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L’architecte produit un objet architectural et y a également celui qui va l’utiliser (l’usager). Cette
coproduction de l’espace est exprimée au niveau de la ville.
Nous allons nous interroger au niveau de la ville. Notre regard dans l’architecture est intuitif.
L’urbanisation urbaine va nous permettre de connaitre le tracé de la ville, c’est une empreinte, une
ambiance et une forme qui se dégage, une interaction entre l’espace et le bâtis de la ville ou du lieu.
Lorsqu’on parle de la forme, le trait n’est pas uniquement un stylo mais c’est une réalisation qui se
fera par la suite. La forme a une inertie dans l’espace, elle grandit avec le temps. Elle est difficile de
changer et chaque forme a une inertie qui grandis mais ne change pas
La ville est composée de trois éléments dans sa forme : Les artères (la voie), l’ilot et la parcelle.
Les artères peuvent être la rue, l’avenue, la ruelle. Ils sont difficilement changeables, pour leurs
emplacements, nous avons des artères romaines, par exemple a rabat on a suivi la rue cavalière. Les
s passages sont très durs à changer.
L’ilot c’est un ensemble de parcelles entourées par des voies, il peut recevoir un ou plusieurs
bâtiments, si nous avons 3 ou 4 parcelles dans un ilot on peut les regrouper
Avec ces trois éléments on va définir la ville. Dans les plans quadrillés, on trace les ilots. La forme
permet d’avoir un espace. Un espace public dans la médina est différents dun espace public d’une
ville européenne.
La forme a également son histoire, on est passé de l’ilot a la barre, Haussmannien avait l’ilot dans la
ville médiévale et par la suite avec l’urbanisme moderne on ne parle plus de l’ilot mais récemment
avec Portzamparc on est revenu a l’ilot ouvert.
Ne faut pas mélanger la le fait urbain avec l’urbanisme, la ville a bien existé avec le moyen orient
mais l’urbanisme, étant une discipline, en 1850.
L’urbanisation est un changement de la population dans un pays, on passe d’une population rurale a
la population urbaine. La population urbaine au Maroc est de 55 pourcents, grâce au recensement de
2004, qui a prouvé que les marocains vivent plus en ville que compagne. En 2008 ils ont trouvé que
dans le monde a basculé dans le monde urbain.
La planification urbaine ce sont les études qu’on fait pour planifier un territoire.
Par rapport au Maroc, les anciennes villes, Marrakech, Salé, Fès, Meknès, Tanger, Ceuta.. Le Maroc
est parmi le pays arabe avec le plus de villes avec au moins 33 médinas. Ces villes sont repartie dans
tout le territoire de manière équilibré.
C’est un changement de la société, on est dans une spécialisation de la tache ouvrière, qui a induit un
changement dans la structure sociale, et on passe d’une société purement agricole a une société qui
es urbaine. La richesse, si nous revenons au féodalisme, c’était les féodaux qui géraient les grands
domaines, cette richesse qui était dans un milieu rural est devenue urbain avec cette révolution.
La ville est devenue quelque chose d’important dans un contexte sociale, économique ou même
politique.
Le contexte social est le procédé Bessemer (est un procédé d'affinage de la fonte brute, aujourd'hui
disparu, ayant servi à fabriquer de l'acier peu coûteux.), qui est l’affinage de la fente et l’acier, on
construisait avec le fer et ce qui as permis ça ce sont les expositions universelles. Ces expositions ont
permis de découvrir les éléments des autres pays, tels que celle qui as fait découvrir la tour Eiffel.
Depuis les découvertes industrielles, on a travaillé l’acier.
Le moyen de transport a été une grande découverte, avec le train, on peut se déplacer de manière
très rapide mais on peut également relier plusieurs villes et countries.
En France par exemple, chaque région avait sa propre langue, donc différents dialectes, chaque
partie avait son horaire mais avec l’arrivée des trains, tout le monde devait avoir les mêmes heures,
donc le train a permis d’unifier la langue. Et a permis de conquérir plusieurs territoires
La ville reste sale, malgré cette révolution, donc ceux qui vont penser à ça ce sont les hygiénistes.
Ces hygiénistes étaient des médecins et aussi des administrateurs, ils ont commencé a critiquer cette
ville qui es pollué, donc on est passer dans un caractère qui est pensif er réflectif, c’est la première
fois ou on réfléchis et critique une situation
Les usines, dans la révolution industrielle, sont à côté de l’habitat. Nous remarquons les égouts en
pleine surface, y a quand même dans ce contexte on arrive a la réflexion de l’urbanisme.
C’est un therme récent, la ville n’est pas récente mais ce terme oui. L’urbanisme arrive en France en
1970, au Maroc le premier institut était en 1981, qui traite l’urbanisme mais dans le monde arabe
nous avons Ibn Khaldoun qui parle de l’Omran qui sont des données géographiques, qui sont spatiale
et aussi des données historiques et culturels.
Le premier qui a inventé le terme de l’urbanisme, qui est un néologisme, est Cerda, Alfonse Cerda,
est un ingénieur espagnol, est celui qui as crée la ville de Barcelone.
La ville médiévale de BCN était sale et insalubre, ceux qui avait des terres dans les alentours de BCN
ne voulaient pas construire extramuros, cela a donné une spéculation foncière, donc on a décidé de
construire une ville a côté. Une ville de qualité a côté d’une cité passéiste, qui va finir par démolir
d’elle-même.
Prost et Lyautey ont fait pareils, en pensant a construire a côté de la médina, la médina finira par ce
détruire elle-même. Mais finalement c’est n’était pas le cas.
Le plan de Cerda a été primé. Cerda qui travaillait dans la commune, avait accès aux statistiques donc
connaissait les besoins des personnes, il a pu proposer la nouvelle ville. Cerda a fait l’analyse + la
projection ce qui as donné l’urbanisme. C’était une réflexion qui dégage les besoins et en faisant les
projections par la suite. Son livre : Théorie générale de l’urbanisme.
Sa nouvelle approche critique, une rigueur logique et une approche scientifique. L’analyse des
données géographiques du site, l’établissement d’un programme et des besoins, l’analyse des choix
directeurs et l’expression morphologique de ses choix.
Cerda était le premier qui a pu établir une procédure et une manière de faire.
DIAPO
L’ancienne cité et la nouvelle ville, il a encerclé la ville au lieu de la démolir, il a créé un plan en
DAMIER. Cela fait partie de la culture occidentale.
Pour Cerda, la problématique de la ville ancienne c’est que, elle n’est pas ensoleillée, mal aérée, et
non praticable... Donc tout le monde devrait avoir une orientation au soleil. L’accès à l’équipement
doit être le même par rapport a l’accès de tous les habitants. Cela permettra de préserver la vie
sociale
Si on revient aux anciens plans, on remarque la ville sale et les usines qui se trouvent collé a la ville t
aux logements, ils sont entrain de séparer les fonctions
Séparer les fonctions c’est la base du zonage, maintenant nous avons les zones d’habitat, la zone
administrative, la zone industrielle… ce sont les racines zonage.
Lorsqu’on parle de la forme, c’est particulier. L’ilot de 1859 à 1988 l’ilot a changé mais pas la voie. Il a
permis a travers de la conception, que le projet puisse évoluer sans toucher a la forme extérieur.
C’est également le cas pour les zones villas qui deviennent zone d’immeuble, du a la croissance de la
ville. Par exemple pour la ville de Barcelone, relié à la forme, le mérite de Cerda est qu’il a prouvé
qu’on pouvait rajouter plus d’habitant sans pour autant changer la forme. Il a fait un plan EVOLUTIF.
La parcelle d’une villa n’est pas prête a recevoir la forme d’un immeuble. Nous aurons des quartiers
comme l’Agdal, mal ensoleillé, pas de stationnement, mal orienté… Le plan d’aménagement a décidé
de changer la zone villa en zone immeuble mais sans moyen d’accompagnement. Normalement tout
devrait être fusionné (les parcelles). Donc c’est une densification pure et dure. Si on prend les
anciennes images de l’ancienne ville de rabat fait par Prost, c’étaient des équipements a tiroir, ce qui
permet d’être évolutif dans devoir toucher à la façade, ni à l’environnement.
Par exemple dans le quartier administratif de rabat, tels que la Poste ou la Banque, l’architecte a
surélevé les étages, il a pensé au besoin d’espace qu’il aura besoin avec le temps. 50 après le quartier
a été déplacé. Si on prend n’importe quel immeuble autre et on veut avoir plus d’habitants, ce n’est
pas possible par ce que tout est figé.
Cela veut dire que le constructeur fige sa forme dès le départ, son plan également PHOTO COLLAB
HAUSSEMAN :
Haussmann, avec Cerda, ont été ceux qui ont changé l’urbanisation.
Lorsqu’ils ont refait la ville, c’était a cause des incendies. Par exemple avec la ville de Lisbonne, ils ont
distancié les rues, pour s’il y a le feu dans une façade, cela ne touchera pas la face d’en face ou a
côté. Cela était aussi une trame régulière pour les pompiers
Pour la ville de Paris, c’était deux hommes, Haussmann et Napoléon III. Napoléon III avait fait une
visite a Londres et avait demandé a son préfet d’assigner Paris, Haussmann avait fait les grands
travaux. Ils ont voulu assainir paris. Cela a permis l’embellissement de la ville, l’agrandissement et
l’assainissement.
COLLAB
Une meilleure circulation des aires. Y a plus d’espaces verts, plus d’ensoleillement, plus d’air frais et
sains et plus d’espaces verts. Ce sont des réactions aux épidémies. L’ordre public n’a pas été avouée,
c’était pour tirer les canons et pour la cavalerie (les grandes avenues)
PHOTO COLLAB
L’avenue de l’Opera, pour dégager la vue sur l’Opera on a commencé a démolir des immeubles. Au
début la voie a gauche et puis la voie a droite. La hauteur des bâtiments a sa propre architecture, des
hauteurs vraiment différentes, ou tout a été recrée et réorganiser dans un style haussmannien.
Nous voyons aussi les travaux des assainissements a Paris malgré le fait qu’on continue a voir des
rats a Paris partout, parce que leurs égouts sont larges et les voies du métro aussi.
Spatialement ce qu’il a fait Haussmann est le cube de l’axe. C’est la recréation des voies, de la lige
droite, nous observons les voies larges et les perspectives. Si on revient a l’image COLLAB, on voit
qu’ils ont obligé les gens a reconstruire avec un standing élevée, mais y a un problème c’est la
spéculation foncière. La spéculation foncière c’est le terme ou avant les travaux de la ville était
destinées a la population mais la population est pauvre mais finalement la population a démoli
plusieurs maisons des pauvres, lorsque la ville devient plus belle et plus intéressante, le coup de vie
augmente, donc elle se trouve pourchasser parce que ils n’ont plus ou vivre.
Socialement, l’expropriations, dans les maisons qui furent démoli, tout action spatiale a un impact
social. Si dans une ville ou un espace vierge, on passe un trait, ce trait aura un impact, d’où un coup
économique ou un coup social. Pour se déplacer, n’y a pas de transport, pour se loger y a pas de
qualité. Donc les décisions urbaines ont un impact social.
2eme partie :
Le contexte de l’industrialisation a donné un changement, c’est le milieu rural qui crée la richesse.
Ya une remise en question de la forme de la ville. Une traduction était parallèle qui ne marchait pas
pour la ville.
Le pré urbanisme c le mouvement des hygiénistes. Ce sont les grandes questions sur la ville,
Haussmann. Y’a des expériences copiées dans d’autres villes. (l’Haussmannisation) .
La ville n’est plus compacte mais elle est aérée avec ces hygiéniste. La ville doit également être
assaini.
Les formes urbaines sont reliées au mouvement moderne. C’est un mouvement qui a complètement
influencer aussi bien l’architecture que l’urbanisme contemporain, l’industrialisation a fait changer
du 19 siècle jusqu’en 1970.
Les phalanstères, de l’urbanisme progressiste, sont les premières cites ouvrières, on les voit au
Maroc, a Casa et Mohammedia. On est dans la spécialisation. Charles Fourier a essayé de donner un
modèle.
Les cites jardins, on est devant deux façons de faire, urbanisme culturaliste
Tout le monde habitait au sein d’une ville, donc Charles Fourrier a essayé de donner un modelé.
On est dans deux façons de faire, les phalanstère représente un courant, progressiste, et les cités
jardins c’est un autre courant qui est l’urbanisme culturaliste.
Aussi bien les deux, si on relie les arguments des courant, aussi bien l’un que l’autre avait des
intentions nobles. Si on est dans l’urbanisme, dans la phase du preurbanisme, il a été politisé, il y a
une idéologie dedans.
PREURBANISME
On va expérimenter de nouvelles façons de faire. Il a été politise, ceux qui ont réagis contre la
pollution de la ville. C’est une contestation au niveau de la parole car c pas concret.
Ceux qui ont réagis contre la pollution de la ville et était contre la ville industrielle, les gens exprimait
leurs avis mais sans réalisation juste au niveau de la parole.
On a deux éléments, le progressiste et le culturaliste et sans modèle le preurbanisme est porte par
trois ces courant
Progressiste ils sont dans une perspective de progrès ou tout doit être articule vers le futur, c’est que
du progrès.
Ce qui l’intéresse le plus c’est l’individu, le mot clé, c’est que l’individu alors que pour les
culturalistes, ils sont plus dans une pensé nostalgique, ils sont pour le groupe. Les progressiste ils ont
un raisonnement rationnel et scientifique, pour eux l’individu est un être universelle et ses besoins
sont les même, quelque soit la ville, qui a des besoins physiques et psychologiques, pour eux faut pas
aller au-delà du physique, tous les êtres humains ont besoin de dormir, de manger et d’être en
bonne santé, donc c’est une approche déductive, l’être humain avec ses besoin. Pour les culturaliste
l’être humain c’est y’a groupement qui peut pas être dissociable, on peut pas remplacer l’être
humain par un autre, on aura des besoins fixe donc on aura une seule réponse.
Les troisième courant qui n’est pas vraiment cité, ce sont les sans modèle , qui sont restées dans la
phase théoriques, il était contre le terme d’urbanisation , ils voulaient retourner a la ville de la nature
et de la compagne.
Progressiste : ils sont dans une perspective de progrès, orientée vers le futur.
L’individu, y a que ; lui. Raisonnement rationnel et scientifique. L’homme est un être universel, qui a
des besoins physiques et physiologiques. On ne va pas au-delà de ces besoins. Approche déductive.
L’être humain est un groupement qui ne peut pas être dissociée du groupe.
Son modèle :
Le modèle pourrait être vraiment suivi, reproduit ? C’est un exemple, une référence, un modèle. Il a
deux caractéristiques, c’est un exemplarité et on peut le reproduire, les culturaliste reproche cela,
que rien ne peut être reproduit. Est-ce que nous avons créer des médinas, tels que Tamesnour, est ce
que nous gardons les même modèle de la médina ou une forme de la médina ? Est-ce que un espace
qui a été donne a une période donne, pouvons-nous le reproduire ? ou c’est une imitation ? Est-ce
que un espace est reproductif ?
On ne peut pas reproduire un espace dans un temps diffèrent, on aura jamais les même ambiance
parce que chaque société a son espace, les culturaliste reproche au progressiste d’arracher la ville de
son contexte.
Progressiste : un espace est lié a son contexte. On ne peut pas reproduire un espace dans un autre
lieu. Ils arrachent la ville de son contexte.
Remise en question : A chaque fois qui y a un courant y a des réactions. Le courant n’est jamais
durable.
A partis des années 70, même ces courants n’ont pas eu le même impact ce qui a laissé le
mouvement moderne. Les mouvements d’après sont plus des corrections.
Le mouvement moderne a été modernise et il a jetée des bases qui sont difficilement changeable
même maintenant. On a des excès de l’urbanisme moderne.
Faut introduire les projets de la durabilité dans les projets urbains, on a essayé de retravailler la ville
autrement, autre la dune division par zone mais on rencontre l’esprit des lieu, l’introduction des
espaces publiques, le respect a la nature, les espaces verts. On est dans une smart city, on parlera
plus maintenant de la résilience, si on pousse plus loin, y a ceux pour le pétrole, d’autres pour les
plaques solaires.. ce sont des industries.
Si on parle du changement climatique, la terre en a vécu, même avec l’homme, il toujours exploiter
ces ressources. Si on construit avec la terre ou le bois ou autre on creuse dans les bases de la terre.
Faudrait trouver de nouveaux moyens
Le new urbanisme : Jane Jacobs, Canadienne qui a écrit un livre, il a critiquée la forme urbaine du
mouvement moderne . Elle réintroduit la rue.
Les progressistes ont aboli la rue, pour eux la rue n’existe pas, elle est étroite, sombre sans soleil,
Pour Jane faut réintroduire la rue ou il y a des interactions sociales grâce aux espaces publiques, alors
que la rue et l’espace public sont enlevés par les progressiste
Parmi l’application dans l’espace on est dans la simplicité, pour eux, les rues doivent êtres simples et
claires. Sans oublier ce qu’a fait Haussmann et Cerda, c’est la simplicité et la visibilité.
On est plus dans les formes organiques, ils veulent des formes stables. Ce sont des formes
géométriques, parce qu’elles sont simples et stables. La cité Radieuse, qui est un ensemble, c’est un
tout, sans rue, avec une coursive, on est dans ce chemin, cette forme. Ils ont géométrisé la ville avec
la ligne droite, l’ilot.
La fonction, on est plus dans la l’ornementation, dans le détail architectural. Le Corbusier est passé
de l’ilot a la barre, on est dans trois étapes importante, de la ville médiévale qui était critique, a
Cerda et Haussmann puis on aura les progressiste, avec Haussmann n a des ornements, des espaces
publiques mais avec les progressistes on est plus dans ce chemin , on est allé plus loin. Y a plis l’ilot et
y aura des rues circulatoires.
Dans la ville médiévale on aura des usines a cote de la ville alors que le Corbusier vas les séparer, ou
y aura la zone d’habitat, la zone industrielle et le quartier administratif.
Ceux qui vont les critiquer, jean jacobs, trouve que la ville est entrain de se cloisonner, donc on va
être dans une séparation, une ségrégation spatiale. Donc la ville n’est plus intramuros. La ville est
étendue sans muraille.
On trouve la mixité fonctionnel et social, stratification sociale, on est sur des foncions cloisonnâtes.
Pour les culturalistes, ce sont les équipements communautaires qui sont majeurs.
Il a promu la construction en hauteur pour une ville fonctionnelle. Il n’y a plus de rues. Tout se passe
au sein des immeubles.
- Assemblage et alignement de maisons ouvertes vers l’extérieur sur une cour ou jardin d’où
viennent air et lumière
- Repères : immeubles élevés (bureaux, zones d’emploi éloignées des zones de commerces)
- Urbanisme Vertical
- Villas, immeubles
- Assemblage en nappe de maisons ouvertes sur une cour intérieure par où vient lumière, air
et soleil
- L’habitat pour le grand nombre appelé la trame sanitaire (qui était au début une
restructuration des bidonvilles) d’où vient ensuite la trame d’Ecochard (parcelle de 8x8m
généralement),
- L’habitat économique (la trame d’Ecochard a été mutée pour devenir l’habitat économique).
Plus de 46% de la population marocaine habite dans l’habitat économique. Tout le paysage des villes
marocaines est impacté par cet habitat économique.
Ecochard a créé le patio traditionnel. C’est un espace central autour duquel on retrouve les
chambres.
Il avait d’une part une fonction climatique (aérer et apporter de la fraicheur surtout grâce au point
d’eau qu’on y retrouvait au centre) et d’une part une fonction sociale qui le caractérise d’espace
polyvalent (on y faisait le ménage, lavait la vaisselle, faisait des rencontres…).
De nos jours, la cour se fait souvent dans un angle et non pas au centre. Elle est purement devenue
un espace de service qui sert à éclairer la cuisine généralement ou la chambre à coucher.
RECAPITULATIF
Le pré-urbanisme (1810-1910) :
- Progressiste
- Culturalise
- Sans modèle
- Anti-urbanisme
Le pré-urbanisme a été politisé au début, il était contre la ville industrielle, il n’y avait pas de
réalisations. C’était surtout des administrateurs, des médecins…
On passe donc d’idées politiques aux réalisations, où l’on retrouve des ingénieurs et des architectes
(techniciens). Ce sont des spatialistes.
L’urbanisme a été porté par ces spatialistes et par des hommes de métier.
L’urbanisme (1910-1950) :
- Progressiste
- Culturaliste
- Naturaliste
Les courants d’urbanismes étaient cristallisés. Ces architectes ne sont pas restés au niveau de la
théorie, ils ont plutôt essayé de s’organiser. Ils sont donc créé ce qu’on appelle les CIAM (ce sont les
Congrès Internationaux d’Architecture Moderne).
Le Maroc était un « laboratoire » où se réunissaient les architectes en partageant leurs plus grandes
idées d’architecture moderne.
Le Maroc est un exemple car Ecochard avait présenté son projet au niveau de l’un de ces congrès.
La plus grande contribution des CIAM est la Charte d’Athènes. C’est la principale réalisation et
production des CIAM.
En 1928, des architectes français et Le Corbusier ont organisé une rencontre. Ces objectifs étaient de
:
- Poser les bases théoriques du mouvement architectural et urbanistique moderne et
fonctionnaliste. Pour eux, l’habitat est d’abord une fonction, donc doit être rationnel (se débarrasser
de l’inutile) ; Exemple : la machine à habiter de Le Corbusier.
- Fonctionnalisme : l'habitat est avant tout une fonction qui doit être rationalisée. Ce n’est pas
une fin en soi. Doit être débarrassé de l'inutile en terme de fonction (décor, murs non porteurs, etc) ;
- Promouvoir ces idées encore mal acceptées dans l'entre-deux guerres de l'architecture
moderne.
Contribution principale
- Nouvelle forme urbaine : plan libre, ville diffuse, zoning, disparition de la rue.
Elle a instauré ce qu’on appelle le zonage. Ça veut dire que la ville fonctionne par zone (zone
d’habitat, zone industrielle, zone d’équipements…).
Au sein de la zone d’habitat on retrouve d’autres zones, telles que la zone villa, la zone d’habitat
économique, la zone immeuble…
C’est une équipe de 10 architectes. Ce sont des architectes modernes qui ont critiqué l’approche de
Le Corbusier. Pour eux, c’est un extrémisme de mécanisation. On doit prendre le coté social en
considération. Il faudrait introduire cette touche sociale.
- 1929 : « l'habitat à loyer modéré » (HLM), y participent pour la première fois des architectes
aussi importants que Gropius et José Luis Sert.
- 1934 : le congrès le plus important. C’était une Croisière aller-retour entre Marseille et
Athènes. Participants : des architectes des peintres, des poètes et des critiques d'art. Thème : « La
ville fonctionnelle », dont les conclusions découleront de l'étude de 33 villes. Résultats : trois
documents de contenance identiques :
Can our cities survive ? De José-Luis Sert, publiée aux Etats-Unis en 1942,
La Charte d'Athènes (on l’a appelé Athènes car le congrès se tenait à Athènes en Grèce),
écrite par Le Corbusier (anonymement en 1943 puis signée en 1954) : ce document a eu le plus
d’audience.
- Cluster : faite par Ecochard (grappe) développé en premier par les Smithsons : recherche sur
les formes d'association des logements. Réflexion du bâti au niveau de l'unité de voisinage, pensé
comme un système communautaire vivant aux échelles différenciées (opposé au principe de
«machines à habiter »).
- Le Stem : idée d'une rue intérieure (au sein de l’immeuble), sur le modèle des unités
d'habitations de Le Corbusier.
Texte fondateur de l'architecture et de l'urbanisme moderne. Enonce les moyens d'améliorer les
conditions d'existence dans la ville moderne.
- Habiter
- Travailler
- Se divertir
- Circuler.
Les architectes ont décidé de séparer ces quatre fonctions, ce qui donne le zonage. Alors que pour
les culturalistes, on peut circuler à pieds.
- Habitations hautes, collectives et densément peuplées, disposées dans des espaces verts et
éloignées les unes des autres intégrant les équipements avec accès facile aux lieux de travail.
- Candilis, Woods, Ecochard : « l'habitat du plus grand nombre ». Travaux présentés en 1953
(IXe CIAM).
HAFU 4
URBANISME PROGRESSIVE
Cest celui qui a marqué la forme des villes et la forme urbaine a l’échelle internationale.
Particulièrement les villes du 20 siècle. Ceux qui ont porté a ce mouvement, les pères spirituelle, le
Corbusier et Tony Garnier,
Le Corbusier est celui qui était derrière les SIAM, et Tony a été l’exécution des idées principales de
l’urbanisme moderne progressive dans la ville de Lyon, qui va être un exemple.
Fonctionne, ceste une contre réaction de la ville médiévale, la ville qui était devenu non hygiénique,
devait changer, avec l’apparition de nouveaux métiers,
Lhomme, vont être dans l’universalité et le rationnalise, ils sont orienter vers la technologie et le
progrès,
Ils sont venus avec la révolution industrielle, et le procédé de la l’acier et le béton armée
Les formes doivent être épurée, la géométrie, tout ce qui est décorée est épurée, la simplicité,
Les hygiéniste sont les précurseurs du mouvement, c’était des médecins, des personnes avec
fonction administrative au sein de la ville et qui ont dénoncé la sale dans la ville et ils ont assainis la
ville.
Les progressiste ce sont relier et organiser les fonctions, en donnant des propositions concrète et
spatiale des hygiéniste,
Les principes :
2. Besoin type il y a des besoins aussi type, c’est besoins sont scientifiquement déductible,
l’homme a besoin de s’habiter, abriter, besoin scientifique, le cote sociale et culturelle n’est pas pris
en compte, chaque homme peut vivre dans la même maison dans n’importe quelle pays a condition
de respecter l’ensoleillement… besoins de l’homme.
3. Le modèle, c’est une valeur exemplaire, qui est le modèle dans la vie, on peut pas appliquer
le modèle dans l’urbanisme, pour eux c’est une valeur exemplaire et faut l’appliquer, on reproduit la
même chose. Ex : les anciennes médinas sont identiques mais ne sont pas semblables
L’impact sur la forme spatiale, la forme doit être fonctionnel, donc elle a été 4 fonctions (habiter, se
divertir, travailler et circuler)
Cest pour cela qu’il s’appelle l’urbanisme fonctionnaliste, la charte d’Athènes c’est 4 fonctions, c’est
un point positif pas très valorisé
La ville médiévale est une ville sombre et impacte donc pour l’aérer on a crée des jardins,
Y a une séparation par thème, la ville a été divisée en fonction, pas comme les anciennes villes ou les
fonctions s’imbriquait
Au Maroc, tout a été travailler sur le zonage, DIAPO 7, c’est Taza, y a des zones monofonctionnelles,
chaque territoire a une fonction précise dans se mélanger avec les autres parties.
Zones villa, habitat économique, agricole, touristique, sont toutes dans des zones différentes, on est
pas dans la mixite, on est dans la spécialisation territoriale.
Le oued Bouregrer et le quartier Takadoum, c’est tout un quartier fait que pour l’industrialisation, ex
: el Irfan, y a pas d’activité pendant les vacances, donc on constate que c’est une zone dédiée au
travail.
L’habitat économique, on a un zonage, avec le quartier Doum qui est clandestin, mais faut chercher
la mixite au niveau de typologie de l’habitat, pas de diversité des formes
Le zonage est une conséquence de la charte d’Athènes, le fait de faire des zonage dans les zones,
c’est problématique, les progressistes, comme Prost ont travailler les centres coloniaux, qui ont voulu
intégrer la mixite, comme les centres a rabat, on peut avoir une activité avec l’habitat. Ce qui fait une
animation, alors que le mouvement progressiste la changer avec le zonage.
LES CITEES OUVRIERS, les ouvriers était des gens qui venait de la campagne, avec l’époque dès l’été
et les vacances, les ouvriers allait a la campagne pour cultiver et fêter. Pour cela ils ont pensé a créé
des logements
Y a des cités a Khouribga, les ouvriers travailler dans le phosphate, ils ont créer des logements pour
qu’ils soient sure qu’ils allait rester sur le terrain, le cadre supérieure vivait dans des villa dans un
quartier et les ouvriers dans un autre quartier
Faut trouver le lien avec la charte d’Athènes, c’est une ségrégation ou séparation des classes sociale,
ex : dans la médina tout le monde habitait ensemble malgré les différents métiers, alors que les
ouvriers non, qui construisait selon leur propre moyen a fur et a mesure, y a des agrandissement qui
se font avec le temps, mais avec le temps ça se dégradent. La richesse architecturale n’est plus
remise.
La voiture a complètement changer et chambouler la ville, on est allé dans l’éclatement, élargir les
voies pour pénétrer la voiture, l’éclatement de l’espace urbain, les gens avec des voitures pouvait se
permettre d’habiter et travailler dans des zones différentes. Tout cela aura un coup.
Ex : bcp de bidons villes déplacer de rabat a Ain aouda, les gens doivent ce déplacer pour travailler,
payer pour ce déplacer, c’est un coup sociale et économique, ils se trouvent dans vie familiale.
Maintenant y a des idées qui sont a la mode, la ville compacte, mixite sociale, urbaine, architecturale,
des formes…
DIAPO 14 Eclatement de la ville avec les villes agricoles, plus la voie s’étend
Rabat est une ville linéaire, qui s’entend sur la voie nationale 1 et la voie ferry, une extension linaire,
la voie devient un élément qui enclenche un urbanisme. On est dans les conséquence ou y a
plusieurs décennies ou ce sont passer ces changement, on a le littoral avec bouknael, y a pas une
diversité architecturale,
DIAPO 16 Lhomme avait besoins de s’aérer, l’intérieur de l’immeuble, c’est l’habitat individuelle, ils
ne savait pas vivre dans les immeubles, on est à Agadir
D17, on produit a l’identique, ce qu’il reste sont des petit bouts de petit bois, on est allé à l’excès.
Le principe de la coulée verte, c’est une ville de Chandigarh, appliquée par le Corbusier ou fallait
laisser des espaces verts pour séparer l’habitat, y a pas eu de succès malheureusement
Sur le plan formel, les urbanistes modernes, on est aller vers la ville ouverte, ils était contre la ville
médiévale, il y a les magasins, chevaux…. Egouts en pleins air, donc tout assainir, travailler les
fonctions, donc après on a construit la rue. On est passé de l’ilot a la barre ; l’ilot représente avant le
mouvement et la barre représente après l’urbanisme moderne progressive.
L’ilot était fermé, l’ilot haussmannien, ilot est l’ensemble de bâtiment entourée par la voirie. Dans le
haussmannien, les épaisseur des immeubles changent,
Dans l’ilot, D21, la diversité. Les commerces au RDC, les immeubles n’ont pas fait de paliers pareils, si
un médecin libérale s’installe, il ne va pas déranger l’habitat, la largeur des voies…
Le prospect est le lien entre la hauteur et la largeur , h : L, nous avons même une différenciations des
hauteurs, au niveau de la ville.
On est passé de l’ilot a la barre, avec les immeuble barre implanter librement, D23, il y a un ilot libre,
la terrasse, un café et un porche qui nous permet de voir la tour, il y a un ilot parce que il n y a pas de
cour.
LEXPRESSION ARCHITECTURALE
La simplicité n’est pas la laideur, c’est simple mais laid, comme Tadao Ando, la simplicité n’exprime
pas la laideur, mais l’architecture n’est pas juste ca
La cite de jeunes a Casa, D24, une esthétique austère, le plan voisin a été proposée par le Corbusier,
MORPHOLOGIE,
LA FORME SUIS LA FONCTION, une chambre doit avoir des lignes pures
Le fait d’avoir les écoles, commerces… le logement est au centre, tous les immeubles orientées sud,
faut adapter les orientations dépendamment du contexte
L’exemple ; TONY GARNIER, architecte français qui a réaliser le quartier a Lyon, selon les principes de
la chartes d’Athènes, de HBM habitat a bon marche qui vont devoir des HLM habitat a loyer
modérée, c’est la première interprétation de l’architecture moderniste.
On est tjrs dans le même principes mais avec plus de simplicité, mais après la 2 gm, pleins de gens
n’avait pas de logement, ils ont construit pleins d’immeubles barre, avec l’indépendance, on a fait
appel a la main d’œuvre, et la petite classe française a quitter, et les magrébins ce sont installer a
leur place, c’est devenu un foyer de délinquance, prostitution.. Dans les années 90 y a eu pleins
d’immeubles qui ont éclater, on parle de la mixite sociale,
D31, ils ont commencer a démolir les grands ensembles, ils ont impact la psychologie de l’individu qui
y vis. Coup économique, au Maroc savent l’exemple es grand ensembles en France, et pourtant ont
construit de l’habitat sociale alors qu’on a pas les moyens de démolir. Les français avait les moyens et
trouvait que c’était un danger dans la politique de la ville, c’est un département qui accompagne les
gens, c’est tout les actions bosser dans le même département.
Il a beaucoup marquer le paysage urbain, c’est la dérivée d’Ecochard économique, 45pourcent des
marocains habitent dans ce genre d’habitat. Y a toujours un manque en terme de logement, donc on
répond par le type de l’habitat sociale
Au début du 19 me siècle, la ville de Barcelone est constituée du Centre Historique limité, dans son
développement, par ses fortifications.
De nombreux projets d’extension ont été proposés et un lauréat, Antoni Rovira I Trias, a même été
désigné mais le gouvernement central imposera, en 1860, la proposition de Cerdà, Ingénieur,
appartenant au courant Hygiéniste, basée sur un plan Hippodamien avec une structure
quadrangulaire, régulière, répétitive et ouverte qui va permettre à la ville de renaitre. Cette
extension sera appelée « l’Eixample » et se fera sur prés de 1 100 hectares de terrains nus militaires.
Il s’agit d’un Damier de Blocs Carrés de 113,3 mètres de côté séparés de rues de 20, 30 et 60
mètres d’emprises; les angles de chaque bloc sont coupés par un chanfrein à 45 °pour permettre une
bonne visibilité.
La mise en œuvre de ce plan va durer prés d’un siècle et connaitra de nombreuses transformations
dues en partie à la spéculation et aux intérêts des propriétaires terriens.
Tout comme les autres grandes villes européennes, la situation sociale et sanitaire de Barcelone
s’était dégradée dés le XVIII me siècle, et devenait critique; la population est passée de 115 000 à 140
000 habitants de 1802 à 1822, puis à 187 000 en 1850 et ce, à l’intérieur de la même enceinte de 6
kilomètres de long soit sur une superficie de 200 hectares dont 40% étaient occupés par des
casernes, des hôpitaux, des couvents et des églises.
Les conditions sanitaires de cette population, en l’absence d’égouts, de réseau d’eau potable, de la
présence de fosses communes au pied des églises, étaient devenues sources de pollution et
provoquaient des épidémies: la peste, la fièvre jaune en 1821 (8 821 morts), le Choléra en 1834 (3
344 morts), en 1854 (6 419 morts) et en 1865 (3765 morts). En 1841 la mairie de Barcelone,
consciente de la nécessité d’étendre la ville au delà des murailles de la citadelle, lance un concours
pour promouvoir et développer la ville.
C’est un Médecin et Hygiéniste qui le gagna en proposant la démolition des murailles mais elle ne fut
détruite qu’en 1854, à l’exception de la muraille maritime constituée par le château de Montjuic et la
Ciutadella. La Mairie constitue dès 1853, avant même la démolition des murailles, une commission
de réflexion sur un Plan d’Extension constituée de représentants de l’Industrie, de la Presse et
d’Architectes mais le Gouvernement charge Cerda de préparer un nouveau plan topographique des
1855; de sensibilité hygiéniste, il réalisera une étude de la classe ouvrière qui fait une analyse
approfondie desconditions de vie intra-muros qui le convaincra que « Barcelone était inadaptée à la
nouvelle civilisation caractérisée par l’application de l’énergie de la vapeur à l’industrie,
l’amélioration de la mobilité et de la communicativité »
Cerdà cherchait, durant les études d’extension de Barcelone, « la cohérence pour prendre en
compte les nécessités contradictoires d’une agglomération complexe »; il ne fut pas convaincu par
les visions, qui pour lui étaient partielles, des Villes Utopiques, des Villes Culturelles, des Villes
Monumentales ou encore des Villes Rationalistes et se consacra à la recherche de la « Ville Intégrale
». Son Plan fit l’objet d’un ordre Royal pour couper court aux initiatives de la mairie.
La mise en œuvre réelle du plan Cerdà ne démarre qu’en 1870 quand des investisseurs privés
comprirent tout l’intérêt qu’ils pouvaient en tirer et lorsqu’à l’indépendance des colonies espagnoles,
les « Indianos », colons de retour à Barcelone après avoir été expulsés, investirent des sommes
importantes dans la construction.
La fièvre de la construction entraina la réduction des espaces réservés aux espaces verts et aux
équipements publics puis la densification des îlots, passant de 2 à 4 le nombre de pans du damier,
puis en épaisseur et en hauteur.
L’organisation prônée par Cerdà prévoit : – « Les Voies »: espaces publics de mobilité, de rencontre,
du passage des réseaux et des services (eau, égouts et gaz), de l’éclairage, du mobilier urbain et des
alignements d’arbres (100 000 platanes sont prévus).
– « Les Entrevoies »: îlots, maisons, espaces de vie, immeubles organisés en 2 ailes autour d’un patio
pour « la lumière, la ventilation et la joie de vivre »
– La structure de son plan permet une croissance illimitée avec l’absence d’un centre privilégié et
part d’une conception mathématique et géométrique. Sa sensibilité « Hygiéniste et sociale » lui ont
fait étudier les vents dominants pour « faciliter l’oxygénation et le nettoyage de l’atmosphère »; les
jardins intérieurs des îlots également.
– Il intègre et enterre pour éviter les coupures urbaines les voies de chemin de fer.
– Le plan prévoit une Avenue majeure, véritable axe directeur , des districts de 10 x 10 îlots avec, à
chacune de leurs intersections des places, de même que des avenues en diagonale reprennent
d’anciens tracés existants pour faciliter l’accès au centre à partir des villages alentours.