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87, Iz Pensée saauage

\Yrrxov'srr (G. J.) : 77r. Yuma: 7¡o.


rñIo¡Nson¡cr (J.) t -l :-1. Yurlungur (serpent) : 654.
\\'onsrEr P.),1.i. YuroL : 736. 246. t s9, t66-t6t.
\{'otjobaluk : 6 zo, 669.
\\ vraN {,. C.) : 6o2,774. ZaHeN @.) : 6oo, 7 io.
Zecw¡¡lo (G. Â.): 623.
Yathaikeno: 66i. Zer¡N¡N¡ @.): 568.
Yoruba : 668, 696-697, 699. Ztri: 6oz, 6l+-61¡.

L{ VOrE DES M,{S@ES


édition reuue, augzzentée, ø ranongíe de

TROIS EXCURSIONS
Première partie
LA VOIE, DES MASQUES

< Il est à New York, écrivais-je et t)431 , un lieu maglque


oùles rêves de i'enfance se sont donné rendez-vous ; où des
troncs sécuiaires chantent et padent; où des objets indéfi-
nissablesguerrent le visiteur avec I'andeuse fixité de visages ;
oùdes animau-x d'une gentillesse surhumaine toignent comme
des mains leurs petités pattes, priant pour le privilège de
con$truire à l'élu Ie palais du castor, de lui servir de guide au
loyâume des phoques, ou de lui eflseigner dans un baiser
myStique le langage de Ia grenouilie ou du martin-pêcheur:.
Cé üeir, a"q"eid"es méth"odes muséographiqoes ãésoètes,
mais singuLièrement efficaces, confèrent les preStiçs sup-
plémentaires du clair-obscur des cavernes et du croulant
e¡tassement des trésors perdus, on Ie visite tous les iours,
de ro heures à 5 heures, à I'American Museum of Natural
Hiftorv: c'eSt ia vaSte salle du rez-de-chaussée consacrée
a* ttíbor indiennes de la côte nord du Pacifique -
qui va
depuis I'Naska jusqu'à la Colombie britannique.
<L'époque n'eSt-pas lointaine, sans doute, où les collec-
tlons provenant de cette partie du monde quitteront les
musées ethnographiques pour prendre place, dans les musées
des Beau-x-Arts, entre I'Eglpte ou la Perse antiques et le
,,1t retlo : Moyen ,A,ge européen. Czr cet art n'eSt pas inégal aux plus
À gauche. mâsque xu êxwé représentxnt grands, et, pendant le siècle et demi qui nous eSt connu de
le riemblemen¡ äe tetre : à droite. masque son hiStoire^, il a témoigné d'une divers-ité supérieure à la leur
de Dzonokv'a (Kwakiutl). et déploye des dons intarissables de renouvel-
lement. ^pipa.e--ent
@ Librairie Plon, t 97 9
8t6 L^a l'oie dcs masqøa I. I-¿ T/oie des masquu, chapìtre r 877

< Ce siècle et demi a I'u naître et fleurir non Pas uneJ


mals et de précieux ornements ; puis, vers le sud, les Haida aux
dix formes d'art différentes : depuis les capes en tapßsene æuvreì monumentâles et plèines de vþeur; Ies Tsimshian
ao déb"t du xrx' siècle3,-et qut qui leur sont comparableì avec, peut-être, une sensibi-lité
¿.r C¡ifa"t, encore inédites plus humaine; Ies Bella Coola doìt les masques affedtent
á'.r., ,errl coup à la plus haute perfe&ion du tu-
"*i*."t un Stvle Domtleux et où
,tË;?;;.*-t-J, -ãvË"t le lä,"te arg" tiré des mousses'le b blJu dä cotalt prédo-
î""ir åiä"ai ¿.1t.;;;;â; .èdre et le bÏeu cuivreux d'oxvdes
rninérar.r*. iusqu'aux exquises sculprures en arqilite,
rendue mine; les Kwakiutl, à
q,'i illustient Ia l'im4gination débridée, qui
il;;" ;Ä;. I "¡riA'""tt. noirè*, flam-
se livrent, en créant leurs
bovante décadence, au Stade du bibelot, d'un art rms en Pos-
masques de danse, à de
."úio" d'outils d'acier et que I'acier aussi détruira; e-n Passaût $upéfiantes débauches de
oar Ia mode folle' qui devait durer quelques annêes seue-
t-Ëtr,,
å;t .ãitr"tã" ã. ¿""t., bla-sonnées d? fi.gur,es sculptées formes et de couleurs ;
r* iå"J¿. nacre, ceintes ãe fourrore ou dé duvet blanc' les Nootka, que freine un
téalisme plus^sage; à I'ex-
ã'ori d.t...tdent én cascade des peaux d'hermine comme
uême sud, enfin, Ies Salish,
ã.. borr.l.r. Ce renouvellement i;cessant, cette sûreté d'in-

äõ;,i; g"ra'',ti le succès où qu'elle t: dlg dont le Stvle très simolifié


se fait angíleux et schèma-
des chenúnJbattus poussânt à des improvisations
"etette' touloun
;-uvãlË qui condìrisent infailliblement à des réussi¡e¡ tique, et chez qui s'obli-
tèrent les influences sep-
ËdiiJ''ä, Ë."ittã faire quelq'e idée, nos contemporaim
Ârc
àe.raierrt átiettdre I'exceptiónnel destin d'un Picassos'
tentriona-les8.
d'rl
;;* difã;e, to,,tefo'is' que ces exercices périlleuxuent Pour les spe&ateurs
(
tlo**. seul, qû nous ont èoupé ie souffle pendantpendær -
rites d'initiation, ces
ñË;;Ëåìoage". to,,t.'itiètt les a pratiqués des
masques de danse qui
.eni cinqoâûte ans ét même davant^ge;-cat nous n'âvo¡!
sbuvrent soudain en deux
á^l ¿. tåt"" de doutet que cet art multiforme ne se solt
ol' volets pour laisser aperce-
ãã".f"""¿ au même rvthite depuis ses plus lointainesjemde
votr un second vlsage, par-
ä-;:å',Í"Ä.",-i".""t"...Ceþ."duot,þelques-ob tois un uoisième derrière
Ëi.rre úrrtés par ies fouilles atteStent que cet ârt d'une
ulol'

¿¿i; identif,able ãans ses produ&ions le second, tous empreints


fiilrËÑ:.Àt., de myStère et d'auStérité,
;:hri.*;.ã. t;;;i.ã'"". époque fort ancienãe, en don-
retitivé qui est de mise quandoo attestaient 1'omniprésence
iäi*¿ä?t*.1^ "¿.* du surnarurel
I'aoolique à I'archéologie américaineú' et le pulluie-
;'l;-*":th ttt d''t xtx' siècle encore, un cha- ment des mwhes. Bous-
culant Ia ptacídité de la vie
.r.l.tTe -rilì^e.t s'égrenait sur la côte et dans les îles' deputs
i.oolfe d'Äl¿"ska i.túrr'au sud de Vancouver' Au momentde quotidienne, ce messâge
primitif reste si violent que
ñ'ït";il;;ie bro'spé.ité, les tribus de la côte notd-oues
;;í;;;,-;t..tåut.i .e.'i à ."ttt cinquânte mille âmes: l'isolement prophyla&icjue
qes !'ltflnes
ihiffte dérisoire quand on songe à I'expression intense etau¡ ne Paf\lent
i.Ëåîì äã.iti".t ä;""i étab&é to"t'entier dans cene loi¡' pas,aujourd'hui encore, à
ptevenir sa communica-
;rä;';t;"-;;-ã" Nãu"."" Monde, Par une populationdont tion. Errez pendant une
h á;titi;¿;;ait, selon les tégions, de o,r à õ,6 habitanryaton
i¿ã-¿". carré-. ,\.l nord, crétaient les'Tlingit auxqugþ heure ou deux à trâvers
ætte salle encombrée de
áoit des scuiprures d'une imagination subtile et Poedque' Potear dr nairon (fliryit).
I. I-.a T/oie dcs matqøes, chapìtre t 879
828 I-.a L'oie dzs natqaes
et d'en bas, du dehors et du dedans. Par un extraordinaire
mélange de convention et de réalisme, un chirurgien dessi-
nateuil'a dépouillé et désarticulé, vidé même de ses entraüles,
p* re.o.rôtitoer un nouvel être coTncidant-,Par tous les
þlnts ae son anatomie avec les surfaces palallél¿pip¿¿Oo.t,
èt ctéer ,t r obiet oui soit à la fois une boîte et un animal,
Lt
et, à la fois a,-r'ssi, ou plusieurs animaux et un homme.
La boîte pade, elle veille éfficacement sur les trésors qui lui
sont conåés, á^.,s rrtt coin de la maison dont tout prociame
qu'elie-même eSt la carcasse d'un plus gros animal où i'on
fénètt. p"r la porte, gueule béanæ, etä l'intérieur duquel
3e dressént, en cent aþparences aimables ou tragiques, une
forêt de symboles humains et non humains' >

Plus tard, j'ai connu d'autres colleétions de la côte nord-


oueSt.Celle-áe I',A,merican Museum, vi&ime comme beau-
coup de l'aberration des conservateurs, a perdu bo¡r nombre
d'atir¡ts que Ia présentation conçue pai Franz Boas avait
su si bien iui garäer'n. Nous partâgeant, selon nos disponi-
biltés du -oñ-rettt, les piècei à veãdre chez les antiquaires
un tèmps qui, Iui aussi, semble âYj.o":-
- en
new-yorkais
d'hui myttuque, où ces ceovreô ne suscitaient guère d'inté-
¡êt
-, Max ilrnst, André Breton, Georges Duthuìt et moi
¿voni constitué des colle&ions plus modéstes ; ie dus vendre
en ror r ceile oue i'avais rassemblée". Conseiller culturel de
l'amÉássade, i'å"ais eu, veß tg47,l'occasion d'acquérir pour
la France une célèbre colle&ion qui se -trouve maintenant
-des
d¿nsun musée de la côte oueSt Etats-Unis : au lieu
le vendeur awatt ptêfêÉ quelques
de dollars imposables,
oües de Matisse et de Picasso. Malgré t-ous mes efforts,
l'êchouai à convaincre les responsablès de notre po[gqge
artiStique qui, iuStement, se troivaient en visite à New York.
Il est'vrai qú'à .ette époque, les colleétions nationales
n'avaient Þas'de Þeintute^-ódettte à revendre, et on quali-
fia d'utopique món projet de solliciter d.i¡e&ement les deux
artistes qìue i'ai cités, quitte à leur laisser l'usufruit ou même
laorooriété'de ces mèrveilleux obiets: une fois en France,
ils'auràient bien, un iour ou I'autrê, pris le chemin de nos
musées12.
Malgré ces déconvenues, et sans doute en partie à cause
d'elesJe Uen presque charnel que, dès I'entre-deux-guerres,
à Ia vue des rár.. ób¡.ts qui existaient alors dans les collec-
tions ftançaise, .t .it., queiques antiquaires, i'avais noué
I¿ Voie dts ma'sqaes
I. L¿ Izoie du matquu, chapitre ¡ 88r
88o
ne s'eSt iamais relâché13 Je
rapprochent et deviennent parallèies ou même obliques ;
avecl'attde la côte nord-oueSt' le dernier tiers prend ainsi Ltaspe&.approximatif d'urrec-
encore toot i¿ttrnrntnt près d9s l-içu1 où cet art
le ressentais de-vancouver tangle, ou d'un trapèze renversé. -A I'extrêmité inférieure,
;^;;;;;;. déveioppa, en visitant 1ei musées, la petite base eSt parfaitement horizontale, comme sí on
sous le ciseau
ou le
et åe Vi&oria, et en le "ãv^il"i"te indiens dont plusieuts avait scié le masque en plein motif, lequel représente une
burjn d'habiler r."Iptto'Ii"if*ttt mâchoire inférieuie affaissée au milieu de laquelle pend une
ä; drg";; d. le,'rË grands devanciers'{'
sentiment de venel grosse langue sculptée en bas-relief ou peinte en rouge.
Pourtant, âu cours ä;;ét" -tt cet ¿rt me ür Environ au tiers de la hauteur du masque, la mâchoire supé-
une inquiérude : Posalt
,i";"r;sr;;;ì"é par téso"dte' certains mâsques' neure fait surplomb. Immédiatement ãu-dessus, Ie nez, par-
ät""uii"ìää;;i. t'I^'lt'uit
paå à
Irur fois indiqué de façon schématique ou même absent, eSt le
ious d,, même rype, Pg-1.:Ï:'1élure'
'";"¡;;bl"t"t
étaient ¿;*ð;lt"i'F-n-tÍ:io:" PI"{iÏ: plus sour1e.,t remplacé pa, ooe'têre d'oiseau ¡¡¿5 5oill2¡¡e,
stvte, Ieur forme enüouvrant ou fermant le bec; deux ou trois têtes sem-
;iäh;ú. Bi"î
du sculPteur et m.urusfi*n*l;,:lå"#å:'.äf
1ï: åi:Xi blables se dressent en haut du masque comme des cornes.
tatts Ces variations dans 1a forme du n€2, Ie nombre et Ia dis-
oarties sai-llantes, us onraiåni t'ttt" '1pp"t*-massive: position des cornes distinguent divers ry1>es de masques
too, être portés devant rtîtæt' t"ll,q"t
I'envers' à peine
appelés CaStor, Canzrd bec-scie, Corbeau et Ser?ent dâns
'aorrarna, ett épottse vr¿iment le modele'
'" *sä certains groupes; dans d'autres, CaStor, Canard bec-scie,
ü;¿ö'ni'
arrondis au sommet' m ;ot..îï åìäl a'lïï,äillïïulllj Corbeau, Hibbu et Saumon de printemps. Mais, quei que
soit le type, la forme générale reSte la même, ainsi que celle des
yeux, faits de deux cylindres de bois sculptés dans Ia masse
ou rapportés, et saìllant puissamment hors des orbites.
En regardant ces mâsques. je me posais sans cesse les
mêmes queStions. Pourquoi cette forme inhabituelle et si
mal adaptée à leur fon&ión ? Sans doute les voyais-je incom-
plets, cir ils étaient jadis surmontés d'un diadèine de pirrrnet
de cygne ou d'aigle des montagnes (es unes entièrement
bhnðñes, Ies aotr"es blanches aã so--et) entre lesquelles
st dressaient plusieurs fines baguettes ornées de boules de
duvet, tremblantes à chaque mouvement du porteur. De plus,
le bas du masque reposait sur une grande collerette, jadis
de plumes raides et plus récemment en tissu brodé. Mais ces
gamitures, visibles sur de vieilles photogaphies, accenruent
plutôt l'étrangeté du masque sani éclaiier^ses aspe&s mys-
teneux: pourquoi cette bouche largement ouverte, cette
mâchoire inférieure pendante exhibant une énorme langrre ?
Pourquoi ces têtes á'oise"r..* sâns râpport avËc le
^?pareît ? Pour-
teSte, et disposées de la manière Ia plus incongrue
quol ces yeux prorubérants qui conStiruent le trait invariant
de tous les qpes ? Pourquoi, enfin, ce Style presque démo-
ruaque à quoi rien d'auue ne ressemble dans ies culrures voi-

-'rø srnes, et même dans celle où il a pris naissance ?

. A toutes ces interrogations,


je suis re$té incapable de
repndre avant d'avoir compris que, pâs plus que les mythes,
Marqu e søai hwé. CotYi ch an'
I. I--a I'oie des matques, chEitre r 88¡
882 l-¿l.oie des matqaes

et pat
les masques ne Peuvent s'interprétcr en eur-mêmes
Li*l*¿rir.r, .o,å*. des obieti séparés' Envisagé
1" !?T:
de l'ue sémandque, un mythe n'acqurert
un sens qu unc IUD
a""s transformarions I de même'un II
;..pii.é:ä'i" li"lf"
noe de masque, consldéré du seul point de vue plaStique'
;å,tp[q* ;î'å;;;";,yp;' dont i] tra'nsforme k g4!:^',1!ll
.oï.on en assumant son individualité' Pour.qrre cefte lnol-
'[aut,et il suffit
;idî;lr;¿ räpp*. ã;.1.-ãi.'"' """t masque' il
le oremlet
ou'un même râÞport ptevaìe entre le meésage que
o o ã' i'onn oi"'''t L
:iiå*';'ö;;i#&tã;"å; ì'""' À
ñe<câoe crue clâns la meme culture""'
ou dans une culture Yot-
r-":ìP;;i. *^.qo. a chatge de véhiculer' Dâns cette
les
pels-
fonc-
;.él't"å. ;i';;;ìõ;;;' devra conslater.que
i:i:"åä"ì ;;?us';ì'"s "'"assignées aux divèrs q?.',' d'
masques qu'on oPPose.pour les ão-pattt
sonr' entte elles'

ä;. r'Ë ;étt. r"t'ptrt ¿ã l^-" tlo t* utì o t' q.'t L I si


" i!Ì^t:l:
P

le låloris des masques eux-mêmes' envlsag::


-""rttÁ.desetobiets matériels. Et pursque th^9u1,11.,1Ï
Eotà*.
se ratiachent des mydres qui ont" Pour oblet d ex-
-^.or]"t
;i'ffi;ì#;;'ñ;i¿;;;ú;ä ;; ''!"'"ru'êr" et de ronder
i"J;ild;il"ii*.i,i;å.ã""-ie,la,société,uneh¡pothèse
qui ne sont
.ä"tìäã,ã ¿.".td.e â des ceuvres d'ar-t.(mais
a fait ses preuves dans
oãr'tèJ.-."t cela) une méthode.qui.
i't;ä;J;;;u.n.J (q* sont aussi tela) trouvera sa vérifica-

;:i"J. äå1;å; äi;, "o."


poÑo.s déceiet' entre les
;.h.1äJ;iã"i, ¿..huq"t rypè de
ä""'*
masque'des
q'iì' du
raPPon:

ä:i;;;"';;;rlã" l'å-"t'ig"'i seul pont


ä äül^ilq,ã' pré"^tt"t"tt"" les masques Proprement
dits.
Pour remÞlir ce programme, il importe de considé¡el groupes septentrionaux,
.l'"il;å i. *iã ¿. -äsqie q"i nous a þosé tantdontd'énigmtr
on drs' Klahuse ef Slaiamun,
;dä."äñó.¡["tti"utË des informadons
employaient une paille
iliJ;F *å,. .t.st-¿-at" tout ce que I'on connaît sur ses
l'usE; d'espèce brillante, blaiche
:;';ólè;;' ä'h¿õ;;t' sa tec h nique de fabriencation',
zttend I enrur aussi.Les mâsques tenaient
tl est destiåé et les résultats qr:'on
a la main un siSrre spécial,
""ã""f
Ï:Ë äñäq*'-.*a""' compte áe sot' origine' de son
foryé de coquilés de
Lìä" i.t ."."aitl""1d'ê:mploi' Car c'est
ö;;;fois constrtue
seulement
peólen enfiiées sur un cer-
une .. oå"Lt globat tiu'on pourra le confron- ceau de bois. A l'époque Sifirr dn nasryr swaibtaé (Salirb).
ter utilement à d'autres dossiers'
*. Le phonème
salish généralement représenté pæ / ou x eSt une fricadve
urr¡lùe. Plus exaéle aripoinr de rue
þhonédqìre serajt la trmscriprion:
tnqw¿-

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