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Introduction
II- Les moyens de protection des associés minoritaires dans la société commerciale :
Bibliographie
1
TABLE DES SIGLES ET ABREVIATIONS :
art : Article
al : Alinéa
p. : page
V. : voir
2
INTRODUCTION :
L’entrée en vigueur de l’acte uniforme de l’OHADA le premier janvier 1998 crée par le traité
de port louis et adopté par le conseil des ministres le 17 Avril 1997 portant sur le droit des
sociétés commerciales et du groupement d’intérêt économique marque un bouleversement
dans l’histoire du droit des sociétés des pays africains membres de la zone franc. Afin de
satisfaire aux exigences de l’économie contemporaine, la réforme de l’OHADA relève d’un
double défi de la modernisation du droit des sociétés commerciale et surtout celui de la
sécurisation des associés. Ainsi les acteurs de la réforme ont adopté une conception assez
moderne du droit des sociétés commerciales en donnant une définition plus moderne et plus
dynamique de la société commerciale en simplifiant le fonctionnement de la société
anonyme1. Certaines notions plus que d’autres permettent d’évaluer un degré de modernité
d’une législation, c’est le cas de l’associé minoritaire en droit des sociétés car la place donnée
à celui-ci témoigne en effet du degré de prise en compte de certains principes tels que la
bonne gouvernance ou l’égalité entre associés2 . C’est dans ce sillage qu’il nous est soumis
comme sujet de réflexion la minorité. Cette dernière a fait l’objet de définitions divers.
D’abord, le terme minorité peut être définie comme un groupe de personne étant
minoritairement inférieur au reste de la population3. Ensuite, il peut nous renvoyer à une
personne mineure qui est définie comme étant la personne de l’un ou de l’autre sexe qui n’a
pas encore l’âge de 18 ans accomplis4. Mais la définition qui attire notre attention, est lorsque
le terme minorité renvoie en droit des sociétés commerciales à l’associé ou un groupe
d’associés qui détient à l’assemblée générale une participation en capitale inférieure à celle
détenu par un groupe opposé et cette minorité est celle qui en raison de leur faible
participation dans le patrimoine social, ne joue pas un rôle décisionnel importent durant les
assemblées générales5. Selon Yves la minorité réunie ceux qui pour des raisons diverses nos
pas voté les résolutions adoptées par la majorité dans un organe social.
Ainsi ces associés appelés la minorité dans une société sont protégés et ils sont des droits dans
la société néanmoins ils peuvent voir leur responsabilité civile en cas de faute engagée mais
1
J. Paillusseau, « L’acte uniforme sur le droit des sociétés », Petites affiche, n°205, 13 octobre 2004, p.19
2
A. Faye, « l’égalité entre sénégalais associés (Acte uniforme sur le droit des sociétés et du GIE) » : Ohadata D-
04-10 ou in Revu Droit écrit, Droit n°2, université des sciences sociales Toulouse 1, juin 2003, p. 9
3
W. José, « Les trois dimensions de la protection des minorités en droit constitutionnel comparé », (2003-04)
34 R.D.U.S., p. 100
4
V. art 276 du Code de la famille
5
G. Muberankiko, la place des associés minoritaires dans la gouvernance des entreprises en droit ohada,
L’Harmatan, 2019, p.24
3
aussi ils peuvent être sanctionnés en cas d’abus de minorité. C’est lors qu’en exerçant leur
vote, les associés minoritaires s’opposent à ce que des décisions soient prises, alors qu’elles
sont nécessitées par l’intérêt de la société et qu’ils ne peuvent justifier d’un intérêt légitime6.
Mais ces deux aspects à savoir la responsabilité civile et la sanction de ces associés
minoritaires en cas d’abus de minorité ne feront pas partie de notre développement.
La place de l’associé minoritaire dans le régime OHADA, est justifiée par plusieurs raisons,
en ce que le minoritaire a le droit de savoir quel est l’intérêt poursuivi par la société dans
laquelle il a investi, ainsi l’associé fût-il minoritaire ou simple investisseur entend pouvoir à
minima exercer un réel contrôle sur la gestion et parfois y prendre part, les associés
minoritaires ne peuvent être écartés des décisions qui peuvent avoir un impact sur les choix
stratégiques pour la société. En plus la survie des organismes et des sociétés en particulier
repose sur l’existence des mécanismes organisationnels permettant de réguler les conflits,
donc de discipliner les dirigeants afin qu’ils gèrent dans l’intérêt des actionnaires7 .
Dès lors la question qui se pose est celle de savoir quel est le statut de la minorité dans le
fonctionnement de la société commerciale ?
Pour mieux appréhender le sujet qui est soumis à notre réflexion, nous allons dans un premier
temps mettre l’accent sur les prérogatives de l’associé minoritaire dans la société commerciale
(I) avent de préciser dans un second temps les moyens de protection des associés minoritaires
dans la société commerciale (II).
6
V. art 131 de l’AUDSCGIE
7
G. Muberankiko, la place des associés minoritaires dans la gouvernance des entreprises en droit ohada, op.
Cit, pp. 42- 43.
4
Le législateur OHADA assure à l’associé minoritaire un droit à l’information (A) qui lui
permet de contrôler et de sanctionner la gestion du dirigeant social (B).
L’associé minoritaire exerce ce droit pour la participation aux votes lors des assemblées
générales (1), mais aussi il peut l’exercer pour d’autres objectifs (2).
Selon SCHMIDT, lorsque la loi donne au majoritaire, et aux dirigeants que les majoritaires
ont nommés, le pouvoir de gouverner la société, ce n’est pas dans leur intérêt personnel : ce
pouvoir ne leur est pas conféré avec licence d’abandonner, de délaisser ou de spolier les
intérêts des coassociés ; il leur est conféré pour gouverner la société qui regroupe les intérêts
de tous les actionnaires8. On y protégé les minoritaires en renforçant les organes de contrôle et
en améliorant l’information et la transparence9.
Pour garantir le respect de la transparence dans la gestion sociale et celui d’égalité entre
associé, étant donné que les dirigeants sont choisis selon le principe de la majorité et que les
associés sont tous égaux, le législateur OHADA a pris conscience que l’associé minoritaire
doit contrôler la gestion des dirigeants sociaux. Pour ce faire l’accès à l’information est une
nécessité. En vertu de l’article 53 de l’acte uniforme relatif aux sociétés commerciales et aux
groupements d’intérêt économique (AUSCGIE), tout associé a le droit d’assister et, par la
même occasion, de voter aux assemblées générales. Pour garantir une participation active et
effective aux décisions collectives, les associés doivent pouvoir être informés facilement des
évènements de la vie sociale et des choix politiques des dirigeants. Le droit à l’information est
un corollaire du droit de l’actionnaire à participer et à voter lors des assemblées générales. A
défaut, les pouvoirs de l’actionnaire serait sinon théorique, du moins fortement entravés10.
Conscient de ces enjeux, l’OHADA consacre le droit d’accès à l’information pour tout
associer, ne faisant aucune distinction entre associés majoritaire et minoritaire dans le
processus de commination des documents sociaux. Ces informations peuvent être accessibles,
8
D. SCHMIDT, Les conflits d’intérêts dans les sociétés anonymes, Joli, Paris, 2001, p. 59.
9
Y. GUYON, « Propos impertinent de droit des affaires », in Mélange Chistion, Mélange et l’honneur de C.
Gavalda, Dalloz, Paris 2001, p. 135
10
A. M. CARTRON et B. MARTOR, « L’associé minoritaire dans les sociétés régies par le droit ohada »,
Cahier de droit de l’entreprise, n°1 janvier-février 2010, p. 22
5
par tous, de façon occasionnelle notamment au moment des assemblées générales. L’article
525 de l’AUSCGIE relatif à l’assemblée générale ordinaire annuelle offre la possibilité a tout
actionnaire sans exception de consulter notamment les états financiers de synthèse, la liste des
administrations et le rapport des commissaires aux comptes, ainsi que le montant des
rémunérations versées aux dirigeants et salariés les mieux rémunérés. En résumé, l’associé,
même minoritaire, a donc le droit d’être informe et de pouvoir exprimer son point de vue a
l’occasion des assemblées générales. Il est important de préciser que ce droit peut être exercé
par l’associé minoritaire dans d’autre cas.
Il y’a d’autre cas où l’associé peut exercer son droit à l’information avant l’assemblée
générale, ainsi, lors de l’assemblée générale spécialement appelée pour se prononcer sur un
projet de fusion ou de scission, tout associé doit pouvoir consulter le projet de fusion en
question ainsi que les rapports du conseil d’administration, les états financiers de synthèse et
le rapport de gestion de toutes les sociétés concernées par la fusion11. Ainsi, le droit OHADA
a prévu des règles susceptibles de lui permettre d’être informé lorsque la société connait de
grand bouleversement. Il est aussi important de préciser que ces informations peuvent aussi
être de façon permanente. En effet, aux termes de l’article 526 de L’AUDSCGIE, les
documents sociaux des trois derniers exercices ainsi que les procès-verbaux des assemblées
générales doivent être accessibles à tous, à tout moment. Cette liste n’est d’ailleurs pas
limitative. L’article 526 du même acte uniforme prend le soin de permettre la
consultation « de tous autres documents, si les statuts le prévoient ». Les informations sur la
vie et la santé de la société lui sont accessible. L’associé minoritaire est aussi libre, au
moment de la rédaction des statuts, de se garantir une information plus complète et par
conséquent, une meilleure visibilité des actes de gestion sociale12. Il peut notamment exiger la
communication des délibérations du conseil d’administration. Précisons également que le
l’législateur OHADA impose les associés a se déplacés au siège social pour consulter les
documents sociaux ; c’est ce qu’on appelle le principe de la quérabilité. Mais pour un certain
nombre de documents, l’OHADA prévoit de les dresser directement au domicile des associés.
Il s’agit de certains documents importants comme l’avis de convocation à une assemblée
générale indiquant l’ordre du jour, le rapport de l’expert de gestion, les indications relatives à
la société en cas de liquidation ainsi que l’offre de rachat par la société de ses propres actions.
11
A. M. CATRON ET B. MARTON, « L’associé minoritaire dans les sociétés régies par le droit ohada », op. Cite, p.
23
12
Ibidem
6
Ce droit à l’information confère à l’associé minoritaire un pouvoir de contrôle et de sanction
de la gestion sociale.
L’associé minoritaire dispose d’abord d’un droit de contrôle de la gestion sociale du dirigeant
(1) mais aussi d’un droit de sanction en cas de faute de gestion ou de mauvaise gestion (2)
Une société n’est pas la priorité absolue de ses dirigeants. Trop d’intérêts sont en jeu pour
qu’il puisse en être ainsi. Raison pour laquelle, dans toute société, il existe des mécanismes de
contrôle de la gestion, accessible à tout associé même minoritaire 13. Le législateur OHADA
fixe le principe du droit de communication des documents a toute époque aux associés pour le
contrôle et énumère les documents sur lesquels porte ce droit. Cela permet aux associés
minoritaires d’avoir accès à l’information sociale car aucune condition relative à la détention
d’une fraction du capital social n’est requise pour accéder à ces documents 14. Pour renforcer le
droit de consultation directe des documents sociaux, l’AUSCGIE a fait preuve de modernité,
voire, a certain égard, de créativité, en introduisant dans l’espace OHADA une série de
procédure permettant aux associés, y compris minoritaires, de s’assurer de la « bonne
gouvernance de la société »15. Il s’agit notamment de la procédure d’injonction. Ainsi l’article
528 de l’AUSCGIE précise que tout associé, sans distinction, peut obtenir devant le juge des
référés la communication forcée de certains documents sociaux en cas de refus des dirigeants
sociaux. En droit OHADA, cette procédure judiciaire, essentiellement ouverte en période
d’assemblée générale, n’est justifié que par un refus, et non un simple retard, dans la
communication d’un document sociale par les dirigeants sociaux. Ensuite il y a la procédure
d’alerte, ainsi, au titre des articles 158 et 526, alinéa 3 de l’AUSCGIE, relatif à la SA et de
l’article 157 de l’AUSCGIE applicable aux autres sociétés, l’associé, même minoritaire, a la
faculté de poser des questions aux dirigeants sociaux sur des faits de nature à compromettre la
continuité de l’exploitation. Contrairement en droit français ou la procédure n’est ouverte
qu’aux actionnaires détenant au moins 5% du capital social, le droit OHADA ouvre cette
procédure a tout actionnaire. Ce dispositif est important pour les associés minoritaires qui se
13
G. MUBERANKIKO, La place des associés minoritaires dans la gouvernance des entreprises en droit ohada, op.
Cite,p. 51
14
G. MUBERANKIKO, La place des associés minoritaires dans la gouvernance des entreprises en droit ohada, op.
Cite, p. 52
15
A. M. CARTRON et B. MARTOR, « L’associé minoritaire dans les sociétés régies par le droit ohada », op. Cite,
p. 24
7
seraient trouvés exclus du bénéfice de ce droit si l’on avait institué des seuils comme en
France16. Enfin il y a une procédure d’expertise de gestion, en effet aux termes des articles
159 et 160 de l’AUSCGIE, les associés peuvent « demander au président de la juridiction
compétente du siégé social, la désignation d’un ou de plusieurs experts chargés de présenter
un rapport sur une ou plusieurs opérations de gestion ». En droit OHADA, la procédure
judiciaire d’expertise est ouverte dans tout type de sociétés contrairement en France ou elle
n’est possible que dans les sociétés anonymes et les sociétés à responsabilité limités. La
procédure d’expertise de gestion est réservée aux seuls associés détenant au moins 20% du
capital social. Ainsi, il fait ajouter qu’en plus de ce droit de contrôle l’associé minoritaire a
également un droit de sanction sur le dirigeant social.
L’associé minoritaire dispose également d’un pouvoir de sanction vis-à-vis des dirigeants
sociaux : c’est l’action en responsabilité civile. Il exerce ce droit à travers deux types
d’actions. L’action individuelle prévu par les articles 161 et 164 de l’AUSCGIE, qui
précisent que tout associé, sans distinction, peut introduire à l’encontre des dirigeants sociaux
visant a engagé leurs responsabilités vis-à-vis de tout associé ; il faut pour ce rapporté la
preuve d’un préjudice personnel, distinct de celui subi par la société. L’action sociale prévue
par les articles 165 à 172 l’AUSCGIE qui précisent que les associés peuvent collectivement
ou individuellement, engager une procédure judiciaire à l’encontre des dirigeants sociaux.
Cette action vise a engagé la responsabilité solidaire ou individuelle du directeur général à
l’égard de la société elle-même. Elle est toutefois réservée aux actionnaires représentant au
moins 5% du capital social dans les SA et aux associés détenant au moins 25% des parts
sociales dans les SARL. L’associé minoritaire bénéficie donc de divers instruments pour faire
respecter son droit de regard sur la politique sociale et garantir ainsi une meilleure visibilité de
la qualité et de la régularité de la gestion sociale. En effet, la parfaite et continue information
de l’associé minoritaire détermine son aptitude à surveiller les actes de gestion sociale et sa
capacité à participe activement à la vie politique, économique et sociale de la société 17. Il n’en
demeure pas moins que le moyen le plus efficace pour l’associé minoritaire de s’assurer un
droit de regard sur la gestion sociale est de prévoir dans les statuts la nomination des
dirigeants sur sa proposition et de veiller, par la suite, à leur maintien aux postes concernés.
16
A. M. CARTRON et B. MARTOR, « L’associé minoritaire dans les sociétés régies par le droit ohada », op. Cite,
p. 25
17
A. M. CARTRON et B. MARTOR, « L’associé minoritaire dans les sociétés régies par le droit ohada », op. Cite,
p. 26
8
Par ailleurs, la garantie d’une bonne gouvernance suppose également que l’associé minoritaire
bénéficie d’une certaine autorité vis-à-vis des coassociés surtout les majoritaires.
II) Les moyens de protection des associés minoritaires dans la société commerciale :
Les moyens de protection des associés minoritaires dans la société commerciale sont
notamment les moyens de protection des associés minoritaires dans la société commerciale(B)
et mais aussi ces moyens de protection des associés minoritaires se reflètent à travers des
sanctions en cas d’atteinte à leurs droits (A)
9
capital social. D’ailleurs pour se protéger de la majorité et assurer une place de choix au sein
de la société la minorité a le droit de participer aux assemblées générales et elle a la possibilité
d’exiger l’unanimité dans les statuts et les pactes d’actionnaires. En ce qui concerne le droit
de participer aux assemblées générales, l’article 125 de l’AUSCGIE dispose que « sauf
disposition contraire de présent acte uniforme, tout associé a le droit de participer aux
décisions collectives. Tout clause statutaire contraire est réputée non cependant aucune
limitation de voix ne peut être opposée au minoritaire pour la participation aux assemblée
générales extraordinaires21 sauf pour les assemblés ordinaires dans lesquelles les statuts
peuvent exiger dans certaines limites, un nombre minimal d’actions22. Et enfin pour une
protection de la minorité contre la majorité, le minoritaire participe activement à la
construction du projet social mais aussi à la rédaction du pacte d’actionnaire et des statuts qui
sont des phases très important.
21
V. art 552 de l’AUDSCGIE
22
V. art 548 de l’AUSCGIE
23
Ibidem
10
décision abusive et que l’action en abus de majorité sera intentée contre les associés sur le
fondement des dispositions de l’article 1240 du code civil.
24
M. Cozian, A. Viandier, Florence Deboissy, Droit des sociétés, LexisNexis, 29e éd, p. 371
25
V. art. 162 al 1 de l’AUSCGIE
26
V. art. 1382 du CC français
11
associé et un lien de causalité entre la faute et ce préjudice 27. Cependant, lorsque le dommage
subi par l’associé est celui souffert par la société ou en est simplement le corollaire, celui-ci
selon l’AUDSCGIE ne peut intenter une action directe. La juridiction compétente concernant
l’action individuelle est celle dans le ressort de laquelle est situé le siège social de la société et
cette action individuelle se prescrit par trois ans à compter du fait dommageable28.
12
violation des dispositions textuelles. Dans le souci de protéger les intérêts en présence
notamment les associés minoritaires, le nouvel l’Acte Uniforme relatif au droit des sociétés
commerciales et du groupement d’intérêt économiques de 2014 est venu renforcer dans
certains aspects la responsabilité pénale des dirigeants sociaux du fait de ces infraction.
BIBLIOGRAPHIE :
13
OUVRAGES GENERAUX :
Cozian Maurice, Viandier Alain, Deboissy Florence, Droit des sociétés, 34ème
édition, LexisNexis, 964 pages
OUVRAGES SPECIAUX :
Schmidt Dominique, Les conflits d’intérêts dans les sociétés anonymes, Joli,
Paris, 2001, 303 pages
Muberankiko Gervais, la place des associés minoritaires dans la gouvernance
des entreprises en droit OHADA, L’Harmatan, 2019, 404 pages
ARTICLES DOCTRINALES :
Cartron Aude-Marie et Martor Boris, « L’associé minoritaire dans les sociétés
régies par le droit ohada », Cahier de droit de l’entreprise, n°1 janvier-février
2010, 29 pages
Dikor Alain Michel Ebele, « La responsabilité pénale des dirigeants sociaux
du fait d’infractions non intentionnelles », Revue de l’URSUMA, n°6 – janvier
2016
Faye Amadou, « l’égalité entre associés (Acte uniforme sur le droit des
sociétés et du GIE) » : Ohadata D-04-10 ou in Revu Droit écrit, Droit
sénégalais n°2, université des sciences sociales Toulouse 1, juin 2003
Guyon Yves, « Propos impertinent de droit des affaires », in Mélange Chistion,
Mélange et l’honneur de C. Gavalda, Dalloz, Paris 2001
14
TABLE DES MATIERES :
Sommaire……………………………………………………………………………………. 1
Table des sigles et abréviations…………………………………………………………….... 2
Introduction…………………………………………………………………………….... 3
………………………………………………………………………………………………… 9
Bibliographie…………………………………………………………………………..... 14
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