabrication du produit. La réflexion s'élargit donc bien au-delà du
site concerné. Toutefois, des actions doivent être réalisables. Par conséquent, il est
nécessaire de voir dans quelle mesure vous pouvez maîtriser ou influencer les
partenaires. Pour les éléments sur lesquels l'entreprise n'a pas d'emprise, il ne lui
sera pas demandé de mettre en place des actions . Lors de l'élaboration de l'analyse
environnementale, dont l'objectif est d'identifier les aspects et impacts négatifs et
bénéfiques de l'organisme, il sera opportun de raisonner dans une perspective de
cycle de vie.

Ainsi, l'étude du devenir des produits chez le client et/ou le long de la chaîne des
valeurs peut être le moyen de déceler une opportunité de poursuivre ses progrès. En
travaillant en collaboration avec les partenaires inclus dans le domaine d'application
du système de management, l'organisme peut envisager une maîtrise plus
appropriée de l'approvisionnement, des processus externalisés, de la conception, de
la réalisation, de la livraison et du traitement de fin de vie de ses produits par
exemple (voir figure 6.4).

Vous aimerez peut-être aussi