Exercice 1 :

1/ -Pour une dépense énergétique comprise entre 500 J et 1000 J la consommation d’O2 augmente et
atteint son maximum avec la dépense énergétique alors que la production d’acide lactique est nulle .
-Pour une dépense énergétique supérieure à 1000 J la consommation d’O2 devient maximale constante.
Parallèlement la quantité d’acide lactique produite augmente avec la dépense énergétique.
2/ -pour un effort modéré( de dépense énergétique comprise entre 500 J et 1000 J) , la qunatité d’02 reçue
par le muscle est suffisante , il tire donc son énergie de l’oxydation du glucose par le mécanisme de la
respiration cellulaire.
- Avec l’augmentation de l’effort ( dépense énergétique ˃1000 J) , l’O2 devient insuffisant, Le muscle , en
plus de la respiration cellulaire, tire l’autre partie de l’énergie nécessaire à son activité par voie de la
fermentation lactique .
3/ a . -En présense des myofilaments d’actine et de myosine et le Ca2+ , les complexes acto-myosine se
forment activant ainsi l’hydrolyse d ‘ATP
-En présence de myosine, celle-ci hydrolyse l’ATP faiblement
-En présence d’actine sans myosine , l’hydrolyse d’ATP est nulle
b. En présense des myofilaments d’actine et de myosine et les ions Ca2+, ceux-ci déclenchent la formation
des complexes acto-myosine indispensablses pour la contraction musculaire .
Exercice 2:
1/ - le pourcentage des fibres musculaires de type I chez le marathonien est trés important par rapport à
celui du Sprinter.
- le pourcentage des fibres de type II chez le Sprinter est trés important par rapport à celui du
marathonien.
Les fibres qui interviennent le plus dans les courtes distances sont les fibres de typeII
Les fibres qui interviennent le plus dans les longues distances sont les fibres de typeI
2/ - Pour un effort musculaire de faible intensité , se sont les fibres de type I qui sont recrutées . Avec
l’augmentation de l’intensité de l’effort , il y a recrutement successif des fibres de type IIa et IIb.
3/ -les fibres musculaires de type I sont caractérisées par une contraction lente et durable , elles sont
riches en mitochondries dont l’activité du malate déshydrogénase est trés importante et elles utilisent
principalement la voie aérobie ( la respiration cellulaire ) pour extraire l’énergie nécessaire à la
contraction donc pour les longues distances chez le marathonien ,ce sont les fibres de type I qui
dominent.
-les fibres musculaires de type IIb sont caractérisées par une contraction rapide et brève et une activité
malate déshydrogénase importante , elles sont pauvre en mitochondries elles utilisent principalement
les voies de la phosphocréatine et de la fermentation lactique pour extraire l’énergie nécessaire à la
contraction. Donc pour les courtes distances chez le sprinter ,ce sont les fibres de types IIb qui dominent.