U LIV

DU SUPR :.1 lE
POUR LA F .. A_ ~E,

lJES PU ETSOU\Et\.I

Il SECT U ,

. T.I, CEP É.

A L O.'. D E PAR 1 ,.
., ,', PO
n 33", DEGRÉ EN Â.'CE,
l\ U EDE 1\10 L L S, N°, 2[.

5 r4, - 18 4.
 EXTRAIT

D LIVP\E D'OR
i\

DU SUPREl\lE CONSEIL,
POUR LA. FH.ANCE,
DES PUISSANS ET SOUVEllAINS

GRANDS INSPECTEURS GENÈRAUX,

Trente-troisième el dernier Degré
DU RIT ÉCOSSAIS ANCIEK ET ACCEPTÉ.

ORno AB CHAO.

stANCE: .xtraordinaire du l'ingt-truisième jour dll

neuvième mois 5th 4.

LE Supr~me Conseil arrête que la planche

par lui adressée au Grand-Orient de France,
 ( 5)
1 ~jn t-huilit-rn. j H cl ois 'rnirr, rcla- 1: P" lit lin Séanc~ cl lIprt~ e Conseil,
li '('111('01" 1 pl' '1 ,'(' i1lélli, d 1 i C-
lilm fox i l ;1U 5 de ce mOlS. trois he l'CS "près
lans le Gran· !i 'nl C FrallcP, s 'ra Je III Ji.
s'Jite IVOY caux .on:eils parlil ulil'r Il

tr 'Ill -dclI.\Î 'Ille cl gll~. ail r,lncl Tril ut!' ux n:traordinaire du pif/gt - cinqui me
du 1II:III'-llIi,\me.;111 ranu~ Chlpilr' du jour du neuvième m is :J81.}.
"Îtlnl n IlIil'Ott'. à a COOl' dt" um laI UT
A. RE'·:I':.
... .
du Yillgt-", P il e. cl a :li. grl li hapilres
d'J vingl - lIL'\ièmc, q • par il ('m'Ol st' , n nlf'm, rc ;lY Il t donn lcl'luro du pro jet
fait il Idl'~ l,s (I~I'S cl ~ tuus les (bapilres de la planche l'i(', nlt1irc arrêle ct r <.lige par
Ù~l ~il ;1:0 lis an.;' n ct a('('.plé. 1[lnt a 1 CommÎ silo. (' ('nn é (~n - de l'al ré é du
) Ori 111 de ,1 'IS, Ile dans l'étendut' t la Supr 1 ~( n~( il du ";- dt: C ('s.
F'r n . " ct gtÎoér;dcmcnt: 1 mll'~ I·s Loges Ll' SI rêm~' C 0:0 'il, aprt':s mûre di~clis­
c irn', de sa C rrf' pond"nce. sion, a nll{l!lilrH'ffi,'nt appr uvé le pTojet de
r '1 Il: Cu s il charge la Commission cirell air' clülI il à IlIt.'nJu plu. Îeu s lectures.
p'ir lui 1 IIlUIP Jan sa an (' du "il'ol- et al' ~té "il s '1' 1 al1 1 il à la sui c de la.
h liti,' .- i !Ir du sppti me mui de hl r cllte l
p " e cl 'li c.alinn; arrèlc ,~lt~' Icment
le
211 CI', rdatÎ\clll,'ot au prOj t d· la c: 'nlr~t1i-
qu'il s'l'a impl'irn '. 1 argc l 's l rnbres de
al ;on de lou 1(,' ft i tes, de 1 red l 'tt la la Commissi"n à la Ilell' la ré a 'Ii n a été
ta 1 h, r:ii,'llLil q'li dl'\'fa a I:UU P;'ô l con lée. d~ la si .. ~Itur cl 's soi s de ' nvoi
l't'Il'Of q 'il 1 Il d'on~ 110'1'. laqudJe aux terrlJ{'s de son arr\té dû ingt-troisi&me
pli'lul-rLl k ,'ir on l.IlI.· et le 01& qui
. L· tlp r . Co 1 cil recom-
n rendu cd cn 01 l '1'('SSilir ; pour, la COlT' ma JII l' : de cette Com-
11-,,100 i aC(l!cll· .s adjoint Je Pujo aol ct m', 'ion. ct à elui e l' IL,. Secrétaire du
,'110.;: rain r,'ndIn~p('l:t urg'ncrall~ LCl , lint-li Ipil'e. la plus prom -.te accéléralion
L 'cl, ic d'un '. ri pportcr son proj t ' u_ Let envoi si urgent dans les c:rconstalll.;c5.
 ( 6 )

C 1Re U LAI R E.

Tl'T.', ccc,,, ,ct l'TT.', RRR,', FFF,'.,

En vous transmettant l'imprimé ci-joint, le

Suprême Cn ,il remplit le devoir que votre
conl1lC1cf' 1 sa s IIi itnde lui imposent, de
VOliS il! truirc de tl1ut (' q'Ji intéresse le Rit
J=t:lJS is ancien l cCP qllC vous pro·
flSSI'Z.
La lectnre de la planche de la Commission
de la G ran:le Loge de Conseil et d'appel du
Grand-Orient de France. adressee au Su-
prême Conseil, pour l';,ppelcr à concourir
aiJec ell1 à l'œIJwe de III centralisation Jans le
Grand On'enl de tvus les Rilrs maçonniques
pratù/ués en l'rame «,
ct de la réponse
motivée du Sl1prt""JC ( ollseil à cette planche.
s:Jl1ra pour Illettre 10'.lt(' t-ntièrr s 'S vos yeux
la question qui ù'st élevée. ct pour fixer
votre opiuion.
La fi(:élité par laq'leJ!e les Maç,', qui ont
"
(t) Voy. Pièc('s justifrcatives du. ~e.,. jour du S·...
111:.581+, page lit,
<Ir T". 1 P
ét.:ri'on-.
'\lais au devoir de vous instruire se lie un
autre motit qui a dû d~terminer l'envoi que
nous vous adressons: il serait possihle que le
Grand-Orient, sans s'arrêler aux considera-
tions que nous lui avons présentées a ...ec ceUe
mesure qui caractérisera toujours nos re la 1ions
quelles qu'elles soient avec lui, passâl outre:i
l'exécution du projet de la centralisation,
qu'il fit même unappelauxLogeset Chr'p Ires
du Hit Ecossais ancien et accepté, pour re:-
connat!r le Grand-Orient comme Chd unique
de t u 1 Hites 3. nniques en France,
e tt in uid cl, uHlI pour ext:itcr toule
notTe i il n e, et l'que BOUS \'ollsmettioos
en gard c tr t JLe cl an·hcs qui ten-
draient a . JUier un cent ali·;,tion , sur la-
quelle il cut du lU ius été juste d'appeler ct
 {

d'obtenir le vœu dG CCiL\: S!lr qUl lle dui

1'11' l' 1er-
s'opérer,
C'est donc ponr vons rrmllnir, T'fT,', Ilcmh t',

CC ,', ct 'rl'T ,', R .., l'Fr", , soit con' e

J" -J \ )ués,
tous acte. irects, jt on r 10111 insinua- 1 • ur.ln's de la COl,'lmissù.'1l dl.t
tions Îp ir etes, que le"Pl' Ille n I:i! a Cl'U "prt e Conseil, pOlir la l'rance, des
qu'il imp ri ,t Ile" Il r '
US~IPZ rev nus", / UÙSOIlS et Souflerains Grands lnsf't'c-
V u. J'è e : s n i t ('st TPmpli, Inlrs gJnéroux, ;'j"". el dermer IJrg,·,

Au si n'ajout rons - nOlis pa SOYEZ FI- du Rù Ecossais ancÙJn et accepil; ,

DÈ1"E : cette r comm. ndalinu rait une chargés '. par dé/t'bùal/oll spJr 'ale {li:
injure; mais nous vous dir liS, pal"e qll la 25 nOflembre J If , dl,' la signailt/"f: et

circonstanrc 1 ornmuo 1 SOYFZ L l\UDENS de l'enfloi de la p,él't 'Ue CùcttlaÙ'c,

ET TRANQUI LE' rdl'z-vous 'un exeès de Signé .. lUIL J l :J,
J-,E CO.fT
zèle qui ne p l1rl'ail qu n ire à Il Ire <luiludc LE C 'YALlER D'AH'.;
défensive el c nlH'rv' rice' suivez l' x mp e
,LE,
I.E C lUTE LJ~ PE AUN.\ y,
de circon"pe ti Il et de modcra i n lfll le
Suprême ons il 011S a cl one Ilb ba p a l:he
Pour exrédition confùr "
au Grand- ri nl, 1 !'il Yt 1 cl n ra u-
] " crdtat're da S:J.lnt- Eml'irt..' pour la Fj
jours da l'èxerci· e 1 à tl ril' rt i 1· i
conG e; unissez- 'II'J :1 lui, "P ez ' lU' SlIl'
la conviction intin qu la" ( erYation, le
mai tien, la gloire, cl 1 l'liS érilé du Ri
Écossais ancien ct acceplé, son cl saon lou-
j urs " bjet immédiat ~t cposta t de toute
.a sol icilud. .

Recnez, 1'1'T,', CCC,·, 1'1'1'.', R,',