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Photosynthèse :
I. Introduction
II. Mis en évidence
III. Les chloroplastes
Les plantes vertes présente le pouvoir de fixer une partie de l'énergie lumineuse rayonnée du soleil
pour la transformer en énergie chimique, cette énergie sera utiliser pour fixer le carbone de l’air (
atmosphérique), cette élément sera à la base de presque tous le composées chimiques fabriquées par
la plante donc la provisionnement en énergie entraine celui du carbone qui sera à la base de la
nutrition du plante, ceci une phénomène capital de la photosynthèse (photo: lumière ; synthèse :
processus anabolique).
Les produits organique synthétisées par la photosynthèse sont très souvent des glucides notamment
de l'amidon ceci permet de conclure que la photosynthèse est le phénomène métaboliques qui permet
au plante verte de produire les corps organiques en utilisant de l'énergie lumineuse à partir de l’eau et
du présents dans l’eau et l’air.
Dès la 2éme moitié du 19éme cycle il y a un auteur qui s'appelle Engelmann à démontrer chez les
spirogyres un dégagement d' photo-dépendant et la formation d'amidon, plusieurs méthodes
peuvent être utilisés pour mettre en évidence les échanges gazeux au niveau des plantes vertes.
En microscope électronique les chloroplastes sont constituée pas 2 membranes (membrane plastidiale
externe et interne) ces deux membranes sont séparées les unes aux autres de 20nm et une partie
appelée stroma (partie centrale), la membrane interne bourgeonne des saccules très aplaties appelés
thylacoïdes parallèle à l’axe principal des organites.
Certains thylacoïdes s'accole les uns sur les autres pour former un grain ou granome d'autres
thylacoïdes plus allongées ce sont des thylacoïdes stomatiques ou intergranaires.
Les très jeunes cellules foliaires à l’état méristématique ne possèdent pas des chloroplastes très bien
structurés mais des plastes à contenu lamellaire rudimentaire, ces organites appelés proplastes suivent
la différentiation cellulaire en grandissant et en s’enrichissent en membrane interne, ce développement
nécessite la lumière pour aboutit aux vrais chloroplastes.
3. Composition chimique
Après une technique de fractionnement cellulaire on constate que la membrane plastidiale interne
enferme des lipides (environ 40% diverses protéines enzymatiques 50% des pigments dans différents
types de chlorophylle 10%)
Les protéines enzymatiques catalysent des réactions externes, exemple : les plastoquinone, le
cytochrome, les plastocyanine, les pyridoxines, les sphères pédonculés renferme de l’ATPase (enzyme
responsable de la synthèse de l’atp)
Le stroma contient de l’ADN et l’ARN plastidiale et des inclusions insolubles (amidon+lipides ) l’ADN
plastidiale est circulaire Il code les différents ARN, les ribosomes (plastoribosomes) sont comparables à
ceux des procaryotes, l’enzyme le plus abondant la ribolase 1,5 diphosphate carboxylase qui intervient
dans la réaction de synthèse
4. Architecture moléculaire
Les lipides : forment une bicouche (les pôles hydrophytes en surface tandis que les chaines
d’acides gras hydrophobes sont disposés à l’intérieur perpendiculaire à la membrane) les lipides
rencontrés sont
o Lipides polaires neutres :
- Galactolipides, MGDG, DGDG
- Phosphatédylcholine PLC
o Lipides polaires acides : phosphastédylglycèrol (PG) joue un rôle important à la résistance
au froid
- Sulfulipides : sulfoquinovosediglycérides
- Phosphatédyl inositol (PI)
Remarque : MGDG seul type des lipides thylacoïdes en suspension aqueuse, ne forment pas de
structure lamellaire en bicouche, forment au contraire des agrégats hexagonaux de micelles
cylindriques, PG, QQDG, contiennent jusqu'à 85% d’acides gras polyinsaturés
Les protéines : sont en majorité organisées en 5 complexes protéiques intégrés qui traversent
les membranes, protéines transmembranaires 3 entre eux : renfermant des pigments, ce sont
LHC1, PS2, PS1, les 2 autres : le complexe ATP synthétase
Ces protéines transmembranaires sont associées à des protéines extrinsèques, elles sont aussi
responsable au sein des thylacoïdes de la capture des photons et transfert d’électron, de la
production d’un gradient de protons.
Les chlorophylles et les caroténoïdes sont universel (on les retrouves dans tous les végétaux verts), par
contre, les phycobilines qui sont spécifique des algues.
Les teneurs en Chla et Chlb défère selon les espèces végétales et pour les caractérisé on fait le rapport
Chla/Chlb
Chez le bigaradier contient 1mg/1g de matière friche de Chla et 0,4mg/1g de matière friche de Chlb
L’orangé 1,4mg par g de matière friche de Chla et 0,5 mg par g de matière friche de Chlb
Les rapports : le bigaradier = 2,5 et l’orangé 2,8 (ce rapport est défère selon les espèces végétal étudie)
Ce rapport chez même espèce peut varie en fonction des conditions de l’environnement.
c) Spectre d’absorption des pigments
Il est connu que la chlorophylle et les pigments responsables de la couleur verte de plantes, cela veut
dire qu’il ne reçoit que la couleur complémentaire de celle qu’absorbe principalement cette molécule
dans la lumière visible : le bleu à gauche et le rouge à droite. On effet le spectre d’absorption des
solutions de chlorophylles a révélé deux bandes correspondant à des longueurs d’onde ( ) de
maximum d’absorption.
La beta carotène avec un système polyénique (plusieurs doubles liaisons) non cyclique et deux
cycles beta symétrique aux deux extrémités.
L’alpha carotène défère de beta carotène au niveau d’une double liaison qui n’est pas
conjugué avec le système dans le cycle alpha.
La xanthophylle le plus abondant dans les caroténoïdes est la lutéine (qui est un dialcool qui
correspond a l’alpha carotène)
Spectre d’absorption des caroténoïdes : il varie entre 350 et 520nm le maximum principale est situé
au voisinage de 450nm, c-à-dire dans la partie bleue de spectre où l’absorption due à la bande de
SORET des chlorophylles et la plus intense.
- 1er : le transfert d’énergie absorbé vers une molécule de chlorophylle la plus proche (environ 70A)
- 2éme : rôle de désactivation à l’égard de la molécule de chlorophylle excité.
- 3éme : rôle de photoconducteur, le système pollinique des betacarotènes peur se comporte
comme un fil électrique qui ne devient conducteur qu’à la lumière quand la molécule est excitée.
Teneur des chlorophylles en caroténoïdes : chez l’orangé 0,4 mg par 1g de matière friche, chez le
bigaradier c’est 0,3mg par 1g de matière friche et pareil pour les hibiscus.
3. Les phycobilines
Spectre d’absorption : absorbe dans le vert, le jaune, et l’orange, c-à-dire entre 500 et 620nm.
Si on a les phycobiline chez les végétaux supérieurs Ils seront incolores. Séance 3
Par coutume on représente la photosynthèse par la relation suivante, en réalité la photosynthèse est
décrite par un ensemble de réactions :
Cependant d’autres réactions photosynthétiques interviennent également dans certaines plantes qui
sont les ions
V. Processus photosynthétiques
1. Phase photochimique = réaction claire
1 ère lois : Seules les réactions lumineuses effectivement absorbée peuvent donner naissance à des
réactions photochimiques à des réactions bleues qui sont groupé dans des bandes de Soret ou les
rouges sur les bandes visibles.
Chez les végétaux il existe des pigments principaux de la photosynthèse, ils sont toujours impliqués
dans des réactions photochimiques, se sont chlorophylle
Des pigments accessoires tels que les carotènes et xanthophylles, il existe un autre groupe de
pigments appelée (Surmyéline à phycobiline), et les différents pigments surmuniraine à phycobiline (se
trouvent que chez les algues et chez les bactéries) elles donnent une coloration soit rouge soit bleu,
Qui absorbent dans certaines radiations qui sont actives en photosynthèse mais qui ne sont pas
absorbés par les pigments principaux :
Chlorophylles : centre réactionnel – parabole qui collecte les radiations pour les transférer au
centre
Carotène, Xanthophylle : Jaune et marron
Phycobiline : Bleu et rouge
On a la chlorophylle qui absorbe dans le centre réactionnel, alors ces pigments accessoires vont
transmettre ces radiations par fluorescence secondaire ou par résonnance à la chlorophylle
2éme loi : Dans toute réaction photochimique, le processus primaire est l’absorption d’un quantum
d’énergie par une molécule réagissant. La molécule passe de l’état stable à l’état excité, cependant à un
niveau énergétique supérieur.
A Réaction photochimique
Molécule à l’état stable → fixation d’un photon → molécule à l’état excité = réaction photochimique
Alors une molécule absorbe un photon d’une radiation N molécule ou 1 molécule gramme absorbe n
photon identique
L’absorption d’un photon par une molécule de chlorophylle permet à l’électron de sauter un orbitale
interne vers un orbitale plus éloignés d’un noyau, (trajectoire de quelque chose qui tourne à l’infini),
lorsque l’électron veut revenir à l’état initial car lorsqu’il revient émet de la fluorescence mais avec
perte d’énergie. Ce saut d’énergie s’appelle transition électronique permettant l’excitation
Lorsque l’électron veut revenir à l’état initial car lorsqu’il revient émet de la fluoresce mais avec perte
d’énergie.
Spin électronique = sens de tournement giratoire de l’électron, pour changer de spin il faut un choc
La notion de Sa vers Sb est très rapide de façon que la chlorophylle ne le profite pas pour fabriquer de
l’énergie en photosynthèse
Lorsque les molécules de chlorophylle se désactivent par retour des électrons vers le niveau
énergétique fondamental, la première transition (état énergétique supérieure vers état énergétique
excité) se fait sans émission de radiation. cette transition se fait très rapidement (10 -14 à 10-13 sec )
que la forte énergie accumulée par la molécule lors qu’elle était excité par les fortes fréquences , ne
peut être utilisées pour aucun processus , elle se trouve en partie dissipée sous forme de chaleur qui se
propage par résonnance au sein de l’antenne photosynthétique entrainant l’excitations des molécules
voisines puis elle se propage jusqu'à être piégé par les pigments principaux
Lorsque l’un des électrons d’une molécule de chlorophylle se trouve dans le premier état singulet
excité, la désactivation de la molécule en 5 ) peut se faire selon plusieurs voies et par transition
successive :
Exemple de chlorophylle a : région proche de l’infrarouge = log onde = 720 nm
C’est à partir du premier état singulet que le retour d’électron vers l’état fondamental peut fournir une
énergie utilisable chimiquement
Alors cette stabilisation correspond au mécanisme de séparation de charge positive et négative entre
un donneur et un accepteur primaire d’électron étroitement associé à la chlorophylle du centre
photochimique.
On voit dans la figure que la chlorophylle a à un donneur chargé positivement et un accepteur chargé
négativement, il faut que cette différence de charge ne dépasse pas sec
Ces radiations (chute dans le rouge) qui sont absorbées par le pigment principal (chla) ne sont pas
absorbées par la chlb
Pour expliquer inefficacité de radiations de rouge sombre, des travaux ont démontré la nécessité de
l’association de plusieurs réactions clair (déclenchée par plusieurs radiations de longueurs d’ondes
différentes), les expériences de Planck et Emerson montre la nécessité de l’association de moins au
moins de deux réactions indépendantes
L’une provoquée par des radiations inférieur à 720 nm correspondent au PSI et une autre lambda
inférieur à 680 nm correspondent au PS2, pour la première est mise en jeu la chlorophylle (a) , l’autre
mis en jeu la chlorophylle a et probablement la chlorophylle b qui n’absorbent pas à une valeur
supérieur 620 nm
Photosynthèse qui se déroule in vivo, associe au moins deux réactions claires simultanés, un des PS
impliquée en PHS doit contenir au moins un pigment de type chlorophylle b qui n’absorbe pas à
lambda supérieur à 680 nm B
Ceci permet aux réactions photochimiques de la photosynthèse de se dérouler sans interruption (sans
arrêt)
Les pigments des antennes dites pigments accessoires sont de nature divers chez les plantes
vasculaires, ils comprennent des carotènes et les chla et chlb
Il est à supposer que chaque centre réactionnel PS1=700nm et PS2= 680 nm est physiquement
indépendant avec son propre lot d’antenne ou présente une partie une partie de pigment antenne
avec d’autre PS (figure A)
Le concept actuellement retenu constitue une synthèse de ces deux types imaginaire d’organisation,
d’abondances pigment-antenne environ 55% sont commun au unités PS1 et PS2 et constitue le LHC ,
tandis que les deux types de centre réactionnel sont organisé au sein de complexe LHC1 et LHC2
P700 : centre réactionnel - PS1 : tt le complexe LHC1 la partie propre de l’antenne collectrice et le
photosystème 1 LHC : partie commune entre les 2 photosystèmes
CAB: protéines de l'antenne périphérique (ou majeure), Car: carotène, Chla: chlorophylle a, Chlb:
chlorophylle b, CP: protéines de l'antenne proximale, D1-D2: sous unités du centre réactionnel, LHCII:
Light Harvesting Complex II (antenne majeure), OEC: Oxygen Evolving Complex, P680: dimère de
chlorophylle a (molécule piège du centre réactionnel), Pheo: phéophytine, QA-QB: Plastoquinones, Tyr:
tyrosine
c) Photophosphorylation
La conversion de l’énergie lumineuse absorbée par les photosystèmes chlorophylliens en une forme
d’énergie utilisable dans le métabolisme cellulaire, cette conversion a été expliquée par la synthèse de
l’ATP (Découverte par ARNON1950).
Un tel phénomène est possible lorsque au sein du centre réactionnel sont associés une molécule D
donneur primaire d’électron et une molécule accepteur d’électron mentionnée A
D : est caractérisé par un potentiel d’oxydoréduction légèrement plus électronégatif que celui de la
chlorophylle a du centre réactionnel, lui-même plus électropositif que celui de A
Dans lequel les 4 ont oxydé l’eau et ces 4 e moins ont circulé par l’intermédiaire des 4 A depuis l’eau
vers les 2
( )
Ceci a était expliqué par l’existence de 4 atomes de manganèse dans le complexe Z, qui joue le rôle des
éléments d’un condensateur capable de perdre successivement des électrons au profit des
chlorophylles excités et de neutraliser les effets des photons sur les chlorophylles
Chaque électron cédé par Z a une molécule de chlorophylle excitée, en effet capable de provoquer à
l’intérieur du complexe une transition :
Les 4 étapes successives correspondent aux états :
Le complexe à l’état S4 se relaxe très brusquement pour regagner son équilibre électronique initial en
arrachant 2 H2O, 4 électrons et 4 protons, c’est ce phénomène qui produit le dégagement des
molécules d’oxygènes.
Résumé :
La plante contient des chloroplastes, ces derniers contiennent des thylacoïdes qui comprennent des
complexes protéiques, parmi eux il y a les photosystèmes 1 et 2.
Lorsqu’on veut dégager une molécule d’oxygène, on est obligé de perdre de faire 4 excitations (je
flashe 4 fois pour dégager une molécule d’oxygène)
Des travaux récents ont permet de comprendre la nature exacte du P700 qui est constitué de deux
molécules de chlorophylle A ayant probablement pour les gains (ciment) une molécule d’eau.
Petite protéine de 11KDA lié à la membrane et contient le cuivre mais une grande partie se trouve dans
le stroma (extrinsèque à la membrane).
- L’accepteur primaire d’électrons du PS1Est un ensemble constitué d’une chlorophylle sous forme
réduite et d’un composé X suivi d’un cytochrome qu’on appelle P430 constitué de 2 portes A1 et A2.
C1) L´epasse d´un donneur vers un accepteur une valeur d´énergie précise, lorsque cette énergie est
suffisante on aura libération d ATP (synthèse d ATP) et libération de .
A côté des unités photosynthétiques PS1 et PS2 constitués du centre réactionnel (P680 P700) de
donneur et accepteur primaire d’électron et d’antenne collectrice, il existe également une chaine de
transporteurs d’électrons, l’ensemble est intégré dans l´épaisseur de la bicouche lipidique des
thylacoïdes schéma classique dite en Z.
Ce schéma présente en plus d’une chaine de potentiel d’oxydo réduction, une représentation de trajet
d’électrons dans la chaine. Les électrons (résultat de l’absorption photonique) effectuent des transitions
vers le potentiel red/ox le plus négatif vers le plus positif.
Ce passage d’électron permet de récupérer l’énergie par la cellule sous forme de d´ATP ou .
La synthèse de nécessite des H+, ces H+provient de H2O et ce H2O n´est présent qu´au
niveau du PS2.
Photophosphorylation acyclique
Elle débute par l’excitation de P680 sous l’action des 4 excitants, les électrons sont captés par
l’accepteur primaire QA puis QB, ensuite ces électrons parcourent spontanément une chaine de
transporteurs constitués des plastoquinone et d’un complexe cytochrome cyt B (passage passif)
Par la suite l´excitation du centre P700 par 4 photons provoque la séparation des charges entre la
plastocyanine (PC) et les accepteurs finals A1 et A2.
Les électrons ayant la ferrédoxine (FD) servent à la réduction du NADP+via une flavo protéine (FNR)
avec utilisation des 4 protons provenant de l’oxydation de l’eau, au cours du transport d’électrons
entre la PC et le cytochrome B6F l’énergie est récupérée sous forme d´ATP.
Bilan énergétique :
Celle-ci a lieu lorsque le PS1 fonctionne seul et implique un trajet cyclique d’électron entre le donneur
PC (plastocyanine), le centre P700 et les accepteurs A1 et A2, la ferrédoxine avec le retour sur la PC via
le cytochrome B6.
PS1
ADP + Pi ATP
Bilan énergétique :
Cette énergie libre est suffisante et importante pour qu’au niveau oxydoréduction précédente puisse
être couplée à la synthèse endergonique d’une molécule d’ATP.
Pour qu’une molécule d’ATP soit formée il faut une différence d’énergie libre = -8000 Calories
Conclusion :
Pour que cette réaction ait lieu, il suffit la présence des systèmes de couplages nécessaire à la
photophosphorylation dans les chloroplastes (les membranes des thylacoïdes)
Cet herbicide permet de paralyser dans les chloroplastes la photophosphorylation acyclique, donc il ya
fonctionnement seul de photophosphorylation cyclique à faible rythme.
d) Réaction de Hill
On note donc une décomposition de l’eau fournissant des électrons à l’accepteur non physiologique
(Fe3+) et de l’oxygène comme déchet.
Oxalate de potassium ferrique remplace NADP+ (accepteur dans les conditions normales) qui se trouve
dans les chloroplastes intacts (dans le stroma)
En 1950 que Auben et Harnon ont montré l’existence des productions de l’ATP par des chloroplastes
mise en présence d’ADP et le phosphore inorganique marqué par radioactivité qui permet de suivre
son évolution.
Alors ces plastes pouvaient être dépourvus d’enveloppe et de stroma, seul la présence de Grana=
membrane thylacoidienne était nécessaire (c'est-à-dire de structure membranaire) = pas de
dégagement d’oxygène parce qu’on à juste une phosphorylation cyclique.
Le spectre d’action d’ATP marqué produit par les thylacoides éclairé en présence d’ADP + phosphore
inorganique marqué d’Mg et réacteur de Hill ressemblait tout à fait au spectre d’absorption de
chlorophylle. Il ne présente de phénomène de red drop (dans la chute dans le rouge).
La formation d’ATP est accompagnée par dégagement d’O2 mais seulement jusqu'à 620 nm.
Harnon a conclu qu’il y a production moyenne d’une molécule d’oxygène pour 2 ATP formée, ce qui
correspond au transport de 4 e-.
Alors on peut mesurer l’activité soit par dégagement d’oxygène soit par fixation de proton (accepteur
artificiel qui change de couleur) soit par fixation d’electron (sel ferrique en sel ferreux)
On peut soit étudier la transformation d’un sel ferrique qui est un accepteur d’e en sel ferreux, soit
étudier la vitesse de réduction d’un accepteur d’hydrogène comme DPIP qui est bleu à l’état oxydé et
incolore à l’état réduit, donc présente des caractéristiques d’absorption différentes selon son état
d’oxydation.
Résumé :
Les produits des réactions claires c-à-d les deux cofacteurs NADPH et ADP sont immédiatement utilises
en photosynthèse II (photosynthèse normale) dans les réactions dites sombres du CO2 qui sont ainsi
couplées aux réactions claires.
Dans le schéma on a du soleil qui donne de l’énergie chimique pour démarrer la photosynthèse 1 et produire
l’énergie chimique qui va être utilisé en cycle de Calvin pour synthétiser les métabolites
Dans la partie sombre le co2 va être fixé pour synthétiser les métabolites et libérer l’atp
Une expérience appelée de chasse (fourniture du marqué puis remplacé par du froid), cette
expérience a permet de déterminer que l’APG est le seul des 3 composés précités dans la radioactivité
décroissent, lAPG qui est donc le premier intermédiaire marqué est un composé à 3 carbones l’un est
du donc l’accepteur à 2 carbones, c’est la raison pour laquelle les chercheurs se sont appliqué
durant une dizaine d’année a rechercher l’accepteur en C2 capable de donner avec le de l’APG
Explication : Je donne marqué (radioactif) pour suivre quel est le produit qui va être formée,
car le co2 marqué va être fixe sur l’accepteur pour donner un produit alors je vais obtenir le avec
un substrat qui va être l’accepteur = produit alors ce produit-là va être marqué.
Exemple : exemple acide phosphoglycérique est un acide à 3 carbone, alors 1 parmi les 3
carbone il ya un carbone marqué qui fluorescent alors je sais que ce produit qui a été formé après
fixation de
Alors là on a 3 produits, donc on va faire une 2ème expérience qui est l’expérience de chasse, je donne
marqué puis je ferme marqué et il ya que le ordinaire qu’on ne peut pas suivre, alors
après cette expérience de chasse on constate que l’APG, est le seul des 3 composés, lorsque j’arrête le
marquage l’APG est le premier qui va être formée (la radioactivité diminue dans l’APG) donc il sera le
premier qui va rentrer dans la chaine métabolique (se transformer en autres composés glucides,
protéines…)
Dans cette figure qu’une fois dans l’obscurité le premier qui va disparaître est l’APG
Il apparaît donc que le ribulose biphosphate détruit sans cesse par carboxydismutation soit le
précurseur de l’APG, la lumière est essentielle à sa régénération (RuBP) comme elle l’est à la
régénération de l’APG.
Donc les deux produits nécessitent de la lumière pour qu’ils soient régénérés :
On observe dans le carré rouge l’APG est le premier qui va être formé (il est formé de 3 carbones).
Dans la lumière pendant
la radio activité on
observe une stabilité
dans l’APG et aussi le
RuBP par contre celle
des hexoses continue à
augmenter.
Par contre dans
l’obscurité on observe
une augmentation
brutale de l’APG, et une
chute dans la RuBP.
Réaction de carboxylation et Ribulose 1,5-Biphosphate Carboxy-Oxygénase (RuBiSCO)
Alors pour due la rubisco soit active in vitro l’extraction doit avoir lieu en lieu en présence de co2 et du
Mg2+, l’inactivation de la rubisco à l’obscurité peut être corréler à la diminution de Mg2+ et au ph non
favorable qui doit être établi sous éclairement.
Les constantes d’affinité ou ce qu’on appelle le KM pour la rubisco sont respectivement 12 micros
molaires pour le Co2, 250 micomolaire pour Lo2 ET 40 micomolaire pour la ribulose bi phosphate
Remarque : La concentration chloroplastique en ribulose 6 phosphates est comprise entre 0.12
et 0.6 micros molaires.
Alors les réactions catalysées par la rubisco sont d’une part les réactions qui interviennent dans la
photosynthèse :
Le ribulose bi phosphate + le co2 donne un intermédiaire aussi en 6 carbones et en présence de l’eau
on obtient l’acide phosphoglycérique et un autre produit en 3 carbones
D’autre part celle qui intervient dans la photorespiration :
Elle peut aussi fixer l’oxygène pour donner un seul APG + acide phosphoglycolique
Ribulose biphosphate + oxygène en présence de l’enzyme ici qui joue le rôle d’oxygénase donne un
APG + acidephosphoglycolique (2 phosphoglycolate)
A Retenir :
Il y a donc entrée en compétition en co2 et en oxygène pour le même site enzymatique : les
vitesses des deux réactions dépendent aussi de la température et du ph sont donc déterminés par les
concentrations relatives des deux gaz.
Il ya 0.03 % de Co2 dans l’atmosphère ce Co2 doit diffuser jusqu’aux chloroplastes dans les
stromas, pour un bon fonctionnement photosynthétique il faudrait donc que la rubisco aie une grande
affinité pour son substrat de co2
B : réduction du 3 APG
Cette réaction de réduction de 3 APG qui produit le premier sucre de la photosynthèse nécessite deux
étapes :
Alors pour l’ABPG puisse être formée il faut donc le rapport des concentrations relatives en APG et en
ATP soient grande c'est-à-dire le rapport des deux : ( APG x ATP ) \ (ABPG x ADP) soient élevé , ceci est
le cas dans les chloroplastes caractérisés par des concentrations 5 milimolaire pour l’APG et 3
milimolaire pour la somme AMP + ADP + ATP (ATP\ADP = 3 ) plus d’ATP que d’ADP les conditions
sont donc favorable à la phosphorylation de l’APG donc cette réaction a aussi besoin du magnésium à
coté de l’enzyme.
2 ème étape : réduction de l’ADPG en glycéride 3 phosphate , l’enzyme responsable est la glycéride 3
phosphate déshydrogénase a n ATP présente un poids moléculaire de 600 kdalton , elle est caractérisé
par des Km de 1 micromolaire pour l’ABPG et de 4 micro molaire pour .
C : Régénération du RuBP
Conclusion :
Le bilan de l’ensemble de ces réactions montre que pour un glucide assimilé il faut : 6 CO2 + 12
+ 18 ATP
b)) 12 ATP
+ + 12 APG
12NADPH, H+
a. réaction de carboxylation
b. réaction de réduction qui nécessite une
photophosphorylation acyclique fournissant de..
c. réaction de régénération nécessitant de l’ATP,
donc photophosphorylation cyclique et/ou
acyclique
d. réaction conduisant vers les synthèses
contrôlées par les facteurs de régulation de la
plante elle-même,
Ces synthèses dépendent aussi de facteurs
externes, la concentration en co2 et en o2 disponible et l’intensité lumineuse.
3. l’adaptation à l’environnement, le métabolisme de type C4 et le métabolisme de CAM :
a) Mise en évidence de la présence d’intermédiaire en C4 :
Les techniques d’incorporation de co2 similaires à celles de balssen et Calvin ont été appliqués aux
feuilles de canne à sucre.
Hatch et Slack en 1970 ont montré que le 1 er produit formé n’est plus de l’APG mais se sont le
malate ou l’aspartate donc à 4 atomes de carbones, d’où le nom des cycles d’acides carboxyliques.
Une expérience de charge de 15 s grâce au co2 marqué suivi de chasse par le co2 ordinaire durant 300
s, a permet de constater que le co2 marqué du malate se retrouve ensuite dans l’APG
Plantes C4
L’APG conduit comme dans le métabolisme de type C3 à la formation des hexoses mono phosphate=
vert et de glycane=violet, ce métabolisme dite en C4 est équivaux au cycle réductif des pentoses
phosphates (CRPP),précédé d’une étape de fixation de co2 en présence de l’eau sur un accepteur à 3
carbone qui est le phosphoénol pyruvate (PEP) selon la réaction suivante :
Explication : sur les deux cellules on voit qu’il ya des cellules de types différentes et entre les deux il ya
une communication, ces 2 cellules se complètent pour assurer la fixation du co2 et la synthèses des
pentoses phosphates
Deux liaisons phosphates riches en énergie sont donc consommées dans le transport de CO2 en
chloroplastes des cellules du manteau
Lorsque la voie c4 du cycle de Calvin opérant en même temps la réaction nette devient :
Remarque :
Il faut noter que les végétaux tropicaux ayant la voie C4 ont une faible photophosphorylation à cause
de la concentration de élevée dans les cellules du manteau qui accélère la réaction carboxylasique
par rapport a la réaction oxygénasique, cet effet est particulièrement important à des températures
élevée d’où les végétaux C4 ont un avantage évolutif dans un environnement chaux par rapport au
végétaux C3.
Les plantes C3 sont plus efficace à des températures inférieur à 28C° donc prédomine dans des
environnements tempéré
La photo respiration est plus importante chez C3 à cause de faible concentration dans les plantes c4,le
co2 qui entre dans le cycle de Calvin provient de la décarboxylation du malate chez les plantes c4 par
contre chez les plantes C3, il provient de l’atmosphère.
Planche en polycopié :
C’est une enzyme codée par un gène nucléaire sous forme d’un dimère de 230 kdalton ou d’un
tétramère de 450 kdalton. Elle est présente en quantité importante : on trouve 20 à 40 unités de pop
Décarboxylase contre 4 à 10 rubisco par mg de chlorophylle son Km est de 7 molaire, très affine pour
le co2. En effet la fixation du par C3 (dans les stomates sont ouvertes) est de 6 à 12 fois inférieur à
celle des plantes tropicales à un métabolisme c4, (dans les stomates sont presque fermée)
Remarque :
1) Les granums riche en grana en PSII et le 2ème qui ne contient pas d’empilement granaire sont tout à
fait déficients en activité PSII.
2) L’AOA formé après fixation de se transforme en malate en utilisant NADPH, formé lors de la
phosphorylation acyclique (possible dans ces cellules de mésophile qui contiennent le ps2), le malate
cédera ensuite le co2 au ribulose biphosphate
3) Les cellules mésophiles contiennent en revanche très peu de rubisco au niveau de leurs
chloroplastes signe d’une fixation de peu intense
4) Les chloroplastes de la gaine périvasculaire ils ne contiennent que le ps1 ne produisent que de l’ATP,
elle contient en revanche une importante quantité de la RuBiSCO favorable en fonctionnement intense
de CRPP= cycle de Calvin
5) Ces remarques traduisent les échanges et/ou les navettes de certain intermédiaire entre le
cytoplasme et le chloroplaste des mésophylle issu de la gaine périvasculaire
e) Séance 11
Il existe déverse types de métabolismes C4 selon les plantes considérer, ils font intervenir d’une part
déverse intermédiaire (malate ou aspartate) ou même parfois l’alanine, et d’autre part des
compartiments cellulaires complémentaires :
On distingue aussi :
- Ce type de métabolisme est présent dans de nombreuses autre familles de plantes (=20 familles).
Ex : Cactus, Ananas, Orchidées
- Plus répandu que le métabolisme C4
Les plantes CAM ouvert leurs stomates la
nuit.
L’acidité de leurs feuilles augmente la nuit
(pH peut baisser jusqu’à 4) et diminue le
jour.
Lumière Obscurité
PH 8 7,5 7 8 7,5 7
Vitesse maximale (
28,6 23,8 11,8 27,8 25,6 19,6
)
Km pour le PEP ( ) 950 1075 250 115 365
Km pour le malate ( ) 74 4,5 650 73 6,5
PEP + → malate
Ces différences s’avèrent due à des variations circadiennes des caractéristiques même de l’enzyme et non
à une activité de synthèse variable selon les heures.
En résumé :
En conclusion :
1) Il est possible de remarquer dévers type d’adaptation des plantes pour assurer une fixation la
plus efficace de dans la concentration dans l’atmosphère est très faible (0,003% en volume
contre 21% d’oxygène et 77% d’azote)
2) Certaines plantes dite en C4 sont capable de concentrer le autour de la RIBUSCO par
décarboxylation de malate à cause d’une PEP carboxylase ayant un affinité pour le
beaucoup supérieur a celle de la RIBUSCO.
3) Les planes CAM fixe le la nuit lorsque la transpiration est minimal