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Architecture et révolution: Boullée, Ledoux (et Lequeu)

Claude-Nicolas Ledoux, Coup - d’œil du Théâtre de Besançon; Claude-Nicolas Ledoux,


L’architecture considérée sous le rapport de l’art, des mœurs et de la législation, Paris, 1804.
Le déjeuner d’huîtres et Un déjeuner de chasse, Jean-François Troy (1679-1752)
Jacques Louis David, dessin pour le Serment du jeu de paume (1791)
« Ouverture des états généraux à Versailles « Assemblée nationale, Abandon de tous les
le 5 mai 1789 » privilèges dans la séance de la nuit du 4 au 5
août 1789 »
Gravure de Helman d’après Charles Monnet.
Gravure de Helman d’après Charles Monnet.
•14 juillet 1789: prise de la
Bastille
•18 août: Déclaration des
droits de l’homme et du
citoyen:

•« Article 1 : Les hommes


naissent et demeures
libres et égaux en droits,
les distinctions sociales ne
peuvent être fondées que
sur l’utilité commune… »
*AUTOMNE
Vendémiaire ( Septembre/Octobre ) :
Des vendanges.
Brumaire ( Octobre/Novembre ) :
Des brouillards et des brumes basses
qui sont la transudation de la nature.
Frimaire ( Novembre/Décembre ) :
Symbolise le froid.

*HYVER
Nivôse ( Décembre/Janvier ) :
De la neige qui blanchît la terre.
Pluviôse ( Janvier/Février ) :
Des pluies qui tombent avec plus
d'abondance.
Ventôse ( Février/Mars ) :
Des giboulées et du vent qui vient
sécher la terre.

*PRINTEMPS
Germinal ( Mars/Avril ) :
De la fermentation et du
développement de la sève.
Floréal ( Avril/Mai ) :
De l'épanouissement des fleurs.
Prairial ( Mai/Juin ) :
De la fécondité des récoltes des
prairies.

*ETE
Messidor ( Juin/Juillet ) :
De l'aspect des moissons dorées qui
couvrent les champs.
Thermidor ( Juillet/Août ) :
De la chaleur tout à la fois solaire et
terrestre qui embrase la terre. Le calendrier révolutionnaire a été adopté par la
Fructidor ( Août/Septembre ) :
Des fruits que le soleil dore et mûrit.
Convention en 1793
View o f th e ch a rio t th a t se rve d fo r th e ce re m o n y o f th e fe stiva l o f th e Su p re m e
Be in g o n 20 Pra iria l Ye a r II o f th e Re p u b lic a n d exp o se d in th e Na tio n a l Ga rd e n .
Jour de l’Être Suprême , Pie rre -An to in e De m a ch y, 1794
Michel, Vue de la montagne élevée le jour de l’Être
Suprême; Vue du côté oriental de la Montagne élevée
au Champ de la Réunion
Alain-Théodore Brongniart, Projet de montagne dans la
cathédrale Saint-André à Bordeaux pour la fête de la
Liberté et de la Raison, 1793.
Dutourd, Projet de Montagne à dresser dans un jardin public pour Bordeaux, 1794 ;Coupe
de la Montagne prise sur sa largeur
Jacques Louis David, Le sacre de Napoléon, 1805-1807
Jacques-Louis DAVID "Les Licteurs rapportent à Brutus les corps de ses fils" 1789. H. : 3,23
m. ; L. : 4,22 m. Musée du Louvre; Jean-Baptiste GREUZE "Septime Sévère et Caracalla"
1769 . H. : 1,24 m. ; L. : 1,60 m. Musée du Louvre
Blonde Odalisque (Louise o'Murphy), François Boucher, 1745

Jacques Louis David, Portrait de madame Récamier, 1800;


Monsieur de Monville, Désert de Retz, 1774-1789 : « Maison du Jardin nommé le désert,
prés de la foret de Marly », in: Krafft, Recueil d’architecture civile, 1812.
François Nicolas Henri Racine de Monville, Désert de Retz (forêt de Marly) jardin anglo-
chinois 1774-1789, théâtre et temple de Pan.
L’entrée du désert de Retz, en 1782.

François Nicolas Henri Racine de


Monville, Désert de Retz (forêt de
Marly) jardin anglo-chinois 1774-
1789, maison chinoise
fait par de framaçon , une organisation politque secrete, qui est derriere la révolution
reconstruire l'architecture dans les pavillon ou les jardins etaits un lieu d'experimentation pour les architecte

François Nicolas Henri Racine de Monville, Désert de Retz (forêt de Marly) jardin anglo-
chinois 774-1789, pyramide
Étienne-Louis Boullée : 1728 – 1799

-Élève de Legeay et Blondel


- 1747: nommé professeur d’architecture à l’École des ponts et
chaussées (19 ans)

-1762 : entre à l’Académie Royale d’Architecture


-1763 : construit l’hôtel Alexandre
- Grand et Petit Hôtel de Monville
- 1774 : construction de l’hôtel de Brunoy et décoration de l’hôtel
d’Evreux (Palais de l’Elysée)
-1781 : projet pour la reconstruction de l’Opéra de Paris et Projet d’une
basilique à l’¨Etre Suprême (Métropole)
-1784; Projet du cénotaphe de Newton
-1786 : projet de monument à la gloire de Louis XVI
-1792 ; présente au gouvernement un projet de Palais national
-1793; lègue ses dessins à la nation
-1794: Participe au jury des concours de l’an II
-1796 : Essai sur l’Art
•Essai sur l’art

•« Oui je le crois, nos édifices, surtout les édifices publics, devraient


être, en quelque façon, des poèmes. Les images qu’ils offrent à nos
sens devraient exciter en nous des sentiments analogues à l’usage
auquel ces édifices sont consacrés ».

Étienne-Louis Boullée, Projet de Métropole, 1781-82, perspective, plume et lavis,


(Bibliothèque Nationale).
Étienne-Louis Boullée, Projet de Métropole, 1781-82
Étienne-Louis Boullée, Plan et Vues
intérieure de la Métropole au temps
des ténèbres, et au temps de la
Fête-Dieu, 1781-1782
Etienne-Louis Boullée, Architecture – Essai sur l’art.

Caractère

« Portons nos regards sur un objet! Le premier sentiment que nous


éprouvons alors vient évidemment de la manière dont l'objet nous affecte. Et
j'appelle caractère l'effet qui résulte de cet objet et cause en nous une
impression quelconque.

Mettre du caractère dans un ouvrage, c'est employer avec justesse tous les
moyens propres à ne nous faire éprouver d'autres sensations que celles qui
doivent résulter du sujet. Pour comprendre ce que j'entends par caractère ou
effet subit des différents objets, considérons les grands tableaux de la nature
et voyons comment nous sommes forcés de nous exprimer d'après leur
action sur nos sens. »
Étienne-Louis Boullée, Projet de Métropole, 1781-82, vue intérieure, plume et lavis,
(Bibliothèque Nationale).
Étienne-Louis Boullée, Projet de Bibliothèque royale, élévations, 1785 et 1788.
Étienne-Louis Boullée, Projet de Porte de Ville, dessin, et détail.
•Boullée, Essai sur l’art

•Il m’a semblé que pour mettre dans l’architecture cette poésie enchanteresse
dont elle est susceptible, je devrais faire des recherches sur les corps, les
analyser, chercher à reconnaître leurs propriétés, leur puissance sur nos sens,
leur analogie avec notre organisation ».

« En cherchant à découvrir dans l'essence des corps quelles étaient leurs


propriétés et leur analogie avec notre organisation, j'ai commencé mes
recherches par les corps bruts.

[…] Fatigué de l'image muette et stérile des corps irréguliers, je suis passé à
l'examen des corps réguliers. J'ai d'abord distingué en eux la régularité,
la symétrie et la variété, et j'ai vu que c'était là ce qui en constituait la forme et la
figure.
Etienne-Louis Boullée, Architecture – Essai sur l’art.

[…] Pourquoi la figure des corps réguliers se saisit-elle au premier aspect?


C'est que leurs formes sont simples, que leurs faces sont régulières et
qu'elles se répètent. Mais comme la mesure des impressions que nous
ressentons à la vue des objets est en raison de leur évidence, ce qui nous
fait plus particulièrement distinguer les corps réguliers, c'est que leur
régularité et leur symétrie sont l'image de l'ordre et que cette image est
celle de l'évidence elle-même.

[…] Par exemple, le corps sphérique peut être regardé comme réunissant
toutes les propriétés des corps. Tous les points de sa surface sont
également distants de son centre. De cet avantage unique, il résulte que
sous quelque aspect que nous envisagions ce corps, aucun effet d'optique
ne peut jamais altérer la magnifique beauté de sa forme qui, toujours,
s'offre parfaite à nos regards. »
Etienne-Louis Boullée, Architecture – Essai sur l’art.

« Le corps sphérique nous offre la solution d'un problème qui pourrait être regardé
comme un paradoxe s'il n'était démontré géométriquement que la sphère est un
polyèdre infinitif. C'est que de la symétrie la plus parfaite dérive la variété la plus
infinie. Car si nous supposons la surface de notre globe divisée en points, un seul
de ces points s'offrira perpendiculairement à nos yeux et tous les autres nous
apparaîtront sous une immensité d'angles divers.

[…] De toutes ces observations, il résulte que le corps sphérique, sous tous les
rapports, est l'image de la perfection. Il réunit l'exacte symétrie, la régularité la plus
parfaite, la variété la plus grande; il a le plus grand développement; sa forme est la
plus simple, sa figure est dessinée par le contour le plus agréable; enfin ce corps
est favorisé par les effets de la lumière qui sont tels qu'il n'est pas possible que la
dégradation en soit plus douce, plus agréable et plus variée. Voilà des avantages
uniques qu'il tient de la nature et qui ont sur nos sens un pouvoir illimité.

Il est donc démontré que la proportion et l’'harmonie des corps sont établies par la
nature et que, par l'analogie qu'elles ont avec notre organisation, les propriétés qui
découlent de l'essence des corps ont du pouvoir sur nos sens. »
Étienne-Louis Boullée, Projet de Cénotaphe pour Newton, 1784, élévation, plan, coupe
de nuit et de jour, plume et lavis (Paris, Bibliothèque Nationale).
Étienne-Louis Boullée, Projet de Cénotaphe pour Newton, 1784, élévation, plume et lavis,
(Bibliothèque Nationale).
0

obscurité
lumière

modele different avec une ruprure des


tenebre

l (0)

Étienne-Louis Boullée, Projet de Cénotaphe pour Newton, 1784, coupe de jour


Étienne-Louis Boullée, Projet de Cénotaphe pour Newton, 1784, coupe de nuit
Etienne-Louis Boullée, Architecture – Essai sur l’art.

« Nous avons remarqué que, dans la saison de l'hiver, les effets de la lumière
étaient tristes et sombres, que les objets avaient perdu leur éclat, leur couleur, que
les formes étaient dures et anguleuses, que la terre dépouillée offrait un sépulcre
universel.

Il suit de ces observations que pour produire des images tristes et sombres, il faut,
comme j'ai essayé de le faire dans les monuments funéraires, présenter le
squelette de l'architecture par une muraille absolument nue, offrir l'image de
l'architecture ensevelie en n'employant que des proportions basses et affaissées et
enfouies dans la terre, former enfin par des matières absorbant la lumière le noir
tableau de l'architecture des ombres dessiné par l'effet d'ombres encore plus
noires.

Ce genre d'architecture formé par des ombres est une découverte d'art qui
m'appartient. C'est une carrière nouvelle que j'ai ouverte. »
Étienne-Louis Boullée, Projets des monuments funéraire « caractérisant le genre d’une
architecture des ombres », plume et lavis, (Bibliothèque Nationale).
Projet de fort :
« les intervalles de ces tours sont remplis par un amoncellement de boulets, en
sorte qu’ils en sont encombrés; la porte qui lui sert de fermeture est annoncée par le
bouclier d’Achille. C’est ainsi que par ces énormes amas de munitions de guerre, j’ai
cherché tout à la fois, et à caractériser ce monument et à manifester l’art ».
Étienne-Louis Boullée
Projet de Bibliothèque publique:« Que dans ce vaste amphithéâtre l’on se figure des
personnes placées sur divers rangs et distribuées de manière à se passer de main en main
les livres. On conviendra que le service sera presqu’aussi prompt que la parole, sans que
l’on ait d’ailleurs la crainte des dangers qui peuvent résulter des échelles ».
Étienne-Louis Boulée, Projet de Bibliothèque royale, rue de Richelieu, 1785, coupes et
plan de la 1ere variante.
•Claude Nicolas Ledoux (1736-1806)

•Issu d’une famille de marchands modestes


•Apprenti graveur il suit les cours de Jacques François Blondel
•1762 :première commande
•1764: architecte-ingénieur des Eaux et Forêts
•1770: nommé directeur des Bâtiments du roi
•1771: nommé commissaire des salines de l’État de Franche-Comté
(grâce à Madame du Barry)
•Chantier de la Saline royale d’Arc-et-Senans (1774-1779)
•1785-1789; barrières de Paris
•1793: arrêté par le comité révolutionnaire, menacé de la guillotine, doit
son salut à la chute de Robespierre, reste en prison jusqu’en 1795

•Consacre les dernières années de sa vie à l’écriture


• L’architecture considérée sous le rapport de l’art, des mœurs et de la
législation. Vol. 1. 1804.

•1806
•Saline royale d’Arc-et-Senans

•Sel : une denrée essentielle pour la conservation des aliments


•Impôt très impopulaire (la gabelle)

•Premier projet d’une manufacture implantée en cercle, entrée


monumentale, longues galeries sur 140 colonnes sans base. Louis XV
refuse

•Deuxième projet implanté en demi cercle. À la fois demeure royale et


nouvelle ville (une Cité idéale)
•10 pavillons, + dépendances, étables, échoppes.
•À l’opposé de l’entrée monumentale, la maison du directeur et la
chapelle.

•Un lieu conçu pour permettre aux ouvriers de s’épanouir en dehors du


travail (salles de réunion), mais en fait un lieu de despotisme…

•Un lieu qui n’entre pas dans la production industrielle du fait de la


concurrence des marais salants. Fermeture à la révolution en 1790…
Claude-Nicolas Ledoux,
Saline de Chaux (plan
du premier projet).

L’architecture considérée
sous le rapport de l’art,
des mœurs et de la
législation, Paris, 1804.
Claude-Nicolas Ledoux, Saline de Chaux, projet de ville, vue perspective.
Claude-Nicolas Ledoux, Saline et Ville de Chaux, Claude-Nicolas Ledoux, L’architecture
considérée sous le rapport de l’art, des mœurs et de la législation, Paris, 1804.
Plan du “Panopticon” par Jérémy Bentham, 1791
Jeremy Bentham (1748-1832), philosophe anglais fondateur de l'Utilitarisme et inventeur d'un
projet carcéral, le panopticon, qui permet à un individu d'observer tous les prisonniers sans
que ceux-ci puissent savoir si ils sont observés.

prison pour les pauvres , pour les reformer sont concu comme dangereux (panopticon) ca veut dire la vision tatale, les gardiens dans le chemin , le gardin au centre les prisonier ne peut pas les voir mais lui il peut surveiller les prisoniers qui sont separer dans des chambres , disp
modele de notre société panoptique de surveillance constente maniere de sdistribué et isoler les corps
Bernard Poyet, Radial Hospital Plan, 1785, Gabriel Thouin, Plans raisonnés de toutes les
espèces de jardins, 1819-1820.
Claude-Nicolas Ledoux, Saline de Chaux, Plan de la manufacture royale; Claude-
Nicolas Ledoux, L’architecture considérée sous le rapport de l’art, des mœurs et
de la législation, Paris, 1804.
le marché :

Claude-Nicolas Ledoux, Ville et Saline de Chaux, Forge; Claude-Nicolas Ledoux,


L’architecture considérée sous le rapport de l’art, des mœurs et de la législation, Paris, 1804.
Claude-Nicolas Ledoux, Ville et Saline de Chaux, Marché
Claude-Nicolas Ledoux, Saline de Chaux, Bâtiment de graduation. Claude-Nicolas Ledoux,
L’architecture considérée sous le rapport de l’art, des mœurs et de la législation, Paris, 1804.
Claude-Nicolas Ledoux, Pont sur la Loue, in: Id., L’architecture considérée sous le rapport
de l’art des mœurs et de la législation, Paris, 1804.
Claude-Nicolas Ledoux, maison des
bucherons; Production du charbon de
bois dans la foret, XVIIIe siècle.
Frontispice de l’Encyclopédie, Diderot et d’Alembert (détail) : on y voit la Vérité
rayonnante de lumière; à droite, la Raison et la Philosophie lui arrachent son voile (par
Charles Nicolas Cochin, 1772)
Claude-Nicolas Ledoux, Ville et Saline de Chaux, maison des Gardes agricoles, et des
tonneliers.
Claude-Nicolas Ledoux, Porte de la Saline de Chaux, Claude-Nicolas Ledoux, L’architecture
considérée sous le rapport de l’art, des mœurs et de la législation, Paris, 1804; l’entrée.
represente le procesus de solidification du
sel

Claude-Nicolas Ledoux, Saline de Chaux, Arc-et-Senans, dans le Jura français, l’ancienne


Franche-Comté: l’entrée.
Claude-Nicolas Ledoux, Saline de Chaux, Arc-et-Senans, dans le Jura français, l’entrée.
Claude-Nicolas Ledoux, Saline de Chaux, Arc-et-Senans, dans le Jura français, l’ancienne
Franche-Comté.
Claude-Nicolas Ledoux, Saline de Chaux, Maison du Directeur, Claude-Nicolas Ledoux,
L’architecture considérée sous le rapport de l’art, des mœurs et de la législation, Paris, 1804.
Claude-Nicolas Ledoux, Saline de Chaux, Maison du Directeur.
Claude-Nicolas Ledoux, Saline de Chaux, Porte des écuries du directeur
Claude-Nicolas Ledoux, Saline de Chaux, usine de sel, atelier de fabrication
Claude-Nicolas Ledoux, coupe plan et
élévation du cimetière de la Ville de
Chaux; Claude-Nicolas Ledoux,
L’architecture considérée sous le
rapport de l’art, des mœurs et de la
législation, Paris, 1804.
Claude-Nicolas Ledoux, Élévation du cimetière de la ville de Chaux; Claude-Nicolas Ledoux,
L’architecture considérée sous le rapport de l’art, des mœurs et de la législation, Paris, 1804.
Claude Nicolas Ledoux, architecte de la Ferme générale: mur des Fermiers Généraux,
Paris (limiter la contrebande) 6 lieues de tour (24 km) et 60 bureaux de perceptions. 50
barrières d’octroi furent construites entre 1785 et 1788.

Les formes se rattachaient à quelques grand types: la rotonde, le cube à quatre péristyle;
le temple grec, la colonne.

La plus parte ont été détruites au XIXe siècle.


Claude-Nicolas Ledoux, Les Barrières de Paris, La Villette.
Claude-Nicolas Ledoux, Les Barrières de Paris: Rotonde de Chartres aujourd’hui entrée du
parc Monceau
Claude-Nicolas Ledoux, Les
« Propylées de Paris », Les
Barrières de Paris pour la Ferme
Générale, Barrière de Passy, 1785-
88.
Claude-Nicolas Ledoux, les
« Propylées de Paris » Les
Barrières de Paris pour la
Ferme Générale, Barrière de
l’Étoile, 1785-88.
Claude-Nicolas Ledoux, Les « Propylées
de Paris », Les Barrières de Paris pour la
Ferme Générale, Barrière du Roule, 1785-
88.
Claude-Nicolas Ledoux, Les
« Propylées de Paris », les Barrières
de Paris pour la Ferme Générale,
Barrière de Denfert, ou d’Enfer,
1785-88.
Claude-Nicolas Ledoux, Les Barrières de
Paris, Barriere du Trône, 1785-88.
J.-N.-L. Durand et J.-T. Thibault, architectes, Temple à l’Égalité
Michel-Barthélémy Hazon, Premier projet pour le bosquet religieux de Cantiers:
no. 5, Élévation du côté de la cabanne et no. 6, Coupe sur les lignes AB des trois plans
numérotés 2,3 et 4.
Anonyme, Monument à la Liberté et aux Poids et Mesures. Une figure de la Liberté,
brandissant une pique vers le bas, sort d’une Bastille.
De part et d’autre deux figures assises symbolisent les poids et mesures nouvelles. A droite
une colonne porte un thermomètre et au sommet une girouette; à gauche c’est le calendrier
lunaire. En arrière plan deux bâtiments à arcades proches de l’architecture toscane.
Jean-Jacques Lequeu, 1757 – 1826

[Il est libre] : [dessin] / Jean Jacques Le Queu delin. an 7 Rep


Jean Jacques Lequeu, La mue et Le grand bailleur
Jean-Jacques Lequeu, Porte du Parisis, ou Arc du Peuple; et « ce qu’elle voit en songe »,
dessin plume et lavis (Bibliothèque Nationale).
Jean-Jacques Lequeu, « À la sagesse suprême », Elévation et section du Temple de la
Terre, An II (1794 env.), dessin plume et lavis (Bibliothèque Nationale).
Jean Jacques Lequeu, maison gothique (loge franc-maçonnique)
Les esquisses utilisées par Lequeu proviennent des descriptions de l'ouvrage de l'abbé Jean
Terrasson, dont le Séthos connut un réel succès et popularisa la notion de « mystères
égyptiens ». (Terrasson présente l'histoire de Séthos comme une œuvre de fiction qu'il dit
avoir tirée d'un manuscrit grec d'un auteur inconnu, qui lui-même aurait puisé à des sources
égyptiennes).
Jean-JacquesLequeu (1757-1826), Intérieur de l'habitation à l'égyptienne et la salle de
Morphée

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