Circulation Ancien TD

Université des Sciences de Techniques et de Technologie de Bamako
Faculté de Médecine et d’Odontostomatologie
CIRCULATION A
1. Complément correct
Lorsque le cœur s’accélère :
A. la systole et la diastole se raccourcissent, le rapport de leurs durées restant inchangé
B. la systole et la diastole se raccourcissent mais la systole relativement plus que la diastole
C. la systole et la diastole se raccourcissent mais la diastole relativement plus que la systole
D. seule la durée de la systole diminue
E. seule la durée de la diastole diminue
Le deuxième bruit du cœur est contemporain :
A. de la fermeture des valvules auriculoventriculaires
B. de l’ouverture des valvules auriculoventriculaires
C. de l’ouverture des valvules sigmoïdes
D. de la fermeture des valvules sigmoïdes
E. de la phase d’éjection ventriculaire
Dans quel ordre se succèdent les phénomènes suivants au cours de la révolution cardiaque, en prenant
comme origine le début de la systole ventriculaire :
1. contraction de l’oreillette
2. minimum de la pression ventriculaire
3. minimum de la pression aortique
4. onde P de l’électrocardiogramme
5. maximum de la pression ventriculaire
A. 4 – 3 – 5 – 2 – 1
B. 3 – 5 - 2 – 4 -1
C. 5 – 2 -3 – 1 – 4
D. 1 – 3 – 5- 2 - 4
E. 4 – 3 – 1 -5 -2
4. Complément incorrect
En allant de la proportion A à la proportion E, les phénomènes se succèdent dans un ordre
chronologique au cours de la diastole, sauf un lequel ? :
A. minimum de la pression ventriculaire,
B. contraction de l’oreillette
C. minimum de la pression aortique
D. complexe QRS de l’électrocardiogramme
E. onde P de l’électrocardiogramme
Pendant la phase de contraction isovolumétrique (ou isométrique) de la systole ventriculaire gauche :
A. les valvules mitrales sont fermées
B. les valvules sigmoïdes sont ouvertes
C. la pression intraventriculaire ne varie pas
D. la pression aortique augmente
E. le ventricule se remplit de sang
5. Cause à effet
Pendant la phase de contraction isométriques (ou isovolumétrique) du ventricule gauche, l’orifice
mitral est fermé
Parce que
Bamodi SIMAGA MD Ph-D, Physiologie, Enseignant chercheur, Maitre-assistant, FMOS / USTTB

2
la pression du sang dans le ventricule gauche est encore inférieure à la pression du sang dans l’aorte.
Le foyer d’auscultation privilégié de l’orifice mitral se situe :
A. sur le bord droit du sternum à hauteur des 2ème et 3ème intercostaux
B. au niveau de l’appendice xyphoïde
C. sur le bord gauche du sternum à hauteur du 4ème espace intercostal
D. dans le 5ème espace intercostal gauche, sous le mamelon
E. sur la ligne axillaire gauche à hauteur du 5ème espace intercostal
7. Cause à effet
Connaître la différence artério-veineuse en oxygène est nécessaire pour mesurer le débit cardiaque par
l’application du principe de Fick
Parce que
il suffit alors de mesurer la consommation d’oxygène par minute.
8. Cause à effet
Le cathétérisme du cœur droit est plus facile à réaliser que celui du cœur gauche
Parce que
les cavités cardiaques droites ne possèdent pas de valvules.
9. Compléments corrects
Pour mesurer le débit cardiaque par l’application directe du principe de FICK, on fait un prélèvement
de sang dans l’artère pulmonaire :
1. c’est le sang qui contient le moins d’O2
2. le sang de l’artère pulmonaire est plus facile à prélever
3. c’est le sang qui entre dans le poumon
4. c’est un mélange de sang artériel et veineux
5. elle est proche du ventricule gauche
10. Cause à effet

Le débit systolique du ventricule gauche est nettement supérieur à celui du ventricule droit
Parce que
le myocarde ventriculaire gauche est plus puissant que le droit.
11. Cause à effet

Le premier bruit du cœur survient au début de la systole ventriculaire
Parce que
C’est le passage du sang lui-même dans l’orifice mitral qui est responsable du premier bruit.

Quel est le complément inexact à la question suivante : le premier bruit du cœur se place :
A. après la contraction des oreillettes
B. dès le début de la contraction isométrique du ventricule
C. après la fermeture de la valvule mitrale
D. après l’ouverture des valvules sigmoïdes
E. avant la phase d’évacuation rapide du ventricule
13. Association
Au moment du deuxième bruit, préciser :
1. La valeur relative : M : maximale m : minimale I : intermédiaire
de la pression artérielle
du volume ventriculaire

3
2. la position O : ouvertes, F : fermées

des valves auriculo - ventriculaires
des valves aortique et pulmonaire
3. la situation électrocardiographique
A. entre les ondes P et Q
B. au niveau de Q
C. entre Q et T
D. entre T et P
E. au niveau de P

La production de CO2 d’un sujet est de 240 ml/mn. Le sang veineux mêlé contient 55 cm3 de CO2 /
100 ml et le sang artériel 51 cm3 / 100 ml. Le débit cardiaque est donc de :
A. 2,500 L/m
B. 3,800 L/m
C. 4,000 L/m
D. 5,000 L/m
E. 6,000 L/m

On perfuse à débit constant chez un chien une substance éliminée sélectivement et uniquement par la
sécrétion biliaire. Quand la concentration de la substance est stationnaire dans le sang de l’artère
fémorale et de la veine sus hépatique, on note les données suivantes :
- Quantité de substance injectée par minute 2 mg
- Concentration dans le sang total de l’artère fémorale : 1,4 mg/l
- Concentration dans le sang total de la veine sus hépatique : 0,4 mg/l
Calculer le débit sanguin hépatique
A. 150 ml/m
B. 200 ml/m
C. 500 ml/l
D. 1 500 ml/m
E. 2 000 ml/m

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CIRCULATION B
1. Compléments groupés
Si au cours d’une auscultation on entend une modification du bruit cardiaque qui sépare le grand
silence du petit silence, cette modification peut indiquer une anomalie au niveau :
A. de la valvule mitrale
B. de la valvule sigmoïde aortique
C. de la valvule tricuspide
D. de la valvule sigmoïde pulmonaire
2. Cause à effet
La disparition des ondes P sur l’ECG a de graves conséquences sur le fonctionnement de la pompe
cardiaque
Parce que
la systole auriculaire est le temps essentiel du remplissage ventriculaire.
La 1ère composante audible du 1er bruit est contemporaine
A. de la phase isométrique de la diastole ventriculaire
B. de la systole auriculaire
C. de la phase d’éjection ventriculaire
D. du remplissage ventriculaire
E. de la phase isométrique de la systole ventriculaire
La valvule aortique s’ouvre au moment précis où :
A. la valvule mitrale se ferme
B. la pression intraventriculaire devient supérieure à la pression aortique
C. le premier bruit commence
D. la contraction isométrique du ventricule commence
E. le deuxième bruit commence
Le début de la phase d’évacuation rapide du ventricule peut être localisé :
A. sur la courbe de pression aortique, au moment où la pression est maximale
B. sur la courbe de pression auriculaire, au moment où la pression dans l’oreillette devient inférieure
à la pression ventriculaire
C. sur la courbe de pression ventriculaire, au moment où la pression devient supérieure à celle de
l’aorte
D. sur le phonocardiogramme au moment où le premier bruit commence
E. sur l’électrocardiogramme au moment où se produit le complexe QRS
6. Cause à effet
Le premier bruit du cœur est dû au claquement des valvules sigmoïdes
Parce que
ces valvules se ferment brutalement lorsque la pression intraventriculaire devient inférieure à la
pression intra-artérielle.

5
Le rapport
VO2

donne
CaO2 – CvO2
A. la valeur du débit ventriculaire droit

B. la valeur du débit ventriculaire gauche
C. la valeur du débit cardiaque
D. la valeur du débit capillaire pulmonaire
E. le volume d’éjection systolique
Soit un sujet dont la consommation d’oxygène a doublé sans qu’ai varié la différence artério-veineuse
de l’oxygène. Dans le même temps la fréquence cardiaque a doublé. On peut déduire que :
A. le débit cardiaque est inchangé
B. le débit cardiaque a diminué de moitié
C. le débit cardiaque a été multiplié par 4
D. le volume d’éjection systolique a doublé
E. le volume d’éjection systolique est inchangé
9. Cause à effet
Le principe de FICK appliqué à la mesure du débit sanguin, pulmonaire permet de chiffrer le débit
cardiaque
Parce que
le débit du sang dans le territoire pulmonaire est le même que le débit du sang dans la grande
circulation.

Le volume de sang qui traverse les poumons pendant une minute est exactement le même que celui
qui passe dans le même temps par :
A. le cerveau
B. les reins
C. la veine cave supérieure
D. le sinus carotidien
E. l’orifice mitral

1. le débit cardiaque normal d’un adulte au repos est de 5 à 6 L/mn
2. au cours d’un exercice musculaire le débit cardiaque peut être multiplié par 4
3. l’index cardiaque normal d’un adulte au repos est de l’ordre de 30 L/ mn / m²
4. le débit systolique d’un adulte au repos est de 80 ml environ
12. Question ouverte

La perfusion intra veineuse de 5 mg/mn de para-aminohippurate de sodium permet d’obtenir une
concentration artérielle de para-aminohippurate stable de 7,5 mg/litre. Cette substance est éliminée
sélectivement par le rein. Dans les conditions ci-dessus, le sang veineux rénal en contient 2,5 mg/litre.
Calculer le débit sanguin rénal (l’hématocrite est de 45 %).

6

Au moment de l’onde P de l’électrocardiogramme :
Les valves mitrales sont
A. ouvertes
B. fermées
Les valves aortiques sont
C. ouvertes
D. fermées
Le ventricule gauche est
E. en systole
F. en diastole
L’auscultation révèle
G. premier bruit
H. second bruit
I. petit silence
J. grand silence
14. Cause à effet

Au début de la systole ventriculaire, la valvule mitrale s’ouvre
Parce que
la pression intra-ventriculaire devient supérieure à la pression intra-auriculaire.

Dans quel ordre se succèdent les phénomènes suivants, au cours de la révolution cardiaque, en prenant
comme origine le début de l’éjection ventriculaire
1. contraction auriculaire
2. minimum de la pression ventriculaire
3. minimum de la pression aortique
4. onde P de l’électrocardiogramme
5. maximum de la pression ventriculaire
A. 4 – 3 – 5 – 2 - 1
B. 3 – 5 – 2 – 4 – 1
C. 5 – 2 - 3 -1 – 4
D. 1 – 3 – 5 -2 – 4
E. 5 – 2 – 4 - 1 -3

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CIRCULATION C
Sur le schéma ci-dessous le nœud de TAWARA occupe la région désignée par la lettre :
2. Cause à effet
Le rythme nodal est caractérisé par la simultanéité des contractions auriculaires et ventriculaires
Parce que
la vitesse de conduction auriculo-ventriculaire y est très accélérée.
3. Cause à effet
La contraction des fibres des ventricules cardiaques ne commence pas exactement au même moment
dans toutes les fibres
Parce que
la vitesse de conduction de l’excitation dans le syncitium cardiaque est plus forte que dans le tissu
nodal
Quelle est la grandeur qui varie en sens inverse des autres pendant la stimulation du nerf
pneumogastrique :
A. fréquence du cœur
B. tension des fibres pendant la diastole
C. intervalle de temps P – Q
D. force contractile du cœur
E. vitesse de conduction dans les fibres de Purkinje
5. Cause à effet
Dans le fonctionnement du cœur normal les diastoles succèdent régulièrement aux systoles
Parce que
l’activité du sympathique et du parasympathique sur le cœur sont antagonistes.
Parmi les énoncés suivants lequel est inexact
A. l’excitation du nerf pneumogastrique diminue la fréquence du cœur
B. l’excitation des nerfs sympathiques cardiaques augmente la force contractile du cœur
C. l’excitation des nerfs sympathiques cardiaques diminue le temps de conduction auriculo-
ventriculaire
D. l’excitation des nerfs pneumogastriques diminue la force contractile du cœur
E. la section des nerfs cardiaques arrête les battements du cœur

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La stimulation du bout périphérique d’un pneumogastrique sectionné entraîne un ralentissement
cardiaque, la section d’un pneumogastrique est sans effet sur la fréquence cardiaque, la section des
deux pneumogastriques est suivie d’une accélération cardiaque permanente. De ces expériences on
peut conclure que :
A. les nerfs pneumogastriques sont cardio-inhibiteurs et mis en jeu par les zones barosensibles
B. les nerfs pneumogastriques sont antagonistes des nerfs sympathiques
C. les nerfs pneumogastriques sont cardio-inhibiteurs et leur action est tonique
D. les nerfs pneumogastriques sont cardio-accélérateurs et leur action est permanente
E. les nerfs pneumogastriques sont indispensables aux adaptations cardiaques
8. Complément groupé
La pression qu’exerce un fluide contenu dans un système de canalisations et dont l’écoulement est
laminaire, dépend :
1. de la longueur des canalisations
2. de la viscosité du fluide
3. du débit du fluide
4. du calibre des canalisations
Si deux sujets ont la même pression artérielle moyenne, on peut dire (en admettant la validité de la loi
de Poiseuille appliquée à l’appareil circulatoire) que l’on trouvera chez eux la même valeur pour :
A. le rapport de la consommation d’oxygène par la différence artério-veineuse pulmonaire pour
l’oxygène
B. le produit du volume d’éjection du ventricule gauche par la fréquence cardiaque
C. le produit de la résistance périphérique par le débit cardiaque
D. le rayon du vaisseau unique équivalent du système vasculaire
E. la surface corporelle (étant entendu qu’ils sont dans les mêmes conditions physiologiques)

Quelle sera la valeur de la pression exprimée en mm de Hg qui assurera un débit de 600 cm3/mn dans
un organe dont la résistance à l’écoulement est de 0,2 :
A. 300 mm Hg
B. 120 mm Hg
C. 60 mm Hg
D. 30 mm Hg
E. aucune des réponses précédentes

Chez un sujet, on mesure le débit cardiaque et la PA moyenne au repos et au cours d’un exercice. On
trouve :
- au repos : débit cardiaque 5 Litres/mn, PA : 80 mm Hg
- au travail : débit cardiaque 15 Litres/mn, PA : 120 mm Hg
De ces données on peut conclure qu’au cours de l’exercice
A. le débit musculaire est 3 fois plus grand qu’au repos
B. ces conditions sont incompatibles avec les conditions physiologiques
C. le débit ventriculaire est supérieur au débit capillaire
D. la résistance périphérique globale a augmenté
E. l’adaptation vasomotrice a eu pour résultat global une vaso dilatation

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L’action permanente qu’exercent les X sur le cœur a pour origine
A. les influx nerveux provenant des chémorécepteurs
B. les influx nerveux provenant de l’oreillette droite
C. l’automatisme du centre bulbaire cardio-inhibiteur
D. les influx nerveux provenant des barorécepteurs
13. Cause à effet

La puissance de la contraction cardiaque est renforcée par le système cardio-accélérateur
Parce que
l’adrénaline est l’aliment préférentiel du myocarde.
14. Cause à effet

Après stimulation prolongée des X, le cœur échappe
Parce que
la sécrétion d’acétylcholine par les fibres nerveuses ralentit le cœur.
Cet ECG correspond à un cœur dont l’excitation part probablement

A. du nœud sinusal
B. du nœud de Tawara
C. du faisceau de His
D. du réseau de Purkinje
E. d’une autre région du tissu nodal

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CIRCULATION D
L’origine des battements cardiaques se situe normalement au niveau :
A. du nœud sinusal
B. du nœud septal
C. des terminaisons sympathiques cardiaques
D. des terminaisons vagales cardiaques
E. du faisceau de His
Le tracé électrocardiographique suivant caractérise
A. un rythme sinusal
B. un rythme nodal
C. un rythme idio ventriculaire
D. une fibrillation auriculaire
E. une arythmie
3. Cause à effet
L’excitation passe de l’étage auriculaire à l’étage ventriculaire
Parce que
les fibres musculaires de l’oreillette sont en continuité avec les fibres musculaires du ventricule.
Les filets cardiaques du nerf pneumogastriques sont des fibres :
A. exclusivement sensitives
B. dont l’excitation provoque la contraction du cœur
C. dont l’excitation diminue la fréquence cardiaque
D. responsable de l’automatisme cardiaque
E. dont l’excitation augmente la fréquence cardiaque
L’excitation du ganglion stellaire provoque :
1. une accélération cardiaque
2. une augmentation de la puissance de contraction du myocarde
3. une augmentation du débit cardiaque
4. un allongement de la durée de la diastole
6. Cause à effet
On peut dire que les fibres cardio-inhibitrices sont cholinergiques
Parce que
le traitement préalable par l’atrophie supprime ‘les effets cardiaques’ de la stimulation de ces fibres.
7. Cause à effet
La section au cou des deux nerfs pneumogastriques chez l’animal s’accompagne d’une augmentation
persistante de la fréquence cardiaque
Parce que
le pneumogastrique exerce de façon permanente une action freinatrice sur l’activité du nœud sinusal.

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L’action tonique des nefs pneumogastriques sur le cœur a son origine :
A. dans les influx nerveux provenant de l’oreillette droite
B. dans les influx nerveux provenant des barorécepteurs
C. dans les influx nerveux provenant des chémorécepteurs
D. dans l’automatisme du noyau pneumogastrique
E. dans l’action directe exercée sur le centre cadiomodérateur par la composition chimique du sang
La stimulation d’un ganglion stellaire entraîne une accélération cardiaque, l’extirpation des deux
ganglions stellaires ne modifie pas sensiblement la fréquence cardiaque.
De ces deux expériences, on peut conclure :
A. les fibres cardio-accélératrices passent par les stellaires et sont adrénergiques
B. les fibres cardio-accélératrices sont antagonistes des nerfs pneumogastriques
C. il n’existe pas de tonus cardio-accélérateur permanent
D. les fibres cardio – accélératrices sont mises en jeu par les influences barosensibles
E. les nerfs cardio – accélérateurs sont indispensables aux adaptations cardiaques

La vitesse d’écoulement du sang diminue de l’aorte vers les artérioles parce que
A. le débit sanguin diminue
B. la surface de section du lit vasculaire s’élargie
C. la pression diminue
D. la pression devient constante
E. l’effet de la poussée systolique s’atténue

Dans le schéma suivant, compte tenu de la direction du déplacement du liquide, quelle est la région où
la résistance à l’écoulement est la plus forte ?
Et si le sens du déplacement était inverse ?

En vertu de la loi de Poiseuille, la plus forte augmentation de débit a lieu :
A. la longueur du tube diminue de 10 fois
B. le rayon du tube diminue de 2 fois
C. la pression à l’entrée et la pression à la sortie augmentent de 20 fois
D. la viscosité diminue de 12 fois
E. au lieu d’un tube, il y a 14 tubes identiques en parallèle

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13. Cause à effet

Le rythme du nœud de Tawara domine celui du nœud de Keith et Flack
Parce que
c’est le rythme du nœud qui est placé le plus près des ventricules qui s’impose aux autres.

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CIRCULATION E
Pression systolique, dans l’artère pulmonaire et dans l’aorte chez l’adulte au repos :
A. 0 -20 mm Hg
B. 4 – 60 mm Hg
C. 8 – 100 mm Hg
D. 23 – 130 mm Hg
E. 70 – 130 mm Hg
2. Cause à effet
La pression artérielle au moment de la systole ventriculaire est constante chez un individu quelles que
soient les circonstances dans lesquelles il se trouve
Parce que
il existe un système d’autorégulation de la pression artérielle.
Pression systolique, pression diastolique dans l’artère pulmonaire :
A. 15 - 0 mm Hg
B. 22 – 8 mm Hg
C. 70 – 40 mm Hg
D. 100 – 40 mm Hg
E. 120 – 70 mm Hg
4. Cause à effet
L’état des semi contraction permanente (tonus) des fibres musculaires lisses des vaisseaux n’est pas
d’origine hormonale
Parce que
il persiste inchangé après ablation des deux médullo-surrénales.
Les fibres sensitives des nerfs aortiques et carotidiens :
A. contiennent des fibres chémosensibles dont l’excitation entraîne une vaso constriction
B. contiennent des fibres barosensibles dont l’excitation entraîne une vaso-dilatation
C. contiennent des fibres barosensibles dont l’excitation entraîne une cardio-accélération
D. contiennent des fibres chémosensibles dont l’excitation entraîne une accélération respiratoire
E. contiennent des fibres barosensibles dont l’excitation entraîne une dépression inspiratoire
L’action tonique sur la musculature des vaisseaux exercée par les fibres sympathiques adrénergiques a
son origine dans :
A. les influx nerveux provenant des chémorécepteurs
B. les influx nerveux provenant des barorécepteurs auriculaires
C. les influx nerveux provenant des barorécepteurs artériels
D. le niveau d’irrigation des centres bulbaires
E. la composition chimique du sang irriguant le bulbe
Le retour du sang veineux au cœur est favorisé par
A. les mouvements musculaires
B. l’aspiration thoracique
C. l’expiration forcée
D. la pression intra-abdominale
E. les battements artériels

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La majeure partie du volume sanguin circulant se trouve dans :
A. le ventricule gauche
B. le ventricule droit
C. le système à haute pression
D. les vaisseaux pulmonaires
E. le système veineux systémique
Chez un sujet normal, en régime circulatoire stationnaire le débit artériel pulmonaire en première
approximation est égal
A. à la moitié du débit cardiaque
B. au débit ventriculaire droit
C. au débit ventriculaire gauche
D. au débit de la circulation capillaire générale
E. au débit de la circulation capillaire pulmonaire

On observe une vasodilatation localisée :
A. par stimulation du bout périphérique des racines postérieures de la moelle
B. par stimulation des nerfs de Hering et de Cyon
C. par stimulation du nerf parasympathique d’une glande salivaire
D. par stimulation des fibres sympathiques cholinergiques
E. lorsque la PaCO2 augmente dans les muscles
11. Cause à effet

Dans l’organisme la vaso dilatation active est toujours localisée
Parce que
il n’existe pas de centre vasodilatateur général.

Lorsque l’oncographie révèle que le volume d’un organe a augmenté, on peut penser que :
A. les vaisseaux de l’organe sont en vasodilatation
B. le tonus vasoconstricteur des vaisseaux de l’organe a été inhibe
C. la pression de perfusion de l’organe a augmenté
D. le retour veineux est gêné
E. aucune des propositions précédentes n’est en cause
13. Cause à effet

L’adrénaline diminue les résistances périphériques du lit vasculaire musculaire
Parce que
les muscles lisses de vaisseaux des muscles squelettiques comportent surtout des récepteurs béta.

Pression diastolique dans les grosses artères – pression à l’origine des capillaires :
A. 15 – 0 mm Hg
B. 30 – 10 mm Hg
C. 70 – 40 mm Hg
D. 100 – 40 mm Hg
E. 120 – 70 mm Hg

15

Quinze minutes après la perfusion rapide (en 30 minutes) de 500 cm3 de sang, chez un sujet normal,
on peut constater que :
A. la pression veineuse a peu varié
B. la pression artérielle moyenne a augmenté de 50 mm Hg environ
C. le débit cardiaque a augmenté de 25 %
D. le volume du sang contenu dans le lit veineux a doublé
E. le volume du sang contenu dans le système à haute pression a augmenté de 250 cm3 environ

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CIRCULATION E
Pression systolique pression diastolique dans l’artère humérale au repos, chez l’adulte :
A. 15 - 0 mm Hg
B. 30 – 10 mm Hg
C. 70 – 40 mm Hg
D. 100 – 40 mm Hg
E. 120 – 70 mm Hg
2. Cause à effet
La pression du sang dans les artères est plus élevée que dans les veines
Parce que
le volume sanguin artériel est supérieur au volume sanguin veineux.
3. Cause à effet
La ligature des carotides primitives donne les mêmes modifications vasomotrices que la ligature
simultanée des carotides internes et des carotides externes loin de leur bifurcation
Parce que
les centres régulateurs du tonus vasoconstricteur sont directement sensibles à la pression moyenne du
sang qui les irrigue.
La section des nerfs dépresseurs (Héring et Ludwig-Cyon) a les effets suivants :
A. constriction des capillaires vrais
B. dilatation du lit veineux
C. augmentation de la fréquence des influx dans les fibres post ganglionnaires adrénergiques
D. excitation du centre cardiomodérateur
E. inhibition du tonus vasoconstricteur
La loi de Poiseuille ne s’applique pas au système à basse pression parce que :
A. Les pressions sont trop faibles
B. Le gradient de pression entre capillaires et oreillettes est trop étroit
C. Le lit vasculaire est à géométrie variable
D. La pression intrathoracique est inférieure à la pression atmosphérique
E. La résistance à l’écoulement est très faible
6. Cause à effet
La perte de charge entre les artères et les capillaires est importante
Parce que
c’est entre ces deux parties du circuit vasculaire, au niveau des artérioles que siègent les résistances
hémodynamiques les plus grandes.
7. Cause à effet
L’effort de toux (ou la manœuvre de Valsalva) provoque une augmentation de la pression veineuse
périphériques (turgescence des veines jugulaires)
Parce que
la surpression intrathoracique collabe partiellement les gros troncs veineux et empêche le retour du
sang vers le cœur.

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8. Cause à effet
Lorsque le sujet est debout et immobile, le débit veineux dans les membres inférieurs est plus grand
que lorsque le sujet est allongé
Parce que
dans ces conditions, la pression du sang peut atteindre 100 mm Hg dans les veines les plus déclives
alors que la pression auriculaire droite ne change pratiquement pas.
Le retour du sang veineux dans l’oreillette droite est favorisé par :
A. les mouvements musculaires
B. les battements artériels
C. l’aspiration thoracique
D. l’hyperpression auriculaire
E. la position couchée
10. Cause à effet

Après inactivation totale du système vasoconstricteur, on n’observe plus de vasodilatation active des
vaisseaux musculaires des membres
Parce que
les fibres musculaires lisses des vaisseaux sont, dans ces conditions, totalement relâchées.

La stimulation des nerfs sympathiques destinés aux vaisseaux et une décharge d’hormone médullo-
surrénalienne (adrénaline) provoquent toutes les deux :
A. une vasoconstriction des vaisseaux de la peau
B. une vasoconstriction des muqueuses
C. une vasoconstriction des artères coronaires
D. une vasoconstriction des viscères abdominaux
E. une vasoconstriction des viscères abdominaux plus importante lors de la décharge de
noradrénaline
12. Cause à effet

Le débit de la circulation pulmonaire est environ 1/5 ou 1/6 de celui de la circulation générale
Parce que
La pression artérielle pulmonaire est environ 1/5 ou 1/6 de la pression aortique.

Lorsque les vaisseaux cutanés de la main entrent en vaso-dilatation, on observe que :
A. le volume de la main augmenta
B. la température cutanée de la main augmente
C. les résistances vasculaires du territoire augmentent
D. le débit sanguin local augmente
E. la pression dans les capillaires correspondants augmente

Une vasodilatation passive (simple inhibition de la vasoconstriction) peut être observée dans les
circonstances suivantes :
A. excitation des barorécepteurs aortiques et sino carotidiens
B. augmentation de la fréquence des influx dans les fibres sympathiques post ganglionnaires
cholinergiques
C. inhibition du centre presseur bulbaire
D. sympathectomie
E. injection préalable d’ergotamine

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Le volume total du sang traversant l’ensemble des capillaires de la circulation générale pendant une
période cardiaque, les conditions étant stationnaires, est très voisin :
A. du volume de l’éjection systolique ventriculaire gauche
B. du volume de sang traversant les capillaires pulmonaires pendant le même intervalle de temps
C. du débit cardiaque divisé par la fréquence
D. du volume sanguin circulant dans la grande circulation
E. de la différence entre les volumes du ventricule gauche en fin de diastole et en fin de systole

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CIRCULATION G
Expérimentalement, on peut ralentir le rythme cardiaque :
A. en stimulant électriquement le bout central des nerfs aortiques
B. en stimulant électriquement le bout périphérique d’un X
C. en refroidissant le nœud de Keith et de Flack
D. en appliquant de l’acétyl choline sur le myocarde
E. en pinçant simultanément les deux carotides primitives
Une fréquence cardiaque de 120/mn peut être :
A. normale chez un nourrisson
B. normale juste à la fin d’un exercice musculaire modéré chez un adulte sédentaire
C. normale chez un adulte sous le choc d’une vive émotion
D. normale chez un sportif bien entraîné après une course
E. normale chez une fille de 20 ans au repos
L’augmentaiton de sécrétion de rénine est :
1. liée à une diminution de la pression du sang dans l’artère rénale
2. liée à une augmentation de la pression du sang dans l’artère rénale
3. responsable d’une augmentation de l’angiotensine circulante
4. responsable d’une diminution de la natrémie
La région sino-carotidienne intervient dans la régulation à court terme de la pression artérielle
A. par action sur la fréquence cardiaque
B. par augmentation rapide du volume sanguin circulant
C. par action réflexe
D. par action sur les nerfs vasomoteurs
E. par changement de la résistance périphérique totale
5. Cause à effet
L’élévation de la pression du sang dans le sinus carotidien déclenche une vaso-dilatation étendue
Parce que
il y a dans la région sino-carotidienne des récepteurs sensibles aux changements importants de la
pression partielle de l’oxygène dans le sang artériel.
Après une hémorragie abondante et brève, la pression artérielle s’abaisse et les mécanismes
compensateurs sont mis en jeu. Ils portent en particulier :
La fréquence cardiaque qui
A. augmente
B. diminue
C. ne change pas
Les résistances périphériques qui
1. augmentent
2. diminuent
3. ne changent pas

20
Immédiatement après le passage en position debout on pourra noter les phénomènes suivants :
A. diminution du retour veineux
B. diminution de la pression transmurale carotidienne
C. diminution du volume sanguin intrathoracique
D. augmentation importante du volume sanguin contenu dans les artères des membres inférieurs
E. augmentation importante de la pression transmurale dans les veines des membres inférieurs
La période où le débit coronaire est maximum se situe :
A. de façon variable, sans rapport avec la révolution cardiaque
B. pendant la phase de contraction isométrique
C. pendant la phase d’éjection ventriculaire
D. pendant la diastole ventriculaire
E. aucune des réponses précédentes car le débit est constant
La plus importante vasodilatation des artères coronaires est observée lorsque :
A. la PO2 du sang des vaines pulmonaires diminue
B. la PCO2 du sang des artères pulmonaires augmente
C. le pH du sang des veines pulmonaires diminue
D. la PO2 du sang des artères coronaires augmente
E. la PO2 du sang des artères pulmonaires diminue
10. Cause à effet

Lors d’une hyperventilation pulmonaire, les besoins du cerveau en O2 peuvent être insatisfaits
Parce que
l’hyperventilation entraîne une diminution de la PaCO2 et pas conséquent une vasoconstriction
cérébrale.
11. Cause à effet

Chez un sujet en position debout immobile, la pression veineuse à la cheville reste inférieure à la
pression atmosphérique
Parce que
les veines des membres inférieurs sont munies de valvules qui empêchent l’écoulement rétrograde du
sang.

Quelle est la meilleure position pour minimiser les effets circulatoires d’une violente accélération
verticale :
A. debout (tête en haut)
B. verticale (tête en bas)
C. assis
D. couché horizontalement
E. en boule (position fœtale)
13. Cause à effet

Chez un sujet debout, il peut exister une fuite plasmatique vers les espaces interstitiels dans les parties
déclives du corps
Parce que
chez le sujet debout la pression hydrostatique intracapillaire augment dans les membres inférieurs,
sans que la pression oncotique change.

21

Quelle est parmi les manœuvres suivantes celle, qui aura pour conséquences simultanées une
augmentation du volume de la rate et une augmentation de la pression artérielle générale :
A. excitation du bout périphérique du pneumogastrique
B. excitation du bout central d’un nerf freinateur
C. excitation du ganglion stellaire
D. hémorragie rapide
E. section des nerfs sympathiques spleniques

Lorsque la pression du sang augmente dans les sinus carotidiens
A. la fréquence des influx sur les fibres barosensibles du nerf de hering est augmentée
B. la fréquence des influx sur les fibres cardio-inhibitrices est augmentée
C. les neurones post-ganglionnaires du système sympathique sont excités
D. la puissance de contraction du myocarde est diminuée
E. il y a un ralentissement de la respiration

22
CIRCULATION H
L’augmentation du retour veineux a pour conséquence, au niveau du cœur :
A. un allongement des fibres pendant la diastole
B. une augmentation de la durée de la systole
C. une augmentation du volume systolique
D. une augmentation du volume résiduel systolique
E. une augmentation de la puissance de contraction
L’angiotensine circulante :
A. provient d’une globuline plasmatique
B. sa concentration est liée à la sécrétion de rénine
C. est une substance vasoconstrictrice
D. inhibe la sécrétion d’aldostérone
E. augmente si la pression du sang dans l’artère rénale diminue
3. Cause à effet
La fréquence de décharge des barorécepteurs artériels est variable tout au long du cycle cardiaque
Parce que
la pression du sang dans les grosses artères est pulsatile.
Lorsque la pression du sang augmente dans les régions barosensibles artérielles :
A. la fréquence des influx sur les nerfs dépresseurs est augmentée
B. les fibres adrénergiques sympathiques sont stimulées
C. le taux d’adrénalinémie augmente
D. le tonus vasocontricteur augmente
E. la fréquence cardiaque s’accélère
5. Cause à effet
La hausse de la PCO2 du sang irriguant les centres encéphaliques entraîne une baisse de la pression
artérielle
Parce que
le CO2 est un puissant vasodilatateur local.
Après une hémorragie rapide de 300 ml de sang chez un adulte normal, on constate les phénomènes
suivants :
A. pâleur cutanée très importante
B. diminution du taux plasmatique de rénine
C. augmentation de l’intervalle P-R à l’EKG
D. augmentation de la durée relative de la systole dans le cycle cardiaque
E. augmentation du taux plasmatique d’hormone antidiurétique
7. Cause à effet
Au niveau des vaisseaux cutanés adrénaline et noradrénaline ont des effets antagonistes
Parce que
la noradrénaline exerce ses effets exclusivement par l’intermédiaire des récepteurs alpha, et
l’adrénaline exclusivement par l’intermédiaire des récepteurs béta.

23
Quelle est celle des manœuvres suivantes qui aura pour conséquences simultanées une vasodilatation
généralisée et un ralentissement de la fréquence cardiaque :
A. excitation du bout central d’un nerf de hering
B. hémorragie rapide
C. excitation du bout périphérique du pneumogastrique
D. section des nerfs cardio accélérateurs
E. perfusion d’adrénaline
9. Cause à effet
La régulation de la pression artérielle met en jeu des variations de même sens du calibre des vaisseaux
et du débit cardiaque
Parce que
les influx provenant des barorécepteurs inhibent à la fois le centre vasoconstricteur et le centre
cardiomodérateur.

Dans quelle zone de pression le mécanisme barosensible artériel est-il le plus précis (valeurs en mm
Hg) :
A. de 0 à 200
B. de 40 à 200
C. de 40 à 80
D. de 70 à 140
E. de 70 à 200

Après une hémorragie brève et abondante, la pression artérielle s’abaisse et les mécanismes
compensateurs sont mis en jeu. Ils portent, en particulier, sur :
Le calibre des artérioles qui :
A. augmente
B. diminue
C. ne change pas
La puissance contractile du myocarde qui :
1. augmente
2. diminue
3. ne change pas
12. Cause à effet

L’hypoventilation pulmonaire détermine une modification du débit sanguin central
Parce que
elle entraîne une vasodilatation des artères cérébrales essentiellement par augmentation de la PaCO2.
13. Cause à effet

Le lit veineux se trouve plus distendu que le lit artériel, dans les membres inférieurs d’un sujet debout
Parce que
la pression hydrostatique varie de façon plus importante du côté veineux que du côté artériel.

24

Chez un individu debout, la pression du sang dans les veines du pied est :
A. supérieure à la pression aortique
B. supérieure à la pression cave et inférieure à la pression aortique
C. inférieure à la pression cave
D. égale à la pression cave
E. égale à la pression du sang dans les artères du pied

En position debout et immobile, quel est, parmi les territoires veineux suivants, celui qui sera le plus
distendu (pression transmurale la plus élevée) :
A. veines abdominales superficielles (sous cutanées)
B. veines des masses musculaires abdominales et rachidiennes
C. veines abdominales profondes (viscérales)
D. veines rachidiennes

25
CIRCULATION I
1. Question ouverte
Quelle est la première cavité cardiaque rencontrée par le sang qui sort du ventricule gauche ?
2. QROC
Enumérer dans l’ordre chronologique du passage, les différents vaisseaux ou cavités cardiaques
traversés par le sang qui va de l’oreillette droite à l’aorte.
Préciser pour chacun d’eux la qualité (oxygéné ou artériel ; désoxygéné ou veineux) du sang qu’ils
contiennent.
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
A la fin de l’onde P de l’électrocardiogramme :
1. la pression dans le ventricule gauche est élevée
2. le ventricule gauche est presque plein
3. la valvule aortique est ouverte
4. la valvule mitrale est ouverte
Le deuxième bruit du cœur se place :
A. à l’ouverture des valves auriculo-ventriculaires
B. à la fermeture des valves sigmoïdes
C. à l’ouverture des valves sigmoïdes
D. au début de la systole ventriculaire
E. à la fin de diastole auriculaire
5. Cause à effet
L’aldostérone est une hormone qui participe au contrôle de la pression artérielle s
Parce que
la sécrétion d’aldostérone dépend, entre autres facteurs, de la volémie.
Un souffle systolique et une pression aortique maximale inférieure à la pression ventriculaire
évoquent :
1. un rétrécissement mitral (obstacle)
2. un rétrécissement aortique (obstacle)
3. insuffisance mitrale (fuite)
4. aucun de ces diagnostics
Différences entre un rythme sinusal et un rythme nodal :
A. le complexe QRS est plus pointu en rythme nodal
B. l’intervalle QT est plus long en rythme sinusal
C. l’onde T n’existe pas en rythme nodal ou à un aspect anormal
D. l’onde P n’existe pas en rythme nodal ou à un aspect anormal
E. le complexe QRS dure plus longtemps en rythme nodal.

26
Le tracé électrocardiographique suivant caractérise :
A. un rythme sinusal
B. un rythme nodal
C. une dissociation auriculoventriculaire
D. une fibrillation auriculaire
E. une arythmie sinusale
Parmi les différentes hormones qui participent directement ou indirectement au maintient de la
pression artérielle on peut citer :
1. l’hormone anti-diurétique
2. l’aldostérone
3. l’adrénaline
4. l’insuline

La pression à l’origine des veinules et la pression moyenne dans l’oreillette droite sont de l’ordre de :
A. 18 – 0 mm Hg
B. 30 – 10 mm Hg
C. 70 -40 mm Hg
D. 100 – 40 mm Hg
E. 120 – 70 mm Hg

En exprimant les pressions en mm Hg et les débits en cm3/mm, la résistance à l’écoulement d’un
organe est de 0,15. Pour avoir de 600 cm3/mm, il faut une pression de :
A. 100 mm Hg
B. 35 mm Hg
C. 50 mm Hg
D. 90 mm Hg
E. 160 mm Hg

Sachant que l’exposition de l’organisme à forte chaleur a pour résultat une vasodilatation cutanée qui
diminue de moitié les résistances à l’écoulement sanguin, quelle sera l’évolution de la pression
artérielle moyenne si le débit cardiaque ne varie pas ?
A. elle double
B. elle diminue de moitié
C. elle ne change pas
D. elle augmente de 50 %
E. impossible à prévoir
13. Cause à effet

Lorsqu’un sujet passe de la position couchée à la position debout sa fréquence cardiaque s’accélère
Parce que
la séquestration périphérique du sang dans les parties déclives est responsable d’un hypotension qui
par voie réflexe, déclenche une tachycardie.

On mesure chez un sujet le débit cardiaque (Q) et la PA moyenne au repos et au cours d’un exercice.
On trouve :
au repos Q = 5 litres/mm PA = 100 mm Hg

27
au repos Q = 8 litres/mm PA = 120 mm Hg

On peut en conclure que la résistance périphérique globale :
A. a augmenté de 60 %
B. a augmenté de 20 %
C. a diminué de 25 %
D. a diminué de 50 %
E. n’a pas varié

28
CIRCULATION J
1. Question ouverte
Soient les éléments suivants, indiquer dans quel ordre ils sont traversés par le sang en partant des
veines caves :
A. capillaires pulmonaires
B. oreillette droite
C. artère pulmonaire
D. ventricule gauche
E. veines pulmonaires
F. ventricule droit
G. aorte
H. oreillette gauche
……………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………
La rénine :
1. agit directement sur les vaisseaux résistifs dont elle favorise la contraction
2. intervient dans la transformation d’angiotensinogène en angiotensine
3. agit directement sur la glande cortico-surrénale favorisant la sécrétion d’aldostérone
4. est sécrétée en plus grande quantité quand la volémie s’abaisse
Au moment précis où la pression dans l’aorte est minimale :
A. le ventricule est en systole
B. le contenu du ventricule est minimal
C. la valvule mitrale est fermée
D. la valvule aortique est fermée
E. l’oreillette est en diastole
Comment évolue le volume ventriculaire entre la fermeture des valves mitrales et la fermeture des
valves aortiques :
A. il diminue puis il reste stable
B. il augmente puis il reste stable
C. il diminue puis il augmente
D. il reste stable puis il diminue
E. il reste stable puis il augmente
5. Association
Indiquer pas S (systole) ou D (diastole) à quel moment du cycle du ventricule gauche les anomalies
valvulaires suivantes entrainent un souffle :
A. rétrécissement aortique (obstacle)
B. rétrécissement mitral (obstacle)
C. insuffisance aortique (fuite)
D. insuffisance mitrale (fuite)

29
6. Cause à effet
L’absence d’onde P au cours d’une extrasystole signe son origine hissienne
Parce que
en cas de lésion du faisceau de His, la dépolarisation P ayant une faible amplitude est toujours masqué
par QRS.
L’intervalle de temps PR donne une bonne mesure du temps mi par l’excitation pour aller :
A. du nœud sinusal au noeud de Tawara
B. du nœud de Tawara au réseau de Purkinje
C. du nœud sinusal au réseau de Purkinje
D. du nœud de Tawara au faisceau de His
E. du faisceau de His au nœud de Tawara
Une augmentation de la fréquence cardiaque peut être obtenue expérimentalement :
A. par excitation du bout central du nerf de Hering
B. par section des fibres cardiaques des 2 pneumogastriques
C. par stimulation des fibres cardiaques du sympathique
D. par réchauffement du nœud sinusal
E. par injection intraveineuse d’adrénaline, après vagotomie bilatérale
Pression moyenne dans les grandes artères. Pression à l’origine des capillaires :
A. 15 – 0 mm Hg
B. 30 – 10 mm Hg
C. 70 – 40 mm Hg
D. 100 – 40 mm Hg
E. 120 – 70 mm Hg

En exprimant les pressions en mm de Hg et les débits en cm3/mm, la résistance à l’écoulement d’un
organe est de 0,2. Pour avoir in débit de 500 cm3/min, il faut une pression de :
A. 250 mm Hg
B. 150 mm Hg
C. 100 mm Hg
D. 50 mm Hg
E. 25 mm Hg

Si l’exposition de l’organisme à la chaleur entraîne une vasodilatation cutanée qui diminue de moitié
les résistances à l’écoulement du sang, quelle a été l’évolution du débit cardiaque lorsque la pression
artérielle moyenne est passée de 100 mm Hg à 75 mm Hg :
A. il a doublé
B. il a diminué de moitié
C. il n’a pas changé
D. il a augmenté de 50 %
E. impossible à prévoir

On peut observer une accélération cardiaque et une vasoconstriction splénique simultanée :
A. par excitation des nerfs de Hering
B. par excitation du ganglion stellaire

30
C. en réponse à une hémorragie importante

D. par excitation dus sympathique splénique
E. par section des 2 pneumogastriques

Lors du passage de la position couchée à la position debout, la pression transmurale
des veines du cou :
A. augmente
B. diminue
C. ne change pas
et celle des veines du pied
1. augmente
2. diminue
3. ne change pas
14. Cause à effet

Lors du passage de la position couchée à la position debout la pression transmurale augmente
davantage dans les artères du pied que dans les veines correspondantes
Parce que
les parois artérielles se laissent moins facilement distendre que les parois veineuses.

Circulation Ancien TD

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Université des Sciences de Techniques et de Technologie de Bamako

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Bamodi SIMAGA MD Ph-D, Physiologie, Enseignant chercheur, Maitre-assistant, FMOS / USTTB

10. Cause à effet

11. Cause à effet

12. Complément incorrect

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2. la position O : ouvertes, F : fermées

14. Complément correct

15. Complément correct

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A. la valeur du débit ventriculaire droit

10. Complément correct

11. Compléments groupés

12. Question ouverte

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13. Compléments corrects

14. Cause à effet

15. Complément correct

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10. Complément correct

11. Complément correct

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12. Compléments groupés

13. Cause à effet

14. Cause à effet

15. Complément correct

Cet ECG correspond à un cœur dont l’excitation part probablement

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10. Complément correct

11. Complément correct

Et si le sens du déplacement était inverse ?

12. Complément correct

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13. Cause à effet

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10. Complément incorrect

11. Cause à effet

12. Complément incorrect

13. Cause à effet

14. Complément correct

Bamodi SIMAGA MD Ph-D, Physiologie, Enseignant chercheur, Maitre-assistant, FMOS / USTTB

15. Complément correct

Bamodi SIMAGA MD Ph-D, Physiologie, Enseignant chercheur, Maitre-assistant, FMOS / USTTB

Bamodi SIMAGA MD Ph-D, Physiologie, Enseignant chercheur, Maitre-assistant, FMOS / USTTB

10. Cause à effet

11. Complément incorrect

12. Cause à effet

13. Complément incorrect

14. Complément incorrect

Bamodi SIMAGA MD Ph-D, Physiologie, Enseignant chercheur, Maitre-assistant, FMOS / USTTB

15. Complément incorrect

Bamodi SIMAGA MD Ph-D, Physiologie, Enseignant chercheur, Maitre-assistant, FMOS / USTTB

Bamodi SIMAGA MD Ph-D, Physiologie, Enseignant chercheur, Maitre-assistant, FMOS / USTTB

10. Cause à effet

11. Cause à effet

12. Complément correct

13. Cause à effet

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