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Alger, le 10 sePtembre 2017

Troisième année de Pharmacie


EMDl
"/.L
CÙ\rwoL I LID{
Durée : t heure Pharmacie galinique üut
Cochez la ou les réponses iustes

principaur rôles «les excipients est 3 i' : '.


l-Parmi les
a- De Contribuer à l'inertie du principe actif vis-à-vis de I'organisme ; t:
b- De Contribuer à f inertie du principe actif vis-à-vis des articles deconditionnement; ii'.

Lu modulation de la libération du principe actif à partir de son support ; \:


( a"*f i';i{-'r )
û)
6 tu modulation de la distribution du principe actif à partir de son support ; i'r' ':

e- Les propositions « a » et « c >> sont fausses..- e'\æ 4 $eirtwu

2- Un excipient à effet notoire : :- '


a- Doit être pris en compte lors de la formulation des médicaments ; I
G Doit être pris en compte lors de la dispensation des ordonnanc.es ;V . r§
i
Améliore obfiglqifeàent la stabilité àes médicaments jusqu'à la date limite

@ Ooit être inerte vis-à-vis du principe actif ;V


;- Toutes les propositions sont fausses. F
3- Le verre :
a- Est un matériau de nature organique ;

b- Est a1téré par 1es produits organiques :

c- Est altéré par les produits minéraux au même degré ;


@ Est altéré par les produits minéraux aux degrés différents ;

e- Aucune réponse n'est juste.

4-Le verre :
a- Doit être toujours transparent.
b- Doit être toujours coloré.
o Est résistant aux variations de température lorsqu'il est borosilicaté.
@ Est beaucoirp plus résistant aux variations de température lorsqu'il est mince.
e- Aucune réponse n'est juste.

5- Le verre de type I :
a- Est un verre calcosodique ;
@ Est un verre borosilicaté ;
@ Est un verre neutre ;
a- Ue convient pas pour des préparations parentérales aqueuses alcalines ;
e- Aucune réponse n'est juste.
6-Le verre de type I :
,o Possède une résistance hydrolytique élevée.
@ Possède une résistance hydrolyique naturelle.
o Possède une résistance hydrolytique
Peut convenir pour des préparations
qui est due à sa composition chimique.
aqueuses acides et neutres pour usage
@
parentéral.
Aucune réponse n'est juste.
-

7-Le verre de type II :


a- Possède une résistance hydrolyique similaire à celle du verre de type I ;
b- Possède une résistance hydrolyique naturelle ;
(9 Possède une résistance hydrolytique élevée résultant d'un traitement par les
sulfates d'ammonium ;
N.
@ convient pas pour des préparations parentérales aqueuses alcalines ;
e- Aucune réponse n'est juste.
8-La résistance hydrolytique du verre :
a Est évaluée par mesure de l'acidité relarguée ;
b- Augmente proportionnellement avec 1'alcalinité relarguée ;
^ç- Augmente proportionnellement avec l'acidité relarguée ;
LO Peut être augmentée par traitement par les sulfates d'ammonium ;
e- Aucune réponse n'est juste.

9-Les rnatières plastiques :


a- Sont des macromolécules minérales.
G Sont généralement attaquées par les solvants organiques.
O Sont peu élastiques.
d- Ont toujours une plasticité suffisante.
e- Aucune réponse n'est juste.

10- L'élasticité :
a- Est le synonyme de « plasticité » ;
b- Est l'aptitude d'une masse solide aux déformations permanentes ;
'.O Est l'aptitude d'une matière solide aux déformations rél.ersibles ;
@ Peut être augmentée par vulcanisation ;
e- Aucune réponse n'est juste.
Le PVC :
a- Est obtenu par polycondensation du chlorure de vinyle ;
'@ Est souvent additionné de plastifîants ;
c- Est plus imperméable à la vapeur d'eau que le PVDC ;
d- Est le plus utilisé des matières plastiques ;
e- Aucune réponse n'est juste.

@ m, polyéthylènes :
a- Sont obtenus par polycondensation de l'éthylène.
, @ N. sont pas stérilisables
par la chaleur.
c- Sont beaucoup plus imperméables à la vapeur d'eau lorsque la densité est faible.
@ Peuvent être âdàitionn6s de pigments po,ri lrru., contre le vieillissement.
e- Aucune réponse n'est juste.

l3-L'aluminium:
a- Possède une faible résistance mécanique ;
@ Possède une haute résistance mécanique ;
g- Possède une haute résistance chimique ;
@ Peut être revêtu au moyen d'une résine (à base de polyéthylène et de rilsan) pour
augmenter sa résistance en surface ;
e- Aucune réponse n'est juste.
14- Selon la réglementation, le conditionnement secondaire doit porter:
q-
Les mêmes informations que le conditionnement primaire ;

/ G Le nom et I'adresse du fabricant dans le cas où le détenteur de la DE ne fabrique


pas son produit par lui-même (façonnage, importation) ;
c La liste des excipients à effet notoire ;
d- La composition qualitative et quantitative en principe (s) actif (s) et en excipients ;

e- Aucune réponse n'est juste.

15-La purifTcation par osmose inverse :


a- Ne permet que l'élimination des contaminants inorganiques ;
@ fern.t l'élimination des bactéries et des endotoxines ;
ç- Consiste à faire passer l'eau du milieu le moins concentré vers le plus concentré ;

@ g.t le procédé qui se rapproche le plus de la distillation ;


e- Toutes les réponses sont fausses.
La déminéralisation de l'eau peut être préparée par :

a- Uultrafiltration ;
@ Bi-permutation, ;
c- Adoucisseur;
@ Distillation;
@ Electrodéionisation.

17- Dans l'analyse granulométrique des poudres :


a- La méthode des tamis superposés est la méthode de référence pour les particules
dont la taille est inferieure à 50pm ;
@ La méthode des tamis superposés nécessite I'utilisation d'un matériel normalisé ;
c- le microscope est la ser.tle méthode d'ana11'se directe :
@ la distribution granulométrique d'une poudre peut être déduite de f interaction des
particules avec un faisceau lumineux incident ;

e- toutes les réponses sontjustes.

18- Le mélange des poudres: :i- -

Gtendversunemeil1eurehomogénéitélorsquelatailledesparticulesestvoisine'V
6 eu plus facile si le mélangeur est à moitié rempli.l,i '''r ".r - ' !

G pst facilement obtenu avec des particules sphériques. V '


;- Est toujours plus homogène lorsque le temps de mélange est long. i-
e- Toutes les réponses sont fausses"r---

19- Le HLB d'un surfactif :

a- représente 1'équilibre entre les groupements cationiques et anioniques ;

b- est une caractéristique de la phase huileuse ;


G conditionne le sens de l'émulsion ;
@ est déterminé expérimentalement ;
e- peut prendre une valeur de 1 à 80.
20-la floculation des émulsions
a- est une instabilité qui suit le phénomène de coalescence ;
b- est un phénomène irréversible ;
G est toujours régie par la loi de Smoluchowski ;
@ dépend des d'interactions particulaires ;
e- se caractérise par la perte de l'individualité des globules'
2l-Lors du séchage,la vitesse d'évaporation dépend :
I

a- De l'apport en calories, plus il est important, moins l'évaporation est rapide ;


b- De l'humidité relative de l'air ambiant, plus elle est importante, plus l'évaporation
est rapide ;
c- De la surface du solide à sécher, plus il est divisé, moins l'évaporation est rapide ;

@ Du renouvellement de I'air à la surface du solide, plus il est important, plus la


vitesse d'évaporation est importante ;

22-Le
c De la pression, plus elle est basse, plus 1'évaporation est rapide.
séchage avec les déshydratants :
a- Est utilisé pour la dessiccation des poudres et des granulés ;
b- S'effectue en général dans des récipients à haute pression ;
@ Peut être utilisé pourpréparer des extraits végétaux secs ;
d- Est utilisé pour obtenir des poudres sèches et légères qui se remettent facilement
en solution ;

a- Une sublimation en faisant passer l'eau de l'état liquide à l'état de glace ;§' "Sd"\
s*,
b- Une congélation du produit à dessécher à 0'C ; F ' .. :- i.: .* -

c- Une augmentation de la pression jusqu'à 1Omm de Hg pour procéder à la


sublimation; É- (
@ Urt" condensation des vapeurs produites sur rme surface refroidie ; V
e- Une condensation des vapeurs produites sur une surface chauffée.;
24-IJn médicament: !:

@ Co.r.sponâ à un principe actif, excipients et articles de conditionnement v


b- L'excipient peut être pharmacologiquement actif î
q- Les excipients diminuent ia biodisponibilité ç
@ eeut contenir un ou plusieurs principes actifs \r
e- Toutes les propositions sont fausses. Ë
25-La granulation :
a- Permet de diminuer la densité d'une poudre
b- Peut se faire par trois méthodes différentes : humide, sèche et compression
directe
c- Permet d'avoir plus d'air entre les particules
@ a."eHore l'écoulement d'une poudie
.-\, ê Permet de maintenir l'homogénéité d'un mélange
3ÿf" mise au point d'un médicament :
a- Passe par la formulation, puis la préformulation
Est délicate
E Aboutit à une demande d'AMM
@ Commence par la découverte du principe actif
@ Prtt. oëiæiryt par des essais cliniques
27 -D ans la fabrication des-côrnprimés :
a- La granulation sèche est aussi appelée extrusion ;
@ fugranulation permet de densifier les poudres ;
@ I-u granulation favorise l'écoulement des poudres ;
d- La granulation sèche peut se faire en lit d'air fluidisé ;
e- La granulation humide utilise uniquement I'eau comme solvant
28-L'extrusion est :
a- Une méthode de stérilisation par la chaleur
@ Une granulation par voie humide
Une technique de dessiccation
d- Une thérmogranulation
o Une méthode assosiant une agglomération et un modelage

29-Le calitrrage d'un grain


a- Consiste à faire passer un grain humide à travers une grille
@ Permet d'avoir des grains de dimensions bien déterminées
c- Se fait sur une grille de dimension supérieure à celle de la granulation
@ fermet de séparer les grains
e- Se fait dans un système clos

30-La différence entre une granulation humide classique et une extrusion sphéronisation
réside dans :
a- Les étapes d'obtention de la masse humide ;
b- L'humidité résiduelle de la poudre humide qui est inférieure à celle d'une
granulation humide ;
résiduelle de la poudre humide est supérieure à celle d'une
@ L'humidité
granulation humide ; --
d- L'extrusion sphéronisation ne nécessite pas une étape de séchage ;
@ I-es microsphères sont moins friables qu'un granulé.
31- La granulation en lit d'air fluidisé
a- Est spécifique à une granuiation par voie sèche
@ Se fait dans un système clos
G Evite toute contamination croisée
d. Est très longue
@ fermet d'obtenir un produit homogène.

32-Dans les solutions micellaires :


a- Laforme lamellaire des solutions micellaires est la plus couramment décrite.
b- Lataille des micelles augmente lorsque la température augmente.
@ tes solutions micellaires sont faciles à stérilisêr.
d- Les solutions micellaires sont thermodynamiquement instables.
@ I,"r solutions micellaires lamellaires sont plus visqueuses que les solutions
formées par des micelles sphériques.

33-Les cyclodextrines:
a- Ont une cavité centrale hydrophile;
b- Les o sont plus souvent les mieux adaptées à une majorité de principes actifs
c- Modifiées chimiquement présentent une toxicité orale non négligeable;
d- Sont obtenues à partir de ta dégradation enzymatique du glucose;
G Toutes les réponses sont fausses.

34-Ladestruction O"i'.[r*"g par la chaleur dépend d'un certain nombre de facteurs liés à ,(*ruu=@
@ L'espèce micrËbiënfe et la quantité dç gèrmes présents dans ]e milieu V
q La d.ursiç d;#;;î (i$i"ü'êËli;'^À"""t*Ï- o:l^'ËËt*u'"6*-l
@ La température du traitement.V
@ t-a naiire ou milieu V
e- La présence de bactériostatiques V
\ '*
35- Dans la stérilisation par la chaleur, on appelle valeur « stérilisatrice F >r :
'
a- Le temos oui assure une réduction de 1012 à 100 de spores de Clostridium botulinum,
par millilitre de
G t" t"n-rp, nécessaire pour réduire de 105 à 100 le nombre des spores
préparation, 1",/

c- Le temps nécessaire à I'atteinte de la température de stérilisation (montée en température),


d- Le temps correspondant au maintien du plateau de stérilisation,
e- Aucune proposition n'est juste.
36- En pharmacie, l'utilisation des rayonnements fl-V est réservée surtout pour :

a- La stérilisation des produits dans leur emballage final,


b- La stérilisation du matériel médicochirurgical, du textile opératoire et des compresses, "
'- "'

c- La stérilisation des préparations injectables présentées en ampoules ou en flacons transparents,'


G tu stérilisation de l'atmosphère, V
Ô t. maintien de la stérilité de I'eau. \
37- L'oxyde d'éthylène doit son effet bactéricide à :

a- L'oxydation des composants des parois cellulaires,


@ L'ult ylation des acides nucléiques des microorganismes,
(O t-u dénaturation des protéines de la paroi des microorganismes,
d- La destruction des composants cÿoplasmiques,
e- Aucune proposition n'est juste'
38-La vitesse de dissolution cl'un corps solide dans un solvant liquide dépend de :

@ I-u viscosité du solvant. \


6- La structure cristalline du soluté.
O La taille des particules du soluté. V
d- La polarité du soluté.
e- Le pH du milieu.
39- La fabrication de tisanes par infusion:
a- consiste à maintenir à ébullition la drogue pendant 15 à 30 min dans de I'eau potable.
b- consiste à maintenir à ébullition la drogue pendant 15 à 30 min dans de l'eau distillée.
@ consiste à verser sur la drogue de l'eau potable bouillante et laisser refroidir.
d- est aussi appelée lixiviation.
e- est un procédé de dissolution complète.

}-Lafiltration : k;\W*ie't) L{.y-(\


a- consiste à séparer les contaminants moléculaires d'un liquide. ,
@ consiste à séparer les contaminants particulailes d'un liquide. V
,^,r.,,Jor^,,,t ds fu c"s''* 1 J
peut être réarisée sur du tgüÏi'1tffi.ë".Ë':üë\-
est un phénomène mécaffi, qui consiste'en la iétention des particules de taille "/
A' @
t- superleure à celle des pores du filtre. §rr<c- t5t{t t6l)
I .- aboutit à son terme au filtrat, qui est le résidu retenu paùé milieu filtrant.

\ *cr;bt,ç 'Pr1.d ïhfffu1* = Q5.u>Q w


phu{siqu(
* phà"_*à* =
hA€afNnn" (utg_Füüi'J* QF,r< Q ïr(%.
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Le 13 Mai 2OL7

TROISIEME ANNEE DE PHARMACIE

EMD2 de PHARMACIE GALENIQUT

:e
(-

Cocher la ou les réponses iustes :

1. Les suspensions pharmaceutiques sont des systèmes : A-"f^*'q


a- Dispersés à l'état moléculaire. F (ÊcQoà)
.@ Dispersés à l'état particulaire; V
S@ Caractérisés par une énergie de surface élevée; V
,§@ nyrnt une tendance à se stabiliser (tle,rlqd.ypamiquement\par
(
une séparation naturelle de
la phase solide et la phase liquide; V ÇdAturuLu,'lt."f'üh I

e- Caractérisés généralement par une libération de PA plus lente que celle des comprimés. F

2. Dâns une suspension pharmaceutique, la sédimentation : Qtt"ç**'t"^ I


'-='
a- Correspond à un déplacement vertical des particules de la phase(externÿers le,bas.t (& ÿ't (s" i*ç

b- Est un phénomène qui ne dépend pas de la densité des deux pr'.à(t .., I ftk t- ]L!\ \ \-
@ rrt ...i,éré. lorsque la taille des particules de la phase dispersée est gr.À0". { .Enn" e*-.art*'
){@ Est ralentie par augmentation de la viscosité de la phase dispersante.V
e- Est accélérée par augmentation de la viscosité de la phase dispersante, F t L +)

3. La tension superficielle , E**F"^§


a- Tend à augmenter la surface totale du solide dispersé par agglomération des particules. t
ÿ(Q fend à ,j§gl'energie de surface pour stabiliser le système sur le plan thermodynamique.!
,ÿ"@ Peut êtràTduite par additlon V læ^. $-tr;-*^t=
des tensioactifs.
'\' )
d- Peut être augmentée par addition destensioactifs.È
e- Est un signe de bon mouillage lorsqu'elle est élevée. Ç-

4. Les suspensions pharmaceutiQqes Gil,uq.^'âætù


:

a- Dolvent avoir une viscosité très élevée de la phase dispersante \' (q6l r
àteôè
b- Doivent avoir une viscosité très élevée de la phase dispersée.
c- Ne peuvent pas se présenter sous forme sèche. '
@e)
X d- Sont plus sujettes à la croissance des cristaux lorsqu'elles sont diluées en particules solides. V Ccri*ga*
e- Présentent les mêmes propriétés quelque soit la voie d'administration. d/-
Xô ;;i ;po.rÀ .,,,irn:'':Tulî gâ:*::,I
t>t :iiiffiilllifffi:itttr:gÏ,,k&
P
::l
u- ull PrlErrvrrr
a(a4a^r, (1"i'-2"4\s)
Est obtenu lorsque le potentiel zeta est élevé' w
X.Ç. ra charge de ra particu
peut être évité par addition d'un électrolyte de même signe que
;-
e- Toutes les propositions sont fausses
:
"
§ffi#ffi
I**+".i*\ "él
atva)
6.un sédiment flocuté
a- Est un phénomène irréversible' ç"0Âd-§t\'aj'É
( +\

ffi :::::flïffi:; ;ffi:îi:n ru,.,nu simpre agitation v tAu* c*-' *h*tt),,Ér@ u,^e
)Ô Est le sédiment qu'on cherche à obtenir lorsqu'on applique la technique de fUnn.rl.ttt V Lôt.}fl*i* *
e- Est le sédiment qu,on cherche à obtenir lorsqu'on applique
la technique de sAMYN'
PÇtr4'^
" "*kr
g-e:4}"tfln
7. LesiroP, *
a- peut contenir des particules en suspension, Cfu,àrd"f"{&i
synthétiques'
ÿ. n- Peut être édulcoré avec des édulcorants
c- Doit contenir du saccharose,
>1 A- Peut être reconstitué au moment de I'emploi'
e- Doit être agité avant emPloi'

8. Les préparations liquides destinées à la voie orale


:

solides destinées à la voie orale'


..,' a- s,altèrent plus facilement que les formes
b-Peuventnécessiter,suiteàleuradministratlon,unedissolutionpréalableduprincipeactif
avant absorPtion Par I'organisme,
Xc- Englobentlespoudresàdissoudredansl'eauaumomentdel'emploi'
palatabilité,
,(a- Leur formulation doit tenir compte de la notion de
e- Toutes les réPonses sont fausses'

9. Parmi les principaux essais réalisés sur les


gélules :

I
a - Test de désagrégation
b - Essai de friabilité ;
X.- Test de dissolution
d-
Essai de dureté
e- Analyse granulométrique
1-0. Le remplissage direct du mélange de
poudre dans les gélules est conditionné par :
proches
granulométriques des mélanges (PA- excipients) les plus
Des caractéristiques
Ia-
Possibles ;
(PA- excipients) les plus différentes
b- Des caractéristiques granulométriques des mélanges
possibles;
.( c- Une forme de particules la plus sphérique possible
d- Une forme de particuie la plus allongée possible
e- De bonnes propriétés de comprimabilité
1 1. Le lactose représente le diluant le plus utilisé dans la fabrication des comprimés vaginaux car :

a- ll a une granulométrie fine ;


b- ll est transformé en acide hyaluronique par le bacille de DODERLEIN ;
X.- ll ne favorise pas l'extension des mycoses;
Xd- Contribue à rétablir le pH acide
e- Contribue à rétablir le pH alcalin.

12. Lors de la fabrication d'une pommade, souvent il faut faire fondre l'excipient :

ta- Pour améliorer la dissolution des PA.


b - Pour améliorer le mélange de deux excipients ayant des points de fusion élevés.
c - Pour améliorer le mélange de deux excipients ayant des points de fusion bas.

f,a - eour que le mélange soit plus facile.


e Toutes les propositions sont justes

13.1e passage d'un principe actif à travers !a peau :


a- Est toujours le but recherché lors de la formulation d'une pommade
b- Se fait principalement à travers les glandes annexes
Xc- Dépend de l'hydrophilie et de la lipophili.e du PA
f,a- est plus important chez un nouveau-né.
e- Toutes les propositions sont fausses.

D 14. Dans les préparations ophtalmiques:


a- Le volume instillé dans l'æil doit être au maximum de 50 pL
b - L'æil tolère généralement mieux les solutions hypotoniques que les solutions hypertoniques
c - La taille des particules peut excéder 90 pm
Xd - tes molécules amphiphiles et de petite taille possèdent une bonne pénétration cornéenne
e- Les préparations ophtalmiques sont exclusivement liquides et semi solides.

15. Les préparations injectables présentées sous forme nlultidesesi (ft,1^*"lnn"t"1


a- Ne doivent jamais contenir de conservateurs antimicrobiens. F
b- Doivent contenir des conservateurs antimicrobiens si la dose à injecter en une seule fois est
supérieure à 15 ml.t
c- Tout leur contenu est injecté .n ,,1}(ir. F(
[=)'.:-\U ctê\a Yo* t \
)@ Contiennent plusieurs doses de substance active pour pouvoir être utilisées en pl&_Uqfois. ÿ
)@ Doivent contenir en général un ou plusieurs conservateurs antimicrobiens à doses
( n"It',asc1
bactériostatiq ues. v

16. Les préparations pour perfusion r (! -


fi.r-.^Jftr'c-\§r.. ) .
.q
a- Sont des solutions aqueuses ou des émulsions à phase externe huileuse. F t tL +)
b- Ne sont pas concernées par la recherche des particules non visibles.
F ( :t\\
c- Sont obligatoirement hypotoniques au sang.
?r L i=Cte,a,.'1, ) '
)(@ sontstérilesetapyrogènes. V n r ,^\
e- sont implantées sous la peau en sous-cutané. F à* gu <-45 &o'''wS-JÈ
C )
»
c-\^*§p^"t/Éd* (1*t-r*§
i:'::::i1::::Xffi:::ï;,"ifi1î (,»kaiuÿ>^ tâà\*^*\sa *q"
b- Ne sont recherchées que dans le cas des solutions injectables de grands volumes. F Lqa-'"1.x-\
XÔ Ne sont pas retenues sur filtres à0,22 Um.V tkiUâ = É-ytm.l
d- Après conditionnement et stérilisation un lot reconnu pyrogène est généralement
récupérabte F
(a+ Ér ça^ Qr,\hc*t"r + c!,sJ»æ. a^tt-{-* 8ra1c\..-§ =» qa» d,Dq.{
ao4rçaNwqt r\
X@ Son, adsorbables sur le charbon actif.V

18. Pour les préparations parentérales , fu P.-^*fel-"*U]


a- La stérilisation des systèmes dispersés fait appel aux méthodes utilisant la chaleurF à

b- La filtration stérilisante est appliquée pour les préparations thermostables F(t<.3J*.-.Se*stW(5)


x@ La fabrication est réalisée dans des zones à atmosphère contrôlée. u (*fra )
re stérilité et l'absence des pyrogènes sont des propriétés générales.
La
'-','

':
e- La stérilisation est à réaliser systématiquement sur produit dans son conditionnement final.

19. Dans le cas des nébuliseurs pneumatiques :

a- La coordination main-poumon est requise.


b- 50 à 80% de la dose libérée est impactée dans l'oropharynx.
c- Ces dispositifs sont très différents des nébuliseurs à air
y'a- Ces dispositifs sont bruyants et nécessitent des temps d'administration relativement longs,
e- Les préparations sont dispensées au moyen d'inhalateurs pressurisés à valve doseuse.

20. Les aérosols doseurs (AD) :

a- Sont des « IPD » tête en haut.


b- Fonctionnent avec des valves pourvues de tubes plongeurs.
{ c- Nécessitent une coordination main/poumon.
D- Sont des nébuliseurs ultrasoniques.
Xf- Fonctionnent « tête en bas » avec des valves dépourvues de tubes plongeurs.

4
Questions

1- Pourquoicontrôle -on l'humidité résiduelle du grain, en cour de fabrication des

comprimés ?

2- Quel est le point critique dans la formulation d'un suppositoire ?


3- Donner les principales propriétés des comprimés vaginaux
4- Quelle est la particularité des thixotropes dans une suspension pharmaceutique ?

5- Qu'est ce qui différencie le sirop de la solution buvable?


FACULTE DE MEDECINE D'ALGER Alger, le 09 juillet 2017
DEPARTEMENT DE PHARMACIE

cBA^rô{
}Ë- !

Troisième année de pharmacie


EMD 3 de Pharmacie Galénique

Durée de l'épreuve : I heure

l-Ladistribution d'un médicament associé à un vecteur: ( (A'ke^'"t1


a- Dépend de la taille du principe actif, F
@ Oep"nddespropriétésàrr..t.rr, V C'rtsttrtisaÈÿ = ttr«itvisc ta\-fu- .{.L (§. et.§n,.kil*
; Dépend de là fixation du principe actif aux protéines plasmatiques, f Tq.o <r^-c$
d- Dépend des propriétés du principe 19tif,F âr' ùe'e «-u\
e- Touts les propositions sont fausses. f
Un liposome :
§acka*s\
::iTiii:;,.TiJffil*",
b- Est un vecteur moléculaire,F
r *r*.tr-r"ïrWi da-(çc= r*,"$«"
@ nst un vecteur vésiculaire, V ( c'=rqg 6)a PPL 1 aacgr"t{ut ?+\ \,114§S\" \ ht
d- Est composé de polymères hydrophiles, '
e- Toutes les propositions sont justes. t-

3-unvecteurfurtif.(\tec-\cul)
JnVeCteUf IUrUI: \.\Jté\--\wJ ) n rr |, \î
\i^(- dt\t"Rf)
l-$.-.,nnal
, ^-t ?ff==EJ-{kk
a- Présente une affinité pour les opsonines, Ç ^ (*"+ \\
ryi*ffi **î;3r#.Ë"J,r"i:â:'**l*Sr*«*qf
(*. i( qûr,
ffi.k#4&
dèM-Y)
d- È s+
Présente une affinité pour le foie et la rate, tI I "t»n -- 14aJ*-'1^4[;
1
e- Toutes les propositions sont faussesÇ-
4- Un vecteur de 1è" génération , §ccft""-'1 ,
@ ert u, ,..t.r. à tropisme hépatospléniq,i., V
-6: Est un vecteur furtif, qê *'3G.)
t+ \\O)
F C- , - ^\
c- Est un vecteur micro-particulaire, F '({rdcr'üar\e)
d- Est un vecteur moléculaire, §
e- Toutes les propositions sont fausses. F
S-Pour un vecteur, l'utilisation de ligands à fsgggngis§?xc§=lq.-o]gqLla.Lre concerne : Qa--§er^os\
a- Les vecteurs de 1t'" génération, p
?fjp" X@ 1",vecteursa":""g*.ru;i;;,V (qü 9. 4Ir.â üPYWS \
Q*t W ,1^ c- turtifs, Est,
Les liposomes L
\t''fc r-q d- Les microparticules pour chimio-embolisation, $
to"ts les propositions sont justes' f
qNft-r*--"'"i
7
Ynætfi'*u»" .rÀG^-.
R[ ]klû dr&r+ \ U=
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Ü4odh'ta!.rfut/!")t'6*'{fufivn 36- ; Qæanlre +QG +
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btildc.L"
>d,oae-
6- Les vecteurs de 2è*' génération : (t lgc-§ter*r.)
a- Sont des vecteurs rapidement reconnues par les macrophag"r, È(t)"
fb. Sont des vecteurs à résidences vasculairà prolongée,ÿ i*4nà 61" W, hru\ tÊ.r,.
uAd;Pr,
c- Sont des vecteurs à affinité pour le foie et larate, F
t+) 2o{<c*
d- Sont des vecteurs qui présentenr une
)!.rrface
lipophile,
t( *-:= g[."(* L-,"8)
k\qâ1qêlk
Toutes les propositions sont fausses.f
7-Leconcept de << magicbullet >> de Paul Ehrlich correspond , (fla*k-rX1
rc Aux vecteurs moléculaires, ÿ
b- Aux vecteurs particulai..r, i t fri.-*qo.5.--4o, + §.\o.^',agu,Sc..9or )
c- Aux vecteurs vésiculaires. F ( ùqt+srt.rt ) ,ô ** J*â , _s..*o:$ru--*,
3- âï;::[Tïffi:,'"il::il;:::f1 *=îï-4t ffi, kütiln(ë;"" u r\ar^vr,"'*ia

8- Par rapport aux médicaments issus de la synthèse chimique, les biomédicaments :


a- Ont une masse moléculaire généralement inférieure à 5000 daltons,
XU- Sont qualifiés de grosses molécules,
c- Sont administrables par voie orale,
d- Sont tous issus d'un procédé biotechnologique,
.{e- Ont des structures complexes et micro-hétérogènes.
9- Les biomédicaments :
a- Suivent des procédés de fabrication parfaitement reproductibles,
b- sont caractérisés par la simplicité de leurs méthodes de contrôle et de caractérisation,
c- Sont caractérisés par uoe structure plane,
d- Font majoritairement appel dans leur production à une étape d'hémi-synthèse,
Sont majoritairement issus des biotechnologies dites « rouges ».

Les systèmes d'expression engagés dans la fabrication des biomédicaments :


1"0-
a- Permettent la fabrication de très petites molécules inaccessibles par synthèse
chimique,
b- Permettent tous des modifications post-traductionnelles,
Xc- Permettent pour certains systèmes des glycosylations,
d- Font appel essentiellement à des bactéries pour leur capacité à fabriquer des
glycoprotéines,
)É- Font appel de plus en plus à des cellules de mammiferes pour leur capacité à fabriquer
des glycoprotéines recombinantes.

l1- Le principe de la vaccination repose sur :

v a- Le développement d'une protection passive,


Le développement d'une protection active,
^b-
c-
. - Une protection générale contre tous les agents pathogènes,
X.a- Une protection spécifique contre tous les agents pathogènes,
e- Les propositions « a >> et « d » sont fausses,
L2-- Les vaccins vivants atténués :
a- Sont uniquement d'origine bactérienne,
b- Sont uniquement d'origine virale,
c- Peuvent être 1'agent pathogène ou une sous unité de l'agent,
X a- L'atténuation se fait par passage successifs de germe sur un milieu donné,
e- Aucune proposition n'est juste.

l3-Dans les vaccins inactivés :


a- Une iniection suffit pour obtenir une immunisation durable,
XU- Plusieurs injections sont nécessaires pour obtenir une immunisation durable,
c- Ne sont pas dépounus de risque infectieux,
X A- Sont dépourvus de tout risque infectieux,
e- L'inactivation est réalisée par passages successifs de germes sur un milieu donné.
1.4- Les vaccins sous unitaires purifïés :
a- Sont des vaccins synthétiques constitués d'agents infectieux complets,
XU- Sont des vaccins synthétiques constitués de molécules de surface,
. .c- Sont des vaccins synthétiques constitués de produits de sécrétion de l'agent infectieux,
XO- Sont constitués de protéinès et de polyosides,
e- Toutes les propositions sont fausses.

15- Les adjuvants de la vaccination :


a- Potentialisent la réaction immunitaire induite par les vaccins vivants,
KU- Potentialisent la réaction immunitaire induite par les vaccins inactivés,
{c- Activent les cellules immunitaires présentatrices d'antigènes,
d- Désactivent les cellules immunitaires présentatrices d'antigènes,
e- Leur production repose sur la synthèse in vitro des fractions antigéniques insérées,
dans le génome d'une cellule animale.

l6-La sérothérapie confère au patient :


a- Une immunité passive grâce à l'administration d'antigènes d'origine animale ou
humaine,
)Lu- Une immunité passive grâce à l'administration d'immunoglobulines d'origine animale
ou humaine,
c- Une immunité active,
Xa- Une protection immédiate,
Une protection prolongée.

17-La préparation des immunosérums antitoxiques repose sur:


a- L'immunisation des chevaux par la toxine suivie d'une hyperimmunisation par la
substance adjuvante,
b- L'immunisation des chevaux par 1'anatoxine suivie d'une hyperimmunisation par la
toxine additionnée de substance adjuvante,
c- L'hyperimmunisation des chevaux par l'anatoxine additionnée d'adjuvants suivie
d'une immunisation par la toxine elle-même,
ÿ.0- L'immunisation des chevaux par l'anatoxine additionnée d'adjuvants suivie d'une
hyperimmunisation par la toxine elle-même,
e- L'immunisation des chevaux par la substance adjuvante suivie d'une
hyperimmunisation par la toxine elle-même.

3
18 La préparation des immuno sérums anti viraux se fait par :
-
X" L'ifnmunisation des chevaux par injection de suspensions avirulentes de virus,
b- L'hyperimmunisation des chevaux par injection de suspensions avirulentes de virus,
f,c- L'hyperimmunisation des chevaux par injection de suspensions virulentes de virus,
d- L'immunisation des chevaux par injection de suspensions virulentes de virus,
e- Toutes les propositions sont fausses.

19- La recherche de micro organismes producteurs d'antibiotiques repose sur :


X a- L'opération de screening,
Xb- La capacité qu'ont certaines cultures à inhiber le développement de bactéries test,
X.-La recherche d'un halo autour de la colonie de bactéries test,
d- La recherche de conditions optimales de production d'antibiotiques,
e- Toutes les propositions sont justes.
20- La production des antibiotiques par les souches peut être améliorée par :
a- Opération de screening microbien,
vb- Conservation sous vide des ampoules de spores lyophilisées,
lc- Traitement par les rayons UV ou gaûlma,
Xa- Recombinaison genetique entre plusieurs individus,
e- Conservation des spores sur milieu solide adéquat.
2l-La production industrielle d'antibiotiques par le procédé en immersion est basée
sur :
a- La formation d'un coussinet à la surface d'un milieu de culture liquide ou solidç,
b- Le développement de micro organismes en profondeur dans un milieu de culture
solide.
X"- Le développement de micro organismes en profondeur dans un milieu de culture
liquide,
Une agitation pefinanente en milieu exempt d'air,
-d-
"
Xe- Une agitation peûnanente en présence d'air.

22- L'homéopathie :
.}(a- Tient compte des symptômes spécifiques
de chaque malade,
{U- Ne tient pas compte dès symptômes ciassiques dôs maladies,
..c- Ne tient pas compte des particularités des malades,
À a- Distingue des types humains,
{ e- Tient compte de la diathèse héréditaire ou acquise.
l"u prescription du médicament homéopathique repose sur
11,- :

&a- La diathèse,
XU- Le tempérament,
" c-
,{O-
Le poids,
La constitution,
d.- L'hérédité.

4
?!-L" principe de la similitude peut s'interpréter de la façon suivante :
Âa- Ce qui donne le mal, guérit aussi le mal,
b- Chaque traitement est personnalisé à chaque patient,
c- De la constitution découle un comportement et donc un traitement,
d- La diathèse conditionne le traitement,
ff e- Les manifestations provoquées par une substance pharmacologiquement active sont
caractéristiques de cette substance.

QS)On thérapeutique homéopathique, l'effet des substances dépend :


De la dose administrée,
^-,u-
Âa- De la dilution,
c- De la sensibilité du patient au traitement,
. d- Des symptômes,
X"- De la constitution.
26-Le mode d'administration des formes homéopathiques est le plus souvent:
a- Parentéral,
. . b- Topique,
X.- Perlingual,
d- Rectal,
e- Nasal.

27-U n médicament devient instable:


)(o) Lorsqu'il ya un changement de 1'une de ses propriétés physiques, chimiques,
microbiologiques et biopharmaceutiques, 1,
)q- Lorsqu'il ya un changement de toutes ses propriétés physiques, chimiques,
microbiologiques et biopharmaceùtiques, i .
,

Y@ Lorsqu'il ya une perte en principe actif supérieure à 05%,ç


*\P a --

d- Lorsqu'il ya une perte en principe actïf inférieure à 05%, ,


e- Aucune réponse n'est juste. ;

28-La date de péremption : i. , '


Est la date jusqu'à laquelle le médicamenr ne peut plus être utilisé,
?-
.b- Est la date jusqu'à laquelle le médicament peut être utilisé,
,

'ri
.i- Est la date au-delà de laquelle le médicament ne peut être utilisé, v' dr au
!**'",
d- Est le synonyme de la durée d'entreposage,
e- Toutes les propositions sont justes. -

29-La loi d'ARRHE.T-I U S :


{9 Permet de prédire la durée de validité d'un médicament, \g
b- Est exigéeàans un dossier d'enregistrement (par la régleÀentation), F C C:ft_t-
. - n-
Lu{ s"rr-
À i I$rd$
.i c- Est réalisée
lors clu développement, : 6rkwc âat» l?.dab)Àdr
,d- Est basée sur la détermination
déterminaiiàn de K25.
W,V
Toutes les propositions sont fausses ça>
de-b-.ePtu(* e
ç u"0i&€. -)
30-Parmi les articles suivants, lequel ou lesquels ne sont pas des dispositifs médicaux?
a- Lentilles de contact,
b- Thermomètre,
. a- Chaise roulante,
Xa- Réactifs biologiques,
e- Préservatif.
3l-Lequel de ces articles n'est pas un pansement primaire:
a- Coton hydrophile,
. -b- Gaze hydrophile,
X"- Coton.uroi.
d- Gaze apprëtée,
e- Compresse.

3?-!"catgut est un fTls chirurgical :


&- D'origine naturelle,
b- D'origine synthétique,
c- Non résorbable.
Ed- Peut être à I'oriline d'irritations tissulaires,
X"- Concemé par le risque TSE.

33'lss dispositifs intra-ruminaux sont :


a' Des préparations solides ou semi-solides, contenant une ou plusieurs substances
actives, conçues pour être retenues dans le rulnen,
b- Des préparations à libération prolongée grâce à une remise en mastication permanente
du bolus après son ingestion, principale propriété des ruminants,
f,c- Des préparations à libération et à rétention prolongées dans le rumen grâce à leur
poids, taille et densité,
d- Des préparations administrées à l'aide d'un lance-bol en vue d'une action locale au
niveau du rumen,
e- Aucune proposition n'est juste.
34-«Pour on >» est un qualificatif qui caractérise I'administration d'un médicament
vétérinaire :
|,u- Sur une ligne dorso -lombaire allaût de la base du çou à la base de la queue
de
l'animal,
* b-
^r
Sur une zone cutanée limitée de l,animal,
X.- Par déversement le long de l,épine dorsale de l,animal,
d- Par immersion totale de l,animal,
e- Aucune proposition n,est juste.

35-Les préparations vétérinaires intra-mammaires sont des préparations:


a- Qui sont destinées au trempage des trayons des animaux poù la prévention ou le
traitement d'une infection,
être administrées aux animaux de production en période de lactation,
11!- R"i doivent
,r\c- Qui 1".o."vent
être obligatoirement stériles,
X d- Qui peuvent être résorbables,
e- Aucune proposition n,est juste.
36- Lors de I'administration d'un médicament vétérinaire à un animal de production, le
temps de retrait ou temps d'attente représente :
a- Le délai entre l'ingestion de la forme médicamenteuse et l'apparition des premiers
sicnes de l'effet thérapeutique,
b'- r-. àiui*i;;;;;i#iâàinistration d'un médicament et le prélèvement de tissus
ou produits comestibles sur un animal traité,
c- Le délai minimal à respecter avant une deuxième prise du médicament,
d- Le délai minimal à respecter avant I'entrée de l'animal dans la chaine alimentaire.
e- Aucune proposition n'est juste.

37- En cosmétologie:
a- Le gommage pour la peau est une émulsion,
b- [,e vemis à ongles est une émulsion,
c- La lotion démaquillante est une solution,
d- Les émulsions fluides sont souvent réservées aux laits démaquillants,
e- Les émulsions E/H sont privilégiées.
38 - Lequel de ces produits répond à la définition européenne des produits cosmétiques :
a- Le bain moussant,
b- Les crèmes dépilatoires,
c- Le dentifrice,
d- Les teintures capillaires et décolorantes.
e- Les eaux de toilette.

39- La formulation des sRGp est envisagée rorsque le principe


actif : ,. ,,

a- A une action locale dans l,estomac, !


b- Est dégradé en milieu intestinal, 5i
c- Est dégradé en milieu acide, F
d- A une absorption réduite à une fènêtre généralement située au niveau du duodénum
ou du jéjunum. ',
e- A une faible solubilité en milieu neutre et alcalin. V

40 - Les lyophilisats oraux : l. , . ,,

a- Sont des lormes à libération différée, -

b- Sont de fàbrication très répandue.


{c- Sont obtenus par cryodessiccation,
,.

!
'.d-
e-
Sont également appelés « les lyocs »,
Sont des formes à libération u..éléré.. i'W§I.* )

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