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Urbanisme

iwan.aldo.strauven@ulb.be : qst administrative

1) Le Corbusier : La ville moderne de Le Corbusier


Introduction
Haussmann organise la ville de Paris (hygiène…)
Mais il y a d’autre ville qui se développe grâce à la machine à vapeur...
La révolution se fait sentir avec
- la croissance incontrôlable des grande villes moyenâgeuses.
- Le plus gros problème était la promiscuité : existence d’éléments
différents => cdt déplorable (maison et usine à coté, …)
- Problème des transports : très peu de place
- Apparition des pandémies qui sont déviatrices

Solution ?
Ingénieur et Hygiénistes vont mettre les premières réglementations pour
qu’elles soient plus hygiénistes
Nouveau type de ville sur base d’ingénieur pour assainir Paris, pour libérer
Paris d’un tissu moyenâgeux
Libérer des questions comme les révolutions, l’hygiène…
Haussmann : 1e eau courante, moyens de transport souterrains...
Deux nouvelles typologies :
-Immeuble haussmannien (R+5 -> RDC atelier ou magasin et R+5
chambres de bonnes)
-Invention du boulevard Haussmannien, relie les rues insalubres

La ville haussmannienne devient un produit industriel, on peut en faire un


survet ( ?) -> model ? (Jusque 1e guerre mondiale, année 50)
Opération qui se déroule sur 17 ans d’Haussmannien devient pour le
Corbusier plus une solution, mais le boulevard devient un problème :
Il l’appelle « la rue corridor » qui ne règle pas le problème de promiscuité
Tout l’effort de l’avant-garde est dirigé vers cette espace trop enfermé et
trop enfermant de la ville ouverte, nouvelle : un espace ouvert
ð Abolir les boulevards

Si on parle du moderniste
On suit le modèle du Corbusier
ð Bien plus complexe
1968: année de révolution : étudiant a pris informé
l’institution d’architecture, l’école de Venise
Manfredo Tafuri
1973 : il publie un essai, Projet et utopie, qui sera
traduit en 79 en français, et qui aura une énorme
influence sur le regard du mouvement moderne. Il
y développe la thèse que la crise de l’architecture
des années 60-70 est dû aux modernistes qui ne
s’attaquent pas aux réels
problèmes urbanistes /sociétales
Il est Marxisme
Constat pessimiste de l’échec de l’idéologique
moderniste, à formuler des réponses aux vrais
problèmes de la ville métropolitaine (européenne, qui
accrue de manière organique). Lieu de contradiction et
de tension très forte mise en place par la révolution
industrielle. Il démystifie la réalité et le discours pour conclure que
l’architecture moderne aurait tenter résoudre des problèmes au-delà de
la discipline.
Il n’y pas de problèmes qui sont plus fondamentaux qu’on ne sait résoudre
qu’avec de l’architecture.

Distinction entre deux volets de l’avant-garde vis à vis de la question de


la ville/ La Grobstadt :
1) La pensée utopique et radicale (Le Corbusier)
2) La pensé pragmatique, orienté vers la réalisation : Ernest May (Das
neue Frankfurt)

Le Corbusier
Figure influente du 20e et de La ville urbaine
1905 : il débute sa carrière d’architecte
Ensuite on peut observer 4 périodes :
- 1922 : Il présente sa ville contemporaine de 3millions d’habitants :
Ville utopique qui n’a pas lieu
et de contexte et qui
développe
Entouré de 24 gratte-ciels :
façon de marquer le centre
commercial/ affaires qui
constitue le cœur même de la ville.
Petit espace au sol -> permet d’entrer le vert dans la ville
Autour des 24 gratte-ciels, il y a deux typologies de bâtiment :
-des immeuble cellulaire à courtine
-des immeubles ardents
Il veut se débarrasser des rues
Axe routier qui structure la ville
Immeubles à courtine (= « immeubles
villa ») qui réunissent les qualité
d’habitation égale à celle d’une villa,
immeubles composés de cellule
individuel avec terrasse extérieur et
deux étages, Lieu intime vers
intérieur, extérieur moins intime.
Réduire l’espace du bâtit en allant
chercher la hauteur => permet de chercher le vert (10% sol/90 %la
hauteur)
Compression et dilation qui sont présent dans le plan de ses
habitation permet des respiration

Il va comparer lui-même son approche avec New York : le problème de


Manhattan est qu’il n’y a pas vraiment de libération de l’espace (qui
permet les espaces vert…), juste une forte densification en hauteur
Bâtiment pas assez haut pour libérer l’espace

Le plan pour une ville contemporaine n’est pas reçu de manière


positive unanimement à l’époque
Il a reçu de nombreuses critiques mais en générale, c’est apprécié par
les avant-garde et architecte allemand :
Point positif : - <3 dessiner une ville à partir de rien
-une ville moderne et aérer déroulement du trafic
-ouverture et ville verte
Mais il y a une constations, le coté fermé du système est le point de
critique le plus important : plan extrêmement académique : les axes ne
permettent pas l’évolution de la ville => elle ne sait plus croire
Manque de exotropie dans le plan : hiérarchique dans différent niveau,
24 gratte-ciels… doublement hiérarchique
Ensuite, il essaye de créer une ville isotrope, non hiérarchique
Il prend ces critiques à cœur.

1925 : dans le contexte de


l’expo des arts décoratifs, il
présente le pavillon de l’esprit
nouveau
=habitation modèle d’une
cellule qui constitue les
immeubles de son plan
urbaniste
Dans ce pavillon il montre une
série de meuble, peinture d’art
qui parle d’esprit niveau ... et
dans la partie basse, il montre la
présentation du plan voisin de
Paris, partie de Paris vue de
l’intérieur.

Plan Voisin de Paris : avec le Senne, Notre Dame et ces deux grands
axes et qu’il va réutiliser avec 18 gratte-ciels autour d’un espace
monumentale et va y incorporer certain
éléments/monuments comme l’Arc de
Triomphe
Certaine partie trop dense
Raser tous les quartier parisien
(provocation ?)
-> proposition radical sur lequel on peut
discuter
-> D’autre dise que c’est l’horreur de
l’urbanisme moderne
Gratte-ciel à côté du tissus parisien. Il coupe la vielle ville et
commence la nouvelle ville. Il n’y a pas de compromis entre les deux
systèmes.
La seule chose qu’il garde, sont les grands axe et monuments
historiques.

Le Corbusier ne va pas réaliser cette ville


Il va aller en Russie et entrer en contact avec un urbaniste russe. Il va
présenter au troisième congres CIAM à Bruxelles en 1930 :la ville
radieuse

- 1930 : La Ville radieuse


Thème du CIAM la résidence
Schéma plus radical, développement des zones presque infinies
Remplacer la ville industrielle par un nouveau système de ville plus
égalitaire, mieux organisé : la ville linéaire
- Zone commerciale
-Zone gare qui raccorde les pôles
linéaires de la ville
-Zone avec ambassades et hôtels
-Zone d’habitation : Il laisse
tomber les îlots à courtine et
remplace par immeuble
ardent (forme libre)
Abolit les corridors, au centre de
cette zone, on trouve une série
d’équipement
-Zone tampon verte
-Zone industrielle
Plan qui incorpore les critiques formulées sur le plan de 3 millions
d’habitants
Ici ->
1000hab / hectare

Après avoir formulé cette


nouvelle version de la ville moderne
Il va essayer de participer à une série de concours
En voici les applications de la ville radieuse :

Rive gauche d’Anvers 1933


Paul Otlet et Huib Hoste, Fo Loquet et Le Corbusier vont collaborer
ensemble sur le plan de la rive gauche d’Anvers
Paul Otlet a créé le programme du « Mundaneum »
è Précurseur d’internet à Bruxelles, concentre à un endroit toutes les
connaissances mondialement connues qu’on pouvait consulter à
distance avec, par exemple, le téléphone). Pacifique qui pensait
qu’en partageant le savoir, les guerres, conflits s’arrêteraient causés
par le non-savoir, l’incompréhension entre tout le monde. (utopie)
Ce programme va trouver son incarnation dans ce plan avec un musée
mondial (« mundaneum ») que Le Corbusier à dessiner pour Paul Otlet
(De nombreux autres architectes ont dessiné et proposé pour P.O. ce
mundaneum, car il était très sensible à l’architecture et cherchait donc
beaucoup d’alliance pour figurer ces plans)
L’Escaut étant large
(150m), la rive
gauche est toujours
restée vide.
On va alors planifier,
à un moment, de
créer des tunnels
sous l’Escaut pour
rendre accessible la
rive gauche (auto et
piéton), ce qui va
rendre accessible le
terrain et le développer
Le Corbusier va utiliser le schéma de la ville radieuse et le projeter
Il ne tient pas compte de l’industrie qui se développe déjà le long de
l’Escaut et des canaux point culminant d’une ville linéaire
Il propose seulement une cité des affaires, des logement et des
équipements comme le « mundaneum »

Ce qui motive ce plan, on voit


le centre historique de Anvers avec la
Cathédrale et le port de Anvers, qui
se développe long d’Escaut
Il prévoit un axe fondamentale (et le
seul réaliser ) vers la cathédrale et qui
permet au bateau de voir la ville
d’Anvers
Deuxième axe du tunnel qui ne
permet plus un système
d’orthogonalité, ici, avec un angle de 45*

Solution -> gratte-ciel dessiner pas en


croix mais plutôt en Y qui reprend le
désaxement en compte.
On voit apparaitre des circulations avec
une hiérarchisation urbaine des rues,…
Autoroutes, rue piétonnière …
Il va libérer le sol pour libérer l’espace et fluidité les moyens de
transport (bâtiments ardents sur pilotis)
Rendre la ville isotrope : chaque point bien relié aux autres et surtout
au centre

1931-1934 : Plan Obus Algiers


Il va s’occuper pour ces propres frais une étude sur la ville d’Algiers
Plan obus est sa proposition
Hypothèse assez poussée et radicale : Moment où le Corbusier pousse
ses idées de la ville radieuse encore plus loin
Il y a des versions différentes : Ici, nous verrons la version A
Centre historique
En 1930 Algier était la superposition de trois systèmes urbains
La première une ville automane
La deuxième urbanisation par colonisation française à la haussmann
Boulevard qui donne sur l’eau mais qui perd sa force
Il y a alors un développement sauvage d’urbanisation spontanée qui
reflète l’expansion sauvage de la colonie française.
Tout autour, il y a chaos énorme, autour du boulevard ..
Le Corbusier propose le plan Obus comme solution qui est le projet
contemporain de la rive gauche d’Anvers

Il laisse la ville haussmannienne et prévoit 3


intervention Il prévoit une cité des affaires au port
et qui est relie grâce a une grande passerelle à une
zone au fort empereur avec une série d’habitations sinueuses ou
bureau

Enfin il prévoit de lier


l’opération haussmannienne
et la calpa avec le
développement spontané
autour avec une autoroute
sur la toiture des Bâtiments
long qui permet de circuler,
d’habiter

Le Corbusier avait comme source

è un projet californien de
Chambless « ROADTOWN » : Une ville
linéaire qui permettait la culture du vin
Combiner la circulation, l’habitation et la
production dans un bâtiment pour pouvoir
Exploiter l’espace autour et
développement infini

è Les usine fiat avec leur toit circuit (reprendre l’idée)

Ce qui est fort avec Corbusier ce n’est pas un plan d’exécution mais un
schéma
Il prévoit immeuble villa gigantesque
(Villa moderniste mais aussi villa dans d’autre style et architecture)
Manfredo Tanfuri a examiné ce plan du Corbusier. Il est critique avec
tous les projets urbains des modernistes mais il va dire que « Le Plan
Obus est l’hypothèse la plus élevée de la culture bourgeoise dans le
champs de l’architecture et de l’urbanisme. »

C’est un des seuls à pouvoir formuler une réponses à l’expansion


chaotique des villes, une réponse valable.

Tafuri va développer, décrire le projet en différent plan :

1) Niveaux d’échelles
2) Plan Obus vs Ville traditionnelle dans sa structure : Le plan obus
rompt. On créer une nouvelle ville qui se superpose sur l’ancienne
ville tandis que dans le passé, il fallait acheter un terrain et tout
recréer. On partait de rien.
3) Champs topolique pure : éléments qui s’interpénètrent,
s’introduisent dans la peinture qui propose une autre spécialité,
moins hiérarchiques. Science qui étudie les points dans l’espace où
les rapport hiérarchique tendre à disparaitre. Une isotropie est
recherché.
4) Stylistique: jeu de lignes : il se considérait comme
un artiste. À la fin des année 2 à il commence à y
introduire des courbe dans ses dessins et
peinture. Il cherche à plaire, séduire, ça ne doit
plus être que fonctionnel.
5) temps d’industrialisation qui ne doit plus être
fonctionnel
6) Échelle de l’intervention – meg : mega structure dans lesquelles on
y insère des éléments tt fait qui peuvent varier. Développement en
60-70 au japon, ce plan obus est donc le précurseur de ces plans
utopique.

Après le plan obus il ne sait pas aller plus loin , il doit être pragmatique.
Plan des unités

1934 : Plan de Nemours


On voit pour la première fois des unité
d’habitation. Il se rend compte qu’il faut
couper la ville en plus petit, en
infrastructure qui permet de construire
zone par zone ( unité d’hab, …)

è Pour procéder de manière pragmatique

1945 : La Rochelle

Planification d’une nouvelle cité résidentielle


avec des unités d’habitations

Le Corbusier va continuer à appliquer différents


moyens de transport : rendre fluide (augmente
l’isotropie)
Conclusion :

- Il réagit au rue corridor, il abandonne ce type d’espace urbain, la rue


devient strictement fonctionnel
- Décomposition du tissus urbain
- On utilise beaucoup des métaphore : la ville est vivante, on tisse le
tissus urbain, réparer, tisser la ville. On installe une nouvelle
métaphore, il la compare à une montre, un ville est une ville complexe,
un enchainement de mécanisme ou on peut remplacer un bout…
- La ville zonée : Une ville constituée de zone
- Rapport à la ville existante : Tabula rasa, Développement
suburbain(plan rochelle), superimposition d’un nouveau système:
Enlever les paramètre contextuelle pour mettre en place une ville qui
est maitriser, un qualité qui pareil à tout pour toute : obsession
d’isotropie.

Le Corbusier ne va jamais réaliser des vrais villes, seulement des unités


d’habitations, à Marseille, mais aussi une à Berlin…

1) Marseille (1947-52)

2) Nantes-Rezé (1955)
3) Berlin-Westend (1957)
4) Briey (1963)
5) Firminy (1965)
Métaphore du paquebot, un assemble de personne peuvent vivre au
même endroit pdt plusieurs semaines

Métaphore : bouteille qu’on range

On compresse pour laisser respirer d’autre espace (compression/dilatation)


« La Cité Radieuse est un mythe. De même
que les villes idéales de la Renaissance
exprimaient le refus de l’ordre urbain du
Moyen-Âge, appelé́ désordre, la ‘Cité
Radieuse’ exprime le refus de la ville. La Cité
Radieuse n’a pas de nom, pas de lieu, elle
n’existe pas, c’est un schéma. En la
choisissant, nous voulons montrer le poit
extrême d’aboutissement du processus de
désintégration du tissu urbain. »

Das Neue Frankfurt de Ernst May

Tafuri est beaucoup moins positif avec Ernst May que Le Corbusier
notamment dû au fait qu’il ne répondait pas au question de la
« groeinstaat », ville bouleversée
par l’industrielle. Tanfuri est
contre car beaucoup de question
au niveau de la ville comme les
habitations sociales, ouvrières ou
usines. La grande ville a des
conditions ouvrières déplorables.

Selon lui, Ernst évite de répondre à ces questions en se mettant en dehors


de la ville, dans des terrains vides. Il développe des quartiers sur des
terrains vierges. Loin des problèmes. Tafuri considéré cela comme de
l’escapadisme. La démocratie sociale des année 20-30 va réussir à
construire beaucoup d’habitation en peu de temps. Ernst May est un va
réussir à créer avec l’avant-garde en relativement peu de temps.
Réalisation d’une revue hebdomadaire des années 20 à
Bruxelles de l’avant-garde va nommer l’article sur Francfort
comme ville moderne, Francfort est une rare vie où le
modernise est réellement visible. Réalisation en 1925-1930,
12000 habitations qui suient les constructions modernistes.
on l’appelle le fonctionnalisme, le mouvement moderne.

Contexte politique : A la sortie de la guerre, on se retrouve dans une


instabilité politique entre 18-19. en Allemagne, il y a une répression
importante de la gauche. Il y a le traité de Versailles, l’Allemagne doit
payer aux autres pays européen.En 1922, Réforme radicale du système
monétaire et en 24, il y a des prêt proposé par l’Amérique pour le
reconstruction. Cela a créé, entre 24 et 29, une certaine richesse et ce qui
a permis à Ernt May de réaliser certaine projet à Francfort. En 25 c’est les
socialistes qui prennent le pouvoir et se concentrent sur les habitations,
ils vont attirer Ernst May pour faire la Stadbaurat.

Ernst May

Il est d’origine francfortoise. Il a étudier en Angleterre et fait un stage chez


Raymon Unwin (cité jardins)

En 1930, après l’expérience de Francfort, il part dans l’union soviétique


(URSS) parce qu’il était convaincu qu’il serait plus facile d’y implanter leur
plan. Mais en 33, cela parait illusoire, il va s’exiler en Afrique de l’Est au
Kenya, où il va rester 20 ans. En 53, il retourne en Allemagne.

Il travaille en équipe notamment avec :

- Mart Stam
- Grete Schutte-Lihotzky
- Martin Elsaesser
- Eugen Kauffman
- Etc

Pour l’expérience de Francfort en 25-30.


Comment le projet est-il mis en place ? Comment arrive-t-il à construire
12000 habitations en 5 ans ?

Ils mettent en place un modernisme pragmatique qui essaye de maitriser


le temps et l’espace et tout le cursus de planification au moindre détail.
-> Planification totale

Ça commence avec :

1) L’acquisition des sols


2) Urbanisme de détail
3) Architecture des bâtiments : service
technique de la ville vont mettre en
place des plans types et mettre en
places des préfabrication lourde en
usine et puis de second œuvre:
mobilier en série
4) L’industrie pour la production des
habitations : Cuisine conçue pour
minimiser, construire en série
jusqu’au couvert. Idée de fordisme.
5) Système de financement : Nouveau
procéder de construis et mette un
système de financement : fonctionne avec des « coprative ». On
devient locataire et avec le capitale on va pouvoir payer l’emprunt fait
avec l’état. modèle anglais cité jardin qu’il va appliquer à Frankfort. On
devient pas propriétaire, mais locataire.
6) Gestion de la réalisation : pas seulement services de location mais un
maintien poussée des espaces verts et des systèmes (agréable)
7) Information du public: sensibilisation à la question d’esthétique et de
la manière de construire au public et architect, notamment avec la
revue « Das Neue Frankfurt ». (Chaises, poignées, lampes, tapis… bon
exemple)
è En Allemagne, il y a un essor de l’avant-garde avec le Bauhaus : tout
cela est canalisé dans le projet « Das Neue Frankfurt ».

Deux points focaux de la politique de Ernst May

1) La Maison Minimum – Die Wohnung für das Existenzminimum

Intention de « la mise en minimum » : définir le


minimum qu’on peut atteindre dans la conception
d’une maison, mais qu’elle reste digne et agréable d’y
vivre. -> Minimum acceptable pour une maison de
qualité

Élaboration de plan type : aucune place est perdue,


appartement zoné (cuisine, sdb.. chacun sa pièce)

1929 : Dans la ville de Francfort, Organisation du 2e


congrès CIAM où ils vont rassembler 200 plans
d’habitations minimums dans l’expo et la revue.
(Comparaison des plans de Francfort mais aussi de
tout ceux en Europe)

2) La rénovation urbaine – l’urbanisme Trabantenstadt

Il met en place un schéma d’extension de la


ville Trabantenstatdt : Schéma des villes
satellites ( influence anglaise)

Il y a un centre historique avec le centre


moyenâgeux et les boulevards avec
l’industrie lourde au long du fleuve. Il veut
créer un réseau de quartiers qui sont des
zones tampon. Il va donc créer une zone
tampon avec la ville problématique, moyenâgeuse, industrielle avec la
nouvelle ville moderne, agréable à y vivre ( ville satellite autour de la ville
moyenâgeuse
Quelques réalisations :

1) Bruchfeld Siedlung (1926-1927)

C’est un des premiers plan de


Ernst Mayen en 1926, on y voit
déjà des constructions qui sont
déjà en place. Il va alors
compléter la ville en créant des
îlots plus au moins ouverts mais
qui constituent toujours un îlot,
garde la morphologie
traditionnelle. Le centre des îlot accessible ou non, avec des grilles.
Maisons tournées pour individualiser les appartements/maisons et
aussi pour mieux s’orienter. Il y a également des terrasses.

L’architecture est monotone mais tout


de même soignée: entré
arrondie, porche… (Entré soignée avec un
auvent)

2) L’aménagement de la vallée de la Nidda


Siedlung Römerstadt (1926-1929)

Aménagement qui est le plus clair, avec la


Römerstadt (qui est la plus connue). On essaye
d’arrêter l’extension de la ville puis créer un
grand parc et ensuite on y met les quartiers. Plan
en isométrie avec des bouts de ville qu’ils
planifient.
Collé au parc avec des places à la jonction rue/parc. À l’intérieur, les
îlots sont définis par des rues avec un axe principale. Les habitations
sont toujours orienté selon le modèle de mini ilot. Les chambres
orienté vers l’intérieur. L’intérieur est utilisé et accessible avec un
réseau piétonnier. Sur la grande rue ( Hadrianstr.) se trouvent les
équipements (commerce, école…)

La partie rectiligne a des constructions basses ( 2 étages) et autour de la


Hadrianstr., il y a des immeuble plus haut. (Tampons ?)

Architecture qui malgré la fabrication en série, fait attention aux détails,...


Elle est monotone mais assez bien détaillée. C’est une architecture variée
malgré la standardisation. Il y a beaucoup de travail et une volonté de
différencier les différente architectures dans les îlots. (Une équipe et non
un seul architecte)

Ils ont réussi à construire 1200 habitations.


3) Heimatsiedlung – Riedhof West (1927)

Ernst May est l’urbaniste de Riedhof


West, on y trouve une désintégration
de la morphologie urbaine
traditionnelle. (Juste une partie a été
réalisée: la nord-ouest). Sur le plan, il
y a une volonté de suivre les courbes de niveaux avec des bandes. Il y
a donc des construction en bandes avec une isométrie du plan urbain.
Ces bandes s’insère dans un méga-îlot avec une rue qui passe sous ces
« bâtiments bandes» et avec à chaque fois, une rue entre elles et qui
rejoint la rue principale. Les bâtiments vont jusqu’aux R+4. Il y a
également une sorte d’isotropie, chaque bande a un grand espace
vert… pour s’y retrouver chaque jardin à son arbre fruitier. Le quartier
a été endommagé à la seconde guerre mondiale mais a été
reconstruits.

4) Siedlung Hellerhof (1929-1932)

Vers la fin de l’expérience de


Ernst May, il y a une tendance à
appliquer, construire en bande.
Mart Stam, un hollandais, est un
des premier qui va réaliser de
manière radicale cette tendance.
(architecte de franfurt). Avant la
premier guerre mondiale ils vont
déjà en réaliser. Les pièce ont
toute plus au moins les même
dimension. Ensuite, Mart va
mieux étudier et mieux
dimensionner les pièces.
5) Siedlung Westhausen (1929-1931)

Le Siedlung Westhausen est la dernière


réalisation de Ernst May avant de partir
dans l’union soviétique. C’est une très
grande réalisation avec 1532 habitations.
C’est application la plus orthodoxe du
siedlung bauer (?). Tous les appartements
ont la même orientation ouest/est. C’est un
système hiérarchisé avec des accès piétons
aux habitations. Il y a de grande pelouse avec un jardin collectif et avec
des plus petits jardin privée. Quartier
monotone. Grâce aux détails, comme le
auvent/barrière végétale à l’avant, les
escalier qui départage le privé /public..
qui évite une monotonie totale.
Quartier qui ressemble a des maison
sociale aujourd’hui mais qui était tout
de même révolutionnaire à l’époque.
Conclusion :

- Comparaison possible de Franfort à l’avant-garde. Il y a une


ressemblance direct. Les mêmes couleurs apparaissent .. en
apparence, elles sont semblables mais c’est une ressemblance assez
trompeuse car pour Theo van Doesburg et Cornelis van Eesteren, ils
veulent détruire ce cubisme par les couleur, une architecture anti-
cubisme et la couleur détruit l’objet en soit. Tandis que chez Das Neue
Frankfurt, ici les couleurs sont utilisé pour affirmer le coté objets, ici on
ne détruit pas mais affirme le cube. Elles sont utilisées à l’extérieur
pour donner une massivité aux habitations mis en place et à l’intérieur
c’est blanc pour retrouver le calme.
Theo van Doesburg et Cornelis van Eesteren,
Contra-Construction, 1923.

>< Hans Leistikow,
Etude de couleur pour la Siedlung Praunheim, 1929.

- Pas de plan libre : Contrairement à Le Corbusier avec ses plan libre, ici
on retrouve plutôt des plans fermé. La structure portante (mur
porteur) vont déterminer les espaces.
- Pas de façade libre : Les murs de façades sont porteurs, on fait des
économies de matière.
- Pas de fenêtre en longueur : Les fenêtres de longueur n’existent pas.
Pour lui, c’est un problème de luxe. Il n’y a pas également de fenêtre
coulissante. On trouve des fenêtres avec des formes traditionnelles.
(battante)
- Les pilotis sont rare. On y trouve à certains endroits pour laisser
passage sous les bâtiments. Mais on ne les utilise pas pour libérer le
sol comme le fait Le Corbusier.
- Pas de toit terrasse, toiture jardin : On y trouve à certain projet
(Bruchfeld Siedlung) quand cela à du sens mais en général après il va
laisser tomber cette idéée

è Ernst May n’applique pas les 5 points de l’architecture du Le


Corbusier et y est très loin. Il n’a pas les mêmes préoccupations.
Ces 5 points sont aussi une espèce de doctrine qui veut remplacer
les 5 ordre de l’académie. Pour Le Corbusier, ça parle de
l’architecture avec un grand A. Pour Ernst May, eux ils voulaient
une architecture qui se construit rapidement, digne et belle si
possible.

Une série d’architecte de Das Neue Frankfurt vont ensuite partir en union
soviétique.
L’urbanisme moderne des CIAM

Les CIAM ont organisé des congrès et réunir des multitudes d’architectes. ont
essayé de formuler des recommandation pour l’architecture. Leur but était de
formuler des recommandations sur comment faire la ville. -> La ville/
l’urbanisme est la finalité des CIAM. Il y a une approche moderne de
l’architecture.

1928 : Premier Congrès International d’architecture moderne en juin. Il se trouve


dans le château de Mme Hélène de Mandrot à La Sarraz en Suisse. C’est le
moment où on voit les maisons à toiture plate apparaitre avec les façades
blanches. Notamment avec les avant-garde artistique, le Bauhaus, le
néoplasticisme de hollande qui était fondé par Mondrian( ?), Le Corbusier avec
l’esprit nouveau et l’élémentarisme Ces avant-garde se rencontreront à
l’exposition des arts décoratif à Paris.

En 1928, ces architectes internationaux européens ont cette impression qu’ils


sont emmuré et décident de se mettre ensemble pour prendre position
ensemble vis-à-vis de l’état et de l’avis publics.

On trouve donc deux moments fondateurs à ce premier congrès:

- Concours pour le palais de la Société des Nations à Genève, 1927

Beaucoup d’architectes ont


participé à ce concours, notamment
Le Corbusier mais son projet a été
exclus pour une raison formelle. Il a
alors, indigné, lancé une campagne
qui visait à rouvrir le concours pour que
son entrée soit acceptée. Le projet
retenu est de style néoclassique qui fut
fortement décrié par les architectes
avant-garde. Il y eu alors un grand
mouvement de soutien pour celui-ci ce
qui a créer un mouvement/moment
d’unification

- Quartier modèle : Weissenhofsiedlung à Stuttgart en 1927

Ces même architectes ont construit


un quartier modèle à Stuttgart. On y
a organisé une exposition qui y
montre les nouvelles
techniques/moyen de construction
standardisé Et on y construit
également un quartier moderne
avec beaucoup de protagonistes du mouvement
moderne. On trouve là-bas que des architectures
modernes : Mies Van Der Rohe pensa le plan
d’urbanisme /d’aménagement, Le Corbusier a
réalisé deux habitations, Victor Bourgeois, Gropius
également…

Réalisation de Le Corbusier.
Ludwig Hllberselmer
Mies Van Der Rohe

Mart Stam

J.J.P. OUD

Ils ont également réalisé une exposition « die


Wohnung » où ils ont exposé les mauvais
exemples en 1927.
Il y a eu dans le cours de l’histoire plusieurs tentatives pour
créer une organisation international mais c’est notamment
après l’expo des arts décoratifs à Paris. Les frères Bourgeois
(Victor) lance, à travers la revue 7 arts, un appel pour
s’unifier car ils font le constat cette expo à paris est le
moment où l’avant-garde international est marginaliser.

Les Allemands étaient exclu de l’exposition notamment le


Bauhaus et donc elle a été fortement critiqué par les milieux
avant-gardistes en Europe. Suite à cela, à Bruxelles, il a été lancé une initiative
de créer une association/groupement international moderniste en 1925. Ils
avaient comme but de promouvoir l’idée d’une architecture international et
défendre les intérêts des architectes/artistes.(AMI). Cette tentative n’a pas eu
de suite car Le Corbusier n’as pas trouvé d’importance à y participer et à
l’époque, il avait beaucoup d’influence. C’est seulement après, pour le concours
de palais, où il a ressenti le besoin du soutien international.

Il a alors lancé le premier Congrès avec Elen de Mandrot :

- CIAM 1 La Sarraz 1928

La Déclaration de la Sarraz (texte)

1) Rapport entre l’architecture moderne et l’économie générale :


Standardisation, besoin d’industrialiser le bâtiment et aller vers une
rationalisation poussé de l’architecture.
2) Urbanisme comme organisation de toutes les fonctions de la vie
collective dans les agglomérations et campagne : L’Urbanisation ne
peut être déterminer que par des problèmes d’ordre fonctionnels
et non d’esthétisme.
3) L’architecture et l’opinion public : Éducation du public afin de faire
comprendre pourquoi il faut construire de manier moderne,
industrialiser, standardiser
4) L’architecture et ses rapports avec l’Etat: Question sur l’éducation.
Le positionnement du groupement de CIAM contre les académies
des beaux-arts est mis en place. Ils parlent également dans ce texte
des fondement de l’architecture moderne et changement du rôle
d’architecte dans la société.
Cette suite logique a été repris par de
nombreux historien de l’architecture et
de l’urbanisme comme la fondation de
cette formulation de l’urbanisme
moderne. Giogio Ciucci, assistant et très
proche de Taffuri, est un historien Italien.
Il a publié un article dans une revue
« OPPOSITIONS » (New York, 1982). Dans
cet article, Ciucci dit que si on étudie les
détails de l’histoire, on remarque que les
mythes du moderne est construit par les
historiens et n’a pas vraiment de
fondement.

1) D’une part il va comparer les participants/le rapport entre


Weissenhofsiedlung et CIAM1 ?dans les internationaux il y a tout de
même bcp de ressemblance. Mais les allemends et les suisses tous
les deux présent dans ces deux assos, mais on remarque des grosses
différences notamment par leurs ideés politique. Mies Van Der
Rohe ne sera pas pésent, par exempe, à la Sarraz,mais très visible
dans l’autre et Hannes Meyer, architecte suisse, 2e fondateur du
Bahaus et Marxiste qui était présent et qui était en conflit avec
MVDR. (Apolitique comme Gropius pas présent au CIAM).

è Dans ce premier CIAM, les discussions tournaient autour du rôle de


l’architecture dans la société (discussion idéologique non visible
dans la déclaration de la Sarraz)

2) cellule – quartier – ville ? CIAM 2, 3 et 4 ?


3) discussion ideologique
4) opposition entre les ‘extremistes’ et les ‘a-politiques’ : Il y a
également des oppositions entre des extrémiste dans la Sarraz avec
les apolitique comme Le Corbusier.
5) Opposition dans le nom même de l’organisation. En allemand
Internationale Kongresse für Neues Bauen. Les deux langue à la
base était le français et l’allemend mais après la guerre, l’allemnd
disparait. Mais Ciucci a lu (“close reading”) deux versions de la
Sarraz et y a trouvé beaucoup de différencex entre la version
française et l’allemande. Dans la française, il observe que les termes
utlisé sont très différents, ici (approche de Le Corbusier), le discours
était a-polituque, il y a vision que les architectes sont les techniciens
et qu’il ont besoin de pouvoir pour réaliser leur plan. Tandis que la
version allemande L’architecte doit participer profondément à
repenser le fondement même de la société et participer mettre en
place un autre type de construction. Les premier CIAM avaient des
discussions très animé et avait peur que l’organisation échoue avant
même d’être lancer. Kunst><Bauen

Dans ces mêmes années, Hannes Meyer et Han


Wittwer vont participer aussi au concours du
palais comme Le Corbusier. Le palais proposé était
opposé idéologiquement à celui de Le Corbusier.
C’était une architecture purement fonctionnelle
avec aucune esthétique. (>< 5 point de
l’architecture de LC qui reste hautement
esthétique)

CIAM 1

Le Corbusier a proposé le premier congrès et


avait préparer des grands panneaux sur
lesquels il a expliqué comment les congrès
doivent fonctionner, quels sont les questions
qui doivent se poser, comment il vont se
référer à l’état, le pouvoir.

- CIAM 2 Francfort 1930 – Habitation minimum (Invitation de Ernst May)


- CIAM 3 Bruxelles 1930 – Lotissement rationnel
- CIAM 4 Paris II Marseille – Athènes – La ville fonctionnelle (Organisé
sur un paquebot de Marseille à Athènes)
- CIAM 5 Paris 1937 – Loisirs

- CIAM 6 Bridgewater 1947 – reunion congress


- CIAM 7 Bergamo 1949 – la grille ascoral
- CIAM 8 Hoddesdon 1951 - the heart of the city
- CIAM 9 Aix-en-Provence 1953 Charte de l’habitat
- CIAM 10 Dubrovnik 1956 end of CIAM
CCIGNAM une partie du congrès et HCIEAES sont des haut comité important du
mouvement moderne. On informe le BIT, IC, IIOST.

Ces travaux se déclinent en 6 question :

- Les csq de la technologie


- Standardisation
- Économie
- Urbanisme
- Enseignement de m’ architecture en école primaire
- Rapport entre architecture rheda ( ?)

è Travail sur comment l’architecture peut améliorer le monde, forme


une vision que l’ETAT doit implanter.

Le Corbusier a aucun problème idélogique de aller voir à la fois le pouvoir central


en l’union soviétique ou en Italie avec Mussolini pour essayer de vendre ces
idées et de les implanter ;

Le Corbusier a collaboré avec les régime de Vichy en France comme Mies Van
Der Rohe qui va tout faire pour faire son architecture, Le bauhaus, à Berlin. Mais
également Gropius avant de fuir aux USA, a essayer de séduire le pouvoir lise en
place en Allemagne.

>< Ernst May ne croit pas ce type de schéma, il ne faut pas faire intervenir l’État.
Il faut aller à l’intérieur même. L’État ne sera pas intervenir de lui-même, il ne va
pouvoir changer les choses.

CIAM 2:

Ce CIAM traite de l’habitation minimum. Cette


question était préparé car ils étaient très
ambitieux. Elle est préparé par Ernst May à
Francfort. Le congrès ouvre le jour même du
crash de Wall Street.

Il avait mis en place deux chose :

- Il voulait faire un bilan de la qst du habitation populaire


- Identifiez les problème et trouver les réponses/solutions
Il avait envoyé des questionnaire avec 38 pages aux groupes nationaux. Ils
ensuite traité ces questions dans 4 séminaires/conférences par 4 architectes.

Le Corbusier n’était pas présent au congrès de Francfort car il n’était pas satisfait
du premier. Il a donc envoyé son neveu Pierre Jeanneret à lire son intervention
car il ne pouvait pas se retirer. Ces questions idéologiques le rendait sceptique.

La deuxième intervention est fait pas Victor Bourgeois sur l’organisation


rationnelle de la maison minimum sur base des questionnaires.

Les deux dernière sont fait par Water Gropius et Hans Schmidt. Gropius qui parle
de son obsession avec les bâtiments hauts ou bas. Faut-il construire en hauteur ?

Le congrès se passe pdt 3 jours, il y pleins de discussion mais il n’y a pas de


résolution, aucun texte ne passe, sort à la fin.

Mais ce congrès reste mythique avec cette publication,


Die Wohnung, qui reprenait une série de planche avec
des modèle d’habitation pour le logement moderne. Le
succès du congrès est cette publication qui va faire
exister le CIAM pour la 1er fois
comme un groupement
international d’architecture
moderne devant le public.
Mais il n’ y a pas vraiment de
texte final car ils n’arrivent pas
se mettre d’accord, alors il
publie ces planches. Ces planches sont spéciales car
elle sont presque scientifique. Dedans sont inclue un
plan d’implantation, échelle, mètre carré, mètre cube,
orientation, surface des fenêtres.

-> données scientifiques pour analyser ses plans types


de maison

Il n’y pas la hauteur de façade, car il n’y aucune question esthétique ce qui
dérange sûrement Le Corbusier. Il y a des dimension maximum de surface à
suivre, 70m2 qui est assez dur pour Le Corbusier car il fait des habitations assez
bourgeoises et grandes. Il n’était alors pas trop inclus dans cette exposition.
è Plan compacte, zoné type

CIAM 3

Ce CIAM traite du lotissement rationnel à Bruxelles et il a eu du mal à être


organiser. En 1930, Ernst May et d’autre architectes vont partir en union
soviétique et ne peuvent alors pas aider à organiser avec Victor Bourgois le CIAM
3.

On lui a demandé de préparé des grandes


planche avec des données scientifiques et le plan
d’implantation des plans de maisons traitées
durant les anciens CIAM. Comment sont-ils
implanté avec des données scientifiques et plan
avec un espace pour dessiner l’architecture. Le
Corbusier va y présenter la ville radieuse.

Les architectes allemands étant parti, l’organisation rate un peu et les discision
tourne pas vraiment autour du quartier rationnel mais les discussions tourne
autour du bâtiments construit en hauteur ou pas/maison basses. Question cher
à Walter Gropius qui n’était pas présent au deux premier congrès. MVDR
participe aussi pour la première fois. Le pouvoir qui était chez les marxiste à
l’époque va alors bousculer chez architectes apolitique allemande proche de LC
en 1830.
Il y aucune résolution qui en sort de ce CIAM, V. Bourgeois va alors organiser une
expo qui reprend les plan min. de l’expo de francfort, une entré d’une cuisine
moderne version bruxelloise (CUBEX) et une exposition de fenêtres coulissantes.
(exposition de produit industrielle) pour comparer avec la fenêtres horizontale,
très cher à Le Corbusier (un des 5points de l’architecture)

Il y a alors la question de l’accessibilité de ces fenêtre a tous.

Les allemand ont du mal à se réintégrer, il font des


publications séparés car c’est difficile de retourner. Ils
font tout de même un congrès intermédiaire avec Ernst
May en 1931 à Berlin où E.M. parle de la ville nouvelle en
Russie.

Victor Bourgois joue un rôle important dans les 3 premier congrès. Pdt le 1e
congrès comme un socialise proche de Ernst May mais il entretenait également
des très bon rapport avec Le Corbusier. C’est une figure de médiation entre les
deux groupe. Il avait cet culture de la diplomatie et recherche du compromis à
la belge. Son idée de la déclaration de la Sarraz vient de lui, le texte séparé en
deux version, chacun à sa vérité de la version.

Victor Bourgeois avait prévu une expo sur la ville de Francfort. A cause de
l’absence de Ernst May, cela a été mal pris l’hommage de Francfort par les autres
allemands et Le Corbusier il y a une méfiance envers Bourgois qui devait être
président des CIAM à la suite mais n’y parvient donc pas.
CIAM 4

Ils continuent comme s’ils avaient bien traité les sujet


du 2e et 3e congrès de l’habitation minimum.

On attaque pour le 4e CIAM, la question de la ville


fonctionnelle (échelle plus agrandit). L’idée est de
prendre comme lieu Moscou où les architectes avec
le contact rompu son parti mais les rapport avec
Moscou sont difficile, les invitation sont retiré et ça
traine. Le congrès prévu en 32 n’as donc pas lieu.

Massel Breuer (Bauhaus) va proposer de faire le


congrès sur une croisière (Marseille-Athène) pour ne
pas avoir besoin de ville/lieu et de passer de petite vacance. L’idée n’est de pas
arriver à une déclaration mais est alors d’étudier les villes existence et de
déterminer leur problèmes qui devaient être résolue dans des plan d’urbanisme
(organisation de ville fonctionnel). Il n’y a pas vraiment de réponse nouvelle,
mais plus des analyse urbaine. (Etude de ville un peu partout dans le monde,
même aux États-Unis, pour parler de problème d’usine,..) Discussion sur
l’organisation des ville actuelle. Le titre est donc trompeur car ils étudient des
villes existantes. On voit souvent la charte Athènes comme une bible de
l’urbanisme moderne mais le congrès qui était l’occasion de la formuler n’a pas
vraiment traité de l’urbanisme moderne mais plutôt fait un mapping des villes
existantes pour étudier leur problématique.

Le Corbusier prend beaucoup d’empereur dans ce CIAM organisé par Cornelis


Vans Eesteren.

La méthode de travail était mise au point


par Cornelis, responsable des plans
d’extension d’Amsterdam. C’était le
premier plan d’une ville qui était basé sur
une analyse très
poussé des
problèmes
d’Amsterdam. Il avait donc mis en place une
extension qui l’a montré lors des CIAM. Il y a un code
unique pour tous les plan avec les zones de travail
zones d’habitations. Mais également d’autre carte
avec comment le trafic est déroulé ( Carte de
Bruxelles) On y voit un développement de cité jardin dans le sud, plus bourgeois
(rouge), à l’est plus ouvrière et zone de travail ( bleu). Troisième carte demandé
à tout le monde avec la ville dans son contexte.)Les belges avaient montré les
trois villes, Anvers, Bruxelles et Charleroi avec son système unique, une
manufacture lourde. Ces 3 villes fonctionnent ensembles. Il remarque également
le développement d’une ville linéaire le long de ces trois villes. ( BUT : Comparé
les différente ville entre elles)

Ils discutent de ces plans sur la croisière mais au final, ils


n’avaient pas vraiment de texte qui sort. Mais dans une
revue, il y a tout de même les
constatations qui sont publié
et où il mettent en avant les
problèmes de la ville fonctionnelle. C’est que en 1942,
José Louis Sert va publier le bouquin CIAM « Can our
cities survive ? » où il explique ce que devrait être la
planification urbaine selon les 4 principe de
l’urbanisation: Travailler, habiter , circuler et se
récréer. Ils vont également publié sur ces 4 principes
en 1943 signé par le CIAM mais que Le Corbusier va
signer 10 ans plus tard seulement la charte d’Athènes

Il y a 4 chapitre avec les 4 fonctions de la ville :

- Habiter
- Travailler
- Circuler
- Se récréer
- + Chapitre sur les monuments historique( à conserver, quoi en faire..)
On y trouve des recommandations pour construire la ville selon les 4 fonctions.
Mais il y a une confusion avec les 4 analyses et la capacité, le coté opératoire
d’utiliser ces 4 catégorie pour faire le projet.

Avec un raccourci, ces 4 catégorie d’analyse deviennent 4 catégories de projet.


Cela est terrible pour la formulation des principe de l’urbanisme moderne. Ils
vont mettre une espèce de bible de l’architecture moderne. (Métaphore : on sait
vivier tous ensemble sur un même bateaux= fonctionnement ville). Cela semble
mener vers une version de l’urbanisme très appauvris. (échange commercial n’y
semble pas apparait /pris en considération et qui est pourtant la genèse des
villes)

Pendant ces 4 premiers congrès, les architectes discutent beaucoup et ils ne


sont pas toujours d’accord mais que cela mène tout de même à une vision
commune. Ce 4e congrès va mener à une analyse fonctionnel de la ville,
l’approche moderniste de l’urbanisme moderne avec un principe de zonage.

è Pour faire une ville bien hygiéniste, il faut séparer en zone pour que
l’organisation soit tellement bonne que le trafic n’existe plus. Il n’y
a plus de mélange avec les moyens de transport, aucun moyen de
comm. # ne se rencontre.Il y a des zones de verdure pour se repose.
Déterminer les zones avec une fonction

À cette vision simpliste de la ville, une série d’architecte moderne vont s’opposer
à cette vison à partir des années 50. Cela va renforcer le succès de cette charte.
La critique a renforcé la célébrité de cette charte et de l’urbanisme moderne. La
critique l’a mise en place.

Le dernier congrès avant la guerre, qui est dédié au fonction de la ville: les loisirs,
va se dérouler à Paris où Le Corbusier a pris de plus en plus de pouvoir.
Un 6 congrès devait être organiser à Liège mais la
guerre annule ce congrès. Pendant la guerre une
nouvelle condition se met en place pour
l’architecture, pour la ville car durant cette
période, une grosse partie de l’Europe est détruite
(cf. photo Rotterdam).Les villes portuaire sont
bombardé et cela créer une nouvelle condition : 1)
Recherche scientifique accéléré avec nouveau matériaux : plastique, énergie
nucléaire, et télécommunication développé. 2) Il y a bcp d’argent disponible :Les
américain lance le plan Marshall qui va permettre une reconstruction rapide.

Il y a alors une pénurie de logement en Europe qui est renforcé avec le boom
démographique après la deuxième guerre. (Trente glorieuse) On a l’impression
que seul l’architecture moderne avec les nouvelle technologie, standardisation
et d’industrialisation de la construction, va répondre aux besoins. De plus la
nécessité de la reconstruction totale est la situation rêvée pour l’urbanisation
moderne. L’urbanisation urbaine peur se développer au sein même de la ville
(Rotterdam détruite complément) et non plus qu’à la périphérique (Francfort).
On peut réaliser la ville radieuse de le Corbusier.

Les grands de l’avant grade Gropius et


MVDR n’était plus présent ( Partis aux
États-Unis) En effet, les architectes
moins proche de l’avant-garde
réalisent une partie avec beaucoup
moins de sympathie pour leurs idées.
Les reconstructions doivent se faire à
l’endroit où était la ville était, donc
bien qu’en surface il n’y ai plus rien, il
reste tout de même ce qu’il y a sous
le sol : les évacuations, les structure
de propriété, les parceller (Les
propriétaire ont toujours leur
parcelles). Ça devient donc pas si
simple de réaliser une ville radieuse
car très fragmenter (mis en place à
la suite). Reconstruction de la ville
européenne : Age d’or moderne, on
construit très vite, la vile moderne
est accepté par le grand publique. En Belgique on a pas peur de détruire les
grands boulevard (près pentagone) et en faire une autoroute urbaine pour
rendre accessible la ville ; Le centre de Bruxelles était très peu touché par la
deuxième guerre mondial mais on va tout de même détruire l’historique pour
construire ces grands bâtiments de bureau et métro.. A Bruxelles on observe
donc cette facilité à détruire et reconstruire avec cette idée du moderne.
Exemple : Quartier du Nord, qui devraient remplacer le quartier populaire en
mauvais état. Grâce / à cause des buildings, on multiple les mètre carré sur des
terrain à bas prix ( construire en hauteur). Cette étape pendant la deuxième
guerre mondial donne la « réduction du moderne ». Le projet qui vient d’une
utopie perd un peu son moment utopique et tombe dans les mains de la
promotion immobilière

Entre 55-65, il y a une monté spectaculaire de la richesse et la ville est vidée car
tout le monde vit dans des pavillons.. La voiture devient aussi en 1 er plan et on
hésite pas à détruire pour construire du moderne.

Après la guerre le CIAM continue et devient anglophone. Il y a ensuite un autre


type de moderne. On accepte les organisations et non plus seulement que
internationaux ( permet à un pays d’avoir plusieurs orga)

- CIAM 6 Bridgewater 1947 – reunion congress


- CIAM 7 Bergamo 1949 – la grille ascoral ( grille analytique avec 4
thème)

- CIAM 8 Hoddesdon 1951 - the heart of the city


- CIAM 9 Aix-en-Provence 1953 Charte de l’habitat
- CIAM 10 Dubrovnik 1956 end of CIAM (déclarer la mort des CIAM par
teamX)
-

Team X :

Introduction :

Team X est une des premières critiques/réaction du moderne qui va réagir aux
événements passés lors de l'après-guerre en Europe. C’est un groupe bien précis
d’architecte apparentant au CIAM. (Autocritique/correction)

La « formule » de séparation des fonctions se soit avéré un outil idéal pour


rendre la circulation fluide, on le voit par exemple au World Trade Center à
Bruxelles dans le quartier nord. On devait trouver 8 gratte-ciels de 100 mètres
de hauteur qui devait remplacer tout le quartier. Ce
projet, qui a partiellement été réalisé selon les
principes de l'urbanisme des CIAM, a donc les
séparations entre les fonctions du travail (ici pas le cas
d’habitation ou loisir) et du trafic( piéton, voiture..).
Les piétons ont accès à des passerelles qui
surplombent les routes. Celles-ci sont uniquement
dédiés aux voitures.

Les principes de l'urbanisme selon les CIAM deviennent des outils (armes ?) dans
les mains de la promotion immobilière. Peu à peu, le moderne perd de sa
signification utopique et devient extrêmement prosaïque, un moyen de faire de
l'argent. On appelle cela la « réduction sémantique du moderne » ou bien « la
perte du moment utopique dans le modernisme de l'après-guerre ».

Pendant l'après-guerre, les CIAM continue et c’est d’ailleurs au sein de ses


congrès que ce groupe d’architecte se réunissent. Une première réaction se
prépare contre « ce moderne » qui perd de sa
signification. On appelle ça une autocritique ou
une tentative de correction. Toute une série de
nouveaux thèmes sont amenés au sein des CIAM
qui commence à apparaitre en 47, durant l’après-
guerre. Cela va s’intensifier comme « critique » à
partir de 1953 avec l'émergence d'un groupe :
Team 10.

TEAM 10 ?

En 1953-81, Team X a fait l'objet d'une publication

Ce groupe fermé d’architectes se positionne ensemble sur le champ


international en faisant ces congrès et des publications. Par contre, le groupe
n’est pas aussi clair que les CIAM par exemple. Il n’y a pas de manifeste, de carte
de membre ou de personne votées.

Team X ne s’appelle pas ainsi car il y avait 10 membres. Il y avait beaucoup plus
de membre. Il y a deux date qui apparait : 1953 et 1981.

- 1953 : 9e congrès en Aix-en-Provence des CIAM qui parlait de la caharte


de l’habitat. La jeune génération va critiquer pour la première fois, les
travaux précédents.

è Aldo Van Eyck, Bakema,


Candilis (qui a travaillé
chez Le Corbusier),
Voelcker, Alison S,…
Ils ont beaucoup critiqué la charte d’Athènes et Le Corbusier au CIAM
9. Ils ont alors décidé de la transformer en « Charte de l’habitat ». Ils
deviennent donc le comité du 10e CIAM. La Team 10 fait donc référence
à ces architecte qui doivent préparer le 10 congrès.

- 1981 : Mort de Jaap Bakema (moderniste, génération +ancienne, figure


de père). Cet évènement correspond à la fin de l’organisation. Les
conflits entre les membre de la Team X amènent à la disparition car il
n’y a plus cette figure qui apaise, créer les liens entre tous ces nouveaux
urbanistes avec des idées différentes.

è Bakema = catalaliseur de Team X.

La dernière réunion se fait donc avant 81 et la mort de Bakemin. Elle est moins
formelle. La photo ressemble à une photo de famille.

Jaap Bakema,Peter Smithson, Alison Smithson, Candilis, Van Eyck, Guedes


Schiedhelm, De Carlo, Erskine

TEAM 10 vs CIAM:

TEAM 10 (qui vient du comité) va remplacer CIAAM en 1956 (dernier congrès).

Organisation des CIAM (1929-1956) :

- CIAM: Comité international moderne (AG) : structure traditionnel


avec une assemblé générale.
- CIRPAC : Comite international pour la résolution des problèmes
architecturaux contemporains (C d’A). Il préparait les comité des
CIAM.

è Président : Karl Moser, puis Cornelis Van Eesteren.


è Secrétaire : Sigfried Giedion (historien de l’arch.)
- Groupe nationaux (réorganisation en 1947 : organisation au lieu de
groupes - plusieurs par pays)

Avec Team X, toutes cette structure d’organisation va être arrêter. Il n’y a plus
d’organisation formelle : il ne reste que les membres, les réunions et les
publications. (ex : photo de famille)

è Informel><Formel

Team X tourne autour de dialogue, de conflit, d’échange, essayer d’apprendre


de l’un de l’autre, nourrir le travail de l’autre.

è Dialogue >< Autoritaire/doctrine (faire des charte, analyse à faire..)

Team X est bottum up : aime l’idée à la participation et aux débats.

è Bottum up >< Top down (hiérachie)

Il est ainsi difficile de définir ce que sont les Team 10 et qui sont les membres. Il
a beaucoup d’ architecte indiqué dedans mais peu d’eux ont été des joueur clé.

CIAM (9 et) 10 (54-56) : début du comité (9 membres qui préparait le comité de


56) :

- J. Bakema (Holland)
- A. van Eyck (Holland)
- Rolf Gutman (Switzerland)
- Alison & Peter Smithson (England)
- Bill Howell (England)
- John Voelcker (England)
- Georges Candilis (France)
- Shadrach Woods (France)

Par la suite les membres sont plus nombreux.

Team 10 PRIMERS qui sont les publication par Alison Smithson, une édition de
1962/5 et une deuxième de 1968,est le travail de
réflexion. On remarque qu’elle a enlevé deux
personne du comité (Bill Howell et Rolf Gutman) dans
son édition de 62 et qu’elle en a ajouté 4 nouveaux
(J. Soltan (Poland), G. Grung (Norway), R. Erskine (Sweden), J. Coderch (Spain)).
Ce groupe va alors rester stable. (11membre)

Dans l’édition de 68, elle retire à nouveau deux architecte (


John Voelcker et G. Grung) pour ajouter 3 autres (G. de Carlo
(Italy), C. Pologni (Hungary), S. Wewerka (Germany)). (12
membres)

La dernière réunion se trouve à Bonnieux en 1977. S. Woods étant morts en


73, il a été remplacé par Manfred Schieman.

On peut finalement déduire que les membre principaux sont alors :

- J. Bakema
- A. van Eyck
- G. Candilis
- S. Woods
- A. & P. Smithson
- J. Voelcker
- G. de Carlo
- J. Soltan
- R. Erskine
- J. Coderch

(11 members)

Comment leur projet vont émerger dans les débat au sein des CIAM ?

CIAM 6

Thème : Relationship between architecture, painting and sculpture.

On retourne au première congrès après la guerre en 1947(CIAM6)Van Eye dit


qu’il faut essayer de reconnecter l’architecture moderne et urbanise avec les
début de l’avant-garde. Mondrian dit que les leçons de l’avant-garde n’ont pas
encore été assimiler par la nouvelle architecture.

USA CIAM chapet est la contribution des américains, ils vont mettre le doigt sur
le « community planning » oubli é par la charte d’Athènes avec l’idée de
neighbourhood et de l’unité de voisinage neighbouurhood units. Citique des
construction en bande et plaidoyer pour d’autre activité urbaine dans les
quartiers. Les architectes : Clarence Perry, Lewis Mumfort.

CIAM 7 Bergamo, Italie, 1949

Thème: neighbourhood

Futurs membres de team 10 vont présenter un 1e projet pour une ville, un


quartier dans un polder(terrain vierge) . Bakema (& Opbouw) présente un projet,
en 49, « Pendrecht 1 » qui se base sur une unité de voisinage (communité) de 90
logement repris sur un ilot avec une
disposition spatiale ouverte. Il y a 10
unités forment un quartier, 5 quartiers
forment un district. Il y a des
équipements dedans et entre les
quartiers.

Le plan est basé sur des


unités de 90 logements
formées de 5 types de
bâtiments regroupés dans une
disposition spatiale
ouverte. 10 unités forment
un quartier (4000 habitants
environ); 5 quartiers
forment le district (20000
habitants environ).

A bergame, LC va présenter la grille d’analyse, ASCORAL, où à chaque échelles,


on va analyser la ville. Ces grandes planche permettait de comparer les projets
CIAM 8 Hoddesdon, 1951

Theme : The Heart of the City: The Core, a place for


encounter;

The core est comme le lieu de la ville, le centre. Giedon


va montrer les projets de Van Eyck pour les plaine de
jeu qu’il avait réalisé à Amsterdam sur des terrains
vide. Il va l’utiliser comme exemple pour lieu de
rencontre. Bakema lui va présenter le core comme le
moment où il y a des relation entre les choses et les
personnes.

Bakema va présenter un
second projet pour le même
polder où le cœur précédent
devient une place centrale
avec une série d’équipement
avec les unité de voisinage
qui se répète autour. UNE
hiérarchie entre le centre et périphérie revient de plan et on quitte l’isotropie
que les moderniste voulait.

Aldo Van Eyck participe à


l’urbanisation des polder avec
le projet de « nagele village »
en 53 avec également une
école en 54-56. (une des rare
fois où) Il va appliquer à
l’échelle urbaine son principe
d’une méthode configuratrice
( projet qui va chercher des
correspondance entre différentes échelles, faire ressembler les différents plans(
de la ville, ilot..). Cela crée des rapports entre les différents éléments. + Une
route tout autour qui rentre et créer des liens.

En vérité, cela ne s’est pas produit comme ça. Il y a une énorme place( ne
comprends pas de construction) pour un petit village.
Nagele fait partie d’une série de villages construits en Holland. Cela fait parti du
projet « Noordoostpolder » présenté au congrès CIAM.

Ce projet est pour un


nouveau village du
Noordoostpolder (50 000
hectares drainés de 1937
à 1942). Ce polder est
organisé autour d'un
noyau central
(Emmeloord) en huit
villages, dont celui de
Nagele.

Le projet pour Nagele


connaît deux phases :
- Première phase, 1947-
1949, présentée au
C.I.A.M. 7 à Bergame en
1949, puis au C.I.A.M. 8
à Hoddeston en 1951.
- Deuxième phase, 1952-
1954, présentée au
C.I.A.M. 9 à Aix-en-
Provence en 1953.

Bakema continue de parler à Hoddesdon, 1951, du rapport entre les hommes et


les choses.

è “What I ask myself is, at what moment can we really speak of CORE
– the core that we can plan in architecture and town planning.
Perhaps the answer is this: There are moments in our life in which
the isolation of man from things is destroyed: at that moment we
discover the wonder of relationships in men and things. That is the
moment of Core: the moment we become aware of the fullness of life
by the experience of relationships whose existence we did not
know.”

CIAM Sigtuna congress 1952, Suède

Ce congrès est une préparation au CIAM 9. Les « vieux » comme Le Corbusier,


Gropius.. sont pas présent. Les jeunes vont alors prendre le pouvoir et préparer
le CIAM de 53. On va essayer de mettre en place une nouvelle lecture de
l’habitat. Pour :

- Wogenscky (&LC): habitat = logis


- Candilis, Ecochard, Van Eyck : habitat = housing a whole community
><the idea of dwelling as an isolated function(fct isolé)

-> Agisse contre la ségrégation de la charte d’Athène

CIAM 9 Aix-en-Provence, 1953

À ce congrès, les premier membres de TEAM X vont se rencontrer. Il y a :

- De nombreux projets. :

1) Bakema: Alexanderpolder Project 1, 1953, (Retour au centre


fonctionnel)

Comemnt il va l’intégrer a la grille ascoral, il le


fait de manière fidèle selon les catégorie,
travailler habiter loisir et transport

>< Smithson (3 série d’image ils vont intégrer leur propre catégorie et
insérer des images d’enfant qui joue dans la rue et change les catégorie
plus importante (house stresse relation..) Ils appellent leur grille Urban
Reidentification Grid. -> Appropriation du quartier
Acte premier est de détruire les catégorie d’analyse pour mettre en place une
autre lecture, d’autre catégorie plus importante. Thème moins appauvris
proposé avant.

2) Candilis: housing Casablanca


3) Smithsons: Golden lane project. Il est
jamais réalise mais accompagné de
document graphique et de collage qui
montre comment cette ville peut être
appropriée. Il montre comment on
peut faire une
multiplication
de ce projet
–> cluster qui va être ponctué avec des
éléments plus éléves. La ville est superposé
sur la ville existante-> nvl type d’urbanité sur
l’ancienne.

De nouveaux concepts :

• Bakema, Lemco, Van Ginkel, Voelcker:

- Visual group (= housing unit)


- Identity
- Belonging, sense of neighbourliness

• Smithsons:

- Identity
- Appreciated Unit
- Hierarchy of human associations: house-street-district-city
• Van Eyck:

- Aesthetics of number
- Attitude towards archaic cultures ( <3 anthropologie, volonté
d’apprendre de l’anthropologie, aller au fondement de nos
culture)

Le concept de cluster :

Smithsons attaquent Le Corbusier.

Le concept de cluster

"Le rêve de Le Corbusier d'une Ville radieuse était supporté


par une géométrie d'une écrasante banalité. (...) Ce que nous
recherchons est quelque chose de plus complexe et de moins
géométrique. Nous sommes plus concerné par le "mouvement" que
par la "mesure". L'idée générale qui résulte de ces prémices
est le concept de Cluster."

"Le Corbusier's dream of a Ville Radieuse was supported by a


geometry of crushing banality. (...) What we are after is
something more complex, and less geometric. We are more
concerned with "flow" than with "measure". The general idea
which fulfils these requirements is the concept of the
Cluster."
(Alison & Peter, "Cluster City, a New Shape for the Community",
The Architectural Review, n°730, novembre 1957)

Mais en réalité si on compare, ce n’est pas très différent. (1. Smithsons, 2. LC:
Ilot Insalubre no. 6 Project)

Les idées des Smithsons évoluent, le cluster gagne une certaine épaisseur avec
un cluster ponctué de petite tour. Ils repêchent dans l’histoire de l’urbanisme un
schéma une coupe dans la vallée comme schéma d’analyse de la ville. On va
retrouver différente échelles d’interventions humaines. Toutes ces échelles vont
se trouver dans la ville à l’échelle d’association (involontaire) pour se retroiver
dans les associations voulue.

->

On voit apparaitre d’autre participation. Ici,


une grille réalisé par un CIAM Alger, c’est
une grille qui analyse les bidonvilles ; c’est
une critique des CIAM qui prend pas en
compte les construction existante, d’une
auto construction, il y a une richesse qui n’a
pas été étudié ; -> D’autre catégories qui
rentre en jeu (on les vois dans ce tableau)

CIAM-Alger (Emery, Gut, Lambert et al.), Bidonville Mahieddine

Le groupe GAMMA qui vont aussi


présenter plusieurs éléments. La grille
de Michel Ecochard qui va s’intéresser
aux maisons avec les patios
traditionnels marocains

Maison à patio 9X9 et qui peut évolué avec le


temps (peut accueillir des construction
supérieur)
Le groupe gamma avec Michel Ecochard mais aussi victor Bodiansky, Candilis a
réalisé l’extension de Casablanca avec les carrière centrales. Maison à patio
verticale.

Aujourd’hui ces patio ont été fermés,


murés ( on voit encore les fenêtres carrés)

Congrès 10

Il a l’enterrement des CIAM et c’est la fin. Les membre du team X vont continuer
à se rencontrer à des réunions sans organisations, c’est beaucoup moins
informelle. Ils vont se rencontrer à Otterloo en 1959 où Van Eyck va présenter
son internat à Amsterdam qui se veut une ville. Il y a une unité qui va se répéter
dans le plan et qui va finalement à une autre échelle se retrouver dans le
bâtiment avec le même type d’espace mais plus grand. (= Nagele school).
Schéma de Van Eyck : avant le 19e siècle, il y avait la ville médiévale en place où
les 4 fonctions de la vile était inter-mêlé avec des rapports mais avec
l’industrialisions, il y a eu le chaos :les couleur
initial y perd leur intensité et est moins clair.
Les CIAM voulaient demêler à nouveau ces
fonction par la séparation stricte. Avec Van
eyck, la nouvelle ville retrouve les qualité de
la ville médiévale où les choses sont
interconnectés, lien naturel.. -> lien entre les
différente échelles du projet.
Ce manifeste de ce orphelinat va être suivi par les
architectes hollandais et on appelle ça « le
structuralisme hollandais ». Un architecte connu est
Herman Hertzberger (élève de Van Eyck). Un de ses
projets est avec des boites d’allumette pour essayer
de mettre en place des
habitat au plus grand
nombre. Cette idée a du
succès et un projet de Moshe Safdie en 1967 à
Montréal va se baser sur ce système pour l’exposition
universel (projet habitat). Piet Blom (bureau de V. E. )
a fait des expérience pour appliquer ce principe
configuratif à l’échelle du quartier et la ville et a essayé
de trouver des mécanismes, des façon de trouver des
rapports entre les différente échelles. En 1962, il va
essayé deux projet qui donne lieu à ce genre de figure
ou à la périphérie tout devient plus bas. (revoir échelles
de Smithsons et revoit de centre de Bakema avec tout
étant interconnecté )

Immeuble de bureau qu’il a traité comme une petite ville. (Hertzberger)


Rem Koolhaas est l’architecte hollandais >< structuralisme. Il va attaqué la
fermantation dans les projet de Van Eyck.

Rem Koolhaas, à propos de l'orphelinat d'Aldo van Eyck à


Amsterdam (1955-1960)

"Durant les vingt dernières années, de larges secteurs du


monde architectural hollandais ont été la proie de la doctrine
locale du structuralisme hollandais. Faisant de l'orphelinat
d'Aldo van Eyck et des recherches du groupe hollandais "Forum"
leurs précurseurs, la doctrine prêche qu'au nom de l'humanisme
toute grande institution peut et doit être fragmentée en
composants plus petits qui rétablissent l'échelle humaine –
comme si chaque institution, quelle que soit sa nature, devait
devenir plus transparente, moins bureaucratique, moins
aliénante, plus compréhensible, moins rigide du fait de sa
simple division. Mais si van Eyck divise un groupe important
d'orphelins en petites "familles", et crée une correspondance
métaphorique entre ces "familles" et les "maisons" où elles
habitent, une telle connexion est totalement absente des
manifestations plus tardives du thème, la division devenant un
simple maniérisme."

OMA: Office for Metropolitan Architecture, "Urban Intervention:


Dutch Parliament Extension, The Hague", International
Architect, n° 3, vol. 1, 1980.

Groupe : Candilis-Josic-Woods.

Ils vont emmarger au sein des CIAM. Toulouse-Le Mirail est le projet
d’extension de Toulouse. En rouge on voit la nouvelle trame projeté sur le nord
de Toulouse. « le vieux et le neuf à coté sans aucun lien » Réaction contre le
moderne avec un projet intégré, toutes les fonction sont réunis dans un
morceau de ville. C’était peut-être démesurer selon lui mais il manque de
l’entretien..

Voiture en sous-sol comme à louvain.(stem)


Stem Web

"Aujourd'hui l'espace est entier et la société universelle.


"Il est clair qu'une composition purement formelle ne peut Ces réalités doivent se refléter dans nos plans et dans nos
convenir à une société en évolution rapide, car la nature bâtiments. (...) Pour refléter ces réalités d'espace total et
d'une telle composition est statique, précise et fixe. Des de société universelle dans nos plans et dans nos bâtiments,
et pour résoudre ces problèmes d'espace et de société à notre
bâtiments qui, jadis, restaient valables pendant cinquante ans
échelle actuelle, nous essayons d'établir des systèmes qui
sont aujourd'hui périmés au bout de cinq ans. Nous sommes puissent réunir les activités entre elles et qui soient
certains que la technologie en se basant sur une économie compréhensibles. (...) Les systèmes ne se limiteront pas aux
d'ensemble résoudra le problème d'une vie si courte. Notre trois dimensions habituelles, ils auront également une
problème est donc d'organiser un milieu dans lequel un dimension temps. Les systèmes seront suffisamment flexibles
pour permettre leur extension et des transformations
bâtiment pourra au bon moment et au bon endroit s'installer intérieures au cours de leur existence. Les systèmes resteront
pendant une période de cinq ans. Au lieu de faire des ouverts vers l'intérieur comme vers l'extérieur (...).
bâtiments flexibles le but est désormais une garantie de Nous avons le sentiment que le "web", mot par lequel nous
flexibilité du complexe urbain qui lui permettra d'engendrer voulons exprimer l'idée du "stem" à un degré plus élevé, peut
nous procurer un moyen d'approcher du but dans le cas des
des éléments à vie courte aussi bien que ceux à vie moyenne. systèmes (...). Le "web" doit être un système hautement
(...) L'urbanisme et l'architecture contemporains doivent flexible dans un monde d'une grande mobilité.(...)
refléter l'image d'une société ouverte. (...) La flexibilité est garantie par l'uniformité de l'intensité
Une organisation linéaire (une ligne n'a ni dimension, ni initiale des activités sur le "web", de telle sorte qu'il
puisse être accroché en n'importe quel point, et qu'il puisse
forme) est le reflet le plus vrai de la société ouverte." lui-même s'accrocher aux systèmes plus importants à n'importe
(Georges Candilis, Alexis Josic, Shadrach Woods, Le Carré bleu, quel endroit."
n° 3, 1961) (Shadrach Woods, "Web", Le Carré bleu, n°3, 1962)

Le web : permet la transformation dans le temps. Et propose au habitant une


structure qui propose tout le besoin de la ville. Approprié dans le temps

‘Team 10 is a group of architects who have sought each other out because
each has found the help of the others necessary to the development of their
own individual work.’

Alison Smithson, 1961, Primer Preface

Typo Morphologique

Critique de TEAM10 mené par un architecte Italien Aldo Rossi. Il publiait en


1926, “The architecture of the city” Publication avec des référence

L’architecture de la ville

1. Ville = architecture

Le ville est une œuvre d’art et construite dans le temps. Moderniste la


voyait comme un problème et non une œuvre d’art. On peut pas
recommencer à zéro comme propose les modernistes. La ville est en
première instance Forme construite.

2. La ville et son rapport à la société

La dimension fonctionnelle de la forme. La ville n’est pas la résultante de


la vie en société. Elle donne aussi forme à la société

>< moderniste « simpliste » « forme suit la fonction «

La forme elle-même peut suggérer des fonction. La formme donné du


passé peut accepter d’autre type de société. Notion de « Locus » : le
locus est déterminer par un évènement particulier, un fait urbain , un
bâtiment dans lequelle qqch s’est déroulé

Se fait urbain devient un lieu,

3. La ville et le temps

Stabilité et permanence vs Changement et dynamique

Mémoire et oublie : sélection

Il faut pouvoir oublier certain élément pour avancer

Monuments 2 types :

Monument propulsant ( grand fait urbain, capacité d’accepter dans le


temps différent programme)

Plan de Florence qui on construit des maison dans l’amphithéâtre

Monument pathologique (monuments qui fige, qui n’accepte pas d’autre


fonction )

4. La ville et ses dimensions individuelles et collectives

Dimension individuelles est incluse dans la dimension collective

Rossi introduit deux notion clé :

La notion de type et d’analogie

Type : concept 18e, dvlp par les encyclopédistes,


Formuler les caractériqtue des faits urbain

Analyser des objects pour définir des groupes entiers

Permet de conceptualiser les chgt et permanences dans la ville (usage


eco, politique , matériaux)

Système de règle définit (abstrait )

Concrèt et abstrait

Analogie

Les types se manifeste en variante V’ , V’’, V’’’

Analogie = rapport entre les différentes variante

Catégorire d’analyse mais aussi projet

5. La ville en tant qu’espace de médiation

Médiation entre pole opposé

Indvs col

Permanent et chgt

Public privé

Passé presnetent

Passé futu

Chaos ordre

Fragment vs ensemble

Idée :utopique vs réalisté physique


Si on une œuvre d’art

La culture eur trouve ces fondement

« La ville analague » commt ond doit considerer la ville

Projet de Aldo Rossi

Gallaratese, Milan 1969-73

Il va réaliser une série de type d’espace qu’on trouve dans la ville de


milan avec des galery colone des rythmes

Rossi réalsie au début peu de projet

Mais le projet du cimetière est tjrs en cours et mémorable

Extension du cimétière

Teatro de lMundo

Prjet d’un théatre flottant

Architecture analogue peut s’introduire dans plusieur contete urbain


différent

Typo-morphologie :

- Rendre scietifique l’approche de Aldo Rossi


- Introduction du concept du type dans l’analyse urbaine
- Série d’architecet et urabnisme dans les années 70 qui vont faire des
étude meticuleuse en analysant les ville urbaine pour appliquer de
manière scientifique de aldo rossi
- Comprendre comment la ville est constiture
Il y a deux pole :

- Les italient : Saverio Muro


- Les français : Jean Castex
- Dans les années 70, la typo-morph est une alténative à l’urba
modernsime

Txt dvlp dans les année 70 à bruxelles

Elémént d’analyse urbaine

Classification des types :

Selon les manière de construire : produire des types

1. Type consacré

Le type le plus courant dans l’hist de l’arch et la ville

Consacrée

Vu comme une force inérante de l’histoire

Ex : maison de maitre (19e dans ville de Belgique) concevoir une


maison sur une parcelle étroite et profonde, 3 pièce en enfillade,
pièce supp avec cuisine

‘ex : année 50, electification des maison, apparition de la voiture,


apparitation des maisons bel étage, version contemporaine de la
maison de maitre, la maison moderne

Avec variante, avec des appartemen

2. Type génératif

- Type imaginé par un architecte théoricien


- Méthode explicite offerte à la discipline

Ex : « précis des leçons d’architecture »


Les architectures publiques devaient suivre ça. Méthode de projet
qui permet de se débarrasser de tout contexte. Projet qui peut se
générer très rapidement pas l’état

3. Prototype ou modèle

Modèle peut être reproduit et qui permet la réproduction.


Processus contrôlable et extrêmement maitriser. Maison modèle ,
avec pièce préfabriqué en usine ( pas tout, il y a tjrs mur en
brique), maison moderne avec un certain confort.

4. Type contextuel

Type impliqué dans le recherche typologique

But du type contextuel est de cnxtualiser les type qui sont sous
jacente dans la réalité urbain et qu’on peu extraire, etduier et
décrire et puis utiliser pour le projet

3 éléments sont fondamentale selon Pariel

1) Nouvelle approche de ville

- Type et variante
- Typologie différentielle

2) Corrections de la définition du type

- Type contextuelle n’est pas indépendant de son conexte


- Importance du tissu : double rélaité du tissus : synchrone et
diachrone, superstructure (apparition ) vs infrasturcture (sturcture
spatiale soujacente : morphologie)

3) Différentiation des échelles de recherche

Parcelle / ilot / quartier

À chaque niveau de échelle, il y. a une réalité sociologique

En Belgique,
L’approche contextuelle s’est présenté sur le plan idéologique

ARAU= Atelier de recherche et d’action urbainen

Le droit d’habiter en ville, droit d’aoto determnisation

ARAU

Qui ? René Schoonbrodt, Jacques Vander Bist, Philippe De Keyser ( avocat),


Maurice Culot (prof à la cambre)

Rencontre, naissance, à une expo où l’on tue le modernisme

Expo :Antoine Pompe et l’effort moderne en Belgique

BUT ?

- Contre la tertiarisation de la ville au détriment de l’habitation


- Mettre un terme au dépeuplement/ exode urbain ( mettre bureau à
la place des maisons)
- Revalorisation la ville ancienne (lieu d’échange, rencontre, culture)
- Défense du doit d’autodétermination des citadins
- Reconstitution de la ville 19e du à la charte d’Athènes

Modus Operandi ?

- Contre projets (alliance activisme et enseignement) proposé par ses


étudiant qui proposaient d’autre solution
- Conférences de presse
- Sensibilisation : mise en place d’école et tour guidée à la population

SUCCÈS :

- Protection du patrimoine
- Installation des commissions de concertation (offre au habitant de
participer aux projet, se faire entendre)
- Politique officielle depuis la création de la région 1989 : Contrat de
quartier qui avait comme but de retisser le tissus urbain faire des
projet à petit échelle qui devaient faire impact sur la grande. Occasion
de renouveau architectural à Bruxelles.
Bande de culot à la cambre

Une des batille la plus important était la bataille de la marolle


empêcher la destruction et reconstruction du quartier de la marolle

Présence de l’europe qui se fait sentier à bruxelles

Proposition d’un quartier europoéen

Le carrefour de l’Europe

Ressenti comme le problème centrale

Était un lieu d’étude mais n’est pas ajd passionnant

Devant la gare centrale on avait détruit tout un quartier

Polak, Van Meulecome, 1969,

Ville donne le terrain promoteur a cdt de construire centre


commercial et parking vite

Gare centrale, pas très intéressant qui fait scandale

L’ARAU vont proposer un contre-projet

Met à l’arret le projet des prometteur et la ville réagit au contre


projet

La ville met en place un concours en 1070

Bizet inspi team 10

François terlinden 197à crétaion d’illot approche typologique


Maison de maitre avec des rues, qqch de détaillé pour retrouver la
morphologie de l’espace vide et retrouvé des type tradictionne

Groupe Planning, 197à gagne mais pas ce qu’ils ont proposé


directement Il propose un autre projet croisement avec team 10 et
approche typlogique Compromis pas forcement très interressant

En 2000 concours organisé il y a deux vainquer

Alain Sarfati qui va être réaliser avec cette anneaux

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